AVANT-PROPOS
Ce travail constitue le rapport du stage que nous avons
effectué au sein de la société commerciale des transports
et des ports «SCTP» en sigle, du 16 Mai au 16Juin 2016.
Etant parvenu à cette étape de notre parcours
universitaire, nous tenons àremercier les autorités
académiques de l'Université Révérend Kim (URKIM) en
général, pour la formation de qualité que nous avons
reçue tout au long de ces années d'étude.
Nous voulons exprimer toute notre gratitude
à Monsieur le responsable du service de la comptabilité
générale RubinBAKONDOLO, à qui malgré ses multiples
occupations a bien voulu nous accueillir dans Son service; et de fournir des
matérielles nécessaires pour mener à bien notre stage.
Nos remerciements vont également à tous ses
collaborateurs, qui ont ménagé beaucoup d'effort, pour nous
apporter leurs savoirs et leurs connaissances, afin de rendre ce stage aussi
instructif que possible. Il s'agit des Messieurs: Justin MANGABU, VUNDA,
Thierry MUZINGA et des Mesdames : Suzanne NDIMBA et FIFI, ainsi que toutes
les autres personnes travaillant au sein de l'entreprise qui ont pu nous
apporter leur aide.
Nos remerciements vont également à tous les
professeurs, chefs des travaux et assistants de l'Université
Révérend Kim, comme le chef des travaux Fridor KWANGO,
grâce à qui notre stage a pu se dérouler sans trop de
difficultés suite aux nombreux enseignements qu'ils nous ont
dispensés durant tout notre séjour académique.
A tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, ont
contribué au bon déroulement de e stage, nous vous
présentons nos gratitudes.
INTRODUCTION
Les textes légaux régissant l'enseignement en
R.D.Congo et les programmes de l'Université prévoient un stage
professionnel à la fin de chaque cycle d'études afin de donner
une assise pratique à la formation suivie pour que l'étudiant
soit maître des acquits théoriques à mettre en
pratique dans l'exercice de la profession qui devra être la sienne
à l'issue du cursus universitaire.
C'est ainsi que nous étions appelés à
effectuer un stage au sein d'une entreprise de la place pour vérifier,
à travers la pratique, si nous avons bien assimilé l'enseignement
que nous avons reçu.
Nous avons choisi d'effectuer notre stage au sein de la
société commerciale des transports et des ports «SCTP»
en sigle, de plus d'un mois où nous avons mis à profit le temps
imparti pour parachever notre premier cycle. Du reste, ce rapport de stage que
nous présentons témoigne des différentes
expériences que nous avons faites durant la période passée
à la SCTP.
Ledit rapport de stage comporte naturellement une introduction
et une conclusion, et est divisé en deux chapitres: le premier chapitre
donne une esquisse de la présentation de la «SCTP», et le
deuxième chapitre porte quant à lui sur le déroulement du
stage au sein de l'entreprise précitée.
CHAPITRE I.
PRESENTATION DE LA SOCIETE COMMERCIALE DES TRANSPORTS
ET DES PORTS
I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE DE LA SCTP
I.1.1. Situation géographique
La SCTP est une entreprise publique dotée d'une
personnalité juridique et d'une autonomie de la gestion dans lequel tout
est défini sur le plan organisationnel que fonctionnel. Son siège
social est au numéro 177, boulevard du 30 juin, commune de la Gombe
Kinshasa/RDC.
I.1.2. Historique de la SCTP
L'historique de la création de la SCTP remonte de 1930
à 1935. Cettepériode a été marquée par une
crise économique qui n'épargnât pas les entreprises
coloniales dont celle du Congo Belge. C'est dans ce contexte que la compagnie
de chemin de fer du Congo en sigle « CFC », concessionnaire de
la ligne de Matadi-Kinshasa, alors que Léopold ville était
confronté à une situation catastrophique.
Le ministère de l'économie estime que la
compagnie de chemin de fer du Congo se trouvait dans l'impossibilité de
réorganisersa structure, il a décidé que la colonie Belge
rachète la conception de la ligne Matadi-Kinshasa en reprenant l'actif
et le passif de la compagnie.
Etant donné que le chemin de fer ne constitue qu'un
aspect de moyen de communication. La colonie a amorcé des
négociations avec l'ONATRA (Office National de Transport) qui exploitait
les voies fluviales au-delà de Kinshasa pour mettre sous
l'autorité d'un seul exploitant de transport public du bief inferieur
jusqu'à l'extrémité du bief navigable de cours moyens du
fleuve et ses affluents.
C'est ainsi qu'un arrêté royal Belge de l'OTRACO
(Office de transport coloniaux) en exécution de l'arrêté
voté au parlement Belge. Il s'agissait d'une institution publique
autonome chargée par l'Etat d'assurer la gestion des exploitations qui
lui est confiée et dont il restait propriétaire.
Aussi, enfin de promouvoir la relance de l'économie
amorcé dès la fin de la crise économique mondiale et
d'orienter cette reconstruction dans le sens de l'intérêt, Le
pouvoir public avait estimé nécessaire de coordonner les
activités de transports, ceci implique une reprise de l'actif et de
passif des entreprises concernées par cette relance économique
à savoir :
- La Régie d'Etat (REVIMA) : chemin de fer MAYUMBE
axe BOMA -TSHELA en date du 17 juillet 1935. A noter que ce réseau
n'est plus exploitable depuis fin 1986 ;
- La compagnie du chemin de fer du Congo (CCFC) :
desservant le tronçon du Matadi (Ango Ango) à Kinshasa en date du
1 juin 1936. C'est l'unique voie de l'ONATRA qui est exploité
jusqu'à ce jour ;
- Société pour la manutention des ports du
Congo (MANUCO) : chargé de la manutention portuaire daté du
15 octobre 1937 ;
- La société de chemin de fer de Kivu
(CEFAKI) : réseau de Kivu, port de Kalundu en date du
29/07/1946 ;
- L'union nationale des transports fluviaux(UNATRA) :
desservant le service de navigation sur biefsKin-Kisangani, Ilebo et les
affluents en date du 01/09/ ;
- La compagnie industrielle et de transport du
Congo(CITAS) : exploitation du port public Kin en date du 02/06/1935.
A partant de ce moment, le contact était entre les
ministères de colonie et quelques entreprises pour l'exploitation
des réseaux suivants :
- Port de Banana,
- Chemin de fer du Mayombe,
- Chemin de fer de Matadi-Kinshasa,
- Transport fluviaux sur le fleuve jusqu'à Kisangani
sur Kasaï et leurs affluents,
- La manutention portuaire à Matadi,
- Le port de Kinshasa,
- Le transport sur le lac Kivu.
Avec l'Africanisation des cadres consécutifs à
l'indépendance, Monsieur MBILO jacques devint le 1er
Président congolais du conseil de gérance créé le
27/01/1961, par l'ordonnance loi présidentielle et suite au changement
de l'appellation du pays de la République Démocratique du Congo
au Zaïre.
En avril 1991 l'ONATRA deviendra un groupe avec ses 3
composants à savoir :
- Holding,
- Office de transport & de port (O.T.P),
- Office de Chantier Naval (OCN).
Ayant chacun un comité de gestion en octobre 1995, sur
décision du gouvernement de transit de la République du
Zaïre, on dissoudra Holding ONATRA avec ses groupes pour avoir l'ONATRA
en unique d'avant 1991.
En attendant les dispositifs pratiques relatifs à
l'application du décret-loinuméro 011/11 du 24/O4/2009 portant
mesure transitoire relative à la transformation des entreprises
publiques de la RDC, l'ONATRA devient SCTP et fonctionne encore sous son
ancienne structure organique composé de 11départements dont 5
opérationnels et 6 non opérationnel.
1.2. LES OBJECTIFS DE GESTION
Plusieurs objectifs de gestion et de plan se sont
succédés et mis en oeuvre selon la politique de différents
comités de gestion. Ces objectifs sont souvent définis aux
différents niveaux tels que :
- Au niveau de l'administration, de finance, et des
approvisionnements ;
- Au niveau de la production des services ;
- Au niveau de la gestion des ressources humaines.
La plupart de ces objectifs vise la modernisation
nécessitant des moyens assez importants. C'est ainsi par perturbation
d'ordre politique entre l'Etat Zaïrois (actuellement congolais) et les
bailleurs de fonds. A partir de ce moment, Les dirigeants sont obligés
de gérer en un comportement rationnel, les ressources propres
générées par une activité décondense
d'année.
I.3. INFLUENCE SOCIO-ECONOMIQUE DE LA SCTP ET SES RELATIONS
AVEC D'AUTRES ORGANISATIONS
I.3.1. L'influence socio-économique de la SCTP
La SCTP joue un rôletrès important dans
l'économie congolaisedépart la configuration géographique
de ses différentsréseaux qui s'étendent de l'embouchure du
fleuve Congo jusqu'à l'intérieur du territoire national.
Nous citerons à titre illustratif :
o Le transport des personnes et des marchandises pour
l'approvisionnement des centres urbains ;
o L'intégrationsocio-économique par le
désenclavement du territoire national et le développement du
milieu rural ;
o Le soutien de l'industrie par la mobilité des
ressources ;
o L'appui à la reconstruction nationale.
I.3.2. Les relations de la SCTP avec d'autres organisations
La SCTP joue le rôle majeur de transmission interne et
externe en assurant les relations économiques et en facilitant le
courant commercial inter régional.
Le but principale de la SCTP consiste en effet de
réaliser une coordination efficace des moyens de transport entre la
cuvette du Congo et les ports maritimes à l'antique, surtout de
participer dans le système de la modernisation et au financement du
commerce extérieur de la RDC.
Elle les a donné son activité sur les
importations et les exportations des marchandises. Elle facilite les grandes
entreprises comme UPAK, SNEL, et REGIDESO en effectuant leurs transferts
à travers les chaines intégrées du chemin de fer de
Matadi-Kinshasa, de plusieurs ports et transports fluviaux composées de
chantiers navals (Ndolo, Boma, et Boera à Mbandaka).
I.4. STRUCTURE FONCTIONNELLE ET ORGANISATIONNELLE
I.4.1. Structure fonctionnelle
La SCTP est une entreprise dont la structure actuelle est
réglée par les dispositions générales applicables
aux entreprises publiques et par le décret-loinuméro 0051 du
17/11/1995 portant sa création et ses statuts.
En conformément avec les dispositions légales et
règlementaires, les structures organiques de la SCTP dont la tutelle est
exercée conjointement par le ministère de transport, de
communication et de portefeuille. Il s'agit de :
- Conseil d'administration,
- Comité de gestion,
- Direction générale.
a. Le conseil d'administration
Il est présidé par un
présidentdéléguégénéral, et
secondé par le
présidentdéléguégénéral adjoint. Cet
organe assure la responsabilité de conduire la politique
générale de la SCTP.
b. Le comité de gestion
Il a la charge des affaires courantes et est composé du
présidentdéléguégénéral, du
déléguégénéral adjoint et de 2
Administrateurs (directeurs internes et un représentant du
personnel).
c. La direction générale
La direction générale de la SCTP est
composée de 5 membres dont 4 Administrateurs nommés par le
décretprésidentiel et un représentant du personnel. Elle
est dirigée par un Administrateur directeur général. La
direction générale a pour mission d'assurer le fonctionnement, le
service et l'exécution de la politique générale de
l'entreprise dictée par le comité de gestion.
I.4.2. Structure organisationnelle
En outre de directeur en staff constituant le service
d'état-major de la direction générale, la gestion de la
SCTP s'articule autour de 11 départements repartis en 5
départementsopérationnels et 6 départements d'appuis
logistiques ou non opérationnels.
A. Départements opérationnels
Ils sont dits opérationnels parce qu'ils sont
générateurs des recettes. Il s'agit de :
- Département des ports maritimes : il assure la
manutention dans les ports de Matadi, Boma et Banana, ainsi que la navigation
sur le bas fleuve.
- Département du port de Kinshasa : se charge de
la gestion du port de Kinshasa et du Beach inflammable de Kingabwa. Il est
installé achevale entre le trafic fluvial et ferroviaire. Le port de
Kinshasa se situe sur la rive gauche du fleuve Congo au pool Malebo. Il
fonctionne comme le premier département avec les 3 shifts, mais le
département s'occupe de la manutention des marchandises, des grumes et
bois sciés.
- Département de chemin de fer : il exploite la
ligne ferroviaire matadi-kinshasa et le transport ferroviaire urbain dans la
ville de Kinshasa.
- Département des ports et transports fluviaux :
il assure le transport sur fleuve (Kinshasa-Kisangani), sur le Kasaï
(Kinshasa-Ilebo), sur leurs affluents el la traversée de
Kinshasa-Brazzaville au Beach NGOBILA.
- Département de chantier naval : s'occupe des 3
chantiers navals (ndolo à Kinshasa ; Boma ; Boera à
Mbandaka) en faisant l'entretien, le carénage, la réparation des
bateaux, ainsi que la fabrication des unit »s fluviales neuves.
B. Départements d'appuis logistiques ou non
opérationnels
· Département technique : ayant en charge la
gestion des toutes lesfilières techniques des entités
opérationnelles ;
· Département des ressources humaines : il
s'occupe de la gérance administrative et prévisible et la
formation du personnel ;
· Département des services
généraux : il gère l'espace immobilier et la
construction de la SCTP, à cela s'ajoute les hôpitaux et les
affaires sociales, les maisons, les implantions agro-alimentaire de la SCTP...
74 chemin de fer, 71 services généraux. Ce département est
dirigé par un Directeur du département, assistant du Directeur,
des Sous Directeurs, et des inspecteurs et s'occupe de la direction
médicale, des locations des espaces, bâtiments et naissant de la
SCTP, imprimerie, l'aviation, l'inspection agricole et ravitaillement et de la
direction des régies de travaux ;
· Département financier : celui-ci s'occupe
de la comptabilité et les avoirs financiers de la SCTP ;
· Département de l'organisation et
étudesgénérales : il a la mission de conduire le
changement dans l'entreprise, notamment la restructuration et
l'élaboration de plan de développements de la
société ;
· Département de l'audit interne : il assure
le contrôle à priori et posteriori (audit comptable et financier,
audit des fonctions, du fonctionnement en staff de la direction
générale comprenant les structures commerciales, marketing,
juridique, de la police et de la direction du control central.
I.4.3.ORGANIGRAMME DE LA SCTP
ASSEMBLEE GENERALE
CONSEIL D'ADMINISTRATRION
COLLEGE DE COM.AUX CPTES
DIRECTION GENERALE
DEPARTEMENT DE PORT DE KINSHASA
DEPARTEMENT TECHNIQUE
DEPARTEMENT DE RESSOURCES HUMAINES
DEPARTEMENT DE PORT MARINE
DEPARTEMENT FINANCIER
DEPARTEMENT DE PORT ET TRANSPORTS FLUVIAUX
DEPARTEMENT DE CHANTIER NAVAL
DEPARTEMENT D'ORGANISATION ET ETUDE
GENERALE
DEPARTEMENT DE CHEMIN DE FER
DEPARTEMENT DE L'AUDIT
DEPARTEMENT DES SERVICES GENERAUX
I.4.4. ORGANIGRAMME DU DEPARTEMENT DES SERVICES GENERAUX
(DSG)
DPT
DAF
SERVICE DE COMPTABILITE GENERALE
SERVICE DE COMPTABILITE DE GESTION
SERVICE DE DISPATCHING
SERVICE DE FACTURATION
INSECP.T. AGRICOLE
INSECPT TRESORERIE
INSCEC P.T.
CPTE
INSECPT INFIRMIERIE
S/DAF
S/DIRECTION COMPT
S/D AFFAIRES SOCIALES
DIRECT MEDICAL
DIRECT MEDICAL
CHAPITRE II. DEROULEMENT DU STAGE
Durant notre séjour au service de la
comptabilité générale du département des services
généraux de la société commerciale des transports
et des ports(SCTP), nous avons été affectés suivant notre
calendrier de ronde qui se présente comme suit :
Du 16/05 au
20/05/2016
|
Initiation au système comptable de la SCTP
|
Du 23/05 au
09/06/2016
|
Comptabilité tiers (comptabilité fournisseur et
comptabilité client)
|
Du 10/06 au
15/06/2016
|
Comptabilité interne (caisse et banque)
|
Et comme prévu, nous avons respecté la
période d'un mois qui nous a été confié.
II.1. SYSTEME COMPTABLE DE LA SCTP
II.1.1. Décentralisation de la comptabilité
a) Tenir des comptabilités autonomes dans les
directions opérationnelles de la SCTP de manière à ce que
chacune d'entre elle soit capable d'établir son compte de
résultat et son bilan.Le siège est considéré comme
une direction opérationnelle. Les comptes du département sont
ensuite combinés afin de produire les états financiers globaux de
la SCTP.
b) Mettre à la disposition de chacune des directions
autonomes les mêmes logiciels de facturation et comptable, les
équipements informatiques de saisie et le moyen de
télétransmission des informations comptables dans le serveur du
siège. Les serveurs autonomes traitent les ports maritimes et le serveur
du siège permet l'intégration des écritures en provenance
des départements.
c) Mettre chacune des directions autonomes en situation de
réviser l'intégralité de sa comptabilité. La
direction de la comptabilité siège est chargée d'une part
de tenir la comptabilité du siège et d'autres parts de coordonner
les travaux de l'ensemble des directions décentralisées afin de
combiner les comptes des différentes directions pour établir les
états financiers annuels.
II.1.2. Le préfixe
D'un point de vue comptable, les directions autonomes sont
considérées comme des préfixes. Chaque préfixe
tient une comptabilité autonome.
Numéro
|
Désignation
|
11
|
Département de services généraux
|
20
|
Département des ports et transports fluviaux
|
30
|
Département de chemin de fer
|
50
|
Département des ports de Kinshasa
|
60
|
Départements des ports maritimes
|
64
|
Port de Banana
|
66
|
Port de Boma
|
70
|
Département de chantier naval
|
80
|
Département financier (siège)
|
99
|
Gestion de pensionnaire
|
II.1.3. Les compte de liaison inter département
Les transactions entre préfixe sont :
Ø Virement de franc,
Ø Facturation multimodale.
Les écritures comptables relatives à ses
opérations doivent s'équilibrer débit égal
crédit dans chacun de préfixe concerné. Pour cela, il faut
des comptes de liaison inter
département « 186+++ ».
II.1.4. Les comptes collectifs
Ils servent à centraliser, regrouper les comptes
individuels de trésorerie caisse et banque, les comptes individuels
clients, les comptes individuels fournisseurs et les comptes individuels de
liaison inter département. Chaque compte individuel est identifié
par un suffixe.
II.1.5. Le suffixe
Il a deux fonctions principales :
Ø Il permet d'identifier un compte individuel qui sera
regroupé dans son compte collectif de rattachement. Cela concerne les
caisses, les banques, les clients, les fournisseurs et les comptes de liaison
inter département ;
Ø Pour les comptes des charges, des produits et
d'immobilisations. Il désigne un centre des couts ou des profits de la
comptabilité de gestion et budgétaire.
II.1.6. Les écritures comptables de base
Les écritures comptables de base sont
constituées par :
Ø Une date dans un mois comptable de l'exercice en
cours
Ø Un préfixe de l'entité où se
déroulent les transactions
Ø Un compte individuel ou collectif issu du plan
comptable de l'entreprise
Ø Un suffixe pour les charges, les produits, les
immobilisations et les comptes individuels destinés à se fondre
dans un compte collectif
Ø Un montant correspondant au flux financier.
II.1.7. Procédure et méthode comptable
Pour rendre la comptabilité rapide et simple, les
modifications ci-après ont été apportées :
1. Cycle achat-fournisseur
- Abandon de la méthode inventaire permanent au profit
de la méthode de l'inventaire intermittent,
- Faire en sorte que la copie de bon de commande, de bon de
réception, de facture arrivent à la comptabilité
dès l'émission ou dès la réception.
2. Cycle vente-client
- Dans les cites informatisés, toutes les factures sont
émises à partir d'un logiciel de facturation,
- Recevoir la numérotation de facture pour permettre un
contrôle aisé de l'exhaustivité du journal de vente,
- Qu'une copie de chaque facture parvienne quotidiennement
à la comptabilité et une autre à la trésorerie,
- Que le compte vente comptant soit justifié au moins
une fois par semaine.
3. Cycle paie
- Revoir l'écriture automatique pour que la ventilation
de la rémunération corresponde à la notion du centre
payeur et non à la notion du centre de frais,
- Simplifier le flux de caisse à caisse pour la mise
en disposition des fonds aux agents payeurs.
II.1.8. Comptabilité manuelle
Elle subsiste dans le site où elle reste manuelle
notamment au département de chemin de fer, au département des
ports et transports fluviaux et au département des services
généraux.
Ces départements continueront à tenir des
bordereaux manuels généralement de caisse et exceptionnellement
de banque. Ces bordereaux seront saisis dans les préfixes
concernés.
II.1.9. Etat comptable de base
a. Journaux : ils sont tenus par préfixe. Nous
avons le journal de trésorerie, le journal de vente, le journal des
achats, le journal des opérations diverses et le journal de la paie.
b. Grand livre : ils sont aussi tenus par préfixe.
Nous avons le grand livre auxiliaire client, fournisseur, caisse, banque, de
transaction inter département et afin le grand livre
général.
c. Balances : elles sont aussi tenues par préfixe.
Nous avons la balance auxiliaire client, fournisseur, caisse, banque, de
transaction inter département et afin la balance
générale.
II.1.10. Révision des comptes
Apres la clôture d'une période comptable qui
peut-être 1,2 et 3 mois, on précède à la
révision des comptes.
a. Compte de trésorerie : la révision
d'un compte de trésorerie consiste à rapprocher le solde
comptable au solde extracomptable qui se trouve dans l'extrait de compte de
trésorerie. Ces soldes doivent être égaux sinon, on
procède au pointage de toutes les écritures passées en
comptabilité.
b. Compte de tiers : le solde comptable d'un compte de
tiers correspond à la somme de toutes les factures comptabilisées
non payées. La révision va consister à rapprocher le solde
de la fiche RUF au solde comptable, sinon on procède au pointage des
factures comptabilisées pour voir si on a omis une ou plusieurs factures
qu'il faudra régulariser pour avoir le solde identique.
c. Compte de liaison inter département et de virement
interne : le solde de ces comptes représente tous les mouvements
qui sont restés ouverts après pointage de mouvement débit
et crédit.
II.1.11. Informatique
Elle comprend un serveur central en siège, des micros
et des imprimantes pour le département et les éléments de
télécommunication pour assurer la connexion entre
diffèrent site et siège.
II.2. SERVICE DE LA COMPTABILITE GENERALE
II.2.1. COMPTABILITE TIERS
La comptabilité tiers s'occupe des activités
extérieures de l'entreprise (fournisseur et client de la SCTP) et est
subdivisée en deux comptabilités ou divisions.
II.2.1.1.Division fournisseur
I. Définition des différents concepts
- Comptabilité : c'est le système
d'enregistrement, de traitement, et de placement des informations (comptables)
et économico-financières.
- Fournisseur : c'est une personne physique ou morale
identifiée par un numéro économique national ou par un
simple usage auquel on s'approvisionne en immobilisation ou service.
- Comptabilité fournisseur : c'est une branche de
la comptabilité qui a pour mission de suivre l'évolution des
dettes de la société vis-à-vis des fournisseurs ou
tiers.
II. Type des fournisseurs
Il existe 2 types des fournisseurs :
- Fournisseur des marchandises : Ce sont des personnes
physiques ou morales auprès desquelles la société
s'approvisionne en marchandise ou en immobilisation. Ils ont pour
comptes : H2/401101/XXXX.
- Fournisseur des services : Ce sont ceux qui assurent le
transport et autres services n'ayant pas trait à l'achat des
marchandises. Ils ont pour compte : H2/401105/XXXX.
III. Les grandes fonctions
Il existe 9 grandes fonctions au sein de la
comptabilité fournisseur.
· Réception : la comptabilité
fournisseur reçoit un lot de document pour traitement. Ce lot de
document est composé de :
- La facture originale du fournisseur des marchandises ou des
services venant des entités des services généraux,
- Le bon de livraison ou bordereau de livraison,
- La copie bleue de bon de commande,
- La note de crédit ou de débit du
fournisseur.
· Triage : se fait en vérifiant
minutieusement ce lot reçu des factures. La comptabilité va
trier ces factures en mettant d'un côté celles des marchandises et
d'un autre celles des services.
· Enregistrement : cette opération se fait
à l'aide de 2 carnets :
- Le carnet facture des marchandises,
- Le carnet facture des services.
· Imputation : imputer c'est donner une
interprétation comptable à une facture ou un document. C'est
passer une écriture comptable.
· Comptabilisation : elle est d'abord faite sur la
fiche RUF qui est une comptabilisation extracomptable et puis vient la
comptabilisation à l'ordinateur c'est-à-dire au moyen d'un
bordereau comptable.
· Ordonnancement : ordonnancer c'est donner l'ordre
de paiement en établissant l'ordonnancement qui va suivre le circuit des
signatures des chefs hiérarchiques. Apres avoir obtenir toutes les
signatures, l'ordonnancement sera envoyé à la trésorerie
siège où un bon à payer ou un chèque sera
établi pour permettre au fournisseur à être
payé.Après paiement ce document sera retourné à la
comptabilité pour son classement et son apurement de la dette sur la
fiche RUF.
· Paiement : nous distinguons 3 sortes de paiement
en faveur des fournisseurs :
- Le paiement par caisse : c'est un paiement cash
à l'aide d'un bon à payer établi par la trésorerie
sur base de l'ordonnancement.
- Le paiement par banque : ce paiement s'effectue
à l'aide d'un chèque signé par l'autorité au moyen
de l'ordonnancement. Ce chèquesera remis au fournisseur qui va se
présenter à la banque pour toucher son argent.
- Le paiement par compensation : ce mode de paiement
n'intervient qu'au fournisseur de double nature, fournisseur et client en
même temps.
· Justification des comptes : à la fin d'une
période comptable et après avoir passé toutes les
écritures, l'informatique de la SCTP va-nous tirer les relevés du
compte fournisseur où tous les mouvements apparaissent.Le comptable va
vérifier la situation comptable reprise sur le relevé
informatique et celle de la fiche RUF qui est une situation extracomptable. Si
les 2 situations reprisent sont égaux, le comptable sera amené
à tirer le solde de chaque fournisseur. Dans le cas contraire, il est
obligé de passer à l'étape suivante.
· Rapprochement des comptes : cette fois, permet au
comptable à faire des recherches pour trouver les
irrégularités enfin de passer les écritures de
redressement ou de régularisation car le travail de justification est
d'établir l'égalité entre les données comptables et
les extracomptables.
IV. Activités réalisées
A la comptabilité fournisseur, nous avons eu à
enregistrer des factures sur deux carnets :
- Pour le carnet facture des marchandises l'enregistrement
aura un numéro commençant par l'indice de la comptabilité.
Cet indice est suivi du dernier chiffre du compte fournisseur des marchandises.
Apres viennent les 5 autres numéros qui sont les numéros
séquentiels de la réception des factures en marchandises.
Ex : H1/00001 d'où,
o H : indice de la comptabilité
o 1 : dernier chiffre du compte de fournisseur en
marchandises
o 00001 : la première facture reçue de
l'année en cours.
- Pour le carnet facture des services c'est la même
procédure d'enregistrement avec le carnet facture des marchandises. Mais
la différence provient au niveau du chiffre qui vient après
l'indice.
Ex : H5/00001 d'où, 5 : dernier chiffre du
compte de fournisseur en services.
Nous avons aussi comptabilisé les factures à
l'aide de :
Ø La fiche RUF qui est une situation extracomptable.
Elle consiste au classement et à l'apurement de la dette après
paiement.
NB : le classement et l'apurement des dettes se font
toujours au débit.
Ø Livre bordereau comptable
Nous débitons la classe 6 et nous créditons la
classe 4 tout en imputant les factures.
H2/401101/4575 pour le fournisseur en marchandises et
H2/401105/3476 pour le fournisseur en services et afin nous avons donné
l'ordre de paiement en établissant un ordonnancement.
o H2 : préfixe de la DAF/SG,
o 401101 et 401105 : comptes du fournisseur,
o 4575 et 3476 : suffixe du fournisseur.
II.2.1.2. Division client
I. Définition du client
Un client est une personne morale ou physique à qui on
vend un bien ou on rend un service.
II. Types de client
En PCGC, on distinguait 3 types de client à
savoir :
- Client d'Etat : est une personne physique ou morale
à qui l'ONATRA vend un bien ou rend un service sous tutelle de
l'Etat.
- Client du groupe des portefeuilles : ce sont des
sociétés dont l'ONATRA vend un bien ou rend service sous la
supervision du ministère du portefeuille de l'Etat.
- Client occasionné : ce sont des personnes
physiques ou morales sous contrat à qui l'ONATRA vend ou rend service
occasionnellement.
Mais en OHADA, tout client est client. Ce qui nous
amène de nier toute typologie de clients. En niant cette typologie, nous
sommes tombées à l'éclatement des comptes.
III. Document comptable
La comptabilité tiers trouve à la
comptabilité client de documents tels que :
- La facture : est la pièce comptable de base de
la comptabilité tiers émis par le service de facturation qui
envoi l'originale au client, une copie à la comptabilité et une
autre copie à la trésorerie pour le traitement et la
comptabilisation.
- La note du débit et du crédit: sont des
factures complémentaires qui sont établies lorsqu'il y a eu une
sous facturation ou s'il y a erreur sur la facture de base. Elle est du
débit pour le fournisseur et du crédit pour le client.
IV. Activités réalisées
A la division client, nous avons eu à comptabiliser
les factures sur :
- La fiche RUF qui est une situation extracomptable. Son
classement se fait toujours au crédit.
- Le livre bordereau comptable : nous avons
débité la classe 4(tiers) et crédité la classe
7(produit) tout en imputant les pièces comptables.
Ex : H2/711301/6415
o H2 est le préfixe du DAF/SG,
o 711301 est le compte général,
o 6415 est le suffixe du client
II.2.2. COMPTABILITE INTERNE
La comptabilité interne au sein du département
des SG donne la certitude sur la gestion de caisse et de banque depuis la
réception des pièces justificatives jusqu'à leurs
traitements informatiques.
Les caisses des SG sont installées sur la ligne de
chemin de fer et partout où l'ONATRA se trouve. Par contre, les banques
se trouvent dans les grands centres.
Les caisses gèrent les opérations relatives aux
espèces (encaissement et décaissement). Les encaissements et les
décaissements sont traduits en entrée ou en sortie de la
caisse.
II.2.2.1. Catégories des caisses
Il existe trois catégories des caisses au sein du
département des SG.
I.Les caisses principales
On distingue :
· La caisse principale recette : est celle qui
reçoit les recettes venant des caisses auxiliaires. Elle encaisse les
créances des clients. Elle alloue à la caisse principale
dépense de fonds chaque fois que le besoin se fait sentir.
· La caisse principale dépense : elle
reçoit chaque fois que le besoin se fait sentir les allocations venant
de la caisse principale recette. Elle ravitaille les caisses de
dépannage, paye les fournisseurs à créditer à
l'office et fait face à toutes les dépenses inhérentes au
bon fonctionnement du département.
II. Les caisses auxiliaires
Ce sont des caisses de perception et de prestation des
services que les SG rendent au tiers et elles sont uniquement des recettes.
Celles-ci sont installées dans les entités.
III.Les caisses de dépannage
Ce sont des caisses implantées dans les entités
pour leur permettre de faire face aux dépenses immédiates.
II.2.2.2. Supports de collecte des données
La comptabilité interne utilise trois supports de
collecte des données.
· Le livre bordereau de caisse (LBC)
· Le livre bordereau de banque(LBB)
· Le livre bordereau comptable(LBC)
I. Le livre bordereau de caisse(LBC)
Elle est subdivisée en carte :
o La carte A va de la colonne numéro ligne
jusqu'à la colonne des dépenses.
o La carte B va de la colonne préfixe jusqu'à la
colonne code d'opération.
o La carte C est la ligne 21 qui est la partie
réservée pour mettre le somme de la colonne recette et de la
colonne dépense.
o La ligne report page précédente est
utilisée pour faire le report de solde du folio ou du bordereau
précèdent.
o La zone non informatique permet de calculer le solde par
mouvement c'est-à-dire chaque fois qu'il y a entrée ou sortie.
Les autres livres ont été acquis dans la
comptabilité tiers.
II.2.2.3. Circuit du document
Apres la clôture de la caisse qui peut-être
décadaire, les documents sont transmis au dispatching qui est un service
centralisateur permettant le déroulement harmonieux de la
procédure.
Le dispatching enregistre sur Kardex et sur la fiche Kardex et
envoi au service de la comptabilité générale pour
l'analyse et l'imputation.
Les documents de la banque arrivent à la
comptabilité générale via l'inspection de la
trésorerie. Les bordereaux comptables sont signés après
leurs traitements par le chef du service de la comptabilité ou
l'inspecteur avant d'être saisi à l'informatique.
II.2.2.4. Vérification
Elle consiste à :
- Rapprocher le montant enregistré dans le LBC et celui
figurant sur la pièce justificative ;
- Etablir le relevé des erreurs dans le cas où
il y a discordance ;
- Refaire les opérations des calculs ;
- Vérifier la facture si le montant total
dégagé est correct ;
- Balancer le mouvement de valeur de chaque colonne ;
- Vérifier le solde dégagé par le
caissier.
II.2.2.5. Document du travail
La comptabilité interne utilise de document
ci-après :
- Le plan comptable,
- La règle d'écrituration,
- La table de caisse,
- La table de banque,
- La table de client,
- La table de fournisseur,
- La table de préfixe.
II.2.2.6. Combinaison des opérations de caisse et de
banque
Elle se fait en utilisant le document du travail
énuméré ci-dessus et plusieurs codes appelés CODE
COMPTABLE. Parmi ces codes nous avons :
· Code gestionnaire : il permet l'identification de
l'entité responsable de genre d'opérations au sein du
département ; le code gestionnaire est H2 pour la
comptabilité interne ;
· Code journal : il permet l'analyse des
opérations comptables étymologiquement par genre d'Operations. La
comptabilité générale gère quatre journaux à
savoir :
- Le journal 11 pour la banque avec comme compte
général 521101,
- le journal 14 pour la caisse de dépannage avec comme
compte général 573101,
- le journal 15 pour les caisses principales avec comme compte
général 572101,
- le journal 20 pour les caisses auxiliaires avec comme
compte général 572101.
Les caisses utilisent les suffixes suivant : 572/80XX
est le journal 15 pour la caisse principale, 573/82XX est le journal 14 pour la
caisse de dépannage, 572/83XX est le journal 20 pour les caisses
auxiliaires, 521/XX est le journal 11 pour les banques ;
· Code document : nous avons :
- Code 40 pour les encaissements,
- code 41 pour les décaissements,
- code 30 pour les entrées en compte(Banque),
- code 31 pour les sorties en compte(Banque) ;
· Code mouvement : nous avons :
- 1 pour le débit,
- 2 pour le crédit,
- 3 pour le débit négatif,
- 4 pour le crédit négatif.
NB : les codes documents et mouvements sont uniquement
utilisés dans le bordereau comptable ;
· Code préfixe : nous avons :
- H2 pour la DAF/SG,
- HA pour SG,
- HB pour la direction médicale,
- HC pour la régie des travaux,
- HE pour les affaires sociales,
- HF pour la sous-direction technique (garage central),
- HG pour l'imprimerie,
- HJ pour l'exploitation forestière de YUKI,
- HK pour l'inspection agricole,
- HL pour l'économat du peuple.
Pour tous les comptes financiers, le préfixe à
utiliser est H2 parce que c'est la DAF qui gère le fonds. Les
opérations des fonds entre caisse et caisse sont comptabilisées
dans le compte 585101 et le fonds porté d'une caisse à un compte
bancaire ou vis-versa passe dans le compte 5851O5.
II.2.2.7. Activités réalisées
A la comptabilité interne, nous avons eu à
enregistrer et imputer les factures découlant de différents
préfixes sur le livre bordereau de caisse(LBC).
Ex : HB/611301/H018/6111
- HB est le préfixe de la direction médicale,
- 611301 est le compte général(Charge),
- H018 est le suffixe de l'hôpital concerné,
- 61 est le code d'opérations,
- 11est l'indice des dépenses.
CONCLUSION
A la fin de notre stage pratique de formation d'un mois
réalisé au sein de la comptabilité générale
de la société commerciale des transports et des ports (SCTP en
sigle), nous étions donc obligé de rendre compte de nos
activités pour évaluation. Tel est l'objet du présent
rapport qui retrace l'essentiel de nos activités ou de tous ce qui nous
a été confié au sein de cette entreprise.
Nous avions premièrement, après une brève
introduction, présenté l'entreprise qui nous a reçu en son
sein en commençant par donner sa situation géographique. Puis
nous avions parlé de l'historique, des objectifs de gestion, de
l'influence socio-économique et les relations avec d'autres
organisations de cette entreprise. Ensuite, il nous a paru nécessaire
de faire un point sur l'organisation structuro-fonctionnelle de la SCTP en
démontrant les différents organes qui le compose et leurs
principaux attributs; puis les différents départements qui
constitue le corps de cette entreprise en donnant leurs principales
activités, afin nous avons eu à présenter l'Organigramme
des SG.
Par la suite nous avions, dans le second chapitre de ce
rapport, parlé du déroulement de notre stage en commençant
par décrire le système comptable de la SCTP. Puis, nous avions
d'une part, détaillé les différentes divisions que nous
avons pu être affecté et d'autre part, détaillé les
différentes tâches (activités) qui nous ont
été confiées sous la supervision des agents qui
travaillent au sein de ce service.
Nous tenons enfin, pour finir, dire que ce stage nous a
été plus bénéfique dans la mesure où,
à travers lui nous avions pu accroître considérablement nos
connaissances sur le fonctionnement de la comptabilité
générale.
TABLE DES MATIERES
AVANT-PROPOS.......................................... ....................................i
INTRODUCTION..............................................................................1
CHAPITRE I.PRESENTATION DE LA SOCIETE COMMERCIALE DES
TRANSPORTS ET DES
PORT..........................................................2
I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE DE LA
SCTP..............2
I.1.1. Situation
géographique.............................................................2
I.1.2. Historique de la
SCTP..............................................................2
1.2. LES OBJECTIFS DE
GESTION...................................................4
I.3. INFLUENCE SOCIO-ECONOMIQUE DE LA SCTP ET SES RELATIONS
AVEC D'AUTRES ORGANISATIONS...............................5
I.3.1. L'influence socio-économique de la
SCTP.....................................5
I.3.2. Les relations de la SCTP avec d'autres
organisations.........................5
I.4. STRUCTURE FONCTIONNELLE ET
ORGANISATIONNELLE............6
I.4.1. Structure
fonctionnelle.............................................................6
Le conseil
d'administration...............................................................6
Le comité de
gestion.......................................................................6
La direction
générale......................................................................6
I.4.2. Structure
organisationnelle.........................................................6
Départements
opérationnels................................................................7
Départements d'appuis logistiques ou non
opérationnels.............................7
I.4.3.ORGANIGRAMME DE LA
SCTP...............................................9
I.4.4. ORGANIGRAMME DU DEPARTEMENT DES SERVICES GENERAUX
(DSG)......................................................................10
CHAPITRE II. DEROULEMENT DU
STAGE.....................................11
II.1. SYSTEME COMPTABLE DE LA
SCTP.......................................11
II.1.1. Décentralisation de la
comptabilité.............................................11
II.1.2. Le
préfixe..........................................................................12
II.1.3. Les compte de liaison inter
département......................................12
II.1.4. Les comptes
collectifs............................................................12
II.1.5 Le
suffixe...........................................................................13
II.1.6. Les écritures comptables de
base...............................................13
II.1.7. Procédure et méthode
comptable...............................................13
II.1.8. Comptabilité
manuelle............................................................14
II.1.9. Etat comptable de
base...........................................................14
II.1.10. Révision des
comptes............................................................14
II.1.11.
Informatique.......................................................................15
II.2. SERVICE DE LA COMPTABILITE
GENERALE.............................15
II.2.1. COMPTABILITE
TIERS.........................................................15
II.2.1.1.Division
fournisseur..............................................................15
Définition des différents
concepts.......................................................15
Type des
fournisseurs......................................................................15
Les grandes
fonctions......................................................................16
Activités
réalisées..........................................................................17
II.2.1.2. Division
client....................................................................18
Définition du
client........................................................................18
Types de
client.............................................................................18
Document
comptable.......................................................................19
Activités
réalisées...........................................................................19
II.2.2. COMPTABILITE
INTERNE....................................................19
II.2.2.1. Catégories des
caisses...........................................................20
Les caisses
principales.....................................................................20
Les caisses
auxiliaires......................................................................20
Les caisses de
dépannage................................................................20
II.2.2.2. Supports de collecte des
données..............................................20
Le livre bordereau de caisse(LBC)
......................................................21
II.2.2.3. Circuit du
document.............................................................21
II.2.2.4.
Vérification.......................................................................21
II.2.2.5. Document du
travail..............................................................22
II.2.2.6. Combinaison des opérations de caisse et de
banque........................22
II.2.2.7. Activités
réalisées...............................................................23
CONCLUSION............................................................................24
TABLE DES
MATIERES............................................................... 25