Ecole Supérieure de Commerce Groupe Sup de Co
La Rochelle
L'intelligence économique
Les collaborateurs de la PME sont-ils le maillon faible dans la
sécurisation des informations commerciales ?
Par Stéphane MAGNAN Sup de Co La Rochelle
Mémoire présenté à l'Ecole
Supérieure de Commerce de La Rochelle En vue de l'obtention du Grade
de Master Décembre 2011
1. Remerciements
Je souhaite remercier ma famille et mes amis qui m'ont soutenu
tout au long de ces deux dernières années. Sans eux, je n'aurais
pu progresser avec sérénité et mener à bien le
cursus ESC Manager.
Je remercie également mes collaborateurs qui ont su
prendre le relai durant mes nombreuses absences et qui ont été un
facteur important dans le succès de mes études.
Je remercie mon Chef de Projets, Renaud SALVIGNAC, qui m'a
assisté techniquement dans la mise en oeuvre de la plateforme
d'enquête Lime Survey et qui m'a ainsi permis d'utiliser un outil
d'enquête dynamique et performant.
Je remercie chacune des personnes qui ont pris sur leur temps
pour répondre au questionnaire que je leur ai envoyé et qui, par
leur participation, m'ont permis d'approfondir mon sujet d'études et
d'obtenir les éléments nécessaires à la production
de ce mémoire.
J'associe également à la production de ce
travail mon Directeur de mémoire, David SALVETAT, qui m'a apporté
les conseils qui m'ont guidé tout au long de l'écriture de ce
document et qui a été disponible à chaque instant,
répondant à chacune de mes sollicitations sans délais.
David SALVETAT a été un facteur de succès dans cette
démarche.
Je remercie l'Ecole Supérieure de Commerce de la
Rochelle pour la qualité de son enseignement et pour la
disponibilité des collaborateurs avec lesquels j'ai été en
contact durant les années 2010 et 2011.
Enfin, je remercie chacun de mes camarades de promotion, qui
au-delà l'amitié qui nous lies désormais, ont su partager
leurs expériences et apporter leur regard sur chacune des
thématiques abordées durant ces deux années.
2. Sommaire
1. Remerciements 1
2. Sommaire 2
3. Introduction 5
3.1 Pourquoi cette problématique ? 5
3.2 Le choix de cette problématique 7
3.3 Intérêts théoriques,
méthodologiques et pratiques de l'étude 8
4. Partie 1 : Fondements théoriques 11
4.1 Définitions de l'intelligence économique 11
4.2 Les cinq pôles de l'intelligence économique
12
4.3 Histoire de l'information et naissance de l'intelligence
économique 13
4.4 Existe-t-il une théorie sur le sujet de
l'intelligence économique ? 20
4.5 L'Intelligence économique est-elle une science ?
21
4.6 Composantes de l'intelligence économique 22
4.6.1 Management de l'information 22
4.6.2 Management des connaissances 23
4.6.3 Protection du patrimoine informationnel et des
connaissances 24
4.6.4 Influence et contre-influence 24
4.6.5 Renseignement 25
4.6.6 La veille 25
5. Partie 2 : Terrain et méthode 27
5.1 Présentation du secteur du terrain 27
5.2 Positionnement épistémologique,
méthodologique, structure du questionnaire 28
5.2.1 Positionnement épistémologique 28
5.2.2 Positionnement méthodologique 28
5.2.3 Structure du questionnaire 29
5.2.4 Réalisation de l'enquête 30
5.2.5 Analyse des résultats 31
6. Partie 3 : Résultats et discussions 32
6.1 Définition de l'intelligence économique par
les personnes sondées 32
6.2 Quelle est la conception de l'intelligence économique
pour les personnes
sondées ? 37
6.3 Etat de l'art dans les entreprises sondées 40
6.3.1 Conclusion de la série de questions sur
l'état de l'art dans les entreprises sondées 42
6.4 L'éthique en matière d'information 46
6.4.1 Conclusion de la série de questions sur
l'éthique en matière d'information 53
6.5 L'anticipation de l'avenir 53
6.5.1 Conclusion de la série de question sur
l'anticipation de l'avenir 54
6.6 La gestion de l'entreprise 55
6.6.1 Conclusion de la série de questions sur relatives
à la gestion de l'entreprise 58
6.7 La perception de l'environnement de l'entreprise et des
actions entreprises 59
6.7.1 Conclusion de la série de questions sur la
perception de l'environnement de l'entreprise et des actions entreprises 60
6.8 Avis et opinion personnelle sur les résultats 60
6.9 Conclusion 63
7. Revue de littérature 64
8. Annexes 67
8.1 Annexe du chapitre 0 67
8.1.1 Détail du questionnaire 67
8.2 Annexes du chapitre 6 113
8.2.1 Réponses relatives à l'état
de l'art dans l'entreprise, numérotées de Q11 à Q120
113
8.2.2 Réponses relatives à l'Ethique en
matière d'information, numérotées de Q2_1 à Q2_8
118
8.2.3 Réponses relatives à l'anticipation de
l'avenir, numérotées de Q3_1 à Q3_4 120
8.2.4 Réponses relatives à la gestion de
l'entreprise, numérotées de Q4_1 à Q4_19 122
8.2.5 Réponses relatives à la perception de
l'environnement de l'entreprise et des actions entreprises,
numérotées de Q5_1 à Q5_15 127
8.2.6 Réponses relatives à la conception de
l'intelligence économique, numérotées de Q6_1 à
Q6_3 130
8.2.7 Réponses relatives à l'identité, la
taille, le secteur d'activité..., numérotées de
Q7_1 à Q7_12 131
3. Introduction
3.1 Pourquoi cette problématique ?
Depuis 20 ans, je travaille dans la commercialisation de
systèmes informatiques à destination des TPE et des PME
jusqu'à 500 salariés.
L'évolution des systèmes d'informations et
l'augmentation des risques liés à la multiplication des outils
mis à la disposition des collaborateurs de l'entreprise ont rendu plus
vulnérable le système d'information et fait apparaître la
nécessité de sécuriser celui-ci.
Remontons au début des années 1990.
A cette époque, les systèmes informatiques
déployés dans les TPE et dans les PME étaient peu
communicants, pilotés par des environnements fermés, souvent
propriétaires. Les systèmes d'exploitation déployés
en entreprise étaient MS-DOS, DR-DOS, UNIX, UNIX AIX ou NOVELL NETWARE.
La manipulation de ceux-ci nécessitait une expertise certaine et les
moyens d'externaliser l'information n'étaient presqu'exclusivement la
disquette ou le listing papier.
En 1990, Microsoft publie la version 3.0 de son système
d'exploitation Windows, qui vient succéder des versions peu
distribuées qu'étaient les versions 1.0 sortie en 1985 et la
version 2.0 sortie en 1987.
La version 3.0 ouvre un schéma de fonctionnement
orienté utilisateur et de fait, permet la manipulation des
données de façon plus simple et ne nécessitant plus
l'expertise de la ligne de commande pour manipuler les fichiers
informatiques.
Dans le même temps, les médias de stockages
évoluent. Les disquettes 3»1/2 viennent côtoyer les
disquettes 5»1/4, offrant le double de capacité de stockage,
passant de 360 Ko à 720 Ko sur une simple face. L'évolution
ultime de ces formats de disquette portera la capacité à 1.44 Mo,
sur deux faces, à l'issue de l'évolution du matériel
permettant l'exploitation de ces médias numériques.
Durant les années qui suivront, de 1990 jusqu'à
1995, l'évolution portera principalement sur les systèmes
informatiques matériels et sur une lente évolution de
l'environnement Windows, qui verra ses versions passer de 3.0 à 3.1,
puis 3.11 en novembre 1993.
La version 3.11 marquera une étape importante dans le
développement de l'informatique communicante. Ainsi Windows 3.11
embarquera une couche réseau en standard, le protocole NetBeui, non
routable (c'est-à-dire ne permettant pas l'accès à des
réseaux distants via une passerelle) qui établira une
communication entre les ordinateurs d'un même réseau local.
Le développement des réseaux locaux en PME
trouvent à cette époque leur point de départ. Les
réseaux micro-informatiques étaient fédérés
le plus souvent autour de serveurs Novell Netware qui permettaient
l'hébergement centralisé des données de l'entreprise.
Avec l'avènement des réseaux
micro-informatiques, est née la nécessaire protection de
l'information, qu'il s'agisse de données comptables, commerciales ou
bureautique.
Entre 1995 et 2000 les systèmes d'exploitation ont
continués d'évoluer et Microsoft, prenant une part de plus en
plus importante dans l'équipement des postes de travail en TPE et PME,
éditera la version Windows 95 en août 1995, puis la version
Windows 98 en juin 1998 complété des versions Windows 98 SE
(Second Edition) en mai 1999 et enfin, Windows ME (Millenium Edition) en
septembre 2000, version qui sera orientée grand public.
Durant cette période, le développement de
l'internet a également modifié en profondeur la
nécessité de protéger l'information.
Le développement d'internet débute en 1980 sur
le mode de fonctionnement que nous connaissons actuellement. L'idée de
fédérer des réseaux informatiques date de 1950 aux
Etats-Unis. Le premier réseau, ancêtre de l'internet est ARPANET
et est né en 1969. ARPANET servira à fédérer 4
noeuds de réseaux entre les universités de Californie à
Los Angeles, le Stanford Research Institute, l'université de l'Utah et
l'université de Californie à Santa Barbara.
En Europe, à la même époque, le réseau
X25 était mis au point.
Contrairement au réseau ARPANET, le réseau X25
sera mis à disposition des entreprises. Toutefois, seules pouvaient
à l'époque être raccordées au réseau X25 les
grandes entreprises. J'écarterai de mon étude cette
période pour retenir le développement de l'internet et des
systèmes d'information dans le monde des TPE et des PME, en France,
à partir de 1998.
L'ouverture des réseaux locaux sur l'extérieur
imposera aux TPE et aux PME de faire face à des menaces diverses telles
que :
- les virus informatiques,
- les attaques de pirates informatiques,
- l'envoi de données à l'extérieur de
l'entreprise par les systèmes de messagerie électronique,
- l'augmentation des volumes de stockages amovibles,
- l'apparition des CR-R (CD-ROM inscriptibles),
- l'apparition des périphériques de stockages sur
port USB,
- les systèmes FTP,
- l'avènement des systèmes de stockage grands
publics
- les systèmes d'interconnexion sans fils (wifi,
bluetooth)
-
~
Les TPE et PME devront sans cesse avoir recours à des
systèmes de protection de plus en plus sophistiqués et devant
intégrer désormais l'utilisateur, qui deviendra l'une des sources
de détournement de l'information et des données des
entreprises.
3.2 Le choix de cette problématique
J'ai choisi d'étudier plus spécifiquement cette
partie de l'intelligence économique en axant ma réflexion et mon
étude sur les collaborateurs et leur action directe sur la protection ou
l'exposition des données commerciales de la PME.
Les raisons de ce choix sont multiples. Les TPE et les PME :
- Utilisent des systèmes communicants
- Sont ouvertes sur l'internet pour faciliter leur fonctionnement
par : o La messagerie d'entreprise,
o Les sites professionnels d'achats en ligne,
o Les sites professionnels d'informations,
o Les échanges EDI avec les partenaires institutionnels
:
· banques,
· caisses sociales,
· fisc,
- Utilisent des bases de données pour stocker
l'information : o comptable,
o commerciale,
o financières,
- Mettent en oeuvre des logiciels visant à
fédérer leurs informations commerciales via des logiciels comme
Outlook ou des logiciels de CRM plus ou moins évolués
- Partagent des données en interne via les réseaux
locaux
L'un des enjeux stratégiques de la cible
étudiée sont les informations commerciales. Le caractère
souvent critique de ce type d'information me pousse à en étudier
le degré de sécurisation, l'appréhension qu'ont les
décideurs des niveaux de sécurisations en place et l'impact
qu'ont les utilisateurs sur la qualité de cette sécurisation.
3.3 Intérêts théoriques,
méthodologiques et pratiques de l'étude
Diverses études ont été menées dans
le domaine de l'intelligence économique et plus particulièrement,
dans le domaine de l'intelligence économique au sein de la PME.
Je retiendrai à titre d'exemple :
- L'enquête sur l'intelligence dans les entreprises
françaises de Frank BOURNOIS et Pierre-Jacquelin ROMANI1
analyse les pratiques de l'intelligence économique dans les entreprises
françaises de plus de 200 salariés, seuil haut de l'appellation
PME. L'enquête portera sur 1 250 entreprises ayant répondu au
questionnaire envoyé (un total de 5 000 questionnaires envoyés
avec un taux de retour de 25 %). Cette étude montre que l'information
collectée sur l'internet se fait principalement au
bénéfice des grandes entreprises mondiales (plus de 30 %) alors
que l'information acquise sur internet au profit des PME représente
moins de 15 % de l'information collectée. Sur la période qui
s'est écoulée entre l'enquête de F. BOURNOIS et PJ ROMANI
et l'enquête que j'ai mené pour la conception de mon
mémoire, on pourra constater dans les résultats exposés
dans la seconde partie de ce mémoire, une tres nette évolution de
la tendance en matière d'utilisation de l'internet dans les PME pour la
collecte d'informations.
1 Frank BOURNOIS & Pierre-Jacquelin ROMANI
« L'intelligence économique et stratégique dans les
entreprises françaises » Editions ECONOMICA - 2000
- Sophie LARIVET dans son enquête sur l'intelligence
économique dans 100 PME2 décide d'apporter un
éclairage supplémentaire, en complétant l'enquête de
Frank BOURNOIS et Pierre-Jacquelin ROMANI, en répondant notamment
à la question suivante :
o L'Intelligence Economique est-elle un concept applicable en
PME ?
L'axe d'analyse que j'ai choisi de retenir vient
compléter ces deux études en travaillant sur des PME de moins de
500 salariés et en recherchant à démontrer si les
collateurs de la PME sont le maillon faible dans la sécurisation des
informations commerciales de l'entreprise.
L'intérêt théorique de cette
démonstration vise à déterminer si les
éléments de sécurisation mis en oeuvre dans les PME pour
protéger les systèmes informatiques et plus
particulièrement l'information commerciale sont des parades efficaces
face aux transgressions volontaires ou non des systèmes de
sécurité en place.
La méthodologie mis en place dans l'étude porte
sur un questionnement des responsables informatiques des PME ou des chefs
d'entreprises pour les entreprises n'ayant pas de responsables informatiques
désignés, ainsi que des populations ayant un accès
privilégié au système d'information de l'entreprise.
Le questionnaire sera réalisé en fonction des
besoins de l'enquête, en reprenant une partie du questionnaire de Sophie
LARIVET6 et en le complétant des éléments de
questionnement spécifiques à mon enquête.
2 Sophie LARIVET « Intelligence
économique - Enquête dans 100 PME » Editions L'Harmattan
- 2009
· Pourquoi cette théorie
Introduction
· Fondements théoriques
Partie 1
· Terrain et méthode
Partie 2
· Résultats et discussions
Partie 3
· Synthèse des analyses
Conclusion
La démarche théorique peut être
représentée comme suit :
Figure 1 - ) il (FRQ.3)(FIT)r .3TMTLX)-tT
4. Partie 1 : Fondements théoriques
« L'intelligence économique sera au XXIème
ce que le marketing a été dans les années 1970.
»
Alain Juillet - Haut responsable français pour
l'intelligence économique
4.1 Définitions de l'intelligence
économique
L'époque, la culture, l'auteur donnent vie au concept
d'intelligence économique et apportent différentes
définitions et approches de l'art.
Dans le rapport Martre, l'intelligence économique est
définie comme suit :
«L'intelligence économique peut itre
définie comme l'ensemble des actions coordonnées de recherche de
traitement et de distribution, en vue de son exploitation, de l'information
utile aux acteurs économiques. Ces diverses actions sont menées
légalement avec toutes les garanties de protection nécessaire
à la préservation du patrimoine de l'entreprise, dans les
meilleures conditions de qualité, de délais et de coût.
»3
Pour Alain JUILLET (membre du Service de Documentation
Extérieure et du Contreespionnage), «L'intelligence
économique est un mode de gouvernance dont l'objet est la maîtrise
de l'information stratégique et qui a pour finalité la
compétitivité et la sécurité de l'économie
et des entreprises M4
Bernhardt définit l'intelligence économique dans
ces termes : « un processus analytique qui transforme l'information
brute sur les concurrents, l'industrie et le marché en connaissance
stratégique opérationnelle sur les atouts de la concurrence, ses
intentions, sa performance et sa position ».5
3 Henri MARTRE «Intelligence Economique et
Stratégie des Entreprises ». OEuvre collective du Commissariat
général du plan - La Documentation française -1994
4 Cercle d'Intelligence Economique du Médef de
Paris « L'intelligence économique : Guide pratique pour les PME
» - MEDEF Paris - 2006
La norme AFNOR6 définie l'intelligence
économique comme « l'ensemble des actions
l'information utile aux secteurs économiques. Ces
diverses actions sont menées légalement avec toutes les garanties
de protection nécessaires à la préservation du patrimoine
de l'organisation dans les meilleures conditions de qualité, de
délai et de coût ».
4.2 Les cinq pôles de l'intelligence
économique
Figure 2 - Les 5 pôles de l'intelligence
économique
6 AFNOR : Norme XP X50-053 (avril 1998) «
Prestations de veille et prestations de mise en place d'un système
de veille » - Normalisation Française - Paris
4.3 Histoire de l'information et naissance de
l'intelligence économique
Le renseignement commercial constitue la première pierre
constructrice de l'intelligence économique.
Pour comprendre cette origine, il faut remonter aux origines
de la notion de commerce et d'entreprise. Les marchands qui sillonnaient les
mers ou les chemins des caravanes composent un tableau séculaire de
l'imaginaire des collectivités humaines.7
Les marchands qui existaient dans toutes les civilisations
antiques qu'elles soient fondés sur la conquête territoriale ou
bien des cités-états prospérant grâce au commerce.
Dans chacune d'entre-elles, les sociétés commerciales
fonctionnaient dans un premier temps, en autarcie, chaque famille,
communauté ou région produisant ce qui lui été
nécessaire pour subsister.
En Mésopotamie, on trouve essentiellement des paysans
qui cherchaient acquéreurs pour leur surplus et des artisans qui
vendaient le fruit de leur travail. Personne à cette époque ne
vend ce que d'autres ont produits.
Les Crétois furent les premiers à acheter puis
transporter des armes, du vin, des étoffes, des perles, du bois et du
papyrus à travers tout l'Orient pour les revendre dans des comptoirs.
Les Phéniciens continuèrent le développement
du commerce en installant des comptoirs sur les côtes de Sicile, de
Sardaigne, d'Espagne et d'Afrique du Nord.
Athènes et les cités grecques prennent le relai
de la thalassocratie de Tyr. De riches commerçants grecs se
révélaient armateurs ou s'associaient à des capitaines de
navires et à un bailleur de fonds.
Rome fera de l'espace méditerranéen un
véritable « marché commun » d'environ 80 millions
d'habitants, répartis sur 7 millions de kilomètres
carrés.
En Europe, du VIIIème au
Xème siècle, toute notion de commerce sera
pratiquement réduite à néant. Le système
féodal par nature autarcique accentuera l'atrophie du grand
commerce. Certaines cités italiennes retrouveront un dynamisme
économique dès le VIIIème siècle. Ce
sont les cités de Pavie, Plaisance, Lucques ou
Vérone. Le centre de gravité des courants économiques,
notamment commerciaux, demeure l'Empire Byzantin.
La première période durant laquelle le
renseignement économique apparaîtra se situe entre le
XIème et le XIVème siècle. La
période des croisades conduira à un développement des
échanges entre l'Europe et le Levant, qui entrainera la croissance
économique et financière de Venise et de Gênes. Le premier
réseau structuré d'intelligence économique verra son
apparition à cette époque. Il était constitué de
prostituées employées par la police italienne, dans le but de
faire parler les notables et de recueillir des informations.
Au XIIIème et XIVème
siècle il y a apparition de l'entrepreneur marchand, notamment à
Florence et à Bruges. Le besoin d'information est devenu une
réalité, les marchands et surtout les banquiers recherchant des
marchés rentables sur lesquels investir. S'informer est par
conséquent devenu stratégique. Les Toscans riches d'un
réseau de succursales et de filiales s'unissent en 1357 pour fonder la
Scarsella dei mercanti fiorenti qui assure via Gênes en moins de
quinze jours un courrier hebdomadaire entre Florence et Avignon, la ville des
Papes, qui joue un rôle de collecteur d'information en provenance de
l'Europe entière.
Au XVème siècle, des axes de coopération
voient le jour entre les banquiers de Gênes, Florence et Plaisance et des
négociants à Pise et Venise.
Le relai portugais se fait jour en 1420 avec les caravelles
portugaises puis le mouvement sera prolongé par Christophe Colomb en
1492, puis par Vasco de Gama en 1497 et le périple autour du monde de
Magellan en 1519.
A la fin du XVème siècle, le centre
économique se déplace de l'Italie vers Anvers, puis au
XVIème siècle, vers Amsterdam qui s'affirme comme la capitale de
l'information et du savoir. Au XVIIème siècle, l'Angleterre prend
son essor avec, en 1600, la création de la Compagnie des Indes
Orientales à Londres.
A l'issue de la première et de la seconde
révolution industrielle, l'organisation des marchés
façonne l'entreprise moderne. En 1872, les Etats-Unis prennent leur
envol économique par la création de Général
Electric.
Les banques d'affaires occupent une place de plus en plus
importante et la banque Rothschild mettra en place un réseau
d'échange d'informations très développé et
très performant grâce notamment à leur présence
dans plusieurs capitales et à leurs amitiés. Une règle de
la banque
Rothschild qui conduira les affaires de celle-ci est la suivante
: « Etre informé et l'être avant les autres sur les
évènements, les techniques, les marchés, et savoir en
tirer parti ».
A partir de 1940, la place de l'information dans nos
sociétés évolue. Elle devient progressivement le moteur de
l'ensemble du développement technologique et économique. Les
mathématiciens Claude Edwood Shannon et Norbert Wiener, dans le cadre de
la construction cybernétique (science du contrôle et des
communications) permettent l'ajustement de l'information à la
réalité, en envisageant l'information comme étant l'outil
de l'adaptation incessante des systèmes organisés à leur
environnement. Claude Edwood Shannon et Norbert Wiener entendent par
systèmes organisés, les systèmes biologiques, techniques
ou sociaux.
Selon le modèle théorique walrassien (relatif
à l'oeuvre de l'économiste français Léon
Marie Esprit Walras), l'agent économique agit rationnellement
à tout moment puisqu'il dispose
d'une information pure et parfaite. Le cadre d'action de ce
dernier est celui d'un marché oüles prix se forment
naturellement par la libre confrontation de l'offre et de la demande.
Après la Seconde Guerre Mondiale, le renseignement
militaire sera également l'un des éléments fondateurs de
l'intelligence économique. La mise en oeuvre du plan marshall initiera
une compétition intense entre les entreprises américaines pour la
conquête des marchés liés à la reconstruction de
l'Europe. Elles devaient alors utiliser des moyens légaux de
renseignement. C'est ainsi qu'elles se sont inspirées des
méthodes du renseignement militaire, en supprimant les pratiques
illégales et en développant des techniques légales, telles
que le benchmarking. L'intelligence économique moderne est
née.
Durant la période, qui court de 1945 à nos jours,
l'information scientifique et technique a laissé la place à la
veille.8
Le premier pays à prendre conscience de la place de
l'information dans le développement économique et social est les
Etats-Unis. Dès 1945, les Etats-Unis élaborèrent et
concrétisèrent une stratégie de stimulation de
l'innovation et de la recherche. L'objectif poursuivi était de conserver
la supériorité technologique sur l'URSS, et plus
particulièrement dans les domaines spatiaux et nucléaires.
8 Hélène MASSON « Les fondements
politiques de l'intelligence économique » - Thèse des
sciences politiques - 2001
Entre 1950 et 1970, ces modèles sont remis en cause par
la démonstration qui tend à démontrer les limites de la
capacité d'information des acteurs économiques et la
nécessité d'y allouer des ressources.
C'est à cette époque que l'ère du
renseignement commercial s'achève pour céder la place à
une information scientifique et technique.
En 1958, le Clearinghouse du Department of Commerce (Chambre
de compensation du Département du Commerce). Cette organisation avait
permis la transmission aux chercheurs américains de documents
scientifiques et techniques allemands et japonais saisis par les militaires.
Elle devint l'organisme central de recueil et de diffusion des rapports de
recherche américains. Le rapport Weinberg en 1963, réaffirme que
l'information constitue la clé de voute de l'édifice
scientifique.
En 1971, le National Technical Information Service (NTIS)
coordonna la commercialisation des publications scientifiques et des
documentations politiques sur les pays étrangers. Au niveau
fédéral, le Président Nixon lança plusieurs
programmes dans le but de faciliter le transfert d'information entre la
communauté scientifique, les universités, les agences publiques
et le monde des acteurs industriels.
Entre 1960 et 1975, l'accroissement des capacités de
traitement et de mémorisation des ordinateurs, joint aux progrès
de la micro-informatique accélère l'intégration des
systèmes d'information. La création de grands centres de stockage
d'information et la création de bases de données par les
différentes agences consolida cet édifice institutionnel.
La question de la diffusion de l'information scientifique posa
immédiatement le problème de sa protection. Depuis la fin des
années 1970, plus de 200 lois furent élaborées. Le
Freedom of Information Act de 1966, permet aux citoyens et
étrangers d'avoir connaissance des documents de l'administration et des
agences. Toutefois, le gouvernement peut s'opposer à la divulgation de
documents sensibles ou touchants à la sécurité de l'Etat
Fédéral.
En France, à la fin des années 1970, la
diffusion de l'information des acteurs publics vers les acteurs privés
est quasiment nulle. La majeure partie des informations collectées par
les agences nationales ont pour objectif principal de renseigner la
sphère administrative. Les informations émanent d'organismes tels
que le Commissariat Général du Plan (CGP), l'Institut National de
la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE), des Postes
d'Expansion Economique (PEE), de la Direction des Relations
Economiques Extérieures DREE, du Centre Français du Commerce
Extérieur (CFCE), du Centre de Prospective et d'Evaluation (CPE), du
Ministère de la Défense, du Ministère des Affaires
Etrangeres, de l'Observatoire des Stratégies Industrielles du
Ministère de l'Industrie...
Le secteur privé ne peut tirer profit de l'ensemble de
ces informations. Cela rendra très difficile la création
d'acteurs économiques capables de concurrencer les
sociétés américaines sur le marché des banques et
des bases de données scientifiques et techniques, mais également
commerciales et financières.
En 1972, à l'initiative du Commissariat
Général du Plan, le réseau ARIST (Agences
Régionales pour l'Information Scientifique et Technique) est
créé, puis rattaché aux CCI, avec pour mission de
répondre aux besoins des PME.
La Mission Interministérielle de l'Information
Scientifique et Technique (MIDIST) est créée en 1979 pour
succéder au Bureau National de l'Information Scientifique et Technique
(BNIST) et propose de promouvoir la constitution de banques de données
et d'un système d'informatique documentaire français.
L'Etat Français tente de combler son retard en
matière de transmission de l'information et créé en 1975
le réseau TRANSPAC, premier réseau national de transmission par
paquets.
En 1984, les centres d'informations et de documentation du
CNRS, le CDST et le CDSH (Centre de documentation scientifique et technique et
le centre de documentation des sciences humaines) furent fusionnés,
après que ceux-ci aient mis sur pied les bases de données PASCAL
et FRANCIS. Les organisations fusionnées donnèrent naissance
à l'Institut Nationale de l'Information Scientifique et Technique.
Malgré différents rapports, l'information restera
inaccessible aux entreprises. Le rapport Lenoir sur l'information scientifique
et technique restera lettre morte.
La question de la compétitivité se posa
rapidement, et les investissements des entreprises dans l'immatériel
(ressources humaines, qualité, recherche et développement) se
révéla déterminant dans la capacité à
développer les entreprises. La capacité à recueillir de
l'information à la traiter est alors reconnu comme étant un
facteur décisif de la compétitivité des entreprises.
Au milieu des années 1980, il apparut clairement que
les nations les plus compétitives étaient celles qui mettaient
l'information à la disposition des entreprises et que le seul secteur
industriel ne pouvait justifier à lui seul de la
compétitivité d'une nation. L'adaptation du pays à un
environnement global était un facteur déterminant.
On dépasse alors la simple nécessité
d'une politique d'information scientifique et technique et, dans les
années 1980, on vit apparaître les termes de business
intelligence et environmental scanning. Ces termes venaient du
domaine de la stratégie d'entreprise et détaillaient la
démarche informationnelle en expression du besoin, collecte,
traitement-analyse et diffusion de l'information.
Ces outils étaient au service du développement
de l'entreprise. En France, l'équipe du Centre de Prospective et
d'évaluation du ministère de la Recherche et de la Technologie
considéra que l'Administration devait s'approprier cet outil qui
était dénommé « veille » ou « surveillance
de l'environnement ».
Toujours au milieu des années 1980, Michaël Porter
mettra au point une modélisation ambitieuse qui aboutira à des
conclusions applicables par l'entreprise et qui donnera tout son rayonnement
intellectuel à la Business Intelligence et à
l'Environmental scanning sous la formule de competitor
intelligence. L'objectif de la modélisation de Michaël Porter
est de donner à l'entreprise un avantage sur ses concurrents. Les axes
d'analyses de la modélisation de Michaël Porter, intitulés
les cinq forces de Porter sont les concurrents, les clients, les fournisseurs,
les nouveaux entrants potentiels et les fabricants de produits de substitution.
L'analyse de ces cinq forces nécessite un grand nombre d'informations et
cela justifie la mise en place d'un competitor intelligence system.
Ces démarches théoriques ont été
intégrées très rapidement dans les entreprises
américaines, puis déclinées en dispositifs
opérationnels. En France, elles furent traduites par le terme de «
veille » et la distinction en quatre principaux types de veille fût
créée. Sous l'impulsion d'Humbert Lesca, Jacques Morin,
François Jakobiak, Bruno Martinet et Jean-Michel Ribault, la
répartition des quatre types de veille a été la suivante :
concurrentielle, commerciale, technologique et environnementale.
Au lendemain des nationalisations de 1981, le Ministre de la
Recherche créé le CPE (Centre de Prospective et d'Evaluation)
avec trois missions :
- La veille technologique
- L'évaluation des recherches et des stratégies
industrielles - La prospective
Le CPE s'inspirait directement des méthodes et de
l'organisation du Centre de Prospective du Ministère de la
Défense. Les dirigeants du CPE ont recherchés à
dépasser les frontières de leur ministère de tutelle et
à diffuser leurs études parmi les acteurs publics et
privés.
L'expression « intelligence économique » sera
employée pour la première fois par Christian Harbulot dans le
bulletin de veille du CPE de février 1992.
En février 1994, le rapport Martre, intitulé
«Intelligence économique et stratégie des entreprises
» est publié sous l'égide du Commissariat
Général du Plan. Le rapport Martre visait essentiellement les
entreprises.
Il n'en sera pas de même dans le rapport de Bernard
Carayon « Intelligence économique, compétitivité,
cohésion sociale » qui préconise une intelligence
économique clairement pilotée par l'Etat pour relever les
défis liés à la mondialisation et à la
révolution de l'information engendrée par Internet et la
numérisation généralisée. La nomination d'Alain
Juillet au poste de Haut Responsable chargé de l'intelligence
économique a traduit dans les faits cette volonté politique.
Les grandes évolutions géostratégiques
que le monde a connues au cours des années 1990 (disparition du bloc de
l'est) ont modifié en profondeur les relations internationales et les
rivalités se sont dès lors concentrées sur champs
industriel, commercial et technologique. Les Etats-Unis ont dans leur rapport
Japan 2000, émis des mise en gardes sévères sur le
bouleversement de l'ordre international et sur le fait que les facteurs
économiques allaient devenir aussi important dans les relations
internationales, que pouvaient l'être les rapports de forces
militaires.
A partir de cette profonde mutation des équilibres
mondiaux, c'est désormais la capacité d'influence plutôt
que la capacité de coercition qui sera prépondérante et
qui fondera le pouvoir réel. L'intelligence économique est
née de la réponse aux cinq évolutions majeures suivantes
:
- La rupture de la logique des blocs de la guerre froide
- La guerre économique, où l'importance croissante
des rivalités commerciales dans le jeu global de la concurrence
- L'entrée des collectivités humaines dans la
société de l'information et l'économie de la
connaissance
- La mutation de l'esprit du capitalisme que nous voyons
s'opérer sous nos yeux
- L'utilisation offensive de l'information et de la connaissance
dans l'ordre politique et économique.
4.4 Existe-t-il une théorie sur le sujet de
l'intelligence économique ?
Il n'en existe pas à proprement parler. L'intelligence
économique emprunte des théories provenant de concepts
différents tels que la stratégie, le systeme d'information.
L'histoire de la naissance de l'intelligence économique
nous montre qu'un grand nombre de facteurs et de disciplines entrent dans le
cadre de celle-ci. L'émergence du concept et sa compréhension
font appel à de multiples champs scientifiques.
Le graphique suivant9 permet de mieux comprendre les
différentes interactions entre les différents axes et de faire
ressortir le caractere transdisciplinaire de l'IE.
Figure 3 - Caractère transdisciplinaire de
l'IE
9BULINGE F. « Pour une culture de l'information
dans les petites et moyennes organisations : un modèle
incrémental d'intelligence économique ». Laboratoire
Lepont - Université de Toulon-Var - 2002
4.5 L'Intelligence économique est-elle une
science ?
Selon Christian MARCON et Nicolas MOINET estiment dans leur
ouvrage « L'intelligence économique » que «
Après plus d'une décennie de publication d'ouvrages et de
communications scientifiques, il est raisonnable d'écrire qu'il existe
des acteurs en intelligence économique, des manuels d'intelligence
économique, des chercheurs et des théoriciens de l'intelligence
économique. L'intelligence économique existe en tant que mode
d'action et mode de pensée. Tout cela n'en fait pas encore une
discipline scientifique reconnue par les instances de la recherche, mais sans
doute en prenons nous tranquillement le chemin tant les notions clés de
l'intelligence économique s'ancrent dans les pratiques et suscitent un
intérêt grandissant dans la sphère académique
».10
Toutefois, l'intelligence économique s'appuie, dans la
construction de sa théorie, sur différents corpus que sont les
sciences de l'information et de la communication (SIC).
Les sciences de l'information et de la communication sont
considérées comme transdisciplinaires, celles-ci prenant leurs
fondements notamment dans les sciences économiques.
Bruno MARTINET et Y-M MARTI ont mis en place, dans leur
ouvrage « L'intelligence économique : Comment donner de la valeur
concurrentielle à l'information », une combinaison
mathématique permettant de calculer la valeur de l'information.
Ils définissent la valeur de l'information ainsi :
V.I. = (bonne analyse des besoins) x (pertinence des sources) x
(qualité de l'analyse) x (efficacité de la diffusion) x
(sécurité de l'information)11
Les sciences de la documentation, en développant des
méthodes de recherche, de classement, d'indexation sont également
l'une des composantes des sciences transversales qui viennent renforcer les
sciences de l'information et de la communication.
10 Christian MARCON & Nicolas MOINET
«L'intelligence économique » Editions DUNOD - 2006
11 Bruno MARTINET & Y-M MARTI «
L'intelligence économique : Comment donner de la valeur concurrentielle
à l'information » Editions d'Organisation - 2001
4.6 Composantes de l'intelligence économique
La plus grande partie des auteurs et chercheurs dont j'ai pu
lire les travaux et publications s'accordent sur une répartition des
composantes de l'intelligence économique qui sont les suivantes :
- Management de l'information et des connaissances
- Protection du patrimoine informationnel et des connaissances -
Influence et contre-influence
- Renseignement
- Veille
4.6.1 Management de l'information
Le management de l'information suppose l'organisation de
celles-ci. Les informations collectées seront stockées dans des
bases de données spécifiques et organisées à
l'intérieur d'un datawarehouse.
L'organisation de l'information favorisera son exploitation,
la recherche selon différents critères, la combinaison
d'éléments pour mettre en évidence une chaîne
d'information spécifique.
Les données peuvent être organisées par
exemple selon un modèle simplifié :
- date du recueil de l'information,
- date de l'information, - source utilisée,
- auteur,
- secteur d'activité,
- secteur géographique, - objet de l'information,
-
...
L'information collectée sera mise à disposition des
différentes parties prenantes de l'entreprise dans le but de leur donner
un avantage stratégique déterminant.
Le management de l'information sous-tends de mettre en place
un ensemble de processus de sécurisation du datawarehouse afin de ne pas
l'exposer à la convoitise externe et à la malveillance d'acteurs
externes à l'organisation.
Le processus de sécurisation nécessite de
déterminer quelles sont les informations critiques et quelles sont les
informations d'un niveau moindre.
L'information est une donnée brute. L'organisation de ces
données ne constitue pas la gestion des connaissances, mais est une
gestion de contenu.
L'information devient connaissance des lors qu'elle est
croisée avec l'expérience personnelle ou collective, que l'on y
insère un système de croyances ou des modèles
théoriques qui donnent un sens à l'information.
4.6.2 Management des connaissances
Le management des connaissances consiste à mettre en
oeuvre des méthodes et techniques visant à identifier, analyser,
organiser, mémoriser et partager des connaissances entre les membres
d'une même organisation et en particulier les savoirs
générés par l'entreprise ellemême ou les savoirs
acquis à l'extérieur de celle-ci en vue d'atteindre l'objectif
fixé.12
Le management des connaissances doit être distingué
de l'ingénierie des connaissances qui revêt un caractère
différent et qui fait référence à
l'ingénierie des systèmes intelligents.
La gestion des connaissances fait appel à
différentes disciplines telles que :
- La théorie des organisations
- Les sciences cognitives
- Les sciences sociales
- Les sciences de l'information et de la communication -
L'informatique
La théorie des organisations a pour but d'analyser les
organisations marchandes et nonmarchandes au niveau de leur fonctionnement, de
leur structure et de leur développement en vue de proposer des
améliorations.
12
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gestion_des_connaissances
Les sciences cognitives cherchent à décrypter
les mécanismes de la pensée humaine, animale ou artificielle et
plus généralement tous système complexe, capable de
collecter, traiter, conserver et transmettre de l'information.
Les sciences sociales étudient les aspects sociaux des
diverses réalités humaines. Les sciences sociales sont souvent
mises en opposition avec les sciences dites exactes.
4.6.3 Protection du patrimoine informationnel et des
connaissances
La protection de l'information et des connaissances de
l'entreprise s'articule autour de trois grands thèmes que sont :
- L'existence de procédures et de dispositifs de
protection
- La mise en oeuvre d'un devoir de discrétion des
collaborateurs sur les informations qu'ils détiennent
- La recherche, l'acquisition et le traitement de toute
information de nature à porter atteinte aux intérêts de
l'entreprise.
4.6.4 Influence et contre-influence
L'entreprise ne peut faire l'économie de la mise en oeuvre
d'une stratégie d'influence et de contre-influence.
L'influence nécessite :
- Une stratégie
- Une prospective
- Une perception de l'environnement - Des réseaux
d'alliance
Le monde économique est dominé par la
communication. Qu'elle soit légale par la communication des informations
économique liées à l'activité de l'entreprise,
qu'elle soit commerciale ou institutionnelle, il est nécessaire que
l'entreprise soit dotée d'une véritable politique d'influence.
Dans le jeu de l'influence, la presse et les médias
tiennent une place centrale. Ce vecteur de communication est toutefois
périlleux en raison des objectifs divergeant que poursuivent
l'entreprise et le journaliste. En effet, là où
l'entreprise cherche à communiquer, le journaliste recherche de
l'information.
La stratégie d'influence efficace est
conditionnée par différents facteurs tels que la maîtrise
de l'espace et du temps, la capacité à faire partager des
croyances sans que la cible ou le groupe cible n'en ait
conscience.13
L'entreprise doit être tres attentive et réactive
face aux tentatives de diffusion d'informations fausses, de rumeurs
infondées et se doit de réagir en conséquence. La
communication de crise est par conséquent un élément
important de l'influence et de la contre influence de l'entreprise.
4.6.5 Renseignement
Le renseignement peut se définir comme étant une
information non publique, non écrite, mais crédible. Une
donnée devient une information quand elle est captée et
affectée d'un sens. A ce titre, le monde est un champ d'informations qui
peuvent être interprétées et dédiées à
une personne. C'est alors qu'on peut parler de renseignement.14
4.6.6 La veille
Sous la terminologie « veille » nous allons retrouver
différents axes de recherche :
- la veille concurrentielle, - la veille technologique, - la
veille financière,
- la veille juridique.
4.6.6.1 La veille concurrentielle (et commerciale)
A pour objet de suivre les concurrents de l'entreprise, leur
stratégie, l'évolution de leur chiffre d'affaires, de leur offre
commerciale, de faire apparaître les changements dans l'expression de la
stratégie sur le terrain. En général et en pratique, cette
veille est réalisée par l'équipe commerciale.
L'information est fédérée par la Direction Commerciale de
l'entreprise. Les
13 « Influence et contre-influence »
Secrétariat Général de la Défense Nationale -
Mission du Haut Responsable à l'Intelligence Economique
14 Laurent JACQUET « Lexique du renseignement, de
l'information et de l'influence » L'esprit du livre éditions -
2009
sources qui sont utilisées par ces équipes sont
les informations véhiculées par les clients de l'entreprise, les
informations recueillies en rendez-vous avec des prospects, la consultation des
sites internet des concurrents, la consultation de bases de données
commerciales légales.
4.6.6.2 La veille technologique
Vise à suivre les évolutions technologiques du
secteur de l'entreprise. Les sources d'informations sont nombreuses et
diverses. Sans que l'énuméré suivant soit exhaustif,
internet constitue une source importante d'information. Les rapports annuels
des grandes entreprises font part des innovations et des secteurs innovants
vers lesquels se dirigent ces sociétés. La veille technologique
permet également à l'entreprise de se protéger du risque
d'utilisation involontaire d'une technologie existante et
protégée par un brevet.
4.6.6.3 La veille financière
S'appuie sur les publications légales des entreprises
auprès des Greffes des Tribunaux de Commerce, de l'AMF (Autorité
des Marchés Financiers) qui enregistre les rapports annuels des
entreprises cotées. L'analyse de ces documents permettra d'obtenir des
renseignements précieux sur les concurrents du secteur (taux
d'endettement, provisions pour risques...). Le contexte actuel de crise
financière et économique de grande ampleur rend cette veille
très intéressante pour l'entreprise. Le croisement avec les
autres informations recueillies par l'entreprise, sur la veille concurrentielle
et sur la veille technologique permet à l'entreprise de bâtir un
référentiel concurrentiel très affiné.
4.6.6.4 La veille juridique
Vise à collecter diverses informations qui permettront
aux décideurs d'observer et de décrypter l'environnement
juridique de l'entreprise et, dans une autre mesure, de collecter de
l'information sur les entreprises concurrentes telles que les
dépôts de marques, de brevets, de statuts. L'observation des
modifications apportées aux statuts telles que le changement du
périmètre capitalistique, l'adjonction, la modification, le
retrait d'articles spécifiques, peut permettre de déceler un
changement stratégique initié par les dirigeants et actionnaires
d'une entreprise. La recherche de décisions du Conseil de la Concurrence
est également une source d'information intéressante en raison du
détail et de la motivation des décisions qui sont prises par
cette instance.
5. Partie 2 : Terrain et méthode
La premiere partie de l'étude m'a permis d'aborder les
différentes composantes de l'intelligence économique, de retracer
son histoire, de la plus ancienne au passé le plus récent et de
détailler les différents axes ou formes d'approches que peut
prendre le concept d'intelligence économique.
Cette seconde partie, terrain, a été mené en
sollicitant un ensemble de 460 entreprises, issues de tous horizons
économiques.
J'ai utilisé partiellement le questionnaire
conçu par Sophie LARIVET auquel j'ai ajouté différentes
questions me permettant d'apporter les réponses plus spécifiques
relatives à la problématique retenue dans le cadre de mon
mémoire. Sur cette base, 75 entreprises ont répondu au
questionnaire.
5.1 Présentation du secteur du terrain
La base de données d'entreprises constituée pour
l'occasion a été axée sur la plus large définition
de la PME, à savoir les PME de 1 à 500 salariés.
Le découpage tel qu'il est retenu par la reglementation
française est le suivant :
- 1 à 19 salariés : TPE
- 20 à 249 salariés : PME
- 250 à 4 999 salariés : Entreprises de taille
intermédiaire
- Plus de 5 000 salariés : Grandes entreprises
J'ai pris la liberté de regrouper, sous la terminologie
de PME, les TPE et d'intégrer une partie des Entreprises de taille
intermédiaires afin de comparer d'un point de vue statistique,
l'approche des entreprises que l'on peut considérer comme les moins
structurées (en raison du niveau de ressources plus limitées) et
les entreprises de 250 à 500 salariés, en raison du fait que
celles-ci se veulent plus structurées du fait de leur taille et
disposant de ressources plus importantes.
Je me suis limité à un secteur géographique
représentant le Poitou-Charentes et j'ai sollicité des
entreprises du secteur commercial (négoce), industriel et des
services.
La répartition des secteurs d'activité
(comptabilisé en fonction des réponses obtenues) est la suivante
(tableau 7.76)
Quel est le secteur d'activité de votre entreprise
?
|
Total
|
Administration
|
1
|
Assurance
|
1
|
Bâtiment
|
6
|
Industrie
|
9
|
Commerce / Artisanat
|
5
|
Vins & Spiritueux
|
3
|
Transport
|
5
|
Service aux entreprises
|
9
|
Sans affectation
|
36
|
Total général
|
75
|
5.2 Positionnement épistémologique,
méthodologique, structure du questionnaire
5.2.1 Positionnement épistémologique
Le positionnement épistémologique que j'ai choisi
s'inscrit dans une démarche positiviste.
Pour les positivistes, il existe une essence propre à
l'objet de la connaissance. La connaissance est engendrée par la
découverte et les recherches effectuées sont formulées en
termes de « pour quelles causes... ». La démarche se veut
causale et déductive.
Le statut privilégié est l'explication. La valeur
de la connaissance et ses critères de validité sont la
vérifiabilité, la confirmabilité et la
réfutabilité.15
L'objet de ma recherche est de confirmer si les collaborateurs
de l'entreprise sont le maillon faible dans la sécurisation des
données commerciales de l'entreprise et à ce titre, le
questionnaire a pour but de collecter des informations qui viendront valider ou
invalider la théorie.
5.2.2 Positionnement méthodologique
La méthodologie employée dans le cadre de mon
mémoire regroupe les deux méthodes de l'enquête qualitative
et quantitative.
15 GIROD-SEVILLE et PERRET V. « Fondement
épistémologique de la recherche » - 1999
- Questions quantitatives permettant une approche statistiques de
la problématique exposée et d'en tirer une tendance offrant des
possibilités de conclusion
- Questions qualitatives ayant pour but de découvrir,
en laissant la parole aux personnes ayant répondu au questionnaire, quel
est leur conception de l'intelligence économique et quelle est la
définition qu'ils pourraient donner de l'intelligence
économique
5.2.3 Structure du questionnaire
Le questionnaire envoyé aux 450 personnes
sollicitées est composé comme suit :
- 80 questions
- 8 groupes de questions
o Gestion de l'information (Groupe 1)
· 11 questions
· Le concept d'IE a-t-il un intérêt et les
personnes ayant répondu
pratiquent (leurs entreprises) pratiquent-elle l'IE ?
o Gestion de l'information (Groupe 2)
· 9 questions
· Quels sont les supports de l'IE, sont-ils en lien avec la
stratégie de l'entreprise et comment ?
o Ethique en matière d'information
· 8 questions
· Quel est le degré de conscience de l'entreprise en
matière d'IE et de risque ?
o Anticipation de l'avenir
· 4 questions
· Quel est la posture de l'entreprise face aux
évolutions technologiques et mutations de son environnement ?
o La gestion de votre entreprise
· 19 questions
· Comment l'entreprise se comporte-t-elle dans son
environnement quotidien et comment l'information circule-t-elle ?
o Votre perception de l'environnement de l'entreprise et vos
actions
· 14 questions
· L'entreprise est-elle agile ?
o Quelle est votre conception de l'intelligence
économique ?
· 3 questions
· Pour l'entreprise, le concept d'intelligence
économique finalement, c'est quoi ?
o Fiche signalétique du répondant
· 12 questions
Le fil conducteur de l'enquête peut se résumer
selon le diagramme suivant :
Figure 4 - Fil conducteur de l'enqu~te
5.2.4 Réalisation de l'enquête
J'ai réalisé l'enquête en m'appuyant sur
le logiciel Lime Survey. Ce logiciel est un logiciel libre permettant de
construire des enquêtes quantitatives et qualitatives puis, de les
publier sur
un serveur web. Chaque enquête est liée à
une base de données de correspondants que l'on invite à venir
répondre.
Grace à cet outil j'ai pu solliciter un ensemble de 460
correspondants et obtenir 75 réponses au questionnaire
proposé.
L'enquête a été réalisée entre
le 28 février et le 8 avril 2011 5.2.5 Analyse des
résultats
J'ai effectué l'analyse des résultats à
partir de la base de données constituée par l'enquête
réalisée.
Les réponses liées aux questions de type
quantitatif ont été croisées sous Excel en utilisant les
fonctions de tableaux croisés dynamiques.
Les réponses liées aux questions de type
qualitatif ont été analysées statistiquement en utilisant
le logiciel QSR Nvivo9.
6. Partie 3 : Résultats et discussions
Les résultats obtenus sont analysés en trois
groupes. Le premier groupe de questions analysées a pour objectif de
déterminer quel est la définition et la compréhension de
l'intelligence économique dans les PME. Le second groupe vise à
comprendre quel est l'état de l'art dans les entreprises sondées.
Le troisième groupe a pour objectif de répondre directement
à la problématique exposée : « Les collaborateurs de
la PME sont-ils le maillon faible dans la sécurisation des informations
commerciales ? »
6.1 Définition de l'intelligence
économique par les personnes sondées
ID de réponse
|
Définition
|
2
|
Ensemble d'outils et de moyens visant à parfaire sa
connaissance du contexte concurrentiel
|
3
|
Influence sur les décideurs, lobbying Recueil
d'informations marché
environnements, concurrents via des procédés
structurés à la limite de ce qui est possible
légalement
|
6
|
être compétitif
|
9
|
moyens mis en oeuvre pour la gestion de l'entreprise:
anticipation, orientation, type de management, gestion de l'information...
|
10
|
Analyse de l'environnement économique de l'entreprise
dans le but d'identifier les perspectives à venir et définir la
stratégie de développement de l'entreprise
|
12
|
Ecoute marché, veille techno, présence terrain
|
14
|
anticiper plutôt que de subir les évolutions
technologiques, règlementaires et sociétales. protéger ses
données et ses techniques et ses savoirs faire. faire partager ses
convictions par une communication pertinente
|
15
|
Obtention d'informations sur les entreprises concurrentes,
sur le marché et sur la technologie par une veille systématique
mobilisant complètement un ou plusieurs collaborateurs.
|
18
|
Comprendre les enjeux et mutation techniques,
économiques, sociales,
sociétales et concurrentielles
|
23
|
l'intelligence économique est un processus qui
consiste par rapport marché, aux informations collectées en
interne et en externe, aux différentes veilles effectuées,
à s'adapter parfaitement à son secteur d'activité.
|
|
27
|
l'ensemble des activités de collecte, de traitement et de
diffusion de
l'information
|
28
|
L'intelligence économique est à pratiquer en
premier lieu en interne pour : - optimiser l'outil de production pour diminuer
les coûts de fabrication - optimiser les coûts de fonctionnement -
optimiser la réactivité En second lieu en externe pour : -
Connaitre le marché - Connaitre les concurrents et leurs produits -
Connaitre les tendances
|
30
|
L'intelligence économique est l'ensemble des actions
coordonnées de recherche, de traitement et de distribution, en vue de
son exploitation, de l'information utile aux acteurs économiques. Ces
diverses actions sont menées légalement avec toutes les garanties
de protection nécessaires à la préservation du patrimoine
de l'entreprise, dans les meilleures conditions de délais et de
coûts. L'information utile est celle dont ont besoin les
différents niveaux de décision de l'entreprise, pour
élaborer et mettre en oeuvre de façon cohérente la
stratégie et les tactiques nécessaires à l'atteinte des
objectifs définis par l'entreprise dans le but d'améliorer sa
position dans son environnement concurrentiel.
|
33
|
rester efficace
|
35
|
je ne connais pas ce terme
|
37
|
Gérer son entreprise en fonction du marché, des
ressources de l'entreprise et des possibilités de croissance
|
42
|
c'est la capacité d'une personne physique ou morale
à transformer ses contraintes et celles de son environnement en
atout.
|
45
|
veiller, protéger, influencer
|
46
|
optimiser la collecte, l'analyse, le traitement et la
diffusion de l'information afin d'acquérir et de développer la
meilleure stratégie pour l'entreprise et son environnement
|
48
|
partage, anticipation, réflexion, communication,
action
|
50
|
collecte ou diffusion d'informations dans le but de constituer
une stratégie pour l'entreprise
|
51
|
le concept de collecte d'informations permettant une prise de
décision par les personnes sur des sujets économiques.
|
52
|
C'est pas plus cher d'être intelligent que con ! Sinon
pour moi c'est un mélange de veille et de compréhension sur
son environnement compétitif, et de paranoïa
|
|
|
car les moyens pour y arriver sont parfois douteux...
|
53
|
Aucune idée
|
56
|
Savoir percevoir, anticiper, analyser et pratiquer les
différents facteurs
économiques ayant un trait avec l'entreprise d'une
manière directe ou non.
|
60
|
analyse des positions sectorielles, des besoins, des
capacités économiques et pouvoirs d'achats, des
réactivités, des opportunités
|
62
|
de diminuer les couts sur la production où c'est
nécessaire sans altérer la qualité du travail. Même
production de même qualité à moindre coût
|
63
|
être en veille sur les évolutions
sociétales, économiques et règlementaires mais aussi sur
les outils de protection des données
|
64
|
collecte et utilisation des informations
|
65
|
la veille ; prévoir ; bâtir une
stratégie.
|
67
|
Analyse profonde des nouveaux produits et des nouvelles
applications
développés par les concurrents en identifiant
leurs forces, faiblesses, technologie et surtout leurs
éléments différenciant aux nôtres
|
69
|
Depuis 2008 crise pétrolière 2009 crise
financière et économique, il est difficile de donner une
définition de l'intelligence économique. Tous les
paramètres et ratios économiques connus ont été
d'une inefficacité totale devant un tel désastre sur les
années que nous venons de passer. Je serai intéressé de
savoir les règles à mettre en place sur la définition de
l'intelligence économique.
|
71
|
essayer de comprendre ce qui se passe dans l'économie
locale, régionale, nationale
|
74
|
Celle de Christian Harbulot correspond assez bien à ma
vision de l'IE dans le cadre de mon domaine d'activité :
communication d'influence, communication de concertation. «
L'intelligence économique se définit comme la recherche et
l'interprétation systématique de l'information
accessible à tous, afin de
décrypter les intentions des acteurs et de
connaître leurs capacités. Elle
comprend toutes les opérations de surveillance de
l'environnement concurrentiel (protection, veille, influence) et se
différencie du renseignement traditionnel par : la nature de son champ
d'application, le respect d'une déontologie crédible,...
L'identité de ses acteurs... ses spécificités culturelles,
..."
|
76
|
La mise en oeuvre de moyens permettant de
récupérer les informations
|
|
|
nécessaires au repositionnement commercial de
l'entreprise de manière régulière
|
78
|
La mise en oeuvre de moyens permettant de
récupérer les informations nécessaires au
repositionnement commercial de l'entreprise de manière
régulière
|
82
|
Pas de définition
|
84
|
anticiper, innover, être curieux, savoir écouter
|
|
Représentations graphiques issues d'une requête de
fréquence des mots
Tableau 7.1 : Requête de fréquence des
mots
Tableau 7.2 : Requête de fréquence des
mots
Tableau 7.3 : Requête de fréquence des
mots
Sur les deux matrices issues d'une requête de
fréquence des mots, avec pour pivot la terminologie économique,
les termes « entreprises, information, marché, moyens,
stratégie, veille, collecte » sont les plus employés et
reviennent dans les définitions proposées par les personnes
sondées.
En regroupant ces principaux vocables, nous pouvons proposer une
définition reprenant l'ensemble des terminologies employées par
les personnes sondées :
L'intelligence économique est un ensemble de
moyens à disposition des entreprises en vue de collecter de
l'information pour établir ou valider la stratégie de
l'entreprise dans le but de la performance sur son marché.
Cette définition que je propose est à
rapprocher des définitions proposées par LEVET et PATUREL en 1996
sur l'intelligence économique : «Collecte et interprétation
de l'information économique en vue d'une action économique
immédiate ou ultérieure, individuelle ou collective » ou de
la définition de l'IE et stratégique proposée par BOURNOIS
et ROMANI en 2000 « Démarche organisée, au service du
management stratégique de l'entreprise, visant à améliorer
sa compétitivité par la collecte, le traitement d'informations et
la diffusion de connaissances utiles à la maîtrise de son
environnement (menaces et opportunités)... ».16
16 Sophie LARIVET « Intelligence
économique - Enquête dans 100 PME » Editions L'Harmattan
- 2009
6.2 Quelle est la conception de l'intelligence
économique pour les personnes sondées ?
ID de réponse
|
Définition
|
2
|
Rechercher de l'information sur les concurrents, sur le
marché, sur les offres concurrentes
|
3
|
Nécessaire pour groupes internationaux ou PME sur des
marchés de très haute technologie
|
6
|
nous devons être compétitifs vis-à-vis des
concurrents
|
9
|
gestion participative de l'ensemble des salariés
|
10
|
Chaque force vive de l'entreprise peut et doit s'investir dans
cette analyse
|
17
|
Je ne sais pas
|
18
|
Système de veille structuré et partagé
|
22
|
vous vous prenez bien la tête avec des termes superflus !!
quand vous êtes a la tête d'une PME, c'est le pragmatisme et la
volonté de bien faire et de réussir qui sont les
éléments majeurs ; et non, comme le disait Michel Hidalgo : un
con debout et qui court, va plus vite que 10 intellectuels assis!!!
|
23
|
L'IE est simplement un terme qui permet de mettre en place une
stratégie "idéale" par rapport à un projet avec l'aide
d'outils spécifiques : - Quid du Marché global - Quid de
l'environnement et ses évolutions - Veille concurrentielle - Veille
Presse - Centre de ressources
|
27
|
S'adapter en permanence avec les outils actuels dans
l'environnement économique de l'entreprise
|
28
|
L'intelligence économique est à pratiquer en
premier lieu en interne pour : - optimiser l'outil de production pour diminuer
les coûts de fabrication - optimiser les coûts de fonctionnement -
optimiser la réactivité de l'entreprise En second lieu en externe
pour : - connaitre le marché - connaitre les attentes des clients -
connaitre les concurrents et leurs produits - connaitre les normes et les
évolutions
|
30
|
L'efficience avant tout !
|
33
|
Allier efficacité et rentabilité
|
35
|
Je ne connais pas ce terme
|
37
|
Gérer en fonction de tous les paramètres
|
|
42
|
La remise en question perpétuelle
|
48
|
Anticipation et partage des informations
|
50
|
Collecte ou diffusion d'informations dans le but de constituer
une stratégie pour l'entreprise
|
51
|
Le système d'information de l'entreprise doit être
capable de s'occuper de la collecte
|
52
|
Déjà répondu sur la question d'Avant me
semble-t-il ? J'ajoute que la vigilance sur la confidentialité en est
une composante importante, passant notamment par la sécurité
informatique ... Et l'usage des broyeurs avant la corbeille !
|
60
|
Pas formalisé à ce jour
|
63
|
Etre en avance sur la concurrence sur les évolutions
citées ci avant pour prendre " le train au départ"
prévenir plutôt que subir
|
64
|
Difficile à mettre en place et à pérenniser
dans les très petites structures
|
65
|
Importante mais mal "diffusée" pour les PME; impression
que réservé aux grandes entreprises
|
67
|
Je ne vois pas trop la réelle différence à
la question précédente. Mais l'idéal, dans nos
métiers, est d'avoir une personne R&D qui analyse tous les nouveaux
brevets déposés dans nos métiers et qui participent
à un certain nombres de salons, colloques... à l'international
pour identifier les futurs besoins de nos clients dans l'industrie (ergonomie
des postes, performances...) Donc en résumé: - Veille
technologique de nos concurrents - Applications des autres nouvelles
technologies à nos métiers - Analyse de l'évolution
marketing pour anticiper l'évolution de la demande
|
78
|
Pas de définition
|
81
|
Pas de conception
|
84
|
Savoir mettre en application les définitions
précédentes
|
|
Tableau 7.4 : Requête de Fréquence des
mots
Tableau 7.5 : Requête de fréquence des
mots
Sur ce second axe d'analyse que représente la conception
de l'IE pour les personnes sondées, les termes principaux restent les
mêmes que dans les définitions proposées.
Seul le terme concurrent est proposé avec une
fréquence plus élevée que dans la définition.
Ainsi, la référence aux concurrents apparaît en
7ème position contre une 30ème position
dans la définition de l'IE.
Le terme environnement est quand à lui
rétrogradé de la 8ème place à la
14ème place. Quelle conclusion peut être
tirée de cette modification d'approche ?
Les définitions de l'IE proposées par les
personnes sondées n'entraînent pas le raisonnement sur le champs
de la concurrence et de la confrontation avec les concurrents. En revanche,
dés que l'on entre dans le concept, qui peux revétir des contours
moins flous, la référence à la concurrence de l'entreprise
est beaucoup plus marquée. Dans le même temps, l'environnement de
l'entreprise est moins présent.
Toutefois, les deux éléments ne s'opposent pas
mais viennent se compléter efficacement pour donner un ensemble concret
de terminologies permettant de comprendre le concept et la portée de
l'intelligence économique.
6.3 Etat de l'art dans les entreprises sondées
Les questions relatives à l'appréhension de
l'état de l'art dans les entreprises sont regroupées dans les
sections « La gestion de l'information (Groupe 1) » et « La
gestion de l'information (Groupe 2) ».
Au total, 20 questions sont définies dans ces deux
groupes, numérotées de Q1_1 à Q1_20.
Les Questions Q11 et Q12, sur
le theme de l'échange de l'information avec des tiers, montrent que les
personnes sondées échangent de assez souvent à très
souvent, à hauteur de 85 % des informations avec d'autres chefs
d'entreprises (tableau 7.6) alors que la tendance s'inverse totalement des lors
qu'il s'agisse d'échanger des informations avec des concurrents, puisque
de assez souvent à souvent, 37 % des personnes sondées
échangent de l'information en situation concurrentielle (tableau
7.7).
Il m'a semblé intéressant de chercher à
déterminer s'il existe une corrélation sur la typologie ou sur le
secteur d'activité des entreprises échangeant des informations
tout en étant en concurrence. Il n'existe pas de corrélation
significative sur ce point, les entreprises appartenant à des secteurs
d'activités aussi différents que le service, le bâtiment ou
l'industrie.
Les questions Q13 à
Q15, sont relatives à la fréquence avec
laquelle les personnes sondées vont rechercher de l'information, sur des
axes aussi différents que la technologie, les parties prenantes de
l'entreprise ou sur l'environnement général de l'entreprise. Dans
les trois themes abordés sur les questions suivantes :
- vous vous tenez informé des dernières
innovations (tableau 7.8),
- vous vous tenez informé de ce qui se passe dans votre
secteur d'activité (fournisseurs, clients, concurrents...) (tableau
7.9),
- vous vous tenez au courant de ce qui se passe dans
l'environnement global de l'entreprise (tendances sociales, juridiques,
économiques...) (tableau 7.10).
Les réponses sont très supérieures à
80 % avec respectivement 88 %, 98 % et 89 %.
Cela permet de conclure que les dirigeants, cadres et
responsables de services ayant répondu au questionnaire, recherchent une
information pertinente, récente, avec une fréquence
élevée de recherche.
Les questions Q17 à
Q19, font apparaître quelle est la part de
l'utilisation des nouvelles technologies dans la collecte, la diffusion et la
gestion de l'information.
Sur l'axe de la recherche d'information, le principal vecteur
utilisé, à hauteur de 93 %, est l'internet. Seulement 2 % des
personnes sondées n'utilisent jamais l'internet dans la recherche
d'information et 5 % n'utilisent que rarement ce moyen de rechercher de
l'information (tableau 7.12).
La diffusion de l'information dans l'entreprise s'appuie sur
un intranet pour 63 % des personnes sondées. En revanche, pour 29 % des
personnes ayant répondu au questionnaire, la diffusion de l'information
ne s'appuie jamais sur un intranet (tableau 7.13).
Enfin, 56 % des personnes sondées utilisent un
logiciel spécifique pour la gestion de l'information (de assez-souvent
à très souvent (cette réponse représente 35 % du
global)) alors que 29 % n'utilisent jamais un logiciel spécifique pour
la gestion de l'information dans leur entreprise (tableau 7.14).
La question Q110 permet de connaitre
si les informations recueillies par les collaborateurs de l'entreprise sont
retranscrites. Pour 45 % des personnes sondées, les données
recueillies ne font l'objet d'aucune retranscription, sur aucun support, pour
51 % les données recueillies sont assez-souvent à souvent
retranscrites et pour seulement 3 % elles sont très souvent
retranscrites (tableau 7.15).
Concernant la thématique du dépôt de
brevets traitée dans la question Q111,
aucune des personnes ayant répondu ne dépose « très
souvent » des brevets (c'est-à-dire, selon la convention de
notation, plusieurs fois par semaine). En revanche, 2 % des personnes
sondées déclarent déposer souvent des brevets
(c'est-à-dire avec une fréquence de plusieurs fois par mois). 69
% des sondés ne déposent jamais de brevets et 29 %
déposent très rarement à assezsouvent des brevets (tableau
7.16).
Les questions Q112 à Q120 ont
pour but de comprendre comment l'information circule dans l'entreprise,
comment et par qui elle est collectée et comment elle diffusée.
Dans le processus de collecte de l'information globalement, l'information
est plutôt collectée par le
Chef d'Entreprise et par les cadres avec respectivement 88 %
et 85 % de collecte (de assezsouvent à très souvent) alors que
les employés participent à 61 % à la collecte de
l'information sur le même critère de regroupement.
La diffusion de l'information est également un domaine
privilégié du Chef d'Entreprise et des cadres avec respectivement
96 % et 80 % sur les mêmes critères que la collecte de
l'information. Les employés sont quant à eux responsables
à 53 % de la diffusion de l'information (tableaux Q1_12 à
Q1_20).
6.3.1 Conclusion de la série de questions sur
l'état de l'art dans les entreprises sondées
La collecte et la diffusion de l'information est
concentrée entre les mains de la Direction de l'Entreprise, au sens
large du terme. Une fois l'information collectée, elle ne fait l'objet
d'aucun stockage pour 45 % des personnes sondées. Cela signifie que
l'information qui a un instant T a été entre les mains de
personnes de l'entreprise est perdue, puisque non répertoriée et
stockée.
La démarche de structuration permanente de
l'information collectée ne touche que 3 % de l'information
recueillie.
La collecte et l'échange d'information se concentre
presque exclusivement sur des données opérationnelles, mais la
circulation de l'information se trouve nettement dégradée des
lors que l'entreprise en phase d'échange de données se trouve en
situation concurrentielle.
Sur l'aspect légal de la collecte et de la diffusion
d'informations, 48 % des personnes sondées ne sont pas
sensibilisées à cette problématique et 31 % se disent
assez-souvent en situation de connaître les limites légales de
leurs actes. Seulement 21 % connaissent les limites légales de leurs
actions. En rapprochant ce point essentiel dans la démarche
d'intelligence économique, force est de constater que l'un des
fondements de base de la mise en oeuvre d'un système d'intelligence
économique est globalement méconnu.
Dans le même temps, les entreprises sont plutôt
bien sensibilisées à la problématique de
sécurisation de l'information (cela représente 71 % des personnes
sondées).
L'internet entre en grande partie dans le processus de collecte
et de recherche de l'information.
Tableau de synthèse des réponses aux
questions Q1 à Q20
Questions
|
Jamais
|
Très rarement
|
Rarement
|
Assez souvent
|
Souvent
|
Très souvent
|
Vous échangez des informations avec d'autres
chefs d'entreprises
|
3
|
5%
|
4
|
6%
|
3
|
5%
|
31
|
47%
|
14
|
21 %
|
11
|
17%
|
Vous échangez des informations avec des
concurrents
|
12
|
18%
|
12
|
18%
|
18
|
27%
|
19
|
29%
|
5
|
8%
|
-
|
-
|
Vous vous tenez informé des dernières
innovations
|
1
|
2%
|
1
|
2%
|
6
|
9%
|
31
|
47%
|
20
|
30%
|
7
|
11%
|
Vous vous tenez informé de ce qui se passe dans votre
secteur d'activité (fournisseurs, clients, concurrents...)
|
1
|
2%
|
-
|
-
|
-
|
-
|
21
|
33%
|
21
|
33%
|
21
|
33%
|
Vous vous tenez au courant de ce qui se passe dans
l'environnement global de l'entreprise (tendances sociales, juridiques,
économiques...)
|
1
|
2%
|
1
|
2%
|
5
|
8%
|
22
|
35%
|
21
|
33%
|
13
|
21%
|
Vous connaissez les forces et faiblesses propres à votre
entreprise et abordez la question
|
1
|
2%
|
-
|
-
|
7
|
11%
|
28
|
45%
|
22
|
35%
|
4
|
6%
|
Dans votre entreprise la recherche d'information
s'appuie sur internet
|
1
|
2%
|
-
|
-
|
3
|
5%
|
9
|
15%
|
25
|
40%
|
24
|
39%
|
|
Questions
|
Jamais
|
Très rarement
|
Rarement
|
Assez souvent
|
Souvent
|
Très souvent
|
Dans votre entreprise, la diffusion de l'information s'appuie
sur un intranet
|
18
|
29%
|
3
|
5%
|
2
|
3%
|
7
|
11%
|
13
|
21%
|
19
|
31%
|
Votre entreprise utilise des logiciels
spécifiques pour la gestion de l'information
(collecte, traitement, stockage...)
|
18
|
29%
|
3
|
5%
|
6
|
10%
|
6
|
10%
|
7
|
11%
|
22
|
35%
|
Les salariés de votre entreprise écrivent
des rapports relatant les informations recueillies par eux
|
10
|
16%
|
10
|
16%
|
8
|
13%
|
17
|
28%
|
14
|
23%
|
2
|
3%
|
Vous déposez des brevets
|
42
|
69%
|
10
|
16%
|
5
|
8%
|
3
|
5%
|
1
|
2%
|
-
|
-
|
Dans votre entreprise, l'information circule vite
|
-
|
-
|
-
|
-
|
6
|
10%
|
20
|
34%
|
26
|
44%
|
7
|
12%
|
Vous connaissez les limites légales en matière
d'information (collecte, diffusion...)
|
4
|
7%
|
2
|
3%
|
22
|
38%
|
18
|
31%
|
9
|
16%
|
3
|
5%
|
Votre entreprise est sensibilisée au problème
de
sécurité de l'information
|
1
|
2%
|
7
|
12%
|
9
|
16%
|
16
|
28%
|
18
|
32%
|
6
|
11%
|
Personnellement en tant que Chef d'Entreprise ou de
responsable du système d'information, vous participez à la
collecte de l'information
|
-
|
-
|
-
|
-
|
7
|
12%
|
17
|
30%
|
21
|
37%
|
12
|
21%
|
|
Questions
|
Jamais
|
Très rarement
|
Rarement
|
Assez souvent
|
Souvent
|
Très souvent
|
Personnellement, en tant que Chef d'Entreprise ou de
responsable du système d'information, vous participez à la
diffusion de l'information
|
-
|
-
|
1
|
2%
|
1
|
2%
|
11
|
19%
|
30
|
53%
|
14
|
25%
|
Les cadres de votre entreprise participent à la
collecte de l'information
|
5
|
9%
|
2
|
4%
|
2
|
4%
|
16
|
28%
|
22
|
39%
|
10
|
18%
|
Les cadres de votre entreprise participent à la
diffusion de l'information dans l'entreprise
|
5
|
9%
|
2
|
4%
|
4
|
7%
|
15
|
26%
|
23
|
40%
|
8
|
14%
|
Les employés de votre entreprise participent à
la
collecte de l'information
|
-
|
-
|
6
|
11%
|
16
|
28%
|
16
|
28%
|
16
|
28%
|
3
|
5%
|
Les employés de votre entreprise participent à la
diffusion de l'information dans l'entreprise
|
1
|
2%
|
9
|
16%
|
17
|
30%
|
13
|
23%
|
13
|
23%
|
4
|
7%
|
|
Tableau 7.77
6.4 L'éthique en matière
d'information
L'une des questions qui me semble intéressante est de
déterminer si l'éthique est l'apanage des organisations de grande
taille, de petite taille ou si le comportement éthique ou non en
matière d'information est partagé entre les différentes
typologies d'entreprises.
La question Q2_1 (tableau 7.26) est croisée avec la
question Q7_1 (tableau 7.72) et la matrice de réponses obtenues est la
suivante :
Question Q2_1
Sur Les questions d'éthique, en matière
d'information, où vous situez vous ?
|
Nombre de salariés
|
|
1 à 9
|
1 à 19
|
1 à 49
|
1 à 100
|
1 à 200
|
1 à 500
|
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
Ce thème ne nous intéresse
pas
|
2
|
4
|
-
|
-
|
4
|
8
|
3
|
6
|
2
|
4
|
1
|
2
|
-
|
-
|
Nous comptons nous y intéresser un jour
|
-
|
-
|
1
|
2
|
3
|
6
|
3
|
6
|
2
|
4
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Nous possédons une charte d'éthique et
contrôlons son respect
|
1
|
2
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
1
|
2
|
-
|
-
|
1
|
2
|
Nous possédons une charte d'éthique traitant
des recherches d'informations
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Un début de réflexion a été
mené
|
-
|
-
|
3
|
6
|
4
|
8
|
2
|
4
|
3
|
6
|
1
|
2
|
-
|
-
|
Une réflexion poussée, mais non formalisée
a été menée
|
1
|
2
|
-
|
-
|
3
|
6
|
-
|
-
|
1
|
2
|
1
|
2
|
2
|
4
|
Totaux colonnes
|
4
|
8%
|
4
|
8%
|
14
|
28%
|
8
|
16%
|
9
|
18%
|
3
|
6%
|
3
|
6%
|
Total général
|
45
|
|
Tableau 7.78
L'éthique en matière d'information est une
thématique pour laquelle 24 % des personnes ayant répondu
n'éprouvent aucun intérêt et ne pensent pas s'y
intéresser un jour. En revanche 18 % des personnes sondées ne s'y
intéressent pas, mais pensent s'y intéresser un jour.
Cela signifie qu'au moment où l'enquête a
été soumise aux différents sondés, 42 % des
personnes ayant répondu ne sont absolument pas sensibilisés
à la problématique en matière d'information. Toutes les
tranches d'entreprises sondées sont dans cette dynamique, à
l'exception des entreprises de 200 à 500 salariés.
En revanche, aucune des entreprises sondées ne dispose
d'une charte d'éthique traitant des recherches d'informations.
Pour toutes les entreprises, un début de
réflexion a été mené (réflexion simple ou
poussée). Cela représente 42 % des entreprises sondées.
Seules 6 % des entreprises disposent d'une charte
d'éthique et la taille des entreprises n'a pas d'importance, puisque
nous retrouvons les plus petites d'entre-elles, les intermédiaires et
les plus grosses PME. La faiblesse du nombre de réponses à cette
question ne permet pas de dire si oui ou non les entreprises de grandes taille
sont plus sensibilisées et respectueuses d'une forme d'éthique en
matière de collecte et de diffusion de l'information.
Quel est le degré d'exposition des entreprises
sondées par rapport à des pratiques illégales de
débauchage de cadres, piratage informatique, vol d'informations
stratégiques, la question Q2_2 nous apporte un
éclairage (tableau 7.27). 20 % des entreprises ont subi au moins une
atteinte grave ou mineure et pour une d'entre-elle, une atteinte avec des
conséquences ayant menacé la vie de l'entreprise. Pour les 80 %
restants il n'y a pas eu d'atteinte à la sécurité des
données de l'entreprise, ni à des vols d'informations
stratégiques ou de débauchage de cadres.
La question Q23 (tableau 7.28) nous
permet d'avancer dans l'analyse en abordant l'aspect de la
sécurité de l'information dans l'entreprise. Pour 32 % des
personnes sondées, il existe dans l'entreprise des mesures importantes
(30 %) ou des mesures très importantes (2 %) de sécurisation de
l'information. En revanche, 68 % déclarent n'avoir de aucune mesure
à quelques mesures.
La corrélation de ces deux questions (tableau 7.79)
nous permettra de savoir si les 80 % de personnes estimant n'avoir subi aucune
pratique illégale, représentent également les 32 % des
personnes ayant un système de protection important ou très
important de l'information dans leur entreprise.
Question Q2_2
Avez-vous déjà été
victime d'une pratique illégale (débauchage de
cadres, piratage informatique,
vol d'information stratégique...)
|
Question Q2_3
Existe-t-il des mesures de sécurité de
l'information dans votre entreprise ?
|
|
Très peu de mesure
|
Peu de mesure
|
Quelques mesures
|
Des mesures importantes
|
Des mesures très importantes
|
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
Jamais
|
2
|
3,50
|
3
|
5,30
|
1
|
1,75
|
3
|
5,30
|
5
|
8,85
|
-
|
-
|
Pas à ma connaissance
|
2
|
3,50
|
1
|
1,75
|
4
|
7
|
11
|
19,30
|
10
|
17,50
|
1
|
1,75
|
Seulement des tentatives ratées
|
-
|
-
|
1
|
1,75
|
-
|
-
|
1
|
1,75
|
1
|
1,75
|
-
|
-
|
Au moins une atteinte
mineure
|
-
|
-
|
1
|
1,75
|
-
|
-
|
4
|
7
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Au moins une atteinte
grave
|
-
|
-
|
4
|
7
|
-
|
-
|
-
|
-
|
1
|
1,75
|
-
|
-
|
Au moins une atteinte avec des
conséquences menaçant la vie de l'entreprise
|
-
|
-
|
-
|
-
|
1
|
1,75
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Totaux colonnes
|
4
|
7 %
|
10
|
17,55%
|
6
|
10,5 %
|
19
|
33,35 %
|
17
|
29,85 %
|
1
|
1,75 %
|
Total général
|
57
|
|
Tableau 7.79
L'analyse croisée des données nous permet de
mieux comprendre les réponses recueillies. En l'espèce, les
personnes déclarant ne jamais avoir été victimes d'une
pratique illégale (25 % des réponses) dispose de mesures de
protection importantes, pour 8,85 % d'entre-elles et ne disposent d'aucune
mesure à quelques mesures pour 15,85 % d'entre-elles.
Les personnes se situant sur la réponse « pas
à ma connaissance » ne disposent d'aucune mesure à quelques
mesures pour 31,55 % d'entre-elles. 19,25 % des personnes ayant apporté
cette même réponse disposent de mesures importantes à
très importantes. Pour mémoire, les répondants de cette
catégorie représentent 51 % du total.
Le regroupement de ces deux catégories de
réponses qui affirment n'avoir « jamais » et «
pas à ma connaissance » avoir été victime d'une
pratique illégale, dont le total cumulé représente 76
%, disposent à 28,10 % de mesures de protection jugées
importantes à très importantes
alors que 47,40 % des répondants affirment ne disposer
d'aucune mesure de protection à quelques mesures de protection.
La distorsion existante dans le croisement de ces
informations indique que les entreprises concernées n'ont pas conscience
d'avoir été exposées à une menace interne ou
externe oübien que le manque de mesures de protection n'a pas
permis de déceler une mise en danger du système d'information de
l'entreprise.
Le croisement des réponses aux questions Q2_4
(l'information commerciale de votre entreprise est :) avec la
question Q2_5 (quel est le niveau de contrôle sur la
diffusion de l'information commerciale à l'intérieur de votre
entreprise) apporte une lecture du niveau de contrôle et sur la
protection de la diffusion de l'information commerciale à
l'intérieur de l'entreprise.
Question Q2_4
L'information commerciale de votre entreprise est
|
Question Q2_5
Quel est le niveau de contrôle sur la diffusion de
l'information commerciale à l'intérieur de
votre entreprise.
|
|
Très peu contrôlée
|
Peu contrôlée
|
Moyenmt contrôlée
|
Très contrôlée
|
Diffusée uniquement
aux pers. habilitées
|
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
Sans protection
|
2
|
3,50
|
1
5
|
1,75
|
- 2
|
-
|
-
1
|
-
|
-
|
-
|
- -
|
-
|
Très peu protégée
|
-
|
-
|
|
|
|
-
|
-
|
|
Peu protégée
|
3
|
5,30
|
3
|
5,30
|
7 5
|
12,30
|
2 8
|
3,50
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Moyennement protégée
|
1
|
1,75
|
4
|
7,00
|
|
|
2
|
3,50
|
-
|
-
|
Très protégée
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
1 1 13
|
1,75
|
3 1
|
5,30
|
1
4
|
1,75
|
Accessible uniquement par les
personnels habilités
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
|
|
Totaux colonne
|
6
|
10,55
|
13
|
22,85
|
14
|
24,60
|
|
6
|
10,55
|
5
|
8,75
|
Total général
|
57
|
|
Tableau 7.80
Le zone située entre les deux segments de droite
parallèle montre une parfaite corrélation entre les
réponses données par les personnes sondées (tableau 7.80).
Les entreprises qui prétendent que l'information commerciale est
très protégée à accessible uniquement par les
personnels habilités, confirme leur affirmation par le niveau de
contrôle sur la diffusion de l'information commerciale et à
l'inverse, les entreprises qui ne protègent pas leur information
commerciale, ne font aucun contrôle sur la diffusion de celle-ci. Il est
également intéressant de constater que les extrêmes
s'équilibrent et les masses intermédiaires se compensent. Aucun
contrôle pour 10,55 % des personnes sondées et 8,75 %
d'information diffusée uniquement aux personnels habilités. 45,45
% de niveau de protection faible pour 33,30 % de niveau de protection
moyennement à très contrôlée.
Le croisement des réponses aux questions Q2_4
(l'information commerciale de votre entreprise est :) avec la
question Q2_6 (quel est le niveau de contrôle sur la
diffusion de l'information commerciale à l'intérieur de votre
entreprise) apporte une lecture du niveau de contrôle et sur la
protection de la diffusion de l'information commerciale à
l'extérieur de l'entreprise.
Question Q2_4
L'information commerciale de votre entreprise est
|
Question Q2_6
Quel est le niveau de contrôle sur la diffusion de
l'information commerciale à l'extérieur de
votre entreprise.
|
|
Très peu contrôlée
|
Peu contrôlée
|
Moyenmt contrôlée
|
Très contrôlée
|
Diffusée uniquement
aux pers. habilitées
|
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
N
|
%
|
Sans protection
|
2
|
3,50
|
-
|
-
|
1
|
1,75
|
-
|
-
|
- -
|
-
|
-
|
-
|
Très peu protégée
|
2
|
3,50
|
4
|
7,00
|
1
|
1,75
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
Peu protégée
|
2
|
3,50
|
4
|
7,00
|
5
|
8,75
|
3
|
5,30
|
1
|
1,75
|
-
|
-
|
Moyennement protégée
|
1
|
1,75
|
3
|
5,30
|
2
|
3,50
|
9
|
16,00
|
5
|
8,75
|
-
|
-
|
Très protégée
|
- -
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
-
|
-
|
3
|
5,30
|
2
3
|
3,50
|
Accessible uniquement par les personnels habilités
|
|
-
|
-
|
-
|
|
1
|
1,75
|
2
|
3,50
|
|
Totaux colonne
|
7
|
12,25
|
11
|
19,30
|
9
|
17,55
|
13
|
23,05
|
11
|
19,30
|
5
|
8,80
|
Total général
|
57
|
|
Tableau 7.81
Le croisement des réponses aux questions Q2_4 et Q2_6
démontre la parfaite corrélation entre les réponses
données aux deux questions.
Les entreprises qui prétendent que la diffusion de
l'information commerciale à l'extérieure est « très
contrôlée » à « diffusée uniquement aux
personnes habilitées », ont un niveau de protection de leur
données commerciales très élevée et les entreprises
ne contrôlant pas ou peu la diffusion de l'information ont une politique
de protection de l'information très faible.
Les entreprises qui contrôlent la diffusion de
l'information commerciale représentent 28,10 % alors que les entreprises
qui n'établissent aucun contrôle à peu de contrôle
représentent 49,10 % des réponses.
Les questions Q27 et Q28 sont
axées sur le niveau de contrôle de la diffusion des données
commerciales et sur l'intérêt que représente cette
information pour l'entreprise. Le croisement de ces deux questions permettra de
mettre en évidence si le niveau de contrôle sur la diffusion de
l'information commerciale est en adéquation avec l'intérêt
que l'entreprise porte à son information.
Question Q2_7
Vous avez mis en place des moyens de contrôle
de diffusion de l'information commerciale
|
Question Q2_8
Dans votre entreprise, l'information commerciale
représente
|
|
Peu d'intérêt
|
Un intérêt moyen
|
Un intérêt majeur
|
Un intérêt stratégique
|
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
Aucun moyen de
contrôle
|
3
|
5,50
|
2
|
3,60
|
3
|
5,50
|
3
|
5,50
|
3
|
5,50
|
Très peu de moyens de
contrôle
|
1
|
1,80
|
-
|
-
|
4
|
7,30
|
5
|
9,05
|
1
|
1,80
|
Peu de moyens de
contrôle
|
-
|
-
|
1
|
1,80
|
5
|
9,05
|
3
|
5,50
|
-
|
-
|
Moyens de contrôle
normaux
|
-
|
-
|
1
|
1,80
|
5
|
9,05
|
7
|
12,70
|
3
|
5,50
|
Moyens de contrôle
étendus
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
2
|
3,60
|
-
|
-
|
Toute diffusion de l'information
est contrôlée
|
-
|
-
|
-
|
-
|
1
|
1,80
|
1
|
1,80
|
1
|
1,80
|
Totaux colonne
|
4
|
7,30
|
4
|
7,20
|
18
|
32,70
|
21
|
38,15
|
8
|
14,60
|
Total général
|
55
|
|
Tableau 7.82
L'information commerciale, pour 52,75 % des sondés
représente un intérêt majeur à stratégique.
Les moyens de contrôle mis en place concernant la diffusion de cette
information sont renforcés à contrôlés pour 7,20 %
des personnes ayant répondus. Cela signifie que pour plus de la
moitié des responsables d'entreprises ou cadres en charge de la
sécurisation de l'information, moins d'un dixième mettent en
oeuvre les moyens nécessaires pour garantir l'intégrité et
la sécurité de ce qui est considéré comme
très important pour l'entreprise.
Dans ce contexte, le manque de moyens déployés
ne permet pas d'avoir l'assurance raisonnable que l'information commerciale de
l'entreprise est utilisée dans le but de créer de la valeur pour
l'entreprise, mais que sa destination peut-être toute autre.
Le manque de moyens de contrôles peut engendrer pour
l'entreprise une perte de valeur forte ou une absence de création de
valeur (ce qui rendra indétectable la fuite d'information pendant un
laps de temps qui pourra être très long) et de fait,
grèvera plus ou moins fortement la compétitivité de
celle-ci.
Toute catégorie confondue en matière
d'intérêt porté à l'information porté
à l'information commerciale de l'entreprise, 61,9 % des personnes ayant
répondu déclarent n'avoir mis aucun à très peu de
moyens de contrôle sur leur système d'information.
6.4.1 Conclusion de la série de questions sur
l'éthique en matière d'information
Un constat est de rigueur. L'information commerciale est
considérée comme revêtant un intérêt majeur ou
stratégique.
En revanche, la démarche des entreprises
sondées en la matière (à l'exception de 8,75 %
d'entre-elles qui mettent des moyens de contrôle sur la diffusion de
l'information) est totalement inverse à l'intérêt
porté à ce type d'information.
Dès lors, il est raisonnable de penser que si les
mesures de protection ne sont pas en adéquation avec l'enjeu de
protection de l'information commerciale, il semble difficile de prendre les
mesures ou contre-mesures qui protègeront le système
d'information des intrusions externes ou des tentatives de détournement
de l'information en interne.
Un second constat peut être réalisé, sur
l'analyse du tableau 7.79 où 50,80 % des personnes en chargent de la
gestion du système d'information de l'entreprise déclarent
n'avoir pas déjà été, à leur
connaissance, victimes d'une pratique illégale.
Seule la mise en oeuvre d'outils d'analyses, de
sécurisation et de reporting en relation avec le suivi de
l'activité anormale sur les fichiers, bases de données de
l'entreprise, permettrait de déterminer précisément quel
est le degrés d'accès non autorisé à l'information
commerciale de l'entreprise.
6.5 L'anticipation de l'avenir
Sécuriser ses données commerciales et s'assurer
que les collaborateurs de l'entreprise ne deviennent pas le maillon faible
dans la sécurisation du système d'information et plus
précisément dans la sécurisation des
données commerciales requiert pour les acteurs de la gestion de l'outil
informatique, une anticipation de l'avenir.
Anticipation au niveau technologique, mais également,
anticipation des mutations du secteur d'activité, de l'environnement
global de l'entreprise et particulièrement, évolution de
l'entreprise par elle-même.
Le groupe de questions 3 vise à déterminer
quelle est le degré de vision, d'appréciation de l'avenir et
d'anticipation qu'ont les décideurs en charge du système
d'information.
La question Q31 (tableau 7.34 : votre
entreprise anticipe les innovations technologiques) montre que 25 % des
personnes ayant répondu n'anticipent pas à l'avance les
innovations technologiques et que 46 % d'entre-elles les anticipent moins d'un
an à l'avance. Plus globalement, c'est 71 % des décideurs qui ont
une anticipation très limitée des innovations technologiques. En
réponse à la question Q3_2 (tableau 7.35 : votre
entreprise anticipe les mutations de votre secteur) montre en revanche que 51 %
des décideurs anticipent de 3 à plus de 5 ans à l'avance
les mutations de leur secteur d'activité.
La question Q33 (tableau 7.36 : votre
entreprise anticipe les mutations de l'environnement global) indique que 41 %
des personnes sondées anticipent de 3 à plus de 5 ans à
l'avance les mutations de l'environnement global. La part inverse,
c'est-à-dire 59 % des entreprises sondées n'anticipent pas
à l'avance ou à moins d'un an l'évolution de leur
environnement global.
Enfin, la question Q34 (tableau 7.37
: votre entreprise anticipe les évolutions de ses forces et faiblesses)
fait apparaître que 62 % des décideurs n'anticipent pas
l'évolution des forces et faiblesses de leur entreprise à
très court terme.
6.5.1 Conclusion de la série de question sur
l'anticipation de l'avenir
D'un point de vue général, les personnes ayant
répondu restent en majorité passives par rapport à
l'évolution de leur secteur.
Il n'existe quasiment pas les innovations technologiques. Le
danger auquel s'exposent ces entreprises réside dans le fait que la
technologie est une source permanente de moyens d'extraction ou de soustraction
d'informations de l'entreprise et qu'il n'existera aucun moyen de
déceler dans le laps de temps permettant une action de protection du
système d'information dans son ensemble et plus particulièrement,
de l'information commerciale.
Le fait que ces mêmes entreprises appréhendent
plutôt bien l'évolution de leur environnement sectoriel n'offrira
aucune mesure de protection concrete sur le système d'information,
celui-ci n'étant pas rattaché à l'évolution
sectorielle, mais à l'évolution technologique et à
l'innovation en la matière.
6.6 La gestion de l'entreprise
Le groupe de questions 4, relatif à la gestion de
l'entreprise est principalement organisé autour de l'aspect
stratégique du développement de l'entreprise, de ses
partenariats, du poids de l'entreprise dans son environnement
socio-économique et de la participation de chacun des collaborateurs
dans l'évaluation de cette dernière.
L'objectif est de déterminer quel est le degré
d'exposition des entreprises et l'intérêt que pourrait
revêtir leur information pour les tiers et par conséquent, le
potentiel de détournement de leur information commerciale.
La question Q41 montre que 22 % des
personnes ayant répondu au sondage établissent des relations de
partenariat avec des concurrents (tableau 7.38 : vous établissez des
partenariats avec des concurrents) et la question Q42
(tableau 7.39 : vous établissez des partenariats avec des entreprises
non concurrentes) montre que 58 % des personnes ayant répondu au sondage
établissent des partenariats avec des entreprises non concurrentes.
Dans le premier cas, l'exposition du système
d'information et de l'information existe, dans le sens où les
échanges de données commerciales sont une réalité.
En revanche, cet échange se veut par nature volontaire et
maîtrisé, dans le sens où ces flux s'avèrent
nécessaires pour le fonctionnement du partenariat.
Les axes de la collecte de l'information, de l'implication
des collaborateurs de l'entreprise et ce, à tous les niveaux de la
hiérarchie et de l'implication de ces derniers dans l'apport
d'informations à l'entreprise ou dans la diffusion de celle-ci,
abordés dans les questions Q49 à Q419
donnent les résultats suivants :
Tableau de synthèse des réponses aux
questions Q4_9 à Q4_19
Questions
|
Jamais
|
Très rarement
|
Rarement
|
Assez souvent
|
Souvent
|
Très souvent
|
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
Q4_9
|
Dans le cadre des comités ou des réunions
d'organismes professionnels, votre entreprise y recueille des informations
|
3
|
6
|
4
|
8
|
7
|
14
|
24
|
47
|
9
|
18
|
4
|
8
|
Q4_10
|
Dans le cadre des comités ou des réunions
d'organismes professionnels, votre entreprise pèse sur les
décisions qui y sont prises
|
11
|
22
|
10
|
20
|
10
|
20
|
15
|
29
|
4
|
8
|
1
|
2
|
Q4_11
|
Vous vous investissez personnellement dans le cadre des
comités ou des réunions d'organismes professionnels
|
9
|
18
|
7
|
14
|
10
|
20
|
13
|
25
|
9
|
18
|
3
|
6
|
Q4_12
|
Vous participez personnellement à l'évaluation
des forces et
faiblesses de votre entreprise
|
-
|
-
|
2
|
4
|
6
|
12
|
16
|
31
|
17
|
33
|
10
|
20
|
Q4_13
|
Les cadres de l'entreprise participent à
l'évaluation des forces et faiblesses de votre entreprise
|
5
|
10
|
-
|
-
|
14
|
27
|
15
|
29
|
13
|
25
|
4
|
8
|
Q4_14
|
Les employés de l'entreprise participent à
l'évaluation des forces et faiblesses de votre entreprise
|
3
|
6
|
7
|
14
|
15
|
30
|
20
|
40
|
5
|
10
|
-
|
-
|
Q4_15
|
D'autres personnes participent à l'évaluation des
forces et
faiblesses de votre entreprise
|
10
|
20
|
9
|
18
|
14
|
28
|
12
|
24
|
5
|
10
|
-
|
-
|
|
Tableau 7.83
Questions
|
Jamais
|
Très rarement
|
Rarement
|
Assez souvent
|
Souvent
|
Très souvent
|
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
n
|
%
|
Q4_16
|
Vous participez personnellement à l'évaluation
des menaces et opportunités provenant de l'environnement de
l'entreprise
|
1
|
2
|
5
|
10
|
5
|
10
|
21
|
42
|
10
|
20
|
8
|
16
|
Q4_17
|
Les cadres participent à l'évaluation des menaces
et opportunités provenant de l'environnement de l'entreprise
|
8
|
16
|
3
|
6
|
8
|
16
|
22
|
44
|
6
|
12
|
3
|
6
|
Q4_18
|
Les employés participent à l'évaluation des
menaces et opportunités provenant de l'environnement de l'entreprise
|
5
|
10
|
16
|
32
|
12
|
24
|
16
|
32
|
1
|
2
|
-
|
-
|
Q4_19
|
D'autres personnes participent à l'évaluation des
menaces et opportunités provenant de l'environnement de l'entreprise
|
10
|
20
|
14
|
28
|
11
|
22
|
10
|
20
|
5
|
10
|
-
|
-
|
|
Tableau 7.83 (fin)
L'analyse des réponses apporte les enseignements
suivants :
- les personnes ayant répondu à l'enquête
s'investissent personnellement dans les organisations professionnelles,
à 49 %
- 39 % d'entre-elles pèsent sur les décisions
prises au sein desdites organisations
- 73 % d'entre-elles recueillent de l'information à
l'occasion de ces réunions au sein des organisations
professionnelles.
L'évaluation des forces et faiblesses de l'entreprise,
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise représente une implication importante
des dirigeants, mais également des cadres de l'entreprise et des
salariés non cadres.
Les implications sont les suivantes :
- Sur le theme de l'évaluation des forces et
faiblesses de l'entreprise et plus particulièrement de l'implication des
différents collaborateurs de l'entreprise, les résultats sont les
suivants :
o 84 % des répondants y participent,
o 62 % des cadres y participent,
o 50 % des employés y participent,
o 34 % de personnes autres y participent.
- Sur le theme de l'évaluation des menaces et
opportunités provenant de l'environnement de l'entreprise et plus
particulièrement de l'implication des différents collaborateurs
de l'entreprise, les résultats sont les suivants :
o 78 % des répondants y participent
o 62 % des cadres y participent,
o 34 % des employés y participent,
o 30 % des personnes autres y participent.
6.6.1 Conclusion de la série de questions sur
relatives à la gestion de l'entreprise
Les flux d'information vers l'extérieur de l'entreprise
revêtent une fréquence différente dès lors qu'ils
sont dirigés vers des concurrents ou des partenaires non concurrents de
l'entreprise.
Les flux sont multipliés 2,5 lorsqu'il s'agit de
communiquer avec les partenaires de l'entreprise.
L'exposition du système d'information reste
différente lorsque les échanges vont vers les partenaires non
concurrents et le risque encouru par l'entreprise dans cette dynamique est
moins importante que dans le cas d'une communication vers les concurrents de
l'entreprise.
Lors des échanges entre entreprises et lors de
l'exposition des personnes dirigeant l'entreprise, le poids de ces derniers
dans les décisions prise au sein des organisations professionnelles sont
systématiquement inférieures à la moyenne. En revanche, la
collecte d'information durant la participation aux réunions des
organisations professionnelles est beaucoup plus systématique, puisque
3/4 des personnes ayant répondu déclarent recueillir de
l'information à cette occasion.
S'agissant de la stratégie d'entreprises, on constate
que les strates inférieures de l'organisation participent peu à
la prise de décision puisque seulement 34 % des employés
participent à l'évaluation des menaces et opportunités
(dont seulement 2 % participent souvent) et 50 % des employés
participent à l'évaluation des forces et faiblesses de leur
entreprise (dont seulement 10 % participent souvent).
6.7 La perception de l'environnement de l'entreprise
et des actions entreprises
L'objectif de cette section (section n° 5 du
questionnaire) est de déterminer quelle est l'exposition de l'entreprise
et de son système d'information à l'extérieur en se
fondant sur sa compétitivité, son influence sur son environnement
et sur sa stratégie.
Plus l'entreprise sera exposée, plus son
système d'information le sera et la sollicitation de ses collaborateurs
par les concurrents sera d'autant plus importante que l'entreprise aura un
impact fort sur son microcosme économique.
Quel est le niveau de risque pris par l'entreprise et comment
les collaborateurs impactent ce risque ?
La question Q51 (tableau 7.57) apporte
un premier élément de réponse sur la
compétitivitédes entreprises puisque pour 90 % des personnes
ayant répondu à l'enquête, leur entreprise est
compétitive par rapport aux concurrents et seulement
10 % se déclarent « plutôt pas d'accord » avec
l'affirmation « vous êtes compétitifs par rapport à
vos principaux concurrents ». La question Q57
(tableau 7.63) indique le degré de rapidité qu'a l'entreprise
dans son action et 79 % des personnes ayant répondu estiment qu'ils
agissent plus rapidement que leurs concurrents.
S'agissant de la capacité qu'a l'entreprise à
influencer son environnement (question Q5_2, tableau 7.58), 76
% des personnes ayant répondu à l'enquête pensent que leur
entreprise est capable d'influence, alors que 24 % pensent que leur entreprise
ne dispose d'aucune capacité d'influence.
Les questions Q53 (tableau
7.59), Q5_4 (tableau 7.60) et Q5_5 (tableau
7.61) posent la question de la stratégie de l'entreprise et de
l'explication qui en est faite aux collaborateurs.
Sur l'axe de l'innovation stratégique par rapport aux
concurrents, les personnes ayant répondu estiment à 84 % utiliser
des stratégies plus innovantes et, déclarent à 86 %
expliquer leur stratégie à leurs cadres et à leurs
employés.
6.7.1 Conclusion de la série de questions sur la
perception de l'environnement de l'entreprise et des actions entreprises
Dans le contexte concurrentiel, les personnes sondées
estiment leur positionnement concurrentiel et leur rapidité d'action
supérieure à celle des entreprises concurrentes du secteur. La
stratégie déployée par l'entreprise est pour la plus
grande partie expliquée à tous les niveaux de l'entreprise. Les
cadres et les employés sont ainsi associés à la
stratégie.
En revanche, la majorité des personnes sondées
ne s'estiment pas en capacité d'influencer les décisions des
pouvoirs publiques (lois, normes, reglements...) (tableau 7.62) puisque 67 %
d'entre-elles déclarent ne pas se donner les moyens d'influencer
celles-ci.
6.8 Avis et opinion personnelle sur les
résultats
La consolidation des différentes définitions
données par les personnes ayant répondu à l'enquête
me permet de proposer une nouvelle définition de l'intelligence
économique :
L'intelligence économique est un ensemble de m oyens
à disposition des entreprises en vue de
collecter de l'information pour établir ou valider la
stratégie de l'entreprise, dans le but de la performance optimale sur
son marché.
La problématique de mon mémoire est « les
collaborateurs de la PME sont-ils le maillon faible dans la sécurisation
des informations commerciales ? ». L'ensemble des questions auxquelles les
participants du sondage ont répondu montrent que la collecte et la
diffusion de l'information est concentrée entre les mains des dirigeants
et des cadres de l'entreprise. Cette information, une fois collectée est
mise à disposition des collaborateurs de l'entreprise dans la
moitié des cas. Ladite information, presque
exclusivement de type opérationnel, reste malgré tout dans 97 %
des cas non structurée.
La méconnaissance des rouages de la mise en oeuvre
d'un système d'intelligence économique engendre des
déviances comportementales et des atermoiements dans la mise en oeuvre
de systèmes sécurisés.
L'avènement de l'internet, dans le cadre des processus
de collecte d'information devrait entraîner un renforcement des
conditions de sécurisation du système d'information et plus
particulièrement des données commerciales.
Or, on constate que pour la grande partie des
décideurs, la protection du système d'information se limite
à la mise en oeuvre d'un système antiviral, qui ne fait que
protéger le système d'agressions provenant du
périmètre externe ou interne du réseau d'entreprise, mais
qui ne viens protéger qu'une infime partie du système et en aucun
cas, une protection à proprement parler des données de
l'entreprise et plus particulièrement des données commerciales de
l'entreprise.
La protection du système d'information est très
faible puisque 68 % des personnes ayant participé à
l'enquête, déclarent que leur système d'information est pas
ou peu protégé.
Dès lors, est-il raisonnable d'induire un raisonnement
selon lequel, il serait envisagé de conclure que les collaborateurs de
l'entreprise sont le maillon faible dans la sécurisation des
données commerciales de l'entreprise ?
La non sécurisation par l'entreprise de ses informations
commerciales peut-elle permettre d'envisager que celle-ci est en parfaite
sécurité ?
Les moyens de voir l'information commerciale de l'entreprise
détournée, par différents moyens, qu'ils soient à
l'initiative ou non des collaborateurs de l'entreprise restent avant tout la
conséquence directe de la non sécurisation du système
d'information.
Le rôle des responsables du système
d'information (souvent également responsables de l'entreprise) est dans
un premier temps d'assurer la sécurisation dudit système
d'information, de former les collaborateurs à la notion de risque.
La notion de sécurisation du système
d'information revêt différentes formes telles que la mise en
oeuvre de parefeu, dont l'objectif est de contrôler le
périmètre externe du réseau local de
l'entreprise et de s'assurer que les données qui
transitent de ou vers le réseau local soient attendues, validées
et conformes à la stratégie de diffusion de l'information telle
que définie dans la charte informatique de l'entreprise.
C'est également de protéger l'accès
à l'information stockée dans les datawarehouse et d'en
contrôler l'accès. Seules les informations pour lesquelles
l'utilisateur aura reçu l'habilitation seront accessibles par
celui-ci.
C'est aussi la formation, l'explication de ce que
représente la sécurité des données informatiques
qui permettra aux utilisateurs d'avoir un comportement saint (par opposition au
comportement à risque).
Enfin, pour les entreprises accueillant sur leur
système des données très sensibles, le cryptage des
données hébergées est une nécessité
impérieuse, afin de rendre très difficile ou impossible
l'exploitation des données à l'extérieur du réseau
de l'entreprise.
Le dernier point que je souhaite aborder ici est la
sécurisation physique des systèmes. Elle se doit d'être
effective pour répondre aux actes de malveillance et/ou de ralentir les
tentatives de vol physique d'ordinateurs, de serveurs ou de tout
équipement contenant de l'information.
Dans le cadre de cette enquête et par rapport aux
réponses apportées, il n'est pas possible d'apporter une
réponse positive ou négative à la problématique
posée. Le manque de sécurisation des systèmes
informatiques, qui est un préalable à l'idée de
sécurisation du système d'information ne permet pas d'envisager
le niveau de vulnérabilité des données commerciales de
l'entreprise face aux collaborateurs, tant le système est
vulnérable à tous niveaux.
La distorsion existante dans les réponses à la
question Q22, croisée avec la question Q23 démontre que la
réalité est totalement floue et que la tendance des
réponses affirmatives d'un côté, sur le fait que les
entreprises n'ont jamais ou pas été victimes de pratiques
illégales et que de l'autre, les sondés répondent qu'il
n'existe aucun ou peu de moyen de contrôle en place sur leurs
systèmes d'informations, tends à démontrer qu'il n'existe
aucune maîtrise sur les deux facteurs.
Get état de fait est également
corrélé par les réponses croisées des questions Q24
et Q25 ainsi que par le croisement des questions Q2_4 et Q2_6.
L'aspect stratégique que revêt l'information
commerciale rend antinomique le comportement des décideurs puisque
l'information commerciale est positionnée au niveau le plus haut de
sévérité mais, qu'aucun moyen technique pour la
préserver n'est mis en oeuvre dans la majorité des cas.
6.9 Conclusion
Le bénéfice que j'ai retiré dans la
production de mon mémoire est l'application d'une méthode de
travail permettant de structurer un travail long dans le temps et de mettre en
oeuvre différents outils et techniques au service de l'objectif que
représente la production du mémoire.
L'approfondissement de la partie théorique, par la
lecture d'ouvrages traitant de l'intelligence économique, mais
également d'ouvrages périphériques tel que l'Art de la
Guerre de Sun Tzu est un excellent vecteur de connaissance. Grace à ces
différentes lectures, j'ai pu comprendre les différentes facettes
de l'intelligence, découvrir son histoire et comprendre que
l'intelligence économique est affaire de bon sens. Les techniques
d'intelligence économique applicables au quotidien dans l'entreprise, la
compréhension du cadre légal seront des atouts professionnels
indéniables.
Les limites de l'étude et des résultats
publiés dans mon mémoire restent l'échantillon
sélectionné, qui est représentatif d'une catégorie
d'entreprises, limitée à un secteur géographique. D'un
point de vue méthodologique et pratique, les axes de travail mis en
oeuvre et le rythme employé correspond à ce que j'attendais.
La problématique qui peut être posée
à l'issue de la conclusion de ce mémoire est la suivante :
Quel serait la réponse à la
problématique en élargissant le secteur géographique
à la France métropolitaine et plus largement, quelles est la
place de la sécurisation des données commerciales par rapport aux
entreprises européennes ?
7. Revue de littérature
CARAYON B. (2003) « Intelligence économique,
compétitivité et cohésion sociale ». Rapport au
Premier Ministre
JAKOBIAK F. (2009) « L'intelligence économique,
Techniques et Outils 2ème édition ». Paris,
Edition d'Organisation
COUTENCEAU C. (2010) « Guide pratique de l'intelligence
économique : la méthode MADIE ». Paris, Edition
d'Organisation
VERNAT G. & DURST N. (2000) « Intelligence
économique : De la gesticulation à la déception ».
Paris, Gestion 2000 - Volume 17 - Numéro 4 - 2000
ROUIBAH K. (2001) « Une méthodologie pour la
gestion des signaux faibles de veille stratégique : illustrations par un
prototype ». Paris, Gestion 2000 - Numéro 6 - Novembre -
Décembre 2001
HASSID O. (2010) « La sécurité en entreprise
: Prévenir et gérer les risques ». Editions
Maxima
MEDEF Paris (2006) « Intelligence économique : Guide
pratique pour les PME ». Cercle d'Intelligence Economique du MEDEF,
Paris.
LARIVET S. (2009) « Intelligence économique :
Enquête dans 100 PME ». Editions l'Harmattan
PERON G. (2002) « La nouvelle menace numérique
». Editions Hagal ARIA
MONGIN P. & TOGNINI F. (2006) « Petit manuel
d'intelligence Economique au quotidien ». Editions DUNOD
FAYARD P. (2004) « Comprendre et appliquer Sun Tzu. La
pensée stratégique chinoise : une sagesse en action ».
Editions DUNOD
FILIOL E. & RICHARD P. (2006) « Cyber
criminalité. Enquête sur les mafias qui envahissent le web ».
Editions DUNOD
BULINGE F. (2001) « PME-PMI et intelligence
compétitive : les difficultés d'un mariage de raison ».
Laboratoire d'étude pour l'ouverture aux nouvelles technologiII, LL
LiIIIsitILLIL LLLILL
DELBECQUE E. & PARDINI G. (2008) « Les politiques
d'intelligence économique ». HLiIiLLHHL F
MASSON H. (2001) « Les fondements politiques de
l'intelligence économique » - LI-HLILIIL
IciILIIIIILIitiILLs
MARTINET B. & MARTI Y-M. (2001) « L'intelligence
économique : Comment donner de la valeur concurrentielle à
l'information » Editions d'OrganisVtiLn
P-V VALTAT & BESSON B. (2010) « le risk manager &
l'intelligence économique » IFIH HLiIiLLs
MOINET N. (2011) « Intelligence économique : Mythes
et réalités » HHIIIHLitiLLIL MOINET N. (2010)
« Petite histoire de l'intelligence économique » Editions
L'IVri VtIVLL DELBECQUE E. (2008) « L'intelligence économique.
Questions judiciaires » HLiIiLLHHL H
BOURNOIS F. & ROMANI P-J. (2000) «L'intelligence
économique et stratégique dans les entreprises françaises
» Hditiou Hmai iLV
HARBULOT C. & LUCAS D. (2005) « La guerre cognitive
» HLitioLLEIL HH FRANCOIS L. (2004) « Business sous
influence » Editions d'OrganisationL
AUDIGIER M. - COULON G. - RASSAT P. (2003) « L'intelligence
économique : un nouvel outil de gestion »
HLiIiLLHHVxiIV
Ecole Supérieure de Commerce Groupe Sup de
Co La Rochelle
L'intelligence économique
Les collaborateurs de la PME sont-ils le maillon faible dans
la sécurisation des informations commerciales ?
ANNEXES
Stéphane MAGNAN 2011
8. Annexes
8.1 Annexe du chapitre 0
Le questionnaire est issu en partie du questionnaire de Sophie
LARIVET utilisé dans l'enquête ayant permis l'écriture du
livre « Intelligence Economique - Enquête dans 100 PME ».
J'ai conservé les parties communes à l'état
de l'art relatif à l'intelligence économique et ses pratiques
dans les PME et j'ai ajouté les questions relatives à la
problématique que j'ai choisie.
8.1.1 Détail du questionnaire
J'ai le plaisir de vous communiquer cette enquête mise en
ligne dans le cadre de la production du mémoire de fin d'études
sur la problématique :
"L'intelligence économique : les collaborateurs de la PME
sont-ils le maillon faible dans la sécurisation des informations
commerciales ?".
Au fil des questions qui vous seront posées, vous aurez
la possibilité de vous exprimer sur vos pratiques de l'intelligence
économique ou sur l'absence de démarche dans ce domaine, de
donner votre point de vue sur l'état de l'art.
Le temps de réponse à cette enquête est de
20 à 30 minutes.
Je vous remercie chaleureusement de votre participation dans
cette étude, dédiée à la PME.
Je vous remercie chaleureusement de prendre du temps sur vos
activités personnelles et professionnelles pour répondre à
ce questionnaire qui permettra d'apporter un nouvel éclairage sur le
degré de sécurisation ou d'insécurité des
informations commerciale des PME.
Si vous le désirez, un exemplaire des conclusions de
cette enquête pourra vous êtes envoyé.
A cet effet, vous pourrez en faire la demande à la fin du
questionnaire.
Il y a 80 questions dans ce questionnaire
Gestion de l'information (Groupe 1)
Les groupes de questions Gestion de l'information 1, 2 et 3
vont vous permettre de définir comment et avec quel méthodologie
vous gérez l'information entrante ou sortante de votre Entreprise;
1 [Q1_1] Vous échangez des informations avec
d'autres chefs d'entreprises * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
2 [Q1_2] Vous échangez des informations avec des
concurrents *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
3 [Q1_3] Vous vous tenez informé des
dernières innovations technologiques * Veuillez
sélectionner une seule des propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
4 [Q1_4] Vous vous tenez informé de ce qui se
passe dans votre secteur d'activité (fournisseurs, clients,
concurrents...) *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
5 [Q1_5] Vous vous tenez au courant de ce qui se passe
dans l'environnement global de l'entreprise (tendances sociales, juridiques,
économiques...) *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
6 [Q1_6] Vous connaissez les forces et faiblesses
propres à votre entreprise et abordez la question *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
7 [Q1_7] Dans votre entreprise, la recherche
d'informations s'appuie sur internet * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
8 [Q1_8] Dans votre entreprise, la diffusion de
l'information s'appuie sur un intranet * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
9 [Q1_9] Votre entreprise utilise des logiciels
spécifiques pour la gestion de l'information (collecte, traitement,
stockage...) *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
10 [Q1_10] Les salariés de votre entreprise
écrivent des rapports relatant les informations recueillies par eux
*
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
11 [Q1_11] Vous déposez des brevets *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
Gestion de l'information (Groupe 2)
12 [Q1_12] Dans votre entreprise, l'information circule
vite * Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
13 [Q1_13] Vous connaissez les limites légales en
matière d'information (collecte, diffusion...) *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
14 [Q1_14] Votre entreprise est sensibilisée au
problème de sécurité de l'information * Veuillez
sélectionner une seule des propositions suivantes :
·
1
·
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
15 [Q1_15] Personnellement, en tant que Chef
d'Entreprise ou de responsable du Système d'Information, vous participez
à la collecte de l'information *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
16 [Q1_16] Personnellement, en tant que Chef d'Entreprise
ou de responsable du Système d'Information, vous participez à la
diffusion de l'information *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
17 [Q1_17] Les cadres de votre Entreprise participent
à la collecte de l'information * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
|
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
18 [Q1_18] Les cadres de votre Entreprise participent
à la diffusion de l'information dans l'Entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
19 [Q1_19] Les employés de votre Entreprise
participent à la collecte de l'information * Veuillez
sélectionner une seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
20 [Q1_20] Les employés de votre Entreprise
participent à la diffusion de l'information dans l'Entreprise
*
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout
|
Très peu
|
Peu
|
Assez nettement
|
Nettement
|
Très nettement
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
Ethique en matière d'information
21 [Q2_1] Sur les questions d'éthique, en
matière d'information, où vous situez-vous ? *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Ce thème ne nous intéresse pas
· Nous comptons nous y intéresser un jour
· Un début de réflexion a été
mené
· Une réflexion poussée, mais non
formalisée a été menée
· Nous possédons une charte d'éthique
traitant des recherches d'informations
· Nous possédons une charte d'éthique et
contrôlons son respect
Dans la liste déroulante, sélectionnez la
réponse qui caractérise le mieux votre situation actuelle
22 [Q2_2] Avez-vous déjà été
victime d'une pratique illégale (débauchage de cadres, piratage
informatique, vol d'informations stratégiques...) ? *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Jamais
· Pas à ma connaissance
· Seulement des tentatives ratées
· Au moins une atteinte mineure
· Au moins une atteinte grave
· Au moins une atteinte avec des conséquences
menaçant la vie de l'entreprise
Dans la liste déroulante, sélectionnez la
réponse qui caractérise le mieux votre situation actuelle
23 [Q2_3] Existe-t-il des mesures de
sécurité de l'information dans votre entreprise ? *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Aucune mesure
· Très peu de mesures
· Peu de mesures
· Quelques mesures
· Des mesures importantes
· Des mesures très importantes
Dans la liste déroulante, sélectionnez la
réponse qui caractérise le mieux votre situation actuelle
24 [Q2_3] L'information commerciale de votre entreprise
est : * Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Sans protection
· Très peu protégée
· Peu protégée
· Moyennement protégée
· Très protégée
· Accessible uniquement par les personnels
habilités
Dans la liste déroulante, sélectionnez la
réponse qui caractérise le mieux votre situation actuelle
25 [Q2_4] Quel est le niveau de contrôle sur la
diffusion de l'information commerciale à l'intérieur de votre
entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Aucun contrôle
· Très peu de contrôle
· Peu contrôlée
· Moyennement contrôlée
· Très contrôlée
· Diffusée uniquement aux personnels
habilités
Dans la liste déroulante, sélectionnez la
réponse qui caractérise le mieux votre situation actuelle
26 [Q2_5] Quel est le niveau de contrôle sur la
diffusion de l'information commerciale à l'extérieur de votre
entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Aucun contrôle
· Très peu de contrôle
· Peu contrôlée
· Moyennement contrôlée
· Très contrôlée
· Diffusée uniquement aux personnels
habilités
Dans la liste déroulante, sélectionnez la
réponse qui caractérise le mieux votre situation actuelle
27 [Q2_6] Vous avez mis en place des moyens de
contrôle de diffusion de l'information commerciale *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Aucun moyen de contrôle
· Très peu de moyens de contrôles
· Peu de moyens de contrôles
· Moyens de contrôles normaux
· Moyens de contrôles étendus
· Toute diffusion de l'information est
contrôlée
Dans la liste déroulante, sélectionnez la
réponse qui caractérise le mieux votre situation actuelle
28 [Q2_7] Dans votre entreprise, l'information
commerciale représente * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
· Aucun intérêt
· Très peu d'intérêt
· Peu d'intérêt
· Un intérêt moyen
· Un intérêt majeur
· Un intérêt stratégique
Dans la liste déroulante, sélectionnez la
réponse qui caractérise le mieux votre situation actuelle
Anticipation de l'avenir
29 [Q3_1] Votre entreprise anticipe les innovations
technologiques *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas à l'avance
|
Jusqu'à 6 mois
à l'avance
|
Jusqu'à 1 an à l'avance
|
Jusqu'à 3 ans à l'avance
|
Jusqu'à 5 ans à l'avance
|
Plus de 5 ans à l'avance
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
30 [Q3_2] Votre entreprise anticipe les mutations de
votre secteur * Veuillez sélectionner une
seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas à l'avance
|
Jusqu'à 6 mois
à l'avance
|
Jusqu'à 1 an à l'avance
|
Jusqu'à 3 ans à l'avance
|
Jusqu'à 5 ans à l'avance
|
Plus de 5 ans à l'avance
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
31 [Q3_3] Votre entreprise anticipe les mutations de
l'environnement global * Veuillez sélectionner une
seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas à l'avance
|
Jusqu'à 6 mois
à l'avance
|
Jusqu'à 1 an à l'avance
|
Jusqu'à 3 ans à l'avance
|
Jusqu'à 5 ans à l'avance
|
Plus de 5 ans à l'avance
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
32 [Q3_4] Votre entreprise anticipe les évolutions
de ses forces et faiblesses * Veuillez sélectionner une
seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas à l'avance
|
Jusqu'à 6 mois
à l'avance
|
Jusqu'à 1 an à l'avance
|
Jusqu'à 3 ans à l'avance
|
Jusqu'à 5 ans à l'avance
|
Plus de 5 ans à l'avance
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
La gestion de votre entreprise
Vous venez de caractériser brièvement les grandes
lignes de votre gestion de l'information. Les questions suivantes traitent de
questions plus générales sur la gestion de votre Entreprise.
33 [Q4_1] Vous établissez des partenariats avec
des concurrents * Veuillez sélectionner une
seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
34 [Q4_2] Vous établissez des partenariats avec
des entreprises non concurrentes * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
35 [Q4_3] Vous avez une stratégie de
différentiation de vos produits par rapport à la concurrence
*
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
36 [Q4_4] Vous vous désengagez d'une partie de vos
activités * Veuillez sélectionner une
seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
37 [Q4_5] Vous diversifiez votre production
*
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
38 [Q4_6] Vous luttez face à vos concurrents par
une meilleure compétitivité de vos coûts *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
39 [Q4_7] Vous intégrez des activités en
amont ou en aval de la vôtre * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
40 [Q4_8] Vous adoptez une stratégie de niche *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
41 [Q4_9] Dans le cadre des comités ou des
réunions d'organismes professionnels, votre entreprise y recueille des
informations *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
42 [Q4_10 ]Dans le cadre des comités ou des
réunions d'organismes professionnels, votre entreprise pèse sur
les décisions qui y sont prises *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
43 [Q4_11] Vous vous investissez personnellement dans
le cadre des comités ou des réunions d'organismes professionnels
*
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
44 [Q4_12] Vous participez personnellement à
l'évaluation des forces et faiblesses de votre entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
45 [Q4_13] Les cadres de l'entreprise participent
à l'évaluation des forces et faiblesses de votre entreprise
*
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
46 [Q4_14] Les employés de l'entreprise
participent à l'évaluation des forces et faiblesses de votre
entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
47 [Q4_15] D'autres personnes participent à
l'évaluation des forces et faiblesses de votre entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
48 [Q4_16] Vous participez personnellement à
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
49 [Q4_17] Les cadres participent à
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
50 [Q4_18] Les employés participent à
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
51 [Q4_19] D'autres personnes participent à
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Jamais
|
Très rarement (moins d'une fois par
an)
|
Rarement (une fois par an)
|
Assez souvent (plusieurs fois par
an)
|
Souvent (plusieurs fois par mois)
|
Très souvent (plusieurs fois par
semaine)
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
Votre perception de l'environnement de l'entreprise et
vos actions
52 [Q5_1] Vous êtes compétitifs par rapport
à vos principaux concurrents * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
53 [Q5_2] Votre entreprise à la capacité
d'influencer son environnement * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
54 [Q5_3] Vous utilisez des stratégies novatrices
par rapport à celles de vos concurrents *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
55 [Q5_4] Vous expliquez la stratégie de votre
entreprise aux cadres * Veuillez sélectionner une
seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
56 [Q5_5] Vous expliquez la stratégie de votre
entreprise aux employés * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
57 [Q5_6] Votre entreprise se donne les moyens
d'influencer les décisions des pouvoirs publics (lois, normes,
règlements...) *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
58 [Q5_7] Vous agissez plus rapidement que vos
concurrents * Veuillez sélectionner une seule
des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
59 [Q5_8] En général, les résultats
atteints par votre entreprise correspondent à vos prévisions
initiales *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
60 [Q5_9] Votre prise de décision
stratégique comporte différentes étapes *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire
la façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes
:
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
61 [Q5_10] Ces étapes s'enchaînent dans le
même ordre * Veuillez sélectionner une
seule des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
62 [Q5_11] Vous avez une idée concrète de
la situation de votre entreprise dans l'avenir *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
63 [Q5_12] Vous la partagez avec les cadres de
l'entreprise *
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
64 [Q5_14] Vous la partagez avec les employés de
l'entreprise * Veuillez sélectionner une seule
des propositions suivantes :
· 1
· 2
· 3
· 4
· 5
· 6
Les questions qui suivent visent à décrire la
façon dont l'information est gérée dans votre
entreprise.
Je vous propose les réponses-types suivantes :
Pas du tout d'accord
|
Pas d'accord
|
Plutôt pas d'accord
|
Plutôt d'accord
|
D'accord
|
Tout à fait d'accord
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
Merci de bien vouloir sélectionner pour chaque
proposition le chiffre qui correspond le mieux à votre
opinion.
65 [Q5_15] Votre entreprise est confrontée
à une concurrence plutôt * Veuillez sélectionner
une seule des propositions suivantes :
· Aucune concurrence
· Locale
· Régionale
· Nationale
· Européenne
· Mondiale
Merci de sélectionner l'affirmation qui correspond
à la situation qui vous conviens le mieux. Quelle est votre
conception de l'intelligence économique ?
Dans cette partie, vous pouvez donner votre perception de
l'intelligence économique
66 [Q6_1] Votre entreprise pratique l'Intelligence
Economique * Veuillez sélectionner une seule
des propositions suivantes :
· Mon entreprise pratique l'I.E.
· Mon entreprise ne pratique pas l'I.E.
· Je ne sais pas
Sélectionnez la réponse qui se rapproche le mieux
de votre cas
67 [Q6_2] Quelle est votre définition de
l'intelligence économique * Veuillez écrire votre
réponse ici :
Vous pouvez donner, en quelques lignes, votre définition
de l'intelligence économique
68 [Q6_3] Quelle est votre conception de l'intelligence
économique ? *
Veuillez écrire votre réponse ici :
Vous pouvez exprimer en quelques lignes, votre conception de
l'intelligence économique.
Fiche signalétique
Pour terminer cette enquête sur l'intelligence
économique et ses pratiques en entreprise, vous pouvez si vous le
souhaitez apporter quelques informations complémentaires, qui
permettront d'établir des statistiques plus précises en fonction
de la taille de l'entreprise, de son activité, de son appartenance
à un groupe...
69 [Q7_1] Combien avez-vous de salariés
?
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Pas de salarié
· de 1 à 5 salariés
· de 1 à 9 salariés
· de 1 à 19 salariés
· de 1 à 49 salariés
· de 1 à 100 salariés
· de 1 à 200 salariés
· de 1 à 500 salariés
· de 1 à 1 000 salariés
· de 1 à 2 000 salariés
· Plus de 2 000 salariés
Sélectionnez dans la liste déroulante le tranche
qui vous corresponds le mieux
70 [Q7_2] Quel est votre chiffre d'affaires
Veuillez écrire votre réponse ici :
Indiquez quel est le C.A. de votre entreprise (en euros)
71 [Q7_3] Votre entreprise est-elle ?
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
· Est leader dans son domaine d'activité
principal
· Dans les 3 premiers concurrents de son secteur
d'activité principal
· Autre
Sélectionnez dans la liste déroulante la
réponse qui correspond le mieux à votre situation
72 [Q7_4] Quel est le nom de votre
entreprise
Veuillez écrire votre réponse ici :
73 [Q7_5] Quelle est l'adresse de votre entreprise
Veuillez écrire votre réponse ici :
74 [Q7_6] Quel est votre nom ? Veuillez
écrire votre réponse ici :
75 [Q7_7] Quelle est votre fonction ? Veuillez
écrire votre réponse ici :
76 [Q7_8] Quel est votre numéro de
téléphone ? Veuillez écrire votre réponse
ici :
77 [Q7_9] Quel est le secteur d'activité de votre
entreprise ? Veuillez écrire votre réponse ici :
78 [Q7_10] Etes-vous rattaché à un groupe
?
Veuillez sélectionner une seule des
propositions suivantes :
·
Oui
· Non
79 [Q7_11] Souhaitez-vous recevoir les conclusions de
cette étude ? * Veuillez sélectionner une
seule des propositions suivantes :
· Oui
· Non
80 [Q7_12] Avez-vous des remarques à formuler sur
le contenu de ce questionnaire, ou sur l'étude proprement dite
?
Veuillez écrire votre réponse ici :
Si vous avez des remarques à formuler, vous pouvez les
exprimer dans la zone de texte cidessus.
Je vous remercie d'avoir participé à cette
enquête.
Je vous souhaite une agréable fin de journée
Cordialement
Stéphane MAGNAN
Veuillez faxer ce questionnaire rempli à : 05 45 82 71 91
Envoyer votre questionnaire.
Merci d'avoir complété ce questionnaire.
8.2 Annexes du chapitre 6
Les questions relatives à l'appréhension de
l'état de l'art dans les entreprises sont regroupées dans les
sections « La gestion de l'information (Groupe 1) » et « La
gestion de l'information (Groupe 2) ».
8.2.1 Réponses relatives à l'état de
l'art dans l'entreprise, numérotées de Q1_1 à
Q1_20
Les réponses apportées sont les suivantes :
Convention d'évaluation des questions de 1
à 20
|
Jamais
|
Très rarement
|
Rarement
|
Assez souvent
|
Souvent
|
Très souvent
|
|
Moins d'une fois par an
|
Une fois par an
|
Plusieurs fois par an
|
Plusieurs fois par mois
|
Plusieurs fois par semaine
|
Q1_1 : Vous échangez des informations avec
d'autres chefs d'entreprises
|
Total
|
|
Jamais
|
3
|
5%
|
Très rarement
|
4
|
6%
|
Rarement
|
3
|
5%
|
Assez souvent
|
31
|
47%
|
Souvent
|
14
|
21%
|
Très souvent
|
11
|
17%
|
Total général
|
66
|
100%
|
Tableau 7.6
Q1 2 : Vous échangez des informations avec des
concurrents
|
Total
|
|
Jamais
|
12
|
18%
|
Très rarement
|
12
|
18%
|
Rarement
|
18
|
27%
|
Assez souvent
|
19
|
29%
|
Souvent
|
5
|
8%
|
Très souvent
|
-
|
-
|
Total général
|
66
|
100%
|
Tableau 7.7
Q1_3 : Vous vous tenez informé des
dernières innovations technologiques
|
Total
|
|
Jamais
|
1
|
2%
|
Très rarement
|
1
|
2%
|
Rarement
|
6
|
9%
|
Assez souvent
|
31
|
47%
|
Souvent
|
20
|
30%
|
Très souvent
|
7
|
11%
|
Autre
|
-
|
-
|
Total général
|
66
|
100%
|
Tableau 7.8
Q1_4 : Vous vous tenez informé de ce qui se passe
dans votre secteur d'activité (fournisseurs, clients,
concurrents...)
|
Total
|
|
Jamais
|
1
|
1,6%
|
Très rarement
|
-
|
-
|
Rarement
|
-
|
-
|
Assez souvent
|
21
|
32,8%
|
Souvent
|
21
|
32,8%
|
Très souvent
|
21
|
32,8%
|
Total général
|
64
|
100,0%
|
Tableau 7.9
Q1_5 : Vous vous tenez au courant de ce qui se passe
dans l'environnement global de l'entreprise (tendances sociales, juridiques,
économiques...)
|
Total
|
|
Jamais
|
1
|
2%
|
Très rarement
|
1
|
2%
|
Rarement
|
5
|
8%
|
Assez souvent
|
22
|
35%
|
Souvent
|
21
|
33%
|
Très souvent
|
13
|
21%
|
Total général
|
63
|
100%
|
Tableau 7.10
Q1_6 : Vous connaissez les forces et faiblesses propres
à votre entreprise et abordez la question
|
Total
|
|
Jamais
|
1
|
2%
|
Très rarement
|
-
|
-
|
Rarement
|
7
|
11%
|
Assez souvent
|
28
|
45%
|
Souvent
|
22
|
35%
|
Très souvent
|
4
|
6%
|
Total général
|
62
|
100%
|
Tableau 7.11
Q1_7 : Dans votre entreprise, la recherche d'informations
s'appuie sur internet
|
Total
|
|
Jamais
|
1
|
2%
|
Très rarement
|
-
|
-
|
Rarement
|
3
|
5%
|
Assez souvent
|
9
|
15%
|
Souvent
|
25
|
40%
|
Très souvent
|
24
|
39%
|
Total général
|
62
|
100%
|
Tableau 7.12
Q1_8 : Dans votre entreprise, la diffusion de
l'information s'appuie sur un intranet
|
Total
|
|
Jamais
|
18
|
29%
|
Très rarement
|
3
|
5%
|
Rarement
|
2
|
3%
|
Assez souvent
|
7
|
11%
|
Souvent
|
13
|
21%
|
Très souvent
|
19
|
31%
|
Total général
|
62
|
100%
|
Tableau 7.13
Q1_9 : Votre entreprise utilise des logiciels
spécifiques pour la gestion de l'information (collecte, traitement,
stockage...)
|
Total
|
|
Jamais
|
18
|
29%
|
Très rarement
|
3
|
5%
|
Rarement
|
6
|
10%
|
Assez souvent
|
6
|
10%
|
Souvent
|
7
|
11%
|
Très souvent
|
22
|
35%
|
Total général
|
62
|
100%
|
Tableau 7.14
Q1_10 : Les salariés de votre entreprise
écrivent des rapports relatant les informations recueillies par
eux
|
Total
|
|
Jamais
|
10
|
16%
|
Très rarement
|
10
|
16%
|
Rarement
|
8
|
13%
|
Assez souvent
|
17
|
28%
|
Souvent
|
14
|
23%
|
Très souvent
|
2
|
3%
|
Total général
|
61
|
100%
|
Tableau 7.15
Q1_11 : Vous déposez des brevets
|
Total
|
|
Jamais
|
42
|
69%
|
Très rarement
|
10
|
16%
|
Rarement
|
5
|
8%
|
Assez souvent
|
3
|
5%
|
Souvent
|
1
|
2%
|
Très souvent
|
-
|
-
|
Total général
|
61
|
100%
|
Tableau 7.16
Q1_12 : Dans votre entreprise, l'information circule
vite
|
Total
|
|
Jamais
|
-
|
-
|
Très rarement
|
-
|
-
|
Rarement
|
6
|
10%
|
Assez souvent
|
20
|
34%
|
Souvent
|
26
|
44%
|
Très souvent
|
7
|
12%
|
Total général
|
59
|
100%
|
Tableau 7.17
Q1_13 : Vous connaissez les limites légales en
matière d'information (collecte, diffusion...)
|
Total
|
|
Jamais
|
4
|
7%
|
Très rarement
|
2
|
3%
|
Rarement
|
22
|
38%
|
Assez souvent
|
18
|
31%
|
Souvent
|
9
|
16%
|
Très souvent
|
3
|
5%
|
Total général
|
58
|
100%
|
Tableau 7.18
Q1_14 : Votre entreprise est sensibilisée au
problème de sécurité de l'information
|
Total
|
|
Jamais
|
1
|
2%
|
Très rarement
|
7
|
12%
|
Rarement
|
9
|
16%
|
Assez souvent
|
16
|
28%
|
Souvent
|
18
|
32%
|
Très souvent
|
6
|
11%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.19
Q1_15 : Personnellement, en tant que Chef d'Entreprise ou
de responsable du Système d'Information, vous participez à la
collecte de l'information
|
Total
|
|
Jamais
|
|
|
Très rarement
|
|
|
Rarement
|
7
|
12%
|
Assez souvent
|
17
|
30%
|
Souvent
|
21
|
37%
|
Très souvent
|
12
|
21%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.20
Q1_16 : Personnellement, en tant que Chef d'Entreprise ou
de responsable du Système d'Information, vous participez à la
diffusion de l'information
|
Total
|
|
Jamais
|
|
|
Très rarement
|
1
|
2%
|
Rarement
|
1
|
2%
|
Assez souvent
|
11
|
19%
|
Souvent
|
30
|
53%
|
Très souvent
|
14
|
25%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.21
Q1_17 : Les cadres de votre Entreprise participent
à la collecte de l'information
|
Total
|
|
Jamais
|
5
|
9%
|
Très rarement
|
2
|
4%
|
Rarement
|
2
|
4%
|
Assez souvent
|
16
|
28%
|
Souvent
|
22
|
39%
|
Très souvent
|
10
|
18%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.22
Q1_18 : Les cadres de votre Entreprise participent
à la diffusion de l'information dans l'Entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
5
|
9%
|
Très rarement
|
2
|
4%
|
Rarement
|
4
|
7%
|
Assez souvent
|
15
|
26%
|
Souvent
|
23
|
40%
|
Très souvent
|
8
|
14%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.23
Q1_19 : Les employés de votre Entreprise
participent à la collecte de l'information
|
Total
|
|
Jamais
|
|
|
Très rarement
|
6
|
11%
|
Rarement
|
16
|
28%
|
Assez souvent
|
16
|
28%
|
Souvent
|
16
|
28%
|
Très souvent
|
3
|
5%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.24
Q1_20 : Les employés de votre Entreprise
participent à la diffusion de l'information dans
l'Entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
1
|
2%
|
Très rarement
|
9
|
16%
|
Rarement
|
17
|
30%
|
Assez souvent
|
13
|
23%
|
Souvent
|
13
|
23%
|
Très souvent
|
4
|
7%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.25
8.2.2 Réponses relatives à l'Ethique en
matière d'information, numérotées de Q2_1 à
Q2_8
Q2_1 : Sur les questions d'éthique, en
matière d'information, où vous situez-vous ?
|
Total
|
|
Ce thème ne nous intéresse pas
|
14
|
25%
|
Nous comptons nous y intéresser un jour
|
15
|
26%
|
Nous possédons une charte d'éthique et
contrôlons son respect
|
3
|
5%
|
Nous possédons une charte d'éthique traitant des
recherches d'informations
|
1
|
2%
|
Un début de réflexion a été
mené
|
16
|
28%
|
Une réflexion poussée, mais non formalisée a
été menée
|
8
|
14%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.26
Q2_2 : Avez-vous déjà été
victime d'une pratique illégale (débauchage de cadres, piratage
informatique, vol d'informations stratégiques...) ?
|
Total
|
|
Au moins une atteinte avec des conséquences
menaçant la vie de l'entreprise
|
1
|
2%
|
Au moins une atteinte grave
|
5
|
9%
|
Au moins une atteinte mineure
|
5
|
9%
|
Jamais
|
14
|
25%
|
Pas à ma connaissance
|
29
|
51%
|
Seulement des tentatives ratées
|
3
|
5%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.27
Q2_3 : Existe-t-il des mesures de sécurité
de l'information dans votre entreprise ?
|
Total
|
|
Aucune mesure
|
4
|
7%
|
Des mesures importantes
|
17
|
30%
|
Des mesures très importantes
|
1
|
2%
|
Peu de mesures
|
6
|
11%
|
Quelques mesures
|
19
|
33%
|
Très peu de mesures
|
10
|
18%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.28
Q2_4 : L'information commerciale de votre entreprise est
:
|
Total
|
|
Accessible uniquement par les personnels habilités
|
6
|
11%
|
Moyennement protégée
|
20
|
35%
|
Peu protégée
|
15
|
26%
|
Sans protection
|
3
|
5%
|
Très peu protégée
|
8
|
14%
|
Très protégée
|
5
|
9%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7.29
Q2_5 : Quel est le niveau de contrôle sur la
diffusion de l'information commerciale à l'intérieur de votre
entreprise
|
Total
|
|
Aucun contrôle
|
6
|
11%
|
Diffusée uniquement aux personnels habilités
|
5
|
9%
|
Moyennement contrôlée
|
13
|
23%
|
Peu contrôlée
|
14
|
25%
|
Très contrôlée
|
6
|
11%
|
Très peu de contrôle
|
13
|
23%
|
Total général
|
57
|
100%
|
Tableau 7. 30
Q2_6 : Quel est le niveau de contrôle sur la
diffusion de l'information commerciale à l'extérieur de votre
entreprise
|
Total
|
|
Aucun contrôle
|
7
|
13%
|
Diffusée uniquement aux personnels habilités
|
5
|
9%
|
Moyennement contrôlée
|
13
|
23%
|
Peu contrôlée
|
9
|
16%
|
Très contrôlée
|
11
|
20%
|
Très peu de contrôle
|
11
|
20%
|
Total général
|
56
|
100%
|
Tableau 7. 31
Q2_7 : Vous avez mis en place des moyens de
contrôle de diffusion de l'information commerciale
|
Total
|
|
Aucun moyen de contrôle
|
14
|
25%
|
Moyens de contrôles étendus
|
2
|
4%
|
Moyens de contrôles normaux
|
16
|
29%
|
Peu de moyens de contrôles
|
9
|
16%
|
Toute diffusion de l'information est contrôlée
|
3
|
5%
|
Très peu de moyens de contrôles
|
11
|
20%
|
Total général
|
55
|
100%
|
Tableau 7. 32
Q2_8 : Dans votre entreprise, l'information commerciale
représente
|
Total
|
|
Peu d'intérêt
|
4
|
7%
|
Très peu d'intérêt
|
4
|
7%
|
Un intérêt majeur
|
21
|
38%
|
Un intérêt moyen
|
18
|
33%
|
Un intérêt stratégique
|
8
|
15%
|
Total général
|
55
|
100%
|
Tableau 7. 33
8.2.3 Réponses relatives à l'anticipation
de l'avenir, numérotées de Q3_1 à Q3_4
Q3 1 : Votre entreprise anticipe les innovations
technologiques
|
Total
|
|
Pas à l'avance
|
14
|
25%
|
Jusqu'à 6 mois à l'avance
|
7
|
13%
|
Jusqu'à un an à l'avance
|
18
|
33%
|
Jusqu'à 3 ans à l'avance
|
10
|
18%
|
Jusqu'à 5 ans à l'avance
|
5
|
9%
|
Plus de 5 ans à l'avance
|
1
|
2%
|
Total général
|
55
|
100%
|
Tableau 7. 34
Q3_2 : Votre entreprise anticipe les mutations de votre
secteur
|
Total
|
|
Pas à l'avance
|
9
|
16%
|
Jusqu'à 6 mois à l'avance
|
4
|
7%
|
Jusqu'à un an à l'avance
|
14
|
25%
|
Jusqu'à 3 ans à l'avance
|
21
|
38%
|
Jusqu'à 5 ans à l'avance
|
5
|
9%
|
Plus de 5 ans à l'avance
|
2
|
4%
|
Total général
|
55
|
100%
|
Tableau 7. 35
Q3_3 : Votre entreprise anticipe les mutations de
l'environnement global
|
Total
|
|
Pas à l'avance
|
7
|
13%
|
Jusqu'à 6 mois à l'avance
|
10
|
18%
|
Jusqu'à un an à l'avance
|
12
|
22%
|
Jusqu'à 3 ans à l'avance
|
20
|
36%
|
Jusqu'à 5 ans à l'avance
|
4
|
7%
|
Plus de 5 ans à l'avance
|
2
|
4%
|
Total général
|
55
|
100%
|
Tableau 7. 36
Q3_4 : Votre entreprise anticipe les évolutions de
ses forces et faiblesses
|
Total
|
|
Pas à l'avance
|
7
|
13%
|
Jusqu'à 6 mois à l'avance
|
7
|
13%
|
Jusqu'à un an à l'avance
|
20
|
36%
|
Jusqu'à 3 ans à l'avance
|
16
|
29%
|
Jusqu'à 5 ans à l'avance
|
4
|
7%
|
Plus de 5 ans à l'avance
|
1
|
2%
|
Total général
|
55
|
100%
|
Tableau 7. 37
8.2.4 Réponses relatives à la gestion de
l'entreprise, numérotées de Q4_1 à Q4_19
Q4_1 : Vous établissez des partenariats avec des
concurrents
|
Total
|
|
Jamais
|
21
|
38%
|
Très rarement
|
12
|
22%
|
Rarement
|
10
|
18%
|
Assez souvent
|
9
|
16%
|
Souvent
|
2
|
4%
|
Très souvent
|
1
|
2%
|
Total général
|
55
|
100%
|
Tableau 7.38
Q4_2 : Vous établissez des partenariats avec des
entreprises non concurrentes
|
Total
|
|
Jamais
|
5
|
9%
|
Très rarement
|
10
|
18%
|
Rarement
|
8
|
15%
|
Assez souvent
|
21
|
38%
|
Souvent
|
10
|
18%
|
Très souvent
|
1
|
2%
|
Total général
|
55
|
100%
|
Tableau 7.39
Q4_3 : Vous avez une stratégie de
différentiation de vos produits par rapport à la
concurrence
|
Total
|
|
Jamais
|
4
|
8%
|
Très rarement
|
5
|
9%
|
Rarement
|
2
|
4%
|
Assez souvent
|
28
|
53%
|
Souvent
|
9
|
17%
|
Très souvent
|
5
|
9%
|
Total général
|
53
|
100%
|
Tableau 7.40
Q4 4 : Vous vous désengagez d'une partie de vos
activités
|
Total
|
|
Jamais
|
15
|
28%
|
Très rarement
|
23
|
43%
|
Rarement
|
11
|
21%
|
Assez souvent
|
3
|
6%
|
Souvent
|
1
|
2%
|
Très souvent
|
-
|
-
|
Total général
|
53
|
100%
|
Tableau 7.41
Q4_5 : Vous diversifiez votre production
|
Total
|
|
Jamais
|
3
|
6%
|
Très rarement
|
7
|
13%
|
Rarement
|
16
|
31%
|
Assez souvent
|
16
|
31%
|
Souvent
|
3
|
6%
|
Très souvent
|
7
|
13%
|
Total général
|
52
|
100%
|
Tableau 7.42
Q4_6 : Vous luttez face à vos concurrents par une
meilleure compétitivité de vos coûts
|
Total
|
|
Jamais
|
3
|
6%
|
Très rarement
|
5
|
10%
|
Rarement
|
8
|
15%
|
Assez souvent
|
15
|
29%
|
Souvent
|
12
|
23%
|
Très souvent
|
9
|
17%
|
Total général
|
52
|
100%
|
Tableau 7.43
Q4_7 : Vous intégrez des activités en amont
ou en aval de la vôtre
|
Total
|
|
Jamais
|
5
|
10%
|
Très rarement
|
12
|
24%
|
Rarement
|
14
|
27%
|
Assez souvent
|
9
|
18%
|
Souvent
|
4
|
8%
|
Très souvent
|
7
|
14%
|
Total général
|
51
|
100%
|
Tableau 7.44
Q4 8 : Vous adoptez une stratégie de
niche
|
Total
|
|
Jamais
|
8
|
16%
|
Très rarement
|
9
|
18%
|
Rarement
|
6
|
12%
|
Assez souvent
|
18
|
35%
|
Souvent
|
3
|
6%
|
Très souvent
|
7
|
14%
|
Total général
|
51
|
100%
|
Tableau 7.45
Q4_9 : Dans le cadre des comités ou des
réunions d'organismes professionnels, votre entreprise y recueille des
informations
|
Total
|
|
Jamais
|
3
|
6%
|
Très rarement
|
4
|
8%
|
Rarement
|
7
|
14%
|
Assez souvent
|
24
|
47%
|
Souvent
|
9
|
18%
|
Très souvent
|
4
|
8%
|
Total général
|
51
|
100%
|
Tableau 7.46
Q4_10 : Dans le cadre des comités ou des
réunions d'organismes professionnels, votre entreprise pèse sur
les décisions qui y sont prises
|
Total
|
|
Jamais
|
11
|
22%
|
Très rarement
|
10
|
20%
|
Rarement
|
10
|
20%
|
Assez souvent
|
15
|
29%
|
Souvent
|
4
|
8%
|
Très souvent
|
1
|
2%
|
Total général
|
51
|
100%
|
Tableau 7.47
Q4_11 : Vous vous investissez personnellement dans le
cadre des comités ou des réunions d'organismes
professionnels
|
Total
|
|
Jamais
|
9
|
18%
|
Très rarement
|
7
|
14%
|
Rarement
|
10
|
20%
|
Assez souvent
|
13
|
25%
|
Souvent
|
9
|
18%
|
Très souvent
|
3
|
6%
|
Total général
|
51
|
100%
|
Tableau 7.48
Q4_12 : Vous participez personnellement à
l'évaluation des forces et faiblesses de votre entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
-
|
-
|
Très rarement
|
2
|
4%
|
Rarement
|
6
|
12%
|
Assez souvent
|
16
|
31%
|
Souvent
|
17
|
33%
|
Très souvent
|
10
|
20%
|
Total général
|
51
|
100%
|
Tableau 7.49
Q4_13 : Les cadres de l'entreprise participent à
l'évaluation des forces et faiblesses de votre entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
5
|
10%
|
Très rarement
|
-
|
-
|
Rarement
|
14
|
27%
|
Assez souvent
|
15
|
29%
|
Souvent
|
13
|
25%
|
Très souvent
|
4
|
8%
|
Total général
|
51
|
100%
|
Tableau 7.50
Q4_14 : Les employés de l'entreprise participent
à l'évaluation des forces et faiblesses de votre
entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
3
|
6%
|
Très rarement
|
7
|
14%
|
Rarement
|
15
|
30%
|
Assez souvent
|
20
|
40%
|
Souvent
|
5
|
10%
|
Très souvent
|
-
|
-
|
Total général
|
50
|
100%
|
Tableau 7.51
Q4_15 : D'autres personnes participent à
l'évaluation des forces et faiblesses de votre entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
10
|
20%
|
Très rarement
|
9
|
18%
|
Rarement
|
14
|
28%
|
Assez souvent
|
12
|
24%
|
Souvent
|
5
|
10%
|
Très souvent
|
-
|
-
|
Total général
|
50
|
100%
|
Tableau 7.52
Q4_16 : Vous participez personnellement à
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
1
|
2%
|
Très rarement
|
5
|
10%
|
Rarement
|
5
|
10%
|
Assez souvent
|
21
|
42%
|
Souvent
|
10
|
20%
|
Très souvent
|
8
|
16%
|
Total général
|
50
|
100%
|
Tableau 7.53
Q4_17 : Les cadres participent à
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
8
|
16%
|
Très rarement
|
3
|
6%
|
Rarement
|
8
|
16%
|
Assez souvent
|
22
|
44%
|
Souvent
|
6
|
12%
|
Très souvent
|
3
|
6%
|
Total général
|
50
|
100%
|
Tableau 7.54
Q4_18 : Les employés participent à
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
5
|
10%
|
Très rarement
|
16
|
32%
|
Rarement
|
12
|
24%
|
Assez souvent
|
16
|
32%
|
Souvent
|
1
|
2%
|
Très souvent
|
-
|
-
|
Total général
|
50
|
100%
|
Tableau 7.55
Q4_19 : D'autres personnes participent à
l'évaluation des menaces et opportunités provenant de
l'environnement de l'entreprise
|
Total
|
|
Jamais
|
10
|
20%
|
Très rarement
|
14
|
28%
|
Rarement
|
11
|
22%
|
Assez souvent
|
10
|
20%
|
Souvent
|
5
|
10%
|
Très souvent
|
-
|
-
|
Total général
|
50
|
100%
|
Tableau 7.56
8.2.5 Réponses relatives à la perception de
l'environnement de l'entreprise et des actions entreprises,
numérotées de Q5_1 à Q5_15
Q5_1 : Vous êtes compétitifs par rapport
à vos principaux concurrents
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
-
|
-
|
Pas d'accord
|
-
|
-
|
Plutôt pas d'accord
|
5
|
10%
|
Plutôt d'accord
|
19
|
39%
|
D'accord
|
17
|
35%
|
Tout à fait d'accord
|
8
|
16%
|
Total général
|
49
|
100%
|
Tableau 7.57
Q5_2 : Votre entreprise à la capacité
d'influencer son environnement
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
3
|
6%
|
Pas d'accord
|
2
|
4%
|
Plutôt pas d'accord
|
7
|
14%
|
Plutôt d'accord
|
18
|
37%
|
D'accord
|
17
|
35%
|
Tout à fait d'accord
|
2
|
4%
|
Total général
|
49
|
100%
|
Tableau 7.58
Q5_3 : Vous utilisez des stratégies novatrices par
rapport à celles de vos concurrents
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
-
|
-
|
Pas d'accord
|
2
|
4%
|
Plutôt pas d'accord
|
6
|
12%
|
Plutôt d'accord
|
17
|
35%
|
D'accord
|
15
|
31%
|
Tout à fait d'accord
|
9
|
18%
|
Total général
|
49
|
100%
|
Tableau 7.59
Q5_4 : Vous expliquez la stratégie de votre
entreprise aux cadres
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
4
|
8%
|
Pas d'accord
|
-
|
-
|
Plutôt pas d'accord
|
3
|
6%
|
Plutôt d'accord
|
9
|
18%
|
D'accord
|
20
|
41%
|
Tout à fait d'accord
|
13
|
27%
|
Total général
|
49
|
100%
|
Tableau 7.60
Q5_5 : Vous expliquez la stratégie de votre
entreprise aux employés
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
-
|
-
|
Pas d'accord
|
-
|
-
|
Plutôt pas d'accord
|
7
|
14%
|
Plutôt d'accord
|
16
|
33%
|
D'accord
|
21
|
43%
|
Tout à fait d'accord
|
5
|
10%
|
Total général
|
49
|
100%
|
Tableau 7.61
Q5_6 : Votre entreprise se donne les moyens d'influencer
les décisions des pouvoirs publics (lois, normes,
règlements...)
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
20
|
41%
|
Pas d'accord
|
4
|
8%
|
Plutôt pas d'accord
|
9
|
18%
|
Plutôt d'accord
|
9
|
18%
|
D'accord
|
5
|
10%
|
Tout à fait d'accord
|
2
|
4%
|
Total général
|
49
|
100%
|
Tableau 7.62
Q5_7 : Vous agissez plus rapidement que vos
concurrents
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
-
|
-
|
Pas d'accord
|
2
|
4%
|
Plutôt pas d'accord
|
8
|
16%
|
Plutôt d'accord
|
20
|
41%
|
D'accord
|
12
|
24%
|
Tout à fait d'accord
|
7
|
14%
|
Total général
|
49
|
100%
|
Tableau 7.63
Q5_8 : En général, les résultats
atteints par votre entreprise correspondent à vos prévisions
initiales
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
-
|
-
|
Pas d'accord
|
1
|
2%
|
Plutôt pas d'accord
|
2
|
4%
|
Plutôt d'accord
|
21
|
43%
|
D'accord
|
22
|
45%
|
Tout à fait d'accord
|
3
|
6%
|
Total général
|
49
|
100%
|
Tableau 7.64
Q5_9 : Votre prise de décision stratégique
comporte différentes étapes
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
1
|
2%
|
Pas d'accord
|
-
|
-
|
Plutôt pas d'accord
|
1
|
2%
|
Plutôt d'accord
|
20
|
42%
|
D'accord
|
22
|
46%
|
Tout à fait d'accord
|
4
|
8%
|
Total général
|
48
|
100%
|
Tableau 7.65
Q5_10 : Ces étapes s'enchaînent dans le
même ordre
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
-
|
-
|
Pas d'accord
|
2
|
4%
|
Plutôt pas d'accord
|
4
|
8%
|
Plutôt d'accord
|
22
|
46%
|
D'accord
|
18
|
38%
|
Tout à fait d'accord
|
2
|
4%
|
Total général
|
48
|
100%
|
Tableau 7.66
Q5_11 : Vous avez une idée concrète de la
situation de votre entreprise dans l'avenir
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
-
|
-
|
Pas d'accord
|
2
|
4%
|
Plutôt pas d'accord
|
4
|
8%
|
Plutôt d'accord
|
22
|
46%
|
D'accord
|
17
|
35%
|
Tout à fait d'accord
|
3
|
6%
|
Total général
|
48
|
100%
|
Tableau 7.67
Q5 12 : Vous la partagez avec les cadres de
l'entreprise
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
4
|
8%
|
Pas d'accord
|
2
|
4%
|
Plutôt pas d'accord
|
4
|
8%
|
Plutôt d'accord
|
17
|
35%
|
D'accord
|
14
|
29%
|
Tout à fait d'accord
|
7
|
15%
|
Total général
|
48
|
100%
|
Tableau 7.68
Q5_13 : Vous la partagez avec les employés de
l'entreprise
|
Total
|
|
Pas du tout d'accord
|
1
|
2%
|
Pas d'accord
|
3
|
6%
|
Plutôt pas d'accord
|
9
|
19%
|
Plutôt d'accord
|
22
|
46%
|
D'accord
|
13
|
27%
|
Tout à fait d'accord
|
-
|
-
|
Total général
|
48
|
100%
|
Tableau 7.69
Q5_14 : Votre entreprise est confrontée à
une concurrence plutôt
|
Total
|
|
Aucune concurrence
|
1
|
2%
|
Européenne
|
8
|
17%
|
Locale
|
6
|
13%
|
Mondiale
|
4
|
8%
|
Nationale
|
15
|
31%
|
Régionale
|
14
|
29%
|
Total général
|
48
|
100%
|
Tableau 7.70
8.2.6 Réponses relatives à la conception de
l'intelligence économique, numérotées de Q6_1 à
Q6_3
Q6_1 : Votre entreprise pratique l'Intelligence
Economique
|
Total
|
|
Je ne sais pas
|
22
|
46%
|
Mon entreprise ne pratique pas l'I.E.
|
13
|
27%
|
Mon entreprise pratique l'I.E.
|
13
|
27%
|
Total général
|
48
|
100%
|
Tableau 7.71
Q6_2 : Quelle est votre définition de
l'intelligence économique Réponses restituées
dans la section 7 partie 3 Résultats et discussions Q6_3 :
Quelle est votre conception de l'intelligence économique
Réponses restituées dans la section 7 partie 3
Résultats et discussions
8.2.7 Réponses relatives à
l'identité, la taile, le secteur d'activité...,
numérotées de Q7_1 à Q7_12
Q7_1 Combien avez-vous de salariés ?
|
Total
|
|
de 1 à 5 salariés
|
4
|
9%
|
de 1 à 9 salariés
|
4
|
9%
|
de 1 à 19 salariés
|
14
|
31%
|
de 1 à 49 salariés
|
8
|
18%
|
de 1 à 100 salariés
|
9
|
20%
|
de 1 à 200 salariés
|
3
|
7%
|
de 1 à 500 salariés
|
3
|
7%
|
Total général
|
45
|
100%
|
Tableau 7.72
Q7_2 : Quel est votre chiffre d'affaires
|
Total
|
Moins de 1 000 000 €
|
|
11
|
De 1 000 001 à 5 000 000 €
|
|
8
|
De 5 000 001 à 10 000 000 €
|
|
12
|
De 10 000 001 € à 50 000 000
|
€
|
4
|
Total général
|
|
35
|
Tableau 7.73
Q7_3 : Votre entreprise est-elle ?
|
Total
|
|
Autre
|
16
|
47%
|
Dans les 3 premiers concurrents de son secteur d'activité
principal
|
13
|
38%
|
Est leader dans son domaine d'activité principal
|
5
|
15%
|
Total général
|
34
|
100%
|
Tableau 7.74
Questions Q7_4 à Q7_6 servent à identifier
l'entreprise et la personne ayant répondu au questionnaire. Le
détail des réponses n'apporte aucune information essentielle dans
la production de ce mémoire. Elles ne sont par conséquent pas
retranscrites.
Q7_7 : Quelle est votre fonction ?
|
Total
|
|
Chef d'entreprise
|
12
|
36%
|
Directeur Général
|
4
|
12%
|
Directeur (autre fonction de direction)
|
8
|
24%
|
Responsable de service, cadre
|
7
|
21%
|
Employé
|
2
|
6%
|
Total général
|
33
|
100%
|
Tableau 7.75
Questions Q7_8 sert à identifier l'entreprise et la
personne ayant répondu au questionnaire. Le détail des
réponses n'apporte aucune information essentielle dans la production de
ce mémoire. Elle n'est par conséquent pas retranscrite.
Q7_9 : Quel est le secteur d'activité de votre
entreprise ?
|
Total
|
Administration
|
1
|
Assurance
|
1
|
Bâtiment
|
6
|
Industrie
|
9
|
Commerce / Artisanat
|
5
|
Vins & Spiritueux
|
3
|
Transport
|
5
|
Service aux entreprises
|
9
|
Total général
|
39
|
Tableau 7.76
Questions Q7_10 à Q7_12 servent à identifier
l'entreprise et la personne ayant répondu au questionnaire. Le
détail des réponses n'apporte aucune information essentielle dans
la production de ce mémoire. Elles ne sont par conséquent pas
retranscrites.
|