REMERCIEMENTS
Ce travail a pu voir le jour grâce à des
soutiens financier, matériel et intellectuel. Aussi, tenons-nous
à remercier :
Professeur Sissoko Alain, homme de
vision ;
Professeur Koudou Opadou, grand
travailleur ;
Monsieur Gohourou Parfait, Préfet
hors-grade, Directeur Général de la Décentralisation et du
Développement Local qui, spontanément, nous a ouvert les portes
de ses services. Merci ;
Monsieur Gogoné Bi Boty Maxime,
Administrateur Civil, Directeur de la Tutelle Administrative, un sourire et un
mot gentil à tout le monde et la rigueur dans le travail ;
Monsieur Yao Kouassi Charles, Administrateur
Civil, Directeur de la Tutelle Economique et Financière ;
Monsieur Ladji Konaré, Inspecteur
d'éducation spécialisée, Ingénieur en
Développement Local, Chargé d'Etude à la DTA. Vous
êtes un bon encadreur ;
Messieurs N'gatta Pierre, Ladji Abou, Aké
Nandjui, à la DTA ;
A tous les frères et soeurs en Christ de la
cellule des mardis midis de la DGDDL, merci pour tout ;
Monsieur Gouly Adrien, agent TOTAL, le grand
soutien financier ;
Que Dieu vous bénisse tous pour vos différentes
contributions.
AVANT-PROPOS
La criminologie nous a fasciné depuis la classe de
seconde. En ce moment, nous n'en avions qu'une perception quelconque. Et notre
étude en maîtrise sur les douanes de l'aéroport FHB
d'Abidjan, nous a permis « d'enfoncer la porte » de la recherche
universitaire. Avec l'ouvrage actuel d'initiation aux études doctorales,
la réalisation de notre rêve d'adolescent se renforce :
devenir docteur en criminologie.
Pour se faire, notre projet thèse de doctorat ne
pouvait trouver mieux que de traiter d'un sujet aussi d'actualité que la
politique de décentralisation en Côte d'Ivoire. Cette politique
étant la nouvelle vision de développement de la
société ivoirienne, nous ne pouvions rester indifférent en
tant que citoyen et en tant que criminologue, face aux problèmes qu'elle
connaît. Sans prétendre détenir la panacée de la
gestion des conflits, nous voulons apporter notre contribution à
l'édification de notre nation, dans la consolidation de ses
institutions.
L'opinion africaine en général et l'opinion
ivoirienne en particulier, se fait souvent l'écho de cette boutade d'un
politique européen : « La démocratie est un
luxe pour les africains ». Que de se sentir rabaissé,
vexé, la politique de décentralisation nous donne l'occasion de
démontrer le contraire en faisant montre de notre maturité. Tout
comme les asiatiques se sont mis à l'école de la technologie
occidentale pour ensuite devenir les meilleurs, aujourd'hui, nous pouvons
maîtriser la politique de décentralisation et devenir les
meilleurs en la matière. Seulement, il faut y mettre du sien.
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