II. 4. CONCLUSION DU
CHAPITRE
Le présent chapitre a comporté trois sections
essentielles : la première analyse la notion de la liberté.
En effet, la vraie liberté, qui élève en l'homme, est un
signe privilégié de l'image divine (V.S., n° 38).
Mais, en ces temps qui sont les nôtres, l'homme ne veut plus mettre Dieu
au centre la liberté, mieux de sa liberté. Il l'exclut. Le pape
dit à ce propos : « Au point de départ de ces
conceptions (d'exclusion de Dieu), on note l'influence plus ou moins
masquée de courants de pensée qui en viennent à
séparer liberté humaine de sa relation nécessaire et
constitutive à la vérité » (V.S.
n° 4).C'est dans ce cadre que nous nous sommes proposés, à
travers ces lignes, de montrer à l'homme d'aujourd'hui là ou se
trouve la véritable liberté. Et l'encyclique Veritatis
Splendor nous a été d'un grand apport.
La deuxième section du chapitre a analysé, quant
à elle, la notion de la Loi. Comme nous le disions dans le paragraphe
précédent, l'homme actuel a délogé Dieu dans sa
vie. Il ne veut plus entendre parler ni de lui-même (Dieu) ni de sa Loi.
Il veut vivre libre. Et pourtant, comme on le sait, n'est libre que celui qui
accepte la Loi de Dieu ainsi que d'autres obligations morales.
Quant à la dernière section parle de la notion
de la vérité. En effet, la vérité est cette
lumière qui vient aider l'homme à accepter la Loi divine. En
fait, c'est cette acceptation de la Loi dans le coeur qui rend
véritablement l'homme libre. Ainsi donc, cette notion vient mettre un
lien entre les deux présentes et les rend complémentaires. Ce
chapitre constitue donc le point central de notre travail.
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