REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU
CONGO
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET
UNIVERSITAIRE
INSTITUT SUPERIEUR D'INFORMATIQUE ET DE
GESTION
« ISIG »
BP. 841/Goma
CONCEPTION ET IMPLEMENTATION D'UNE BASE DE DONNEES
DYNAMIQUE
ET PARTAGEE DE GESTION CLINIQUE
Cas d'étude : « LE CENTRE DE SANTE
MATERNITE DE REFERENCE CARMEL (CSMRC) »
Par : Eddy MUGISHO IMANI
Mémoire présenté en vue de l'obtention du
Diplôme
de Licencé en Informatique de Gestion
Directeur : Département
Informatique
Encadreurs : Assistants Jean Pierre SWEDI K. et Armel
KANEGE C.
Année Académique 2008-2009
DEDICACES
Je dédie ce
travail :
À mes parents
Monsieur Charles BAHATI et Madame Joséphine MUDAHAMA.
À mes frères et soeurs
Berry&Nadia, Guillaume, Freddy, Johny, Faida&Gaspard,
Zawadi, Vero, Julie, Gisèle et Marie Ange.
À tous
Mes grands parents, oncles, tantes, cousins, cousines, neveux
et nièces
À tous les amis, collaborateurs et camarades,
et à toutes les personnes de bonne volonté qui
ont contribué à la réalisation de ce mémoire.
Eddy Jacques MUGISHO IMANI
REMERCIEMENTS
Qu'il me soit permis d'exprimer ma profonde gratitude
:
- A DIEU Tout Puissant, pour m'avoir donné la force, la
santé et l'intelligence nécessaire pour accomplir ce
travail ;
- A mes parents et tous mes frères pour leurs
volontés, leurs énormes sacrifices et pour l'amour qu'ils ont su
me donner tout au long de ma formation. Je leur suis infiniment
reconnaissant ;
- Aux autorités académiques de l'ISIG ainsi que
tout le corps professoral et administratif pour l'ensemble des efforts, des
enseignements et conseils prodigués à notre
égard ;
- Aux encadreurs les Assistants Jean Pierre SWEDI K. et Armel
KANEGE C. pour m'avoir soutenu, guidé, encouragé et
orienté en prenant à coeur ce travail malgré leurs charges
horaires et multiples occupations, je leur suis très
reconnaissant ;
- Aux responsables du CSMR/C des Soeurs CMT,
particulièrement la Soeur Furaha et la Soeur Clarisse qui m'ont
accepté de prendre leur centre de santé comme milieu
d'étude, ainsi qu'a tout le tout le personnel du centre pour leur
coopération et collaboration ;
- A mes oncles, tantes, cousins, cousines, neveux et
nièces pour la fraternité et pour m'avoir accepté de vous
manquer durant l'élaboration du présent travail ;
- A tous mes amis, connaissances et
collaborateurs pour m'avoir toujours encouragé même pendant le
moment le plus difficile et surtout pour la confiance que vous détenez
en moi ;
- A toute personne de bonne foi qui a toujours
manifesté l'amour et a toujours été de tout coeur envers
ma famille.
- A tous mes camarades et tous ceux qui de près ou de
loin ont contribué à la réalisation de ce travail. Je
pense notamment à Jean BALOLAGE IRENGE, David, Ruta, Eraston, Elys,
Abedi, Yassine, Claude et Bageni.
Enfin, tous ceux que je n'ai pas pu citer.
Eddy Jacques MUGISHO IMANI
ABREVIATIONS
CMT: Carmélites Missionnaires
Thérésiennes
CPN: Consultation Près Natale
CPON: Consultation Post-natale
CPS: Consultation Près Scolaire
CSMR/C : Centre de Santé Maternité de
Référence du Carmel
CT: Chef de travaux
IP: Internet Protocol
ISIG: Institut Supérieure d'Informatique et de Gestion
LAN: Local Area Network
MAC: Media Access Control
OSI: Open System Interconnexion
RVA: Régie des Voies Aériennes
SGBDR: Système de Gestion de Base des Données
Relationnelles
SQL: Structured Query Language
STP: Shielded Twisted-Pair
TCP: Transmission Control Protocol
UML: Unified Modelling Language
UTP: Unshielded Twisted-Pair
WAN: Wide Area Network
WWW: World Wide Web
Avant propos
L'informatique cherche sans cesse à adapter les
entreprises à un monde en évolution permanente. Les modes de
gestion traditionnels ne convenant plus pour répondre aux nouveaux
problèmes ; toutes les entreprises voulant rendre souple leurs
gestions, elles intègrent les nouvelles technologies de l'information
et de la communication dans leurs systèmes pour faire face à la
mondialisation des problèmes économiques, à la nature de
la concurrence, à l'évolution de la technologie et au cycle de
vie des produits.
Le bon fonctionnement d'une entreprise est conditionné
par la mise en place d'une communication cohérente et fluide. L'essence
de cette communication est l'information .Cette information n'est utile
que si elle est exploitée et mise à disposition de façon
optimale pour comprendre le système et modéliser son
fonctionnement, afin de proposer et développer des solutions
informatiques.
Actuellement dans le domaine de la santé , seul
l'apport des soins de santé aux malades ne suffit plus, mais aussi il
devient intéressant de garder de données chronologiques (le taux
de natalité soit par sexe , le taux de mortalité par
âge, par sexe ou soit par pathologie, le taux des malades par pathologie
ou par endémie soit par âge ou par entité )pour les mettre
à la disposition de qui de droit ou aux intéressés afin
d'en déduire des chiffres statistiques pouvant aider une zone de
santé à prendre des décisions rationnelles , assurer
des prises en charge et pourquoi pas arrêter et administrer des
préventions.
Les structures sanitaires (les hôpitaux) connaissent un
mouvement affluant des personnes malades d'origine, d'âge, de sexe,
d'adresse et de pandémie différente et à des heures
différentes. Là est une tache lourde à la
réception.
Les institutions cliniques sont un endroit public qui devrait
attirer les patients de par leurs services notamment, l'accueil, la
propreté, la rapidité et la précision dans les soins, et
beaucoup plus l'archivage des données statistiques.
TABLE DE MATIERE
DEDICACES i
REMERCIEMENTS ii
ABREVIATIONS iv
PREFACE v
TABLE DE MATIERE vi
INTRODUCTION GENERALE 1
0.1. ETAT DE LA QUESTION ET PROBLEMATIQUE 1
0.2. HYPOTHESE DE L'ETUDE 4
0.3. OBJECTIF DE L'ETUDE 5
0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET 5
0.5. DELIMITATION FONCTIONNELLE DE L'ETUDE 5
0.6.
METHODOLOGIE.................................................................................6
0.7. DIFFICULTES
RENCONTREES...............................................................6
0.8. SUBDIVISION DU
TRAVAIL.......................................................................7
CHAPITRE I. REVUE DE LA LITTERATURE, CONCEPTS THEORIQUES ET
THERMINOLOGIES 8
1.1. DESCRIPTION DU CENTRE DE SANTE DE REFERENCE CARMEL
8
1.1.1. PRESENTATION ET HISTORIQUE 8
1.1.2. SERVICES ORGANISES 9
1.1.3. MISSION DU CENTRE 9
1.1.4. PERSPECTIVES AVENIRS DU CENTRE 9
1.2. CONCEPTS THEORIQUES IMPORTANTS 10
1.2.1. BASE DE DONNEES 10
1.2.2. LANGAGE DE PROGRAMMATION ORIENTE OBJET
C# 12
1.2.3. CONCEPTS DES RESEAUX INFORMATIQUES
13
CHAPITRE II. RECHERCHE METHODOLOGIQUE ET ANALYSE DU SYSTEME
EXISTANT 17
2.1. METHODOLOGIE 17
2.1.1. INTRODUCTION 17
2.1.2. METHODES DU TRAVAIL 17
2.1.3. TECHNIQUES 17
2.2. DEFINITION DES EXIGENCES METHODOLOGIQUES DU PROJET
18
2.2.1. INTRODUCTION 18
2.2.2. MODELE DU DEVELOPPEMENT DU PROJET 18
2.2.2.1. INTRODUCTION 18
2.2.2.2. MODELE DE TRANSFORMATION
AUTOMATIQUE 18
2.2.3. CYCLES DE CONSTRUCTION DU SYSTEME 19
2.2.4. PHASES DU MODEL PROTOTYPE 19
2.2.4.1. EXIGENCE D'ANALYSE 19
2.2.4.2. ANALYSE REDUCTIONNNISTE
20
2.3. OUTILS DE SUPPORT D'ANALYSE 20
2.3.1. INTRODUCTION 20
2.3.2. CHOIX D'UML QUE DE MERISE. 20
2.3.3. CYCLE DE CONSTRUCTION DU SYSTEME
D'INFORMATION EN
UML 21
2.3.4. OBJETS DE L'ANALYSE UML 21
2.3.5. MODELISATION DE LA GESTION CLINIQUE DU
CSRM/C 24
2.3.5.1. DIAGRAMME DE CAS
D'UTILISATION 24
2.3.5.2. DIAGRAMME DE CLASSES
26
2.3.5.3. DIAGRAMME D'ACTIVITE
28
2.3.5.4. DIAGRAMME DE SEQUENCES
31
2.3.5.5. DIAGRAMME DE DEPMOIEMENT
33
2.3.5.6. DIAGRAMME
D'INFRASTRUCTURE TECHNOLOGIQUE 35
2.3.5.7. DICTIONNAIRE DE DONNEES
36
CHAPITRE III. CONCEPTION ET IMPLEMENTATION DU SYSTEME
INFORMATIQUE PROPOSE 39
3.1. DESCRIPTION DU SYSTEME 39
3.2. DESCRIPTION DU SYSTEME PROPOSE 39
3.3. FONCTIONNEMENENT DU SYSTEME PROPOSE 39
3.4. MANNIPULATION DES DIFFERENTS FORMULAIRES 40
3.4.1. ACCES AUX FORMULAIRES 42
3.4.2. MANUPILATION DES ETATS
DE SORTIE 47
3.4.3. QUELQUES ETATS DE SORTIE 48
CONCLUSION GENERALE ET SUGGESTIONS 54
1. CONCLUSION 54
2. RECOMMANDATIONS 54
BIBLIOGRAPHIE 56
INTRODUCTION GENERALE
0.1. ETAT DE LA QUESTION ET PROBLEMATIQUE
L'environnement où nous habitons connait des
problèmes ne sachant d'où proviendrait des solutions. C'est
ainsi que tout chercheur doit apporter une contribution, par son savoir, en
aidant sa société à la résolution des
problèmes auxquels elle se confronte. Au fils du temps les
chercheurs font face à ces problèmes en proposant des
solutions.
Les travaux antérieurs permettent au chercheur de se
situer par rapport au thème qu'il veut traiter. Car partant des sujets
différents, plusieurs chercheurs peuvent traiter sur un même
problème,
Nous ne pensons pas être la première personne qui
chercher à traiter sur une structure sanitaire (pour dire un centre de
santé ou un hôpital), plusieurs études et recherches ont
déjà été ménées dans ce cadre. Il
s'agit notamment de quelques unes comme:
1. Munyabarenzi Gisande a traité
sur :
« Suivi automatisé des patients
dans une institution sanitaire ».
Il est parti de certaines préoccupations qui ont retenu
son attention :
- Comment doter le CMC Charité Maternelle d'un nouveau
système d'information informatisé efficace capable de fournir les
statistiques sur l'évolution des patients ?
- Comment accroitre la rapidité de traitement de
données et diminuer les risques d'erreur?
Les hypothèses à ce sujet sont formulées
comme-ci :
Cette application sera concue en Access Basic, elle permettra
au CMC Charité Maternelle :
Ø Une bonne gestion des données statistiques
notamment :
- Statistiques journalières des patients
reçus(hospitalisés et en ambulatoires) ;
- Statistiques journalières des sorties selon le cas
(transférés, guéris,non
améliorés,décès) .
Ø La production des états de sortie
suivants :
- La liste des patients recus à une date
donnée ;
- La liste des patients hospitalisés à une date
donnée ;
- La liste des patients en ambulatoires ;
- La liste des patients sorties selon le motif ;
- Facture du patient hospitalisé.
En conclusion il confirme que le Système Informatique
Informatisé proposé offre une rentabilité tant sociale
qu'économique. Cette dernière se traduit par la simplication des
opérations tandisque la rentabilité sociale s'explique par la
recherche de l'amélioration des conditions de traitment du patient et
des conditions de travail du personnel au CMC Charité Maternelle.
1. Celestin KAKULE KIZA a aussi traité
sur :
« Gestion automatisée du
dénombrement des malades dans un hôpital général de
référence ».
Il est aussi parti de certaines préoccupations qui ont
retenu son attention :
- Combien des malades ont fréquenté
l'hôpital au cours d'une période donnée ?
- Combien ont été hospitalisés?
- Combien ont été
référés ?
- Combien sont sortis et dans quel état ?
- Quel est le taux d'hospitalisation, de mortalité
introhospitalier par plainte ?
- Quelle est la durée moyenne d'un
hospitalisé ?
- Comment Catégoriser les malades qui ont
été consultés par tranche d'âge ?
Aussi Les hypothèses à ce sujet sont
formulées comme-ci :
- Un état de sortie du dénombrement des malades
par tranche d'âge.
- Un état de sortie du dénombrement des malades
sortis (les améliorés, les évadés, les
décédés, les guéris).
- Un état de sortie du dénombrement des
résultats des tests du laboratoire (G.E. Ziehl, selles, urines
batteries, urines biochimies, VIH, hématologie, autres) ;
c.à.d. les positifs et négatifs.
- Un état de sortie du dénombrement des malades
sur l'occupation (lits montés, nombre des jours d'hospitalisation, taux
d'occupation).
- Un état de sortie du dénombrement des
consultés par plainte.
En conclusion il termine en disant que la quintescence de son
travail réside donc dans la manifestation scientifique des
possibilités et moyens de rendre efficace la gestion et le
dénombrement des malades de l'Hôpital Général de
Référence CBCA, par un processus d'automatisation des
tâches appropriées, de son informatisation en
général. Ce qui nous amène aux résultats que
voici :
- Sortie d'un rapport concernant les malades qui ont
été consultés à l'hôpital par tranche
d'âge ;
- Le taux de mortalité par plainte ;
- Le taux d'occupation et le nombre des malades
référés par les centres de santés ;
- Le nombre des malades sortis par : évasion,
indigence, amélioration, guérison, décès, non
amélioration...
Notre sujet diffère de ces deux autres, sur le fait
qu'il se penche sur la gestion statistique des patients au fil du temps ou des
années qu'ils fréquentent une structure sanitaire, et cherche
à partager les données de leurs informations sur
différents postes de travail ; par la conception et
l'implémentation d'une base de données dynamique et
partagée de gestion clinique.
Posant un regard sur nos entreprises et nos
sociétés, en général, nous remarquons qu'il n'y a
que quelques secteurs d'activités qui ont compris l'importance de doter
leurs systèmes d'informations d'applications facilitant leurs
utilisateurs tant au niveau de la consultation, de la saisie, de la mise
à jour et du partage des données de l'information,
Dans nos institutions de santé, la saisie des malades
demeure manuelle avec une possibilité de confusion des patients et de
lenteur dans le travail. En plus sur un nombre d'années
écoulées il devient très difficile d'accéder aux
archives où les données étaient stockées, saisies,
vu les supports qui les contenaient, car elles sont soit altérés,
soit illisibles ou introuvables,
Il devient cependant difficile de fournir en temps réel
le rapport mensuel et annuel des données relatives à certaines
quêtes.
Tout système non évolutif ne permet pas au
gestionnaire d'une structure sanitaire de prendre des décisions
rationnelles sur la gestion des patients. C'est ainsi que dans
l'exécution de notre projet, nous essayerons donc de trouver des pistes
de solution à cette problématique en mettant en oeuvre notre
savoir afin d'implanter un système d'information partagé en
réseau local, plus secoure et beaucoup plus fiable.
Afin de bien mener notre étude les questions suivantes
valent la peine d'être posées :
1. Comment arriver à produire les statistiques
mensuelles et annuelles sur le taux de natalité, de mortalité par
sexe et par âge, et par endémie; le nombre et le taux des
patients souffrants d'une pathologie par âge,par sexe et par
entité ; et comment contourner la lenteur et les risques possibles
d'erreurs d'identification lors de l'édition des fiches et carnets des
patients?
2. Comment aider le personnel soignant à suivre les
malades en état de santé souvent en dégradation permanente
(chroniques) au fil du temps car cela demande un suivi régulier, et
comment rendre disponible les données ou les informations sur les
patients sur chaque poste d'une structure sanitaire ?
0.2. HYPOTHESE DE L'ETUDE
Il serait possible de redorer l'image de gestion clinique
particulièrement reposée sur les patients. De ce fait, nous
imaginons apporter une solution pouvant aider nos hôpitaux à
gérer leurs malades qui y passeraient prendre leurs soins par
« la conception et l'implémentation d'une base de
données dynamique et partagée de gestion clinique sous
environnement SQL Server et plate forme C# ». Départ les
problèmes énoncés ci haut, nous détenons quelques
réponses provisoires suivantes :
0. Les différents rapports de la base de données
pourraient générer les différentes données
statistiques ;
1. Disponibiliser les données ou les informations sur
les patients sur chaque poste, facilement cela pourrait mieux se faire par une
base des données dynamique et partagée sur un réseau
local.
0.3. OBJECTIF DE L'ETUDE
1. Objectif Global
Rattraper les réputés du monde moderne qui nous
demandent aujourd'hui de produire bien, fiable et présentable dans un
temps record, afin de donner au centre un caractère beaucoup plus
attractif dans l'idée d'en faire un point de référence.
Aider le gestionnaire du centre à
faire la régulation, à assurer le contrôle, à
prendre les décisions rationnelles et à redéfinir les
objectifs globaux du centre.
2. Objectifs Spécifiques
L'automatisation suivie du partage des informations sur les
patients sera l'approche de ce travail. Elle est présumée
être meilleure en informatisant la gestion des malades après avoir
cerner tous les besoins des utilisateurs finaux. La modélisation fera
un découpage atomique, de façon à avoir des sous
systèmes considérés comme de petites parts toute
entière et exploiter seulement les abstractions ou les infos
nécessaires à résoudre le problème et ignorer
d'autres qui peuvent freiner à l'évolution du
système.
0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Les intérêts typiques de ce projet
sont :
0. Gagner la confiance des patients sur la
disponibilité de leurs données ; par conséquent
progressivement accroître les revenus ;
1. Rattraper les innovations informatiques comme les ont fait
d'autres hôpitaux du monde évolué ;
2. Avoir toujours confiance en soi même de retrouver les
données statistiques à n'importe quel moment qu'elles seraient
demandées ;
3. Susciter en des esprits des entrepreneurs l'idée de
dépenser pour gagner plus : dépense orientée
implantation d'un système d'information informatisé.
0.5. DELIMITATION FONCTIONNELLE DE L'ETUDE
Les institutions sanitaires sont généralement
d'une gestion variée. L'étude que nous allons mener, va
particulièrement et spécifiquement reposer sur la gestion
clinique et le suivi des malades ; pour notre cas précis: la
Direction Médicale du Centre de Santé Maternité
de Référence Carmel considérée comme notre
milieu d'étude.
0.6. METHODOLOGIE
6.1. METHODES
La méthode hypothético-déductive a
été choisie pour l'élaboration de ce sujet. Comme
méthode
scientifique elle nous a aidé à formuler des
hypothèses
afin de
déduire des
conséquences observables futures mais également passées
permettant d'en déterminer la validité.
La
méthode analytique nous a aidé à diviser
l'analyse du problème apparemment complexe en sous problèmes plus
simples.
6.2. TECHNIQUES
La technique documentaire nous a aidé lors du parcours
des différents documents mis à notre disposition par le CSMR/C et
autres ouvrages de la bibliothèque ainsi que les sites Internet en
rapport avec notre sujet.
La technique d'interview libre nous a permis de poser des
nombreuses questions, formulées et non formulées, au personnel
soignant du Centre qui pouvait détenir de l'information qui nous a
aidé à modéliser le système d'information du
CSRM/C.
0.7. DIFFICULTES RENCONTREES
Du point de vue individuel, limité en temps et en
bibliographie nous n'avons pas été capable de mener à
fond notre recherche afin d'arriver à mettre au point un travail
beaucoup plus attractif.
Par rapport au domaine de l'étude, les ressources
humaines du CSRMC aura besoin de bénéficier d'une petite
formation pour bien se familiariser à la base de données mise
à sa disposition. Bien entendue par le biais des ressources
matérielles dont il faudrait revoir la technologie, la mise à
niveau ainsi que la mise à jour logiciel pour une performance beaucoup
plus ergonomique.
0.8. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hormis l'introduction générale et la conclusion
générale, notre étude s'articule sur trois chapitres,
notamment :
- Le premier qui élucide la revue littérature,
concepts théoriques et terminologies.
- Le deuxième qui illustre la recherche
méthodologique et analyse le système existant.
- Et enfin le troisième qui présente la
conception et l'implémentation du système informatique
proposé.
CHAPITRE I. REVUE DE LA LITTERATURE, CONCEPTS
THEORIQUES ET
TERMINOLOGIES
1.1. DESCRIPTION DU CENTRE SANTE DE REFERENCE
CARMEL1(*)
1.1.1. PRESENTATION ET HISTORIQUE
Avant l'année 1997, la population de Katindo souffrait
de la longue distance qu'elle devait parcourir pour atteindre les structures
sanitaires. Cette requête fût présentée aux Soeurs
Carmélites Missionnaires Thérésiennes (C.M.T)
résidant dans ce même quartier, qui fournirent de gros efforts
pour répondre à ce besoin d'intérêt public en
mettant sur pied le Centre de Santé Carmel en date du 07
décembre 1997.
La construction du Centre de Santé fût rendue
possible grâce au financement de l'hôtel de ville d'AMEREBIETA et
XANO de l'Espagne. A ses débuts L'Aire de Santé Carmel regroupait
le quartier Himbi et Katindo, Elle couvrait l'espace allant de la route qui
mène vers la RVA Katindo jusqu'à la route présidentielle
qui mène vers le musée. Actuellement sa couverture s'est vue
diminuée, ne tendant que sur une population estimée à
16000 personnes. Elle se situe au nord par la route Goma - Sake, au
sud par le lac Kivu, à l'est par la paroisse Mont Carmel et
à l'ouest par la route qui quitte le marché Alanine pour la
plage public de Himbi.
Depuis une décennie, l'exode rural, les guerres et les
troubles ethniques causent une croissance démographique assez
considérable dans la ville de Goma, cela a toujours eu de
répercussion sur le gonflement de la taille de la population de cette
aire de santé. Par ce qui précède, le 24 octobre 2006, le
nombre de déplacés, les enfants malnutris étaient devenus
nombreux. Les Soeurs ont fait de nouveau un recours au près du
même bienfaiteur pour la construction et l'ouverture d'un centre
nutritionnelle thérapeutique. Les transferts nocturnes des femmes
enceintes ne les épargnant pas à toute forme de risque vu
l'insécurité qui régnait à l'époque. Le 7
février 2009, Sur demande de la population, un paquet
complémentaire de la chirurgie d'urgence fut ajouté au Centre. A
la même occasion l'Inspection Provinciale de la Santé changeant
le statut « du Centre de Santé Carmel » en Centre
de Santé Maternité de Référence Carmel.
1.1.2. SERVICES ORGANISES
A. Direction administrative
Elle est la responsable des Ressources Humaines, de la
Gestion du Centre et donne la ligne directrice aux sous services
notamment la Caisse, la Facturation, la Comptabilité, la
Perception, la Maintenance, les Achats, la Réception, l'Ambulance et le
Gardiennage.
B. Direction médicale
Elle est responsable du personnel soignant, de la gestion des
activités médicales et fournit la ligne directrice aux sous
services qui sont : la Consultation, l'Hospitalisation, la
Maternité, le laboratoire, la Gynécologie, la Pharmacie, la
Chirurgie, la Pédiatrie,...
C. Service pastoral sanitaire
Elle assure l'éducation religieuse, notamment :
apprendre à connaître, aimer et servir Dieu qui nous a
parlé par le christ et qui agit par son Esprit ; apprendre à
aimer et à servir ses frères, les hommes ; à prier,
à rencontrer Dieu dans les sacrements ; à connaître
l'évangile et s'y conformer ; à connaître l'Eglise,
à l'aimer et à le servir.
1.1.3. MISSION DU CENTRE
Vu son objet social comme institution sans but lucratif et
dans le devoir d'administrer les soins de santé à toute personne
sans discrimination de sexe, d'âge, ou d'origine, le centre de
santé a pour mission spéciale de faciliter l'accès aux
soins de santé de meilleure qualité à sa population en lui
assurant les soins préventifs, curatifs, promotionnels et
l'éducation sanitaire.
1.1.4. PERSPECTIVES AVENIRS DU CENTRE
Du jour au lendemain, le centre cherche à
améliorer les conditions d'accueil par la reconstruction de nouveaux
bâtiments, le renforcement logistique en équipements modernes de
traitement et de diagnostique, l'ajout, l'organisation et le perfectionnement
des services spécialisés (médecine interne,
pédiatrie, chirurgie, maternité,...), l'amélioration des
qualités de soins, la formation et le renforcement de capacité du
personnel soignant en tenant compte des conditions sociales y
conséquentes.
1.2. CONCEPTS THEORIQUES IMPORTANTS
1.2.1. BASE DE DONNEES
A. Base des données
Elle est un ensemble de données modélisant les
objets d'une partie du monde réel et servant de support à une
application informatique. Pour mériter le terme de base de
données les données doivent être interrogeables selon
n'importe quel critère, il doit être aussi possible de retrouver
leur structure.2(*)
B. Base de données personnelle
Elle est qualifiée de personnelle lorsque on retrouve
essentiellement un schéma où l'unique concepteur est le
développeur, le fournisseur et l'analyste des données.3(*)
Fig. 1. Schéma illustratif d'une base des données
personnelles.
C. Base de données relationnelle
L'adjectif relationnel ne fait pas référence ici
aux relations entre les tables mais aux tables elles-mêmes. Elle est mise
en oeuvre au moyen d'un Système de Gestion de Bases de Données
Relationnelles (SGBDR). Le concept permet de stocker et d'organiser une grande
quantité d'information. Les SGBD permettent de naviguer dans ces
données et d'extraire (ou de mettre à jour) les informations
voulues au moyen d'une requête.4(*)
D. Système d'information
Il représente l'ensemble des ressources d'une
organisation (les hommes, le matériel et les logiciels)
organisées pour collecter, stocker, traiter et diffuser les
informations. Le système d'information coordonne les activités
grâce à l'information de l'organisation et lui permet d'atteindre
ses objectifs. Il est le véhicule de la communication dans
l'organisation.5(*)
E. Système de gestion de base des
données
Il peut être perçu comme un ensemble de logiciels
systèmes permettant aux utilisateurs d'insérer, de modifier et de
rechercher efficacement des données spécifiques dans une grande
masse d'informations (pouvant atteindre quelques milliards d'octets). Le SGBD
rend transparent le partage, à le voir, il donne l'illusion à
chaque utilisateur qu'il est le seul à travailler avec les
données.6(*)
F. Langage structure des requêtes
Il est cette flexibilité et ce contrôle accrus
des performances laissant aux administrateurs de bases de données
davantage de liberté pour mettre en valeur leurs compétences
technologiques et leur expérience en matière de bases de
données en adoptant une approche unifiée de la gestion des
systèmes de bases de données, axée sur la gestion du code,
de la conception et des composants de stockage.7(*)
G. SQL Server
Elle est une architecture qui impose, que ce soit les
opérateurs en amont, les managers en aval ou le service informatique,
que ces utilisateurs passent par Internet, ce qui implique un nombre
grandissant d'informations qui circulent entre le serveur web de l'entreprise
et le serveur base de données. Il n'a ni de formulaires ni
d'états mais son interfaçage graphique est laissé aux
ordinateurs clients.8(*)
H. Table (Classe)
Il est le concept global d'information et se compose d'un
ensemble d'informations élémentaires, appelées
attributs.9(*)
I. Clé primaire
Il est l'attribut particulier, qui permet de repérer de
façon unique chaque objet.10(*)
J. Clé étrangère
Il est l'attribut qui doit apparaître comme clé
primaire dans une autre relation. Elle permet donc de lier deux tables entre
elles.11(*)
K. Intégrité
référentielle
Il définit les liens obligatoires entre relations. Ce
sont des contraintes très fortes qui conditionnent le succès des
opérations de mises à jour.12(*)
1.2.2. LANGAGE DE PROGRAMMATION ORIENTE OBJET
C#
A. langage c#
Il est reconnu comme un langage récent. Il a
été disponible en versions beta, successives depuis
l'année 2000 avant d'être officiellement disponible en
février 2002 en même temps que la plate-forme .NET 1.0 de
Microsoft à laquelle il est lié. Celui-ci rend disponible aux
programmes qui s'exécutent en son sein, un ensemble très
important de classes.13(*)
B. Interface c#
Il est l'ensemble de prototypes de méthodes ou de
propriétés qui forme un contrat. Une classe qui
décide d'implémenter une interface s'engage à fournir une
implémentation de toutes les méthodes définies dans
l'interface. C'est le compilateur qui vérifie cette
implémentation.14(*)
C. Héritage
Il est le fait de "personnaliser" une classe existante pour
qu'elle satisfasse à nos besoins. L'héritage permet donc de
redéfinir dans la classe fille des
méthodes/propriétés de même nom dans la classe
mère. C'est ce qui permet d'adapter la classe fille à ses propres
besoins. La redéfinition de méthodes et propriétés
est le principal intérêt de l'héritage.15(*)
1.2.3. CONCEPTS DES RESEAUX INFORMATIQUES
A. Réseau
Il est un système complexe d'objets ou de personnes
interconnectés. Les réseaux sont partout autour de nous et
même à l'intérieur de nous (notre système nerveux et
notre système cardio-vasculaire sont des réseaux). Cette
interconnexion a pour objectif l'échange des ressources qu'une seule
unité du réseau ne peut pas posséder à elle seule.
16(*)
Il est (Network en Anglais) un ensemble d'ordinateurs et
périphériques interconnectés. Il permet de faire circuler
des données informatiques et ainsi d'échanger du texte, des
images, de la vidéo ou du son entre chaque équipement selon des
règles et protocoles bien définis.17(*)
B. LAN
Elle est la forme la plus simple des réseaux
informatiques. C'est un ensemble d'ordinateurs situés dans un même
lieu et connecté à un réseau.18(*)
C. Internet
Elle est cette collection de réseaux et d'ordinateur
à l'échelle de la planète, capable de partager des
informations, ou au moins du courrier électronique, et qui dialoguent
à l'aide de protocoles communs.19(*)
D. Model OSI
Il est le modèle de référence qui
comporte sept couches numérotées, chacune illustrant une fonction
réseau bien précise. Cette répartition des fonctions
réseau est appelée organisation en couches.il est
appelé modèle OSI à sept couches notamment la Couche
Physique, Couche Lien de données, Couche Réseau, Couche
Transport, Couche Session, Couche Présentation et Couche
Application.20(*)
E. TCP/IP
Il semble plus simple que model OSI, car il
comporte moins de couches (4). Les protocoles TCP/IP constituent la norme sur
laquelle s'est développé Internet. Aussi, le modèle TCP/IP
a-t-il bâti sa réputation sur ses protocoles.21(*)
F. Protocole
Il est l'ensemble des règles régissant
l'émission et la réception des données sur un
réseau. Par exemple, lorsqu'un client se connecte à un serveur,
s'établit ensuite un dialogue entre eux.22(*)
G. Câble UTP
Il est non blindé et défini dans la norme 10
base T, ce type de câbles est utilisé pour du câblage dit
universel mais aussi pour les réseaux token ring (anneau à jeton)
ou étoile. C'est une solution économique mais limitée.
23(*)
H. Connecteur RJ45
Il est le composant passif de réseau, car il sert
uniquement de chemin de connexion entre les quatre paires torsadées du
câble torsadé de catégorie 5 ou 6 et les broches de la
prise RJ-45. Il s'agit plutôt d'un composant et non d'un
équipement, car il fournit uniquement un chemin conducteur pour les
bits.24(*)
I. Topologie
Elle n'est rien d'autres que la disposition d'un
réseau. Elle peut faire référence à la couche
physique ou à la couche logique du réseau. Les topologies
physiques peuvent être la manière d'utiliser le medium de
connexion, tels que les cartes réseaux et types de câblage, alors
que les topologies logiques sont essentiellement le « code de la
route » des réseaux, c'est donc du logiciel. 25(*)
J. Adresses IP
Elles identifient les unités d'un réseau, ainsi
que le réseau auquel elles sont connectées. Une adresse IP est
donc constituée de deux parties : la partie réseau et la
partie hôte. Le numéro de réseau d'une adresse IP
identifie le réseau auquel une unité est connectée, alors
que la portion hôte d'une adresse IP pointe vers une unité
spécifique de ce réseau.26(*)
K. Adresse Mac
Elle est l'adresse physique qui se trouve sur la carte
réseau de chaque ordinateur, à une façon unique de
l'identifier. Tout ordinateur, qu'il soit relié à un
réseau ou non, possède une adresse physique. On ne peut trouver
deux adresses physiques identiques. 27(*)
L. Bande passante
Elle est souvent synonyme de capacité,
c'est-à-dire la quantité de données pouvant être
transportées d'un point à un autre en un temps donné
(Généralement une seconde). Elle s'exprime
généralement en bits (de données) par seconde
(bits/s).28(*)
M. Architecture client serveur
Il préconise que les serveurs ont une fonction
particulière : ils doivent envoyer des informations pertinentes aux
clients qui en réclament. Comme un serveur ne convient pas d'un
rendez-vous avec le client, il doit rester attentif en permanence pour ne pas
risquer de rater une question. Pour ce faire, on y installe des
« daemons », petits programmes qui tournent en tâche
de fond et qui écoutent continuellement sur un numéro de port
donné.29(*)
6. Serveur : une machine généralement
très puissante en termes de capacités d'entrée-sortie, qui
fournit des services aux autres machines du réseau. Ces services sont
des programmes fournissant des données telles que l'heure, les fichiers,
la connexion avec d'autres machines, l'accès aux ressources telles que
les imprimantes, ...
7. Client : une machine faisant partie
du réseau et profitant des services du serveur.30(*)
CHAPITRE II. RECHERCHE METHODOLOGIQUE ET
ANALYSE
DU SYSTEME EXISTANT
2.1. METHODOLOGIE
2.1.1. INTRODUCTION
Une méthodologie est cet ensemble des techniques,
méthodes et procédures adoptées en terminologie pour
arriver au but d'une recherche.31(*)
2.1.2. METHODES DU TRAVAIL
La méthode hypothético-déductive a
été choisie pour l'élaboration de ce sujet. Comme
méthode
scientifique elle nous a aidé à formuler des
hypothèses
afin d'en
déduire des
conséquences observables futures mais également passées
permettant d'en déterminer la validité.
La
méthode analytique nous a aidé à diviser
l'analyse du problème apparemment complexe en sous problèmes plus
simples.
2.1.3. TECHNIQUE
Comme opération, une technique recouvre tout travail
fait avec une certaine méthode, en vue d'atteindre un certain
résultat et comme phénomène elle est la
préoccupation de l'immense majorité des hommes de notre temps de
rechercher en toutes choses la méthode absolument la plus
efficace.32(*)
Pour le cas précis de notre travail, nous nous sommes
servis de la technique documentaire dans le parcourt des différents
documents mis à notre disposition par le CSMR/C et autres ouvrages de la
bibliothèque ainsi que les sites Internet en rapport avec notre sujet.
Et la technique d'interview libre nous a permis de poser des nombreuses
questions, formulées et non formulées, aux personnes qui
pouvaient détenir de l'information qui nous a aidé à
modéliser le système d'information du CSRM/C.
2.2. DEFINITION DES EXIGENCES METHODOLOGIQUE DU
PROJET
2.2.1. INTRODUCTION
Le système devra exiger une méthodologie
prototype dans un bon ordre afin de conduire le projet et d'atteindre les
objectifs établis précédemment. Le model de
développent retiendra que les besoins évoluent au rythme de
l'organisation. Une organisation très réactive par rapport aux
besoins du marché sera plus sujette qu'une autre à une
évolution rapide des besoins en cours de projet. D'autre part, des
besoins définis par des utilisateurs qui ont parfois du mal à se
représenter les solutions qui en découlent seront
également susceptibles d'évolutions tardives.
2.2.2. MODELE DU DEVELOPPEMENT DU PROJET
2.2.2.1. INTRODUCTION
Modéliser une application n'est pas une activité
linéaire, il s'agit d'une tâche très complexe, qui
nécessite une approche itérative et
incrémentale, car il est plus efficace de construire et
valider par étapes, ce qui est difficile à cerner et à
maîtriser. Cette modélisation est centrée sur
l'architecture et est guidée par la prise en compte des besoins des
utilisateurs qui motivent l'existence même du système à
concevoir.
2.2.2.2. MODELE DE LA TRANSFORMATION AUTOMATIQUE
Dans ce modèle la transformation des
spécifications en code n'intervient que lorsque les
spécifications sont complètement définies.
DUT
Définition des Spécifications besoins
Réalisation
Expérimentation
Fig 2. Modèle de la transformation automatique
2.2.3. LES CYCLES DE CONSTRUCTION DU SYSTÈME
Le développement d'un logiciel est vu comme un
processus graduel d'élimination de risques. A chaque itération,
on refait les spécifications, la conception, l'implémentation et
les tests.
Fig. 3. Processus graduel du développement d'un
logiciel
Les risques majeurs sont traités en priorité.
Chaque itération donne lieu à un incrément et produit une
nouvelle version exécutable.
2.2.4. PHASES DU MODEL PROTOTYPE
2.2.4.1. EXIGENCE D'ANALYSE
Une démarche d'analyse et de conception objet est
nécessaire afin de ne pas effectuer une analyse fonctionnelle et se
contenter d'une implémentation objet, mais penser objet dès le
départ, définir les vues qui permettent de décrire tous
les aspects d'un système avec des concepts objets. Il faut donc disposer
d'un outil qui donne une dimension méthodologique à l'approche
objet et qui va permette de mieux maîtriser sa richesse.
2.2.4.2. ANALYSE RÉDUCTIONNISTE
Elle va consister à décomposer les
systèmes biologiques en
niveaux
d'organisation et en unités élémentaires, les plus
petites et les plus simples possible. Puis à chaque niveau
d'organisation, chacune de ces unités élémentaires sera
étudiée en détail par une discipline
spécialisée, afin de comprendre sa structure et son
fonctionnement.
2.3. OUTILS DE SUPPORT D'ANALYSE
2.3.1. INTRODUCTION
La principale avancée des quinze dernières
années réside dans la programmation orientée objet
(P.O.O.). Face à ce nouveau mode de programmation, les méthodes
de modélisation classique telle que MERISE ont rapidement montré
certaines limites. De très nombreuses méthodes ont
également vu le jour. Dans ce contexte et devant le foisonnement de
nouvelles méthodes de conception « Orientée objet »,
l'Object Management Group (OMG) a eu comme objectif de définir une
notation standard utilisable dans les développements informatiques
basés sur l'objet. C'est ainsi qu'est apparu UML (langage de
modélisation objet unifié «Unified Modified Language
»), Issu du terrain et fruit d'un travail d'experts reconnus, UML favorise
donc le prototypage, et c'est là une de ses forces.
2.3.2. CHOIX D'UML QUE DE MERISE
Il n'est cependant pas très intéressants
d'établir des liens de correspondance entre les modèles de MERISE
et d'UML car les 2 modèles ne sont pas réalisés avec les
mêmes objectifs et n'utilisent pas toujours les mêmes concepts.
MERISE permet de modéliser le métier de l'entreprise
indépendamment des techniques, aux niveaux conceptuel et
organisationnel. Le système informatique est un sous-ensemble du
système d'information. Les modèles sont progressivement
élaborés et enrichis, et constituent des supports de
communication et de participation pour les utilisateurs. UML présente
des caractéristiques voisines. Les modèles basés sur un
nombre déterminé de diagrammes en fonction de la vue sont
progressivement enrichis. Mais UML reste incontournable si l'entreprise veut
utiliser les techniques objets.
2.3.3. CYCLE DE CONSTRUCTION DU SYSTEME D'INFORMATION
EN UML
A. Cycle de vie
Le cycle de développement sous-jacent est itératif
et incrémental, guidé par les cas d'utilisation et centré
sur l'architecture.
B. Cycle d'abstraction
Laisse le soin de présenter les diagrammes
cohérents qui contiennent des objets de même niveau de
préoccupation et modélise le système aux différents
niveaux d'abstraction.
C. Cycle de décision
Il concerne les différentes décisions et choix
qui sont effectués tout au long du cycle de vie, et permet de faire
valider petit à petit le système que l'on est en train de
construire en se souciant d'associer étroitement les utilisateurs dans
les tâches d'analyse et de conception (notamment au niveau des cas
d'utilisation).
2.3.4. OBJETS DE L'ANALYSE UML
A. Acteur
Il représente un rôle joué par une
personne ou une chose qui interagit avec le système. La même
personne physique peut donc être représentée par plusieurs
acteurs en fonction des rôles qu'elle joue. Plusieurs personnes jouant le
même rôle vis-à-vis du système, sont
représentées par un seul acteur.
B. Attribut
Il représente la modélisation d'une information
élémentaire représentée par son nom et son
format.
C. Association
Elle est la plus courante et la plus riche du point de vue
sémantique qu'une relation. Une association est une relation statique
n-aire (le plus souvent : elle est binaire), c'est-à-dire qu'elle relie
plusieurs classes entre elles.
D. Classe
Elle correspond à un concept global d'information et se
compose d'un ensemble d'informations élémentaires,
appelées attributs de classe. Les classes sont
représentées par des rectangles compartimentés; le premier
compartiment représente le nom de la classe, le deuxième
compartiment représente les attributs de la classe et le
troisième compartiment représente les opérations de la
classe.
E. Messages
Elles sont le seul moyen de communication entre les objets.
Ils sont décrits essentiellement par l'objet émetteur et l'objet
récepteur.
F. Multiplicité
Elle définit le nombre d'instances de l'association
pour une instance de la classe. La multiplicité est définie par
un nombre entier ou un intervalle de valeurs. La multiplicité est
notée sur le rôle (elle est notée à l'envers de la
notation MERISE). Elle est représentée sous la forme d'un couple
de cardinalités.
1..1
|
noté 1 Un et un seul
|
0..1
|
Zéro ou un
|
0..*
|
noté * De Zéro à n
|
1..*
|
De un à n
|
n..m
|
De n à m
|
G. Noeud
Elle représente au diagramme de déploiement un
cube dont le nom respecte la syntaxe des noms de classes. Les noeuds peuvent
être associés comme des classes et on peut spécifier des
multiplicités.
H. Opération
Elle comprend l'ensemble des activités que le domaine
peut effectuer à partir des informations fournies par
l'événement, et de celles déjà connues dans la
mémoire du système d'information.
I. Propriété
Elle est la modélisation de l'information
élémentaire. C'est un ensemble de données ayant la
même structure et représentant des informations analogues. La
modélisation des propriétés doit éviter les
synonymes et les polysémies. Les attributs et les opérations sont
les propriétés d'une classe. Leur nom commence par une
minuscule.
J. Relation
Elle existe entre classes pour former les liens entre leurs
objets.
K. Synchronisation
Elle est une condition préalable au démarrage
d'une opération. Elle se traduit par une opération logique.
2.3.5. MODELISATION DE LA GESTION CLINIQUE DU
CSRM/C
2.3.5.1. DIAGRAMME DE CAS D'UTILISATION
Il décrit les grandes fonctions d'un
système du point de vue des acteurs, mais n'expose pas de façon
détaillée le dialogue entre les acteurs et les cas d'utilisation,
modélise à QUOI sert le système. C'est à ce niveau
qu'on assimile les fonctionnalités demandées par le client, en
montrant ce qu'on attend du système.
Cependant dans le cadre de notre travail, ce diagramme va nous
monter les différentes personnes et choses qui vont devoir interagir par
leurs informations échangées au sein du système du
CSMR/C.
2.3.5.2. DIAGRAMME DE CLASSES
Il est au coeur de la conception d'un système, permet
de spécifier la structure et les liens entre les objets dont le
système est composé. Il spécifie QUI sera à
l'oeuvre dans le système pour réaliser les fonctionnalités
décrites par les diagrammes de cas d'utilisation. Le diagramme de
classes modélise des règles.
Dans ce travail les différentes classes vont montrer
les différentes entités qui gèrent et gardent
l'information pour qu'elle soit cohérente et fluide.
2.3.5.3. DIAGRAMME ACTIVITE
Il montre toute la dynamique du système. Le diagramme
d'activité offre une manière graphique et non ambiguë pour
modéliser les traitements où une activité
représente une exécution d'un mécanisme, un
déroulement d'étapes séquentielles. Le passage d'une
activité à l'autre est matérialisé par une
transition.
Dans le présent travail, ce diagramme va nous montrer,
de l'arrivé à la sortie du centre de santé, les
différents processus qu'un patient doit devoir franchir.
2.3.5.4. DIAGRAMME DE SEQUENCES
Elle aide à comprendre comment les
éléments du système interagissent entre eux et avec les
acteurs en s'échangent des messages. En outre, il montre des
interactions sous un angle temporel en mettant l'emphase sur le
séquencement temporel.
Les séquences pour le cas du CSMR/C montrent les
différents postes de travails et surtout les informations qui y sont
échangées.
2.3.5.5. DIAGRAMME DE DEPLOIEMENT
Elle montre la disposition physique des différentes
ressources matérielles (l'architecture du système) qui entrent
dans la composition d'un système et la répartition des instances
de composants, processus et objets qui « vivent » sur ces
matériels.
Dans le cadre de notre travail elle nous prépare
à l'implémentation de l'architecture technologique du
système à mettre en place.
2.3.5.6. DIAGRAMME D'INFRASTRUCTURE
TECHNOLOGIQUE
Elle montre la technologie physique et les équipements
utilisés sur le réseau local créé. Nous trouvons
les différents postes qui pourront communiquer ensemble et se comprendre
par un dialogue avec un protocole commun. Cette technologie est composée
des matériels puissants et récents pour supporter la gestion de
la base de données. A cette technologie il faudra y alloué les
utilisateurs qualifiés ou formés.
Son succès s'explique facilement de part les nombreux
avantages dont il disposera : outre le réseau sera le plus
évolutif puisque nous pourrons rajouter des composants à
l'infini, modifier l'architecture du réseau comme bon nous semblera ou
encore ajouter un ou plusieurs PC sans changer les paramètres des PC
déjà reliés. Nous pourrons de plus relier nos PC les plus
éloignés par un concentrateur.
2.3.5.7. DICTIONNAIRE DE DONNEES
Il est l'ensemble des schémas et des règles de
passage entre les schémas associés à une base de
données, combinés à une description de la signification
des données.
Pour ce travail il nous a permis de quitter le model existant
pour passer à la conception du model future en passant par
l'étape de la validation et de délimitation du système
à modéliser. Notre existant diffère du futur par le fait
qu'à part le Personnel Soignant nous ne nous sommes plus
intéressés du reste du Personnel.
ATTRIBUT
|
TYPE DES DONNEES ET
|
DESCRIPTION
|
SERVICES
|
|
CLASSE SERVICE
|
code_serv
|
char(5)
|
code du service
|
design_serv
|
varchar(100)
|
désignation service
|
PERSONNEL SOIGNANT
|
|
CLASSE DU PERSONNEL
|
code_pers
|
char(5)
|
code du personnel
|
nom_pers
|
varchar(25)
|
nom du personnel
|
postnom_pers
|
varchar(25)
|
post-nom du personnel
|
sexe_pers
|
char(9)
|
sexe du personnel ("masculin" ou "féminin")
|
grade_pers
|
varchar(50)
|
grade du personnel
|
fonction_pers
|
varchar(50)
|
fonction du personnel
|
telephone_pers
|
varchar(50)
|
téléphone du personnel
|
email_pers
|
varchar(50)
|
adresse mail du personnel
|
adress_pers
|
varchar(50)
|
adresse physique du personnel
|
datenais_pers
|
date
|
date de naissance du personnel
|
daterecrut_pers
|
date
|
date d'entrer en fonction du personnel
|
PATIENT
|
|
CLASSE DU PATIENT
|
code_pat
|
char(5)
|
code du patient
|
nom_pat
|
varchar(25)
|
nom du patient
|
postnom_pat
|
varchar(25)
|
post-nom du patient
|
sexe_pat
|
char(9)
|
sexe du patient ("masculin" ou "féminin")
|
adresse_pat
|
varchar(100)
|
adresse du patient
|
telephone_pat
|
varchar(50)
|
téléphone du patient
|
email_pat
|
varchar(50)
|
adresse mail du patient
|
origine_pat
|
varchar(100)
|
origine du patient (aire_santé,hors_air,hors_zone)
|
poids_pat
|
varchar(6)
|
poids du patient
|
profession_pat
|
varchar (25)
|
profession du patient
|
datenais_pat
|
date
|
Date de naissance du patient
|
RECEPTION
|
|
CLASSE RECEPTION
|
id_consult
|
integer
|
numéro d'ordre de la consultation
|
code_pat
|
char(5)
|
code du patient
|
code_pers
|
char(5)
|
code du personnel
|
type_consult
|
varchar(100)
|
type de la consultation (cpn,cpon,cps,curative)
|
observation
|
varchar(100)
|
observation (diagnostiques)
|
frais_consult
|
varchar(100)
|
frais de consultation
|
date_consult
|
date
|
date du jour de la consultation
|
HOSPITALISATION
|
|
CLASSE HOSPITALISATION
|
id_consult
|
integer
|
numéro d'ordre hospitalisation
|
code_pat
|
char(5)
|
code du patient
|
code_chambre
|
char(5)
|
code de la chambre
|
observation
|
varchar(100)
|
observation
|
date_arriv
|
timestamp
|
date d'entrée à l'hospitalisation
|
date_sort
|
timestamp
|
date de sortie à l'hospitalisation
|
LABORATOIRE
|
|
CLASSE LABORATOIRE
|
id_labo
|
integer
|
numéro d'ordre échantillon
|
type_exam
|
varchar(100)
|
type d'examen
|
code_pat
|
char(5)
|
code du patient
|
code_exam
|
char(5)
|
date de l'examen
|
observation
|
varchar(100)
|
observation sur résultat examen
|
date
|
timestamp
|
date de l'examen
|
TRAITEMENT
|
|
CLASSE TRAITEMENT
|
id_trait
|
integer
|
numéro d'ordre traitement
|
code_pat
|
char(5)
|
code du patient
|
code_maladie
|
char(5)
|
code maladie
|
detail_trait
|
varchar(100)
|
détail du traitement
|
observation
|
varchar(100)
|
observation sur malades (signes vitaux)
|
date_debut_trait
|
timestamp
|
date de début du traitement
|
date_fin_trait
|
timestamp
|
date de fin du traitement
|
etat_fin_trait
|
varchar(100)
|
état à la fin du traitement
|
CHAMBRE
|
|
CLASSE CHAMBRE
|
code_chamb
|
char(5)
|
code de la chambre
|
localisat_chamb
|
varchar(100)
|
localisation de la chambre (par ex. pediatrie,...)
|
categorie_chamb
|
varchar(100)
|
catégorie de la chambre (par ex. clinique,...)
|
capacité
|
varchar(100)
|
capacité de lit (nombre de lits)
|
prix_chamb
|
varchar(100)
|
prix de la chambre
|
MALADIE
|
|
CLASSE MALADIE
|
code_maladie
|
char(5)
|
code maladie
|
famille_maladie
|
varchar(100)
|
famille de la maladie
|
sous_famille
|
varchar(100)
|
sous famille de la maladie
|
designation_maladie
|
varchar(100)
|
désignation de la maladie
|
prix_trait
|
varchar(100)
|
prix du traitement de la maladie
|
EXAMEN
|
|
CLASSE MORTALITE
|
code_exam
|
char(5)
|
code examen
|
type_exam
|
varchar(100)
|
type examen
|
prix_exam
|
varchar(100)
|
prix examen
|
CHAPITRE III. CONCEPTION ET IMPLEMENTATION DU SYSTEME
INFORMATIQUE PROPOSE
3.1. DESCRIPTION DU SYSTEME
Les outils d'administration deviennent de plus en plus
évolués selon les logiciels et peuvent être graphiques ou
non. Ils permettent de gérer les utilisateurs ayant le droit
d'accéder au système. Dans chaque logiciel on trouve des
interfaces de programmation qui permettent à l'application de dialoguer
avec le système de gestion de base des données, ces derniers se
présentent sous forme des librairies qui contiennent des fonctions
pouvant être appelées dans le programme et apporter une grande
simplicité d'usage et de combinaison du contenu de plusieurs tables.
Le système implanté assure globalement
l'efficacité des accès. Il garantit les utilisateurs contre les
mises à jour concurrentes, garantit la sécurité et la
cohérence des données.
3.2. DESCRIPTION DU SYSTEME PROPOSE
Comme toute base de données, le système
implémenté reprend un ensemble de données des objets
d'une partie du monde réel et sert de support à notre application
informatique. Ce système mérite le terme de base de
données, car un ensemble des données non indépendantes est
interrogeable par son contenu, c'est-à-dire que l'on peut retrouver tous
les objets qui satisfont à un certain critère (par exemple un
patient dont une maladie quelconque est
devenu chronique). Les données
de la base sont interrogeables selon n'importe quel critère, le
système nous donne la possibilité de retrouver leur structure
(par exemple le fait qu'une maladie possède une désignation, une
famille et une sous famille.
3.3. FONCTIONNEMENT DU SYSTEME PROPOSE
Le système implémenté est une base de
données de gestion clinique qui se focalise sur la
mise en projection de toutes les
fonctionnalités de la gestion des patients dans l'hôpital.
Sous une plate forme SQL Server et des interfaces
conçues en C#. Nous avons été capable de concevoir des
formulaires, qui permettent et offrent une interface graphique (composé
des boutons, des fenêtres et des contrôles) en reprenant
l'ergonomie des formulaires textes et offrant une plus grande
liberté aux utilisateurs finaux. Les états de sortie
génèrent tous les rapports possibles de l'interrogation de la
base des données. Ce système implanté
permet donc :
- L'ajout des données : le bouton
« Enregistrer » de chaque formulaire nous donne la
possibilité d'insérer les nouvelles données.
- La mise à jour des données : le
bouton « Modifier » de chaque formulaire nous permet de
changer les enregistrements et les valeurs des données.
- La suppression des données: le
bouton « Supprimer » de chaque formulaire nous aide
à sélectionner certains enregistrements et les supprimer.
3.4. MANNIPULATION DES DIFFERENTS
FORMULAIRES
Au lancement de l'application on trouve le formulaire
d'accueil intitulé « Menu Principal ». En cliquant sur le
menu « Fichier » puis sur « Nouveau »,
ce dernier nous donne l'accès sur les autres formulaires en suivant
l'indication des flèches d'orientations.
1
2
3
4
100
5
6
7
8
9
I
11
II
3.4.1. ACCES AUX FORMULAIRES
A. Formulaire Service
B. Formulaire Personnel
C. Formulaire Patient
D. Formulaire Examen
E. Formulaire Traitement
F. Formulaire Hospitalisation
G. Formulaire Traitement
H. Formulaire Chambre
I. Formulaire Maladie
J. Formulaire Laboratoire
K. Formulaire de Connexion à la base de
données
3.4.2. MANUPILATION DES ETATS DE SORTIE
L'accès aux différents états de sorties,
comme dans le premier cas, suit toujours l'indication des flèches
d'orientations selon ce que vous désirer en partant du menu rapport.
6
5
4
3
2
II
1
1. Il vous donne accès à la liste
des employés qui sont stockés dans la base des
données;
2. Il vous montre la liste des employés par service.
3. Vous avez accès à toutes les informations sur
le traitement des patients;
4. Il vous permet de visualiser toutes les informations sur
l'hospitalisation des patients.
5. Il vous montre les données sur les examens
effectués
6. Il vous donne une vue sur les informations de
consultation.
3.4.3. MAQUETTE DES QUELQUES ETATS DE SORTIES
A. Liste du Personnel
B. Liste du Personnel par Service
C. Fiche des Patients Traités
D. Fiche des Patients Hospitalisés
E. Fiche des Résultats du
Laboratoire
F. Fiche des Patients Consultés
CONCLUSION GENERALE ET SUGGESTIONS
1. CONCLUSION
Toute étude menée doit devoir aboutir à
sa fin. Bien entendue nous voici à la fin de ce présent travail
ou projet d'étude qui a porté sur la conception et
implémentation d'une base des données dynamique et
partagée de gestion clinique sous un environnement SQL Server et
interfaces C#, avec comme objectif principal de définir le contour du
système à modéliser afin d'implanter un outil capable
d'aider les utilisateurs à produire les états de sorties et
à générer tous les rapports du système
conformément à l'expression de leurs besoins. Cela étant
il s'avère indispensable de donner une conclusion par rapport au travail
ou projet réalisé. Notre étude s'est focalisée sur
l'aspect clinique de la direction médicale du CSRMC, où nous nous
sommes imposé certains objectifs à atteindre de part notre
problématique et notre hypothèse par rapport aux problèmes
que connaît le CSMRC et les solutions proposées pour les
dissiper.
Nous disons que par les états de sorties et
différents formulaires, nous pouvons frotter nos mains car ces derniers
répondent bien aux besoins des utilisateurs. Toute fois, dans
l'ensemble, nous pouvons signaler, avec sincérité que nous
n'avons pas atteint la perfection, raison pour laquelle nous recommandons aux
autres chercheurs d'apporter leurs spécialités pour que ce
travail soit plus attractif.
2. RECOMMANDATIONS
Aux autres chercheurs nous leurs
recommanderons
- d'améliorer les interfaces pour qu'elles
répondent aux critères ergonomiques, qu'elles attraient et
qu'elles facilitent la tâche aux utilisateurs.
- de sécuriser la base de données, en
créant des privilèges et des permissions (d'authentification)
sous forme des tiroirs virtuels pour chaque utilisateur, à part le
propriétaire ou le gestionnaire des toutes les parties de la base.
- d'étendre leurs sujets sur les deux autres directions
restantes en fonction des besoins qui en découleront.
- de développer ce travail et étendre les
oeuvres du CSRMC jusqu'au WAN pour l'ouvrir au monde extérieur par le
biais d'un site web dynamique.
Aux responsables du CSMR/C :
- Nous leurs demanderons d'implanter cette base de donner
après l'avoir testé.
BIBLIOGRAPHIE
A. Ouvrages
-Serge Tahé, apprentissage du langage c# 2008 et du
Framework .NET 3.5, ISTIA -Université d'Angers Mai 2008
-Georges GARDARIN, Base des données, Editions
Eyrolles Paris, 2005
-Joe HABRAKEN/ Matt HAYDEN, les Réseaux,Ed.
CampusPress Paris, 2005
-Cyril Gruau, SQL Server 2000, Analysis Services et
DTS, 2004
-Rémy Courdier / Pierre Gérard,
Système d'Information MERISE, Ed CNRS, 2003
- OSMAN EYROLLES MULTIMPEDIA, Nouveau Dictionnaire
des Télécommunication de l'informatique et de l'Internet,
Ed. OEM, 2OOO
- DI GALLO Frédéric, Méthodologie
UML,- Cours du cycle B du Cnam.doc, ANGOULEME
2000-2001.
- Pierre Gérard, Introduction à UML 2
Modélisation Orienté Objet de Systèmes Logiciels,
Université de Paris 13 _ IUT Villetaneuse DUT Informatique _ S2D
8. Archives du Centre de Santé Maternité de
Référence Carmel
B. Wébographie
-
http://www.commentcamarche.net/forum/affic/6057589-sgbd-et-sgbdr#,
visité le 26/07/2010 à 15h 10
-
http://msdn.microsoft.com/fr-fr/library/aa902689(SQL.80).aspx,
visité le 27/06/2010 à 12h20
-
http://www.btb.gc.ca/btb.php?lang=fra&cont=700,
visité le 28/09/2010 à 15h20
-
http://agora.qc.ca/dossiers/Technique.
visité le 28/09/2010 à 15h25
- http://uml.free.fr
* 1 Archives du Centre de
Santé de Référence Carmel
* 2 Georges GARDARIN, Base
des données, Editions Eyrolles Paris, 2005
* 3 Cyril Gruau, SQL Server
2000, Analysis Services et DTS, 2004
* 4
http://www.commentcamarche.net/forum/affic/6057589-sgbd-et-sgbdr#,
visité le 26/07/2010 à 15h 10
* 5 Rémy Courdier /
Pierre Gérard, Système d'Information MERISE, Ed CNRS,
2003
* 6 Georges GARDARIN, Op.
Cit
* 7
http://msdn.microsoft.com/fr-fr/library/aa902689(SQL.80).aspx,
visité le 27/06/2010 à 12h20
* 8 Cyril Gruau, Op.
Cit
* 9 Ass. Philémon,
«Cours d'UML», L1 Informatique de Gestion, ISIG Goma,
Inédit,
* 10 Ass. Philémon,
Op. cit
* 11 Georges GARDARIN, Op.
Cit
* 12 Idem
* 13 Serge Tahé,
apprentissage du langage c# 2008 et du Framework .NET 3.5, ISTIA -
Université d'Angers Mai 2008
* 14 Idem
* 15 Ibidem
* 16 C.T. Osée MASIVI,
« Télématique et Réseaux
Informatiques », G3 Informatique de gestion, ISC Goma, Inédit,
2005-2006
* 17 Ass. Martin Widjilowu,
« Télématique et Réseaux
Informatiques », L1 Informatique de Gestion, ISIG Goma,
Inédit, 2007- 2008
* 18 Joe HABRAKEN/ Matt HAYDEN,
les Réseaux,Ed. CampusPress Paris, 2005
* 19 OSMAN EYROLLES
MULTIMPEDIA, Nouveau Dictionnaire des Télécommunication
de l'informatique et
de l'Internet, Ed. OEM, 2OOO
* 20 C.T. Osée MASIVI,
Op. Cit
* 21 Idem
* 22 Serge Tahé ,
Op. Cit
* 23 C.T. Osée MASIVI,
Op. Cit
* 24 Idem
* 25 Joe HABRAKEN/ Matt HAYDEN,
les Réseaux,Ed. CampusPress Paris, 2005
* 26 Ass. Armel KANEGE,
« Télématique et Réseaux
Informatiques », L1 Informatique de Gestion, ISIG Goma,
Inédit, 2008- 2009
* 27 Idem
* 28 Ass2. Jack NDAYE,
« Laboratoire Informatique I », L1 Informatique de Gestion,
ISIG Goma, Inédit, 2008- 2009
* 29 Ir Martin Widjilowu,
Op. Cit
* 30 C.T. Oséé
MASIVI, Op. Cit
* 31
http://www.btb.gc.ca/btb.php?lang=fra&cont=700,
visité le 28/09/2010 à 15h20
* 32
http://agora.qc.ca/dossiers/Technique.
visité le 28/09/2010 à 15h25
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