ANNEXES
ANNEXE 1 : QUESTIONNAIRE SOUMIS AUX ACTEURS
+ Coté camerounais 
1.  La presqu'île de Bakassi était
entièrement occupée par les populations nigérianes et ce
depuis des lustres. Comment en est-on arrivé là ? 
2.  En décembre 1993, les troupes armées
nigérianes s'investissent à Bakassi. Comment est-ce que vous
réagissez ? 
3.  A Idabato en février 1994, il y a de violents
affrontements entre les troupes nigérianes et la marine camerounaise.
Quelle a été l'issue de ce premier affront et quelles ont
été les dispositions prises ? 
4.  Par la suite il y a eu de violents combats terrestre et
maritime. Quel a été le bilan de ces affrontements ? 
5.  A la suite de ces affrontements, le Cameroun, tout en
maintenant ses troupes au front, va choisir la voie diplomatique, an saisissant
la CIJ. A votre avis, qu'est-ce qui justifie ce choix ? Est-ce la crainte de
l'adversaire ? Sinon, quels sont les atouts des forces armées
camerounaises ? 
6.  Durant ce conflit, avez-vous utilisé les accords de
coopération militaire signés avec la France ? Aviez-vous besoin
d'elles pour pouvoir repousser les offensives nigérianes ? 
7.  Quelle a été le nombre réel de
tués et de blessés durant cette guerre ? 
 
+ Coté nigérian 
1-  Pourquoi le gouvernement nigérian a-t-il
décidé d'envahir Bakassi ? 
2-  Lorsque les troupes nigérianes décident
d'envahir la presqu'île de Bakassi, étaient-elles sûres de
venir à bout des troupes camerounaises ? 
3-  Durant cette occupation de fait, quelle a été
la réaction camerounaise ? 
4-  Quel a été le bilan de ces affrontements
terrestres et maritimes ? 
5-  Les forces armées camerounaises vous ont-elles
empêché d'accomplir votre mission ? 
6-  Pensiez-vous que vous pouviez vous approprier la
presqu'île camerounaise et pérenniser la souveraineté
nigériane ? Si oui, quels atouts et stratégies disposiez-vous
pour y arriver ? 
7-  Avez-vous tiré un grand bénéfice durant
l'occupation de la presqu'île, si oui de quelle nature ? 
 
ANNEXE 2 : ETAT DE LA DEFENSE DES FORCES
ARMEES CAMEROUNAISES ET NIGERIANES : d'après Pascal Boniface
dans l'année stratégique 2006 
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