REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE
INSTITUT SUPERIEUR DE DEVELOPPEMENT RURAL
I.S.D.R
LA POPULATION DE MBANDAKA FACE A LA
MONDIALISATION
« Cas de l'outil
Informatique »
(De 2007 2010)
B.P. 118
MBANDAKA
Jules MAZOKO NGAMOKUBA
Travail de Fin de Cycle présenté et
défendu pour l'obtention du Grade de Gradué en Techniques de
Développement Rural.
Option : Gestion des Entreprises
Directeur : Prof. Ordinaire Dr. BOFAMBU NKOMBE
ETAF'EOSENDJA
Encadreur : C.T Alexandre ONEMA
ONYA
Année Académique 2010 - 2011
EPIGRAPHE
« Heureux l'homme qui trouve la sagesse et qui
possède l'intelligence car le gain qu'elle procure est
préférable à celui de l'argent. Dans la droite est une
longe vie ; dans la gauche, la richesse et la gloire ».
Proverbe 3 : 13,16-20
DEDICACE
A Dieu pour son omnipotence, omniprésence et
omniscience. Qu'il soit loué en toute circonstance.
A nos parents : Maman Madeleine MBEMBO et Papa NGAMOKUBA
SIMBA, pour tant de sacrifices consentis à nos études et le souci
de nous voir progresser.
A nos frères et soeurs : Dr. MINYUNGA Mireille,
Mivin JOHN MATA, Ir. Patrick MWANZO, Moïse SIMBA, Jina MOSEMENI, Sylvie
BOSEMBO, Kaddy, BIBWANGA Nadège, Belle - Vie MATA, Jacques MADUKU,
Moïse SIMBA, Sofia MBEMBO et Nice MAZOKO, pour leur unité
familiale.
Jules Mazoko
REMERCIEMENTS
Cette oeuvre scientifique est le fruit des efforts
conjugués de plusieurs personnes animées de bonne
volonté.
Qu'il nous soit permis de remercier vivement nos
bienfaiteurs : Couple Pasteur YANGO, Couple Papa Jean Willy GERENGBO,
Couple Dr. Papy LUSAMESO, Couple Ir. Cytho KAYEMBE, Couple Marcel EKE, Couple
JP DENGBA, Couple Marco BOMOLO, Couple Richard BOLOKO, Couple Dudu MANDJENGE,
Couple Siméon BAMWANYA, Couple Papy LONKOFO et Noël KITOKO, Jeannot
LIKILE pour nous avoir aidés matériellement et
financièrement.
Nous pensons à tous nos professeurs, chefs de travaux
et assistants de qui nous ont communiqué non seulement la science, mais
aussi un idéal qui permet notre intégration harmonieuse dans la
société d'aujourd'hui.
Nous pensons particulièrement au professeur BOFAMBU
NKOMBE, et l'Encadreur C.T Alexandre ONEMA ONYA qui, malgré ses
multiples occupations a bien voulu assurer la rédaction de ce travail,
Nos sentiments de gratitude s'adressent également
à tous nos collègues et amis de lutte : Debora BURAHIMU,
Albertine MADAMA, Juda MBOLI, Julien LONGANGU, Louis BOPOMI, Max TONGOLO, Sarah
BAKATANGULA, Fifi LOMEMA, Bibi ILUKU, Saïdi LIKILA et Préso EPONO
et Mélanie BOLAKOFO
Nous serions ingrat, si nous ne disons pas merci à tans
nos regrettés : Omo JULES, Oncle Pitshu, MADUKU, KALU SOUMALINE et
FREDERIC NYABONGANGA.
Nous remercions enfin tous parents, connaissances, cousins et
neveux qui ont partagé avec nous les joies et les peines durant toutes
ces années de vie estudiantine : MAZOKO LOBWA, YONGI ANGELIQUE,
PHILOMENE NYALIWELE et Jacques MADUKU, BOSOBE Leonard, Gaston LOKAY, Jules
MAZOKO, Papy MAZOKO, Michel MOLONGA, NYABOLIYA MOSEKA, José MAATA, Paul
MOBONDA, LIWANGA Olivier, ....
A tous les informaticiens : Anicet TOSUKU, Papy ILONGA,
Faustin BATOLLUKA, Edmond MBOKOLO, Delmo SIMBA, Sarah BAKATANGULA, Sahara
BITOTA, Mamie KATESIA, avec ma main forte que vous m'aviez prêté
pour la saisie de ce travail...
Que tous trouvent ici l'expression de notre profonde et
sincère gratitude.
PRINCIPALES ABREVIATIONS
1. IBM : International Business Machine
2. PNMLS : Programme National Multisectoriel de lutte
Contre le SIDA
3. ACREPADE : Action pour la Réconciliation
paix et
Développement
4. IDI : Initiatives pour le Développement
Intégral
5. PNML : Programme Multisectoriel de lutte Contre le
SIDA.
6. RACOJ : Réseau d'Association Congolaise des
Jeunes
engagés dans la lutte contre le VIH/SIDA
7. REPEQ : Réseau d'Encadrement des
Pygmées de
l'Equateur.
8. FMI : Fonds Monétaire International
9. PME : Petite Moyenne Entreprise
10. OMC : Organisation Mondiale du Commerce
11. PC : Personal Computer
12. PDA : Personal Digital Assistant
13. TB : Très Bien
14. M : Mauvais
15. AB : Assez Bon
16. HGR : Hôpital Général de
Référence
17. C.S : Centre de Santé
18. ONG : Organisation Non Gouvernementale
O.INTRODUCTION GENERALE
1.
PROBLEMATIQUE.
La mondialisation qui s'est posée comme un
phénomène planétaire fait du monde un village
planétaire, un monde sans frontière fort du progrès et de
la révolution, de la technologie, la mondialisation à provoquer
une nouvelle manière de vivre et d'agir autrement du fait dit
échanges sur le plan économique, des valeurs culturelles des
informations.
Malgré ce processus, les pays du sud reste encore en
marge de ce processus du fait de la non intégration et subissent les
effets plus qu'ils participent. L'usage de l'outil informatique est un des
concepts de la mondialisation sur lesquels notre attention va être
focalisée. L'insertion de l'outil informatique dans l'administration
publiques privés dans la gestion courante des affaires le traitement de
l'information est un indicateur du niveau d'invertissions à ce
phénomène planétaire.
La simple fait de détenir des gros diplômes, de
savoir lire et écrire, parlers couramment ne suffit plus pour montrer la
qualification de « l'intellectuel. Autrement dit la non maitrise de
cet outil signifie la présence dit « illettrés
modernes »
En abordant cette étude notre préoccupation
tente de répondre aux interrogations ci-après :
- Quel est le taux ou le niveau d'utilisation de l'outil
informatique dans le secteur public au centre urbain de Mbandaka ?
- Quelle sont les contraintes à l'accès à
l'outil informatique ?
- Quelles les conséquences des faibles accès
à l'outil informatique ?
2.
HYPOTHESE DU TRAVAIL
Les hypothèses constituent les soubassements les
fondations préliminaires de ce qui est à démontrer ou
à vérifier sur le terrain.1(*) Selon R.RIZSOHAZY l'hypothèse cherche
à établir une vision provisoire du problème soulevé
en évoquant la relation supposée entre les faits sociaux dont le
rapport constitue le problème et en indiquant la nature de ce rapport
2(*)
D'après SHOMBA KINYAMBA l'hypothèse est une
série des réponses qui permettent de prédire la
vérité scientifique vraisemblable au regard des questions
soulevés par la problématique et dont la recherche
vérifié le bien fondé (3(*)). En rapport avec les questions soulevés dans
la problématique, mais affirmons que.
- Le faible niveau de l'utilisation de l'outil informatique
dans les administrations publiques et privées est un indicateur de
faible participation au processus de mondialisation.
- Le nombre réduit des cybercafés et le non
acquisition de l'outil informatique dans les secteurs publics et rivées
sont des contraintes moyennes à l'accès à celui-ci.
- Le non accès à l'outil informatique ne
favorise pas l'accès à une connaissance en perpétuelle
évolution et entraine les lecteurs dans la gestion courante des
affaires.
3.
METHODE ET TECHNIQUE UTILISEES.
A. Méthode
La méthode est l'ensemble de règles des
principes qui organisent le mouvement d'ensemble de la connaissance,
c'est-à-dire la relation entre les informations correctes
rassemblé à l'aide des techniques et le niveau de la
théorie et des concepts (4(*))
Dans cette étude, nous avons fait usage de la
méthode socratique ou interrogative car s'agit-elle des questions
réponses pour avoir les éléments important. Les
professeur TSHONGA ONYUMBE définie la méthode comme une
manière de faire suivre certaines principes et avoir un certaines ordre.
C'est une démarche ordonnée, raisonnée, une technique
employé pour obtenir un résultat (5(*))
B. Techniques utilisées
Les techniques sont les outils qui permettent à la
méthode des exprimer ou l'intérioriser (6(*))
Les données des sites étudié ont
été récoltées a l'aide des moyens suivant :
- La technique documentaire : celle-ci a servi
à la consultation des documents écrit (les ouvrages, les
archives ainsi que les consultations internet.
- L'interview : elle a été d'une
importance capitale en ce sens que certaines informations ont fait l'objet des
questions et réponses orales suivants un guide d'entretien.
4.
INTERET ET CHOIX DU SUJET
Notre intérêt dans ce sujet porte sur la
façon dont la mondialisation a provoqué une nouvelle
manière de vivre et d'agir par usage de l'outil informatique.
Aujourd'hui sans la connaissance de l'outil informatique signifie la
présence des illettrés modernes c'est pourquoi cet outil est
devenu important pour tout intellectuel de la troisièmes
millénaire.
En effet, notre choix à ce sujet est de savoir la place
de l'outil informatique dans l'administration publique, privée, dans la
gestion courante des affaires.
5.
DELIMITATION DU SUJET
A. Dans l'espace.
Les services publics de la ville de Mbandaka constituent le
champ de nos investigations. Certains secteurs feront l'objet de notre
observation sur terrain.
B. Dans le temps
Notre étude porte sur la période qui
s'étend de 2007à2010.
6.
DIFFICULTES RENCONTRES
Dans la réalisation de ce travail nous avons
été confrontés à des difficultés dont
quelques une militent d'être relevée ;
- L'absence d'une documentation existante dans la mesure
où jusqu'à ce jour aucun travail n'a été
rédigée dans ce domaine
- Le recours à l'internet nécessitant des frais
de consultations pour accéder aux données.
- Les multiples rendez-vous manquées auprès des
gestionnaires et des va et viens dans certains cybercafés pour la
récolte des données
Toutes fois suite à notre détermination nous
sommes parvenus à réunir dés informations et à
receler des données qui ont permis d'élaborer notre travail
7.
DIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la conclusion, notre travail comprend
trois chapitres :
- Le première aborde la généralité
du milieu sous l'aspect géographique, administratif, économique
et socio culturel ;
- Le second chapitre présenter l'outil informatique la
définition de quelques concepts et historique ;
- Le troisième chapitre traite de l'utilisation de
l'outil informatique à travers l'analyse et interprétation des
résultants sur terrain.
CHAPITRE I : PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDES
I.1.
Aspect Géographique
I.1.1. La Localisation
Mbandaka, Chef lieu de la Province de l'Equateur est une ville
situé entièrement dans la cuvette centrale sur la rive gauche du
fleuve Congo et de la rivière Ruki, du mont vers l'aval. D'une
superficie de 1.778 Km², la Ville de Mbandaka s'étend sur une
longueur d'environ 40 Km de Bamanya à Bongonde7(*).
- Au Nord, par la rivière gauche de la Ruki à
sont point jonction avec la rive gauche du fleuve Congo jusqu'au confluent
Ruki- Isonji ;
- Au sud par la rivière Panza depuis sa confluente
à la rive gauche du fleuve jusqu'à son intersection avec l'axe
de la route intérêt nationale vers le village Boyela .De ce
village par un sentier jusqu'à sa rencontre avec le Lac PAKU ;
- A l'est, par la rivière Isondji jusqu'a `à
la source,
- A l'ouest rive gauche du fleuve Congo jusqu'à son
point de jonction avec la rive gauche de la rivière Ruki 8(*)
I.1.2 Le Climat
Par sa situation géographique, la ville de Mbandaka se
baigne entièrement dans la zone à climat équatorial qui
donne à toute la ville une chaleur élevée car la
température moyenne annuelle est de 25°-c le climat est
caractérisé par :
- Des pluies abondantes toute l'année
- Une végétation dense et luxuriante ;
- Une l'attitude 0°4 ;
- Une longitude de 18° 18'20'' ;
- Une altitude de 370m9(*)
I.1.3 La Végétation
La ville de Mbandaka est couvert de foret dense et
hétérogène ou cuvent des animaux singes, sangliers
antilopes, rongeurs reptiles et divers Oiseaux. Ce foret renferme plusieurs
espèces d'essence forestières et lianes surtout dans les
quartiers Bongondjo, Secri-Wenji, Inganda, Bolenge, Djombo......
I.2.
Aspect économique
I.2.1. Agriculture
L'agriculture est essentiellement extensive et sur brulis.
Elle reste traditionnelle compte tenu de son matériel simple et des
méthodes archaïques, le manioc , le mais, le riz ,la banane , la
patate douce sont les culture pratiquées par la population . Quelques
plantes maraichère sont aussi cultivées ; les marrantes,
oseilles, tomates, ciboules, aubergines.
On y trouve parfois des plantes forestière comme
l'avocatier, le papayer, le paumier, le manguier, le safoutier, le
mangoustanier, le ramboutanier, l'arbre à pain, le cocotier. Les
produits des cultures vivrières sont fournis par les habitants des
quartiers périphériques dont Bémponga, Bongonde, Djombo
(10(*)).
I.2.2. La Pêche
La pêche est une des activités économique
de Mbandaka. Elle est plus pratiquée par les LOKELE, NGOMBE, LIBINZA,
MWE, KUTU, TOPOKE et autres dispersés à travers différents
campement sur le fleuve Congo ainsi que dans certains quartiers tels que :
BASOKO, BONGONDJO, BOLENGE, INGANDA, SECLI - WENDJI.
Pendant la saison sèche, période
caractérisée par la baisse d'eau au niveau du fleuve, le
rivières, des ruisseaux et des différents états naturels,
on pratique la pêche aux claires à la ligne, aux filet, aux
nasses, aux hameçons, l'écopage, pendant la saison des pluies ou
il y a des inondations énormes avec pénétration des eaux,
on fait recours à la pêche aux barrages, aux nasses, aux
hameçons, aux filets dormants.
Le matériels de pêche est constitue de pirogue,
pagaies, filets, hameçons, nasses, les produits de pêche sont
destinés à la consommation ainsi qu'à la vente au niveau
du marché local ou exports ailleurs. (11(*))
I.2.3. Elevage
A Mbandaka, on pratique l'élevage de la volaille, ou
petit bétail et gros bétails. Mais cette activité n'est
pas développée pour la simple raison que bon nombre
d'éleveurs laissent leurs animaux en divagation. Ils ne soucient ni de
leur alimentation, moins encore de leurs soins. Quelques exploitations
organisées s'il en existe se comptent au bout de doigts.
Parmi les espèces qu'on élève, nous
pouvons coter : la poule, le canard, la pintade pour la volaille, le porc,
le mouton et la chèvre pour le petit bétail et le bovin pour le
gros bétail.
Il convient de signaler que les fermes qui, jadis, faisaient
la fierté de la ville de Mbandaka ont soit disparus, cas de la ferme de
Bolaka, soit font faillites, cas de la ferme de fine rose pour ne citer que ces
deux cas, pour contre, on assiste actuellement à l'éclosion de
noyau de l'élevage de bovins à travers la ville.
I.2.4. Chasse
Cette activité n'est pas tellement
développée dans la ville de Mbandaka ; bien qu'elle soit
pratiquée, elle est plus active dans les forêts qui entourent la
ville telles que Djombo, Bongonde, on utilise les pièges, les chiens,
les flèches, etc... et quelques chasseurs font également l'usage
de fusil.
I.3. Aspect Social
Tout être humain est appelé à jouir d'une
bonne santé qui lui permettra de mener une vie socialement
économique, productive. En effet, toute personne en bonne santé,
est in facteur important de développement car en ce sens, il est capable
de travailler afin de produire. Cependant si la santé est
affectée, tout avenir du productif est sombre (12(*)).
La ville compte aussi les services spécialisés
et d'un laboratoire pour les analyses et examens médicaux.
Tableau n°1 : Distribution des structures
sanitaires par zone de santé
N°
|
ZONE DE SANTE
|
HGR
|
C.S(2)
|
01
|
Mbandaka (1)
|
-
|
11
|
02
|
Bolenge
|
1
|
08
|
03
|
Wangata
|
1
|
10
|
Total
|
2
|
29
|
Source : Bureau urbain de la santé publique,
Mbandaka, mai 2011.
Hôpital Général de
Référence convertis en clinique universitaire.
HGR : Hôpital Général de
Référence
C.S : centre de santé.
(2) uniquement les structures officielles.
Le tableau n°1 indique que sur le trente et un (31)
structures sanitaires, nous avons deux (2) hôpitaux
généraux de référence soit près de 7 % entre
vingt et neuf (29) centres de santé soit près de 93%.
Tableau n°2 : Médecins et Personnels
soignant par Zone de Santé
N°
|
Zone de Santé
|
Médecins
|
Infirmer
|
Total
|
%
|
A1
|
A2
|
A3
|
01
|
Bolenge
|
03
|
27
|
10
|
30
|
70
|
26, 41
|
02
|
Mbandaka
|
18
|
59
|
09
|
30
|
116
|
43,17
|
03
|
Wangata
|
24
|
08
|
15
|
32
|
79
|
29,81
|
Total général
|
45
|
94
|
34
|
92
|
265
|
99,99
|
Source : Hôpital générale de
référence de Bolenge, Wangata et Clinique de Mbandaka, juin
2011
Les données du travail ci-haut, ils ne sont que selon
les zones des santés selon l'ordre de grandeurs HGR de Mbandaka avec 116
cadres soit 43,77% du personnel, Wangata avec 79 unités soit 29,81% et
Bolenge avec 70unités 26,41%.
Signalons également la présence du grand
laboratoire qui s'occupe des analyses des examens médicaux, ainsi que
celle de différente pharmacie permettant à la population de se
ravitailler produit pharmaceutique et de nombreux dispensaires
éparpillés à travers la ville.
I.3.2 L'Enseignement
La ville de Mbandaka compte plusieurs établissements
Scolaires de cycle maternel, primaire et secondaire de différents
réseaux d'enseignement, officiel, catholique, protestant, Kimbanguiste,
Islamique, fraternel et privés disséminés à travers
la ville. Nous avons répertorié :
· 35écoles conventionnés catholiques dont
22 primaires et 13 secondaires ;
· 26 écoles conventionnées protestantes
dont 21 primaires et 5 secondaires ;
· 3 écoles conventionnés Kimbanguistes dont
2 primaires 1 secondaire
En ce qui concerne les établissements non
convention és nous avons 3 écoles privées
agrées ;
· L'école Belge qui organise sont sein,
l'enseignement maternel et primaire ;
· L'école francophone « le perroquet
qui organise l'enseignement maternel primaire, secondaire ;
· Le complexe scolaire « le Bon berger qui
organise l'enseignement primaire secondaire en profession et enseignement
maternel. nous avons aussi quelques écoles privés non
agrées quand auxn écoles officielles, la ville de Mbandaka
dispose de 19 écoles primaire et 10 secondaires.
La ville de Mbandaka compte donc 147 écoles dont :
11 écoles maternelles ; 94 écoles primaires42 écoles
secondaires et autres non agrées 13(*)
Excepté les établissements de l'enseignement
primaire, secondaire et professionnel, Mbandaka dispose de quelques
établissements supérieurs et universitaires tant officiels que
privés dont nous pouvons citer :
· L'Institut supérieur Pédagogique (ISP)
· L'Institut Supérieur de développement
Rural (ISDR)
· L'Institut Technique Médicale (ISTM)
· L'Université de Mbandaka (UNIMBA)
· L'Université protestante de l'Equateur (UPE)
· Le grand séminaire de Bamanya (GSB)
· L'institut Supérieur de science Commerciale
(ISSC)
· L'institut Facultaire de science Santé Cardinal
Etsou (IFSIC)
· L'institut de Faculté des Sciences
d'Informatiques et de Communication (IFASIC) en progression.
· L'Institut de Pêche de Bolenge (IPB) en
progression.
I.3.3. Habitat
La ville de Mbandaka dispose des belles maisons construites
en matériaux durables et semi durable. Dans les quartiers Bosomba et
Bongondjo, on trouve les constrictions de l'Habitat pour humanité qui
font la fierté de cette ville.
Dans certaines quartiers comme maman Balako, Ikongowasa, on
trouve des parcelles abandonnées transformer souvent en potagère
tandis que d'autres tels que Bosemba, on assiste au morcellement des parcelles
conduisent à des constructions anarchiques.
I.4. Aspect Politico Administratif.
La ville de Mbandaka, chef lieu de la province de l'Equateur,
avait été élevée au rang de la ville depuis le 06
septembre 1958 par l'ordonnance - loi n) 12-37514(*)
Elle est dirigée par un maire secondé par vice
maire. La ville comprend deux quartiers et ces dernières rues. A la
tête de chaque commune, on trouve un Bourgmestre secondé par un
assistant. Au niveau de quartiers, les Chefs de quartiers sont des
responsables administratifs qui coordonnent toutes les activités. Tandis
qui au niveau des rues, on trouve des chefs de rues.
Voici les différents quartiers qui composent les deux
communes de la ville de Mbandaka.
Tableau N°3 Répartitions des quartiers par
commune
N°
|
Commune de Mbandaka
|
Commune de wangata
|
1
|
AIR CONGO
|
1. BOLENGE
|
2
|
BAKUSU
|
2. BOBWANZA
|
3
|
BASOKO
|
3. BONGONDE
|
4
|
BOKALA
|
4. BONGONDJO
|
5
|
DJOMBO
|
5. BOSOMBA
|
6
|
IKONGOWASA
|
6. BOYERA
|
7
|
IBANDA
|
7. ITURI
|
8
|
IPEKO
|
8. INGANDA
|
9
|
MAMBENGA
|
9. MAMAN BALAKO
|
10
|
MBANDAKA INKOLE
|
10. SECLI-WENDJI
|
Source bureaux des communes Mbandaka / Wangata mai
2010
I.5. Aspect Démographique
La ville de Mbandaka rassemble des populations venues de tous
les territoires et met en présence, des groupes extrêmement,
différents avec la prédominance du groupement Mongo qui se
répartit en 4 sections principales. Entre autres : le groupe
Mongo-Mongo, les Mbole, les Ekonda et les autres groupes Mongo.
· Mongo-Mongo : appelé aussi Nkundo,
proviennent de Basankusu, Bolomba, Monkoto, Kiri et Bongandanga.
· Mbole : provienne de Boende,Bokungu et Monkoto.
· Ekonda : provienne du centre de Bikoro.
Les autres groupes Mongo : sont des Nsongo,des Befale,des
Ekota et des Bakutu de Boende.En dehors de Mongo,les autres peuples riverains
de fleuves, les Non Bantous, les allogènes à l'Equateur et les
Batswa
Tableau N°04 : Population de la ville de Mbandaka
de 2007 à 2010
ANNEES
|
POPULATIONS
|
LES NATIONAUX
|
LES ETRANGERS
|
TOTAL
|
2007
2008
2009
2010
|
751.916
772.841
782.922
928.333
|
94
115
121
159
|
752.010
772.956
783.043
929.492
|
Source : Mairie de la Ville de Mbandaka, Service de
l'intérieur : IIème Bureau, juillet 2011
Commentaire : Durant les 3
premières années de notre étude, les données
démographiques ont été présentées
globalement, sans déterminer le nombre d'hommes ni de femmes, ni
d'enfants. Mais toutes ces anomalies ont été redressées en
2009 et 2010.
Répartition de la population de la ville de Mbandaka en
2010
Répartition spatiale de la population par quartier
COMMUNE DE MBANDAKA
Tableau n°05 : Répartition spatiale de la
population dans la Commune de Mbandaka
N°
|
QUARTIERS
|
POPULATION
|
%
|
Hommes
|
Femmes
|
Enfants
|
Total
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
|
AIR CONGO
BAKUSU
BASOKO
BOKALA
DJOMBO
IBANGA
IKONGOWASA
IPEKO
MAMBENGA
MBANDAKA INKOLE
|
11.553
7.469
13.785
4.965
14.452
7.092
10.329
5.312
7.263
9.005
|
10.367
8.000
15.482
5.650
15.928
7.255
11.900
5.503
7.346
9.951
|
35.245
18.361
32.863
11.395
32.308
15.695
28.413
10.662
15.799
21.285
|
57.165
38.830
62.130
22.010
62.688
30.042
50.642
21.477
30.408
40.241
|
13,9
8,24
15,1
5,36
15,3
7,32
12,3
5,23
7,41
9,8
|
|
TOTAL
|
91.225
|
97.382
|
222.026
|
410.633
|
100
|
Source : Mairie de la Ville de Mbandaka, Juin 2010
De ce tableau n° 5, nous pouvons lire que les quartiers
Djombo et Basoko sont les plus peuplés, soit respectivement 15,3 % et
15,1%. Par contre, le quartier Bokala est le moins peuplé avec 5,36
%.
COMMUNE DE WANGATA
Tableau N°06 : Répartition spatiale de
la population de la Commune de Wangata
N°
|
QUARTIERS
|
POPULATION
|
%
|
Hommes
|
Femmes
|
Enfants
|
Totaux
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
|
BOLENGE
BOMBWANZA
BONGONDE
BONGONDJO
BOSOMBA
BOYERA
INGANDA
ITURI
MAMAN BALAKO
WENZI SECLI
|
7.423
8.543
13.806
17.675
11.456
15.077
4.972
17.765
11.794
7.189
|
8.934
10.002
14.563
19.325
12.989
16.754
6.144
18.267
12.432
8.599
|
14.861
22.406
38.522
51.787
24.479
38.842
8.532
36.554
27.337
10.681
|
31.218
40.951
69.891
88.787
48.924
76.673
11.648
75.586
51.563
22.469
|
6,03
7,91
13,50
17,15
9,45
14,81
2,25
14,60
9,96
4,34
|
|
TOTAL
|
115.700
|
128.009
|
274.001
|
517710
|
100
|
Source : Mairie de la ville de Mbandaka Juin,
2010
La lecture de ce tableau indique que les quartiers INGANDA et
WENZI SECLI sont les moins peuplés, soit respectivement 2,25% et 4,34%.
Par contre le quartier Bongondjo est le plus peuplé avec 17,15%.
Répartition spatiale de la population et par sexes
en 2010
Tableau N°07 : Répartition spatiale par
Commune
COMMUNE
|
HABITANTS
|
Nombre
|
%
|
WANGATA
MBANDAKA
|
517.710
410.633
|
55,8
44,2
|
TOTAL
|
928.343
|
100
|
Source : Mairie de la ville de Mbandaka, Service de
l'Intérieur : IIème Bureau, juillet 2011
Répartition par structure d'âges et par sexes
en 2010
Tableau N°08: Répartition par âge et sexe en
2010
STRUCTURE D'AGES
SEXES
|
NATIONAUX
|
ETRANGERS
|
TOTAL
|
ADULTES
HOMMES
FEMMES
ENFANTS
GARCONS
FILLES
|
(432.316)
206.925
225.391
(496.027)
234.700
261.327
|
(132)
94
38
(24)
15
09
|
(432.448)
207.019
225.429
(496.051)
234.715
261.336
|
TOTAL
|
928.343
|
156
|
928.499
|
Source : Mairie de la Ville de Mbandaka Juin,
2010
A cause de grands espaces marécageux non habitables, la
densité en 2009 est de 522 hab. / Km2.
Chapitre II : GENERALITE SUR L'OUTIL INFORMATIQUE
ET DEFINITION DES CONCEPTS UTILISERS.
II.1. DEFINITION SUR LES CONCEPTS DES BASES
II.1.1. Population
En statique descriptive, une population est un en ensemble
fini d'objet les individus ou unité statistique sur lesquels une
étude se porte et dont les éléments répondent
à une ou plusieurs caractéristiques communes. On peut parler
aussi d'une population d'écrous produit dans une unité d'une
usine (15(*)).
Un ensemble d'individus d'une même espèce
vivante se perpétuant dans, un territoire donné est une
population biologique et la discipline scientifique qui en fait l'étude
est la biologie des populations... des populations humaines sont
étudiés par la démographie, la sociologie et la
géographie humaine. (16(*))
II.1.2. Mondialisation
Le terme « mondialisation » apparait dans
la langue française au début des années 1980 dans le cadre
de travaux économique et géographique. Ils signifie
l'accroissement du volume des échanges commerciaux de biens de service
des main d'oeuvre, de technologie, et de capital à l'échelle
internationale et dérivé du verbe
« mondialiser » atteste dès 1928. (17(*))
Il désigne initialement le seul mouvement d'extension
des marchés des produits industriels à l'échelle des blocs
géopolitique de la guerre long temps cantonné au champ
académique, il se généralise au cours des années
1990, d'une part sous l'influence des thèses de l'émergence d'un
« village global » portées par le philosophe
Marshell Meluham.
La mondialisation désigne l'expansion, et harmonisation
des biens d'interdépendance entre les nations, les activités
humaines et les synthèses politiques à l'échelle du
monde. Ce phénomène touche les personnes dans la plupart des
domaines avec les effets et une temporalité propres à chacun. Il
évoque aussi les transferts et les échanges internationaux des
biens des mains d'oeuvres et des connaissances. Ce terme spécifique
à l'environnement humain est souvent utilisé aujourd'hui pour
désigner la mondialisation économique et les changements induits
par la diffusion mondiale des informations sous forme numérique, par
exemple l'internet. (18(*))
Complètement générique, le terme
mondialisation désigne un processus historique par lequel les individus
les activités humaines et les structures politiques voient leur
dépendance mutuelle et leurs échanges matériels
qu'immatériels s'accroitre sur des distances significatives à
l'échelle de la planète. (19(*))
Elle consiste en interdépendance croissantes des
économies et contribue à l'expansion des échanges et des
interactions humaines.
La genèse du terme explique que ce processus soit le
plus souvent envisagé sous le seul aspect de la mondialisation
économique, développement des échanges et services
accentué depuis la fin des années 1980 par la création de
marchés financiers au niveau mondial. Toutefois s'y ajoutent l'aspect
culturel qu'apporte l'accès d'une très large partie de la
population mondiale à des éléments de culture de
population parfois très éloignées d'une part et aussi la
prise de conscience par les pays développés dans leur ensemble de
la diversité des culture au niveau mondial.
- L'aspect politique que représente le
développement d'organisations internationales et ONG,
- L'aspect sociologique de la mondialisation
résumé par Zygment Bauman, sociologue et professeur
émérite des universités de vasoire et
deleeds... « la mondialisation est délectable et
irréversibles. Nous vivons déjà un monde d'interconnexion
et interdépendance à l'échelle de la planète. Tout
ce qui peut se passer quelques parts affecte la vie et l'avenir des gens
partout ailleurs. Lorsque l'on évolue, les mesures à adopter dans
un endroit donné, il faut prendre en compte les réactions dans le
reste du monde. Aucun territoire souverain, si vaste, si peuplé, si
riche, soit - il, ne peut prodiguer à lui seul ses conditions de vie, sa
sécurité, sa prospérité à long terme, son
mobile social en existence de ses habitants. Votre dépendance mutuelle
s'exerce à l'échelle mondiale (...) »
- L'aspect géographique de la mondialisation est une
réalité spatiale qui est aujourd'hui largement
étudié de par de nom lieu géographie notamment Laurent
CARROUE. Elle ne correspond pas à une uniformisation du monde à
la disparition des territoires mais plutôt à la double logique
d'intégration dramatique qui entraine une hiérarchie et une
polonisation très faste des territoires
Deux conceptions s'affrontent autour de l'exploitation de
cette planète. Selon la conception unitaire, la mondialisation
évoque la notion d'un monde sans frontière, ceci dans une
approche géographique, idéologique ou économique. Cette
conception est soutenue par des organisations internationales ou institutions
internationales (notamment le FMI, OMC et autres. Di fun la mondialisation
comme unification du monde signifie que l'on parle de l'interdépendance
des cultures des technologies et des économies mondiale). De ce fait les
expressions comme culture mondiale ou civilisation mondiale, gouvernance
mondiale, voire citoyen mondial sont de plus en plus utilisées
(20(*)).
La conception conflictuelle et pluraliste considère la
forme actuelle de la mondialisation comme la source de nos problèmes.
Elle met en une approche de coopération plutôt que de mise en
concurrence, qui est le principe de base de la forme actuelle de la
mondialisation. Le problème que pose cette approche de la mondialisation
sont ceux de hétérogénéité de
l'incompatibilité, de la fragmentation de l'intégration de
l'ordre et de désordre, de l'inégalité de l'exclusion et
de la solidarité de la domination, de l'exploitation, des affrontements
idéologique et des relations humaines qui souvent régies par des
rapports de force.
II.1.3. Outil
Ethologiquement, le mot « outil » viens du
latin usitilium, corruption du latin classique ustensile (21(*)).
Un « outil » est un instrument
utilisé par un être vivant directement ou par le truchement d'une
machine afin d'exercé une action le plus souvent mécanique ou
thermique sur un élément d'environnement à traiter.
L'outil peut être compris comme un prolongement de la main, du corps, un
intermédiaire d'action, voire comme une prothèse dans le sens
où il remplace (ou même crée) un membre ou un organe.
Selon cette définition, outil serait synonyme d'objet
technique. Toutefois le langage courant réserve ce terme aux objets
portables, interchangeables. Le domaine d'application limite également
l'usage de terme outil.
- On parle d'outil en mécanique, dans la construction
ou en agriculture/jardinage,
- Pour les objets à usage ménager, on
préfère le terme d'ustensile,
- Les objets à vocation artistique ou scientifique sont
plutôt appelles instruments du dessinateur etc.,
Au sens figuré, on parle d'outil pédagogique
pour désigner du matériel ou des pratiques didactiques. Par
extension, terme « outil » peut s'appliquer à des
outils virtuel ;
- On appel outil informatique, les
applications d'en verdure limitée à une tâche
spécifique,
- On appel outil linguistique, les applications de type
dictionnaire de langue ou traducteur,
- On appel outil mathématique une notion utiliser de
façon récurrente pour faire aboutir des raisonnements ou
résoudre des problèmes,
- La notion d' « outil de travail »
fait référence aux installations professionnelles d'une
entreprise.
II.1.4. Informatique
L'informatique est le domaine d'activité scientifique,
technique et industriel en rapport avec les traitements automatiques de
l'information par des machines telle que les ordinateurs, les consoles, des
jeux les robots, etc. (22(*)).
Le terme informatique désigne à l'origine
l'ensemble des activités liées à la conception et à
l'emploi des ordinateurs, d'un point de vue principalement technique (23(*)).
Dans le vocabulaire universitaire américains, il
désigne aussi l'informatique théorique : un ensemble des
sciences formelles qui ont joués objet l'étude de la notion
d'information et des procédés de traitement automatique de
celle-ci, par exemple l'algorithmique, le traitement du signal, la
calculabilité et la théorie de l'information.
II.1.5. Programme
En informatique, un programme est une source
d'opération pré- déterminé destinés à
être exécuté de manière automatique par un appareil
informatique.
II.1.6. Cybercafé
Un cybercafé est un lieu dans lequel on propose aux
personnes d'accéder à l'internet. Dans certains publics c'est un
des lieux et moyens d'accès d'une partie de la population à la
donnée publique (quand elle est disponible en ligne), et à
certains services publics ou aux jeux en réseaux (24(*)).
A l'origine, le concept était d'interconnecter
plusieurs communautés ou ethnies en utilisant ce média pour faire
émerger une nouvelle espèce d'échange et de collaboration
avec les éléments virtuelles des concrets.
II.1.7. Bureautique
La bureautique désigne la mécanisation et
l'automatisation du travail du bureau, soit les processus de production,
l'exploitation, de réception et de conservation des documents.
(25(*))
Selon la définition du journal officiel de la
République française, la bureautique est l'ensemble de technique
et des moyens tendant à automatiser les activités du bureau et
principalement le traitement et la communication de la parole de l'écrit
et de l'image (26(*)).
II.1.8. Ordinateur
Le mot « ordinateur à été
inventé en 1956 par le français Jacques Perret à la
demande de l'IBM/France à la fin de doter la langue française
d'un terme équivalant à son homologue Anglo-saxons
« Computer », tandis que le terme
« informatique » a été
proposé en 1962 par l'Ingénieur français Philipe DREYFUS
et publié par l'académie française en 1965. Ce terme est
le résultat de la contraction de deux termes :
« INFORMATION et AUTOMATIQUE ». (27(*))
Un ordinateur est une machine électronique qui
fonctionne par la lecture séquentielle d'un ensemble d'instruction qui
lui font exécutés les opérations logiques et
arithmétique sur des chiffre binaire (28(*)).
Les données à manipuler sont obtenus soit par la
lecture de mémoire, soit par la lecture des composants d'interface
(périphérique) qui représentent des données
physiques extérieurs en valeurs binaire (déplacement d'une
souris, touche appuyé sur un clavier, température vitesse,
compression..).
II.1.9. Information et Donnée
L'information ou donnée informatique est le support
formel d'un élément de connaissance humaine susceptible
d'être représenté à l'aide de convention afin
d'être conservée, traitée ou communiquée. En effet,
l'information est donc tout fait, tout signal, tout son, toute image, tout
texte etc, susceptible d'être traité par l'ordinateur, alors que
le donné seul est une représentation conventionnelle d'une
information. (29(*))
II.1.10. Automatique
Ce mot viens du verbe « automatiser » et
signifie, la conception et la mise en oeuvre d'un enchainement
d'opération qui puissent se dérouler se déclencher sans
intervention humain.
II.1.11. Famille d'ordinateur (30(*))
On distingue plusieurs familles d'ordinateur selon leur format
(leur taille ou format).
1. Les Mainframe
Traduction ordinateur centraux, il s'agit d'ordinateur
surpuissant qui est utilisés pour des opérations de calculs
très lourds ou de traitement des données volumineuses.
2. Les ordinateurs Personnels (PC signifie :
Personnel Computer)
Deux catégories doivent être
distinguées :
- Le PC de Bureau
En anglais : Desktop computer : ils sont
composés d'une carte mère et d'un boitier raccordé
à un écran, un clavier et une souris
- Les PC portables
En anglais Netbook et Laptop : ils sont composés
d'un boitier qui intègre tous les composants : carte mère,
écran, clavier... ils sont aussi équipés des sortes pour
divers périphériques.
3. Les Tablettes PC.
Ce sont des PC portables avec un écran tactile.
4. Le Centre Multimédia
Ce sont des plates formes matérielles destinés
à piloter des éléments HIFI.
5. Les Assistants personnels (PDA) pour Personnal
Digital Assistant).
Ce sont des ordinateurs de poche destinés à une
utilisation d'organisation.
II.1.12. Type d'Ordinateur (31(*))
On distingue 3 types
1. Micro - ordinateur,
2. Mini - ordinateur,
3. Macro - ordinateur.
II.2. HISTOIRE DE L'OUTIL INFORMATIQUE
II.2.1. Apparition
L'automatisation du traitement d'informatique est lieu plus
ancienne que l'invention de l'ordinateur ; leurs premières machines
des traitements automatisés étaient des machines
mécaniques construite au XVIIeme siècle (32(*)).
« La science informatique dans les années
1950 le secteur d'activité des technologies des l'information et de la
commercialisation est lié à la fois à l'informatique,
l'électronique et la télécommunication. Les
activités sont la production des matériels informatique, machines
et pièces détachées, et de logiciels
procédés de traitement qui sont destinés à la
composition, ou stockage, à la transformation, la transmission et la
restitution automatique d'information (33(*)).
II.2.2. Les Avantages de l'outil
informatique
- Il fait gagner beaucoup de temps car elle fait en quelques
secondes, des taches qui autrefois demandaient des heures,
- Il est sure et ne fait pas d'erreur,
- Il sauvegarde les documents sous forme compacte et
évite la consommation de papier,
- Il permet la communication instantanée, comme par
exemple les cotations boursières en temps réel,
- Il gère avec précision et sans fatigue des
machines qui demandaient autrefois une main d'oeuvre qualifié nombreux
et coûteuse,
- Il ne prend pas de vacances, n'est jamais eu congés
maladie.
II.2.3. Les Inconvénients de l'outil informatique
- Il perd un temps fou à faire une multitude de choses
inutiles qu'on n'aurait pas eu l'idée de faire autrefois,
- On se fie totalement à lui et l'on accepte de ce fait
des erreurs qui auraient inadmissible autrefois,
- Le papier reste toujours le seul support qui sera
exploitable dans 5 ans, 100 ans ou 1000 ans, on édite toujours tout sur
papier, on fait des listings à longueurs de temps, on édite en
double, triple...
- Par son instantanéité, il favorise les
paniques boursières et les fluctuations excessives,
- Il participe à la diminution du besoin en mains
d'oeuvre en donc au chômage,
- Quand il est en panne ou en maintenance, ou pureté,
c'est l'usine voire la société entière qui est
arrêtée.
II.3. HISTOIRE DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS LA
VILLE DE MBANDAKA
C'est vers les années 2001,
donc seulement une décennie que l'outil informatique est présent
comme outil de gestion par différents utilisateur. Ne dit-on pas qu'un
outil n'a de valeur que celle que lui confort son utilisateur.
II.3.1. Les Services Publics
La régie de distribution
d'eau, RESIDESO n sigle, est la première structure à
intégrer l'outil informatique dans sa gestion. Les ordinateurs sont
utilisés dans le calcul du cubage d'eau avant la distribution aux
consommateurs. Les informations enregistrées sur les bandes
magnétiques constituaient une base de données. Les macros
ordinatrices, les minis ordinateurs étaient utilisés dans les
différents calculs difficiles à effectuer avec l'intelligence
humaine. (34(*))
La Banque Central du Congo (BCC)
à aussi utilisé l'informatique comme l'outil d'administration.
L'on note la présence de logiciel de la comptabilité
financière, le système d'enregistrement des informations par
disque dur. Cet outil est suffisamment exploiter dans le transfert d'argent
sous formes des codes à différents institutions publique,
privé para - étatique et organisation non gouvernementales
II.2.2. Les Organes, Programmes
et le Fonds du Système des Nations Unies
En 2001, dans le cadre de la
mission organisation des nations unies au Congo (MONUC), avec l'avenues des
agences, fonds et programmes de système des nations Unies à
Mbandaka, l'outil informatique a servi de seul outil de travail dans le cadre
de la communication satellitaire et de masse média. Mont de
système de travail a été informatisé et permet de
traitement et le transfert de celle - ci à des très grandes
distances même en dehors des frontières provinciales et
nationales.
II.2.3. Les Missionnaires
En 2002, la congrégation
des Pères Lazaristes ont utilisé l'outil informatique dans leurs
activités pastorales, la formation. L'internet a été
très utilisé est encore.
L'Eglise EL - SHADAIL a
organisé le système de consultation des messages bibliques dans
sa pastorale et a mit le cybercafé, qui vont bien que mal dessert la
population.
II.2.4. Les
Sociétés Privées de la Communication
En 2002, plusieurs maisons,
sociétés de communication se sont installées à
Mbandaka et ont contribué à désenclaver la ville sur le
plan communicationnel. Nous pouvons citer des services ; Vodacom,
Microcom, celtel.
L'outil informatique par la
communication des informations avec Internet a permit la gestion de
réseau des abonnés utilisant les appareils cellulaires
jusqu'aujourd'hui. (35(*))
II.2.5. La Commission
Electorale Indépendante (CEI)
En 2005, dans le cadre de
l'organisation des élections transparentes, crédibles et
démocratiques, cet organe a utilisé d'outil informatique dans
l'élaboration des cartes électeurs, tenant aussi lié de
carte d'identité provisoire pour le citoyen Congolais.
Il y a lié de conclure que
la demande sociale en matière d'outil informatique est un besoin qui se
fait de plus en plus sentir dans la ville. Il suffit d'observer l'afflux des
personnes dans quelques cybercafés. D'ailleurs les opérateurs
économiques de la ville utilisent de moins en moins dans ce secteur.
Chapitre III : UTILISATION DE L'OUTIL
INFORMATIQUE DANS
LA VILLE DE
MBANDAKA
L'outil informatique est l'outil par excellence de
l'administration, de l'information et de gestion des ressources pour une
structure. Ce chapitre s'attache à apprécier le niveau
d'utilisation de cet outil dans les secteurs public, privé, petites et
moyennes entreprise, le monde associatif.
III.1. Cadre Méthodologique
III.1.1. Choix de l'Echantillon
Pour arrivé à avoir une vision de la
réalité étudié, notre échantillon a
été stratifié en ce sens que notre observation a
porté sur les différents secteurs (éducation,
santé, administration publique, entreprises privées, la
société civil). Notre population d'enquête comprend un
outil 2309 sujets des différents services.
III.1.2. Rédaction et Administration des
questionnaires.
Dans le but d'apprécier le niveau d'utilisation de
l'outil informatique, un questionnaire aurait été
préalablement élaboré et administré aux
responsables devant ressortir les indicateurs ci - après :
- La catégorie de l'agent,
- Le nombre total des personnels, des élèves,
- Le nombre des utilisateurs des l'outil informatique,
- Le sexe,
- L'établissement scolaire et institution
d'enseignement supérieur et universitaire,
- Le niveau d'utilisation au travers des possibilités
de réponses ou choix suivant : très bon (TB), Bon (B), assez
bon(AB), Médiocre (M)
III.2. UTILISATION DE L'OUTIL INFORMATIQUE
III.2.1. Le Secteur Public
III.2.1.1. Enseignement Primaire, secondaire et
Professionnel
Tableau n°09 : Accès des
élèves à l'informatique
N°
|
Etablissement scolaire
|
Réseau
|
Nbre élèves selon le sexe
|
Total
|
Accès selon le sexe
|
Taux d'accès selon le sexe
|
Taux d'accès par école (%)
|
|
|
|
M
|
F
|
|
M
|
F
|
M
|
F
|
|
1
|
Centre Féminin Marie Antoinette
|
Officiel
|
0
|
600
|
600
|
0
|
316
|
0
|
52,66
|
52,66
|
2
|
Complexe scolaire le Bon berger
|
Privé
|
345
|
215
|
560
|
148
|
108
|
57,81
|
42,18
|
45,71
|
3
|
Institut Frère Iloo
|
Catholique
|
824
|
0
|
824
|
384
|
0
|
46,60
|
0
|
46,60
|
4
|
Institut de l'Equateur
|
Officiel
|
191
|
153
|
344
|
118
|
82
|
59,0
|
41,0
|
58,13
|
5
|
Institut technique Commerciale et Administrative/BAKUSU
|
Officiel
|
1125
|
683
|
1808
|
643
|
532
|
54,72
|
45,27
|
64,98
|
Source : Les Palmarès des
établissements scolaire, mai 2011.
Commentaire :
Des écoles non mixtes
Les enseignements suivants peuvent être tirés du
tableau ci - haut :
Sur 1808 élèves, 1175 élèves soit
65 % ont accès à l'informatique.
Le taux d'accès à l'informatique de
manière décroissante par établissement scolaire se
présente comme suit : l'Institut Commerciale et
Administrative/Bakusu avec 65 %, L'Institut de l'Equateur avec 58%, le Centre
Féminin Marie Antoinette avec 53%, l'Institut Frère Iloo avec 47%
et le Complexe Scolaire le Bon berger avec 46%.
Selon le sexe, tous les établissements scolaires mixtes
considérés de manière décroissante à
l'Institut de l'Equateur, les garçons avec le taux d'accès de 59%
contre les filles avec 41%, 58% des garçons contre 42% des filles au
complexe scolaire le bon berger, et enfin 55% de garçons contre 45% des
filles à l'Institut technique Commerciale de Bakusu.
III.2.1.2. Enseignements Supérieur et Universitaire
Tableau n°10 A. Accès de personnel Administratif,
Technique et Ouvrier de l'ISDR à l'Informatique
N°
|
Division
|
Répartition du Personnel
|
Total personnel
|
Accès à l'informatique par
sexe
|
Total personnel accès à
l'informatique
|
Taux d'accès
|
M
|
F
|
M
|
F
|
01
|
Affaires sociales
|
1
|
3
|
4
|
0
|
0
|
0
|
0
|
02
|
Bibliothèque
|
3
|
4
|
7
|
0
|
0
|
0
|
0
|
03
|
Coopération, Planification et Statistique
|
3
|
4
|
4
|
1
|
0
|
1
|
25
|
04
|
Entretient et maintenance
|
26
|
1
|
27
|
0
|
0
|
0
|
0
|
05
|
Finance
|
1
|
1
|
5
|
1
|
1
|
2
|
40
|
06
|
Informatique
|
2
|
1
|
3
|
2
|
1
|
3
|
100
|
07
|
Inscription
|
3
|
1
|
4
|
1
|
0
|
1
|
10
|
08
|
OEuvre estudiantine
|
1
|
0
|
1
|
0
|
0
|
0
|
0
|
09
|
Patrimoine
|
4
|
1
|
5
|
0
|
0
|
0
|
0
|
10
|
Personnel
|
6
|
5
|
11
|
0
|
0
|
1
|
9
|
11
|
Sécurité et garde
|
20
|
0
|
20
|
0
|
0
|
0
|
0
|
12
|
Service académique
|
2
|
0
|
2
|
0
|
0
|
0
|
0
|
13
|
Sport et loisir
|
86
|
17
|
103
|
6
|
2
|
8
|
7,76
|
14
|
Technique
|
12
|
0
|
12
|
0
|
0
|
0
|
0
|
TOTAL
|
173
|
35
|
208
|
12
|
4
|
16
|
|
TOTAL GENERAL
|
208
|
208
|
|
|
16
|
%
|
100 %
|
100 %
|
75%
|
25 %
|
7,69%
|
|
Source : Division du personnel, ISDR, mai 2011.
Commentaire : nos calculs personnels du tableau ci
- haut, il ressort que :
Sur un effectif global de 208 agents, les individus de sexe
masculin représentent 75 % contre les femmes avec 25% de l'ensemble du
personnel ; Su 208 agents, seize (16) ont accès à
l'informatique soit un taux de près de 8 % ; Selon le sexe, sur 16
agents accès à l'informatique, 12 sont de sexe masculin soit 75%
contre 25% de sexe féminin.
Tableau n°11B : Accès du personnel
Scientifique de l'ISDR à l'Informatique
N°
|
Grade
|
Total
|
Accès à l'informatique
|
Taux d'accès (%)
|
01
|
C.T.
|
8
|
2
|
25
|
02
|
ASS2
|
4
|
3
|
75
|
03
|
ASS1
|
3
|
2
|
66,66
|
04
|
AA.CPP
|
1
|
1
|
100
|
05
|
CPP2
|
0
|
0
|
0
|
06
|
CPP1
|
3
|
2
|
66,66
|
Total
|
19
|
10
|
52,63
|
Source : Section ISDR/Mbandaka, mai 2011.
Commentaire
Les données du tableau ci-dessus montrent que sur un
effectif total de dix - neuf enseignants à temps plain, dix, soit
près de 53% ont accès à l'outil informatique contre 47%
qui sont des « illettrés modernes » parce que ne
connaissent pas l'informatique.
Tableau N°12 : Accès du personnel des
Clinique Universitaires de Mbandaka à l'outil Informatique
N°
|
Service
|
Nbre agent
|
|
Total
|
Niveau d'accès à
l'informatique
|
H
|
F
|
|
TB
|
B
|
AB
|
M
|
|
Infirmier
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
Chirurgie
|
3
|
3
|
6
|
|
|
|
|
2
|
Maternité
|
1
|
5
|
6
|
|
|
|
|
3
|
Pédiatrie
|
2
|
4
|
6
|
|
|
|
|
|
S/Total1
|
6
|
12
|
18
|
|
|
|
|
|
Médecin
|
|
|
|
|
|
|
|
|
S/Total2
|
11
|
2
|
13
|
8 (H)
|
1(F)
|
2(H,F)
|
2(H)
|
|
St1+ST2
|
17
|
14
|
31
|
|
|
|
|
|
Total
|
31
|
31
|
|
|
|
|
Source : Service personnel cliniques universitaires de
Mbandaka, jui 2011.
Commentaire
Les renseignements suivant peuvent être tirés de
tableau ci - haut :
Selon les services (chirurgie, maternité,
pédiatrie) sur 18 infirmier, 100 % n'ont pas accès à
l'informatique ;
Sur 13 médecins, 62 % ont une connaissance très
bonne, 8% bonne 15% assez bonne et 15 % ne connaissant rien de
l'informatique.
III.2.1.3. Ministère Provinciaux
Tableau n°13 : Accès à
l'informatique selon les Ministères
N°
|
Ministères
|
Nbre agent
|
Total
|
Connaissance de l'informatique
|
H
|
F
|
TB
|
B
|
AB
|
M
|
1
|
Agriculture, Pêche, Elevage et Développement
Rural
|
7
|
1
|
8
|
1
(H)
|
2
(H)
|
2
(H, F)
|
4
(H)
|
2
|
Enseignement primaire, secondaire professionnel et recherche
scientifique
|
5
|
1
|
6
|
1
(H)
|
0
|
1
(H)
|
4
(3H, 1F)
|
3
|
Intérieur et de l'ordre public
|
7
|
1
|
8
|
0
|
2
(H)
|
2
(H, F)
|
4
(H)
|
4
|
Plan, budget et environnement
|
6
|
1
|
7
|
1
(H)
|
1
(H)
|
1
(H)
|
4
(3H, 1F)
|
Total
|
25
|
4
|
29
|
3
|
4
|
6
|
16
|
%
|
86
|
14
|
100
|
10,34
|
13,79
|
|
55,17
|
Source : Les Ministères, Mai 2010
Commentaires
Les donnés du tableau ci-dessus montrent que :
Sun un effectif total de 29 agents des différents
ministères, les hommes représentent près de 86% contre une
faible proportion des femmes, soit 14% ;
55% d'agents ne connaissant rien et n'ont pas accès
à l'informatique, soit 16 agents, 6 agent soit 21% ont une connaissance
assez-bon, 4 agents soit 14% ont une bonne connaissance, et 3 agents, soit 10%
maitrisent très bon l'informatique.
III.2.1.4. Divisions Provinciales
Tableau n°14 : Accès du personnel à
l'informatique
N°
|
Divisions
|
Nbre agent
|
|
Total
|
Connaissance de l'informatique
|
H
|
F
|
TB
|
B
|
AB
|
M
|
1
|
Environnement et Conservation de la Nature
|
105
|
21
|
126
|
0
|
2
(H, F)
|
2
(H)
|
122
(H : 102, F :20)
|
2
|
Sport et Loisir
|
9
|
6
|
15
|
0
|
0
|
7
(H)
|
14
(H :8, F :20)
|
Total
|
114
|
27
|
141
|
0
|
2
|
3
|
136
|
%
|
80
|
20
|
100
|
|
1,41
|
2,12
|
96,45
|
Source : Les Divisions Provinciales, mai 2011.
Commentaires
Sur 141 agents et fonctionnaires, le personnel de sexe
masculin a un taux d'accès de 81% contre 19% de sexe féminin.
96% du personnel ne connaissent rien et n'ont pas accès
à l'informatique, 2% connaissent assez bien et 1% une bonne connaissance
de l'informatique.
III.2.2. Le Secteur Privé
III.2.2.1. Les Entreprises privées
Tableau n°15 : Accès des agents à
l'informatique
N°
|
Banques et Société
Privées
|
Nbre agent
|
Total
|
Niveau d'accès
|
H
|
F
|
TB
|
B
|
AB
|
M
|
1
|
Banque Internationale de Crédit (BIC)
|
12
|
5
|
17
|
3
(H)
|
14
(H:9, F :5)
|
0
|
0
|
2
|
Société de Transfert au Congo (STC)
|
1
|
1
|
2
|
0
|
1
(H)
|
1
(F)
|
0
|
3
|
TMB
|
10
|
1
|
11
|
6
(H)
|
5
(H:4, F :1)
|
0
|
0
|
Total
|
23
|
7
|
30
|
9
|
20
|
1
|
0
|
%
|
77
|
23
|
100
|
30
|
66,66
|
3,33
|
0
|
Source : Direction Banques et société
privée STC/Mbandaka, mai 2011.
Commentaires
Du tableau ci - haut, il ressort que :
Sur un effectif total de 30 agents, les individus de sexe
masculin représentent 77% du personnel contre 23% de sexe
féminin,
30% d'agents (hommes) connaissent très biens et ont
accès à l'informatique, 67% connaissent bien et 3% assez bien.
III.2.3. La Société
Civile
II.2.3.1. Les Organisations non gouvernementales et
programmes
Tableau n°16 : Accès des membres à
l'informatique
N°
|
Banques et Société
Privées
|
Nbre agent
|
Total
|
Niveau d'accès
|
H
|
F
|
TB
|
B
|
AB
|
M
|
01
|
ACREPADE
|
2
|
0
|
2
|
0
|
0
|
2
|
0
|
02
|
GINI MEDICAL
|
7
|
3
|
10
|
0
|
0
|
1
(H)
|
9
(H:6, F :3)
|
03
|
IDI/CONGO
|
5
|
0
|
5
|
1
(H)
|
2
(H)
|
2
(H)
|
0
|
04
|
PNMLS
|
10
|
1
|
11
|
3
(H)
|
8
(H:7, F :1)
|
|
0
|
05
|
RACOJ
|
5
|
5
|
10
|
2
(H)
|
5
(H:1, F :4)
|
|
0
|
06
|
REPEQ
|
7
|
1
|
5
|
0
|
0
|
|
4
|
Total
|
33
|
10
|
43
|
6
|
15
|
|
13
|
%
|
75
|
25
|
100
|
13,95
|
34,88
|
20,94
|
30,23
|
Source : Bureau des organisations, Mbandaka, mai
2011.
Commentaires
ACREPADE : Action pour la Réconciliation paix et
Développement
IDI : Initiatives pour le développement
Intégral
PNMLS = Programme Multisectoriel de lutte contre le Sida.
RACOJ : Réseau d'Association Congolaise des Jeunes
engagés dans la lutte contre le VIH/SIDA
REPEQ : réseau d'encadrement des Pygmées de
l'Equateur.
Les renseignements suivants peuvent être tirés du
tableau ci - dessus :
Selon le sexe, les agents de sexe masculin représentent
près de 77% contre 23% de sexe féminin ;
Su 43 agents, 30 soit 69,76% ont accès à
l'informatique contre 30,23 n'ayant pas accès ;
Selon le niveau d'accès, 14% des agents de
manière très bonne (TB), 21% assez bonne (AB°, 35% bonne(B)
et 30% n'ayant pas accès à l'informatique.
Tableau synthèse n°17 : Taux
d'accès à l'informatique
N°
|
Division, Ministère service
structuré
|
Catégorie personnel
|
Nbre Agent Effectif
|
Accès à l'informatique
|
Répartition par sexe
|
Taux d'accès (%)
|
M
|
F
|
01
|
Enseignement primaire, secondaire et professionnel
|
Elèves
|
1808
|
1175
|
643
|
532
|
64,98
|
02
|
Enseignement Supérieur et Universitaire
|
Personnel administratif, technique et ouvrier
|
208
|
16
|
12
|
04
|
7,69
|
Corps scientifique
|
19
|
10
|
10
|
0
|
52,63
|
03
|
Centre hospitalier clinique
Universitaire
|
Infirmier
|
18
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Médecins
|
13
|
11
|
9
|
02
|
84,61
|
04
|
Division provinciales
|
Agents
|
141
|
05
|
4
|
01
|
3,54
|
05
|
Banque et entreprises privées
|
Agents
|
30
|
30
|
24
|
06
|
100,0
|
06
|
ONG et Programme(PNMLS)
|
Membres et Agents
|
43
|
30
|
23
|
07
|
69,76
|
07
|
Ministères Provinciaux
|
Agents
|
29
|
13
|
11
|
02
|
44,82
|
Total
|
2309
|
1290
|
736
(57,05%)
|
554
(42,94%)
|
55,86
|
Source : Nos calculs personnels à partir
des données recueillies auprès des services, Mbandaka, mai
2011
Commentaires
Du tableau ci haut, il ressort que :
- Sur 2309sujets enquêtés, 1290 agents soit
près de 56% ont accès à l'informatique. Ce taux global
cache des différents très significatifs à de chaque
service et structure.
- A l'enseignement supérieur et universitaire, au
centre hospitalier clinique universitaires, tous les divisions provinciales,
les taux d'accès auprès des certaines catégories varies de
0 à 8%.
CONCLUSION GENERALE
Au terme de notre travail, il convient de rappeler les grandes
étapes de notre démarche scientifique et les résultats de
nos enquêtes sur terrain.
Notre problématique a consisté à faire
une appréciation sur l'utilisation de l'outil informatique en tant que
outil d'administration d'information et de gestion d ans le secteur public
privé, le monde associatif dans la ville de Mbandaka.
Comme hypothèse, nous avons affirmé la
très faible insertion de la pratique informatique. Pour arriver à
vérifié cette hypothèse, les techniques documentaires,
l'interview, les enquêtes auprès des différents secteurs de
la vie provinciale ont démontrés le faible taux d'utilisation de
l'informatique. Et pourtant cet outil est nécessaire pour le traitement
rapide de l'information, permet de gagner le temps. Bon nombre de cadre des
différents institutions n'ont encore jusqu'à ce vingt et un
siècle accès à l'informatique, malgré les
diplômes qu'ils déterminent ce qui fait d'eux des
«illettrés modernes ».
Des efforts doivent être fournis par les responsables
des administrations pour intégré l'outil informatique dans la
gestion quotidienne des ressources humaines financière et
matérielle pour plus l'efficacité.
Nous n'avons pas prétendre d'avoir produit un travail
parfait. Notre travail de par son originalité oeuvre une piste pour des
études plus approfondies.
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. Bruno Bernard L.V. l'export facile pour les PME et PMI,
éd. Compyring IBM, 2005.
2. FONT J.M QHINI ou JC. VERROUT. A « les cerveaux
non l'introduction à l'informatique, Danoel (Paris) 1970
3. Kinshasa, 2008.
4. Le Robert dictionnaire français, paris, 1988.
5. Michel VOLLE : de l'informatique ; Savoir vivre
avec l'automate, économica 2006
6. PIORIER .J. MARCHR, cité par SHOMBA l'histoire de
l'éthologie, Paris.
7. Rimoux B., Démarche de la recherche en science
politique, éd. UCL, Belgique, 2000.
8. RIMOUX, B, Démarche de la recherche en science
politique ,éd , U et , Belgique, 2000.
9. RIZSOHAZY : Cité par SHOMBA KINYAMBA,
Méthode de recherche scientifique, éd .M . ES
10. SHOMBA KINYAMBA S., Méthode de recherche
scientifique, M.E.S, KIN, 2007.
11. THIERRY TILLIER : Introduction à
l'informatique-initiation Windows XP, Livre 1 éd. Compyring 2006.
12. VINCK Honoré et all, Mbandaka, hier et
aujourd'hui, éd. Centre Aequatoria, Zaïre 1990.
13. Willian LEFRINGWELL : Scientific office
management, éd HP/Intel, 2011
14. Defitech F : Cours d'initiation à
l'informatique Novembre 2006
II. LES ARCHIVES
1. Archive Hôtel de ville Mbandaka 2011.
2. Archive de l'Inspection Urbain de l'agriculture, Pèche
et Elevage 2010.
3. Archive Sous-division Urbaine de l'EPSP : Mbandaka,
2010.
4. Module de l'informatique générale, 3eme
secondaire, éd. 2009.
III. LES REVUES ET AUTRES
1. MATÉRIEL INFORMATIQUE : DES PRIX À TOUT CASSER
QUICKTIME 6:
2. UNE EVOLUTION DOUCE RETOUR AU PAPIER WORD-INDESIGN :UN COUPLE
EN DEVENIR L'ESCAMOTEUR POLICES SOUS X UN OUTIL 3D PRESQUE PARFAIT
3. CLEFS POUR LA RÉALISATION : MULTIMÉDIA DU GRIS
ET DU BON INITIATION À LA MÉCANIQUE MA POLICE EST MALADE TEXTURES
POURQUOI, COMMENT?
4. LES NOUVEAUX DÉFIS D'APPLE MÉDIA CRYPTAGE :LE
LIFTING PAR L'IMAGE XML : DU BARBARISME À LA RÉALITÉ
5. QUAND LE NUMÉRIQUE : VIENT AUX REFLEX SAGES COMME DES
IMAGES MUD GÉNÉRIQUE DVD UN ÉCLATÉ CRISTALLIN DES
EFFETS LUMINEUX.
IV. COURS
1. KABAYA.E. Kisangani, initiation à la recherche
scientifique, cours, inédit, G1 SPA, UNIC 2008.
2. OLOFIO, éducation à la
citoyenneté, cours inédit, G1 droit, UNIMBA, 2007,
3. KWAMBILA Emmanuel, caractéristique contraintes et
condition de réussite de l'élevage de
4. Bovin de plateau de BATEKE, TFC, ISDR/Mbandaka, 1995.
V. LES WEB
1. Wikimpédia, l'encyclopédie libre
« http.//fr. wikimpédia.org/wiki/outil »
2. Wikimpédia, l'encyclopédie libre/Monde.net
3. W.W.W. Matériel-Infos.be/Informatique.ph.p.
4. W.W.W. commentçamarhe.net/forum/aff.ch-11534224
5. W.W.W. commentçamarhe.net
6. W.W.W. wikimpédia.org
7. W.W.W. google.net
8. www.academie-francaise.fr/langue/index.html
TABLE DES MATIERES
DEDICACE I
EPIGRAPHE II
REMRCIEMENT ..III
PRINCIPALES ABREVIATIONS .....V
O.INTRODUCTION GENERALE
1
1. PROBLEMATIQUE.
1
2. HYPOTHESE DU TRAVAIL
2
3. METHODE ET TECHNIQUE UTILISEES.
2
4. INTERET ET CHOIX DU SUJET
3
5. DELIMITATION DU SUJET
4
6. DIFFICULTES RENCONTRES
4
7. DIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL
4
CHAPITRE I : PRESENTATION DU MILIEU
D'ETUDES
5
I.1. Aspect
Géographique
5
I.1.1. La Localisation
5
I.1.2 Le Climat
5
I.1.3 La Végétation
6
I.2. Aspect économique
6
I.2.1. Agriculture
6
I.2.2. La Pêche
6
I.2.3. Elevage
7
I.2.4. Chasse
7
I.3. Aspect Social
8
I.3.2 L'Enseignement
9
I.3.3. Habitat
10
I.4. Aspect Politico
Administratif.
11
I.5. Aspect
Démographique
12
Chapitre II : GENERALITE SUR L'OUTIL
INFORMATIQUE ET DEFINITION DES CONCEPTS UTILISERS.
16
II.1. DEFINITION SUR LES CONCEPTS DES
BASES
16
II.1.1. Population
16
II.1.2. Mondialisation
16
II.1.3. Outil
19
II.1.4. Informatique
20
II.1.5. Programme
21
II.1.6. Cybercafé
21
II.1.7. Bureautique
21
II.1.8. Ordinateur
22
II.1.9. Information et
Donnée
22
II.1.10. Automatique
23
II.1.11. Famille d'ordinateur
23
II.1.12. Type d'Ordinateur
24
II.2. HISTOIRE DE L'OUTIL
INFORMATIQUE
24
II.2.1. Apparition
24
II.2.2. Les Avantages de l'outil
informatique
25
II.2.3. Les Inconvénients de l'outil
informatique
25
II.3. HISTOIRE DE L'OUTIL INFORMATIQUE DANS
LA VILLE DE MBANDAKA
26
II.3.1. Les Services Publics
26
II.2.2. Les Organes, Programmes et le Fonds
du Système des Nations Unies
26
II.2.3. Les Missionnaires
27
II.2.4. Les Sociétés
Privées de la Communication
27
II.2.5. La Commission Electorale
Indépendante (CEI)
27
Chapitre III : UTILISATION DE L'OUTIL
INFORMATIQUE DANS
28
LA VILLE DE MBANDAKA
28
III.1. Cadre
Méthodologique
28
III.1.1. Choix de l'Echantillon
28
III.1.2. Rédaction et Administration des
questionnaires.
28
III.2. UTILISATION DE L'OUTIL
INFORMATIQUE
29
III.2.1. Le Secteur Public
29
III.2.1.1. Enseignement Primaire, secondaire et
Professionnel
29
III.2.1.2. Enseignements Supérieur et
Universitaire
31
III.2.1.3. Ministère Provinciaux
33
III.2.1.4. Division Provinciales
34
III.2.2. Le Secteur
Privé
35
III.2.2.1. Les Entreprises privées
35
III.2.3. La Société
Civile
365
II.2.3.1. Les Organisations non gouvernementales et
programmes
36
CONCLUSION GENERALE
38
BIBLIOGRAPHIE
39
TABLE DES MATIERES
39
* 1 RIMOUX, B
Démarche de la recherche en science politique, éd, U.
Belgique, 2000, p 1.
* 2 RIZSOHAZY : Cité
par SHOMBA KINYAMBA, Méthodes de recherche scientifique,
éd .M . ES Kinshasa, 2008 p 52.
* 3 SHOMBA KINYAMBA Op.
Cit., p. 51.
* 4 SHOMBA KINYAMBA ,K,
Op.cit., P 121.
* 5 TSHONGA ONYUMBE A,
méthode de la recherche scientifique, Cours, inédit, GI
Droit UNIMBA 2007, P.2
* 6 PIORIER .J. MARCHR,
cité par SHOMBA, l'histoire de l'éthologie, Paris 2002, P
.47.
* 7 VINCK Honoré et all,
Mbandaka, hier et aujourd'hui, éd. Centre Aequatoria, Zaïre
1990, p. 17.
* 8 Archive Hotel de ville
Mbandaka
* 9 idem
* 10 Archive de l'Inspection
Urbain de l'agriculture, Pèche et Elevage, 2010, P. 13
* 11 Archive de l'Inspection
Urbain op. cit
* 12 Kwambila Emmanuel,
Caractéristiques contraintes et conditions de réussite de
l'élevage de Bovin de plateau de BATEKE, TFC, ISDR/Mbandaka, 1995 P.
15
* 13 Sous-division Urbaine de
l'EPSP : Mbandaka, 2010.
* 14 Archive Hotel de ville de
Mbandaka 2010
* 15 Wikimpédia,
l'encyclopédie libre//http//Monde.net
* 16 Idem
* 17 Ibidem
* 18 Bruno Bernard L.V.
l'export facile pour les PME et PMI, éd. Compiring IBM, 2005, P.
58
* 19 Idem
* 20 Wikimpédia,
l'encyclopédie libre,
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* 21 Wikimpédia,
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* 22 W.W.W.
Matériel-Infos.be/Informatique.ph.p.
* 23 W.W.W.
commentçamarhe.net/forum/aff.ch-11534224
* 24 W.W.W.
commentçamarhe op.cit
* 25 Willian LEFRINGWELL :
Scientific office management, éd HP/Intel, 2011, P. 20
* 26.
www.academie-francaise.fr/langue/index.html
* 27 Module de l'informatique
générale, 3eme secondaire, éd. 2009, p. 28
* 28 Idem p. 15
* 29 Defitech F : Cours
d'initiation à l'informatique, Novembre, Corporation, Paris 2006,
PP. 3-6
* 30 THIERRY TILLIER :
Introduction à l'informatique-initiation Windows XP, Livre 1
éd. Compyring 2006 p.4
* 31 THIERRY TILLIER,
op.cit., p. 12
* 32 FONT J.M QHINI ou JC.
VERROUT. A « les cerveaux non l'introduction à
l'informatique, Danoel (Paris) 1970, P. 56
* 33 Michel VOLLE : de
l'informatique ; Savoir vivre avec l'automate, économica,
2006, P. 48
* 34 RESIDESO ; Base de
données sur la distribution d'eau-Ville de Mbandaka, 2011
* 35 PTT ;
Ministère de Transport et Télécommunication - Mbandaka,
2011.
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