![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc1.png)
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
MINISTERE DE
L'ENSEIGNEMMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE
UNIVERSITE NOTRE-DAME DU
KASAYI
FACULTE D'INFORMATIQUE
CAMPUS DE KANANGA
BP : 70 KANANGA
MISE EN PLACE D'UNE BASE DES DONNEES POUR LA DETECTION ET
LA PRISE EN CHARGE DES COUCHES SOCIALES DEFAVORISEES
Travail de fin de cycle realise en vue de l'obtention du
titre de gradue en Sciences Informatiques
Par : ETSHIKO Lole ke Freddy
Directeur : Simon NTUMBA
Chef de travaux
ANNEE ACADEMIQUE 2008-2009
I
EPIGRAPHE
« Il y a dans le coeur de l'homme beaucoup des projets,
mais c'est le dessein de l'Eternel qui s'accomplit »
Proverbes 19 :21
« Le paresseux a des désirs mais il n'arrive
à rien. Au contraire ceux qui travaillent dur obtiennent tout ce qu'ils
veulent »
Proverbes 13 :4
« A coeur vaillant rien d'impossible »
Marmonte
« Ce n'est que quand on sait ce que l'on veut faire
qu'il devient possible de réfléchir sur moyens. »
II
DEDICACE
A toi l'Eternel Dieu tout puissant, toi la source de notre
vie et la solution à tous nos problèmes.
A vous mes chers parents, Christophe BAMPEMBE Mabele,
Marie-Jeanne BASAMBOLO Oladje, pour l'effort, le soutien et la bonne
volonté dont vous avez manifesté durant ce moment difficile
à supporter4
Auteur
III
AVANT PROPOS
o La fin d'une chose vaut plus que son debut dit --
on. D Ce travail marque la fin de notre cycle de graduat en sciences
informatiques, le merite de ces trois annees d'etudes superieures est une
expression de divers efforts physiques et intellectuels.
C'est ainsi que nous tenons a exprimer nos vifs
remerciement a tous ceux qui par leurs travaux, leurs assistance, leurs idees,
leurs collaboration ou leurs experiences on participe de pres ou de loin a la
realisation de ce travail ; nous leur en sommes redevable.
Nous remercions le corps academique de l'Universite
Notre=Dame du Kasayi qui nous a apporte son experience vecue, contribuant par
ce fait a notre formation et epanouissement.
D'une fa>on speciale au chef de travaux Simon
NTUMBA, Directeur de notre travail, nous redisons notre entiere gratitude pour
nous avoir inities a un travail de recherche scientifique par une methodologie
rigoureuse.
De leurs petits mo yens financiers, materiels et
morals, certaines personnes ont contribue parfois sans s' y attendre a notre
lutte. Notre s ympathie leur est acquise : Abbe Freddy ETSHIKO, Monseigneur
NDJONDJO Maurice, Abbe Jean Adelbert NYEME, Abbe Valerien BETSHINDO, Famille
IKONGA, Famille Jean=Paul MPEMBE, Famille Sophie TUBENZELE.
Que tous les membres de notre famille qui ont
contribue de près ou de loin a notre formation trouvent leur part dans
cette investigation, nous citons, Christophe BAMPEMBE Mabele, Marie=Jeanne
BASAMBOLO, Aubin BAMPEMBE, Boock BAMPEMBE, Beatrice NTOMO, Angel DJEMA, Mandela
WAYI, Gedeon WAYI, Clarice NGALULA, Theodore IKONGA, Jimmy WAYI, Souffrance
WAYI, Marceline NGONDJI, Leon IBELO, S ylvain MUKE, Stephane BAHONDJO, Thy
TUTSHIDIKU, etc.
Nous felicitons nos amis et camarades de lutte,
notament Pascal Blaise KADIEBUE, Benjamin NDJALE, Stany BAMPEMBE, Clement
BOOTO, Bon fils BOKELE, Justin KAMBALA, Jeremie KUBALI.
Que tous ceux dont les noms ne sont pas enumeres dans
ce travail de peur a blaisser leur modestie trouvent a travers ces quelques
lignes dictes du fond de coeur, nos sentiment de vive reconnaissance pour leur
generosite.
IV
LISTE D'ABREVIATIONS
BBD : Base de données
BDDR : Base de Données Relationnelle
C DCD : Commission Diocésaine Caritas
Développent
C DKA : Caritas Développem ent K
ananga
C G C : Commission G énérale
consultative
CIF : C ontrainte d'Intégrité
Fonctionnelle
CODASYL : Conférence On Data System
Languages
CENGO : Conférence Episcopale du Congo
CPCD : Comité Paroissial Caritas
Développement
U .KA : Université Notre -- Dame du K
asayi
Info : Inform atique
IDS : Information Data Store
Merise : M éthode de Recherche en Inform atique
par un sous Ensemble
M CD : Modele C onceptuel de Données
M CT : Modele C onceptuel de Traitem ent
MLD : Modele Logique de Données
MLDR : Modele Logique de Données
Relationnel
MPD : Modele Physique de Données
O NU : Organisation des Nations Unis
OS : Operating System
PNUD : Programme des Nations Unie pour le
Développement
PVH : Personnes Vivant avec Handicap
PVV : Personne Vivant avec le VIH/SIDA
S.E : Systeme d'Exploitation
SGBD : Systeme de Gestion de Base de
Données
SGBDR : Systeme de Gestion de Base de Données
Relationnelle
TTT : Traitem ent
UNICEF : Fonds des Nations Unies pour
l'Enfance
0. INTRODUCTION
L'evolution technologique de ces dernieres annees a
conduit les societes modernes a adopter de nouvelles habitudes face au travail.
L'outil informatique, faisant partie du quotidien de tout travailleur devient
de ce fait le compagnon ideal de l'homme dans le monde du travail tout en lui
facilitant certaines taches qui jadis paraissaient comme corvees.
Ainsi les bases de donnees peuvent permettre la CDKA a
mieux gerer ces couches sociales defavorisees qu'il prend en
charge.
0.1.PROBLEMATIQUE
La problematique est l'expression de la preoccupation
majeure qui circonscrit de fa>on precise avec absolue clarte les dimensions
essentielles de l'objet de l'etude que le chercheur se propose de
mener.1
La Caritas demeure l'une de plus anciennes
organisations non gouvernementales qui s'occupent de l'entraide sociale. Son
principal objectif est d'assister et de prendre en charge les couches sociales
defavorisees telles que les orphelins, les vieillards, les veuves et les veufs,
les enfants de la rue, les personnes vivant avec handicap, les victimes de la
guerre, etc.
Mais tres recemment, la Caritas developpement defend
l'option selon laquelle oil faudrait mieux apprendre aux gens a pecher plutot
que leur donner du poisson D. En claire, il serait souhaitable d'apprendre le
metier aux personnes dites o defavorisees D au lieu de leur distribuer de
petits cadeaux qui peuvent les servir pendant tres peu de temps. C'est dans
cette logique que Caritas developpement distribue des semences ameliorees,
organise des seminaires de formation et d'encadrement des groupes cibles par
elle, afin que ces personnes soient capables de se prendre en charge et
qu'elles soient inserees dans la societe sans aucun complexe.
En effet, qu'il s'agit de l'assistance sociale ou de
la formation des personnes defavorisees, la Caritas developpement recourt
jusqu'a ce jour a des methodes et procede quelque peu archaique. Il ne faudra
pas perdre de vue que pour atteindre les objectifs poursuivis, l'on doit
necessairement detecter les concernes d'un personnel suffisamment forme et
informe, disposer des moyens logistiques adequats, categoriser ces personnes
defavorisees (car elles ne ressentent pas les memes besoins) etc. Toutes ces
operations necessitent du temps et parfois de grosses sommes d'argent qui ne
sont pas faciles a recouvrir.
Par ailleurs, la technologie actuelle nous epargne de
certaines peines et nous fait gagner beaucoup de temps en mettant a notre
disposition le système informatise. Le traitement manuel de donnees
qu'utilise la Caritas developpement pour detecter et categoriser les couches
sociales defavorisees accuse beaucoup de lourdeur et parfois de lacunes et de
vides qui necessitent de trts nombreuses estimations.
1 WENU BECKER, recherche scientifique :
théorie et pratique, Lubumbashi, PUL, 2004, P.14
En somme, notre problematique s'erige autour de questions
principales suivantes :
1. Comment proceder pour detecter les differentes
couches defavorisees et que faire pour connaitre leurs difficultes reelles
?
2. comment faut= il categoriser ces personnes
defavorisees ?
3. quel type de travail ou de formation faut=il donner a
ces couches sociales pour qu'elles arrivent a se prendre en charge
?
4. comment assurer le suivi de leur prise en charge ?
0.2.HYPOTHESES
L'hypothese d'un travail est une proposition des
reponses provisoires reservees aux inquietudes qui ont ete soulevees dans la
problematique et qui grace aux methodes et techniques utilisees, peuvent soit
etre confirmees soit etre rejetees a la fin des
investigations.2
Dans ce cas d'espece nous pensons que pour detecter
les couches sociales defavorisees, pour connaitre leurs difficultes reelles,
pour les categoriser et assurer le suivi de leur prise en charge, il serait
souhaitable de concevoir et realiser une BDD, qui est une solution informatique
en vue d'automatiser ces operations.
Cette solution s'articule comme suite :
= la realisation d'un systeme d'information.
= Realisation d'une BDD.
De plus, nous estimons qu'il serait necessaire de
leurs donner des formations pratiques dans les domaines tels que la maconnerie,
la couture, la menuiserie, l'elevage, l'agriculture, etc. pour leur permettre
de se prendre en charge.
0.3.CHOIX ET INTERET DU SUJET
Bien de gens n'utilisent l'ordinateur que pour
quelques logiciels elementaire tels que Windows media (pour jouer la musique et
les videos) et Microsoft Word (pour le traitement des textes) etc. ils ignorent
que l'outil informatique peut etre utilise dans tous les domaines pour traiter
et donner les resultats fiables dans tres peu de temps, les donnees que l'homme
pourrait traiter pendant une longue duree et dont les resultats pourraient etre
critiquable.
En creant une BDD, la Caritas developpement pourra
realiser de maniere automatique toutes les operations qu'elle effectue
manuellement et qui lui prennent beaucoup de temps ; il s'agit notamment de la
detection automatique des personnes defavorisees, de leur categorisation, de
leur suivi, de la nature de formation a leur inculquer, depenses a engager,
etc.
0.4.METHODE ET TECHNIQUE 0.4.1. METHODE
La methode est une marche rationnelle de l'esprit pour
arriver a la connaissance ou A la demonstration de la verite. C'est un ensemble
des procedes, des mo yens pour arriver a
2 KAFUNDA Pierre, methode de
recherche scientifique, cours G2Info, 2008
un but. C'est un ensemble des operations intellectuelles
par lesc1uelles une discipline cherche a etudier les verites qu'elle poursuit,
les demontre, les verifie.
Ainsi pour l'elaboration de ce travail, nous optons pour
les methodes suivantes :
= methode structuro=fonctionnelle : qui nous a inspire
des techniques es et methodes A suivre pour la conception d'une application
informatique en vu de la production d'un logiciel
=Merise : nous a aide a la conception d'un
système informatise par son approche Entite=Association; et a faire une
separation entre les donnees et les traitements a travers : MCD, MLD,
MPD.
0.4.2. TECHNIQUE
Les techniques sont selon PINTO ET GRAWITZ les outils
mis a la disposition de la recherche et organises par la methode dans un but
bien determine. Elles sont limitees en nombre et commune a la plupart des
sciences.4
Pour enrichir notre travail scientifiquement, voici alors
les techniques que nous avons utilisees :
=Documentaire : nous a permis de parcourir un certains
ombres importants des documents ayant trait a notre application en vue
d'atteindre l'objectif poursuivi ;
=Observation : indirectement, nous avons observes la
fa>on de travailler des agents au service cible pour notre travail dans le
but de comprendre Caritas ;
=Interview : celle=ci nous a servi a acquerir les
informations sur le s ystème existant auprès des agents et cadres
de la direction en vu de realiser un système informatise futur pour la
prise en charge de personnes defavorisees.
0.5. DELIMITATION DU SUJET
Bien qu'ayant tire la plus grande partie
d'informations de Caritas developpement, notre travail concerne specifiquement
les couches sociales defavorisees de la ville de Kananga, milieu que nous
connaissons bien et dont les realites sociales ne nous sont pas
etrangères. Dans le temps, nous allons considere la periode allant de
2005 a 2008, periode durant laquelle les sollicitations en termes d'assistance
sociale ont ete les plus frequentes suite a la crise generale qu'a connue et
que connait encore la Republique Democratique du Congo en generale et la
province du Kasai Occidentale en particulier
0.6.SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la conclusion generales notre
travail se subdivise en 5 chapitres : Le premier chapitre traite des
generalites sur les couches sociales ; le deuxième est axe sur les
notions de BDD ; le troisième chapitre porte sur les l'etude de
l'existant (ou analyse prealable) ; le quatrième parle de la conception
du modèle de BDD et le cinquième en fin sera base sur la
presentation de l'application.
3PINTO et GRAWITZ cités par WEND BECKER,
op.cit 4 WEND BECKER, op.cit
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LES COUCHES SOCIALES
1.1. ORGANISATION DE LA SOCIETE
La societe humaine, a la difference de societe animale
ou vegetale, est une societe organisee et structuree. Il existe a nos jours une
science pluridimensionnelle et multiforme qui etude l'organisation sociale et
les relations ou les rapports qui s'effectuent entre les membres d'une societe
: c'est la sociologie. Cette discipline est d'autant plus complexe que l'homme,
son objet principal, est lui= meme tres dynamique et pratiquement illimite dans
ses ambitions.
Sans vouloir penetrer dans les details compliques de
la sociologie moderne l'opinion unanime reconnait la famille comme etant
l'unite de base ou de la cellule de toute organisation sociale. Elle est
composee de pere, de la mere et des enfants. L'ensemble des familles constitue
un clan, l'ensemble des clans constitue un village et l'ensemble des villages
compose une tribu, etc.
Mais cette definition classique de la famille
africaine. L'africain, lui, se refere toujours a la famille etendue qui
comprend, en plus du pere de la mere et des enfants, les freres et les sceurs
du pere ( ou de la mere), les grands parents, les cousins, les nerveux etc.
Dans chaque groupe, il y a toujours un chef qui coordonne toutes les activites
et a qui les autres membres doivent du respect et de l'obeissance : chef de
famille, chef de clan, chef du village, etc.5
En outre, l'administration actuelle, pour faciliter
les mecanismes de gestion, divise la societe en villages groupements, secteurs
(ou chefferies), territoires, districts, provinces. Et , a l'instar de
l'organisation traditionnelle, chaque entite administrative est dirigee par une
autorite reconnue juridiquement : chef de village , chef de groupement, chef de
secteur, Administrateur du territoire, commissaire de District, Gouverneur de
Province ; etc.
Meme au sein des entreprises, qui sont des formes
speciales des societes, il y a toujours une certaine organisation, une certaine
hierarchie du pouvoir traduit par un organigramme y approprie.
1.2. CLASSIFICATION DES PERSONNES DANS UNE
SOCIETE
Les societes traditionnelles africaines se subdivisent
generalement en deux classes sociales : les esclaves et les hommes libres. La
classe des hommes libres etait loin de maintenir l'egalite entre ses membres ;
il y avait toujours une certaine hierarchisation du pouvoir et certains membres
exereaient une certaine suprematie sur les autres. La notion de classe sociale
faite reference aux inegalites sociales. Celles -- ci sont toujours liees a la
richesse ; les grands proprietaires ont souvent tendance a dominer sur les
pauvres.
Les marxistes subdivisent la societe en trois classes
principales :
1°. La petite bourgeoisie, dont les membres
possedent des entreprises ( mo yens de productions) travaillent a leur compte
et n'ont pas d'employes ;
2°. Le proletariat ou la classe ouvriere, dont les
membres ne detiennent aucun mo yen de production et echangent leur force de
travail contre un salaire ;
5 GENET, L. et alii ; Les
civilisations du monde contemporain, Ed. Hatier , Paris , 1966,
p.27
3°. La bourgeoisie ou la classe capitaliste,
regroupant les detenteurs des mo yens de production, qui achetent la force de
travail , vivent bien et s'enrichissent grace a la lus -- value provenant du
travail des ouvriers.6
Par analogie , la societe congolaise, particulierement
celle de la ville de Kananga, regorge d'un taux trts eleve des proletaires dont
les conditions d'existence sont plus precaires que celles definies par les
marxistes : leur force de travail est echangee contre un salaire fantaisiste ou
insignifiant. Dans le tas, on rencontre des milliers d'individus en quete
d'emplois remunerateurs qui ne se presentent pas toujours. Pour survivre,
d'aucuns recourent aux mo yens malhonnetes et inhumains tes que la mendicite le
vol a main armee, l'escroquerie la corruption, etc. d'autres organisent des
activites informelles qui, en realite font survivre deux congolais sur trois en
englobent tant bien les salaries que les chomeurs. C'est de cette situation de
misere que sont nes les cireurs de souliers, les pousse= pousseurs, les bayanda
( transporteurs des marchandises a grande distance par velo), les bayude (
acheteurs -- vendeurs qui voyagent par train sans titre de voyage et qui
provoquent de grands desordres le long du parcourt), les enfants de la rue (
appeles communement o chegues 8)etc.
Nous pouvons noter en passant que l'instruction
devient de moins en moins un critere de differenciation des classes sociales en
Republique Democratique du Congo, a telle enseigne qu'un diplome d'Universite
peut se retrouver parmi les bayanda et qu'un detenteur d'un certificat de
l'etude primaire peut etre parmi les bourgeoisie scandaleusement enrichie.
L'analyse fait ressortir plusieurs causes qui sont a la base de cette situation
de misere et l'accentuation des inegalites sociales dans notre pays ; parmi
celles -- ci, nous retenons en premier lieu l'instabilite politique qui conduit
a la mauvaise gouvernance et qui paralyse presque tout l'appareil fonctionnel
de l'Etat. Au sein de chaque classe sociale, il existe des couches sociales qui
se diversifient en fonction des moyens economiques inegalement repartis entre
les humains.
1.3. LES COUCHES SOCIALES
Selon Zhang BINGHUI (chine) la structure sociale de
beaucoup de pays connait actuellement des changements accentues. Au fur et a
mesure que l'economie se developpe, les couches sociales se diversifient et
tendent a se diviser selon les professions. Les differences socio=economiques
entre travailleurs intellectuels et manuels sont en train de s'elargir. la
couche des agriculteurs diminue au fur et a mesure que les paysans changent de
statut social ; le personnel du commerce et des services grossit, dans les
milieux favorables , le nombre des ouvriers d'industrie augmente grace a
l'industrialisation des regions rurales, l'expansion rapide des couches
intermediaires a modifie la representation graphique des couches sociales dans
beaucoup de pays en pleine mutation : de forme pyramidale, celle -- ci evolue
vers l'image d'un noyau d'olive, la couche des personnes qui disposent de
ressources economiques considerables et les mettent en valeur a emerge et
s'agrandit.7
De meme que le developpement economique , la
modification de la structure des couches sociales ne se poursuit pas u mame
rythme dans tous les pays ou dans toutes les regions. En Republique
Democratique du Congo, et particulièrement dans la ville de Kananga oil
le developpement economique accuse du retard, la composition des
couches
6
http://netx.u=paris10.fr
7
http://netx.u=paris10.fr
sociales parait plus simple. La proposition de la
population exereant des activites economiques informelles grossit demesurement
au detriment de celle des fonctionnaires de l'Etat ou des employes des
entreprises. Les bas salaires ainsi que leur irregularite dans le payement
poussent la quasi=totalite des agents de l'Etat a verser dans le o
debrouillardisme D pour la survie.
Dans la ville de Kananga egalement, le manque
d'energie electrique ne fait pas prosperer le secteur industriel et, par
consequent, il n' y a pratiquement pas diversification des metiers. La faible
economie de marche ne permet pas la creation d'excellentes opportunites pour
les jeunes desireux de faire valoir talents et de realiser une promotion
professionnelle rapide, si bien que dans un grand nombre des familles les
revenus sont tres derisoires et ne permettent pas de couvrir les besoins
primaires des foyers. D'ou la necessite de realiser des projets de protection
sociale a Kananga.
1.4. COUCHES SOCIALES DEFAVORISEES
IL existe parmi les proletaires des couches sociales
qui sont plus pauvres que les autres ; elles manquent des mo yens de production
(terrain de culture ou espace cultivable, houe, machette, semences, etc.) et
leur revenu se situe en dessus d'un dollar par jour. Il s'agit ici des gens qui
vivent dans la misere et la pauvrete la plus aigue. Le programme des nations
unies pour le developpement (PNUD) considere la pauvrete comme un phenomene
complexe, qui trouve son origine dans la faible marge de manoeuvre laissee aux
populations, l'insuffisance des revenus et le manque de service de
base8
Le PNUD aide les gouvernements et les organisations de
la societe civile a lutter contre les difference couses de la pauvrete
notamment en renforeant base la securite alimentaire et l'offre en contre
d'accueil et en services de base en favorisant la creation d'emplois en
ameliorant l'acces a la terre au credit aux technologies et aux marches et en
donnant aux particuliers les moyens de participer aux mecanismes politique qui
ont une incidence sur leur vie. Les activites menees par le PNUD en vie
d'eliminer la pauvrete portant essentiellement sur la demarginalisation des
pauvres
A l'instar du PNUD CARITAS developpement Kananga
assiste les menages defavorisees de l'hinterland de la ville de Kananga en leur
apprenant les techniques culturales et en leur distribuant des semences
ameliorees et des outils de travail afin qu'ils puissent se prendre en charge
et qu'ils combattent la faim (ou la pauvrete) qui les environne. C'est la
detection et l'encadrement de ces couches defavorisees qui font l'objet de
notre etude.
Traditionnellement, certaines categories de personnes
sont considerees comme vulnerables et font souvent l'objet d'une protection
speciale. Il s'agit notamment des enfants, des femmes, des handicapes physiques
et mentaux, des detenus, etc.
Le grand age, la maladie ou le handicap peuvent faire
de nous des personnes vulnerables. La loi tente de proteger les personnes
vulnerables en fonction du degre de vulnerabilite. Les situations les plus
simples conduiront a une simple aide a la personne pour lui assurer l'essentiel
de la vie quotidienne (aide au logement, revenu sous forme d'allocation ou de
prestation, accompagnement, assurances). D'autres situations meritent une
veritable protection juridique de la personne. Selon la gravite de l'etat de
sante
8 ABC des Nation
Unies, Departement de l'information des Nations Unis, New
York,2006,pp225
(physique ou mentale) de la personne il faudra s'orienter
vers la sauvegarde de justice, la curatelle ou la tutelle.
La mise en place de l'une ou l'autre de ces mesures de
protection est confiee au juge des tutelles siegeant au tribunal d'instance du
domicile de la personne a proteger. Mais rien n'est reellement possible sans le
concours de l'entourage de la personne vulnerable. Les membres de la famille
sont en premiere ligne pour prendre les mesures appropriees. Les familles
peuvent compter sur les conseils et l'assistance d'un certain nombre de
personnes engages dans ce domaine : le juge des tutelles pour les missions de
protection et d'autorisation devolues a l'Etat, le notaire de famille pour ce
qui concerne les conseils d'ordre patrimonial, familial et prive, sans oublier
le mouvement associatif dont le role est essentiel dans l'accompagnement des
personnes vulnerables. Pour assurer l'existence materielle et l'avenir d'une
personne vulnerable il faut en securiser le patrimoine, qu'il soit modeste ou
important.
De nombreuses possibilites existent. Il faut juste
faire les bons choix, lesquels dependent des objectifs poursuivis. Vous pouvez
vous orienter vers la constitution d'un patrimoine (achat d'un bien par
exemple) specifique a la personne a proteger, afin de garantir son independance
financiere. Si la personne a proteger a les moyens financiers suffisants pour
payer le prix d'achat, le bien pourra etre achete en son nom. Dans d'autres cas
(par exemple s'il s'agit de proteger un de ses enfants trts jeune) il pourra
etre fait une donation (effet immediat) ou un legs (testament ayant effet au
deces de celui qui donne) a la personne vulnerable. De nombreuses variantes
sont possibles, a la fois dans la donation et dans le legs.
Des securites peuvent etre mises en place pour
proteger le bien. Par exemple la donation pourra etre assortie d'une
interdiction de vendre et de remettre en garantie, d'un droit de retour
permettant a celui qui a donne le bien de le reprendre en cas de deces
premature (sans enfant) de la personne vulnerable. Si vous avez plusieurs
enfants vous devez aussi prendre en compte la reserve hereditaire qui limite
votre liberte. Il faudra eviter les inegalites inexplicables pour le reste de
la famille et source de discorde
Vous pouvez preferer assurer non pas la propriete d'un
bien mais seulement des revenus a cette personne afin de lui eviter toutes les
contraintes de gestion liees a la qualite de proprietaire. Il est alors
possible de proceder a un demembrement de propriete (separation de la
nue=propriete et de l'usufruit). La personne vulnerable pourra par exemple etre
usufruitière d'un appartement ou d'une maison. Cet usufruit lui donnera
le droit d'occuper lui=meme le bien ou d'en percevoir les loyers. Cette
situation pourra durer toute sa vie (usufruit viager) ou pourra avoir une duree
plus courte et fixee d'avance (usufruit temporaire). Un diminutif de l'usufruit
sera egalement a etudier. Il s'agit du droit d'usage et d'habitation qui donne
a son titulaire le droit d'occuper les lieux sans pouvoir les louer a un tiers
ni sans pouvoir en percevoir les loyers. Il peut s'averer tout a fait suffisant
dans certaines hypotheses. Vous pourrez egalement etudier avec votre notaire
les possibilites offertes par les societes, le plus souvent civiles. Elles
peuvent etre un moyen de constituer un patrimoine et d'assurer des revenus a
une personne vulnerable. Vous pourrez par exemple concentrer les pouvoirs de
decision entre les mains du gerant, permettant ainsi a la personne vulnerable
associee d'être dechargee des contraintes de la gestion tout en
s'assurant des revenus. Bien entendu il faut toujours garder a l'esprit
l'interet de la personne protegee et ne jamais s'ecarter des regles de
protection edictees par la loi en sa faveur. Le juge des tutelles veille a leur
bonne application. C'est une raison supplementaire de prendre conseil
auprès de votre notaire afin d'eviter des erreurs parfois lourdes de
consequences (nullite, indemnisation, responsabilite.)
A) LES ENFANTS
Des millions d'enfants meurent chaque annee de
malnutrition et de maladie, et on ne compte plus tous les enfants qui sont
victimes de la guerre et des pires formes d'exploitation et de violence telles
que l'exploitation sexuelle. Le fonds des nations unies pour l'enfance (UNICEF)
est l'organisation des nations unies qui a pour mission de defendre les droits
des enfants. Il veille a assurer sur le plan mondial un appui constant a la
convention relative aux droits de l'enfant, qui consacre des principes
d'ethique universels et normes juridiques internationales de conduite envers
les enfants
L'Assemblee generale a adopte en 2000 deux protocoles
facultatifs a la convention, l'un interdisant l'enrolement d'enfants de moins
de 18 ans dans les forces armees et leur participation aux hostilites, l'autre
renforcant les interdictions et les peines pour ce qui concerne la vente
d'enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scene des
enfants9
Au niveau de Caritas developpement/Kananga, on
s'efforce pour aider les enfants a se prendre en charge en leur apprenant de
petits metiers tels que l'agriculture, la maconnerie, la menuiserie,
etc.
B) LES FEMMENTS
L'egalite pour les femmes a constitue un objectif des
travaux de l'ONU des sa fondation en 1945. L'organisation a joue un role de
premier plan afin de promouvoir et proteger les droits fondamentaux des femmes
et de garantir aux femmes un acces egal a la vie publique et aux chances dans
tous les domaines du developpement economique et sociale : on parle
generalement de la parite entre hommes et femmes.
Actuellement, la lutte est essentiellement tournee
vers les violences sexuelles faites aux femmes surtout dans des regions des
hostilites. Cette pratique, preconisee surtout par les militaires, est
condamnee a tous les niveaux et les efforts sont en train d'être
conjugues pour l'eradiquer.
C) PERSONNES VIVANR AVEC HANDICAPEES
Selon le rapport de l'ONU de 2006, plus de 10 de la
population mondiale souffrent de quelque infirmite d'ordre physique, mental ou
sensoriel. Les handicapes sont souvent mis : l'ecart de la societe. La
discrimination a leur egard revet differentes formes, depuis le refus des
possibilites d'education jusqu'a des formes plus subtiles comme l'exclusion et
l'isolement ou ces personnes sont rejetees par les barrieres physiques et
sociales. La societe aussi en souffre, car la perte de leur immense potentiel
appauvrit l'humanite. Il faut changer les perceptions et la notion meme de
handicap, ce qui exige un changement des valeurs et une plus grande
comprehension a tous les niveaux de la societe.10
Tout comme les enfants, les personnes handicapees
meritent une protection speciale et une attention particulière. La
societe doit aider celles qui ne le sont pas totalement a se prendre en charge
par l'apprentissage de certains metiers tels que la couture et la
dactylographie.
9 ABC des Nation
Unies, optic cit. pp.319
10 Idem
CHAPITRE II : NOTIONS DES BASES DE DONNEES
Ce chapitre definit et donne un commentaire sur
certains concepts necessaires utiles dans les notions des bases de donnees. Les
donnees permanentes constituent certainement le materiau de base a partir
duquel l'utilisateur va elaborer la plupart de ses applications. Certaines
applications ses reduisent a gerer et consulter les donnees ; ces donnees sont
rangees dans des fichiers et sont structurees en enregistrement.
Mais si la masse et la complexite de donnees a traiter
deviennent importantes, il est necessaire que ces donnees aient aussi une
structure complexe. Les donnees sont classees dans plusieurs fichiers en
fonction d'objets qu'elles decrivent. Il existe entre les fichiers des liens
qui sont a l'image des relations entre objets decrits il apparait aussi
rapidement que les donnees necessaires a une application pourrait etre utiles
pour d'autres applications voire a d'autres utilisateurs. Ces donnees
constituent alors ce qu'on appelle une BDD
2.1.BASES DE DONNEES(BDD) 2.1.1 DEFINITION
Une Base de donnees est un ensemble de donnees modelisant
les objets d'une partie du monde reel et servant de support a une application
informatique.
Une Base de donnee peut etre aussi pour certains, une
collection de fichiers relies par des pointeurs multiples, aussi coherents
entre eux que possible, organises de maniere a repondre efficacement a une
grande variete de questions.11
Une Base de donnees est donc un ensemble structure des
donnees accessibles par l'ordinateur pour satisfaire plusieurs utilisateurs
simultanement au temps opportun. 12
2.1.2 LES CRITERES D'UNE BASE DE DONNEES
Une Base de donnees doit repondre aux criteres suivants
:
a) Exhaustivite : implique que l'on dispose de toutes
les informations relatives au sujet donne.
b) La non redondance : implique l'unicite des
informations dans la base de donnees .En general on essaie d'eviter la
duplication des donnees car cela pose des problemes de coherence lors des mises
a jour de ces donnes.
c) La structure : implique l'adaptation du mode de
stockage des renseignements aux traitements qui les exploiterons et les
mettrons a jour ; ainsi qu'au cout de stockage de ces renseignements dans
l'ordinateur.
Le stockage physique d'une base de donnees consiste en
un ensemble d'enregistrements physiques. Organises a l'aide des listes, des
pointeurs et differentes methodes d'indexation.
11 Georges GARDARIN, Base
de donnees objet et relationnelle, Ed. Eyrolles, Paris, 1999, pp.
3.
12 Franc MANYA, S.G.B.D,
cours G2 Info.U.KA, 2008
2.2. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES (SGBD) 2.2.1.
DEFINITION
Les donnees stockees dans des bases de donnees
modelisent des objets du monde reel, ou des associations entre objets. Les
objets sont en general representes par des articles de fichiers , alors que les
associations correspondent naturellement a des liens entre articles. Les
donnees peuvent donc etre vues comme un ensemble de fichiers par des pointeurs
; elles sont interrogees et mises a jours par des programmes d'application
ecrits par les utilisateurs ou par des programmes utilitaires fournis avec le
SGBD.
Un SGBD peut etre defini comme un langage ( logiciel)
qui sert a interagir avec un BDD et qui permet a l'utilisateur de definir les
donnees de la base, de les consultees et de les mettre a
jour.13
Georges Gardarin, definit un SGBD comme etant un
ensemble de logiciels systèmes permettant de stocker et d'informer un
ensemble de fichiers, interdependants, mais aussi comme un outil permettant de
modeliser et gerer les donnees d'une entreprise.14
2.2.2. LES OBJECTIFS ET FONCTION D'UN
SGBD15
A. Fonction d'un SGBD
Un SGBD permet de decrier les donnees de bases, de
les interroger, de les mettre a jour, de transformer des representations de
donnees, d'assurer le controle d'integrite, d'occurrence et de
securite.
B. Les objectifs Un SGBD offre les objectifs principaux
qui sont :
-Inde'pendance physique : un SGBD offre la facilite de
changer le schema interne sans changer le programme d'application. Cela
signifie que le niveau physique peut etre modifie independamment du niveau
conceptuel.
-Inde'pendance logique : ici le SGBD permet de
modifier schema conceptuel sans changer le programme d'application. Donc le
niveau conceptuel peut etre modifie sans remettre en cause le niveau
physique.
-La manipulation de donnees par des langages non
proceduraux :le SGBD doit permettre interrogation et la mise a jour de
donnees par des langages de haut niveau specifiant les donnees que l'on veut
traiter(de quoi) et non pas comment y acceder.
-La facilité d'administration : les langages de
haut niveau referencent des descriptions logiques des donnees (schema externes)
stockees dans le dictionnaire de donnees pour permettre la creation et
modification de la description.
13 Jean=Luc Hainaut, Base
de donnees et modeles de calcul, 2emUe ed. Dunod,
Paris, 2000, pp. 34.
14 Georges GARDARIN, optic
cit, pp.13
15 Idm, pp. 23=29
=Fiabilité des données
: le SGBD permet de verifier les contraintes des donnees (integrite
referentielle, reflexes, etc.) ; gerer des transactions (atomicite des
transactions) et securite (mot de passe, etc.) ; recuperer des donnees en cas
de crash logiciel, OS (Operating System) ou disque.
2.3. NIVEAU DE REPRESENTATION DES DONNEES
Pour simplifier la vision des utilisateurs, les SGBD
assurent une abstraction des donnees stockees sur disque en distinguant trois
niveaux de description de donnees16 qui sont :
2.3.1 NIVEAU CONCEPTUEL
C'est le niveau central correspondant a la structure
canonique de donnees qui existent dans l'entreprise c.=à=d. leur
structure semantique inerante sans souci d'implementation en machin,
representant la vue integree de tous les utilisateurs. La definition du schema
conceptuel d'une entreprise necessite un accord sur les concepts de base que
modelisent les donnees.
2.3.2 NIVEAU INTERNE
Ce niveau correspond a la structure de stockage du
schema interne necessite au prealable le choix d'un SGBD. Elle permet donc de
decrire les donnees telles qu'elles sont stockees dans la machine.
2.3.3 NIVEAU EXTERNE
Au niveau externe, chaque groupe de travail utilisant
des donnees possede une description des donnees percues appelee schema externe.
Cette description est effectuee selon la maniere dont le groupe voit la base
dans ses programmes d'application. Alors qu'au niveau conceptuel et interne les
schemas decrivent toutes une base de donnees, au niveau externe ils decrivent
simplement la partie de donnees presentant un interLt pour l'utilisateur ou un
groupe d'utilisateurs. En consequence, le schema externe est souvent qualifie
de vue externe. Le modele externe utilise est dependant du langage de
manipulation de la base de donnees.
2.4. STRUCTURES DE DONNEES
Pour modeliser les donnees sous formes appropriee du
SGBD a utiliser, il est necessaire de connaitre quelques structures des bases
de donnees. Dans cette partie nous presentons brievement les differents modeles
de representations de donnees.
2.4 .1. LES MODELES HIERARCHIQUES
Le monde reel nous apparait souvent au travers des
hierarchies et etant donne que les BDD modelisent les informations qui monde
reel, il est normal que ce modèle soit l'un des modèles les plus
repandus.
16 Arnold Roch et Jose,
M., La methode Merise, pp. 23=25.
Le modele hierarchique peut etre vu comme un cas
particulier du modele reseau, l'ensemble de lignes entre types d'article devant
former des graphes hierarchiques. Cependant, les articles ne peuvent avoir des
donnees repetitives. dans cette structure les donnees sont organisees selon une
arborescence. Chaque nceud ( entite) de l'arbre correspondant a une classes d'
entite du monde reel et le chemin entre les nceuds represente les liens
existant entre les entites.17
Le SGBD le plus connu dans cette categorie est IMS,
produit ancien de IBM, trts repandu dans les applications de production. Les
concepts de la base du modele sont les champs, plus petites unites de donnees
possedant chacune un nom et l'article.
L'article : suite de champs, portant un nom et
constituant l'unite d'echange entre la base de donnees et les applications. Les
articles sont relies entre eux par de liens hierarchiques : a un article pere
possedent N articles fils.
La notion de type d'article qui designe le schema d'un
article (description contenant) sa distingue ici de celle d'occurrences
d'article qui representent les differentes valeurs stockees de la
base.
Dans ce modele nous pouvons retenir que :
v Il y a un seul type article racine ;
v La racine peut avoir un nombre quelconque de types
d'articles d'enfant ;
Chaque type d'article enfant de la racine peut avoir un
nombre quelconque de types d'articles d'enfant, et ainsi de suite ;
v A une occurrence d'un type d'article donne, peuvent
correspondre 0,1 ou N occurrence de chaque type d'article d'enfant
;
v Une occurrence d'article enfant ne peut exister sans
l'occurrence d'un article.
Nota : Detruire une occurrence d'article pere, detruit
par consequent egalement les occurrences des ses enfants.
Exemple du modele higrarchique
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc2.png)
2.4.2. LE MODELE RESEAU
Dans ce modele, les donnees sont representees sous
formes graphique, c'est une facilite trts importante de representation de la
realite d'une entreprise et proposant la notion de sous ensemble. Ce modele est
une extension de la structure hierarchique dans lequel le graphe des objets
n'est pas limite. Il permet en outre de representer le partage ainsi que les c
ycliques entre les objets. Le SGBD concu selon ce modele se conforme aux normes
fixees par le groupe CODASYL (Conference On Data System Languages) en 1971. Les
SGBD
17 Georges GARDARIN, optic
cit, pp.136
reseaux les plus representes sur le marche sont les
systemes IDS II (Information Data Store), concu par BACHMAN et WILLIAMS, ou IMS
2 d'IBM. Le SGBD reseau propose une solution pour :
· gerer les relations porteuses de cardinalites
maximales a n ;
· prendre en compte la cardinalite mini a 0
;
· gerer les relations de type n=aire
· obtenir plusieurs points d'acces, autres que le
sommet de l'arbre. Pour cela, il modifie l'une des regles de dependance entre
les entites : Une entite "fille" peut avoir plusieurs entites
"meres".
Enfin les SGBD de type CODASYL permettent de mettre en
place d'autres points d'entree dans la base de donnees : les Data=Record=Ke y.
Ces cles d'acces sont positionnees sur les segments regulierement sollicites
pour certains traitements, ce qui permet d'ameliorer les temps d'acces aux
donnees et d'alleger les traitements de recherche de ces memes
donnees.
Il est clair que ce type de SGBD apporte une plus
grande souplesse et une plus grande rapidite aux differents traitements. Mais
les chemins d'acces aux donnees restent trts dependants de la structure
adoptee. Le langage navigationnel qui permet d'acceder et de manipuler les
donnees reste lourd : il faut connaitre le chainage et les jeux de pointeurs
mis en place en plus de la signification des donnees. En dehors de traitements
preetablis, la base de donnees n'est accessible qu'a des
specialistes.
Le schema de la base de donnees, avec les jeux de
pointeurs et les cles d'acces aux records, necessite une compilation a chaque
modification de structure et la refonte des differents programmes.
L'evolution ou la modification de telles bases de donnees
restent donc delicates a mener. Exemple du modéle
Réseau
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc3.png)
2.4.3. LES MODELES ORIENTES - OBJETS.
Ils sont issus des reseaux semantiques et des langages
de programmation orientes objets. Ils regroupent les concepts essentiels pour
modeliser de manière progressive des objets complexe encapsules par des
operations de manipulations associees. Ils visent a permettre la reutilisation
des structures et d'operation pour construire des entites plus complexes, le
modèle ment ensemble les objets et les traitements pour decrire
des
systemes presentant et adaptant au contexte de base de
donnees, les caracteristiques d'identite objet (nom) des classes (ensemble
d'objet et de traitement) et d'heritage (reutilisation des
traitements).
Donc Les SGBD objet enregistrent les donnees sous
forme d'objets : les donnees sont enregistrees avec les procedures et les
fonctions qui permettent de les manipuler. Ils supportent la notion d'heritage
entre classes d'objets complexes (les pointeurs remplacent les jointures pour
les structures hierarchiques)
A priori, beaucoup d'avantages sur le relationnel, mais
manque de normalisation et de standard inertie de l'existant (presque toutes
les bases actuelles sont de type relationnel)
Exemple du modele objet
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc4.png)
2.4.4. LES MODELES RELATIONNELS
Suite a ses recherches au centre d'IBM a San Jose, le
mathematicien E.F. CODD propose en 1970 une theorie rigoureuse pour
l'elaboration d'un modele de donnees constitue de relations, c'est a dire de
tableaux a deux dimensions.
Ce modele s'inspire directement de la notion
mathematique de relation. Ce modele relationnel permet de representer les
donnees sous forme de table. Il est simple ce qui le rend attractif pour les
utilisateurs car il est facile a comprendre et a manipuler. De plus, il repose
sur des structures mathematiques simples, permettant l'usage d'un langage de
requêtes concis et puissant.
La premiere volonte du modele relationnel fut
d'être un modele ensembliste simple. Les objectifs recherches par le
modele relationnel etaient :
o de traiter les donnees de fa>on formelle, en
s'appuyant sur les theories mathematiques de CODD (algebre
relationnelle);
o d'assurer une independance entre la structure de
stockage des donnees et les programmes, afin de pouvoir faire evoluer les uns
parallelement aux autres ;
o d'augmenter la productivite des programmeurs, en leur
fournissant des
outils et des langages rendant plus facile la manipulation
des donnees.
Les annees qui ont suivies l'apparition du modele
relationnel ont vu s'elaborer une theorie solide qui permet aujourd'hui de
construire et d'exploiter des bases de donnees d'une maniere tres efficace en
proposant :
o une structure relationnelle de stockage des donnees
;
o la disparition de la representation en graphe des
donnees (representation de BACHMAN) ;
o la suppression des "ficelles" physiques liant les
donnees entre elles ;
o la facilitation de l'acces aux donnees pour les
utilisateurs, notamment non informaticiens.
Le rapprochement entre donnees est possible grace a
l'existence de domaines communs dans l'ensemble des relations (tables) de la
base de donnees. Les recherches et mises a jour sont effectuees a l'aide d'un
langage non procedural et non navigationnel, permettant de specifier les
donnees que l'on veut obtenir sans dire comment y acceder, ainsi que de
traitements ensemblistes. C'est donc le moteur du SGBD qui doit determiner le
meilleur plan possible d'acces aux donnees.
Le SGBD Relationnel a comme objectifs
· Proposer des schemas de donnees faciles a
utiliser
· Ameliorer l'independance entre donnees et
traitements
· Mettre a la disposition des utilisateurs des
langages de haut niveau
· Optimiser les acces a la base
· Permettre le developpement de nombreuses
applications
2.5. BASE DE DONNEES RELATIONNELLES
(BDDR)18
Les BDDR sont concues a partir du modele rationnel,
elles sont d'une grande importance du fait de leur popularite au sein de la
recherche et de l'information de gestion. Le succes des BDDR tient
essentiellement a leur simplicite. Elles ne contiennent qu'une seule structure
de donnees : tables, avec des lignes et des colonnes et les relations reliant
ces tables.
Hainant, Jean -- Luc, lui definit une BDDR comme une
collection de tables des donnees ou fichiers plats, une structure extremement
simple et intuitive qui , pour l'utilisateur du moins ne s'encombre d'aucun
details techniques concernant les mecanismes de stockages sur disque et d'acces
aux donnees.
a. table : est une entite qui contient (une suite de
lignes stockees sur un support externe. Elle peut etre definie comme etant un
groupe de proprietes , reflet d'un objet presentant un interet pour le systeme
etudie dotee d'une existence propre, et identifiable.
b. Ligne (tuple ou r -- replets) de la table : est
une suite de (une ou) plusieurs valeurs, chacune etant d'un type determine.
D'une maniere generale, une ligne regroupe des informations concernant un objet
(entite), un individu, un evenement, etc. dans une BDDR, tous les signes
presentes dans une table ont le meme format ou la meme structure.
18 Jean=Luc Hainaut, Base
de donnees et modèles de calcul, 2eme ed. Dunod, Paris,
2000, pp. 31=40.
c. Colonne ( attribut) de la table : est l'ensemble des
valeurs de meme type
correspondant a une meme propriete des entites
decrites ; ces colonnes jouent des roles differents vis=à=vis des
entites representees par les lignes d'une table. Une colonne donnee joue le
role d'un identifiant, d'une cle etrangere, d'une information complementaire
etc.
- Identifiant : c'est une colonne choisie pour
identifier une entite et aussi la ligne qui la represente dans la table c'est a
dire qu'elle distingue sans ambigiiite l'occurrence d'un objet.
= cle etrangere : c'est une colonne constitue de
l'identifiant d'une autre table et joue un role de reference a une ligne de
cette table ; on l'appelle ' colonne de reference ' ou
'cle complementaire sur l'entite'.
d. Relation
La relation est encore appelee table relationnelle ou
table.
Afin d'expliquer ce concept, on peut utiliser les deux
ensembles suivants : PERSONNES = {P1, P2, }
ASSOCIATION = {A1, A2}
Le produit cartesien PERSONNES x ASSOCIATION est defini
par : P x A = {P1=A1 ; P1=A2 ; P2=A1 ; P2=A2 ; P3=A1 }
Generalites sur les Bases de Donnees
Ce produit cartesien peut etre represente par la relation
suivante :
PERSONNES ASSOCIATION
P1 Al
P1 A2
P2 Al
P2 A2
Le resultat de ce produit cartesien est un ensemble de
valeurs. Chaque ligne est un element de l'ensemble mais seule une partie
d'entre elles va etre interessante, car elle represente la realite de l'univers
de travail.
Si lion considere que, dans la realite A1 englobe P1 et
que A2 englobe P2 et P3, on obtient le tableau suivant, sous ensemble du
precedent :
PERSONNES ASSOCIATION
P1 Al
P2 A2
P3 A2
Ce qui permet de definir une table relationnelle de la
maniere suivante :
Une table relationnelle est un sous-ensemble du produit cartesien
d'une liste de domaines. Ce sous-ensemble peut-etre represente par un tableau a
deux dimensions (lignes' colonnes).
En consequence, on peut dire qu'une relation : = n'a pas
deux lignes identiques ;
= que l'ordre des lignes n'est pas significatif
;
= que l'ordre des colonnes n'est pas
significatif.
On la note : R (r1, r2, rn) oft R est le nom de la
relation. Exemple : PRESONNES (N° pers'
nom_pers' adresse' N° ccp) e.
L'attribut
Afin de pouvoir distinguer les colonnes d'une relation,
et ainsi rendre leur ordre sans importance, il est necessaire d'associer un nom
a chaque colonne.
Un attribut d'une table relationnelle est le nom d'une colonne
de cette relation. Le nom de cette colonne doit etre unique pour la
relation consideree. Les valeurs acceptees dans chaque colonne respectent un
certain nombre de regles et/ou appartiennent a un ensemble defini de valeurs
:
Un attribut est defini par rapport a un domaine. f
Le domaine
Un domaine est un ensemble dans lequel les donnees
prennent valeur, c'est=à=dire dans lequel elles sont
significatives.
Il peut etre d!fini :
= en extension' en donnant la liste
des valeurs composantes ;
= en intention' en definissant une
propriete caracteristique des valeurs du domaine. A titre d'exemple, on
peut considerer :
= le domaine des couleurs de l'arc=en=ciel, ce qui suffit
a d!finir en intention ce domaine ;
= {rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet}
si l'on souhaite d!finir en extension ce meme domaine. C'est l'utilisation de
ce concept de domaine qui va faciliter les rapprochements entre informations
contenues dans des tables differentes, stockees dans des colonnes aux noms
differents et parfois meme n'ayant d'autre lien entre elles que cette
appartenance a un meme domaine.
g. Le degre
Le degre d'une table est le nombre d'attributs composant
cette table.
h. La valeur
La valeur est le contenu d'un attribut pour un tuple
donné.
En résumé ATTRIBUTS
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc8.png)
INDENTIFIANT
|
NOM
|
PRENOM
|
SEXE
|
120120
|
LOLEKE
|
Freddy
|
M
|
120121
|
WAYI
|
Valérien
|
M
|
130131
|
DJEMA
|
Angel
|
F
|
130130
|
BASA
|
Marie
|
F
|
Attribut1 Attribut2 Attribut3 Attribut4
DEGRE=4
RELATION
2.6. ASPECT CONCEPTUEL D'UNE BASE DE
DONNEES19
2.6.1 RECEPTION DU MONDE REEL ET CAPTURE DES
DONNEES
Appelé aussi analyse, préalable, cette
étape consiste a étudier les problèmes de l'entreprise et
a comprendre ses besoins, elle comporte des entretiens, des analyses des flux
d'information et de processus du métier.
2.6.2. ELABORATION DU SCHEMA CONCEPTUEL
Cette élaboration est basée sur
l'intégration des schémas externes obtenus a l'étape
précédente. Chaque composant est un schéma entité =
association ou objet. Le MCD constitue une description globale des
données manipulées dans l'organisme, tous acteurs et tous
documents confondus. Il revLt importance trts grande dans la mesure oft il
constitue le référentiel informationnel de
l'organisme.
2.6.3. ELABORATION DU SCHEMA LOGIQUE
Cette étape réalise la transformation du
schéma conceptuel en structure de données supportées par
le SGBD choisi. Pour un SGBD relationnel, il s'agit de passer par des
tables.
19 Dominic DIONISI,
l'essentiel sur Merise, Ed. Eyrolles, Paris 1998, pp.60=75
1. Passage du Modele Conceptuel des Donnees au Modele
Logique
Au cours de l'analyse prealable a la mise en place
d'une base de donnees, les concepteurs utilisent pour modeliser les donnees du
systeme d'information les concepts et les regles du MCD. Le modele obtenu est
un schema conceptuel de la future base, qu'il faut ensuite transformer en un
schema interne pour preparer son implantation physique sur les structures de
stockage. Ce schema interne correspond exactement a la definition du Modele
Logique de Donnees, employe dans la methode Merise.
Pour realiser ce passage du MCD au MLD, il existe un
certain nombre de regles edictees en fonction de la nature de la relation (au
sens Merise du terme) existant entre un ou plusieurs objets.
2. La transformation des objets du MCD
Dans tous les cas de figure :
o Les objets sont transformes en RELATION (ou
TABLE).
o L'identifiant de l'objet devient la CLE PRIMAIRE
unique de la table.
o Les proprietes deviennent des ATTRIBUTS de la
table.
3. La transformation des relations
conceptuelles
1. Cas des relations dites "de N vers N" :
> Une relation conceptuelle porteuse de
cardinalites maximales egales a n sur chacun de ses liens, qu'elle soit ou non
porteuse de donnees, se transforme en une table relationnelle.
> La cle primaire de cette table est composee des
identifiants des objets participant a la relation.
> Les proprietes portees par la relation conceptuelle
deviennent les attributs non=cle de la table.
2.6.4. ELABORATION DU SCHEMA PHYSIQUE
Cette etape est necessaire pour obtenir de bonnes
performances. Elle necessite la prise en compte des transactions afin de
determiner la representation des donnees sur un support de stockage utilise par
la machine.
CHAPITRE III : ANALYSE PREALABLE
3.1. ETUDE DE L'INSTITUTION
3.1.1. SITUATION
HISTORIQUE
En 1993, la conference Episcopale du Congo (CENGO)
avait decide de la creation de la commission Caritas= developpement pour la
promotion de tout homme. Concretement , il y avait la necessite de restructurer
la pastorale sociale et d'avoir un cadre qui repondrait le mieux a la mission
de l'Eglise, celle de promouvoir la personne humaine dans les differentes
aspects.
En effet, la decision de l'Episcopat a ete orientee par
les recommandations des differentes evaluations par les partenaires du
Nord.
Etant donne qu'il n'existait plus une structure charge
de la pastorale sociale au niveau de l'Archidiocèse de Kananga, le
Bureau Diocesain de developpement ayant ferme ses portes en 1993, il a fallu
attendre d'avènement du nouvel Eveque pour voir se concretiser le souci
de l'Episcopat National. C'est ainsi qu'en 1998, Monseigneur l'Archeveque
Godefroy MUKENG= a -- KALOND, a institue la CDKA par sa lettre pastorale
n° 05 du 28 aoirt 1998. Cette structure n'a ete fonctionnelle qu'en
janvier 1999.20
3.1..2. ASPECT GEOGRAPHIQUE
La CDKA a son siege a Kananga dans la commune de
Kananga au Quartier Tshinsambi, sur l'Avenue du Commerce, au numero 96, avec
comme boite postale 70-- Kananga.
3.1.3. OBJECTIFS DE LA CDKA
a. Sur le plan de la promotion de la sante
> Mener des actions preventives, curatives et
promotionnelles de maniere rationnelles et efficace ;
> Assurer le fonctionnement de la pharmacie
diocesaine pour approvisionner des formations medicales en medicaments
;
> Assurer la gestion des formations medicales, unites
et postes de sante confies a la gestion du diocese.
b. Sur le plan de la promotion de la solidarit: et du
partage
v Eveiller la conscience des chretiens a leur devoir de
la charite ;
v Les amener progressivement a faire ce qui est a leur
pouvoir pour subvenir aux besoins des necessiteux de maniere desinteressee
;
v Les eduquer systematiquement a l'entraide et a la
solidarite.
20 Clotide BAWOTA,
Programme actualise 2003=2005, Kananga, 2003, pp.1
c. Sur le plan de la promotion du
developpement
ü Amener la population de l'Archidiocese a se
prendre en charge pour ameliorer les conditions de vie ;
ü Aider la population a raisonner ensemble a
trouver des solutions et agir ensemble pour combattre et vaincre le misere
;
ü L'animer et l'animer a jouer pleinement son role
dans la societe. 3.1.4. ORGANIGRAMME DE LA CDKA
ARCHEVEQUE
A.G.C
COCO
CDCD
DIRECTION
SECRETARIAT
COMPTABILITE
CAISSE
|
|
|
LO GISTIQUE
|
|
|
|
MAGASIN
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
GARAGE
|
|
S.GARDE
|
3.1.5. ORGANISATION
A la tete de la CDKA, on trouve l'Archeveque qui est
le garant de la pastorale sociale au sein de l'Archidiocese. Apres lui nous
avons l'Assemblee Consultative ( AGC) chargee de faire des analyses et fixer
les orientation a proposer a l'archidiocese pour etre traduite en
actes.
L'Assemblee consultative est secondee par la
commission de controle chargee de la verification de l'application des textes
reglementaires et de la gestion de toutes les ressources de la
CDKA.
Ensuite vient la commission diocesaine Caritas
developpement ( CDCD), qui fait office du conseil d'Administration , chargee de
la gestion et du suivi des programmes et du niveau de realisation et execution
des decision prises par l'Archeveque sur proposition de l'AGC.
Direction : coordonne routes les activites de la CDKA et
fait la distribution des tfiches aux autres services.
Secrétariat : s'occupe de la recuperation,
enragement et expedition des differents courriers.
Coordi.PSA : c'est un organe d'etude et reflexion de la
commission, il organise des seances d'appui et des conseils techniques en
matiere de developpement.
C.P.ECHO (staff. Technique): coordonne toutes les
activites sur terrain dans le cadre du projet de securite alimentaire il s'agit
: de culture maraichere, culture vivriere, elevage, la transformation des
differents produits agricoles, approvisionnement en eau potable, stock des
produits vivrieres et la rehabilitation des voies de desserte
agrile.
Chargé de projet : il s'occupe d'identification
des besoins de la population ciblee, identifier les appuis a realiser, la
realisation des etudes techniques, elaboration des projets, veiller a la
reussite de chaque projet, evaluer les differents projets mis en oeuvre par la
CDKA et analyser la situation de chaque entite.
3.2. ETUDE DE L'EXISTANT
3.2.1. ANALYSE DE LA STRUCTURE
A. ORGANIGRAMME DU DOMAINE D'ETUDE
DIRECTION
COORDI.PSA
|
|
S.C.P
|
|
C.P.ECHO
|
B. NARRATION
La CDKA possède au sein de chaque paroisse de
l'Archidiocèse de Kananga un comité Paroissial Caritas
Développement (CPCD) représentée par le curé de la
paroisse.
Les personnes défavorisées se regroupent
en association ayant un objectif bien déterminé et se rendent au
CPCD pour demander l'appui de la Caritas. Le curé et les membre de
l'association remplissent ensemble une fiche de demande d'appui, qu'ils
envoient au service chargé de projet de la Caritas. Ce dernier s'occupe
de l'identification de membre de l'association qui a sollicitée l'appui
et établit une liste définitive de membre de l'association ayant
un besoin effectif qui demande l'appui après l'analyse de leur besoin.
Après cette identification, le SCP envoi cette liste définitive a
la coordination PSA. Le PSA étudie et réfléchit sur le
cofit de l'appui puis établit un état d'appui a 4 exemplaires
qu'il envoi a la direction pour validation, suivie de la liste
définitive de membre. Apres validation la direction retourne un
état d'appui au PSA, classe une copie et envoi la liste
définitive de membre et les 2 copies au staff technique. Le staff
organise de séance d'information et de formation sur l'usage des outils
et les semences en rapport avec leur besoin. Avant que l'association
reçoit l'appui sollicitée, un contrat est signé par
l'association et la Caritas (représentée par le staff) selon
lequel les revenus de la production sont repartis proportion de 5%, 5% et 90%
respectivement pour les CPCD, la Caritas et l'association.
3.2.2. ANALYSE DE POSTES DE TRAVAIL
Ce tableau nous renseigne sur les différents
services utilisés du domaine d'étude, les travaux qu'ils
effectuent, etc.
Projet : gestion C.S.D FICHE D'ANALYSE DES POSTES DE
TRAVAIL Analyse : Etshiko Freddy
Application : Suivi de C.S.D. Date : le... ... /. ... ../
2009
|
No
|
Intitulé de poste de travail
|
Nom mnémonique
|
Travail effectué
|
Moyen de traitement (matériel)
|
Nombres des
personnes
|
Volume d'information
|
Observation
|
1
|
DIRECTION
|
DIRECTION
|
=Vérification des états d'appui,
=Validation des états
|
Manuel
|
1
|
élevé
|
Moins rapide
|
2
|
COORDINATION PROJET ECHO (STAFF.
TECHNIQUE)
|
PSA
|
=Organisation des
formations =Signature de contrat
avec l'association
=Suivit de
travaux sur
terrain
|
Manuel
|
7
|
Plus de 50
associations soit plus de 500
personnes par appui
|
perte des
informations trop
fréquentes
|
3
|
SERVICE CHARGE DE PROJET
|
S.C.P
|
=vérification des personnes
défavorisées =
identification
des besoins
de chaque
personne
=
Etablissement des listes définitives de
membres
d'une association
|
Manuel
|
5
|
Plus de 5000
personnes par appui
|
Lenteur dans
la
transmission des listes
|
4
|
COORDINATION PSA
|
S.P.E.
|
=Analyse de
la nature de chaque personne
=
catégorisation Etablissement des états
de besoins
|
Manuel
|
5
|
Plus de 5000
personnes par appui
|
Surcharge par le nombre d'informations a
traiter
|
3.2.3. ANALYSE DES FLUX D'INFORMATION
Cette Analyse constitue l'ensemble d'information
circulant dans l'entreprise ou l'ensemble d'information échangée
entre département, service et environnement extérieur. Elle se
réalise en différentes étapes essentielles du
système actuel : En ce terme nous allons dresser trois types de tableau
: la matrices de flux (tableau de n lignes et n colonnes permettant de recenser
l'origine des documents, la destination des ces documents et la nature de ces
documents traités dans tel ou tel service), tableau des flux, lequel
nous permettra de connaitre les rubriques de chaque document traité
concerné par l'application et permettra de voir aussi la destination
ainsi que l'origine du document et le schéma de flux qui nous permettra
de décrire les documents qui s'échangent entre les acteurs
internes et externes.
3.2.4. MATRICE DE FLUX
Le tableau suivant constitue la matrice des flux
d'information en ligne on représente les services origines sources,
tandis que en colonne ce sont les services destinateurs.
|
ASSOVIATION
|
S.C.P
|
PSA
|
STAFF
|
DIRECTION
|
CPCD
|
ASSOCIATION
|
|
|
|
|
|
01
|
S.C.P
|
|
|
02
|
|
|
|
PSA
|
|
|
|
|
03
|
|
STAFF
|
04, 05
|
|
|
|
|
|
DIRECTION
|
|
|
04
|
04
|
04
|
|
CPCD
|
|
01
|
|
|
|
|
3.2.5. TABLEAU DES FLUX
Le tableau suivant montre les documents utilises dans ce
domaine, le poste origine et poste de destination.
Gestion CSD Analyste : Etshi ko Freddy
Application : Date : le... ... /. ... ../
2009
|
Flux
|
Données véhicules
|
Origine
|
Destination
|
Demande d'appui
|
Code CPCD
Nom CPCD
Code Association Nom Association Adresse Association
Motif
Présidant Association
|
Association, CPCD
|
SCP
|
Liste definitive de
membres d'une association
|
Code CPCD
Nom CPCD
Code Association Nom Association Num
Membre
Nom Membre
Date de naissance Etat civil
Sexe
Adresse
Nombre d'enfants Etat de sante
Nre de repas par jour Nature d'habitation
Catégorie de vulnera Description observation
|
SCP
|
PSA
|
Fiche de presence
memsuel
|
Code fiche Designation
Date jour
Code association Nom association Nbre Mb Actifs Nbre
Mb Inactifs Evolution
|
STAFF
|
STAFF
|
Etat d'appui
|
Code appui Designation
Nature appui
Code Association Nom Association Nombre Membre
Montant
|
PSA
|
DIRECTION
|
Etat d'appui valid!
|
Numéro appui Designation
|
|
|
|
Nature appui
Code Association Nom Association
|
|
|
|
Nombre Membre Montant
|
DIRECTION
|
PSA, STAFF,
DIRECTION
|
|
Code contrat
|
|
|
|
Code Association
|
|
|
|
Nom Association
|
|
|
Contrat
|
Montant accordé
|
PSA
|
Association
|
|
Pourcentage CPCD
|
|
|
|
Pourcentage Caritas
|
|
|
|
Date accordée
|
|
|
|
Date échéance
|
|
|
3.2.6. SCHEMA DE FLUX ENTRE SERVICE
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc9.png)
Schéma résume la circulation des documents
entre les services utilisés
CPCD ASSOCIATION
COORDINATION PSA
SERVICE CHARGE DE PROJET
01
02
01
04
03
DIRECTION
STAFF TECHNIQUE
04
04, 05
04
LEGENDE DE DOCUMENTS
CODES DOCUMENT
|
LIBELLE DOCUMENT
|
|
01
|
DAMENDE D'APPUI
|
|
02
|
LISTE DEFINITIVE
MEMRES
|
DE
|
03
|
ETAT D'APPUI
|
|
04
|
ETAT D'APPUI VALIDE
|
|
05
|
CONTRAT
|
|
3.2.7. ANALYSE DE MOYENS DE TRAITEMENT
A. FICHE D'ANALYSE DES MOYENS HUMAINS
APPLICATION CSD Analyste : Etshi ko Freddy
DOMAINE :
FICHE D'ANALYSE DES MOYENS HUMAINS Date
:.../.../2009
|
N°
|
NOM AGENT
|
QUALIFICATION
|
GRADE
|
ANCIENNETE
|
OBSERVATION
|
1
|
BILOWA DELPHINE
|
Ao
|
L
|
1 an
|
Directrice
|
2
|
JEAN LUC
|
A1
|
|
1 an
|
|
3
|
MODESTE BUKASA
|
A2
|
|
1an
|
|
4
|
SOPHI TUBENSELA
|
A1
|
K
|
3 ans
|
Chef de service
PSA
|
5
|
HYPOLITE KALALA
|
Ao
|
|
3 ans
|
Chef de service
technique (Staff)
|
6
|
TSHISEKEDI
|
Ao
|
|
2 ans
|
|
7
|
NYONGA MPOYI
|
Ao
|
K
|
1 an
|
|
8
|
BILONDA
|
A2
|
|
1an
|
|
9
|
BENOIT MUAMBA
|
A1
|
L
|
4 ans
|
Chef de SCP
|
10
|
TSHIALA PASCALINE
|
A1
|
|
2 ans
|
|
11
|
ALEX KANDE
|
Ao
|
L
|
3 ans
|
|
N.B : L : cadre de la societe K : Agents de
maitrise
B. MOYEN DE TRAITEMENT MATERIEL
C'est l'ensemble des elements physiques employes pour
le traitement de l'information. Notons malgre la presence de l'outil
informatique le traitement est encore manuel car, tout traitement de
l'information se fait a la main. Voici ci=dessous les quelques differents
materiels utilises pour le traitement de l'information.
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc10.png)
01
SCP PSA DIRECTION STAFF
01
TTT01
02
TTT02
03
02
04
01
TTT03
04
04
03
05
04
TTT04
04
01
3.2.8. ETUDE DU SCHEMA DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS
Nous allons montrer a ce niveau comment sont traitees
les informations a travers les postes et departements concernes. Cette etude
montre le circuit indispensable que doit suivre un document.
Pour ce faire, etablissons un schema de circulations
composees des colonnes ou se trouvent les postes/postes. C'est le diagramme
POSTES/POSTES
3.3. CRITIQUE DE L'EXISTANT, RECENSEMENT DES ROBLEMES ET
PROPOSITIONS DES SOLUTIONS
Ici, il s'agit de la s ynthèse de tous les
travails effectués au niveau de l'analyse de l'existant. Ainsi, la
critique ou le diagnostic de l'existant permettra de recenser les points forts
et faibles du s ystème actuel. 21
3.3.1. RECENSEMENT DES PROBLEMES.
Après une analyse fructueuse, voici les
éléments constatés qui rendent le s ystème
inefficace et entraine des difficultés dans la détection et la
prise en charge de couches sociales défavorisées :
· Malgré la présence de l'outil
informatique, tous les travaux de ce domaine sont réalisés
manuellement ce qui prouve que cet outil n'est pas bien utilisé
;
· Perte fréquente des informations
;
· Manque d'archives au sein de l'institution
;
· Nombre croissant des associations et augmentation
des membres ;
· Insuffisance des mo yens techniques pour le
traitement et la diffusion de l'information aux utilisateurs de ce s
ystème.
3.3.2. PROPOSITIONS DE SOLUTIONS A)
Solutions manuelles
Nous félicitons leur visite sur terrain pour
voir exactement si les associations font ce qu'on leur a demandé. Aussi
que leur appui ne doit pas se limiter seulement pour les chrétiens
catholiques,
A) Solutions informatique
Vu la complexité et le volume de l'information
a traitée nous leur proposons aussi une solution informatique qui peut
les aider a améliorer leurs travail, cette solution est fiable, car elle
tient compte de l'intérêt général, présentant
plus d'avantage par rapport aux autres. Le type de s ystème informatique
adopté a cette situation est un s ystème informatique qui
s'effectue au niveau de chaque poste de travail, les ordinateurs sont
indépendants les uns des autres donc ne sont pas en réseau
informatique.
3.3.3. EVALUATION DE LA SOLUTION
La solution proposée apportera une
légère modification des tiches, changement d'activité des
agents travaillants dans les postes de travail concernées par
l'application. Les agents concernés doivent suivre une petite formation
pour l'utilisation des équipements informatiques et logiciels
installés dans ce domaine
21 NVIBUDULU, Méthode
d'Analyse Informatique, coursG2 Info. 2008
CHAPITRE IV : CONCEPTION DU MODELE DE BASE DE
DONNEES
Apres avoir analyse le systeme existant, ce present
chapitre nous permettra de concevoir le modele de la base de donnees qui sera
par la suite implement!.
4.1 CONCEPTION DE LA BASE DE DONNEES
Comme methode de conception de la base de donn!e MERISE
separe les donnees et le traitement. Pour cela elle distingue les stapes ci --
apres :
· Etape conceptuelle ;
· Etape organisationnelle ;
· Etape logique
· Etape physique 4.1.1. DICTIONNAIRE DE
DONNEES
CODES
|
DESCRIPTION
|
CodeCPCD
|
Code CPCD
|
NomCPCD
|
Nom CPCD
|
CodeAss
|
Code Association
|
NomAss
|
Nom Association
|
AdrsAss
|
Adresse Association
|
Motif
|
Motif
|
PresAss
|
Présidant Association
|
CodeCPCD
|
Code CPCD
|
NomCPCD
|
Nom CPCD
|
CodeAss
|
Code Association
|
NomAss
|
Nom Association
|
CodeMb
|
code Membre
|
NomMb
|
Nom Membre
|
DateNais
|
Date de naissance
|
EtatC
|
Etat civil
|
Sexe
|
Sexe
|
AdresMb
|
Adresse
|
NbreEnf
|
Nombre d'enfants
|
EtatSante
|
Etat de sante
|
NbRepJ
|
Nombre de repas par jour
|
Nat_hab
|
Nature d'habitation
|
CatVul
|
Catégorie de
vulnérabilité
|
Description
|
Description
|
Observation
|
Observation
|
CodeF
|
Code fiche
|
DesiF
|
Designation
|
DateJ
|
Date jour
|
CodeAss
|
Code association
|
NomAss
|
Nom association
|
NbMbAct
|
Nbre Mb Actifs
|
NbMbInact
|
Nbre Mb Inactifs
|
Evolution
|
Evolution
|
CodeContrat
|
Code contrat
|
CodeAss
|
Code Association
|
NomAss
|
Nom Association
|
MontAcc
|
Montant accordé
|
PourCPCD
|
Pourcentage CPCD
|
|
pourCaritas
DateAcq Echéance Codeappui DesiAppui
NatureAppui
CodeAss NomAss NbreMb MontAppui
|
Pourcentage Caritas Date accordée
Date échéance
Code appui
Désignation
Nature appui
Code Association Nom Association Nombre Membre
Montant
|
|
4.1.2. DICTIONNAIRE DE DONNEES EPURE
CODE
|
DESCRIPTION
|
CodeCPCD
|
Code CPCD
|
NomCPCD
|
Nom CPCD
|
CodeAss
|
Code Association
|
NomAss
|
Nom Association
|
AdrsAss
|
Adresse Association
|
Motif
|
Motif
|
PresAss
|
Présidant Association
|
CodeMb
|
code Membre
|
NomMb
|
Nom Membre
|
DateNais
|
Date de naissance
|
EtatC
|
Etat civil
|
Sexe
|
Sexe
|
AdresMb
|
Adresse
|
NbreEnf
|
Nombre d'enfants
|
EtatSante
|
Etat de santé
|
NbRepJ
|
Nombre de repas par jour
|
Nat_hab
|
Nature d'habitation
|
Observation
|
Observation
|
CodeCat
|
Code Catégorie
|
NomCat
|
Nom Catégorie
|
Description
|
Description
|
CodeF
|
Code fiche
|
DesiF
|
Désignation
|
DateJ
|
Date jour
|
NbMbAct
|
Nombre Membre Actifs
|
NbMbInact
|
Nombre Membre Inactifs
|
Evolution
|
Evolution
|
CodeContrat
|
Code contrat
|
MontAcc
|
Montant accordé
|
PourCPCD
|
Pourcentage CPCD
|
pourCaritas
|
Pourcentage Caritas
|
DateAcq
|
Date accordée
|
Echéance
|
Date échéance
|
CodeAppui
|
Code appui
|
DesiAppui
|
Désignation
|
NatureAppui
|
Nature appui
|
NbreMb
|
Nombre Membre
|
MontAppui
|
Montant
|
|
MEMBRE
#CodeMb NomMb DateNais EtatC
Sexe
AdresMb NbreEnf EtatSante NbRepJ Nat_hab
Observation
4.1.3. REGLES DE GESTIONS
Pour la gestion de personnes defavorisees nous avons
retenus les regles de gestion suivantes :
· Dans une association se retrouve un ou plusieurs
membres.
· Un CPCD regroupe une ou plusieurs
associations.
· Un membre ne peut appartenir qu'a une et une
seule categorie.
· Une association peut beneficier un ou plusieurs
appui.
· Une presence ne concerne qu'une et une seule
association.
· Une association peut signer un ou plusieurs
contrats
4.2. MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
Cette etape a pour objectif de mettre en place des
donnees appropriees pour la gestion automatisee. Nous y presentons les objets
manipules dans notre application ainsi que les relations les reliant. La
methode utilisee est la methode MERISE et le modele entite =
association.
a. Recensement des objets et identification des attributs
Pour le domaine de la prise en charge de couches
defavorisees, nous avons recense les objets suivants :
· Association ;
· Membre ;
· Categorie ;
· CPCD ;
· Contrat ;
· Presence
·
CATEGORIE
#CodeCat NomCat
Description
PRESENCE
#CodeF DesiF DateJ NbMbAct NbMbInact
Evolution
Appui.
ASSOCIATION
#CodeAss NomAss AdrsAss Motif
PresAss
CPCD
#CodeCPCD NomCPCD
|
CONTRAT
#CodeContrat MontAcc PourCPCD pourCaritas
DateAcq
Echeance
|
APPUI
#CodeAppui DesiAppui NatureAppui NbreMb
MontAppui
4.2.1. SCHEMA DU MODELE CONCEPTUEL DES
DONNEES
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc11.png)
REGROUPER
(1, n)
BENEFICIER
(1, 1)
(1, n)
(1, 1)
(1, 1)
CONCERNER
(1, n)
(1, n)
(1, 1)
SIGNER
(1, 1)
(1, n)
(1, 1)
SE TROUVER
APPARTENIR
ASSOCIATION
#CodeAss NomAss AdrsAss Motif PresAss
PRESENCE
#CodeF DesiF DateJ NbMbAct NbMbInact
Evolution
MEMBRE
#CodeMb NomMb DateNais EtatC
Sexe AdresMb NbreEnf EtatSante NbRepJ Nat_hab
Observation
CONTRAT
#CodeContrat MontAcc PourCPCD pourCaritas DateAcq
Echéance
CATEGORIE
|
|
APPUI
|
|
CPCD
|
#CodeCPCD
|
#CodeAppui
|
NomCPCD
|
DesiAppui NatureAppui NbreMb MontAppui
|
#CodeCat
|
|
(1, n)
|
NomCat Description
|
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc12.png)
CONCER NER
(1, 1)
4.2.2. SCHEMA DU MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES
VALIDE
CATECIOR IE
#CodeCat NomCat Description
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc13.png)
CIF
APPT TI
#CodeAppui DesiAppui NatureAppui NbreMb
MontAppui
CIF
CPCD
#CodeCPC D
NomCPCD
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc14.png)
(1_ n)
BENEFICIER
(1_ n)
CONTR AT
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc15.png)
CIF
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc16.png)
CIF
(1 1)
MEMBR E
#CodeMb NomMb DateNais EtatC
Sexe
AdresMb NbreEnf EtatSante NbR epJ Nat_hab
Observation
|
ASSOCIATION
#CodeAss NomAss AdrsAss Motif
PresAss
|
#CodeContrat MontAcc PourCPCD pourCaritas
DateAcq
Echéance
|
PR ESENCE
#CodeF
DesiF
DateJ
NbMbAct NbMbInact Evolution
|
4.3. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT
Ce modèle a pour but, la description de la
dynamique de l'organisation du système sans tenir compte de ressources
humaines et matérielles. Le tableau suivant nous résume les
différents événements, opération ainsi leurs
résultats.
EVENEMENTS
|
OPERATIONS
|
RESULTATS
|
L'arriver de
l'association
|
Remplissage de la demande d'appui
|
Demande d'appui
|
Transmission demande
d'appui
|
Identification de membres
sur terrain ainsi que l'analyse de leur
besoins
|
Etablissement budget
|
Transmission du budget
|
Evaluation du budget
|
Proposition contrat de
partenariat
|
Accort de l'association
|
Formation et Information
|
Prise en charge
|
4.4. MODELE LOGIQUE DES DONNEES (MLD)
Le MLD a pour but d'organiser les informations sous
une forme acceptable et conforme aux modèles du SGBD a utiliser. En ce
terme nous avons opté pour modèle de représentation, o le
modèle relationnel D et nous retenons ici un SGBDR.
4.4.1. CHOIX DU MATÉRIEL
Dans ce petit tableau nous donnons notre choix qui porte
sur l'aspect Hardware et aspect Software.
ASPECT HARDWARE
|
ASPECT SOFTWARE
|
=
|
TYPE ORDINATEUR : Compaq
|
=
|
SYSTÈME
D'EXPLOITATION : Windows XP Home edition
|
=
|
TYPE PROCESSEUR : Intel®
Celeron® M 1,9Ghz, 1MB L2cache, 533Mhz FSB. 512
MB mémoire s ystème, 80GB hard drive
|
=
|
SGBD : Access
|
= MEMOIRES AUSILLIARES :
Flash, CD=ROM, disque dur : 4GO, 700MO et
80GO
|
=
|
LANGAGE DE
PROGRAMMATION : VB,
BASIC, Java, Python, C++, C, HTML,...
|
=
|
TYPE PERIPHERIQUES D'E/S : clavier, souris, écran,
imprimante
|
=
|
PROGICIELS: word, excel,
power point, publisher, paint, etc.
|
4.4.2. MODÈLE LOGIQUE DE DONNÉES
RELATIONNEL(MLDR)
A. Representation En Intension Du MLDR
1) T_MEMBRE (CodeMb, NomMb, DateNais, EtatC,
Sexe, AdresMb, NbreEnf, EtatSante,
NbRepJ, Nat_hab, Observation, CodeAss, CodeCat
)
2) T_ ASSOCIATION (CodeAss, NomAss, AdrsAss,
Motif, PresAss)
3) T_CPCD (CodeCPCD, NomCPCD)
4) T_CATEGORIE (CodeCat, NomCat,
Description)
5) T_APPUI (CodeAppui, DesiAppui, NatureAppui ,
NbreMb, MontAppui)
6) T_PRESENCE (CodeF, DesiF, DateJ, NbMbAct,
NbMbInact, Evolution)
7) T_CONTRAT (CodeContrat, MontAcc, PourCPCD,
pourCaritas, DateAcq, Echeance)
8) T_BENEFICIER (CodeAss, CodeAppui)
9) T_CONCERNER (CodeAss, CodeF)
B. Representation En Extension Du MLDR
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc17.png)
4.5. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES (MPD)
Ici nous allons representer la structure de differentes
tables a concevoir pour notre application.
1) T-ASSOCIATION
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeAss
|
Texte
|
5
|
Primery key
|
NomAss
|
Texte
|
25
|
|
AdrsAss
|
Memo
|
|
|
Motif
|
Memo
|
|
|
CodeCPCD
|
Texte
|
5
|
Foreign key
|
2) T-MEMBRE
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeMb
|
Texte
|
5
|
Primery key
|
NomMb
|
Texte
|
25
|
|
DateNais
|
Date
|
8
|
|
EtatC
|
Texte
|
1
|
|
Sexe
|
Texte
|
1
|
|
AdresMb
|
Memo
|
|
|
NbreEnf
|
Num
|
2
|
|
EtatSante
|
Memo
|
|
|
NbRepJ
|
Num
|
1
|
|
Nathab
|
Memo
|
|
|
Observation
|
Memo
|
|
|
CodeAss
|
Texte
|
5
|
Foreign key
|
CodeCat
|
Texte
|
5
|
Foreign key
|
3) T-CPCD
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeCPCD NomCPCD
|
Texte Texte
|
5
25
|
Primery key
|
4) T-CATEGORIE
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeCat
NomCat Description
|
Texte Texte
|
5
25
|
Primery key
|
5) T-APPUI
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeAppui
|
Texte
|
5
|
Primery key
|
DesiAppui
|
Texte
|
25
|
|
NatureAppui
|
Texte
|
25
|
|
NbreMb
|
Num
|
2
|
|
MontAppui
|
Num
|
8
|
|
6) T-CONTRAT
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeContrat
|
Texte Num Num Num Date Date Texte
|
5 8 8 8 8 5
|
Primery key
Foreign key
|
MontAcc PourCPCD pourCaritas DateAcq Echéance
CodeAss
|
7) T-PRESENCE
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeF
|
Texte
|
5
|
Primery key
|
DesiF
|
Texte
|
25
|
|
DateJ
|
Date
|
8
|
|
NbMbAct
|
Num
|
3
|
|
NbMbInact
|
Num
|
3
|
|
Evolution
|
Memo
|
|
|
8) T-BENEFICIER
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeAss CodeAppui
|
Texte Texte
|
5 5
|
Primery key Foreign key
|
9) T-CONCERNER
NOM
|
NATURE
|
TAILLE
|
OBSERVATION
|
CodeAss CodeF
|
Texte Texte
|
5 5
|
Primery key Foreign key
|
CHAPITRE V : APPLICATION
Ce présent chapitre nous donne les
différents formulaires de notre application.
5.1. FORMULAIRE DU MENU GENERALE
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc18.png)
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc19.png)
5.2. FORMULAIRE DES ASSOCIATIONS
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc20.png)
5.3. FORMULAIRE DES MEMBRES
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc21.png)
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc22.png)
5.4. FORMULAIRE DES CONTRATS
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc23.png)
5.5. FORMULAIRE DES PRESENCES
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc24.png)
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc25.png)
5.6. FORMULAIRE DES CPCD
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc26.png)
5.7. FORMULAIRE DES CATEGORIES
![](Mise-en-place-dune-base-de-donnees-pour-la-detection-et-la-prise-en-charge-des-couc27.png)
CONCLUSION GENERALE
Aujourd'hui beaucoup d'entreprises cherchent a adopter de
nouvelles methodes de gestion en s'appuyant a l'evolution technologique des ces
dernieres annees.
Dans ce travail nous avons concu et realise une base de
donnees pour la prise en charge et le suivi des couches sociales
defavorisees.
La methode d'analyse et de conception Merise
specifique a l'informatisation des systemes d'information est adoptee dans ce
cadre. Elle a egalement ete a la base de la mise en oeuvre du modele de donnees
relationnelles, relatives a cette realisation.
Nous avons commence ce travail par presente les
generalites sur les couches sociales, quelques notions de base de donnees, nous
avons egalement fait la reception du monde reel et capture des donnees et en
suite nous avons concu un modele de donnees. Pour ces deux dernieres etapes la
methode Merise a ete notre outil de conduite.
Cette base de donnees est realisee a l'aide du
système de gestion de base de donnees relationnel Access. Et nous
croyons que ce programme permettra a la Caritas Developpement Kananga de
categoriser et prendre en charge les couches sociales defavorisees a l'aide de
l'outil informatique pour ameliorer sa gestion.
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. WENU BECKER, RECHERCHE SCIENTIFIQUE : THEORIE ET
PRATIQUE, Lubumbashi, PUL, 2004.
2. PINTOR et GRAWITZ M. ; METHODES DES SCIENCES
SOCIALES, paris
Dalloz, 1971
3. GENET, L. et alii ; Les civilisations du monde
contemporain, Ed. Hatier , Paris , 1966.
4. ABC des Nation Unies, Departement de
l'information des Nations Unis, New York, 2006.
5. Georges GARDARIN, BASE DE DONNEES OBJET ET
RELATIONNELLE, Ed. Eyrolles, Paris, 1999.
6. Jean=Luc Hainaut, BASE DE DONNEES ET MODELES DE
CALCUL, 28mUe ed. Dunod, Paris, 2000.
7. Arnold Roch et Jose, M., La methode
Merise.
8. Dominic DIONISI, L'ESSENTIEL SUR MERISE, Ed.
Eyrolles, Paris 1998.
9. Clotide BAW OTA, PROGRAMME ACTUALISE
2003=2005, Kananga, 2003.
II. NOTES DE COURS
1. Franc MANYA, S.G.B.D, cours G2 Informatique, U.KA
2008
2. NVIBUDULU, Méthode d'Analyse Informatique,
cours G2 Informatique U.KA 2008
3. KAFUNDA Pierre, méthode de recherche
scientifique, cours G2Info, 2008
III. SITE
1.
http://netx.u=paris10.fr
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE...............................................................................................................................I
DEDICACE...............................................................................................................................
II
AVANTPROPOS....................................................................................................................
III LISTE
D'ABREVIATIONS....................................................................................................IV
0.
INTRODUCTION..................................................................................................................
1
0.1. PROBLEMATIQUE
..................................................................................................
1
0.2.
HYPOTHESES..........................................................................................................
2
0.3. CHOIX ET INTERET DU SUJET
............................................................................
2
0.4. METHODE ET
TECHNIQUE...................................................................................
2
0.4.1.
Methode..............................................................................................................
2
0.4.2.
TECHNIQUE.....................................................................................................
3
0.5. DELIMITATION DU
SUJET....................................................................................
3
0.6. SUBDIVISION DU
TRAVAIL.................................................................................
3
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LES COUCHES
SOCIALES..................................... 4
1.1. ORGANISATION DE LA
SOCIETE.......................................................................
4
1.2. CLASSIFICATION DES PERSONNES DANS UNE SOCIETE
.......................... 4
1.3. LES COUCHES
SOCIALES....................................................................................
5
1.4. COUCHES SOCIALES
DEFAVORISEES...............................................................
6
a) LES
ENFANTS..............................................................................................................
8
b) LES
FEMMENTS..........................................................................................................
8
c) PERSONNES VIVANR AVEC
HANDICAPEES........................................................
8
CHAPITRE II : NOTIONS DES BASES DE
DONNEES........................................................ 9
2.1.
BASES DE DONNEES(BDD)
..................................................................................
9
2.1.1 DEFINITION
............................................................................................................
9
2.1.2 LES CRITERES D'UNE BASE DE
DONNEES..................................................... 9
2.2. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES (SGBD)
...........................10
2.2.1.
Definition...............................................................................................................
10 2.2.2. Les objectifs et fonction d'un
SGBD.....................................................................
10
2.3. NIVEAU DE REPRESENTATION DES
DONNEES............................................11
2.3.1 Niveau
conceptuel...................................................................................................
11
2.3.2 Niveau interne
.........................................................................................................
11
2.3.3 Niveau
externe.........................................................................................................
11
2.4. STRUCTURES DES
DONNEES............................................................................
11
2.4 .1. Les modeles hierarchiques
....................................................................................
11 2.4.2. Le modele
reseau...................................................................................................
12 2.4.3. Les modeles orientes --
objets................................................................................
13 2.4.4. Les modeles relationnels
.......................................................................................
14
2.5. BASE DE DONNEES RELATIONNELLES
(BDDR)......................................... 15
2.6. Aspect conceptuel d'une base de donnees
....................................................................
18
2.6.1 Reception du monde reel et capture des
donnees................................................. 18 2.6.2. Elaboration
du schema
conceptuel........................................................................
18 2.6.3. Elaboration du schema logique
..............................................................................
18 2.6.4. Elaboration du schema
physique...........................................................................
19
CHAPITRE III : ANALYSE PREALABLE
........................................................................... 20
3.1. ETUDE DE
L'INSTITUTION.....................................................................................
20
3.1.1. Situation historique
...............................................................................................
20 3.1..2. Aspect
geographique............................................................................................
20 3.1.3. Objectifs de la CDKA
...........................................................................................
20 3.1.4. ORGANIGRAMME DE LA CDKA
..................................................................... 21 3.1.5.
ORGANISATION..................................................................................................
22
3.2. ETUDE DE L'EXISTANT
...........................................................................................
22
3.2.1. ANALYSE DE LA STRUCTURE
........................................................................ 22
3.2.2. ANALYSE DE POSTES DE
TRAVAIL............................................................... 23
3.2.3. ANALYSE DES FLUX
D'INFORMATION........................................................ 24 3.2.4.
MATRICE DE
FLUX...........................................................................................
24 3.2.5. TABLEAU DES
FLUX.......................................................................................
25 3.2.6. SCHEMA DE FLUX ENTRE
SERVICE............................................................. 26 3.2.7.
ANALYSE DE MOYENS DE TRAITEMENT
.................................................... 27 3.2.8. ETUDE DU SCHEMA
DE CIRCULATION DES INFORMATIONS............... 28
3.3. CRITIQUE DE L'EXISTANT, RECENSEMENT DES ROBLEMES ET
PROPOSITIONS DES
SOLUTIONS..................................................................................
29
3.3.1. RECENSEMENT DES
PROBLEMES..................................................................
29
3.3.2. PROPOSITIONS DE
SOLUTIONS......................................................................
29
3.3.3. EVALUATION DE LA SOLUTION
....................................................................
29
CHAPITRE IV : CONCEPTION DU MODELE DE BASE DE
DONNEES......................... 30 4.1 CONCEPTION DE LA BASE DE
DONNEES.............................................................
30
4.1.1. DICTIONNAIRE DE
DONNEES.........................................................................
30
4.1.2. DICTIONNAIRE DE DONNEES
EPURE............................................................ 31
4.1.3.
REGLES DE
GESTIONS......................................................................................
32
4.2. Modele conceptuel de donnees
(MCD)....................................................................
32
4.2.1. Schema du modele conceptuel des
donnees.......................................................... 33
4.2.2.
Schema du modele conceptuel des donnees
valide................................................ 34
4.3. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT
.......................................................... 35
4.4. Modele
Logique Des Donnees
(MLD)..........................................................................
35
4.4.1. Choix Du
Materiel..................................................................................................
35
4.4.2. Modele logique de donnees Relationnel(MLDR)
.................................................. 36
4.5. Modele Physique des Donnees (MPD)
......................................................................... 37
CHAPITRE V : APPLICATION
.............................................................................................
39 CONCLUSION
GENERALE..................................................................................................
43 BIBLIOGRAPHIE
...................................................................................................................
44 TABLE DES
MATIERES.......................................................................................................
45