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Bilan carbone de la direction des parcs, mobilier urbain, monuments et espaces verts de la ville de Lyon

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par Ettien J-B BROU
Université de Versailles, Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne - Master Européen  2008
  

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6.7. 3 Impacts évités

La DEV produit un peu plus de 3 100 tonnes de déchets verts issus des opérations de tonte, de dessouchage...

Le jardin zoologique produit par an, environ 250 tonnes de fumiers et en importe environ 95 tonnes.

 

Quantité produite (tonnes)

Quantité évacuée (tonnes)

Quantité valorisée (tonnes)

Quantité importée (tonnes)

Quantité de compost produit (tonnes)

Déchets verts

3 134

1 285

1 849

0

651

Fumiers (Déjections

animales)

241

196, 5

139

94,5

 

La majorité des déchets sont valorisés sur les deux plates formes internes de compostage et le surplus part sur une plate-forme de compostage privée. Ce procédé a permis de fabriquer 651 tonnes de compost en 2008. Le compost est utilisé comme fertilisant en lieu et place des engrais. Cette stratégie qu?on désigne sous le nom de « recyclage en boucle ouverte » permet à la DEV, d?économiser des achats d?engrais et par conséquent les émissions qui auraient pu être générées par la fabrication de ces engrais. Ainsi l?approche privilégiée sera donc celle des « impacts évités ».

Il convient de se rappeler qu?un impact évité est nécessairement évalué de manière conventionnelle, car cela suppose toujours de décider de ce qui se serait passé si les choses s?étaient déroulées autrement. L?approche plausible dans cette étude est la suivante :

> le compostage induit un stockage accru de carbone dans les sols et une réduction des émissions totales d?oxydes nitreux et de méthane. La quantité moyenne de matières produites est de 651 tonnes.

> Environ 85% de cette matière retourne, par décomposition, sous forme de gaz carbonique dans l?atmosphère au cours de l?année suivante.

> Seules les émissions d?origine fossile sont prises en compte dans le bilan carbone, les émissions d?origine organique étant considérées comme nulles.

> les 15% de la litière restent incorporées aux résidus du sol dans les premiers centimètres, augmentant ainsi le stock de carbone dans le sol.

> les émissions dues à la fabrication des engrais sont estimées à 1260 kg équ.C par tonne d?azote produite.

La composition du compost traduite dans le tableau ci-dessous permet de calculer 5,8 tonnes d?azote produite en 2008.

Matière

Proportion*

Eau

60-80%matière humide

Azote

1-4% matière sèche

Carbone

65-80%matière sèche

 

* L'azote totale représente généralement 1 à 4% de la masse sèche totale de compost, et est composé à moins de 10% d'azote minéral (Hirai et al., 1986; Willson, 1989; Kapetanios et al., 1993; Canet & Pomares, 1995; Bernal et al., 1998b; Brinton & Evans, 2000)

Le compostage a permis l?évitement de 7,3 tonnes équ.C (gain carbone: -7,3 tonnes équ.C.)

Les émissions générées par le traitement des déchets et eaux usées s?élèvent à 33,6 tonnes équ.C tandis que la valorisation a permis un gain de 7,3 tonnes équ.C soit un total de 26,3 tonnes équ.C.

Une troisième plate forme de compostage est ouverte depuis juin 2009 sur le site du centre de production horticole. Elle permettra de traiter en interne davantage de déchets verts en provenance des espaces verts de la Ville, l?objectif à terme pour la DEV étant de devenir autonome pour la gestion de ses déchets verts.

La plate-forme s?est mise en place sur une règle simple : ne pas générer plus de
transports. Les camions qui se rendront au centre horticole pour y porter des déchets verts

devront obligatoirement avoir prévu d?en rapporter quelque chose (végétaux, terre...). Ce quipermettra à la DEV, d?accroître ses économies carbone de 7 à 14 tonnes équ.C. 6. 8 Absorption ou séquestration végétale de CO2

La D.E.V gère environ 395 ha sur 4787 soit 8,2% du territoire communal (+ 400 ha de fleuves) répartis entre les espaces « végétalisés », les jardins, les pelouses, les squares, les parcs :

· 9 m2 d'espaces verts par habitant intra-muros.

· Un cadastre vert comprenant 1 210 parcelles (de quelques m2 à 105 ha)

· 50 000 arbres de parcs et jardins.

· 550 000 plantes à massifs et 80 000 vivaces par an en fleurissement sur 11 000 m2.

· Un jardin botanique de 8 ha + 6500 m2 de serres, un centre de production horticole de 19.5 ha et un jardin zoologique de 8 ha avec 250 animaux.

La photosynthèse est le processus par lequel la plante absorbe du CO2. Etant donné que la protection de l?environnement fait partie des objectifs de la DEV, il apparaît donc intéressant de voir quelle quantité de CO2 est absorbée par les productions végétales du CH, du jardin botanique et des espaces verts. On parle ici de « puits de carbone » car il y a croissance des végétaux.

Le bilan global des activités tient compte des végétaux morts ou coupés et des végétaux qui poussent.

Schéma illustré par : C. Nys, Jl Dupouey, J. Balesdent, 1995. Cycle du carbone dans l'écosystème forestier. Impact du milieu et de la sylviculture sur les immobilisations et les flux. Dossier de l'Environnement de l'INRA 10, 49-55.

Les végétaux sous serres émettent à peu près autant de CO2 qu'ils n'en absorbent: certes des végétaux poussent, mais la décomposition de ceux qui sont morts, conduit à des émissions de CO2 à peu près équivalentes à ce qui est absorbé par la croissance des végétaux vivants pour reconstituer le stock. Si les végétaux étaient revalorisés (soit incinérés pour produire de la chaleur ou méthanisés pour produire de l?énergie) alors l?activité serre serait un puits. Il faut rappeler que les émissions dues au traitement des déchets verts sont déjà prises en compte dans le poste « déchets et eaux usées ». L?absorption de CO2 par les végétaux des serres est donc nulle.

Pour les espaces urbains boisés et le centre de production horticole le raisonnement est le suivant :

· Les arbres plantés ont moins d?un siècle (une forêt cessant d?être un puits au bout de cent ans).

· Leur durée de vie excède les cent ans.

· Une partie des arbres coupés est utilisée pour la fabrication de meubles (bancs, chaises, garage pour vélos, tuteurs, meubles de décoration...)

· Certaines pelouses ont remplacé des aires préalablement bitumées ou bétonnées augmentant ainsi la surface totale des espaces verts.

· L?aire abritant le centre de production horticole a remplacé une zone agricole.

· Les espaces verts lyonnais sont gérés d?une manière durable.

· Les sols sur lesquels poussent les pépinières sont continuellement enrichis au compost (matière organique naturelle).

· L?unique producteur et fournisseur reste le centre horticole, par ailleurs propriété de la DEV.

En première approximation, on peut donc dire qu'une forêt en croissance absorbe de l'ordre de 2 tonnes équ.C à l'hectare par an (il s'agit bien d'une approximation sur ce qu'elle absorbe en plus de ce qu'une autre végétation aurait fait). Si la forêt ou la prairie remplace une surface construite, le gain passe à 10 tonnes équ.C à l'hectare par an.

Or vu leur situation géographique (Voir annexe 1), si les parcs venaient à être supprimés ils seraient sûrement remplacés par des lotissements, des routes ou des parkings ; le centre horticole par des plantations agricoles ~

Par conséquent, il serait judicieux de comptabiliser une économie carbone de 10 tonnes à l'hectare pour les pépinières du centre horticole, de la roseraie et du jardin botanique. Les espaces boisés de la ville, bien que moins denses qu?une forêt naturelle, absorbent quant à eux, 2 tonnes équ.C par an. Ne disposant pas de données fiables sur leur capacité

d?absorption, les pelouses n?ont pas été prises en compte dans l?estimation.

Les données sont traitées et consignées dans le tableau suivant :

 

Absorption (tonnes équ.C)

 

Centre horticole (14 ha)

Espaces urbains boisés

(90 ha)

Jardin botanique (4 ha)

Roseraie (2 ha)

Serres

0

 

0

 

Floriculture (pépinières)

-140

0

- 40

- 20

Arboriculture

0

- 180

0

0

Total

- 380

 

On estime la capacité totale annuelle d?absorption de CO2 par la culture des plantes à environ 380 tonnes équ.C.

al ém

C)

7. Synthèse

Le bilan global des émissions engendrées en 2008, par les activées de la DEV est estimé à 276 tonnes équ.C sur l'ensemble du périmètre.

· L?ensemble des activités de la DEV a généré 656 tonnes équ.C soit plus de 2 400 tonnes équ.CO2.

· La capacité de séquestration des espaces boisés et des centres de production végétale est chiffrée à 380 tonnes équ.C soit environ 1 400 tonnes équ.CO2.

Le poste « énergie » reste de loin le plus émetteur (40% des émissions totales). Même si le réseau électrique français a un faible impact sur le réchauffement climatique, l?utilisation des combustibles fossiles pour le chauffage des serres et l?alimentation des machines a fortement contribué à l?augmentation des émissions. Le transport représente à lui seul 33% des émissions totales dont 13% pour les déplacements domicile travail et 20% pour les

pt éii

déplacements professionnels.

Contribution de h

8. Conclusion

x Les résultats ont montré que la consommation de l?énergie et les déplacements sont de loin les postes les plus émetteurs environ les 3/4 des émissions globales. Un programme

d?actions réaliste devrait permettre à la DEV, de réduire ses émissions d?environ 20 à 25 % à l?orée 2011(voir partie III : préconisations).

La méthode Bilan CarboneTM permet l?estimation des émissions de gaz à effet de serre

d?une activité, qu?elles soient directes ou indirectes, à partir des valeurs moyennes appelées « facteurs d?émission ».

Dans ce diagnostic, les facteurs d?émissions ont été estimés à partir de grandeurs

Energie

moyennes, validées par l?ADEME mais néanmoins très approximatives. Aussi ai-je souvent

cements 33% nterne 31%

utilisé des facteurs tenant compte des moyennes nationales. Dans les faits, ces facteurs peuvent varier de plusieurs ordres de grandeur selon le type de prestation externe ou l?origine

Alimentation des

des produits ou de l?énergie...

Emissions non

L?incertitude sur la méthode est assez faible car la plupart des données étaient réelles (factures et archives, enquêtes, entretiens...) grace à l?implication des parties prenantes. Méme s?il a fallu souvent avoir recours à des travaux de recherche documentaire notamment

dans le calcul de la capacité d?absorption des plantes, une part de l?incertitude est relative aux facteurs d?émission et non aux données sources.

Reposant sur des estimations moyennes, la méthode bilan carbone fourni seulement des ordres de grandeurs. Ce qui veut dire qu?elle peut contenir des marges d?erreur inhérente aux divers postes et facteurs d?émissions. Des moyennes nationales utilisées peuvent différer suivant les sources (INSEE, MANICORE, GRAND LYON...). Dans certains cas, des critères de calcul des ratios ont été fonction de mon appréciation personnelle. Cette manière de procéder bien que très commode, comporte des inconvénients ou plus exactement des limites:

· la prise en compte de l?achat de matériaux entrants (acier, papiers, poterie...) ou de services (courrier, internet, téléphone...) nécessite de demander à chaque fournisseur de fournir l?évaluation du contenu en carbone de ses produits ou de son service. Cette solution nécessitant des études complémentaires sur le produit (bilan produit) ou sur le service (bilan carbone), complique plus ou moins l?estimation.

· la prise en compte des émissions dues au traitement des eaux, nécessite de faire des prélèvements et analyses biochimiques sur les eaux usées pour en évaluer la D.B.O.

PARTIE IV : ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS PAR RAPPORT AUX OBJECTIFS

L?étude menée a démontré que les émissions de GES de la DEV en 2008 étaient

d?environ 280 tonnes équ.C. Cependant, il serait erronée de baser sa stratégie d?actions sur ce seul résultat : il ne faut pas perdre de vue le fait qu?il est la résultante de la capacité

d?absorption et des émissions. Les émissions totales sont d?environ 660 tonnes équ.C, ce qui représente 0,03% des émissions globales du Grand Lyon*.

QUELQUES ELEMENTS D'APPRECIATION

U En 2008, l?entretien d?un ha d?espace à la DEV, a généré en moyenne 1,65 tonne équ.C soit 160 g équ.C/m2 de surface entretenue.

U Dans le cadre de ses activités professionnelles en 2008, chaque agent de la DEV a émis environ 1,75 tonnes équ.C/an soit un peu plus de 70 % des émissions totales d?un français.

U Toutefois, c?est en moyenne 950 kg équ.C par an, que chaque agent permet

d?absorber; la DEV contribue ainsi aux 14 millions de tonnes équ.C séquestrés annuellement par l?ensemble des foréts françaises.

U La plantation et l?entretien d?un arbre à Lyon est donc un puits d?environ 750g équ.C/an.

ESTIMATIONS DES EMISSIONS DE QUELQUES ENGINS AGRICOLES UTILISES A LA DEV

· Mini tracteur KUBOTA consommant 20 litres de diesel par semaine en raison de 20 à

25h de collecte de déchets au P.T.O pour un volume de 2 à 3 remorques pleines :

> 850 kg équ.C de GES émis par an (Utilisation + fabrication) et 60 à 65 g équ.C

pour 1m3 de déchets collectés au P.T.O.

· Tondeuse thermique autoportée consommant 2 à 3 litres /heure avec un rendement d?environ 1000m2 de pelouse tondue /heure :

> 1,7 à 2,5 g équ.C pour 1m2 de pelouse tondue (hors fabrication)

· Tondeuse thermique consommant 1,5 à 2 litres /heure avec un rendement d?environ 500m2 de pelouse tondue /heure :

> 30 à 50 kg équ.C pour 1 ha de pelouse tondue (hors fabrication)

· Souffleur consommant 0,5 à 1 litre / heure : > 370 à 750 g équ.C par heure (utilisation seulement)

· Taille haie consommant 0.5 litre / heure de carburant : > 370 g équ.C par heure (utilisation seulement)

* COPARLY (Comité Pour le Contrôle de la Pollution Atmosphérique dans le Rhône et la Région Lyonnaise ), 2006

QUELQUES ELEMENTS DE COMPARAISON

Pour avoir un ordre d?idée des émissions moyennes nationales annuelles, voici quelques chiffres:

· 1,79 tonne équ.C émis par français pour ses activités quotidiennes en 1998,

· 1,73 tonne équ.C émis par français pour ses activités quotidiennes en 1990,

· 2,39 tonnes équ.C seront émis par français pour ses activités quotidiennes en 2010.

Une tonne équ.C équivaut à 3,7 tonnes équ.CO2 et remplirait donc un local de 500m2 sur 4 m de hauteur(*). Elle correspond également aux émissions de :

· 1 an de chauffage au gaz pour un appartement de 3 pièces à Lyon

· 1 aller/retour Paris -New York en avion

· 160 allers-retours Paris -Londres en train

· 14 000 km en Twingo en ville

· 8 500 km en voiture 4x4 en ville

· 1800 kg de papiers consommés

Ci-dessous un tableau de comparaison avec quelques chiffres de létude menée par le groupe COPARLY entre 2000 et 2006 pour toute l?agglomération lyonnaise:

Postes

Emissions moyennes régionales (COPARLY, 2006)

Emissions par la D.E.V

Energie

40,9%

40%

Transports

29,1%

33%

Emissions de méthane et

de N02

21%

0,2%

 

En ce qui concerne l?énergie et le transport, principaux postes d?émissions, les résultats de la présente étude concordent avec ceux menés par le Grand Lyon.

Cependant, les émissions de méthane et de protoxydes d?azote sont beaucoup moins faibles (quasi nulles) pour la DEV. Ce constat montre que la politique de développement durable initiée à l?échelle régionale, porte ses fruits au niveau de la D.E.V. Les initiatives « zéro phyto » et « gestion différenciée » ainsi que la lutte biologique contre les insectes ravageurs méritaient d?être prises.

Le bilan confirme que seules les émissions dues à l?énergie et aux transports, rentrent dans la fourchette des résultats régionaux. Les émissions dues aux autres postes sont très faibles par rapport aux moyennes régionales. Les autres programmes tels que le GRAAL (Gestion Raisonnée de l?Arrosage Automatique Lyonnais), la gestion différenciée et

l?augmentation progressive de l?usage des biocarburants devraient apporter un bénéfice carbone considérable dès l?année 2009.

(*) Selon la loi des gaz parfaits : PV = nRT, où P, V, n et T représentent respectivement Pression(Pa), Volume (m3), nombre de moles, Température(K) et R, une constante universelle égale à 8.32J/K/mol

L?installation en juillet 2009, de la troisième plate forme de compostage sur le site de Cibeins va permettre d?économiser environ 4 tonnes équ.C soit environ 1% des émissions totales. Des gains de plus, vont être apportés par l?installation des deux cuves d?épuration biologique permettant de traiter les déchets agrochimiques par biodégradation.

Les parcs lyonnais se présentent comme des îlots de verdure au coeur d?une ville où se mêlent nature et culture, ce qui en fait des lieux tout à fait uniques dans la région. A cela,

s?ajoute leur rôle de puits carbone. En effet, le bilan montre que chaque année, les espaces verts absorbent 380 tonnes équ.C soit une contribution de 0,003% à la capacité globale

d?absorption des foréts françaises. Ce qui lui confère le statut de poumon vert. Mais ce rôle pourrait certainement être encore renforcé par la « végétalisation » des toitures des habitations, un autre programme de la DEV en cours de développement.

Le bilan carbone de la DEV a permis de définir les postes les plus émetteurs en termes de rejets de GES. Il s?agit de la consommation d?énergie, principalement du chauffage des serres ainsi que des transports. La réalisation du bilan carbone de la DEV va permettre dans un premier temps, d?élargir le champ d?analyse et de replacer les volets « énergie » et

« transport » dans une optique plus locale. Ce bilan va également permettre à la DEV

d?apporter des indicateurs de suivi supplémentaires pour sa politique de développement durable.

 

ECONOMIQUE

ECOLOGIQUE

SOCIALE

POLITIQUE

 

Anticipation de
la taxe carbone

Economie d'énergies

Sensibilisation et attractivité

Définition des priorités d'actions pour

l'amélioration de la qualité du service

ECONOMIQUE

 

Amélioration continue de la certification ISO14001

Amélioration de la qualité de vie des lyonnais

Evaluation de l'impact du service sur

l'environnement

ECOLOGIQUE

 
 

Identité territoriale

Exemplarité vis-àvis des autres

acteurs du

territoire

SOCIALE

 
 
 

Application locale de la politique de développement durable

POLITIQUE

 
 

TABLEAU DES ENJEUX LIES A LA REDUCTION DES GES PAR LA DEV.

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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius