Table des matières
....................................................................................104
LISTE DES ABREVIATIONS
ADF = Augmented Dicked-Fuller
COBAC = Commission Bancaire de
l'Afrique Centrale
DF = Dicked-Fuller
EMC = Error Model Correction
EMF = Etablissement de
Microfinance
FCFA = Franc de la
Coopération Financière en Afrique
HCV = Hypothèse du Cycle de
Vie
INS = Institut National de la
Statistique
IRPP = Impôt sur le revenu
des personnes physique
LR = Likehood ratio
MCO = Moindres carrées
Ordinaires
PIB = Produit intérieur
brut
Pmc = Propension marginale
à consommer
PMC = Propension moyenne à
consommer
PP = Phillips - Perron
PVD = Pays en voie de
développement
Resp. = Respectivement
LISTES DES FIGURES
Figure 1 : Les différents catégories de
l'épargne ......................................................1
Figure 2 : La fonction Keynésienne du revenu
courant.............................................12
Figure 3 : La fonction de consommation de
DUESENBERRY.......................................15
Figure 4 : La fonction de consommation de FRIEDMAN
..........................................22
Figure 5 : La fonction de consommation dans la
théorie du cycle de vie..........................25
LISTE DES TABLEAUX
Tableau n°1 : Opérationnalisation des variables
indépendantes de l'analyse
économique du comportement
d'épargne des ménages...........................44
Tableau n°2 : Opérationnalisation des variables
indépendantes de l'analyse extra
économique du comportement
d'épargne des ménages............................66
Tableau n°3 : Récapitulatif des tests de
stationnarité sur les variables.............................80
Tableau n°4 : Test de la trace et de la valeur propre
maximale de JOHANSEN..................81
Tableau n°5 : Estimation de la relation de long terme
par la méthode des MCO ................82
Tableau n°6 : Test de stationnarité sur les
résidus .......................................................83
Tableau n°7 : Estimation de la relation de court terme
entre les variables ........................84
Tableau n°8 : Test de causalité des variables au
sens de GRANGER .............................86
Tableau n°9 : Récapitulatif des résultats
des tests et estimations ...................................91
LISTES DES GRAPHIQUES
Graphique n°1 : Evolution du taux de l'épargne
des ménages de 1970 à 2000..................69
Graphique n°2 : Evolution du revenu disponible brut des
ménages au Cameroun
de 1970 à 2000
..................................................................
............70
Graphique n°3 : Evolution du taux
d'intérêt réel au Cameroun de 1970 à
2000................71
Graphique n°4 : Evolution de l'inflation au Cameroun de
1970 à 2000..............................71
Graphique n°5 : Evolution des impôts sur le
revenu des ménages au Cameroun de 1970 à 2000 ......72
RESUME
La mise en oeuvre des plans d'ajustement et des programmes de
stabilisation, les avantages tirés de la dévaluation de 1994 ont
juste permis de sortir de la crise économique et de retrouver une
croissance encore en deçà du niveau requis pour avoir un impact
significatif sur la pauvreté. L'épargne intérieure et
l'investissement demeurent insuffisants pour stimuler fortement cette
croissance. Ce faible niveau est lié à la fois à un
accroissement rapide des déficits publics et à une mobilisation
modeste de l'épargne des ménages pourtant structurellement stable
et potentiellement abondante et régulière.
Notre étude a pour objectif l'identification des
variables qui influencent significativement le comportement d'épargne
des ménages.
En nous appuyant sur les techniques de co-intégration
et des modèles à correction d'erreur, la présente
étude aboutit aux résultats suivants :
-Le revenu (à court et à long terme) et
le taux de l'intérêt réel (à long terme uniquement)
sont les principales variables explicatives de la fonction d'épargne des
ménages au Cameroun.
-Le taux d'intérêt réel et des
impôts sur le revenu ont un effet négatif alors que le revenu et
l'inflation agissent positivement sur l'épargne des ménages.
-Ces variables expliquent à près de
90°/° le comportement de l'épargne.
ABSTRACT
The implementation of the adjustment plans and stabilization
programs, the advantages raises from the devaluation of 1994 have just
permitted to come out of the economic crisis and to recover a positive growth
although under the required level that can have a significant impact on
poverty. Internal saving and investment are still insufficient to strongly
stimulate this growth. This low level can be explained both by a fast increase
of steady of public deficits and by a low mobilization of households savings
nevertheless structurally steady and potentially abundant and regular.
The main objective of our study is to identify the variables
that meaningfully influence the saving behaviour of the households.
By laying on the co-integration techniques and error model
correction, the present study lead us to the following the results:
-The household revenue (to short and long term) and the real
interest rare (long term only) are the main variables that can better explain
the households saving function in Cameroon.
-The real interest rate and the taxes on income have a
negative impact whereas the household revenue and the inflation act positively
on the households saving.
-The saving behaviour can be explained can be explained at least
at 90 per cent by the above variables.
«C'est notre faute et non celle des
étoiles si
nous ne sommes que des
subordonnés »
SHAKESPEARE
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