1.2.3.3. LE FACTEUR NATUREL (ressources naturelles)
La terre (nature) se présente comme un facteur
originaire c'est-à-dire qu'il n'a pas été produit et plus
particulièrement il n'a pas été produit à des fins
économiques. Il est de plus en plus aménagé par la main de
l'homme et est aujourd'hui plutôt considéré comme une
composante foncière du capital, soit une composante d'un facteur nature
plus large (ressources naturelles ou capital naturel). Il faut alors que la
terre soit propice à la production. Signalons que les ressources
naturelles de la RDC sont parmi les plus riches et les plus variées au
monde ; regorgeant plus de 70% des terres arables constituant ainsi un
potentiel incommensurable pour l'industrie agricole, comportant une
biodiversité non négligeable ; la forêt équatoriale
est le deuxième poumon au monde après celle de l'Amazonie. Son
sous-sol regorge plusieurs minerais.
1.2.3.4. LE PROGRE TECHNIQUE
Encore appelé « capital immatériel »
terme développé par l'économie du savoir qui correspond
à la valeur accumulée par une entreprise sous forme
d'organisation, de savoir-faire, accumulés ou d'image de marque.
L'économie des pays développés dépend de plus en
plus du capital immatériel (progrès technique ou scientifique).
On parle aussi du capital social et du capital culturel, comme variables
explicatives de l'amélioration de la productivité ne
résultant pas d'autres facteurs.
Les experts estiment que le capital immatériel
représente entre 60% et 70% de la valeur des entreprises. Certains
mettent la connotation de ce facteur dans le concept « management ».
Notons que c'est la formation et l'investissement dans la recherche
scientifique qui permettent
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l'acquisition du savoir-faire. La formation est
incontournable, car l'information est considérée comme un flux et
la connaissance est considérée comme un stock.
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