REMERCIEMENT
Nous remercions le Très Haut, l'Eternel qui est et qui
est et vient. Nous remercions également les personnes qui nous
soutiennent de loin ou de près, tant sur le plan financier,
matériel, spirituel, que psychologique qu'ils ne se lassent pas et
qu'ils continuent à nous soutenir sur ce long chemin et d'une
manière particulière à Papa Dr Kibanza Kyungu Kongolo et
Maman Marie jeanne Kanyunyuzi pour leur aide combien soit louable pour notre
formation, la famille Kongolo Kihoko et tous les amis de la promotion.
INTRODUCTION
Les soins infirmiers constituent un ensemble
d'activités ou gestes assuré par un personnel soignant
(médecin, infirmier ou auxiliaire de santé) face au patients
alités ou en ambulatoires. C'est ainsi que chaque année
académique, dans la faculté de médecine, il est
demandé à tous les étudiants de la faculté de
médecine d'effectuer un stage de vacances pour concilier la
théorie apprise à la pratique mais aussi découvrir et
s'habituer au monde médical.
Ce pour cela, nous avons effectué notre stage de
vacances au centre de santé de référence Undugu de Kalemie
dans la période allant du 03octobre au 03 novembre2014 portant sur les
soins infirmiers et techniques médicales. Ce stage de soins infirmiers
destiné aux étudiants ayant terminé la deuxième
année des sciences biomédicales, a pour but d'initier
l'étudiant futur médecin de :
Connaitre les matériels de soins infirmiers
utilisés pour la prise des signes vitaux ainsi leurs fonctions,
Connaitre les différents soins et techniques devant
être administré aux malades tout en pratiquant les
différents technique d'injection : IM, IV, S/C, ID ;
Décrire les techniques de sondage (vésicale,
gastrique)
Décrire les techniques de réfection des lits
Décrire les techniques de pansement (sec, humide)
Placer et surveiller une perfusion voir une transfusion
Faire un bain du patient
Faire la distinction entre l'acte médical et l'acte
infirmier
En suite, ce stage devait être sanctionné par un
rapport écrit. C'est ainsi dans les lignes qui suivent nous allons
aborder en :
Première partie, La présentation du centre de
santé de référence Undugu de Kalemie
Deuxième partie, La présentation des
différents soins et techniques effectués au cours de notre
stage,
Troisième partie, La conclusion, les critiques et les
suggestions vont clore ce présent rapport.
CHAP. I. PRESENTATION DU CSR
UNDUGU OU LIEU DE STAGE
I.1. SITUATION DEMOGRAPHIQUE
ET GEOGRAPHIQUE C.S.R UNDUGU
L'aire de Santé Undugu comporte 20 avenues et 8 villages
qui englobent au total une population de 24626, elle est passée à 34638 habitants, cette aire de
santé est constitué d'une partie rurale constituée de 8
villages
Le CSR/Undugu se situe dans le Quartier industriel, le long de
l'avenue industrielle au bord de la route principale qui mène vers
l'aéroport de Kalemie et à une vingtaine de mètres du rond
point Kisebwe.
I.2. HISTORIQUE C.S.R
UNDUGU
Le C.S.R/Undugu a été construit sur demande des
chrétiens de la paroisse Saint Charles Lwanga auprès de son
excellence Mgr l'Evêque André Kaseba en 1986. Il fut alors
construit en 1987 et inauguré le 31 juillet 1988.Ce centre a
évolué d'abord comme une pharmacie, qui après
inauguration, fut doté du service de la maternité avec la CPN et
CPS plus une salle de l'infirmier A2 Matope Ngwaya. Le nom UNDUGU, selon la
philosophie de l'évêque, se réfère à
l'idée selon la quelle on est tous des frères, sans distinction
de religion ni de race.
De 1999 à 2005, Kakudji Mwilambwe prit la relève
de la responsabilité du Centre de santé en tant que responsable
de la maternité ; vu la capacité d'accueille très
insuffisante, avec l'arrivée des soeurs Bénédictines, les
infirmiers se sont réunis pour demander l'agrandissement de cette
institution. La demande fut agréée et la construction d'un
nouveau bâtiment commence en 2003 dans le quartier industriel, au lieu
même où est implanté ce centre aujourd'hui.
L'inauguration des nouveaux bâtiments eu lieu le 10 janvier
2005 par Monseigneur Dominique Amando; à la différence des autres
centres de santé, celui-ci est assisté par des Médecins
consultants et intervenant chirurgicalement jusqu'aujourd'hui.
I.3. SERVICES ORGANISES
- Chirurgie - Pédiatrie - Radiologie
et Echographie
-Nutrition - Médecine interne - Pharmacie et
Laboratoire
- Maternité - Ophtalmologie -Gynécologie
I.4. ORGANIGRAMME DU C.S.R
UNDUGU
251636736
BDOM
251682816
BCZS
251683840
251637760251639808
MDH
251633664
251640832
251642880251641856251638784
DN
251634688
AG
251635712
251673600251675648
251660288
251659264
251658240
251657216
251656192
251655168251681792251680768251679744251678720251677696251676672251674624251661312251671552251670528251672576251668480251666432251669504251664384251665408251663360251662336
251654144
251653120
251652096
251643904
251644928
251645952
251646976
251648000
251651072
251650048
251649024
CHAP. II.LES ACTIVITES
REALISEES
HORAIRE DES ACTIVITES
JOURS
|
HEURES
|
ACTIVITES
|
LUNDI
|
De 07H à 08H 00
|
Arrivée sur le terrain du travail ?consigne avec
l'infirmier de garde ?port de blouson ? entretien avec l'infirmier chef de
service? remise et reprise avec l'infirmier de garde? entretien de la salle de
garde? ouverture des fenêtres et rideaux pour la bonne aération et
prise en charge des malades.
|
De 08H 00 à 09H 30
|
Prise des signes vitaux.
|
De 09H 30 à 12H 00
|
Tours des salles générale avec le médecin
directeur accompagné des médecins stagiaires ?des
stagiaires? des infirmiers avec son infirmier titulaire.
|
De 12H00 à 13H 00
|
Soins aux malades et remise en ordre des matériels des
soins.
|
De 13H 30
|
Fin de travail et en fin c'est la sortie. S'il y a des
questions nous devons les poser avant le départ à domicile.
|
MARDI
|
IDEM
|
IDEM mais pas un tour des salles général.
|
MERCREDI
|
IDEM
|
IDEM
|
JEUDI
|
IDEM
|
IDEM
|
VENDREDI
|
IDEM
|
IDEM et tour des salles général
|
SAMEDI
|
IDEM
|
IDEM
|
NB : Les tours de salle généraux sont
prévus uniquement tous les lundis et vendredis
PRESENTATION DES DIFFERENTS SOINS ET TECHNIQUES
EFFECTUEES
Notre stage des soins infirmiers nous a permis de
fréquenter le service de médecine interne, de pédiatrie,
de chirurgie pour connaitre les soins pouvant être administrés aux
malades.
II.1. TECHNIQUES
II.1.1. PREPARATION DU LIT DE
MALADE ET LES SIGNES VITAUX
Concernant la préparation du lit de malade, elle est
résumée en ce terme, tout en s'assurant au préalable que
tous les draps sont propres et dépouillés de toute
infection :
Établir le premier drap sur les matelas bien propre +
Mettre au dessus du drap un couvre lit,
Rabattre le deuxième drap sur couvre lit
II.2 LE PANSEMENT ET LE
BANDAGE
2.1. Le pansement
Est l'action consistant à soigner une plaie en
utilisant un ensemble de compresses (stériles ou non, sèches ou
humides) imprégnées ou non de médicaments dans le seul but
de protéger la plaie, la guérir ou l'isoler des infections. Il
existe deux sortes de pansement des plaies :
§ Le pansement septique pour les plaies infectées,
pour lesquelles on utilise généralement le dakin ;
§ Le pansement aseptique pour les plaies non
infectées, pour lesquelles on utilise de l'alcool
dénaturé.
A la fin de chaque pansement on doit couvrir la plaie d'un
bandage.
2.2. Le bandage
C'est une technique appliquée pour maintenir une plaie
en place.
Il est aussi appliqué soit pour améliorer une
partie du corps ou comprimer un membre. Il existe plusieurs formes de
bandages ; celui que nous avons le plus utiliser est le bandage simple.
Le bandage simple est constitué par de tours de bande
qui peuvent être en tissu, en latex et se recouvrent entièrement
en entourant la partie du corps concernée. Le bandes sont ici
appliquées de façon circulaire renversée, oblique,
croisée ou spiralée.
II.3. LE SIGNES VITAUX
II.3.1. La température
(T°)
On évalue la température corporelle dont la
normale varie entre 36 et 37,8 au-delà de cette valeur il y a
hypothermie signant une probable pathologie. Elle se prend à l'aide d'un
thermomètre exprimé en degré Celsius (parfois en
Fahrenheit), au niveau des aisselles, le plus souvent au niveau rectal, de la
buccal, vaginal.
Une bonne prise de température corporelle est
très déterminante dans le suivi d'un patient, dans le traitement
d'une maladie ; toute mauvaise prise pourrait même
désorienter le traitement.
II.3.2. La fréquence
respiratoire (FR)
La fréquence respiratoire se prélève en
observant et sans avertir le patient qui est en position fixe, en comptant le
nombre de mouvement aspiration-inspiration pendant une durée d'une
minute soit soixante secondes et la valeur normale varie de 12 à14
mouvements par minute. Une diminution de cette valeur s'appelle dyspnée
et une augmentation s'appelle polypnée.
Un chronomètre et un débitmètre sont
utilisés à cet effet.
II.3.3 La pulsation (P)
Elle se prélève au niveau du radius le plus
souvent et est appelée Pouls radial, peut être aussi prise au
niveau de l'artère carotide, de l'artère humérale, en
dessous de l'angle maxillaire, etc. en plaçant à la main gauche
du patient l'index, le majeur et le majeur sur l'artère
concernée.
La valeur normale varie entre 60 à 80 pouls par minute.
Une augmentation traduit une augmentation de la pression artérielle.
II.3.4. La pression
artérielle (PA) ou la tension artérielle (TA)
Elle est prélevée au niveau de l'artère
humérale, en plaçant le brassard au niveau du pli de coude
gauche, qui traduit la pression avec laquelle le sang parcours les parois des
vaisseaux.
Un tensiomètre est utilisé à cet effet,
ce tensiomètre fait de deux partie : un stéthoscope et un
manomètre relié a un brassard fait en caoutchouc gonflable.
La valeur énoncée après la prise comporte
deux chiffres exprimés en millimètre de Mercure (mm Hg) dont la
première énonce la pression systolique et la deuxième
énonce la diastole ; la normale est une de 8/12 mm Hg.
II.4. INJECTIONS
L'injection est une introduction d'un produit sous pression
dans l'organisme effectué à l'aide d'une seringue.
Les formes d'injections les plus utilisées
sont :
Injection en intraveineuse (IV), elle a une action rapide
dans l'organisme puisque tous les produits sont déversés dans la
circulation générale via la veine.
Injection en intramusculaire (IM), la plus utilisée,
le produit est injecté dans le muscle.
Injection sous cutanée (S/C), injection intradermique
(ID), etc.
II.5. LA PERFUSION
La perfusion est aussi une forme d'injection puisqu'elle
procède à l'introduction d'un produit à l'aide d'une
seringue mais la différence est qu'on introduit une quantité trop
importante des liquides par rapport à une injection simple. En plus elle
dure et est lente.
Les différents buts qui nous poussent à faire
une perfusion sont :
Combattre la déshydratation ;
Alimenter le malade ;
Administrer les médicaments de façon
continue ;
Désintoxiquer la mole ;
Relever la tension sanguine.
II.6. LA TRANSFUSION
C'est une technique consistant à l'administration par
voie parentale le sang et ses divers.
Avant d'administrer le sang, nous calculons d'abord la
quantité nécessaire que doit recevoir le malade en déficit
érythrocytaire, de ce fait, nous donnons 20ml/kg de poids au non
malnutri et 10ml/kg de poids pour le malnutri. Nous utilisons la formule
suivante pour trouver la quantité à donner à un malade et
le débit sanguin d'une Transfusion.
Qté= (Hb-Hbp) x6xpoids du malade
Les conditions de la politique nationale en matière de
sécurité transfusionnelle pour être donneur :
v Le donneur doit-être en bonne santé et sans
maladies transmissibles (paludisme, syphilis, hépatite virale B et A ou
infection à VIH/SIDA)
v Il doit être du même groupe sanguin que le
receveur et de rhésus compatible à celui du receveur.
Les conditions qui nous poussent à faire une
transfusion sont :
Lorsque le taux d'hémoglobine est inferieur à 5
gramme pourcent
Quand les conjonctives sont pales
Le malade est Tachycardique et Tachypneitique
Quand il y a présence des signes cardiaque (battement
des ailes du nez, tachypnée, tachycardie,...)
II.7. SONDES
a. Insertion de la sonde
naso-gastrique : La sonde naso-gastrique est une technique
qui consiste à introduire une sonde spécifiquement par le nez
jusqu'à l'Estomac.
Les divers raisons qui nous poussent à placer une sonde
naso-gastrique sont :
Etablir un diagnostique pour identifier la maladie
Evacuer les contenus de l'Estomac, après l'absorption
d'un poison
Fournir une voie d'alimentation au patient qui ne peut pas
prendre l'aliment par la bouche
Prévenir les vomissements postopératoires
Prévenir la formation de gaz dans l'Estomac ou dans
l'intestin par suit d'intervention chirurgicale.
Les sondes gastriques les plus couramment utilisées
sont :
- La sonde de FAUCHER ;
- La sonde de LEVIN ;
- La sonde d'EICHRD ;
Durant notre période de stage, la sonde de FAUCHER
était plus utilisé que les autres.
La sonde de faucher est en caoutchouc avec une longueur de
150cm et 1cm de diamètre. L'extrémité supérieure
forme un entonnoir et l'extrémité inferieure est perforée
de deux orifices l'un latéral et l'autre terminal un index coloré
à 40 ou 45cm de l'extrémité perforée marque la
distance de l'Estomac aux arcades dentaires et indique le point d'arrêt
lors de la pénétration du tube dans l'Estomac. C'est la sonde
qu'on utilisée pour le lavage de l'Estomac.
Technique
La sonde peut être insérée selon la
procédure ci-après :
§ Tous commencent par la préparation des personnes
soignant et ces divers matériels
§ S'approcher du patient et lui expliquer ce qu'on doit
faire sur lui
§ Donner une bonne position une bonne position au
patient, de préférence la position de fouler (qui permet au tube
d'avancer dans la voie digestive)
§ Mesurer le tube pour évacuer la distance
d'insertion (la distance allant du lobe antérieur de l'oreille à
la pointe du nez du patient ;
§ Lubrifier l'extrémité distale de la
sonde ;
§ Donner au patient un verre d'eau fraîche, pour
permettre un bon passage de la sonde au long du tube digestif.
§ Tenir la sonde entre l'index et le pouce en
exerçant un mouvement de rotation lent et doux ;
§ Pousser doucement, lentement mais ferment la sonde
jusqu'au niveau de l'estomac ;
§ Fixer solidement la sonde à la figure du patient
à l'aide d'un sparadrap, après avoir s'assurer que la sonde est
une place dans l'estomac.
Deux moyens nous permettent de s'assure si la sonde est mieux
placée où pas :
Plonger l'extrémité supérieur de la
sonde dans le verre d'eau, si présence de bulle d'aire dans le verre
d'eau ce qu'on n'est pas dans l'estomac et il faut retirer la sonde et
recommencer la technique ;
A l'aide d'une seringue, la connecter à la sonde
à son extrémité supérieure puis, aspirer les
contenus gastriques, si dans l'estomac le contenu gastrique va s'amener.
Les difficultés que, nous avions trouvées lors
du tubage gastrique sont :
Le fluxe de suffocation ;
La morsure de la sonde ;
L'accès du taux avec ouverture de l'épiglotte
favorisent ainsi le passage de la sonde dans la tranchée ;
Le patient tousse ou crache la sonde ;
Le patient vomit.
b. Insertion de la sonde
vésicale : La sonde vésicale est une
technique qui consiste à introduire une sonde de la vessie tout en
passant par l'urètre.
Nous avions utilises deux types de sondes
vésicale :
1. La sonde vésicale intermittente ;
2. La sonde vésicale à demeure.
1. La sonde vésicale intermittente
Est une sonde placée pendant un longtemps, pour
recueillir les urines chez un malade conscient ou inconscient.
Technique
- La femme doit prendre la position gynécologique,
après avoir lui expliquer ce qu'on doit faire sur lui ;
- Le plateau pour le cathétérisme sera
placé entre les jambes de la patiente tout en appliquant les notions
d'asepsie et d'antisepsie lors de la manipulation de matériel ;
- Désinfecter le mont de venus ;
- Tenir le nettoyage de la région génitale (des
grandes lèvres vers la région anale) ;
- Avec l'autre tampon, nettoyer la plus rapprochée des
petites lèvres ;
- De la main gauche, identifier et visualiser le méat
urinaire le pouce et l'index ;
- Retirer la sonde de son enveloppe, se servir de la pince
intermédiaire pour prendre le cathéter, le lubrifier à son
extrémité distale puis la placer dans la réception pour
l'urine ;
- Les moins étant gantées insérer la
sonde à travers l'urètre jusqu'à atteindre la
vessie ;
- Terminer la technique en assurant à la patiente les
soins d'hygiène sur la région vaginale ;
- Noter les observations sur la fiche de la patiente, remettre
en ordre le matériel.
CHAP. III. CAS CLINIQUE
NOM : X T° : 37,6°C Le 01/11/2013
POST NOM : Y POIDS : 8 Kg
AGE/SEXE : 5 Mois/M CLINIQUE II
ADRESSE : 4 COINS Transfusé
S/ Rhume, Fièvre, Toux, Fatigue, pleurs incessants//6
jours soit intense gargouillement abdominal.
251631616Traiter dans un centre de la place sans
succès.
O/ EG altéré par l'asthénie, CPC, CBA,
nuque souple, fontanelle antérieur semi tendu, arrière gorge sans
particularité.
Thorax : symétrique et dyspnéique
B1B2 audible sans bruits
Surajoutés présence des râles
ronflants et sibilants dans les deux bases de champs pulmonaire.
Abdomen : souple, répressible sans
organomégalie palpé
SG Présence d'une plaque rougeâtre au niveau du
pourtour anal.
A/ 1. Sd de condensation pulmonaire, bronchiolite du
nourrisson
2. exclure un Sd grippo-palustre d'une
déshydrations au plan B.
P/ Faire la para clinique : Hb : 8,8 gr
GE, VS, FL, GB.
T3 : R) Quinine schéma Nelson
R) G5% + G50% 15 ml en perfusion
R) Dexamethazone Amp 2x1 Amp/j
R) Dipyrone au besoin
R) SRO sachet 1l//24h à volonté
R) Clamoxyl Sirop 3x1 càc/j
R) Mucolyn ped Sirop 3x1 càc/j
R) Otrivine goutte 3x5 gttes/narine
251632640 Garder en hospitalisation
Hemotransfusion.
T° 38,4°C
1e charge Q. en cours à 21h15'
Le 02/11/2014
T° : 36,2°C
S/ Toux
Ev. Clin : Bonne évolution
T3 : R) Quinine gtte 3x8 gttes/j
R) Vaseline camphré
Pour kiné respiratoire
Le 03/11/2014
T° : 36,5°C
S/ Toux
Ev. Clin : légère amélioration.
Sortie autorisée.
ABREVIATION
S/ : signe subjectif, O/ : signe objectif, A/
attitude, P/ : proposition, CPC : conjonctivite palpébrale
colorée, CBA : conjonctive bulbaire anecterique, EG :
état général, GE : goute épaisse, VS :
vitesse de sédimentation, FL : formule leucocytaire, GB :
globule blanc, // : pendant T3 : traitement.
Sd : Syndrome
CRITIQUES
Nos critiques se résument en ces lignes, le centre de
santé de référence UNDUGU doit :
§ Chercher à combler les insuffisances en
matériels de soins dont il subit
§ Renforcer l'asepsie dans et/ou lors de l'administration
de soins et la prise en charge des malades
§ Renforcer l'encadrement de stagiaire.
CONCLUSION
A l'issue de ce stage de soins infirmiers au centre de
santé de référence UNDUGU, nous a aidés encore une
fois de plus à s'acquérir de réalité du monde
médical. Il nous a aidés à connaitre et à appliquer
les techniques de soins infirmiers et de connaître les soins
adéquats à administrer aux malades.
A la fin de ce stage nous nous donnons l'opportunité de
dire que nous avons appliqué ce qui nous avez été
enseigné théoriquement même si cette application ne
pourrait être totale.
Nous avons effectué notre stage au centre de
santé de référence UNDUGU de Kalemie ; qu'il nous
soit permis ici de remercier les autorités de ce centre pour nous avoir
accepté dans cette formation et tous les encadreurs pour nous avoir
guidé, malgré nos insuffisances, à bien mettre en
application la théorie.
Comme toute oeuvre humaine, ce centre accueillant et soucieux
d'encadrer les étudiants, a aussi le coté négatif.
Pour clore ce rapport, nous remercions les autorités
académiques en générales et les autorités de la
faculté en particulier pour avoir mis en notre disposition cette
occasion utile à notre formation.
Table des matières
REMERCIEMENT
1
INTRODUCTION
1
CHAP. I. PRESENTATION DU CSR UNDUGU OU LIEU DE
STAGE
2
I.1. SITUATION DEMOGRAPHIQUE ET GEOGRAPHIQUE C.S.R
UNDUGU
2
I.2. HISTORIQUE C.S.R UNDUGU
2
I.3. SERVICES ORGANISES
3
I.4. ORGANIGRAMME DU C.S.R UNDUGU
4
CHAP. II.LES ACTIVITES REALISEES
5
II.1.1. PREPARATION DU LIT DE MALADE ET LES SIGNES
VITAUX
6
II.2 LE PANSEMENT ET LE BANDAGE
6
2.1. Le pansement
6
2.2. Le bandage
6
II.3. LE SIGNES VITAUX
7
II.3.1. La température (T°)
7
II.3.2. La fréquence respiratoire (FR)
7
II.3.3 La pulsation (P)
7
II.3.4. La pression artérielle (PA) ou la
tension artérielle (TA)
7
II.4. INJECTIONS
8
II.5. LA PERFUSION
8
II.6. LA TRANSFUSION
8
II.7. SONDES
9
CHAP. III. CAS CLINIQUE
12
CRITIQUES
14
CONCLUSION
14
|