Mise en place d'un logiciel de gestion d'une entreprise de gardiennagepar Patrick SALEH NYONGANI Insitut supérieur de statistiques/ Lubumbashi - Graduat 2019 |
III.2.1. Tableau des cardinalités
III. 2.2. Construction du modèle logique de donnéesNous choisissons la base de données du type relationnel et le modèle relationnel. En informatique, une base de données relationnelle est une base de données où l'information est organisée dans des tableaux à deux dimensions appelés des relations ou tables 1, selon le modèle introduit par Edgar F. Codd en 1970. Selon ce modèle relationnel, une base de données consiste en une ou plusieurs relations. Les lignes de ces relations sont appelées des nuplets ou enregistrements. Les colonnes sont appelées des attributs. Les logiciels qui permettent de créer, utiliser et maintenir des bases de données relationnelles sont des systèmes de gestion de base de données relationnels. Pratiquement tous les systèmes relationnels utilisent le langage SQL pour interroger les bases de données. Ce langage permet de demander des opérations d' algèbre relationnelle telles que l'intersection, la sélection et la jointure77(*). · Règles de transformation du MCD en MLDR a) La transformation des entités Chaque entité du modèle conceptuel devient une table du modèle logique. L'identifiant de l'entité devient la clé de la table. Chaque propriété de l'entité devient un attribut de la table78(*). b) La transformation des associations non hiérarchiques Chaque association non hiérarchique devient une la table est constituée par la concaténation des identifiants des entités qui participent dans l'association. Dans le cas où les associations sont porteuses des propriétés, ces propriétés deviennent les attributs de la table79(*). ü (1,1) : un à un, si aucune de deux cardinalités maximales n'est n ; ü (1,n) :un à plusieurs, si une de deux cardinalités maximales est n ; ü (n,n) :plusieurs à plusieurs, si les deux cardinalités maximales sont nulles. c) Transformation de C.I.F (Contrainte d'Intégrité Fonctionnelle) Dans le cas d'une C.I.F liant deux entités, on ajoute dans la table correspondant à l'entité « FILS » cardinalité (1,1), ou (0,1) l'attribut correspondant à l'entité « PERE », l'attribut ainsi ajouté joue le rôle d'une clé étrangère. Model logique de données CARNET PRESENCE NumList Pointage HerEntrée, HerSortie, DateEntrée, DateSorti (1,n) CATEGORIE NumCat Description (1,n) AGENT MatrAgent NumSite# NumList# Nomagent ,FonctionAgent, Salairedebase, AdressAgent, SexeAgent (1,1) (1,1) (1,n) SITE NumSite NomSite AdresseSite NumCat# NumClient# (1,n) (1,1) (1,n) FACTURE Numfacture NumClient# NomClient ,Nbremoispaye, Désignation, Nbreagent, Coutagent , Totalapayé, THorsTVA, Datefacture, NomFacturier CLIENT NumClient NomClient, AdressClient Adressite Datecontrat (1,n) (1,1) III.3.3. Construction du Modèle Logique des Données (Représentation Relationnelle) FACTURE(Numfacture, NumClient#,NomClient ,Nbremoispaye,Désignation,Nbreagent, Coutagent ,Totalapayé, THorsTVA,Datefacture,NomFacturier) CLIENT( NumClient,NomClient, AdressClient ,Adressite ,Datecontrat) AGENT(MatrAgent, NumSite#, Nomagent ,FonctionAgent,Salairedebase,AdressAgent,SexeAgent) SITE( NumSite, NomSite, AdresseSite, NumCat#, NumClient#) CATEGORIE(NumCat,Description) POINTAGE( NumAgent#, NumList#, HerEntrée,HerSortie,DateEntrée, DateSorti) CARNET PRESENCE (NumList,Pointage) III.4. Modèle Conceptuel des Traitements (M.C.T) Comme nous l'avons dit précédemment, le M.C.T met en lumière les traitements effectués sur les données. Indépendamment de toute contrainte liée à l'organisation, le modèle conceptuel des traitements répond à la question « QUOI ? ». Ainsi, l'élaboration du M.C.T apparaît comme la phase clé de la conception des systèmes d'information. * 77 https://fr.wikipedia.org/wiki/Base_de_données_relationnelle * 78 JEAN LUC BAPTISTE. Merise guide pratique,éd. Eyrolles * 79 ELIE LOUIS KABWE OP.CIT P9 |
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