EPIGRAPHE
« Un être qu'on ignore est un être
infini, susceptible, en intervenant, de changer notre angoisse et notre fardeau
en aurore artérielle. »
René Char.
DEDICACE
A notre Dieu tout puissant, pour la précieuse existence
car il nous a fait grâce, car c'est à lui seul que nous devons
notre vie.
C'est à lui l'honneur et la gloire.
A notre Père Léon TSHILUMBA KAPILE qui nous a
donné le goût de la science et de la vie, a notre inoubliable
Mère Esther KAYAYA, pour son amour et sa tendresse irremplaçable,
ressentis dès le premier jour de notre venu au monde.
A mes frères et soeurs, le beau-frère Sylvain
NKONGOLO, Tintin PADIMBUNGI, Mimi MISENGA, Rose TSHIBOLA, Jose KAPILE,
André TSHIPAMBA, Gérard NGALAMULUME, Léon TSHILUMBA,
Norbert DIBELAYI, Gisèle NGALULA, Paul KASONGA, Esther KAYAYA, Martine
KALANGANAYI, Crispin TSHILULU, Etienne KAPILE.
A nos enfants, Isaac TSHIBUABUA, Joachin MUENGE, Léon
TSHILUMBA, Sophie NGOYA.
A mes amis et amies Alli TSHIBUABUA, Albert BUABUA, Pierre
MBUYI, George TSHIJUKE, Michel TSHIBUABUA, Michel NGALAMULUME, Noëlla
TSHIBOLA, Patience BAKASHALA, Sidonie TSHIAMBILA, Annie TSHIAMPULA, Marie
KAPINGA, Daniel TSHISUMPA, Pascaline NGONDO, Consolante NKANUBUNYI et sans
oublier Annie KALUBI.
A mon père spirituel Marc LUBOYA pour son encadrement
spirituel.
BOLIDE
NTUMBA
REMERCIEMENTS
En ce grand jour, où nous achevons notre premier
cycle universitaire en science informatique de gestion, il nous revient de
reconnaître que parvenir à son issue n'a pas été
tâche aisée.
Le présent travail de fin d'étude est le
couronnement des années d'accumulation du savoir que nous avons acquis
au sein de l'Université Notre Dame du Kasayi. Ce fameux travail a
été rédigé sous la direction de l'Assistant NOBLA
TSHILUMBA qui de mains de maitre, a su canaliser nos efforts à
l'évolution de la science.
Nous lui adressons donc à cet effet nos vifs
remerciements. Nous profitons également de cette occasion pour
féliciter le Professeur Pierre KAFUNDA, pour ces conseils à
l'élaboration de ce fameux travail, coup de chapeau nous voilà au
terme.
Que notre grand objectif trouve dans ce travail l'expression
de notre gratitude pour l'attention porte à notre
personnalité.
Nous exprimons aussi nos sincères remerciements au
Doyen de la faculté d'informatique ainsi qu'à tous les personnels
qui nous ont parrainent à la réalisation de ce travail.
Une attention plus particulière va à l'endroit
de notre stage, le DRN de la SNCC Kananga et l'encadreur ingénieur
Félix MUTOMBO.
Nous ne pouvons pas dire le dernier mot sans penser à
notre très cher père Albert BUABUA et Papa Ilunga DIBUNGU
à la SNCC età tous ce qui nous ont aidé de près au
de lion.
BOLIDE
NTUMBA
LA LISTE DES
ABREVIATIONS
§ XHTML : Exentensible HyperText MarkupLanguage
§ HTML : HyperText Markup Langage
§ PHP : Personnal Home Page
§ NTIC : La Nouvelle Technologie de l'Information et
de la Télécommunication
§ ARPANET : Advenced Research Projet Agency
NETWORK
§ ASP: Active Server Pages
§ JSP: Java Server Pages
§ DHTML: Dynamic HyperText MarkupLanguage
§ CSS: Cascading Style Sheets
§ DOCTYPE: Document Type
§ DTD: Document Type Definition
§ SQL: Structure QueryLanguage
§ SGBD: Système de Gestion de Base de
Données
§ ANSI : american National Standard Institute
§ International Organization for Standardization
§ DRN : Directeur de Région Nord
§ ISO : InternationnalOrganization for
Strandardization
§ MCC : Modèle Conceptuel de Communication
§ MCT : Modèle Conceptuel de Traitement
§ MLD : Modèle Logique de Données
§ WWW : Wold Wide Web
INTRODUCTION
Au cours de ces dernières années, les
nouvellestechnologiesde l'information et de la communication ont connu un
bouleversement marqué par l'apparition de l'internet et par sa
croissance exponentielle. Ces années ont aussi été
marquées par l''entrée en scène du World Wide Web(WWW),
l'une de applications qui a popularisé internet et qui a fait exploser
le nombre de ses utilisateurs.
Par conséquent, le web suscite l'intérêt
de la majorité des organisations qui se doivent d'enrichir leur
présentation via des sites web.
Donc l'investissement dans les techniques de traitement
rationnel de l'information serait l'un de principaux moteurs de ces
compétitivités.
C'est dans cette perspective d'idée que nous essayons
de faire une approche présentative du sujet qui est l'objet d'un travail
scientifique élaboré et réalisé en vu de faire
montrer des capacités et connaissances acquises à
l'Université Notre Dame du Kasayi.
Notre étude portera sur le sujet
intitulé : « CONCEPTION ET REALISATION D'UN SITE
WEB DYNAMIQUE POUR LA RESERVATION. CAS DE LA SNCC KANANGA ».
En effet, ce qui fait la fierté, la force d'un travail
scientifique, c'est son contenu, alors pour ce faire, les études
menées pour la réalisation de ce modeste travail de fin de cycle
sont basées sur la création d'un site web dynamique qui
aujourd'hui fait partie d'un grand service proposé sur le web afin que
tout le monde y visite de près ou de loin, mais dans
notreproblématique nous aurons à parler de quelques point qui
font l'objet de notre étude et donner quelques réponses
tirées des différentes questions.
1.1. PRESENTATION DU
SUJET
Notre sujet s'intitule : « CONCEPTION
ET REALISATION D'UNE APPLICATION WEB DYNAMIQUE POUR LA RESERVATION DES PLACES
DANS UN TRAIN. CAS DE LA SNCC KANANGA ».
1.2. CHOIX ET INTERET
DU SUJET
Vu que la SNCC KANANGA n'avez pas un site web dynamique
pouvant lui permettre de faire la publicité sur la toile, l'idée
nous ait venu en tête pour lui ajouter un plus en lui ouvrant un site web
complet pour son marketing et d'aider ses clients à faire de
réservation en ligne ou à distance, et de connaître
l'horaire d'arriver et de départ en ligne des Trains. En effet, cette
aidée est liée avec l'évolution de la science et celle-ci
donne l'accès à tout le monde à se connecter à
l'internet à moindre coût et être à la une avec toute
les informationspossibles de l'entreprise.
C'est pourquoi, l'intérêt de notre travail est
subdivisé en trois parties à savoir :
Ø Pour nous même : Le présent projet
nous a donné une expertise du point de vu programmation web et l'esprit
de travail en groupe.
Toutes connaissances acquise durant notre étude nous a
donner non seulement la maitrise, mais aussi la technicité de
gérer de très grand projets informatiques.
Ø Pour la science : Nous ne pouvons pas dire que,
nous sommes les premiers à traités de ce sujet. En parcourant
quelques travaux élaborés par les autres et leurs
méthodes utilisées, nous devons apporter un plus à ce que
nos prédécesseurs ont réalisé en utilisant les
méthodes et techniques qui n'ont pas été utilisées
par d'autres pour arriver à résoudre le fléau
trouvé dans cette entreprise.
1.3.
PROBLEMATIQUE
Vu le besoin en matière des avancées
technologiques au sein de cette entreprise, notre problématique tournera
au tour des questions suivantes :
v Comment un client peut demander une réservation en
ligne ?
v Comment un client peut accéder à des
informations concernant les prix des billets des Trains ?
v Comment un visiteur peut demander une discussion
instantanée avec les Guichetiers pour leurs donner
l'intégralitédes informations concernant la vente de
billet ?
v Comment un visiteur peut percevoir cette entreprise et
apprécier la beauté de cette dernière ?
1.4. HYPOTHESE1(*)
Par rapport à toutes ces questions, nous pensons que la
mise en place d'un site web dynamique serais la solution à toutes les
difficultés qu'éprouvent cette compagnie en rapport avec la vente
des billets et la visibilité de ses services partout dans le monde.
1.5. SUBDIVIOSION DU
TRAVAIL
Ce travail de fin de cycle est organisé en trois
chapitres hormis l'introduction et la conclusion :
v Le premier chapitre défini les
« GENERALITE SUR LES RESEAUX
INFORMATIQUES »
v Le second chapitre est consacré aux
«TECHNOLOGIES WEB ». Il
présentelesnotions de base de la programmation web et aussi de la mise
en ligne d'un site web en utilisation le logiciel FileZilla.
v Le troisième chapitre est dédié
à l' «ANALYSE PREALABLE».
Dans ce chapitre, nous aurons à parler de la
gérance de la SNCC KANANGA en utilisant les différentes
techniques et méthodes qui nous permettront de connaître les
documents qui circulent dans le différent service et les informations
qui y circulent.
v Le dernier chapitre de notre travail parlera de
la « MODELISATION ET IMPLEMENTATION».
Il sera question ici de présenter l'application dans
son entièreté.
1.6. DELIMITATION DU
SUJET2(*)
Tout travail scientifique pour être bien compris, doit
être délimité dans le temps et dans l'espace.
Ø Délimitation dans l'espace : Le
présent travail de la mise en place d'une application web dynamique pour
la réservation des places dans un train ne concerne que la SNCC Kananga
dans son service de vente de billets.
Ø Ainsi, dans le temps, les données utiles
à la réalisation de ce travail ont été
récolté au courant de l'année académique 2015 -
2016.
1.7. METHODE ET
TECHNIQUE UTILISEES
1.7.1.
METHODE
Une méthode est un ensemble de processus
effectués permettant de trouver un bon résultat. C'est ainsi que
pour l'élaboration de ce travail, on a utilisé la
méthode :
ü MERISE
Merise est une méthode d'étude et de
réalisation pour le système d'entreprise. Cette méthode
est donc utilisé pour faciliter le développement de ces
applications en s'appuyant sur les technologies de logicielles actuelles telles
que les bases de données relationnelles.
1.7.2.
TECHNIQUES
Nous savons tous que, une technique est le moyen
utilisé pour avoir une vérité cachée. Mais dans
notre cas, nous avons utilisés les techniques suivantes:
v Interview : C'est une
opération d'entretien entre le locuteur et l'interlocuteur. C'est une
technique qui nous a aidés à avoir les informations fiables pour
la réalisation de ce projet.
v Documentaire : Cette technique est
utilisée dans le cas d'organisation ou de l'entreprise qui garde encore
des archives, lesquels aideront de référence ou la récolte
des données désirées.
CHAPITRE I : GENERALITE
SUR LES RESEAUX INORMATIQUES
1. INTRODUCTION
Les nouvelles technologies de l'information et de la
communication ont connus une véritable révolution marquée
par l'internet et son développement exponentielle. Et cette explosion
d'internet et plus particulièrement la fondationsur laquelle elle est
construite : le web, considéré comme un outil
d'échange des informations et de création de nouveaux
services.
Ce présent chapitre donne d'abord une introduction aux
réseaux informatiques en générales et en particulier les
équipements d'interconnections.
1.1. RESEAUX INFORMATIQUES3(*)
1.1.0. Définition
Un réseau informatique est une interconnexion des
matériels informatiques en vue d'échanger les informations ou
données.
1.1.1. Architecture des
réseaux informatiques (Egal à Egal)
Dans une architecture égal à égal (Peer
to Peer, notée P2P), contrairement à une architecture de type
Client-serveur, il n'y a pas de serveur dédié : tous les
ordinateurs sont égaux, chacun resteindépendant toute en mettant
certaine ressources à la disposition des autres.
1) Avantage de l'architecture
poste à poste
v L'architecture d'égal à égal est simple
à mettre en oeuvre et son coût est réduite par rapport au
coût engendré par la mise en oeuvre d'une
architectureClient-serveur.
v La mise hors services d'un poste n'atteint pas gravement le
fonctionnement du reste du réseau.
2) Inconvénients des
réseaux postes à postes
Les réseaux d'égal à égal
présentent un certain nombre d'inconvénients :
v Ce système n'est pas centralisé, ce qui le
rend très difficile à administrer ;
v La sécurité est plus difficile à
assurer, compte tenu des échanges transversaux ;
v Aucun poste des réseaux ne peut être
considéré comme faible.
Ainsi, les réseaux d'égal à égal
sont utilisé pour des applications nécessitant ni un haut niveau
de sécurité ni une disponibilité maximale.
1.2.2. ARCHITECTURE
CLIENT-SERVEUR4(*)
Le principe d'un environnent client-serveur est basé
sur le fait que des machines clientes communiquent avec un serveur qui leur
fournit des services qui sont des programmes fournissant des données
telles que l'heure, pages web, fichiers, et.
Les services sont exploités par des programmes
appelés clients, s'exécutant sur les machines dites clientes.
Cette architecture présente une hiérarchie à deux
niveaux.
· Le serveur : c'est un ordinateur qui centralise
les ressources partagées entre les postes. Ainsi, les ressources sont
disponibles en permanence. Afin de satisfaire les requêtes (demandes) de
l'ensemble des postes du réseau, le serveur procède une
configuration évoluée : un (ou plusieurs) processeur (s)
rapide (s), une mémoire centrale des grandes taille, un ou plusieurs
disques durs de grandes capacités, etc.
· Les clients : les postes connectés sur le
réseau sont de simple station de travail, qui exploite les ressources
mises à leur disposition par le serveur.
Leurs configurations sont adaptées aux besoins
d'utilisateurs.
Fig.1-1 : Le principe d'un
environnent client-serveur
1) AVANTAGE DE
L'ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR
Les principaux atouts d'un réseau client/serveur
sont :
v Une administration au niveau du serveur de ressources
centralisées : étant donné que le serveur est au
centre d'un réseau, il peut gérer des ressources communes
à tous les utilisateurs, comme par exemple une base de données
centralisée, afin d'éviter les problèmes de redondances et
des contradictions.
v La sécurité : l'application d'une
stratégie de sécurité est plus facile à mettre en
oeuvre vue que les nombres de point d'accès sont limités.
v Un réseau évolutif : grâce à
cette architecture il est possible de supprimer ou de rajouter des clients
sans perturber le fonctionnement d réseau et sans modification
majeure.
2) INCOVENIENTS DE
L'ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR
Etant donné que tout le réseau est
articulé autour du serveur, sans mise hors service engendre la paralysie
de tout le réseau. En plus, l'implémentation d'un réseau
client/serveur entraine un coût élevé et demande un
personnel qualifié pour l `administrer.
1.2.2.1. TYPE DES
CLEINTS-SERVEURS
A ce niveau, nous distinguons quatre types d'architectures
client-serveur :
Ø Architecture deux tiers (deux niveaux)
Ø Architecture trois tiers (trois niveaux)
Ø Architecture N-tiers (N -niveaux)
Ø Architecture Gbase de données repartie.
1.3. CLASSIFICATION DES
RESEAUX
Comme nous l'avons signalé, un réseau
informatique est un ensemble d'équipements matériels et
logiciels interconnectés les uns avec les autres par le canal de
transmission dans le but de partager les ressources (données) ; ces
équipements peuvent être éloignés ou
rapprochés.
Suivant l'éloignement entre ces équipements, on
distingue les réseaux suivants :
· Le PAN (Personal Area Network)
· Le LAN (Local Area Network)
· Le MAN (Métropolitain Area Network)
· Le WAN (Wide Area Network)
· Le CAN (Campus Area Network)
· Le SAN (Stockage Area Network)
· Etc.
a. LE PAN
C'est un réseau personnel entre un ordinateur et un
ordinateur, entre deux téléphones voir plusieurs
téléphones ou ordinateurs utilisant les technologies
suivantes :
Ø Câblé : câble USB
Ø Sans fil : infrarouge, Bluetooth.
b. LE LAN
C'est un réseau local à l'échelle d'un
bâtiment, immeuble, ayant une portée de un kilomètre
(actuellement 10 Km), utilisant les technoïdes suivantes :
ü Câblé : ETHERNET, TOKEN-RING, FDDI,
ATM, etc.
ü Sans fil : Wifi, hyperplan, ...
c. LE MAN
Le réseau métropolitain est à
échelle d'une ville ou l'interconnexion des différentsLan sur la
ville, utilisant les technologies suivantes :
v Wimax ;
v Etc.
d. LE WAN
C'est un réseau étendu à l'échelle
d'un pays, d'un continent ou interplanétaire. Le Wan utilise les
technologies suivantes :
v FDDI
v ATM
v RTC
v RNIS
v GSM
v VSAT, Etc.
e. LE CAN
Le réseau CAN, est un réseau des
universités ou des entreprises, utilisant bien sûr les
technologies ci-après :
ü Câblé : ETHERNET, TOKEN-RING, FDDI,
ATM etc.
f. LE SAN
Le SAN est un réseau de stockages de données qui
s'appuie sur le RAID.
Ce dernier utilisant les technologies suivantes :
· Câblé : ETHERNET, TOKEN-RING, FDDI,
ATM etc.
1.4. ARCHITECTURE EN
COUCHE
1.4.1. Le modèle OSI5(*)
1.4.1.1. Introduction
Les constructeurs informatiques ont proposés les
architectures réseaux propres à leurs équipements. Par
exemple, IBM a proposé SNA, DEC a proposé DNA ...ces
architectures ont toutes le même défaut : du fait de leurs
caractères propriétaires, il ne pas facile de les
interconnectés, à moins d'un accord entre constructeur. Ainsi,
pour éviter la multiplication des solutions d'interconnexion
d'architectures hétérogènes, l'ISO (international standard
organisation), organisme dépendant de l'ONU est composé de 140
organismes nationaux de normalisation, a développé un
modèle de référence appelée modèle OSI (open
system interconnexion).
Ce modèle décrit les concepts utilisent et la
démarche à suivre pour normaliser l'interconnexion de
système ouvert (un réseau est composé des systèmes
ouvert lorsque la modification, la jonction ou la suppression d'un de ces
systèmes ne modifie pas le comportement global de réseau).
Au moment de la conception de ce modèle, la prise en
compte de l'hétérogénéité des
équipements étaient fondamentales. En effet, le modèle
devrait permettre l'interconnexion avec le système
hétérogène pour de raisons historiques et
économiques. Il ne devait en outre pas favoriser un fournisseur
particulier. Enfin, il devait permettre de s'adapter à
l'évolution de flux d'informations à traiter sans remettre en
cause des investissements antérieurs.
Cette prise en compte de
l'hétérogénéité nécessite donc
l'adoption de règles communes de communications et coopérations
entre les équipements-à-d ce modèle devait logiquement
mène à une normalisation internationale de protocoles.
Le modèle OSI n'est pas une véritable
architecture de réseau, car il ne précise pas réellement
les services et les protocoles à utiliser pour chaque couche. Il
décrit plutôt ce qui doit faire les couches. Néanmoins et,
ceci de manière indépendante, à d'autres modèles.
Comme le fait tout constructeur.
Les premiers travaux portant sur le modèle OSI datent
1977. Ils ont été basés sur l'expérience acquise en
matière de grands réseaux et les réseaux privés
plus petits ; le modèle devait en effet être valable pour tous les
types de réseaux.
En 1978, 12 constructeurs européens, rejoint en 1985
par les grands constructeurs américains, adoptent le standard.
1.4.1.2. LES DIFFERENTES COUHES
DU MODELE OSI
Le modèle OSI comporte 7 couches :
Fig.
1-2 : Les 7 couches du modèle OSI
1.4.1.3. LES PRINCIPES
Les principes qui ont conduit à ces 7 couches sont les
suivants :
Ø Une couche doit être créée
lorsqu'un nouveau niveau d'abstraction est nécessaire ;
Ø Chaque couche à des fonctions bien
définies ;
Ø Les fonctions de chaque doivent être choisies
dans l'objectif de la normalisation internationale de protocoles ;
- Les frontières entre couche doit être choisies
de manière à minimiser le flux d'informations aux interfaces,
- Le nombre des couches doit être tel qu'il n'ait pas
cohabitation de fonctions trèsdifférentes au sien d'd'un
même couche et que l'architecture ne soit pas trop difficile à
maitriser.
Les couches de basse (1,2,3 et 4) sont nécessaires
à l'acheminement des informations entre les
extrémitésconcernées et dépendent du support
physique.
Les couches hautes (5,6 et 7) sont responsables du traitement
de l'information relative à la gestion des échanges entre
systèmes informatiques. Par ailleurs, les couches 1 à 3
interviennent entre machines voisines, et non entre les machines
d'extrémités qui peuvent être séparées par
plusieurs s routeurs. Les couches 4 à 7 sont au contraire des couches
qui n'interviennent qu'entre hôtes distants.
a) La couche
physique
La couche physique s'occupe de la transmission des bits de
façon brute sur un canal de communication. Cette ouche doit garantir la
parfaite transmissiondes données (Un bit 1 envoyé doit bien
reçu comme bit valant 1).
Concrètement, cette couche doit normaliser les
caractéristiques électriques (un bit 1 doit être
représenté par une tension de 5v, par exemple), les
caractéristiques mécaniques (forme des connecteurs, de la
topologie...), les caractéristiques fonctionnelles des circuits de
données et les procédures d'établissement, de maintien et
de libération du circuit de données.
L'unité d'information typique de cette couche est le
bit, représenté par une certaine différence de
potentielle.
b) La couche liaison de
données
Son rôle, est un rôle de
« liant» : elle va transformer la couche physique en n une
liaison a priori exemple d'erreurs de transmission pour la cohue réseau.
Elle fractionne les données d'entrées de l'émetteur en
trames, transmet ces trames en séquence et gère les trames
d'acquittement renvoyées par le récepteur. Rappelons que pour la
couche physique, les données n'ont aucune signification
particulière. La couche liaison de données doit donc être
capable de reconnaitre les frontières des trames. Cela peut poser
quelques problèmes, puisque les séquences de bits utilisés
pour cette reconnaissance peuvent apparaitre dans les données.
La couche liaisonde données doit être capable de
renvoyer une trame lorsqu'il y a eu un problème sur la transmission. De
manière générale, un rôle important d cette couche
est la détection et la correction d'erreurs intervenues sur la couche
physique. Cette couche intègre également une fonction de
contrôle de flux pour éviter l'engorgement du récepteur.
L'unité d'information de la couche liaison de
données est la trame qui est composées de quelques milliers
d'octets maximum.
c) La couche
réseau
C'est la couche qui permet de gérer le sous
réseau, le routage des paquets sur ce sous réseau et
l'interconnexion des différents sous réseaux entre eux.
Au moment de sa conception, il faut bien déterminer le
mécanisme de routage et de calcul des tables de routage (tables
statistiques ou dynamique...).
La couche réseau contrôle également
l'engorgement du sous réseau. Cette couche fait l'adressage IP et le
routage. Le routage, c'est l'opération de la meilleure route pour un
paquet. Et fait encore la gestion et la congestion des informations.
L'unité d'information de la couche réseau est le
paquet(Datagramme).
d) La couche
transport
Cette couche est responsable du bon acheminement des messages
complets au destinataire. Le rôle principal de la couche transport est de
prendre les messages de la couche session, de les découper s'il le faut
en unités plus petites et de les passer à la couche
réseau, tout en s'assurant que les morceaux arrivent correctement de
l'autre côté. Cette couche effectue donc aussi le
réassemblage du message à la réception des morceaux.
Cette couche est également responsable de
l'optimisation des ressources du réseau : en toute rigueur, la
couche transport requise par la couche session, mais cette couche est capable
de créer plusieurs connections réseaux par processus de la couche
session pour répartir les données, par exemple pour
améliorer le débit. A l'inverse, cette couche est capable
d'utiliser une seule connexion réseau pour transporter plusieurs
messages à la fois grâce au multiplexage. Dans tout le cas, tout
ceci doit être transparent pour la couche session. Cette couche est
également responsable du type de service à fournir à la
couche session, et finalement aux utilisations du réseau : service
en mode connecté ou non, avec ou sans garantie d'ordre
délivrance, diffusion du message à la fois... cette couche est
donnée également responsable de l'établissement et du
relâchement des connexions sur le réseau. Un des tous derniers
rôles à évoquer est le contrôle de flux. C'est l'un
de couche le plus importante, car c'est elle qui fournit le service de base
à l'utilisateur, et c'est par ailleurs elle qui gère l'ensemble
du processus de connexion, avec toutes les contraintes qui y sont
liées.
L'unité d'information dans cette dernière est
le message.
e) La couche
session
Cette couche organise et synchronise les échanges entre
tâches distantes. Elle réalise le lien entre les adresses logiques
et les adresses physiques des tâches réparties. Elle
établit également une liaison entre deux leur dialogue (qui doit
parler, qui parle...).
Dans ce dernier cas, ce service d'organisation s'appelle la
gestion du jeton. La couche session permet aussi d'insérer des points de
reprise dans le flot de données de manière à pouvoir
reprendre le dialogue après une panne.
f) La couche
présentation
Cette couche s'intéresse à la synase et
à la sémantique des données transmises : c'est elle
qui traite l'information de manière à la rendre compatible entre
les taches communicantes. Elle va assurer l'indépendance entre
l'utilisateur et le transport de l'information.
Typiquement, cette couche peut converti les données,
les renforcer, les crypter et les compresser.
g) La couche
application
La présente conche le point de contact entre
l'mutilateur et le réseau. C'est donc elle qui va apporter à
l'utilisateur les services de base offerts par le réseau, comme par
exemple le transport des fichiers, la messagerie...
Fig.1-3 : Ajout des entêtes dans chaque
couche
1 .4.2.Le modèle de référence
TCP / IP6(*)
Même si le modèle de référence OSI
est universellement reconnu, historiquement et techniquement ; la norme
ouverte d'internet est le protocole TCP / IP.
Le modèle de référence TCP/IP et la pile
de protocole TCP/IP rendent possible l'échange de données entre
deux ordinateurs, partout dans le monde, à une vitesse quasi
équivalente à celle de la lumière.
Le modèle TCP/IP représente une importance
historique semblable aux normes qui ont permis l'essor des industries du
téléphone, de l'électricité, du chemin de fer, de
la télévision et de la bande vidéo.
1.4.2.1. Les couches du
modèle de référence TCP/IP
Le ministère américain de la défense a
créé le modèle de référence TCP/IP parce
qu'il y avait bien d'un réseau pouvant résister à toutes
les conditions, même une guerre nucléaire. Imaginez en effet un
monde en guerre, quadrillé de connexions de toutes sortes : fils,
micro-ondes, fibres optiques et liaison satellites, Imaginez ensuite que vous
avez besoin de faire circuler les informations/ données (sous forme de
paquets), peu importe la situation d'un noeud ou d'un réseau particulier
de l'inter réseau (qui pourrait avoir été détruit
pendant la guerre).
Le ministère de la défense veut que ses paquet
se rendent à chaque fois d'un point quelconque à tout autre
point, peu importe les conditions. C'est ce problème de conception
très épineux qui a mené à la création du
modèle TCP/IP qui, depuis lors, est devenu la norme sur laquelle repose
internet.
Le modèle TCP/IP comporte quatre couches :
v La couche application ;
v La couche transport ;
v La couche internet ;
v La couche d'accès au réseau.
Comme vous pouvez la constaté, certaines couches du
modèle TCP/IP porte le même nom que de couches du modèle
OSI.
Il ne faut pas confondre les couches de deux modèles,
car la couche application comporte des fonctions différentes dans chaque
modèle.
APPLICAITION
|
TRANSPORT
|
INTERNET
|
ACCES AU RESEAU
|
Fig.
1-4:Les 4 couches du modèle TCP/IP
a) La couche
application
Les concepteurs du modèle TCP/IP estimaient que les
protocoles de niveau supérieurs devaient inclure les détails des
couches sessions et présentation. Ils sont donc simplement
créé une couche application qui gère les protocoles de
haut niveau, les questions de représentation, le code et le
contrôle du dialogue. Le modèle TCP/IP regroupe en seule couche
tous données sont séparées de manière
adéquate pour la couche suivante.
b) La couche
transport
La couche transport est chargée des questions de
qualité de service touchant la fiabilité, le contrôle de
flux et la correction ces erreurs. L'un de ses protocoles, TCP fourni
d'excellents moyens de créer, en souplesse, les communications
réseau fiable. Il établit un dialogue entre l'ordinateur de
destination pendant qu'il prépare les informations de couche application
en unité appelées Segments. Un protocole orienté connexion
ne signifie pas qu'il existe un circuit entre les ordinateurs en communication
(ce quoi correspondait à une commutation de circuits). Ce type de
fonctionnement indique qu'il ya un échange de segments de couche 4 entre
les deux ordinateurs hôtes afin de confirmer l'existence logique de la
connexion pendant un certain temps. C'est que l'on appelle la communication de
paquets.
c) La couche
internet
Le rôle de la couche internet consiste
à envoyer des paquets sources à partir d'un réseau
quelconque de l'inter réseau et à les aires parvenir à
destination, indépendamment du trajet et des réseaux
traversés pour y arriver. Le protocole IP.L'identification du meilleur
chemin de couche.
d) La couche
d'accès au réseau
Le nom de cette couche a un sens très large et peut
parfois à confusion. On lui donne également le nom de couche
hôte-réseau. Cette couche se charge de tout ce dont un paquet IP a
besoin pour établir une liaison physique, puis une autre liaison
physique. Cela comprend les détails sur les technologies LAN et WAN,
ainsi que tous les détails sans les couches physiques et liaison de
données du modèle OSI.
1.4.3. Comparaison entre le
modèle OSI et le modèle TCP/IP
En comparant le modèle OSI ou modèle TCP/IP,
vous remarquerez des similitudes et des différences.
1.4.3.1. Similitudes
Ø Tous deux comportent des couches
Ø Tous deux comportent une couche application, bien que
chacune fournisse des services très différents.
Ø Tous deux comportent des couches réseau et
transport comparables.
Ø Tous deux supposent l'utilisation de la technologie
de communication de paquets (et non de communication circuits).
Ø Les professionnels des réseaux doivent
connaitre les deux modèles.
1.4.3.2. Différences
v TCP/IP intègre la couche présentation et la
couche session dans sa couche application.
v TCP/IP regroupe les couches physiques et liaison de
données OSI au sein d'une seule couche.
v TCP/IP semble plus simple, car il comporte moins de
couches.
v Les protocoles TCP/IP constituent la norme sur laquelle
s'est développé internet. Aussi, le modèle TCP/IP a-t-il
bâti sa réputation sur ses protocoles.
En revanche, les réseaux ne sont
généralement pas architecturés du protocole OSI, bien que
le modèle OSI puisse être utilisé comme guide.
Fig. 1-5 : Différence entre les
7couchesdu modèle OSI et modèle TCP/IP
D'après cette figure, on peut dire que, les couches
application, présentation et session du modèle OSI sont devenu
une même couche TCP/IP.
1.5. Topologie et
équipement réseau
1.5.1. Topologie
Une topologie de réseau informatique correspond
à l'architecture (physique ou logique) de celui-ci, définissant
hiérarchie éventuelle entre eux.
Elle peut définir la façon dont les
équipements sont interconnectés et la façon dont les
données transitent dans les lignes de communication (topologie
logique).
1.5.1.1. Topologie physique des
réseaux
La topologie physique est la façon dont les
équipements (ordinateurs, HUB, SWITCH, Router,...) sont reliés
entre eux.
Il en existe trois :
v La topologie en bus
v La topologie en étoile
v La topologie en anneau.
a) La topologie en
bus
La topologie en bus est caractérisée par un
câble central sur lequel tous les membres du réseau sont
connectés.
Dans la ce type d'architecture, l'information est
envoyée dans les deux sens donc le serveur est au centre.
L'émission de données sur le bus se fait après
écoute et l'absence du signal sur le bus. Dans cette topologie, si on
envoie au même instant deux signaux, il aura la collision. En cas de
rupture du support de transmission le réseau est par terre.
b) La topologie en
étoile
La topologie en étoile est caractérisée
par un câble central sur lequel tous les membres du réseau sont
connectés.
Le HUB permet le transport à 10 MB/S alors que le
SWITCH permet le transport à 1000 Mb/S, il s'utilise au moins dans un
réseau de 50 postes (ordinateur).
Cette topologie est la plus utilisée, et s'adapte pour
de petit ou pour de grand réseau. Si un équipement central (HUB
ou SWITCH) tombe en panne, le réseau est par terre.
c) La topologie en
anneau
La topologie en anneau tout comme en étoile est
caractérisé par un point central sur lequel tous les membres du
bureau sont connectés. Ce point central est communément
appelé MAU(Multiple Accès Unit).
Cette topologie utilise un système de jeton qui circuit
d'un ordinateur à un autre. Dans cette technologie, il n'ya pas de
collision. Ici, l'ordinateur qui tombe en panne, il va perturber
l'échange des informations.
1.5.1.2. La topologie logique
de réseaux
Dans la topologie logique de réseaux, nous voyons le
parcourt de l'information.Et nous avons comme topologie logique :
ü ETHERNET
ü TOKEN-RING
ü FDDI,....
a) ETHERNET
C'est une technologie à bande partagée qui
utilise le principe CSMA/CD (Carrier Sens Multiple Detection With Collision
Detection) pour éviter la collision.
Cette technologie est utilisée dans la topologie
physique en bus et en étoile. Et nous avons plusieurs technologies
à l'internet :
Ø ETHERNET : 10Mb/S
Ø FASTETHERNET : 100Mb/S
Ø GIGAETHERNET : 10000Mb/S
b) TOKEN-RING
Le TOKEN-RING, c'est une topologie logique qui travail avec la
topologie physique en anneau.
c) FDDI(Fiber Distributed
Data Interface)
Cette topologie logique a été mise e place sur
le gros débit. Elle utilise un principe de double jeton.
1.5.2. Equipement
d'interconnexions de réseaux informatiques7(*)
Nous savons tous que, les équipements
d'interconnections sont des briques constitutives des réseaux
informatiques.
L'interconnexion des réseaux c'est la
possibilité de faire dialoguer plusieurs sous-réseaux
initialement isolés, par l'intermédiaire de
périphériques (répéteur, concertateur, pont,
routeur, modem), ils servent aussi à interconnecter les ordinateurs
d'une organisation, d'un campus, d'un établissement scolaire d'une
entreprise.
1.5.2.1.
Répéteur
Un répéteur est un équipement
réseau qui régénère un signal pour vaincre la
limite d'un support de transmission. Un répéteur fonctionne
à la première couche de l'OSI (physique).
1.5.2.2. Concentrateur
(HUB)
C'est un répéteur multiport, qui fonctionne
à la deuxième couche de l'OSI. Donc du côté
physique. On dit généralement que le HUB est un domaine de
collision.
1.5.2.3. Pont
C'est un équipement réseau qui fonctionne
à la deuxième couche de l'OSI. Donc du côté liaison
de données. Son rôle est d'isolé deux domaines de
collision.
Lorsqu'il ya une collision dans A, B n'aura pas le
problème le pont va gérer.
1.5.2.4.
Commutateur(SWITCH)
Le commutateur est un HUB qui intelligent qui fonctionne
à la deuxième couches du modèle OSI, donc du
côté liaison de données. On l'appel HUB intelligent parce
que la collision est constatée au niveau de port.
Le SWITCH ordinaire ne pas la possibilité de
créer le sous domaine de BROADCAST ou de créer de LAN logique
(virtuel).
1.5.2.5. Routeur
C'est un équipement réseau qui interconnecte des
réseaux différent (par la technologie et par les adresses). Ce
dernier fonctionne à la troisième couche de l'OSI, donc du
côté réseau.
Il est équivalent d'ordinateur
spécialisé, il a un système d'exploitation réseau
(OS).
1.5.2.6. Passerelle
(Gateway)
C'est un système matériel et logiciel permettant
de faire entre deux réseaux afin de faire l'interface avec le protocole
du réseau différent. C'est aussi un interpréteur.
1.5.2.7. VSAT
Les réseaux de communication par satellite utilisent
une station relais dans l'espace (le satellite) servant à relier (au
moins) deux émetteurs/récepteurs hertziens au sol,
communément appelés stations terrestres équipées
d'antennes dont la taille est comprise en général entre 0.96 m et
2.4 m de diamètre sont appelées « terminaux à
très petite ouverture » ou VSAT.
CONCLUSION PARTIELLE
En partantde toutes les notions vues dans ce chapitre, les
architectures, les classifications des réseaux et les équipements
d'interconnexions réseaux, nous pouvons arriver à conclure que
sans ces architectures, ces classifications des réseaux, tous les
modèles OSI et TCP/IP et équipements d'interconnexions
réseaux, on ne peut pas parler de l'internet. Donc toutes ces notions
sont de briques de l'internet.
CHAPITRE II :
TECHNOLOGIESWEB
2.0. Introduction
Avant d'aborder toute les notions sur la technologie web, il
faut d'abord cerner toute les notions qui constituent la base du web.
Nous savons tous que tout le langage du web réponse sur
le langage XHTML. En revanche, un apprenti concepteur des sites web, doit avoir
les connaissances solides dans le langage dit de base, parce que ce dernier est
considéré comme la brique du langage du web. Et aussi, il doit
être capable de connaître le fonctionnement des sites web statiques
et dynamiques mais aussi, de donner une distinction entre un client et un
serveur web.
Le présent chapitre est consacré aux langages du
web et donne une petite description sur le web et ses services. Et aussi, il
donne une différence types de sites web.
2.1. Internet8(*)
2.1.1. Définition
L'internet est le réseau information mondial accessible
au public. C'est un réseau de réseaux, sans cette
névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien
publics que privés, universitaire, commerciaux et gouvernementaux.
2.1.2. Les services de
l'internet
Par services de l'internet, on sous-entend la
possibilité que l'internet nous donne pour que nous puissions avoir
l'accès à des informations distantes.
L'information est transmise par internet grâce à
un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données,
qui permet l'élaboration d'applications et de services variés
comme :
Ø Le courrier électronique ;
Ø La messagerie instantanée ;
Ø La world wide web ;
Ø Etc.
L'internet ayant été popularisé par
l'apparition de la world wide web (www), les deux sont parfois confondus par le
public non averti.
Le World Wide Web n'est pourtant que l'une des applications
d'internet.
2.1.3. L'accès à
internet
L'accès à internet peut être obtenu
grâce à un fournisseur d'accès via divers moyens de
communication électronique :
1) Soit à
filaire
Ø Le réseau téléphonique
commuté (bas débit)
Ø ADSL (Asymmetric Digital Subsciber Line)
Ø Fibre optique.
2) Soit sans
fil
Ø WIMAX
Ø Par Satellite
Ø 3G+
Ø 4G
2.2. Architecture
client/serveur9(*)
L'environnement client-serveur désigne un mode
communication à travers un réseau entre plusieurs programmes ou
logiciels: l'un, qualifié de client, envoie des requêtes ;
l'autre ou les autres, qualifiés de serveurs, attendent les
requêtes des clients et y répondent.
Par extension, le client (ou la machine cliente)
désigne également l'ordinateur sur le lequel est
exécuté le logiciel serveur.
En général, les serveurs sont des ordinateurs
dédiés au logiciel serveur qu'ils abritent, et dotés de
capacités supérieures à celles des ordinateurs personnels
en ce qui concerne la puissance de calcul,les entrées-sorties et les
connexions réseau.10(*)
Les clients sont souvent des ordinateurs personnels ou des
appareils individuels (téléphone, tablette), maispas
systématiquement. Un serveur peut répondre aux requêtes
d'un grand nombre de clients.
2.2.1. Caractéristiques
d'un processus serveur11(*)
v Il attend une connexion entrante sur un ou plusieurs ports
réseaux locaux ;
v A la connexion d'un client sur le port en écoute, il
ouvre un socket local au système d'exploitation ;
v A la suite de la connexion, le processus serveur communique
avec le client suivant le protocole prévu par la couche application du
modèle OSI.
2.2.2. Caractéristiques
d'un processus client
v Il établit la connexion au serveur à
destination d'un ou plusieurs ports réseaux ;
v Lorsque la connexion est acceptée par le serveur, il
communique comme le prévoit la couche application du modèle
OSI.
Fig. 2-1 : Un processus Client-serveur.
Le client et le serveur doivent bien sûr utilisé
le même protocole de communication au niveau de la couche transport du
modèle OSI.
2.3. Types de sites web
Nous distinguons deux types de sites web :
Ø Statique ;
Ø Dynamique.
2.3.1. Les sites web
statiques
Les sites statiques, ce sont des sites réalisés
uniquement à l'aide des langages HTML et CSS. Ils fonctionnent
très bien mais leur contenu ne peut pas être mis à jour
automatiquement, il faut que le propriétaire du site(Webmaster) modifie
le code source pour y ajouter des nouvelles informations. Ce n'est pas
très pratique quand on doit chaque fois modifier le code source pour
mettre à jour les informations sur son site statique chaque jour.
Ce type de site se fait de plus en plus rare aujourd'hui, car
dès que l'on rajoute un élément interaction (comme un
formulaire des contacts), on ne parlera d'un site dynamique.
Un site web dit statique est suffisant, lorsqu'ils ne
contiennent quelques dizaine des pages mais son exploitation et sa mise
à jour peuvent atteindre des limites suivantes :
v Une maintenance difficile due à l'obligation de
modifier manuellement chacune des pages (notamment dans le cas où toutes
les pages possèdent un même menu) ;
v L'impossibilité de renvoyer une page
personnalisée selon le visiteur ;
v L'impossibilité de créer une page dynamique
selon les entrées d'une base de données.
a) Fonctionnement d'un site statique
ü Le client demande au serveur à voir une page
web ;
ü Le serveur lui répond en lui envoyant la page
réclamée.
Fig.2-2 : Demande de la page web avec un site
statique.
2.3.2. Les sites web
dynamiques12(*)
Les sites dynamiques sont plus complexe, ils utilisent
d'autres langages en plus de HTML te CSS, tels que PHP et MySQL.
Le contenu de ces sites web est dit
« dynamique » parce qu'il peut changer sans l'intervention
du concepteur (webmaster).
a) Fonctionnement d'un
site web dynamique
Lorsque le site est dynamique, li ya une étage
intermédiaire :
Ø Le client demande au serveur à voir une page
web ;
Ø Le serveur lui envoie la page spécialement
pour le client ;
Ø Le serveur lui envoie la page qu'il vient de
générer.
Donc, la page web est générée à
chaque fois qu'un client la réclame. C'est vraiment ce qui rend les
sites dynamiques ou vivants.
Fig.2-3 : Transfert avec un site dynamique.
2.4. Les outils
nécessaires
2.4.1. L'éditeur de
texte
Nous savons tous que les éditeurs de texte, ce sont
des programmes dédiés bien sûr à l'écriture
de code.
On peut en général les utiliser pour des
multiples langages, pas seulement XHTML et CSS (Cascading Styles Sheets). Il
existe une grande quantité d'éditeur de texte, je ne pourrai pas
tous vous les présenter. Néanmoins, je vous inviter à
pencher sur Notepad++, l'un des plus utilisés d'entre eux sous
Windows.
2.4.2. Les navigateurs web
Un navigateur est un logiciel conçu pour consulter et
afficher le World wide web (www). Techniquement, c'est au minimum un client
HTTP.
Il existe de nombreux navigateurs web, pour toutes sortes de
matériels (ordinateur personnel, tablette tactile,
téléphones mobiles, etc.) et pour différents
système d'exploitation (GNU/ Linux, Windows, Mac OS, iOS et Android).
Les plus utilisés à l'heure actuelle sont Google
Chrome, Mozilla Firefox, Internet Explorer, Safari et Opera.
Le principale problème, vous vous en rendez vite
compte, c'est que les navigateurs n'affichent pas tous les sites exactement de
la même façon, il faudra vous y faire et prendre l'habitude de
vérifier régulièrement que votre site fonction
correctement sur la plupart des votre navigateurs.
Ce que nous pouvons savoir est que, tous les navigateurs ne
connaissent pas toujours les dernières fonctionnalités de HTML et
CSS.
Par exemple, Internet Explorer a longtemps été
en retard sur certaines fonctionnalités CSS (et paradoxalement, il a
aussi été en avance sur quelques autres).
2.4.2.1. Différents
types de navigateurs web
Généralement, nous distinguons plusieurs types
de versions des navigateurs qui sont :
v Firefox 2, Firefox 3.5, Firefox 3.6, Firefox 4, Firefox
Mobile ;
v Internet Explorer 6, Internet Explorer 7, Internet Explorer
8, Internet 9, Internet Explorer Mobile ;
v Chrome 8, Chrome 9, Chrome 10.
v Opéra, Opéra Mini ;
v Apple Safari, Safari Mobile ;
v Android Browser,...
Il existe des versions différentes des navigateurs
selon le type de machines : téléphone mobile, tablette ou
ordinateur. La fonction principale d'un navigateur web est de permettre la
consultation d'informations disponibles (« ressources» dans la
terminologie du web) sur la world wide web.
2.5. Le langage du web
2.5.1. XHTML
XHTML (extensible HyperText Markup Language) est un langage de
balisage (dit aussi langage de marquage) qui permet de structurer de contenu
des pages web dans différents éléments.
L'entrée du web dans le grand public nécessitait
de répondre à une demande d'interfaces graphiques plus
d'esthétiques et l'absence d'un langage particuliers dédié
uniquement à la présentation poussait effectivement les
webmasters à utiliser tous les moyens pour créer des
présentations visuelles agréables. L'apparaitront de CSS
(Cascading Styles Sheets) en 1996 aurait dû résoudre le
problème du détournement de HTML de sa destination
première.
Code XHTML
<p> Bonjour, je suis <em> paragraphe</em>
de texte </p>
2.5.2. CSS
Le CSS (Cascading Style Sheets) est un langage de mise en
forme des sites web, donc du côté vue. Alors que, le langage HTML
permet d'écrire le contenu de nos pages web et de les structurer. Le
langage CSS s'occupe de la mise en forme et de la mise en page.
C'est en CSS que l'on choisit notamment la couleur de texte,
la taille des menus, le corps de la page web et bien d'autres choses encore.
Code CSS
P
{
Text-align: center;
Font-weight: bold;
Font-size: 10%;
}
2.5.3. JAVASCRIPT
Le JavaScript est un langage de programmation de scripts
principalement employé dans les pages web interactive mais aussi pour
les serveurs. C'est un langage orienté objet à prototype,
c'est-à-dire que les bases du langage et ses principales interfaces
sont fournies par des objets qui ne sont pas des instances de classes, mais qui
sont chacun équipés de constructeurs permettant de créer
leurs propriétés, et notamment une propriété de
prototype qui permet d'en créer des objets héritiers
personnalités.
En outre, les fonctions sont des objets de première
classe.
Code JavaScript
Windows. Alert («Hello World»);
2.5.4. PHP (Personnel Home
Page)
Le langage PHP est un langage que seuls les serveurs
comprennent e qui permet de rendre nos sites dynamiques. Avant que celle-ci ne
soit envoyée au navigateur(le client) qui en demande l'affichage.
Le PHP est un langage des scripts, un langage de
programmation orienté objet. Il est un langage très puissant et
il a pu s'imposer comme langage de référence dans le domaine de
la création des sites web dit dynamique.
Pour que le PHP fonctionne, il faut que le serveur contienne
un moteur PHP. Le rôle du moteur PHP est d'interpréter le PHP,
puis le convertir en HTML avant de l'envoyer au client (navigateur web de la
machine cliente).
2.5.4.1. Les concurrents de
PHP
HTML et CSS n'ont pas de concurrent car ce sont de standards.
Mais, le langage PHP a aussi ceux concurrent parmi eux on peut citez le
suivants :
v ASP.NET : conçu par Microsoft, il exploite
le Framework 3.NET bien connu des développeurs C#.NET et que vous ne
voulez pas être dépassés.
v Ruby ou Rails : Très actif, ce Framework
s'utilise avec le langage Ruby et permet de réaliser des sites
dynamiques rapidement en suivant certaines conventions.
v Django : il est similaire à Ruby ou Rails, mais
il s'utilise en langage Python.
v Java et les JSP (Java Serveur Pages) : plus couramment
appelé « JEE », il est particulièrement
utilisé dans le monde professionnel.
Il demande une certaine rigueur. La mise en place d'un projet
JEE est traditionnellement un peu plus lourde mais les systèmes est
apprécié des professionnels et des instructions.
Cette liste ne pas exhaustive, mais cela devrait
déjà vous donner l'idée sur les concurrents de PHP. Il est
aussi possible d'utiliser par exemple le langage C ou le C++, bien que ce
dernier soit plus complexe et pas forcement toujours très
adapté.
2.5.4.2. Les tags (ou balises)
PHP
Lorsque vous enregistrez votre ficher texte avec l'extension
.php, vous devez avoir plusieurs codes dedans : du (x)HTML, du
JavaScript, du CSS. Mais aussi du PHP. Comment l'analyseur syntaxique de PHP
fait-il la différence ?
Il sait en fait que le code est délimité par des
balises appelées tags. Ces tags sont un peu spéciaux, ils se
présentent sous cette forme :
Code PHP
< ?php
// Code PHP ici
?>
Le code PHP est donc situé entre les tags < ?
php et ?>. Avant de vous parler du reste, je fais le point sur l'autre
syntaxe existante et que vous rencontrerez parfois si vous
téléchargez certaines sources mal codées. Il s'agit des
tags < ? Et ?>. N'utilisez pas ces tags qui pourront ne pas
être compatibles avec toutes les configurations de serveurs
existantes.
Pour faire simple, PHP dispose d'un réglage
appelé Short-open-tags, celui peut prendre deux valeurs
(ON et 0FF). Si il est sur ON, cette syntaxe sera acceptée et comprise
par l'analyseur de code, dans le cas contraire vos scripts ne pourront
être interprétés, tandis que si vous utilisez tout, vos
scripts fonctionneront parfaitement.
2.5.4.3. Quand utiliser le
PHP ?
Dans cette partie, nous allons savoir quand est-ce qu'on peut
utiliser le PHP. Le PHP nous aide sûrement à convertir tout notre
site en PHP et de remplacer le code (x)HTML par des echo() en
rafale. Ce n'est pas une bonne solution, on ne doit pas utiliser PHP pour
générer du contenu statique.
Si votre page n'est pas destinée à changer dans
le temps dynamiquement, laissez-là en HTML vous gagnez en performance
soulagerez votre serveur. Vous pourrez également lorsque vous aurez
beaucoup de fiches dans votre répertoire savoir quels ceux qui sont
statiques des autres.
2.6. Le MySQL
2.6.1. Définition
Le MySQL est un système de gestion de base des
données (SGBR).
2.6.2. Utilités
Le MySQL est un SGBD qui offre ainsi l'opportunité de
créer des sites dynamiques avec de grandes quantités
d'informations. Par exemples, toutes les données concernent les forums
sont stockés dans la base des données.
L'avantage du SGBD est que pour aller chercher vos
données, vous ne vous préoccupez pas des avoir où sont
stockés données ni comment, vous dites « je veux
telle données » et le SGBD va la chercher pour vous.
Vous pourrez également récupérer des
données d'une manière très compliquée qui
dépendent d'énorme de facteurs, chose quasi impossible en
stockant les données dans un fichier sans de nombreux calculs
très lourds.
Le langage que l'on utilise pour interroger et effectuer des
opérations sur une ou plusieurs bases de données/tables s'appelle
SQL (Structured Query Language, en français langage de
requête structurée).
2.6.3. Sortes des SGBD
Pour tout ce qui suit, nous allons utiliser un SGBD
appelé MySQL. Il s'agit du SGBD de plus répandu, vous ne devriez
donc pas avoir de problème à faire fonctionner votre site
ultérieurement. Cependant, PHP supporte d'autres SGBD dont voici une
liste nos exhaustive :
ü mSQL
ü Sybase
ü MySQL
ü Oracle
ü Unix dbm
ü Informix
ü SQL Serveur
ü Postgre SQL
ü Etc.
2.7. L'hébergement
2.7.1. Définition
Un hébergeur web (ou hébergeur internet) est une
entité ayant pour vocation de mettre à disposition des
internautes des sites web conçu et gérer par des tiers.
2.7.2. Rôles
Un hébergeur web donne ainsi accès à tous
les internautes au contenu déposé dans leurs comptes par les
webmasters souvent via un logiciel FTP ou un gestionnaire de fichiers. Mais
dans notre cas, nous avons utilisé le FileZilla. Ce dernier maintien des
ordinateurs allumés et connectés 24 heures sur 24 à
l'Internet (des serveurs web par exemple) par une connexion à
très haut débit (plusieurs centaines de Mb/s), sur lesquels sont
installés des logiciels : serveur http (souvent Apache), serveur de
messagerie, de base de données...
2.7.3. Principes
d'activité de l'hébergeur web
La principale activité de l'hébergeur web,
consiste à installer ses serveurs, à les sécuriser (par
une alimentation électrique ondulée, secourue par un groupe
électrogène, une salle climatisée équipée de
dispositifs anti-incendie), à les tenir à jour en installant les
attaques malveillantes, à les réparer en cas de panne, à y
installer les technologies logicielles souhaitées par les clients ou
qu'il souhaite leur offrir (comme les langages de programmation internet et les
modules supplémentaires de ces langages).
L'hébergement Internet trouve sa justification par
diverses raisons parmi lesquels :
v La nécessité de sécuriser le service
hébergé ;
v La mise à disposition par le prestataire de
ressources conséquentes (bande passante en
téléchargement...) ;
v Le conseil et les services de support associés.
2.7.4. IP et DNS
Lorsqu'un visiteur demande une page à son navigateur
web, celui -ci interroge des serveurs DNS pour connaitre l'adresse IP du
serveur hébergeant ce site. Dès qu'il obtient la réponse,
le navigateur va interroger ce serveur et lui demander cette page. Le serveur
web va alors chercher la page sur ou ses disques durs (s'il s'agit d'une page
statistique), ou la fabriquer à l'aide d'un script (s'il s'agit d'une
page dynamique), puis l'envoyer au navigateur, qui l'affiche sur l'écran
du visiteur.
Il peut être important de localiser l'endroit où
l'hébergeur a ses serveurs. La plupart des moteurs de recherche se
d'effectuent le référencement d'un site web.
2.7.5. FileZilla
Le FileZilla est un logiciel de la mise ligne nos sites web.
Ce logiciel n'a rien à avoir avec Mozilla, si ce n'est
qu'il se termine lui aussi par « Zilla ». D'ailleurs, vous
utiliser n'importe quel autre logiciel FTP si cela vous chante.
CONCLUSION PARTIELLE
Le présent chapitre est une synthèse de notion
de base programmation web, dont le dit est la brique du langage du web. Et nous
avons aussi en une petite technique technicité sur la mise en ligne ou
le déploiement d'une application web (donc dans de serveurs
distants).
CHAPITRE III : ANALYSE
PREALABLE
3.1. Introduction
Pour améliorer ou modifier le système
d'information (S.I) d'une entreprise, une décision prise mais qui est
une décision importante aux conséquences lourdes. Ces
conséquences dépassent toujours les aspects techniques du
traitement de l'information pour s'étendre aux méthodes de
gestion, d'organisation, ou au recrutement et à l'engagement du
personnel.
En effet, c'est pourquoi la préparation de cette
décision se fait par une étude préliminaire appelée
étude préalable ou d'opportunité, alors nous
considère comme le maître de cette étude nous allons le
forage des données au sien de notre entre dans le service de transport
qui nous sont sensé pour avoir des données pouvant nous permettre
à répondre aux besoins de l'entreprise.
A cette étape nous avons eu à utiliser la
technique d'interview et technique documentaire : qui nous à aider
à récolter toutes les informations possible qui nous a permis de
faire notre application de qualité, d'appréciation, et
diagnostiquer les éléments nuisible donc côté et
mauvais côté de l'entreprise afin d'apporter une bonne solution
pour la bonne marche d'une ou l'évolution de l'entreprise. Et la
technique d'interview qui nous à aider juste d'interroger les agents de
la SNCC Kananga se trouvant dans le service concerné et d'autres
personnels de l'entreprise qui sont capable et qui connaissait la vie de cette
entreprise.
3.2. CADRE GEOGRAPHIQUE
La SNCC/Kananga, est une entreprise publique prestataire de
service de transport des personnes et des marchandises sur un réseau
ferroviaire en RDCONGO. Le siège administratif de la région nord
est situé dans la province du Kasaï Central, dans le commune de
Kananga, au centre-ville de Kananga, chef-lieu de la dite province il est
borné :
Ø Au nord deux : par l'immeuble de
l'éducation, le quartier TSHINSAMBI, longé par le boulevard MZEE
Laurent désiré Kabila ;
Ø Au sud : par le marché KAMAYI, la RTNC et
le bureau de l'officie des douanes et accises (OFIDA) ;
Ø A l'EST : par le partie plateau avec l'usine
SAVINKAS ;
Ø A l'OUEST : par le bâtiment de
l'hôtel de poste de Kananga.
3.3. OBJECTIFS POURSUIVIS
Pour être plus claire, l'objectif poursuivi de cette
étude est de nous fournir les informations nécessaires pour que
nous puissions arriver à prendre les bonnes décisions qui sont
relatives au système d'information pour améliorer les
performances ou en réduire le coût.
Mais dans le cadre de notre entreprise, nous avons eu en
faisant cette étude à étudier sur les concepts
ci-après :
v L'organisation de ladite entreprise est le service
concerné par notre application.
v Les documents produits et les fichiers (taille, maintenance,
fréquence et le temps de circulation de l'information)
v Le traitement subit par chaque document
v Circulation des informations à travers
différents services concernés par l'application.
Ainsi, une méthode d'analyse d'un système
d'information utilisée pouvant nous permettre de comprendre ou de
traduire ce dernier, est appelé «ETUDE DE
L'EXISTANT ».
Qui dit étude de l'existant? Dit l'étude du
fonctionnement de l'entreprise. Cette dernière permet de rechercher,
recueillir des informations sur le domaine d'application envisagé avant
l'intégration d'un apport.
Cette étude dit l'étude de l'existant nous a
aidé à :
Ø Prendre avec précision les données
pouvant nous aidées à s'est positionnées dans notre
domaine d'application ;
Ø Découvrir les difficultés du
système de l'entreprise en vue de suggérer les stratégies
susceptibles pour améliorer le système existant.
3.4. HISTORIQUE DE LA SNCC
KANANGA
La société nationale des chemins de fer du Congo
« SNCC » en sigle, est une entreprise en caractère
industriel et commercial, dotée d'une personnalité juridique et
placée sous tutelle du ministère des transports et communication
et celui du portefeuille.
Elle a été créée par
l'ordonnance-loi n°74-027 du 02 décembre 1974.
La SNCC est née de la fusion de quatre anciens
réseaux ferroviaires :
KDL-CVZ-CFMK, en traversant les étapes
suivantes :
a. Le chemin de Matadi-Kinshasa : ce réseau
reliait la capital Léopoldville à Matadi, de Boma à
Tshiela, les travaux de construction commencèrent en 1990 et
durèrent huit ans. Le 16 mars 1898, la première locomotive
s'arrête triomphalement à Kinshasa.
b. Les chemins de fer Katanga-Dilolo-Léopoldville
(KDL). Cette même formulation s'applique également ou nouvelle
appellation de Kinshasa-Dilolo-Lubumbashi. Ce réseau va de Saka nia
à Ilebo en passant par le Shaba et les deux Kasaï et Tenke à
Dilolo. Il comporte deux compagnies à savoir :
a) La compagnie de chemin de fer du bas Congo (BCK)
b) La compagnie de chemin de fer du KATANGA (CFK). La CFK fut
construite de 1902 à 1910. Le premier train atteignit SAKANIA en
1909.
c) Les chemins de fer grands lacs (CFL). Le CFL furent
construits en 1902. Ils desservent l'EST du Congo, de Kamina à Kalemie,
de KABALO à Kindu et Bandundu à Kisangani. Les quatre
réseaux furent fusionnés par l'ordonnance-loi n°74-027 du 02
décembre 1974 portant création de la société de
chemin de fer du Zaïre (SNCZ) en sigle.
Dix sept ans plus tard, c'est-à-dire le 03 Avril 1991,
fut l'ordonnance 91-36 portant de la solution de :
Ø KDL devient l'office de chemin de fer du sud (OCS)
Ø CFL devient la société de chemin de fer
de l'EST (SFE)
Ø CVZ devient la compagnie de chemin de fer
d'Uélé (CFU)
En novembre 1995, dissolution de la SNCZ/HOLDING et de ses
filiales et signatures d'un accord cadre cédant l'exploitation de
chemins de fer à une société privée SIZARAIL
laquelle à été dissoute en 1997. Il faut signaler que
c'est à la même date que la SNCC avait repris ses activités
après la dissolution de SIZARAIL.
La SNCC est composée des organes d'exploitation
appelées communément « région »
celles-ci sont au nombre de cinq, notamment :
ü Région sud : siège à
Likasi
ü Région nord : siège à
Kananga
ü Région Est : siège à
Kalemie
ü Région nord-est : siège Kindu
A ces régions s'ajoute la circonscription
d'exploitation de Lubumbashi (CIREX).
3.5. DOMAINE D'APPLICATION
A ce niveau, nous avons voulus préciser le domaine de
notre application en vue d'évoluer ans un cadre précis. Le
domaine au sein duquel nous allons évoluer est le service de
transport.
Ce service a pour tâche : la vente de billet
c.-à-d. le présent service s'intéresse beaucoup plus sur
la vente de billet aux clients (voyageurs) dont l'objectif est de
diagnostiquer le système d'information existant au sein de l'entreprise,
afin de proposer une solution adéquate.
C'est à ce point que l'analyse préalable
intervient parce que lorsqu'on veut informatiser une entreprise, on doit
d'abord connaître le problème à informatiser puis, choisir
le service concerné par l'étude.
3.6. OBJECTIF DE
L'ENTREPRISE
L'objectif de la SNCC est de renforcer et d'améliorer
les conditions de vie de la population de la ville de Kananga et ses environs
du point de vue vivre et en facilitant le transport en commun et de maximiser
les recettes.
3.7. SA MISSION
Etant donner que, son objectif été de renforcer
et d'améliorer les conditions de la population, la SNCC
s'intéresse aussi beaucoup plus dans le domaine de transport pour aider
les clients en leurs facilitant l'acheminement de biens de ce derniers dans des
destinations différentes sans ambiguïtés.
3.8. LES MOYENS DE CETTE
ENTREPRISE
Ladite entreprise avec son service de transport, fait entrer
beaucoup de millions de francs congolais dans le trésor public. Il fait
en sorte qu'il garde son poste de leader en mettant en jeu tout son moyen
possible dans le domaine de transport.
En plus de ceci, la SNCC distribue encore le courant
électrique à des agents extérieurs de l'entreprise et cet
abonnement est payé à la fin du mois. Et ce dernier lui procure
une somme d'argent qui est afin déposé en banque dans des comptes
de la SNCC. Bien que la SNCC soit une entreprise publique de la
République Démocratique Du Congo, il paie aussi les impôts
et les taxes comme toute autres entreprises.
3.9. ORGANIGRAMME DE LA
SNCC/KANANGA
Dans le présent paragraphe, nous décrivons les
tâches administratives dévolues à chaque service et
à chaque poste de commandement retenu dans l'organigramme de la SNCC
(DRN), à la gestion administrative, à l'encadrement et à
la participation du transport ferroviaire trouve une place
d'intérêt dans l'entreprise.
3.9.1. DIRECTION REGION NORD
(DRN)
Cette dernière est animé par le directeur
régional, il joue un rôle de représentant de l'employeur et
coordonne tout ce qui ce s'effectue au niveau de différents services
dont les animateurs sont ses collaborateurs directs. A ce fait, il comme
rôle d'organiser, de programmer, de commander, de contrôler et de
coordonner toutes les activités de sa section, qui est d'assurer la
suivie des hommes et de l'outil de travail par l'offre de service de transport
envie de la réalisation optimale des objectifs fixés par la
direction générale. Le directeur a la responsabilité
d'imposer les consignes locales, d'exiger le respect des règles et
instructions en vigueur, et prend les sanctions nécessaires jusqu'aux
plus graves (hormis le licenciement d'un cadre).
3.9.2. COORDINATION
D'EXPLOITATION « COORDEX » OU
« CDX »
Le coordonné est en charge de la prévision,
coordination et contrôle les activités de différents
services de district, détermination en tenant compte des objectifs
définis ; analyse périodique de différents services
de district ; organisation et planification stratégique,
supervision et monitoring des activités du transport, coordination du
programme de la SNCC.
3.9.3. SERVICE DU PERSONNEL ET
SOCIAL « SPS »
Son rôle est de gérer l'ensemble de
salariés depuis l'embauche jusqu'aux départ de l'entreprise. Le
service du personnel est chargé de aussi du recrutement de la gestion
des stagiaires, de la définition de la description du travail et de
relation avec le comité de l'entreprise il inclut
généralement :
v Le service des appointements et salaire dont le rôle
est communiquer au service de comptabilité générale la
liste des virements à effectuer au titre des salaires.
v La division, organisation et formation.
v Le service social gère les difficultés
rencontrées par les membres du personnel, le logement et le transport
collectif..... le service de communication qui assure la diffusion des
infrastructures vers le personnel (communication interne ou vers
l'extérieur (medias, publicité).
Ce service s'occupe principalement de : gestion du
personnel, relation publique, gestion du patrimoine sociale (hôpital),
rémunération de tout le personnel, litiges ou conflits de
travail, contrat avec les partenaires sociaux : syndicat, SNCC,
délégation syndicale et sanction des agents, appui à
l'organisation de calendrier de formation, organisation des sessions de
formation, accompagnement institutionnel.
3.9.4. SERVICE MEDICALE
« MED.DEG »
Ce service traite les urgences, identifie les postes des
travails à risque en collaboration avec le service SPS, assure la
prévention, professionnelles.
Ce service est responsable de la gestion de l'hôpital
SNCC à Kananga et de l'étude des coûts au sein de
l'hôpital et s'occupe de : maîtriser le système de
gestion de l'hôpital.
3.9.5. SERVICE DE MATERIEL
« MAT » ou « DMAT »
Le mai est en charge de gestion des locomotives, gestion des
wagons, inventaires patrimoine logistique organisation des réunions
techniques des services.
3.9.6. SERVICE
D'APPROVISIONNEMENT « APPRO »
L'Appros'attelle à l'identification des nouveaux
besoins en approvisionnement et leur structuration, suivi et évaluation
interne des projets et programmes d'approvisionnement d'étude de
faisabilité.
3.9.7. SERVICE ELECTRICITE ET
TELECOMMUNICATION « DDET »
Le DDT s'occupe de l'installation et maintenance du
réseau électrique et matériel de communication de la SNCC,
maintenance du circuit électrique et matériel de communication de
la SNCC, organisation des réunions techniques du service suivi de
transport ferroviaire et fluvial par télécommunication aux
différentes escales.
3.9.8. SERVICE DE TRANSPORT
« DDTRP »
Le DDTRP est responsable de suite et évaluation du flux
de transport ferroviaire et fluvial, planification de transport ferroviaire et
fluvial, établissement des horaires de transport ferroviaire et
fluvial.
3.9.9. SERVICE COMMERCIAL
« CIAL » ou « CMISPPLCIAL »
Le CIAL est en charge de rendre les services que produit la
SNCC, de réaliser les travaux de Marketing et d'assurer la relation avec
les clients. Il prospecte les auteurs de son marché pour les convienne
d'acheter les services de la SNCC. Il travail avec les clients de l'entreprise
d'un port les rendre plus confiants d'autre parts les convaincre de passer de
nouvelles commandes. Il établit les propositions commerciales et
négocie les contrats de vente, il étudie le marché,
surveille la concurrence, définit les offres commerciales et assurer la
communication avec la comptabilité.
Il peut être chargé de la formation des clients
aux produits et de la constitution des dossiers technique contractuelle
(documentation, indice....) ce service travail en collaboration avec le service
administratif et financière par le fait porte au sein de lui, la laisse
aux heures qui est une branche de comptabilité qui est chargée de
collecter les recettes au niveau du service commercial et le verse
journalièrement à la caisse centrale.
Le service commercial et le lieu principal entre les clients
et la SNCC, est donc la direction de l'entreprise. Il est animé par un
chef de service chargé de la facturation et chiffre d'affaire, il
s'occupe de l'ensemble des opérations ayant pour objet la
réalisation de vente de l'entreprise, notamment : contact
extérieur et Marketing de l'entreprise, prévision, coordination
et contrôle des activités commerciales, détermination en
tenant compte des objectifs définis, analyse périodique des
différentes activités commerciales.
Supervision et suivi des activités commerciales,
coordination des programmes commerciaux de la SNCC.
3.9.10. SERVICE
D'ADMINISTRATION ET FINANCIER (DAF)
La DAF est chargée de la gestion financière,
élaboration et exécution de budget, plan de trésorerie,
suivi budgétaire, production des outils de gestion, préparation
et élaboration de rapport financier, préparation des outils,
comptabilité, caisse.....
3.9.11. SERVICE REGIONALE DE
SECURITE DU TRAVAIL
Ce service est concerné par les activités telles
que : assister le personnel dans tous les problèmes liés
à la sécurité et dans l'accomplissement de leurs
obligations professionnelles, contribuer au renforcement de mesure de
surveillance des activités ferroviaires et fluviales, s'assurer que
toutes les mesures de sécurité sont prises pour protéger
les enceintes de la SNCC, elle est composée de corps de surveillance
« CORSU ».
La région nord a d'autres services autonomes
dépendant directement d'elle à savoir :
§ L'inspection d'exploitation (INSPX)
§ Le service du personnel de conduite ferroviaire
(IRPCF)
§ Le contrôle de gestion (CDX)
Trois coordinations exploitation (CDX) qui sont :
CDX/Ilebo(130), CDX/Mueka(MKA), CDX/Muene-Ditu (MIT) à Mbuji-Mayi (CH
agence/MBM.
3.9.12. ORGANISATION
STRUCTURELLE
L'organigramme est un tableau qui montre à qui sont
confiés les différentes fonctions et qui font apparaitre les
liens de subordination établies entre les services.
Comme nous l'attendons, l'organigramme est un moyen de
vérifier que l'unité et la permanence du commandement sont
effectivement réalisées et de dresser l'organisation
administrative.
DRN
MED/RNT
DAF
DDVT
DDTRP
DDMAT
DDET
SCIAL
CHSMAT
CHS/ME
CHSET
CHSTRP
CHSVT
CHGRTRP
CHGRET
CH.CEL.CIAL
CHSFIN
CHSP
CHSBOA
FM
CHCONS
CH HALL
R/SETRA
STOCKAGE
MAG.DEP
MADAGA
MAGALIT
VERIFICATION
CAISSE
COPOSTAGE
TAXATION
3.10. ORGANIGRAMME
SPESIFIQUE
DRN
ADMINISTRATION
Fig. 3-1
3.11. ANALYSE DES POSTES DE
TRAVAIL
Application : Conception et réalisation
Analysé par : Ntumba
Tshilumba
d'un site web dynamique
pour la réservation. Cas
de la SNCC/ Kananga.
Domaine : Description
Date : le 07/06/2016
Fiche descriptive des postes de travail
|
N°
|
Noms Mnémoniques
|
Postes de travail
|
Nombre d'agents
|
Travail effectués
|
Moyens de traitement
|
observations
|
01
|
DRN
|
Directeur de Région Nord
|
1
|
Il coordonne tous les travaux et donne les ordres.
|
- stylos
- lattes
-calculatrice
- ordinateur
|
Lent
|
02
|
Gest (ADMIN)
|
Gestionnaire
|
1
|
Celui qui contrôle tous les services, c'est qui est
réceptionniste (dans notre cas les guichetiers).
|
- stylos
- lattes
-calculatrice
- ordinateur
|
Rapide
|
03
|
Guich
|
Guichetier
|
4
|
Ils sont là pour exécuter les ordres venant du
gestionnaire.
|
- stylos
- lattes
-calculatrice
- gomme.
|
Lent
|
3.11.1. DESCRIPTION DES
DOCUMENTS
N°
|
Noms Mnémoniques
|
Noms
|
Type
|
Taille
|
01
|
Id_cli
|
Identité client
|
N
|
20
|
Num_cli
|
Numéro client
|
AN
|
60
|
Nom_cli
|
Nom client
|
A
|
15
|
Post_cli
|
Post nom client
|
A
|
30
|
Prenom_cli
|
Prénom client
|
A
|
15
|
Adr_mail_cli
|
Adresse mail client
|
N
|
25
|
Mot_pass_cli
|
Mot de passe client
|
AN
|
30
|
Dat_nais_cli
|
Date de naissance client
|
DATE
|
15
|
Adres_cli
|
Adresse client
|
AN
|
30
|
Num_Tel_cli
|
Numéro Téléphone client
|
N
|
14
|
Num_class_cli
|
Numéro classe client
|
AN
|
35
|
Num_comp_cli
|
Numéro compartiment client
|
AN
|
30
|
02
|
Num_comp
|
Numéro compartiment
|
N
|
20
|
Prix_comp
|
Prix compartiment
|
N
|
15
|
Info_comp
|
Information compartiment
|
A
|
60
|
03
|
Id_reserv
|
Identité réservation
|
N
|
15
|
Mont_tot
|
Montant Total
|
N
|
20
|
Id_fac
|
Identité Facture
|
N
|
10
|
Dat_dep
|
Date de départ
|
DATE
|
15
|
Dat_arriv
|
Date d'arriver
|
DATE
|
15
|
3.11.2. ANALYSE DES MOYENS
UTILISENT
a) Les Moyens Humains
N°
|
POSTES
|
NOMBRES D'AGENTS
|
NIVEAU D'ETUDE
|
01
|
DRN
|
11
|
|
02
|
DESTIONNAIRE
|
1
|
|
03
|
GUICHETIER
|
4
|
D6
|
b) Les Moyens Matériels
N°
|
NOMS
|
ANNEE D'ACQUISITION
|
ETAT A UTILISE
|
OBSERVATION
|
01
|
LES ORDINATEURS
|
2009
|
BON
|
UTILISABLE
|
02
|
LES CHAISES
|
2000
|
BON
|
UTILISABLE
|
03
|
LE RESEAU
|
2007
|
BON
|
UTILISABLE
|
04
|
LES ARMOIRES
|
2000
|
BON
|
UTILISABLE
|
05
|
WAGON
|
|
BON
|
UTILISABLE
|
3.12. SCHEMA DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS
GUICHETIER
|
CHEZ CONSIGNE
|
DRN
|
1
2
3
TTT
4
5
6
TTT
7
TTT
TTT
7
TTT
8
3.13. TABLEAU DE FLUX
N°
|
Nom Code
|
Code Mnémonique
|
Information
|
Origine
|
Destination
|
01
|
E-mail
|
e-mail
|
Réservation
|
Client
|
Guichet
|
02
|
Acquisition de réception
|
A.r
|
Acquise réception
|
Guichetier
|
Client
|
03
|
Rapport
|
Rapr
|
Rapport Journalier
|
Guichetier
|
Chez Consigne
|
04
|
Rapport
|
Raprm
|
Rapport Mensuel
|
Chez Consigne
|
DRN
|
3.14. SCHEMA DE FLUX
4
3
2
1
3.15. DICTIONNAIRE
D'EXPLOITATION
1. Un Client sollicite une réservation auprès de
Guichetier.
2. Le Guichetier doit d'bord lui demandé la
destination, et le montant réceptif lui sera donné après
avoir donné la destination et la clase choisit. Et le billet par la
suite lui sera donné après paiement des frais. Le rapport
journalier sera donné au Chez Consigne par le Guichetier.
3. Chez Consigne à son tour donnera des informations au
DRN. Et après traitement, le Chez Consigne verse cet argent en
Banque.
4. Le DRN reçoit des informations sur la vente des
billets.
3.16. CRITIQUE DE
L'EXISTANT
A ce stade, nous donnerons quels points forts et faibles
rencontré dans notre entreprise qui est la SNCC KANANGA.
Néanmoins, nous allons vous parler en quelques lignes
nos difficultés éprouvés au sein de ladite entreprise ou
dans son système d'information et par la suite nous aurons encore
à vous montrer toujours ce qui est de positif.
D'une part, nous avons eu a constater au sein de cette
entreprise, les informations qui circulent bien entre tous les services
concernés par notre application et l'organisation structurelle est bien
placée.
L'autorité est bien placée, tous les agents
dépendent directement de lui et c'est le chez qui a le mont à
dire.
D'autre part, les travaux sont lourds du fait qu'un
travailleur peu lui-même exécuter plusieurs tâches en dix
minutes, tant tôt à la réception de client qui viennent
acheter les billets et encore alerter à chaque moment d'aller
écrire la date à la fin de chaque mois chose étonnante.
Nous à notre niveau, lorsqu'au n'a vu que l'entreprise
ne dispose pas un service lié au marketing sur le plan transport, on a
aussi eu l'aide de lui offrir une application web pouvant lui permettre de
mettre en ligne les horaires des trains, les informations concernant la SNCC
KANANGA et les articles publier par celle-ci et bien d'autres choses encore.
3.17. PROPOSITION DE
SOLUTION
Etant donné que, ladite entreprise n'a pas un site web
dynamique pouvant lui permettre de mettre en ligne les informations et faire
bien des réservations partout dans la province du Kasaï central en
toute son entièreté et faire sa publicité, on a voulu
juste lui ajouter un plus dans le domaine de marketing en lui donnant un site
web dynamique de qualité. Car avec l'évolution de l'informatique
actuellement nous donne la possibilité de parler avec tout les
client(e)s et de faire une réservation à distance en un clin
d'oeil.
Tous les villages qui entoure la ville de Kananga ont besoin
des informations concernant l'arriver et le départ, du train et s'ils ne
sont pas alimentés en information, ça sera difficile que les
clients viennent acheter les billets. La SNCC KANANGA fait entré
beaucoup d'argent dans le transport et pour lui permettre de maximiser ses
recettes, il a fallut une application web dynamique pour lui permettre
d'atteindre ses objectifs.
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre nous avons vu les différentes
techniques et méthodes qui nous a aidé à avoir les
informations ou et les documents qui circulent au sein de notre service. Et ce
dernier nous a aidé pour l'élaboration des schémas des
flux, matrice de flux, tableau de flux et le dictionnaire d'exploitation pour
arriver à connaître son système de gestion parce que pour
arriver à informatisé une entreprise, il claire de
connaître son système d'information pour l'informatiser.
CHAPITRE IV :
MODELISATION ET IMPLEMENTATION
Introduction
Nous parlerons dans ce chapitre, la solution conceptuelle que
nous vous avons proposée et cette conception du système à
réaliser qui a pour but de rendre flexible la tâche de gestion et
d'être plus focalisé dans la technologie récente. En
d'autre terme, ce chapitre devait répondre aux questions qui
sont :
Comment pouvons-nous faire pour remédier à
cette difficulté et comment sera la structure de notre application
web ?
Qu'est-ce que les dirigeants attendent de ce
projet ?
La structure de ce chapitre dépend de la nature de ce
projet. Nous l'avons conçu avec la phase de conception d'un
système d'information qui nécessite des méthodes
permettant de mettre en place un modèle. Il existe plusieurs
méthodes d'analyse, la plus utilisée étant la
méthode Merise. Entre l'entreprise et les clients, il aura des
échanges et puisse disposer d'une base de données. Mais pour
obtenir cette dernière, il ya une procédure à suivre et
des méthodes à choisir. Et pour notre cas, nous avons choisi la
méthode Merise comme nous l'avons dit ci-haut. Après avoir eu
cette base des données, nous aurons besoins des logiciels que nous avons
déjà cités au premier chapitre et ces derniers nous
permettront au bon fonctionnement de ce site web dynamique que nous aurons
à concevoir.
4.1. MERISE POUR LA
MODELISATION DU SYSTEME
Introduction
Toute résolution d'un problème de n'importe
quelle nature qu'il soit nécessite une ou plusieurs phases de
réflexion doit pouvoir être comprise et reprise par toute personne
intervenante sur les projets.
C'est pourquoi elles sont définit des méthodes
d'analyses certaines disparaissent laissant la place aux autres qui sont plus
adaptées et d'autres évoluent dans le temps en fonction de
différentes technologies.
Cependant, chaque méthode a ses qualités et ses
défauts. Il est donc parfois utile et nécessaire en fonction de
l'étape d'analyse du projet d'appliquer les méthodes
différentes. Ainsi chaque méthode est adaptée au type de
projet (objet, industrielle, gestion) aux outils tel que : SGBD, SQL,
MySQL et tant d'autres.
Le concept MERISE :
Ce mot signifie méthode d'étude et de
réalisation informatique pour le système d'entreprise. Elle est
née en 1979 au centre technique informatique du ministère de
l'industrie.
Parmi des principaux précurseurs, nous pouvons
citer :
ü HUBERT TARDIEUR ;
ü GEORGE PANET ;
ü Et GERARG VAHEE.
Elle a été introduite dans l'entreprise en 1983
et 1985, elle a connue de l'évolution en fonction des avancées
technologiques avec Merise 2 et dernièrement Merise 3 qui est
basé sur la gestion des projets. Pour modéliser les
fonctionnalités, que doit offrir ce système, nous avons choisi
cette méthode qui est la méthode MERISE.
MERISE étant une méthode de conception et de
développement d'un système d'information, représentant les
interactions entre ses différents composants et d'en proposer une
description formelle. Au début des années 90, cette
méthode a connu une évolution importante suite à
l'intégration de concepts orientés objets tel que
l'héritage. Nous montrerons, dans la suite, le modèle conceptuel
de communication (MCC), le modèle conceptuel de données (MCD) et
le modèle conceptuel de traitement (MCT), j'ai utilisé le POWER
AMC. POWER AMC est un outil intégré de conception et de
modélisation Merise.
La méthode Merise préconise 3
niveauxd'abstraction :
v le niveau conceptuel, ce niveau décrit la statique et
la dynamique du système d'information en se préoccupant
uniquement du point de vue du gestionnaire.
v le niveau organisationnel, ce niveau décrit la nature
des ressources qui sont utilisées pour supporter la description statique
et dynamique du système d'information.Et dernier peuvent être
humaines, matérielles et logicielles.
v le dernier niveau est le niveau opérationnel dans
lequel elle travaille.
4.2. LES CYCLES DE
MERISE
La démarche de la méthode merise se fait selon
trois axes qui constituent ce qu'on convient de nommer ses trois cycles.
Avant de modéliser le système, il faut d'abord
faire une narration en fin d'avoir les informations quo circulent au sein d'une
entreprise ; et c'est à partir de cette narration qu'on va trouver
les entités, des attributs pour telle entité.
i. Le cycle d'abstraction : Qui a en son sein ou qui,
nous présente la formalisation en trois niveaux (conceptuel, logique et
physique) pour modéliser un système d'information.
ii. Le cycle de vie : Qui comporte trois grandes
périodes dont la conception qui va de la période d'étude
de l'existant au système même en place. La réalisation qui
concerne la période de mis en oeuvre et l'exploitation et en fin la
maintenance qui permet au système d'évoluer et de s'adapter aux
modifications de l'environnement et niveau objectif.
iii. Le cycle de décision : Tout au long de
l'étude de la maintenance des décisions sont apprendre et elles
doivent être potentielles. ces trois cycles déroulent
simultanément à chaque étape du cycle de vie, les
formalismes de cycles d'abstraction sont utilisés avec une
précision de plus en plus grande et des décisions sont prises
d'ordres globales au début, puis de plus en plus
détaillées de mesure qu'on avance les travaux.
4.3. LE NIVEAU DU
CYCLE D'ABSTRACTION DU MERISES
1. Le niveau
conceptuel :
Le rôle est d'exprimer les choix fondamentaux des
gestions et les finalités de l'entreprise. Il décrit
l'organisation et le métier indépendamment et de aspects
organisationnels et des techniques de mise en oeuvre. Il se traduit en terme de
model conceptuel des données (MCD) que nous aurons à vous
expliquer après, avec entité association et
propriété et du model conceptuel de traitement (MCT) qui produit
la représentation abstraite des données et des traitements.
2. Le niveau
organisationnel :
Son rôle est de définir l'organisation de travail
qu'il est souhaitable de mettre en place dans l'entreprise pour atteindre les
objectifs assignés.
Il définit la répartition géographique et
fonctionnelle de site de travail (du point de vie des données et de
traitement) le mode de fonctionnement (temps réel ou
différé) la répartition du travail homme-machine
(degré et type d'automatisation, le poste de travail et leur affection,
la sécurité des données indépendamment des moyens
de traitement et de stockage de données actuelles ou futures).
3. Le niveau
logique :
Il permet de définir l'organisation à mettre en
place dans l'entreprise pour atteindre les objectifs souhaités. C'est
à cette étape que l'on précise l'emploi de base des
données où des fichiers.
Il exprime la forme que doit prendre l'outil informatique pour
être adapter à l'utilisateur à son poste de travail, cela
indépendamment de l'informatique spécifique et de langage de
programmation ou des gestions des données.
Il décrit aussi le schéma de la base des
données (relationnelle, hiérarchique ou réseaux) cela veut
dire que les caractéristiques du mode de gestion des données, la
répartition des données sur les unités de stockage les
volumes par unité de stockage et l'optimisation du coût inclut par
le mode de gestion. Et ce traduit en terme de model logique des données
(MLD).
4. Le niveau
physique :
Son rôle est de définir les solutions techniques
et la prise en compte de leur spécificité. Il reprend aux
utilisateurs sur les aspects logiciels et matériels et définit
complètement les fichiers, les programmes, l'implémentation
physique des données et de traitement, les ressources à
utilisées et la modalité de fonctionnement. C'est la description
de moyens mise en oeuvre pour gérer les données et effectuer leur
traitement cela se traduit en terme de model physique des données
(MPD).
4.5. LES DIFFERENTS
MODELES DE MERISE
4.5.1. MODELE
CONCEPTUEL DE COMMUNICATION (MCC)
Ce modèle, appelé aussi diagramme conceptuel de
flux, permet de représenter les flux d'informations
(représentés par des flèches dont l'orientation
désigne le sens du flux d'information) entre les acteurs internes
(représentés par des éclipses) ou externes
(représentés par des éclipses avec un trait
interrompu).
Réservation
Formulaire d'enregistrement
Sollicitation d'une classe
Classe
Identification
Client
Message de confirmation
Agent
externe
Agent interne
4.5.2. MODELE
CONCEPTUEL DE TRAITEMENT
Le MCT modélise les activités du domaine,
activités conditionnées par les échanges avec
l'environnement sans prise en compte de l'organisation. Ainsi, chaque
activité regroupe un ensemble d'activités
élémentaire réalisables au sein du domaine, sans site web
dynamique de marketing autres informations extérieures (on n'a pas
besoin de s'arrêter pour attendre des informations
extérieures).
Evénement
|
Opération
|
Résultat
|
|
1.Sollicitation d'une classe auprès de
Guichetier.
|
Traitement de la demande.
|
Edition de la facture et la livraison de billet.
|
|
2. Réception de la facture et endossement de
l'argent.
|
Edition du Billet.
|
Reçu de Billet par le voyageur.
|
|
|
|
|
|
Sollicitation d'une classe auprès de Guichetier
Ev1.
Traitement de la demande
|
|
F
OK
|
K KO
|
Endossement
(b)
Facture
(a)
Demande d'approvisionnement
Note Livraison
a, b
Edition du Billet
|
|
Toujours
|
4.5.3. MODELE
CONCEPTUEL DE DONNEE (MCD)
Un Modèle Conceptuel de Données est la
formalisation de la structure et de la signification des informations
décrivant des objets et des associations perçus
d'intérêt dans le domaine étudié, en faisant
abstraction aux solutions et aux contraintes techniques et informatiques
d'implémentation en base de données.
Nous pouvons encore dire que le Modèle Conceptuel de
Données est le modèle le plus utile qui a pour but de
décrire de façon formelle les données qui seront
utilisées par le système. Il permet aussi de décrire un
ensemble de données relatives à un domaine défini afin de
les intégrer dans une base de données. Nous l'élaborons
suivant les différents points ci-dessous :
a)
Entité :
Une entité est définit comme étant
unobjet ayant une existence propre et jouant un rôle dans une
entreprise. Nous avons comme entités : Classe,
Administration, Client et Réservation.
b) Les
propriétés ou attributs :
Une propriété ou attribut est une information
élémentaire se rattachant à une entité ou un
objet.
v Classe :Numclasse,
Categorieclasse, Prixclasse
v
Administration :Nomadmin,Postnomadmin,
e-mailadmin,...
v Client :
Numclie, Nomclie, Postnomclie,
Prenomclie, Lieudatenaissclie, Etatcivilclie, Adresseclie, Nationalitclie,
Professsionclie, Numtelclie, Villeclie,...
c) Association ou
relation:
Une association se définit comme étant une
relation existant entre deux ou plusieurs entités ou objets.
ENTITES
|
RELATIONS
|
ENTITES
|
|
|
|
Client
|
Effectuer (Passer)
|
Réservation
|
|
|
|
Réservation
|
Concerner (Intéresser)
|
Classe
|
d)
Cardinalités :
Une cardinalité est le nombre de fois minimal ou
maximal qu'une entité participe à la relation.
1. Un client peut effectuer une ou plusieurs
réservations et une réservation est effectuée par un et un
seul client.
2. Une classe peut être intéressée
une ou plusieurs classes et une réservation peut être
concernée par une ou plusieurs classes.
Mais avant tout, il faut montrer notre schéma de MCT,
il est aussi important de vous expliquer ces concepts :
ü Entité : Tout
objet ou association d'objets, concret ou abstrait, existant, ayant
existé ou pouvant exister ou élément actif d'un
sous-système.
ü Relation :
Modélisation d'une association entre deux ou plusieurs
entités.
ü Cardinalités :
Modélisation des participations minimum et maximum d'une entité
à une relation.
ü
Propriétés : Modélisation des
informations descriptives rattachées à une entité ou une
relation.
ü
Identifiant :Modélisation des
propriétés contribuant à la détermination unique
d'une occurrence d'une entité.
e) Le schéma de
MCT
Client
Numclie
Nomclie
Postnomclie
Prenomclie
Lieudatenaissclie
Etatcivilclie
Adresseclie
Nationalitclie
Professionclie
Numtelclie
Villeclie
Réservation
Numreservat
Datereservat
...
Effectuer
(1, n)
Classe
Numclasse
Prixclasse
Categorieclasse
...
(1, n)
Concerner
(1, n)
4.5.4. MODELE LOGIQUE
DE DONNEES (MLD)
C'est un modèle qui a pour but d'organiser les
donnée en fonction du système de gestion de base de
données choisit.
Classe (Numclasse,Prixclasse,
Categorieclasse)
Client : (Numclie,
Nomclie, Postnomclie, Prenomclie, Lieudatenaissclie, Etatcivilclie,
Adresseclie, Nationalitclie, Professsionclie, Numtelclie,
Villeclie,...)
Effectuer (#Numclie,
#Numreservat, Datedebut, Datefin)
Concerner
(#Numclasse, #Numreservat, Datedebut,
Datefin)
Client
Numclie
Nomclie
Postnomclie
Prenomclie
Lieudatenaissclie
Etatcivilclie
Adresseclie
Nationalitclie
Professionclie
Numtelclie
Villeclie
Effectuer
#Numclie
#Numreservat
...
Réservation
Numreservat
Datereservat
...
Concerner
#Numreservat
#Numclasse
Datedebut
Datefin
...
Classe
Numclasse
Prixclasse
Categorieclasse
...
4.5.5. LE MODELE PHYSIQUE DE DONNEES
Le Modèle Physique de Données est la traduction
du Modèle Logique de Données spécifiques au Système
de Gestion de Base de Données (SGBD) utilisé, le MPD est donc
représenté par des tables définit au niveau du SGBD, donc
au niveau du MPD.
A ces jours, pour les sites web conçus en PHP, il est
possible de combiner PHP et MySQL, car PHP étant capable de passer
à MySQL de telles requêtes à travers les fonctions de
préfixe MySQL, (PHP possède également des fonctions pour
dialoguer avec d'autres systèmes de base de données). C'est une
raison du succès du couple PHP+MySQL dans la mise en place de site web
dynamique.
Voici la table créée :
2. La table inscris:
I. LES INTERFACES DU
SITE :
1. Interface
d'accueil :
Cette interface est l'écran d'accueil, elle
s'affiche à l'ouverture du site et présente les
différents menus déroulants où l'on a accès
aux différents services de notre site :
2. Présentation de
la page de réservation :
3. Page d'administration :
Script PHP de la page de
réservation form.php:
// Connexion à la base de données
<?php
$Nom1=$_POST['nom'];
$Postnom1=$_POST['postnom'];
$Prenom1=$_POST['prenom'];
$Sexe1=$_POST['sexe'];
$Profession1=$_POST['profession'];
$Etat1=$_POST['etatcivil'];
$Nationalite1=$_POST['nationalite'];
$Garedepart1=$_POST['garedepart'];
$Adresseresidence1=$_POST['adresseresidence'];
$Garearriver1=$_POST['garearriver'];
$NUMERO1=$_POST['numtel'];
$Catclasse1=$_POST['catclasse'];
$Nombreclassres1=$_POST['nombreclassres'];
$Adresseemail1=$_POST['adresseemail'];
$Commentaire1=$_POST['commentaire'];
$connect = mysql_connect('Localhost','root','') or
die("erreur de connexion au serveur ");
mysql_select_db('resevationsncc', $connect) or die ("erreur de
connexion à la base");
mysql_query("insert into inscris
values('','$Nom1','$Postnom1','$Prenom1','$Sexe1','$Profession1','$Etat1','$Nationalite1','$Garedepart1','$Adresseresidence1','$Garearriver1','$NUMERO1','$Catclasse1','$Nombreclassres1','$Adresseemail1','$Commentaire1')");
mysql_close();
header('Location: formulaire.php');
?>
CONCLUSION GENERALE
Nous arrivons au terme de notre travail, qui a
été dédié à `'la conception et
réalisation d'une application web dynamique pour la réservation.
Cas de la SNCC/Kananga. Au cours de nos investigations, nous avons
décelé tous les maux qui gangrenaient la gestion des voyageurs;
cause pour laquelle nous avons suggéré la mise en ligne d'un site
web pouvant permettre à l'entreprise de mieux faire sa publicité
à travers un site web dynamique.
En guise de rappel, notre travail est articulé en trois
grands chapitres, décrits comme suit:
v Chapitre
Premier intitulé :''Généralités
sur les réseaux informatiques'' dans lequel nous avons
défini quelques concepts clés de l'architecture d'un
réseau informatique, mais aussi les différentes couches des
réseaux informatiques.
v Chapitre Deuxième
intitulé :''Technologies web'' dans lequel nous
avons fait une étude générale des différents
langages de programmation qui constitué la brique du langage web et
aussi le déploiement d'une application web sur la toile (vers un serveur
distant).
v Chapitre Troisième intitulé :
''Analyse préalable''dans le présent chapitre, nous
avons analysé le problème à informatiser puis donner
quelques piste de solution pour que cette entreprise puisse faire des
publicités à travers un programmes informatiques en fin de
donné la possibilité à ceux voyageurs de faire une
réservation à distance et aussi d'étudier leurs
système d'information et le moyens de traitements de cette
dernière.
v Chapitre Quatrième intitulé :
''Modélisationet Implémentation'', chapitre dans lequel
nous avons exhibé nos talents dans la conception d'un site web dynamique
qui nous a servi à faire des réservations à distance et
notre étude à terminer à l'implémenté le
présent site en langages (HTML, CSS, JAVASCRIPT, PHP) et un
système de base de données (MySQL) base durable pour notre
étude.
A ceux que je sache, tout travail scientifique ne manque pas
d'imperfections, ce pourquoi nous demandons beaucoup d'indulgence à tous
nos lecteurs, pour toutes les anomalies et omissions qu'ils pourront constater.
Néanmoins vos remarques et vos suggestions seront accueillies avec
ferveur, pour une amélioration future.
BIBLIOGRAPHIE
I. Ouvrage :
1. Pujolle. G, Les réseaux
,6èmeed. Eyrolles, Paris, Septembre 2007.
2. André Beauchamp, La foi à l'heure
d'internet, Edition Fides, Paris, 2001.
3. S. CHALEAT , D . CHARNAY et J.- R. ROEUT. ,
LeCahier du programmeur PHP /MySQL et Javascript, Eyrolles,
Paris, 2005.
4. Jean-Marie Defrance, PHP/MySQL avec Dreamweaver 8,
Eyrolles, Paris, 2006.
5. J. Mariel, LeCahier du programmeur PHP5, Eyrolles,
Paris, 2005.
6. J. -M. AQUILINA., Design web : Utiliser les
standards, Css et Xhtml, Eyrolles, Paris, 2003.
II. Support des Cours :
1. Alice Tshiela, Cours de Merise, G3info, U.KA,
2015-2016, Inédit.
2. KAFUNDA K., Cours de Méthodes de Recherche
Scientifique, G2 info, U.KA, 2013-2014
3. Kasongo. Cours de réseaux informatiques, G2
info, U.KA, 2014-2015, Inédit.
4. NoblaTshilumba, Cours de programmation web, G3
info, U.KA, 2015-2016, inédit.
WEBOGRAPHIE
1.
http://www.vulgarisation-informatique.com/client-serveur.php/ le
14 /05 /2016.
2. http://www.frameip.com/osi/
le 15/05/2016
3.
www.opendoc.net/cours/cours-comparaison-modele-osi-modele_tpcip/ le
19/05/2016.
4.
https://wikipedia-org.com/wiki/Client-serveur?/le 06/02/2016.
5. https://www.samomoi.com/php-mysql.php/ le
28/03/2016.
Table des matières
EPIGRAPHE
I
DEDICACE
II
REMERCIEMENTS
III
LA LISTE DES ABREVIATIONS
1
INTRODUCTION
2
1.1. PRESENTATION DU
SUJET
3
1.2. CHOIX ET INTERET DU
SUJET
3
1.3. PROBLEMATIQUE
3
1.4. HYPOTHESE
4
1.5. SUBDIVIOSION DU
TRAVAIL
4
1.6. DELIMITATION DU
SUJET
4
1.7. METHODE ET TECHNIQUE
UTILISEES
4
1.7.1. METHODE
4
1.7.2. TECHNIQUES
5
CHAPITRE I : GENERALITE SUR LES RESEAUX
INORMATIQUES
6
1. INTRODUCTION
6
1.1. RESEAUX INFORMATIQUES
6
1.1.0. Définition
6
1.1.1. Architecture des réseaux
informatiques (Egal à Egal)
6
1) Avantage de l'architecture poste à
poste
6
2) Inconvénients des réseaux
postes à postes
6
1.2.2. ARCHITECTURE CLIENT SEVEUR
7
Fig.1-1 : Le principe d'un environnent
client-serveur
7
1) AVANTAGE DE L'ARCHITECTURE
CLIENT-SERVEUR
7
2) INCOVENIENTS DE L'ARCHITECTURE
CLIENT-SERVEUR
8
1.2.2.1. TYPE DES CLEINTS-SERVEURS
8
1.3. CLASSIFICATION DES RESEAUX
8
a. LE PAN
8
b. LE LAN
9
c. LE MAN
9
d. LE WAN
9
e. LE CAN
9
f. LE SAN
9
1.4. ARCHITECTURE EN COUCHE
10
1.4.1. Le modèle OSI
10
1.4.1.1. Introduction
10
1.4.1.2. LES DIFFERENTES COUHES DU MODELE OSI
11
Fig. 1-2 : Les 7 couches du modèle
OSI
11
1.4.1.3. LES PRINCIPES
11
a) La couche physique
12
b) La couche liaison de données
12
c) La couche réseau
12
d) La couche transport
13
e) La couche session
13
f) La couche présentation
14
g) La couche application
14
Fig.1-3 : Ajout des entêtes dans
chaque couche
14
1 .4.2.Le modèle de
référence TCP / IP
15
1.4.2.1. Les couches du modèle de
référence TCP/IP
15
Fig. 1-4:Les 4 couches du modèle
TCP/IP
16
a) La couche application
16
b) La couche transport
16
c) La couche internet
16
d) La couche d'accès au
réseau
17
1.4.3. Comparaison entre le modèle OSI et le
modèle TCP/IP
17
1.4.3.1. Similitudes
17
1.4.3.2. Différences
17
1.5. Topologie et équipement
réseau
18
1.5.1. Topologie
18
1.5.1.1. Topologie physique des
réseaux
18
a) La topologie en bus
18
b) La topologie en étoile
19
c) La topologie en anneau
19
1.5.1.2. La topologie logique de réseaux
19
b) TOKEN-RING
20
c) FDDI (Fiber Distributed Data
Interface)
20
1.5.2. Equipement d'interconnexions de
réseaux informatiques
20
1.5.2.1. Répéteur
20
1.5.2.2. Concentrateur (HUB)
20
1.5.2.3. Pont
20
1.5.2.4. Commutateur(SWITCH)
20
1.5.2.5. Routeur
21
1.5.2.6. Passerelle (Gateway)
21
1.5.2.7. VSAT
21
CONCLUSION PARTIELLE
21
CHAPITRE II : TECHNOLOGIES WEB
22
2.0. Introduction
22
2.1. Internet
22
2.1.1. Définition
22
2.1.2. Les services de l'internet
22
2.1.3. L'accès à internet
22
1) Soit à filaire
23
2) Soit sans fil
23
2.2. Architecture client/serveur
23
2.2.1. Caractéristiques d'un processus
serveur
23
2.2.2. Caractéristiques d'un processus
client
23
2.3. Types de sites web
24
2.3.1. Les sites web statiques
24
Fig.2-2 : Demande de la page web avec un
site statique.
25
2.3.2. Les sites web dynamiques
25
a) Fonctionnement d'un site web
dynamique
25
2.4. Les outils nécessaires
25
2.4.1. L'éditeur de texte
25
2.4.2. Les navigateurs web
26
2.4.2.1. Différents types de navigateurs
web
26
2.5. Le langage du web
27
2.5.1. XHTML
27
2.5.2. CSS
27
Code CSS
27
2.5.3. JAVASRIPT
27
Code JavaScript
28
2.5.4. PHP (Personnel Home Page)
28
2.5.4.1. Les concurrents de PHP
28
2.5.4.2. Les tags (ou balises) PHP
28
Code PHP
29
2.5.4.3. Quand utiliser le PHP ?
29
2.6. Le MySQL
29
2.6.1. Définition
29
2.6.2. Utilités
29
2.6.3. Sortes des SGBD
30
2.7. L'hébergement
30
2.7.1. Définition
30
2.7.2. Rôles
30
2.7.3. Principes d'activité de
l'hébergeur web
30
2.7.4. IP et DNS
31
2.7.5. FileZilla
31
CONCLUSION
31
CHAPITRE III : ANALYSE PREALABLE
32
3.1. Introduction
32
3.2. CADRE GEOGRAPHIQUE
32
3.3. OBJECTIFS POURSUIVIS
32
3.4. HISTORIQUE DE LA SNCC KANANGA
33
3.5. DOMAINE D'APPLICATION
34
3.6. OBJECTIF DE L'ENTREPRISE
34
3.7. SA MISSION
35
3.8. LES MOYENS DE CETTE ENTREPRISE
35
3.9. ORGANIGRAMME DE LA SNCC/KANANGA
35
3.9.1. DIRECTION REGION NORD (DRN)
35
3.9.2. COORDINATION D'EXPLOITATION
« COORDEX » OU « CDX »
35
3.9.3. SERVICE DU PERSONNEL ET SOCIAL
« SPS »
36
3.9.4. SERVICE MEDICALE
« MED.DEG »
36
3.9.5. SERVICE DE MATERIEL
« MAT » ou « DMAT »
36
3.9.6. SERVICE D'APPROVISIONNEMENT
« APPRO »
36
3.9.7. SERVICE ELECTRICITE ET TELECOMMUNICATION
« DDET »
36
3.9.8. SERVICE DE TRANSPORT
« DDTRP »
37
3.9.9. SERVICE COMMERCIAL
« CIAL » ou « CMISPPLCIAL »
37
3.9.10. SERVICE D'ADMINISTRATION ET FINANCIER
(DAF)
37
3.9.11. SERVICE REGIONALE DE SECURITE DU
TRAVAIL
37
3.9.12. ORGANISATION STRUCTURELLE
38
3.10. ORGANIGRAMME SPESIFIQUE
40
3.11. ANALYSE DES POSTES DE TRAVAIL
40
3.11.1. DESCRIPTION DES DOCUMENTS
41
3.11.2. ANALYSE DES MOYENS UTILISENT
42
a) Les Moyens Humains
42
b) Les Moyens Matériels
42
3.12. SCHEMA DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS
43
3.13. TABLEAU DE FLUX
44
3.14. SCHEMA DE FLUX
44
3.15. DICTIONNAIRE D'EXPLOITATION
44
3.16. CRITIQUE DE L'EXISTANT
44
3.17. PROPOSITION DE SOLUTION
45
CONCLUSION PARTIELLE
45
CHAPITRE IV : MODELISATION ET
IMPLEMENTATION
46
4.1. Introduction
46
4.2. MERISE POUR LA
MODELISATION DU SYSTEME
46
4.2.1. Introduction
46
4.3. LES CYCLES DE
MERISE
47
4.4. LE NIVEAU DU CYCLE
D'ABSTRACTION DU MERISES
48
1. Le niveau
conceptuel :
48
2. Le niveau
organisationnel :
48
3. Le niveau
logique :
48
4. Le niveau
physique :
48
4.5. LES DIFFERENTS MODELES DE
MERISE
49
4.5.1. MODELE CONCEPTUEL DE
COMMUNICATION (MCC)
49
4.5.2. MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT
49
4.5.3. MODELE CONCEPTUEL DE
DONNEE (MCD)
50
a)
Entité :
51
b) Les propriétés
ou attributs :
51
c) Association ou
relation:
51
d)
Cardinalités :
51
e) Le schéma de
MCT
53
4.5.4. MODELE LOGIQUE DE
DONNEES (MLD)
53
4.5.5. LE MODELE PHYSIQUE DE
DONNEES
55
CONCLUSION GENERALE
59
BIBLIOGRAPHIE
60
WEBOGRAPHIE
60
Table des matières
61
* 1Alice Tshiela, Cours de
Merise, G3info, U.KA, 2015-2016, Inédit.
* 2KAFUNDA K., Cours de
Méthodes de Recherche Scientifique, G2 info, U.KA, 2013-2014
* 3Kasongo. Cours de
réseaux informatiques, G2 info, U.KA, 2014-2015, Inédit.
* 4
http://www.vulgarisation-informatique.com/client-serveur.php/
le 14 /05 /2016.
* 5
http://www.frameip.com/osi/ le
15/05/2016
* 6
www.opendoc.net/cours/cours-comparaison-modele-osi-modele_tpcip/
le 19/05/2016.
* 7Pujolle. G, Les
réseaux ,6ème Ed. Eyrolles, Paris, Septembre
2007.
* 8 Pujolle. G, Op. Cit
,P. 178.
* 9 André Beauchamp,
La foi à l'heure d'internet, Edition Fides, Paris, 2001,
P.57.
* 10
https://wikipedia-org.com/wiki/Internet?/le
12/01/2016
* 11
https://wikipedia-org.com/wiki/Client-serveur?/
le 06/02/2016
* 12 Nobla Tshilumba, Cours
de programmation web, G3 info, U.KA, 2015-2016, inédit.
|