WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Conception et réalisation d'un site web dynamique pour la réservation. Cas de la SNCC/Kananga

( Télécharger le fichier original )
par Bolide Ntumba Tshilumba
Université Notre Dame du Kasayi - Gradué en Gestion Informatique 2015
  

Disponible en mode multipage

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

EPIGRAPHE

«  Un être qu'on ignore est un être infini, susceptible, en intervenant, de changer notre angoisse et notre fardeau en aurore artérielle. »

René Char.

DEDICACE

A notre Dieu tout puissant, pour la précieuse existence car il nous a fait grâce, car c'est à lui seul que nous devons notre vie.

C'est à lui l'honneur et la gloire.

A notre Père Léon TSHILUMBA KAPILE qui nous a donné le goût de la science et de la vie, a notre inoubliable Mère Esther KAYAYA, pour son amour et sa tendresse irremplaçable, ressentis dès le premier jour de notre venu au monde.

A mes frères et soeurs, le beau-frère Sylvain NKONGOLO, Tintin PADIMBUNGI, Mimi MISENGA, Rose TSHIBOLA, Jose KAPILE, André TSHIPAMBA, Gérard NGALAMULUME, Léon TSHILUMBA, Norbert DIBELAYI, Gisèle NGALULA, Paul KASONGA, Esther KAYAYA, Martine KALANGANAYI, Crispin TSHILULU, Etienne KAPILE.

A nos enfants, Isaac TSHIBUABUA, Joachin MUENGE, Léon TSHILUMBA, Sophie NGOYA.

A mes amis et amies Alli TSHIBUABUA, Albert BUABUA, Pierre MBUYI, George TSHIJUKE, Michel TSHIBUABUA, Michel NGALAMULUME, Noëlla TSHIBOLA, Patience BAKASHALA, Sidonie TSHIAMBILA, Annie TSHIAMPULA, Marie KAPINGA, Daniel TSHISUMPA, Pascaline NGONDO, Consolante NKANUBUNYI et sans oublier Annie KALUBI.

A mon père spirituel Marc LUBOYA pour son encadrement spirituel.

BOLIDE NTUMBA

REMERCIEMENTS

En ce grand jour, où nous achevons notre premier cycle universitaire en science informatique de gestion, il nous revient de reconnaître que parvenir à son issue n'a pas été tâche aisée.

Le présent travail de fin d'étude est le couronnement des années d'accumulation du savoir que nous avons acquis au sein de l'Université Notre Dame du Kasayi. Ce fameux travail a été rédigé sous la direction de l'Assistant NOBLA TSHILUMBA qui de mains de maitre, a su canaliser nos efforts à l'évolution de la science.

Nous lui adressons donc à cet effet nos vifs remerciements. Nous profitons également de cette occasion pour féliciter le Professeur Pierre KAFUNDA, pour ces conseils à l'élaboration de ce fameux travail, coup de chapeau nous voilà au terme.

Que notre grand objectif trouve dans ce travail l'expression de notre gratitude pour l'attention porte à notre personnalité.

Nous exprimons aussi nos sincères remerciements au Doyen de la faculté d'informatique ainsi qu'à tous les personnels qui nous ont parrainent à la réalisation de ce travail.

Une attention plus particulière va à l'endroit de notre stage, le DRN de la SNCC Kananga et l'encadreur ingénieur Félix MUTOMBO.

Nous ne pouvons pas dire le dernier mot sans penser à notre très cher père Albert BUABUA et Papa Ilunga DIBUNGU à la SNCC età tous ce qui nous ont aidé de près au de lion.

BOLIDE NTUMBA

LA LISTE DES ABREVIATIONS

§ XHTML : Exentensible HyperText MarkupLanguage

§ HTML : HyperText Markup Langage

§ PHP : Personnal Home Page

§ NTIC : La Nouvelle Technologie de l'Information et de la Télécommunication

§ ARPANET : Advenced Research Projet Agency NETWORK

§ ASP: Active Server Pages

§ JSP: Java Server Pages

§ DHTML: Dynamic HyperText MarkupLanguage

§ CSS: Cascading Style Sheets

§ DOCTYPE: Document Type

§ DTD: Document Type Definition

§ SQL: Structure QueryLanguage

§ SGBD: Système de Gestion de Base de Données

§ ANSI : american National Standard Institute

§ International Organization for Standardization

§ DRN : Directeur de Région Nord

§ ISO : InternationnalOrganization for Strandardization

§ MCC : Modèle Conceptuel de Communication

§ MCT : Modèle Conceptuel de Traitement

§ MLD : Modèle Logique de Données

§ WWW : Wold Wide Web

INTRODUCTION

Au cours de ces dernières années, les nouvellestechnologiesde l'information et de la communication ont connu un bouleversement marqué par l'apparition de l'internet et par sa croissance exponentielle. Ces années ont aussi été marquées par l''entrée en scène du World Wide Web(WWW), l'une de applications qui a popularisé internet et qui a fait exploser le nombre de ses utilisateurs.

Par conséquent, le web suscite l'intérêt de la majorité des organisations qui se doivent d'enrichir leur présentation via des sites web.

Donc l'investissement dans les techniques de traitement rationnel de l'information serait l'un de principaux moteurs de ces compétitivités.

C'est dans cette perspective d'idée que nous essayons de faire une approche présentative du sujet qui est l'objet d'un travail scientifique élaboré et réalisé en vu de faire montrer des capacités et connaissances acquises à l'Université Notre Dame du Kasayi.

Notre étude portera sur le sujet intitulé : « CONCEPTION ET REALISATION D'UN SITE WEB DYNAMIQUE POUR LA RESERVATION. CAS DE LA SNCC KANANGA ».

En effet, ce qui fait la fierté, la force d'un travail scientifique, c'est son contenu, alors pour ce faire, les études menées pour la réalisation de ce modeste travail de fin de cycle sont basées sur la création d'un site web dynamique qui aujourd'hui fait partie d'un grand service proposé sur le web afin que tout le monde y visite de près ou de loin, mais dans notreproblématique nous aurons à parler de quelques point qui font l'objet de notre étude et donner quelques réponses tirées des différentes questions.

1.1. PRESENTATION DU SUJET

Notre sujet s'intitule : «  CONCEPTION ET REALISATION D'UNE APPLICATION WEB DYNAMIQUE POUR LA RESERVATION DES PLACES DANS UN TRAIN. CAS DE LA SNCC KANANGA ».

1.2. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Vu que la SNCC KANANGA n'avez pas un site web dynamique pouvant lui permettre de faire la publicité sur la toile, l'idée nous ait venu en tête pour lui ajouter un plus en lui ouvrant un site web complet pour son marketing et d'aider ses clients à faire de réservation en ligne ou à distance, et de connaître l'horaire d'arriver et de départ en ligne des Trains. En effet, cette aidée est liée avec l'évolution de la science et celle-ci donne l'accès à tout le monde à se connecter à l'internet à moindre coût et être à la une avec toute les informationspossibles de l'entreprise.

C'est pourquoi, l'intérêt de notre travail est subdivisé en trois parties à savoir :

Ø Pour nous même : Le présent projet nous a donné une expertise du point de vu programmation web et l'esprit de travail en groupe.

Toutes connaissances acquise durant notre étude nous a donner non seulement la maitrise, mais aussi la technicité de gérer de très grand projets informatiques.

Ø Pour la science : Nous ne pouvons pas dire que, nous sommes les premiers à traités de ce sujet. En parcourant quelques travaux élaborés par les autres et leurs méthodes utilisées, nous devons apporter un plus à ce que nos prédécesseurs ont réalisé en utilisant les méthodes et techniques qui n'ont pas été utilisées par d'autres pour arriver à résoudre le fléau trouvé dans cette entreprise.

1.3. PROBLEMATIQUE

Vu le besoin en matière des avancées technologiques au sein de cette entreprise, notre problématique tournera au tour des questions suivantes :

v Comment un client peut demander une réservation en ligne ?

v Comment un client peut accéder à des informations concernant les prix des billets des Trains ?

v Comment un visiteur peut demander une discussion instantanée avec les Guichetiers pour leurs donner l'intégralitédes informations concernant la vente de billet ?

v Comment un visiteur peut percevoir cette entreprise et apprécier la beauté de cette dernière ?

1.4. HYPOTHESE1(*)

Par rapport à toutes ces questions, nous pensons que la mise en place d'un site web dynamique serais la solution à toutes les difficultés qu'éprouvent cette compagnie en rapport avec la vente des billets et la visibilité de ses services partout dans le monde.

1.5. SUBDIVIOSION DU TRAVAIL

Ce travail de fin de cycle est organisé en trois chapitres hormis l'introduction et la conclusion :

v Le premier chapitre défini les « GENERALITE SUR LES RESEAUX INFORMATIQUES »

v Le second chapitre est consacré aux «TECHNOLOGIES WEB ». Il présentelesnotions de base de la programmation web et aussi de la mise en ligne d'un site web en utilisation le logiciel FileZilla.

v Le troisième chapitre est dédié à l' «ANALYSE PREALABLE».

Dans ce chapitre, nous aurons à parler de la gérance de la SNCC KANANGA en utilisant les différentes techniques et méthodes qui nous permettront de connaître les documents qui circulent dans le différent service et les informations qui y circulent.

v Le dernier chapitre de notre travail parlera de la « MODELISATION ET IMPLEMENTATION».

Il sera question ici de présenter l'application dans son entièreté.

1.6. DELIMITATION DU SUJET2(*)

Tout travail scientifique pour être bien compris, doit être délimité dans le temps et dans l'espace.

Ø Délimitation dans l'espace : Le présent travail de la mise en place d'une application web dynamique pour la réservation des places dans un train ne concerne que la SNCC Kananga dans son service de vente de billets.

Ø Ainsi, dans le temps, les données utiles à la réalisation de ce travail ont été récolté au courant de l'année académique 2015 - 2016.

1.7. METHODE ET TECHNIQUE UTILISEES

1.7.1. METHODE

Une méthode est un ensemble de processus effectués permettant de trouver un bon résultat. C'est ainsi que pour l'élaboration de ce travail, on a utilisé la méthode :

ü MERISE

Merise est une méthode d'étude et de réalisation pour le système d'entreprise. Cette méthode est donc utilisé pour faciliter le développement de ces applications en s'appuyant sur les technologies de logicielles actuelles telles que les bases de données relationnelles.

1.7.2. TECHNIQUES

Nous savons tous que, une technique est le moyen utilisé pour avoir une vérité cachée. Mais dans notre cas, nous avons utilisés les techniques suivantes:

v Interview : C'est une opération d'entretien entre le locuteur et l'interlocuteur. C'est une technique qui nous a aidés à avoir les informations fiables pour la réalisation de ce projet.

v Documentaire : Cette technique est utilisée dans le cas d'organisation ou de l'entreprise qui garde encore des archives, lesquels aideront de référence ou la récolte des données désirées.

CHAPITRE I : GENERALITE SUR LES RESEAUX INORMATIQUES

1. INTRODUCTION

Les nouvelles technologies de l'information et de la communication ont connus une véritable révolution marquée par l'internet et son développement exponentielle. Et cette explosion d'internet et plus particulièrement la fondationsur laquelle elle est construite : le web, considéré comme un outil d'échange des informations et de création de nouveaux services.

Ce présent chapitre donne d'abord une introduction aux réseaux informatiques en générales et en particulier les équipements d'interconnections.

1.1. RESEAUX INFORMATIQUES3(*)

1.1.0. Définition

Un réseau informatique est une interconnexion des matériels informatiques en vue d'échanger les informations ou données.

1.1.1. Architecture des réseaux informatiques (Egal à Egal)

Dans une architecture égal à égal (Peer to Peer, notée P2P), contrairement à une architecture de type Client-serveur, il n'y a pas de serveur dédié : tous les ordinateurs sont égaux, chacun resteindépendant toute en mettant certaine ressources à la disposition des autres.

1) Avantage de l'architecture poste à poste

v L'architecture d'égal à égal est simple à mettre en oeuvre et son coût est réduite par rapport au coût engendré par la mise en oeuvre d'une architectureClient-serveur.

v La mise hors services d'un poste n'atteint pas gravement le fonctionnement du reste du réseau.

2) Inconvénients des réseaux postes à postes

Les réseaux d'égal à égal présentent un certain nombre d'inconvénients :

v Ce système n'est pas centralisé, ce qui le rend très difficile à administrer ;

v La sécurité est plus difficile à assurer, compte tenu des échanges transversaux ;

v Aucun poste des réseaux ne peut être considéré comme faible.

Ainsi, les réseaux d'égal à égal sont utilisé pour des applications nécessitant ni un haut niveau de sécurité ni une disponibilité maximale.

1.2.2. ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR4(*)

Le principe d'un environnent client-serveur est basé sur le fait que des machines clientes communiquent avec un serveur qui leur fournit des services qui sont des programmes fournissant des données telles que l'heure, pages web, fichiers, et.

Les services sont exploités par des programmes appelés clients, s'exécutant sur les machines dites clientes. Cette architecture présente une hiérarchie à deux niveaux.

· Le serveur : c'est un ordinateur qui centralise les ressources partagées entre les postes. Ainsi, les ressources sont disponibles en permanence. Afin de satisfaire les requêtes (demandes) de l'ensemble des postes du réseau, le serveur procède une configuration évoluée : un (ou plusieurs) processeur (s) rapide (s), une mémoire centrale des grandes taille, un ou plusieurs disques durs de grandes capacités, etc.

· Les clients : les postes connectés sur le réseau sont de simple station de travail, qui exploite les ressources mises à leur disposition par le serveur.

Leurs configurations sont adaptées aux besoins d'utilisateurs.

Fig.1-1 : Le principe d'un environnent client-serveur

1) AVANTAGE DE L'ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR

Les principaux atouts d'un réseau client/serveur sont :

v Une administration au niveau du serveur de ressources centralisées : étant donné que le serveur est au centre d'un réseau, il peut gérer des ressources communes à tous les utilisateurs, comme par exemple une base de données centralisée, afin d'éviter les problèmes de redondances et des contradictions.

v La sécurité : l'application d'une stratégie de sécurité est plus facile à mettre en oeuvre vue que les nombres de point d'accès sont limités.

v Un réseau évolutif : grâce à cette architecture il est possible de supprimer ou de rajouter des clients sans perturber le fonctionnement d réseau et sans modification majeure.

2) INCOVENIENTS DE L'ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR

Etant donné que tout le réseau est articulé autour du serveur, sans mise hors service engendre la paralysie de tout le réseau. En plus, l'implémentation d'un réseau client/serveur entraine un coût élevé et demande un personnel qualifié pour l `administrer.

1.2.2.1. TYPE DES CLEINTS-SERVEURS

A ce niveau, nous distinguons quatre types d'architectures client-serveur :

Ø Architecture deux tiers (deux niveaux)

Ø Architecture trois tiers (trois niveaux)

Ø Architecture N-tiers (N -niveaux)

Ø Architecture Gbase de données repartie.

1.3. CLASSIFICATION DES RESEAUX

Comme nous l'avons signalé, un réseau informatique est un ensemble d'équipements matériels et logiciels interconnectés les uns avec les autres par le canal de transmission dans le but de partager les ressources (données) ; ces équipements peuvent être éloignés ou rapprochés.

Suivant l'éloignement entre ces équipements, on distingue les réseaux suivants :

· Le PAN (Personal Area Network)

· Le LAN (Local Area Network)

· Le MAN (Métropolitain Area Network)

· Le WAN (Wide Area Network)

· Le CAN (Campus Area Network)

· Le SAN (Stockage Area Network)

· Etc.

a. LE PAN

C'est un réseau personnel entre un ordinateur et un ordinateur, entre deux téléphones voir plusieurs téléphones ou ordinateurs utilisant les technologies suivantes :

Ø Câblé : câble USB

Ø Sans fil : infrarouge, Bluetooth.

b. LE LAN

C'est un réseau local à l'échelle d'un bâtiment, immeuble, ayant une portée de un kilomètre (actuellement 10 Km), utilisant les technoïdes suivantes :

ü Câblé : ETHERNET, TOKEN-RING, FDDI, ATM, etc.

ü Sans fil : Wifi, hyperplan, ...

c. LE MAN

Le réseau métropolitain est à échelle d'une ville ou l'interconnexion des différentsLan sur la ville, utilisant les technologies suivantes :

v Wimax ;

v Etc.

d. LE WAN

C'est un réseau étendu à l'échelle d'un pays, d'un continent ou interplanétaire. Le Wan utilise les technologies suivantes :

v FDDI

v ATM

v RTC

v RNIS

v GSM

v VSAT, Etc.

e. LE CAN

Le réseau CAN, est un réseau des universités ou des entreprises, utilisant bien sûr les technologies ci-après :

ü Câblé : ETHERNET, TOKEN-RING, FDDI, ATM etc.

f. LE SAN

Le SAN est un réseau de stockages de données qui s'appuie sur le RAID.

Ce dernier utilisant les technologies suivantes :

· Câblé : ETHERNET, TOKEN-RING, FDDI, ATM etc.

1.4. ARCHITECTURE EN COUCHE

1.4.1. Le modèle OSI5(*)

1.4.1.1. Introduction

Les constructeurs informatiques ont proposés les architectures réseaux propres à leurs équipements. Par exemple, IBM a proposé SNA, DEC a proposé DNA ...ces architectures ont toutes le même défaut : du fait de leurs caractères propriétaires, il ne pas facile de les interconnectés, à moins d'un accord entre constructeur. Ainsi, pour éviter la multiplication des solutions d'interconnexion d'architectures hétérogènes, l'ISO (international standard organisation), organisme dépendant de l'ONU est composé de 140 organismes nationaux de normalisation, a développé un modèle de référence appelée modèle OSI (open system interconnexion).

Ce modèle décrit les concepts utilisent et la démarche à suivre pour normaliser l'interconnexion de système ouvert (un réseau est composé des systèmes ouvert lorsque la modification, la jonction ou la suppression d'un de ces systèmes ne modifie pas le comportement global de réseau).

Au moment de la conception de ce modèle, la prise en compte de l'hétérogénéité des équipements étaient fondamentales. En effet, le modèle devrait permettre l'interconnexion avec le système hétérogène pour de raisons historiques et économiques. Il ne devait en outre pas favoriser un fournisseur particulier. Enfin, il devait permettre de s'adapter à l'évolution de flux d'informations à traiter sans remettre en cause des investissements antérieurs.

Cette prise en compte de l'hétérogénéité nécessite donc l'adoption de règles communes de communications et coopérations entre les équipements-à-d ce modèle devait logiquement mène à une normalisation internationale de protocoles.

Le modèle OSI n'est pas une véritable architecture de réseau, car il ne précise pas réellement les services et les protocoles à utiliser pour chaque couche. Il décrit plutôt ce qui doit faire les couches. Néanmoins et, ceci de manière indépendante, à d'autres modèles. Comme le fait tout constructeur.

Les premiers travaux portant sur le modèle OSI datent 1977. Ils ont été basés sur l'expérience acquise en matière de grands réseaux et les réseaux privés plus petits ; le modèle devait en effet être valable pour tous les types de réseaux.

En 1978, 12 constructeurs européens, rejoint en 1985 par les grands constructeurs américains, adoptent le standard.

1.4.1.2. LES DIFFERENTES COUHES DU MODELE OSI

Le modèle OSI comporte 7 couches :

Fig. 1-2 : Les 7 couches du modèle OSI

1.4.1.3. LES PRINCIPES

Les principes qui ont conduit à ces 7 couches sont les suivants :

Ø Une couche doit être créée lorsqu'un nouveau niveau d'abstraction est nécessaire ;

Ø Chaque couche à des fonctions bien définies ;

Ø Les fonctions de chaque doivent être choisies dans l'objectif de la normalisation internationale de protocoles ;

- Les frontières entre couche doit être choisies de manière à minimiser le flux d'informations aux interfaces,

- Le nombre des couches doit être tel qu'il n'ait pas cohabitation de fonctions trèsdifférentes au sien d'd'un même couche et que l'architecture ne soit pas trop difficile à maitriser.

Les couches de basse (1,2,3 et 4) sont nécessaires à l'acheminement des informations entre les extrémitésconcernées et dépendent du support physique.

Les couches hautes (5,6 et 7) sont responsables du traitement de l'information relative à la gestion des échanges entre systèmes informatiques. Par ailleurs, les couches 1 à 3 interviennent entre machines voisines, et non entre les machines d'extrémités qui peuvent être séparées par plusieurs s routeurs. Les couches 4 à 7 sont au contraire des couches qui n'interviennent qu'entre hôtes distants.

a) La couche physique

La couche physique s'occupe de la transmission des bits de façon brute sur un canal de communication. Cette ouche doit garantir la parfaite transmissiondes données (Un bit 1 envoyé doit bien reçu comme bit valant 1).

Concrètement, cette couche doit normaliser les caractéristiques électriques (un bit 1 doit être représenté par une tension de 5v, par exemple), les caractéristiques mécaniques (forme des connecteurs, de la topologie...), les caractéristiques fonctionnelles des circuits de données et les procédures d'établissement, de maintien et de libération du circuit de données.

L'unité d'information typique de cette couche est le bit, représenté par une certaine différence de potentielle.

b) La couche liaison de données

Son rôle, est un rôle de « liant» : elle va transformer la couche physique en n une liaison a priori exemple d'erreurs de transmission pour la cohue réseau. Elle fractionne les données d'entrées de l'émetteur en trames, transmet ces trames en séquence et gère les trames d'acquittement renvoyées par le récepteur. Rappelons que pour la couche physique, les données n'ont aucune signification particulière. La couche liaison de données doit donc être capable de reconnaitre les frontières des trames. Cela peut poser quelques problèmes, puisque les séquences de bits utilisés pour cette reconnaissance peuvent apparaitre dans les données.

La couche liaisonde données doit être capable de renvoyer une trame lorsqu'il y a eu un problème sur la transmission. De manière générale, un rôle important d cette couche est la détection et la correction d'erreurs intervenues sur la couche physique. Cette couche intègre également une fonction de contrôle de flux pour éviter l'engorgement du récepteur.

L'unité d'information de la couche liaison de données est la trame qui est composées de quelques milliers d'octets maximum.

c) La couche réseau

C'est la couche qui permet de gérer le sous réseau, le routage des paquets sur ce sous réseau et l'interconnexion des différents sous réseaux entre eux.

Au moment de sa conception, il faut bien déterminer le mécanisme de routage et de calcul des tables de routage (tables statistiques ou dynamique...).

La couche réseau contrôle également l'engorgement du sous réseau. Cette couche fait l'adressage IP et le routage. Le routage, c'est l'opération de la meilleure route pour un paquet. Et fait encore la gestion et la congestion des informations.

L'unité d'information de la couche réseau est le paquet(Datagramme).

d) La couche transport

Cette couche est responsable du bon acheminement des messages complets au destinataire. Le rôle principal de la couche transport est de prendre les messages de la couche session, de les découper s'il le faut en unités plus petites et de les passer à la couche réseau, tout en s'assurant que les morceaux arrivent correctement de l'autre côté. Cette couche effectue donc aussi le réassemblage du message à la réception des morceaux.

Cette couche est également responsable de l'optimisation des ressources du réseau : en toute rigueur, la couche transport requise par la couche session, mais cette couche est capable de créer plusieurs connections réseaux par processus de la couche session pour répartir les données, par exemple pour améliorer le débit. A l'inverse, cette couche est capable d'utiliser une seule connexion réseau pour transporter plusieurs messages à la fois grâce au multiplexage. Dans tout le cas, tout ceci doit être transparent pour la couche session. Cette couche est également responsable du type de service à fournir à la couche session, et finalement aux utilisations du réseau : service en mode connecté ou non, avec ou sans garantie d'ordre délivrance, diffusion du message à la fois... cette couche est donnée également responsable de l'établissement et du relâchement des connexions sur le réseau. Un des tous derniers rôles à évoquer est le contrôle de flux. C'est l'un de couche le plus importante, car c'est elle qui fournit le service de base à l'utilisateur, et c'est par ailleurs elle qui gère l'ensemble du processus de connexion, avec toutes les contraintes qui y sont liées.

L'unité d'information dans cette dernière est le message.

e) La couche session

Cette couche organise et synchronise les échanges entre tâches distantes. Elle réalise le lien entre les adresses logiques et les adresses physiques des tâches réparties. Elle établit également une liaison entre deux leur dialogue (qui doit parler, qui parle...).

Dans ce dernier cas, ce service d'organisation s'appelle la gestion du jeton. La couche session permet aussi d'insérer des points de reprise dans le flot de données de manière à pouvoir reprendre le dialogue après une panne.

f) La couche présentation

Cette couche s'intéresse à la synase et à la sémantique des données transmises : c'est elle qui traite l'information de manière à la rendre compatible entre les taches communicantes. Elle va assurer l'indépendance entre l'utilisateur et le transport de l'information.

Typiquement, cette couche peut converti les données, les renforcer, les crypter et les compresser.

g) La couche application

La présente conche le point de contact entre l'mutilateur et le réseau. C'est donc elle qui va apporter à l'utilisateur les services de base offerts par le réseau, comme par exemple le transport des fichiers, la messagerie...

Fig.1-3 : Ajout des entêtes dans chaque couche

1 .4.2.Le modèle de référence TCP / IP6(*)

Même si le modèle de référence OSI est universellement reconnu, historiquement et techniquement ; la norme ouverte d'internet est le protocole TCP / IP.

Le modèle de référence TCP/IP et la pile de protocole TCP/IP rendent possible l'échange de données entre deux ordinateurs, partout dans le monde, à une vitesse quasi équivalente à celle de la lumière.

Le modèle TCP/IP représente une importance historique semblable aux normes qui ont permis l'essor des industries du téléphone, de l'électricité, du chemin de fer, de la télévision et de la bande vidéo.

1.4.2.1. Les couches du modèle de référence TCP/IP

Le ministère américain de la défense a créé le modèle de référence TCP/IP parce qu'il y avait bien d'un réseau pouvant résister à toutes les conditions, même une guerre nucléaire. Imaginez en effet un monde en guerre, quadrillé de connexions de toutes sortes : fils, micro-ondes, fibres optiques et liaison satellites, Imaginez ensuite que vous avez besoin de faire circuler les informations/ données (sous forme de paquets), peu importe la situation d'un noeud ou d'un réseau particulier de l'inter réseau (qui pourrait avoir été détruit pendant la guerre).

Le ministère de la défense veut que ses paquet se rendent à chaque fois d'un point quelconque à tout autre point, peu importe les conditions. C'est ce problème de conception très épineux qui a mené à la création du modèle TCP/IP qui, depuis lors, est devenu la norme sur laquelle repose internet.

Le modèle TCP/IP comporte quatre couches :

v La couche application ;

v La couche transport ;

v La couche internet ;

v La couche d'accès au réseau.

Comme vous pouvez la constaté, certaines couches du modèle TCP/IP porte le même nom que de couches du modèle OSI.

Il ne faut pas confondre les couches de deux modèles, car la couche application comporte des fonctions différentes dans chaque modèle.

APPLICAITION

TRANSPORT

INTERNET

ACCES AU RESEAU

Fig. 1-4:Les 4 couches du modèle TCP/IP

a) La couche application

Les concepteurs du modèle TCP/IP estimaient que les protocoles de niveau supérieurs devaient inclure les détails des couches sessions et présentation. Ils sont donc simplement créé une couche application qui gère les protocoles de haut niveau, les questions de représentation, le code et le contrôle du dialogue. Le modèle TCP/IP regroupe en seule couche tous données sont séparées de manière adéquate pour la couche suivante.

b) La couche transport

La couche transport est chargée des questions de qualité de service touchant la fiabilité, le contrôle de flux et la correction ces erreurs. L'un de ses protocoles, TCP fourni d'excellents moyens de créer, en souplesse, les communications réseau fiable. Il établit un dialogue entre l'ordinateur de destination pendant qu'il prépare les informations de couche application en unité appelées Segments. Un protocole orienté connexion ne signifie pas qu'il existe un circuit entre les ordinateurs en communication (ce quoi correspondait à une commutation de circuits). Ce type de fonctionnement indique qu'il ya un échange de segments de couche 4 entre les deux ordinateurs hôtes afin de confirmer l'existence logique de la connexion pendant un certain temps. C'est que l'on appelle la communication de paquets.

c) La couche internet

Le rôle de la couche internet consiste à envoyer des paquets sources à partir d'un réseau quelconque de l'inter réseau et à les aires parvenir à destination, indépendamment du trajet et des réseaux traversés pour y arriver. Le protocole IP.L'identification du meilleur chemin de couche.

d) La couche d'accès au réseau

Le nom de cette couche a un sens très large et peut parfois à confusion. On lui donne également le nom de couche hôte-réseau. Cette couche se charge de tout ce dont un paquet IP a besoin pour établir une liaison physique, puis une autre liaison physique. Cela comprend les détails sur les technologies LAN et WAN, ainsi que tous les détails sans les couches physiques et liaison de données du modèle OSI.

1.4.3. Comparaison entre le modèle OSI et le modèle TCP/IP

En comparant le modèle OSI ou modèle TCP/IP, vous remarquerez des similitudes et des différences.

1.4.3.1. Similitudes

Ø Tous deux comportent des couches

Ø Tous deux comportent une couche application, bien que chacune fournisse des services très différents.

Ø Tous deux comportent des couches réseau et transport comparables.

Ø Tous deux supposent l'utilisation de la technologie de communication de paquets (et non de communication circuits).

Ø Les professionnels des réseaux doivent connaitre les deux modèles.

1.4.3.2. Différences

v TCP/IP intègre la couche présentation et la couche session dans sa couche application.

v TCP/IP regroupe les couches physiques et liaison de données OSI au sein d'une seule couche.

v TCP/IP semble plus simple, car il comporte moins de couches.

v Les protocoles TCP/IP constituent la norme sur laquelle s'est développé internet. Aussi, le modèle TCP/IP a-t-il bâti sa réputation sur ses protocoles.

En revanche, les réseaux ne sont généralement pas architecturés du protocole OSI, bien que le modèle OSI puisse être utilisé comme guide.


Fig. 1-5 : Différence entre les 7couchesdu modèle OSI et modèle TCP/IP

D'après cette figure, on peut dire que, les couches application, présentation et session du modèle OSI sont devenu une même couche TCP/IP.

1.5. Topologie et équipement réseau

1.5.1. Topologie

Une topologie de réseau informatique correspond à l'architecture (physique ou logique) de celui-ci, définissant hiérarchie éventuelle entre eux.

Elle peut définir la façon dont les équipements sont interconnectés et la façon dont les données transitent dans les lignes de communication (topologie logique).

1.5.1.1. Topologie physique des réseaux

La topologie physique est la façon dont les équipements (ordinateurs, HUB, SWITCH, Router,...) sont reliés entre eux.

Il en existe trois :

v La topologie en bus

v La topologie en étoile

v La topologie en anneau.

a) La topologie en bus

La topologie en bus est caractérisée par un câble central sur lequel tous les membres du réseau sont connectés.

Dans la ce type d'architecture, l'information est envoyée dans les deux sens donc le serveur est au centre. L'émission de données sur le bus se fait après écoute et l'absence du signal sur le bus. Dans cette topologie, si on envoie au même instant deux signaux, il aura la collision. En cas de rupture du support de transmission le réseau est par terre.

b) La topologie en étoile

La topologie en étoile est caractérisée par un câble central sur lequel tous les membres du réseau sont connectés.

Le HUB permet le transport à 10 MB/S alors que le SWITCH permet le transport à 1000 Mb/S, il s'utilise au moins dans un réseau de 50 postes (ordinateur).

Cette topologie est la plus utilisée, et s'adapte pour de petit ou pour de grand réseau. Si un équipement central (HUB ou SWITCH) tombe en panne, le réseau est par terre.

c) La topologie en anneau

La topologie en anneau tout comme en étoile est caractérisé par un point central sur lequel tous les membres du bureau sont connectés. Ce point central est communément appelé MAU(Multiple Accès Unit).

Cette topologie utilise un système de jeton qui circuit d'un ordinateur à un autre. Dans cette technologie, il n'ya pas de collision. Ici, l'ordinateur qui tombe en panne, il va perturber l'échange des informations.

1.5.1.2. La topologie logique de réseaux

Dans la topologie logique de réseaux, nous voyons le parcourt de l'information.Et nous avons comme topologie logique :

ü ETHERNET

ü TOKEN-RING

ü FDDI,....

a) ETHERNET

C'est une technologie à bande partagée qui utilise le principe CSMA/CD (Carrier Sens Multiple Detection With Collision Detection) pour éviter la collision.

Cette technologie est utilisée dans la topologie physique en bus et en étoile. Et nous avons plusieurs technologies à l'internet :

Ø ETHERNET : 10Mb/S

Ø FASTETHERNET : 100Mb/S

Ø GIGAETHERNET : 10000Mb/S

b) TOKEN-RING

Le TOKEN-RING, c'est une topologie logique qui travail avec la topologie physique en anneau.

c) FDDI(Fiber Distributed Data Interface)

Cette topologie logique a été mise e place sur le gros débit. Elle utilise un principe de double jeton.

1.5.2. Equipement d'interconnexions de réseaux informatiques7(*)

Nous savons tous que, les équipements d'interconnections sont des briques constitutives des réseaux informatiques.

L'interconnexion des réseaux c'est la possibilité de faire dialoguer plusieurs sous-réseaux initialement isolés, par l'intermédiaire de périphériques (répéteur, concertateur, pont, routeur, modem), ils servent aussi à interconnecter les ordinateurs d'une organisation, d'un campus, d'un établissement scolaire d'une entreprise.

1.5.2.1. Répéteur

Un répéteur est un équipement réseau qui régénère un signal pour vaincre la limite d'un support de transmission. Un répéteur fonctionne à la première couche de l'OSI (physique).

1.5.2.2. Concentrateur (HUB)

C'est un répéteur multiport, qui fonctionne à la deuxième couche de l'OSI. Donc du côté physique. On dit généralement que le HUB est un domaine de collision.

1.5.2.3. Pont

C'est un équipement réseau qui fonctionne à la deuxième couche de l'OSI. Donc du côté liaison de données. Son rôle est d'isolé deux domaines de collision.

Lorsqu'il ya une collision dans A, B n'aura pas le problème le pont va gérer.

1.5.2.4. Commutateur(SWITCH)

Le commutateur est un HUB qui intelligent qui fonctionne à la deuxième couches du modèle OSI, donc du côté liaison de données. On l'appel HUB intelligent parce que la collision est constatée au niveau de port.

Le SWITCH ordinaire ne pas la possibilité de créer le sous domaine de BROADCAST ou de créer de LAN logique (virtuel).

1.5.2.5. Routeur

C'est un équipement réseau qui interconnecte des réseaux différent (par la technologie et par les adresses). Ce dernier fonctionne à la troisième couche de l'OSI, donc du côté réseau.

Il est équivalent d'ordinateur spécialisé, il a un système d'exploitation réseau (OS).

1.5.2.6. Passerelle (Gateway)

C'est un système matériel et logiciel permettant de faire entre deux réseaux afin de faire l'interface avec le protocole du réseau différent. C'est aussi un interpréteur.

1.5.2.7. VSAT

Les réseaux de communication par satellite utilisent une station relais dans l'espace (le satellite) servant à relier (au moins) deux émetteurs/récepteurs hertziens au sol, communément appelés stations terrestres équipées d'antennes dont la taille est comprise en général entre 0.96 m et 2.4 m de diamètre sont appelées « terminaux à très petite ouverture » ou VSAT.

CONCLUSION PARTIELLE

En partantde toutes les notions vues dans ce chapitre, les architectures, les classifications des réseaux et les équipements d'interconnexions réseaux, nous pouvons arriver à conclure que sans ces architectures, ces classifications des réseaux, tous les modèles OSI et TCP/IP et équipements d'interconnexions réseaux, on ne peut pas parler de l'internet. Donc toutes ces notions sont de briques de l'internet.

CHAPITRE II : TECHNOLOGIESWEB

2.0. Introduction

Avant d'aborder toute les notions sur la technologie web, il faut d'abord cerner toute les notions qui constituent la base du web.

Nous savons tous que tout le langage du web réponse sur le langage XHTML. En revanche, un apprenti concepteur des sites web, doit avoir les connaissances solides dans le langage dit de base, parce que ce dernier est considéré comme la brique du langage du web. Et aussi, il doit être capable de connaître le fonctionnement des sites web statiques et dynamiques mais aussi, de donner une distinction entre un client et un serveur web.

Le présent chapitre est consacré aux langages du web et donne une petite description sur le web et ses services. Et aussi, il donne une différence types de sites web.

2.1. Internet8(*)

2.1.1. Définition

L'internet est le réseau information mondial accessible au public. C'est un réseau de réseaux, sans cette névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaire, commerciaux et gouvernementaux.

2.1.2. Les services de l'internet

Par services de l'internet, on sous-entend la possibilité que l'internet nous donne pour que nous puissions avoir l'accès à des informations distantes.

L'information est transmise par internet grâce à un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données, qui permet l'élaboration d'applications et de services variés comme :

Ø Le courrier électronique ;

Ø La messagerie instantanée ;

Ø La world wide web ;

Ø Etc.

L'internet ayant été popularisé par l'apparition de la world wide web (www), les deux sont parfois confondus par le public non averti.

Le World Wide Web n'est pourtant que l'une des applications d'internet.

2.1.3. L'accès à internet

L'accès à internet peut être obtenu grâce à un fournisseur d'accès via divers moyens de communication électronique :

1) Soit à filaire

Ø Le réseau téléphonique commuté (bas débit)

Ø ADSL (Asymmetric Digital Subsciber Line)

Ø Fibre optique.

2) Soit sans fil

Ø WIMAX

Ø Par Satellite

Ø 3G+

Ø 4G

2.2. Architecture client/serveur9(*)

L'environnement client-serveur désigne un mode communication à travers un réseau entre plusieurs programmes ou logiciels: l'un, qualifié de client, envoie des requêtes ; l'autre ou les autres, qualifiés de serveurs, attendent les requêtes des clients et y répondent.

Par extension, le client (ou la machine cliente) désigne également l'ordinateur sur le lequel est exécuté le logiciel serveur.

En général, les serveurs sont des ordinateurs dédiés au logiciel serveur qu'ils abritent, et dotés de capacités supérieures à celles des ordinateurs personnels en ce qui concerne la puissance de calcul,les entrées-sorties et les connexions réseau.10(*)

Les clients sont souvent des ordinateurs personnels ou des appareils individuels (téléphone, tablette), maispas systématiquement. Un serveur peut répondre aux requêtes d'un grand nombre de clients.

2.2.1. Caractéristiques d'un processus serveur11(*)

v Il attend une connexion entrante sur un ou plusieurs ports réseaux locaux ;

v A la connexion d'un client sur le port en écoute, il ouvre un socket local au système d'exploitation ;

v A la suite de la connexion, le processus serveur communique avec le client suivant le protocole prévu par la couche application du modèle OSI.

2.2.2. Caractéristiques d'un processus client

v Il établit la connexion au serveur à destination d'un ou plusieurs ports réseaux ;

v Lorsque la connexion est acceptée par le serveur, il communique comme le prévoit la couche application du modèle OSI.

Fig. 2-1 : Un processus Client-serveur.

Le client et le serveur doivent bien sûr utilisé le même protocole de communication au niveau de la couche transport du modèle OSI.

2.3. Types de sites web

Nous distinguons deux types de sites web :

Ø Statique ;

Ø Dynamique.

2.3.1. Les sites web statiques

Les sites statiques, ce sont des sites réalisés uniquement à l'aide des langages HTML et CSS. Ils fonctionnent très bien mais leur contenu ne peut pas être mis à jour automatiquement, il faut que le propriétaire du site(Webmaster) modifie le code source pour y ajouter des nouvelles informations. Ce n'est pas très pratique quand on doit chaque fois modifier le code source pour mettre à jour les informations sur son site statique chaque jour.

Ce type de site se fait de plus en plus rare aujourd'hui, car dès que l'on rajoute un élément interaction (comme un formulaire des contacts), on ne parlera d'un site dynamique.

Un site web dit statique est suffisant, lorsqu'ils ne contiennent quelques dizaine des pages mais son exploitation et sa mise à jour peuvent atteindre des limites suivantes :

v Une maintenance difficile due à l'obligation de modifier manuellement chacune des pages (notamment dans le cas où toutes les pages possèdent un même menu) ;

v L'impossibilité de renvoyer une page personnalisée selon le visiteur ;

v L'impossibilité de créer une page dynamique selon les entrées d'une base de données.

a) Fonctionnement d'un site statique

ü Le client demande au serveur à voir une page web ;

ü Le serveur lui répond en lui envoyant la page réclamée.

Fig.2-2 : Demande de la page web avec un site statique.

2.3.2. Les sites web dynamiques12(*)

Les sites dynamiques sont plus complexe, ils utilisent d'autres langages en plus de HTML te CSS, tels que PHP et MySQL.

Le contenu de ces sites web est dit « dynamique » parce qu'il peut changer sans l'intervention du concepteur (webmaster).

a) Fonctionnement d'un site web dynamique

Lorsque le site est dynamique, li ya une étage intermédiaire :

Ø Le client demande au serveur à voir une page web ;

Ø Le serveur lui envoie la page spécialement pour le client ;

Ø Le serveur lui envoie la page qu'il vient de générer.

Donc, la page web est générée à chaque fois qu'un client la réclame. C'est vraiment ce qui rend les sites dynamiques ou vivants.

Fig.2-3 : Transfert avec un site dynamique.

2.4. Les outils nécessaires

2.4.1. L'éditeur de texte

Nous savons tous que les éditeurs de texte, ce sont des programmes dédiés bien sûr à l'écriture de code.

On peut en général les utiliser pour des multiples langages, pas seulement XHTML et CSS (Cascading Styles Sheets). Il existe une grande quantité d'éditeur de texte, je ne pourrai pas tous vous les présenter. Néanmoins, je vous inviter à pencher sur Notepad++, l'un des plus utilisés d'entre eux sous Windows.

2.4.2. Les navigateurs web

Un navigateur est un logiciel conçu pour consulter et afficher le World wide web (www). Techniquement, c'est au minimum un client HTTP.

Il existe de nombreux navigateurs web, pour toutes sortes de matériels (ordinateur personnel, tablette tactile, téléphones mobiles, etc.) et pour différents système d'exploitation (GNU/ Linux, Windows, Mac OS, iOS et Android).

Les plus utilisés à l'heure actuelle sont Google Chrome, Mozilla Firefox, Internet Explorer, Safari et Opera.

Le principale problème, vous vous en rendez vite compte, c'est que les navigateurs n'affichent pas tous les sites exactement de la même façon, il faudra vous y faire et prendre l'habitude de vérifier régulièrement que votre site fonction correctement sur la plupart des votre navigateurs.

Ce que nous pouvons savoir est que, tous les navigateurs ne connaissent pas toujours les dernières fonctionnalités de HTML et CSS.

Par exemple, Internet Explorer a longtemps été en retard sur certaines fonctionnalités CSS (et paradoxalement, il a aussi été en avance sur quelques autres).

2.4.2.1. Différents types de navigateurs web

Généralement, nous distinguons plusieurs types de versions des navigateurs qui sont :

v Firefox 2, Firefox 3.5, Firefox 3.6, Firefox 4, Firefox Mobile ;

v Internet Explorer 6, Internet Explorer 7, Internet Explorer 8, Internet 9, Internet Explorer Mobile ;

v Chrome 8, Chrome 9, Chrome 10.

v Opéra, Opéra Mini ;

v Apple Safari, Safari Mobile ;

v Android Browser,...

Il existe des versions différentes des navigateurs selon le type de machines : téléphone mobile, tablette ou ordinateur. La fonction principale d'un navigateur web est de permettre la consultation d'informations disponibles (« ressources» dans la terminologie du web) sur la world wide web.

2.5. Le langage du web

2.5.1. XHTML

XHTML (extensible HyperText Markup Language) est un langage de balisage (dit aussi langage de marquage) qui permet de structurer de contenu des pages web dans différents éléments.

L'entrée du web dans le grand public nécessitait de répondre à une demande d'interfaces graphiques plus d'esthétiques et l'absence d'un langage particuliers dédié uniquement à la présentation poussait effectivement les webmasters à utiliser tous les moyens pour créer des présentations visuelles agréables. L'apparaitront de CSS (Cascading Styles Sheets) en 1996 aurait dû résoudre le problème du détournement de HTML de sa destination première.

Code XHTML

<p> Bonjour, je suis <em> paragraphe</em> de texte </p>

2.5.2. CSS

Le CSS (Cascading Style Sheets) est un langage de mise en forme des sites web, donc du côté vue. Alors que, le langage HTML permet d'écrire le contenu de nos pages web et de les structurer. Le langage CSS s'occupe de la mise en forme et de la mise en page.

C'est en CSS que l'on choisit notamment la couleur de texte, la taille des menus, le corps de la page web et bien d'autres choses encore.

Code CSS

P

{

Text-align: center;

Font-weight: bold;

Font-size: 10%;

}

2.5.3. JAVASCRIPT

Le JavaScript est un langage de programmation de scripts principalement employé dans les pages web interactive mais aussi pour les serveurs. C'est un langage orienté objet à prototype, c'est-à-dire que les bases du langage et ses principales interfaces sont fournies par des objets qui ne sont pas des instances de classes, mais qui sont chacun équipés de constructeurs permettant de créer leurs propriétés, et notamment une propriété de prototype qui permet d'en créer des objets héritiers personnalités.

En outre, les fonctions sont des objets de première classe.

Code JavaScript

Windows. Alert («Hello World»);

2.5.4. PHP (Personnel Home Page)

Le langage PHP est un langage que seuls les serveurs comprennent e qui permet de rendre nos sites dynamiques. Avant que celle-ci ne soit envoyée au navigateur(le client) qui en demande l'affichage.

Le PHP est un langage des scripts, un langage de programmation orienté objet. Il est un langage très puissant et il a pu s'imposer comme langage de référence dans le domaine de la création des sites web dit dynamique.

Pour que le PHP fonctionne, il faut que le serveur contienne un moteur PHP. Le rôle du moteur PHP est d'interpréter le PHP, puis le convertir en HTML avant de l'envoyer au client (navigateur web de la machine cliente).

2.5.4.1. Les concurrents de PHP

HTML et CSS n'ont pas de concurrent car ce sont de standards. Mais, le langage PHP a aussi ceux concurrent parmi eux on peut citez le suivants :

v ASP.NET : conçu par Microsoft, il exploite le Framework 3.NET bien connu des développeurs C#.NET et que vous ne voulez pas être dépassés.

v Ruby ou Rails : Très actif, ce Framework s'utilise avec le langage Ruby et permet de réaliser des sites dynamiques rapidement en suivant certaines conventions.

v Django : il est similaire à Ruby ou Rails, mais il s'utilise en langage Python.

v Java et les JSP (Java Serveur Pages) : plus couramment appelé « JEE », il est particulièrement utilisé dans le monde professionnel.

Il demande une certaine rigueur. La mise en place d'un projet JEE est traditionnellement un peu plus lourde mais les systèmes est apprécié des professionnels et des instructions.

Cette liste ne pas exhaustive, mais cela devrait déjà vous donner l'idée sur les concurrents de PHP. Il est aussi possible d'utiliser par exemple le langage C ou le C++, bien que ce dernier soit plus complexe et pas forcement toujours très adapté.

2.5.4.2. Les tags (ou balises) PHP

Lorsque vous enregistrez votre ficher texte avec l'extension .php, vous devez avoir plusieurs codes dedans : du (x)HTML, du JavaScript, du CSS. Mais aussi du PHP. Comment l'analyseur syntaxique de PHP fait-il la différence ?

Il sait en fait que le code est délimité par des balises appelées tags. Ces tags sont un peu spéciaux, ils se présentent sous cette forme :

Code PHP

< ?php

// Code PHP ici

?>

Le code PHP est donc situé entre les tags < ? php et ?>. Avant de vous parler du reste, je fais le point sur l'autre syntaxe existante et que vous rencontrerez parfois si vous téléchargez certaines sources mal codées. Il s'agit des tags < ? Et ?>. N'utilisez pas ces tags qui pourront ne pas être compatibles avec toutes les configurations de serveurs existantes.

Pour faire simple, PHP dispose d'un réglage appelé Short-open-tags, celui peut prendre deux valeurs (ON et 0FF). Si il est sur ON, cette syntaxe sera acceptée et comprise par l'analyseur de code, dans le cas contraire vos scripts ne pourront être interprétés, tandis que si vous utilisez tout, vos scripts fonctionneront parfaitement.

2.5.4.3. Quand utiliser le PHP ?

Dans cette partie, nous allons savoir quand est-ce qu'on peut utiliser le PHP. Le PHP nous aide sûrement à convertir tout notre site en PHP et de remplacer le code (x)HTML par des echo() en rafale. Ce n'est pas une bonne solution, on ne doit pas utiliser PHP pour générer du contenu statique.

Si votre page n'est pas destinée à changer dans le temps dynamiquement, laissez-là en HTML vous gagnez en performance soulagerez votre serveur. Vous pourrez également lorsque vous aurez beaucoup de fiches dans votre répertoire savoir quels ceux qui sont statiques des autres.

2.6. Le MySQL

2.6.1. Définition

Le MySQL est un système de gestion de base des données (SGBR).

2.6.2. Utilités

Le MySQL est un SGBD qui offre ainsi l'opportunité de créer des sites dynamiques avec de grandes quantités d'informations. Par exemples, toutes les données concernent les forums sont stockés dans la base des données.

L'avantage du SGBD est que pour aller chercher vos données, vous ne vous préoccupez pas des avoir où sont stockés données ni comment, vous dites « je veux telle données » et le SGBD va la chercher pour vous.

Vous pourrez également récupérer des données d'une manière très compliquée qui dépendent d'énorme de facteurs, chose quasi impossible en stockant les données dans un fichier sans de nombreux calculs très lourds.

Le langage que l'on utilise pour interroger et effectuer des opérations sur une ou plusieurs bases de données/tables s'appelle SQL (Structured Query Language, en français langage de requête structurée).

2.6.3. Sortes des SGBD

Pour tout ce qui suit, nous allons utiliser un SGBD appelé MySQL. Il s'agit du SGBD de plus répandu, vous ne devriez donc pas avoir de problème à faire fonctionner votre site ultérieurement. Cependant, PHP supporte d'autres SGBD dont voici une liste nos exhaustive :

ü mSQL

ü Sybase

ü MySQL

ü Oracle

ü Unix dbm

ü Informix

ü SQL Serveur

ü Postgre SQL

ü Etc.

2.7. L'hébergement

2.7.1. Définition

Un hébergeur web (ou hébergeur internet) est une entité ayant pour vocation de mettre à disposition des internautes des sites web conçu et gérer par des tiers.

2.7.2. Rôles

Un hébergeur web donne ainsi accès à tous les internautes au contenu déposé dans leurs comptes par les webmasters souvent via un logiciel FTP ou un gestionnaire de fichiers. Mais dans notre cas, nous avons utilisé le FileZilla. Ce dernier maintien des ordinateurs allumés et connectés 24 heures sur 24 à l'Internet (des serveurs web par exemple) par une connexion à très haut débit (plusieurs centaines de Mb/s), sur lesquels sont installés des logiciels : serveur http (souvent Apache), serveur de messagerie, de base de données...

2.7.3. Principes d'activité de l'hébergeur web

La principale activité de l'hébergeur web, consiste à installer ses serveurs, à les sécuriser (par une alimentation électrique ondulée, secourue par un groupe électrogène, une salle climatisée équipée de dispositifs anti-incendie), à les tenir à jour en installant les attaques malveillantes, à les réparer en cas de panne, à y installer les technologies logicielles souhaitées par les clients ou qu'il souhaite leur offrir (comme les langages de programmation internet et les modules supplémentaires de ces langages).

L'hébergement Internet trouve sa justification par diverses raisons parmi lesquels :

v La nécessité de sécuriser le service hébergé ;

v La mise à disposition par le prestataire de ressources conséquentes (bande passante en téléchargement...) ;

v Le conseil et les services de support associés.

2.7.4. IP et DNS

Lorsqu'un visiteur demande une page à son navigateur web, celui -ci interroge des serveurs DNS pour connaitre l'adresse IP du serveur hébergeant ce site. Dès qu'il obtient la réponse, le navigateur va interroger ce serveur et lui demander cette page. Le serveur web va alors chercher la page sur ou ses disques durs (s'il s'agit d'une page statistique), ou la fabriquer à l'aide d'un script (s'il s'agit d'une page dynamique), puis l'envoyer au navigateur, qui l'affiche sur l'écran du visiteur.

Il peut être important de localiser l'endroit où l'hébergeur a ses serveurs. La plupart des moteurs de recherche se d'effectuent le référencement d'un site web.

2.7.5. FileZilla

Le FileZilla est un logiciel de la mise ligne nos sites web.

Ce logiciel n'a rien à avoir avec Mozilla, si ce n'est qu'il se termine lui aussi par « Zilla ». D'ailleurs, vous utiliser n'importe quel autre logiciel FTP si cela vous chante.

CONCLUSION PARTIELLE

Le présent chapitre est une synthèse de notion de base programmation web, dont le dit est la brique du langage du web. Et nous avons aussi en une petite technique technicité sur la mise en ligne ou le déploiement d'une application web (donc dans de serveurs distants).

CHAPITRE III : ANALYSE PREALABLE

3.1. Introduction

Pour améliorer ou modifier le système d'information (S.I) d'une entreprise, une décision prise mais qui est une décision importante aux conséquences lourdes. Ces conséquences dépassent toujours les aspects techniques du traitement de l'information pour s'étendre aux méthodes de gestion, d'organisation, ou au recrutement et à l'engagement du personnel.

En effet, c'est pourquoi la préparation de cette décision se fait par une étude préliminaire appelée étude préalable ou d'opportunité, alors nous considère comme le maître de cette étude nous allons le forage des données au sien de notre entre dans le service de transport qui nous sont sensé pour avoir des données pouvant nous permettre à répondre aux besoins de l'entreprise.

A cette étape nous avons eu à utiliser la technique d'interview et technique documentaire : qui nous à aider à récolter toutes les informations possible qui nous a permis de faire notre application de qualité, d'appréciation, et diagnostiquer les éléments nuisible donc côté et mauvais côté de l'entreprise afin d'apporter une bonne solution pour la bonne marche d'une ou l'évolution de l'entreprise. Et la technique d'interview qui nous à aider juste d'interroger les agents de la SNCC Kananga se trouvant dans le service concerné et d'autres personnels de l'entreprise qui sont capable et qui connaissait la vie de cette entreprise.

3.2. CADRE GEOGRAPHIQUE

La SNCC/Kananga, est une entreprise publique prestataire de service de transport des personnes et des marchandises sur un réseau ferroviaire en RDCONGO. Le siège administratif de la région nord est situé dans la province du Kasaï Central, dans le commune de Kananga, au centre-ville de Kananga, chef-lieu de la dite province il est borné :

Ø Au nord deux : par l'immeuble de l'éducation, le quartier TSHINSAMBI, longé par le boulevard MZEE Laurent désiré Kabila ;

Ø Au sud : par le marché KAMAYI, la RTNC et le bureau de l'officie des douanes et accises (OFIDA) ;

Ø A l'EST : par le partie plateau avec l'usine SAVINKAS ;

Ø A l'OUEST : par le bâtiment de l'hôtel de poste de Kananga.

3.3. OBJECTIFS POURSUIVIS

Pour être plus claire, l'objectif poursuivi de cette étude est de nous fournir les informations nécessaires pour que nous puissions arriver à prendre les bonnes décisions qui sont relatives au système d'information pour améliorer les performances ou en réduire le coût.

Mais dans le cadre de notre entreprise, nous avons eu en faisant cette étude à étudier sur les concepts ci-après :

v L'organisation de ladite entreprise est le service concerné par notre application.

v Les documents produits et les fichiers (taille, maintenance, fréquence et le temps de circulation de l'information)

v Le traitement subit par chaque document

v Circulation des informations à travers différents services concernés par l'application.

Ainsi, une méthode d'analyse d'un système d'information utilisée pouvant nous permettre de comprendre ou de traduire ce dernier, est appelé «ETUDE DE L'EXISTANT ».

Qui dit étude de l'existant? Dit l'étude du fonctionnement de l'entreprise. Cette dernière permet de rechercher, recueillir des informations sur le domaine d'application envisagé avant l'intégration d'un apport.

Cette étude dit l'étude de l'existant nous a aidé à :

Ø Prendre avec précision les données pouvant nous aidées à s'est positionnées dans notre domaine d'application ;

Ø Découvrir les difficultés du système de l'entreprise en vue de suggérer les stratégies susceptibles pour améliorer le système existant.

3.4. HISTORIQUE DE LA SNCC KANANGA

La société nationale des chemins de fer du Congo « SNCC » en sigle, est une entreprise en caractère industriel et commercial, dotée d'une personnalité juridique et placée sous tutelle du ministère des transports et communication et celui du portefeuille.

Elle a été créée par l'ordonnance-loi n°74-027 du 02 décembre 1974.

La SNCC est née de la fusion de quatre anciens réseaux ferroviaires :

KDL-CVZ-CFMK, en traversant les étapes suivantes :

a. Le chemin de Matadi-Kinshasa : ce réseau reliait la capital Léopoldville à Matadi, de Boma à Tshiela, les travaux de construction commencèrent en 1990 et durèrent huit ans. Le 16 mars 1898, la première locomotive s'arrête triomphalement à Kinshasa.

b. Les chemins de fer Katanga-Dilolo-Léopoldville (KDL). Cette même formulation s'applique également ou nouvelle appellation de Kinshasa-Dilolo-Lubumbashi. Ce réseau va de Saka nia à Ilebo en passant par le Shaba et les deux Kasaï et Tenke à Dilolo. Il comporte deux compagnies à savoir :

a) La compagnie de chemin de fer du bas Congo (BCK)

b) La compagnie de chemin de fer du KATANGA (CFK). La CFK fut construite de 1902 à 1910. Le premier train atteignit SAKANIA en 1909.

c) Les chemins de fer grands lacs (CFL). Le CFL furent construits en 1902. Ils desservent l'EST du Congo, de Kamina à Kalemie, de KABALO à Kindu et Bandundu à Kisangani. Les quatre réseaux furent fusionnés par l'ordonnance-loi n°74-027 du 02 décembre 1974 portant création de la société de chemin de fer du Zaïre (SNCZ) en sigle.

Dix sept ans plus tard, c'est-à-dire le 03 Avril 1991, fut l'ordonnance 91-36 portant de la solution de :

Ø KDL devient l'office de chemin de fer du sud (OCS)

Ø CFL devient la société de chemin de fer de l'EST (SFE)

Ø CVZ devient la compagnie de chemin de fer d'Uélé (CFU)

En novembre 1995, dissolution de la SNCZ/HOLDING et de ses filiales et signatures d'un accord cadre cédant l'exploitation de chemins de fer à une société privée SIZARAIL laquelle à été dissoute en 1997. Il faut signaler que c'est à la même date que la SNCC avait repris ses activités après la dissolution de SIZARAIL.

La SNCC est composée des organes d'exploitation appelées communément « région » celles-ci sont au nombre de cinq, notamment :

ü Région sud : siège à Likasi

ü Région nord : siège à Kananga

ü Région Est : siège à Kalemie

ü Région nord-est : siège Kindu

A ces régions s'ajoute la circonscription d'exploitation de Lubumbashi (CIREX).

3.5. DOMAINE D'APPLICATION

A ce niveau, nous avons voulus préciser le domaine de notre application en vue d'évoluer ans un cadre précis. Le domaine au sein duquel nous allons évoluer est le service de transport.

Ce service a pour tâche : la vente de billet c.-à-d. le présent service s'intéresse beaucoup plus sur la vente de billet aux clients (voyageurs) dont l'objectif est de diagnostiquer le système d'information existant au sein de l'entreprise, afin de proposer une solution adéquate.

C'est à ce point que l'analyse préalable intervient parce que lorsqu'on veut informatiser une entreprise, on doit d'abord connaître le problème à informatiser puis, choisir le service concerné par l'étude.

3.6. OBJECTIF DE L'ENTREPRISE

L'objectif de la SNCC est de renforcer et d'améliorer les conditions de vie de la population de la ville de Kananga et ses environs du point de vue vivre et en facilitant le transport en commun et de maximiser les recettes.

3.7. SA MISSION

Etant donner que, son objectif été de renforcer et d'améliorer les conditions de la population, la SNCC s'intéresse aussi beaucoup plus dans le domaine de transport pour aider les clients en leurs facilitant l'acheminement de biens de ce derniers dans des destinations différentes sans ambiguïtés.

3.8. LES MOYENS DE CETTE ENTREPRISE

Ladite entreprise avec son service de transport, fait entrer beaucoup de millions de francs congolais dans le trésor public. Il fait en sorte qu'il garde son poste de leader en mettant en jeu tout son moyen possible dans le domaine de transport.

En plus de ceci, la SNCC distribue encore le courant électrique à des agents extérieurs de l'entreprise et cet abonnement est payé à la fin du mois. Et ce dernier lui procure une somme d'argent qui est afin déposé en banque dans des comptes de la SNCC. Bien que la SNCC soit une entreprise publique de la République Démocratique Du Congo, il paie aussi les impôts et les taxes comme toute autres entreprises.

3.9. ORGANIGRAMME DE LA SNCC/KANANGA

Dans le présent paragraphe, nous décrivons les tâches administratives dévolues à chaque service et à chaque poste de commandement retenu dans l'organigramme de la SNCC (DRN), à la gestion administrative, à l'encadrement et à la participation du transport ferroviaire trouve une place d'intérêt dans l'entreprise.

3.9.1. DIRECTION REGION NORD (DRN)

Cette dernière est animé par le directeur régional, il joue un rôle de représentant de l'employeur et coordonne tout ce qui ce s'effectue au niveau de différents services dont les animateurs sont ses collaborateurs directs. A ce fait, il comme rôle d'organiser, de programmer, de commander, de contrôler et de coordonner toutes les activités de sa section, qui est d'assurer la suivie des hommes et de l'outil de travail par l'offre de service de transport envie de la réalisation optimale des objectifs fixés par la direction générale. Le directeur a la responsabilité d'imposer les consignes locales, d'exiger le respect des règles et instructions en vigueur, et prend les sanctions nécessaires jusqu'aux plus graves (hormis le licenciement d'un cadre).

3.9.2. COORDINATION D'EXPLOITATION « COORDEX » OU « CDX »

Le coordonné est en charge de la prévision, coordination et contrôle les activités de différents services de district, détermination en tenant compte des objectifs définis ; analyse périodique de différents services de district ; organisation et planification stratégique, supervision et monitoring des activités du transport, coordination du programme de la SNCC.

3.9.3. SERVICE DU PERSONNEL ET SOCIAL « SPS »

Son rôle est de gérer l'ensemble de salariés depuis l'embauche jusqu'aux départ de l'entreprise. Le service du personnel est chargé de aussi du recrutement de la gestion des stagiaires, de la définition de la description du travail et de relation avec le comité de l'entreprise il inclut généralement :

v Le service des appointements et salaire dont le rôle est communiquer au service de comptabilité générale la liste des virements à effectuer au titre des salaires.

v La division, organisation et formation.

v Le service social gère les difficultés rencontrées par les membres du personnel, le logement et le transport collectif..... le service de communication qui assure la diffusion des infrastructures vers le personnel (communication interne ou vers l'extérieur (medias, publicité).

Ce service s'occupe principalement de : gestion du personnel, relation publique, gestion du patrimoine sociale (hôpital), rémunération de tout le personnel, litiges ou conflits de travail, contrat avec les partenaires sociaux : syndicat, SNCC, délégation syndicale et sanction des agents, appui à l'organisation de calendrier de formation, organisation des sessions de formation, accompagnement institutionnel.

3.9.4. SERVICE MEDICALE « MED.DEG »

Ce service traite les urgences, identifie les postes des travails à risque en collaboration avec le service SPS, assure la prévention, professionnelles.

Ce service est responsable de la gestion de l'hôpital SNCC à Kananga et de l'étude des coûts au sein de l'hôpital et s'occupe de : maîtriser le système de gestion de l'hôpital.

3.9.5. SERVICE DE MATERIEL « MAT » ou « DMAT »

Le mai est en charge de gestion des locomotives, gestion des wagons, inventaires patrimoine logistique organisation des réunions techniques des services.

3.9.6. SERVICE D'APPROVISIONNEMENT « APPRO »

L'Appros'attelle à l'identification des nouveaux besoins en approvisionnement et leur structuration, suivi et évaluation interne des projets et programmes d'approvisionnement d'étude de faisabilité.

3.9.7. SERVICE ELECTRICITE ET TELECOMMUNICATION « DDET »

Le DDT s'occupe de l'installation et maintenance du réseau électrique et matériel de communication de la SNCC, maintenance du circuit électrique et matériel de communication de la SNCC, organisation des réunions techniques du service suivi de transport ferroviaire et fluvial par télécommunication aux différentes escales.

3.9.8. SERVICE DE TRANSPORT « DDTRP »

Le DDTRP est responsable de suite et évaluation du flux de transport ferroviaire et fluvial, planification de transport ferroviaire et fluvial, établissement des horaires de transport ferroviaire et fluvial.

3.9.9. SERVICE COMMERCIAL « CIAL » ou « CMISPPLCIAL »

Le CIAL est en charge de rendre les services que produit la SNCC, de réaliser les travaux de Marketing et d'assurer la relation avec les clients. Il prospecte les auteurs de son marché pour les convienne d'acheter les services de la SNCC. Il travail avec les clients de l'entreprise d'un port les rendre plus confiants d'autre parts les convaincre de passer de nouvelles commandes. Il établit les propositions commerciales et négocie les contrats de vente, il étudie le marché, surveille la concurrence, définit les offres commerciales et assurer la communication avec la comptabilité.

Il peut être chargé de la formation des clients aux produits et de la constitution des dossiers technique contractuelle (documentation, indice....) ce service travail en collaboration avec le service administratif et financière par le fait porte au sein de lui, la laisse aux heures qui est une branche de comptabilité qui est chargée de collecter les recettes au niveau du service commercial et le verse journalièrement à la caisse centrale.

Le service commercial et le lieu principal entre les clients et la SNCC, est donc la direction de l'entreprise. Il est animé par un chef de service chargé de la facturation et chiffre d'affaire, il s'occupe de l'ensemble des opérations ayant pour objet la réalisation de vente de l'entreprise, notamment : contact extérieur et Marketing de l'entreprise, prévision, coordination et contrôle des activités commerciales, détermination en tenant compte des objectifs définis, analyse périodique des différentes activités commerciales.

Supervision et suivi des activités commerciales, coordination des programmes commerciaux de la SNCC.

3.9.10. SERVICE D'ADMINISTRATION ET FINANCIER (DAF)

La DAF est chargée de la gestion financière, élaboration et exécution de budget, plan de trésorerie, suivi budgétaire, production des outils de gestion, préparation et élaboration de rapport financier, préparation des outils, comptabilité, caisse.....

3.9.11. SERVICE REGIONALE DE SECURITE DU TRAVAIL

Ce service est concerné par les activités telles que : assister le personnel dans tous les problèmes liés à la sécurité et dans l'accomplissement de leurs obligations professionnelles, contribuer au renforcement de mesure de surveillance des activités ferroviaires et fluviales, s'assurer que toutes les mesures de sécurité sont prises pour protéger les enceintes de la SNCC, elle est composée de corps de surveillance « CORSU ».

La région nord a d'autres services autonomes dépendant directement d'elle à savoir :

§ L'inspection d'exploitation (INSPX)

§ Le service du personnel de conduite ferroviaire (IRPCF)

§ Le contrôle de gestion (CDX)

Trois coordinations exploitation (CDX) qui sont : CDX/Ilebo(130), CDX/Mueka(MKA), CDX/Muene-Ditu (MIT) à Mbuji-Mayi (CH agence/MBM.

3.9.12. ORGANISATION STRUCTURELLE

L'organigramme est un tableau qui montre à qui sont confiés les différentes fonctions et qui font apparaitre les liens de subordination établies entre les services.

Comme nous l'attendons, l'organigramme est un moyen de vérifier que l'unité et la permanence du commandement sont effectivement réalisées et de dresser l'organisation administrative.

DRN

MED/RNT

DAF

DDVT

DDTRP

DDMAT

DDET

SCIAL

CHSMAT

CHS/ME

CHSET

CHSTRP

CHSVT

CHGRTRP

CHGRET

CH.CEL.CIAL

CHSFIN

CHSP

CHSBOA

FM

CHCONS

CH HALL

R/SETRA

STOCKAGE

MAG.DEP

MADAGA

MAGALIT

VERIFICATION

CAISSE

COPOSTAGE

TAXATION

3.10. ORGANIGRAMME SPESIFIQUE

DRN

ADMINISTRATION

Fig. 3-1

3.11. ANALYSE DES POSTES DE TRAVAIL

Application : Conception et réalisation Analysé par : Ntumba Tshilumba

d'un site web dynamique

pour la réservation. Cas

de la SNCC/ Kananga.

Domaine : Description

Date : le 07/06/2016

Fiche descriptive des postes de travail

Noms Mnémoniques

Postes de travail

Nombre d'agents

Travail effectués

Moyens de traitement

observations

01

DRN

Directeur de Région Nord

1

Il coordonne tous les travaux et donne les ordres.

- stylos

- lattes

-calculatrice

- ordinateur

Lent

02

Gest (ADMIN)

Gestionnaire

1

Celui qui contrôle tous les services, c'est qui est réceptionniste (dans notre cas les guichetiers).

- stylos

- lattes

-calculatrice

- ordinateur

Rapide

03

Guich

Guichetier

4

Ils sont là pour exécuter les ordres venant du gestionnaire.

- stylos

- lattes

-calculatrice

- gomme.

Lent

3.11.1. DESCRIPTION DES DOCUMENTS

Noms Mnémoniques

Noms

Type

Taille

01

Id_cli

Identité client

N

20

Num_cli

Numéro client

AN

60

Nom_cli

Nom client

A

15

Post_cli

Post nom client

A

30

Prenom_cli

Prénom client

A

15

Adr_mail_cli

Adresse mail client

N

25

Mot_pass_cli

Mot de passe client

AN

30

Dat_nais_cli

Date de naissance client

DATE

15

Adres_cli

Adresse client

AN

30

Num_Tel_cli

Numéro Téléphone client

N

14

Num_class_cli

Numéro classe client

AN

35

Num_comp_cli

Numéro compartiment client

AN

30

02

Num_comp

Numéro compartiment

N

20

Prix_comp

Prix compartiment

N

15

Info_comp

Information compartiment

A

60

03

Id_reserv

Identité réservation

N

15

Mont_tot

Montant Total

N

20

Id_fac

Identité Facture

N

10

Dat_dep

Date de départ

DATE

15

Dat_arriv

Date d'arriver

DATE

15

3.11.2. ANALYSE DES MOYENS UTILISENT

a) Les Moyens Humains

POSTES

NOMBRES D'AGENTS

NIVEAU D'ETUDE

01

DRN

11

 

02

DESTIONNAIRE

1

 

03

GUICHETIER

4

D6

b) Les Moyens Matériels

NOMS

ANNEE D'ACQUISITION

ETAT A UTILISE

OBSERVATION

01

LES ORDINATEURS

2009

BON

UTILISABLE

02

LES CHAISES

2000

BON

UTILISABLE

03

LE RESEAU

2007

BON

UTILISABLE

04

LES ARMOIRES

2000

BON

UTILISABLE

05

WAGON

 

BON

UTILISABLE

3.12. SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS

GUICHETIER

CHEZ CONSIGNE

DRN

1

2

3

TTT

4

5

6

TTT

7

TTT

TTT

7

TTT

8

 
 
 

3.13. TABLEAU DE FLUX

Nom Code

Code Mnémonique

Information

Origine

Destination

01

E-mail

e-mail

Réservation

Client

Guichet

02

Acquisition de réception

A.r

Acquise réception

Guichetier

Client

03

Rapport

Rapr

Rapport Journalier

Guichetier

Chez Consigne

04

Rapport

Raprm

Rapport Mensuel

Chez Consigne

DRN

3.14. SCHEMA DE FLUX

4

3

2

1

3.15. DICTIONNAIRE D'EXPLOITATION

1. Un Client sollicite une réservation auprès de Guichetier.

2. Le Guichetier doit d'bord lui demandé la destination, et le montant réceptif lui sera donné après avoir donné la destination et la clase choisit. Et le billet par la suite lui sera donné après paiement des frais. Le rapport journalier sera donné au Chez Consigne par le Guichetier.

3. Chez Consigne à son tour donnera des informations au DRN. Et après traitement, le Chez Consigne verse cet argent en Banque.

4. Le DRN reçoit des informations sur la vente des billets.

3.16. CRITIQUE DE L'EXISTANT

A ce stade, nous donnerons quels points forts et faibles rencontré dans notre entreprise qui est la SNCC KANANGA.

Néanmoins, nous allons vous parler en quelques lignes nos difficultés éprouvés au sein de ladite entreprise ou dans son système d'information et par la suite nous aurons encore à vous montrer toujours ce qui est de positif.

D'une part, nous avons eu a constater au sein de cette entreprise, les informations qui circulent bien entre tous les services concernés par notre application et l'organisation structurelle est bien placée.

L'autorité est bien placée, tous les agents dépendent directement de lui et c'est le chez qui a le mont à dire.

D'autre part, les travaux sont lourds du fait qu'un travailleur peu lui-même exécuter plusieurs tâches en dix minutes, tant tôt à la réception de client qui viennent acheter les billets et encore alerter à chaque moment d'aller écrire la date à la fin de chaque mois chose étonnante.

Nous à notre niveau, lorsqu'au n'a vu que l'entreprise ne dispose pas un service lié au marketing sur le plan transport, on a aussi eu l'aide de lui offrir une application web pouvant lui permettre de mettre en ligne les horaires des trains, les informations concernant la SNCC KANANGA et les articles publier par celle-ci et bien d'autres choses encore.

3.17. PROPOSITION DE SOLUTION

Etant donné que, ladite entreprise n'a pas un site web dynamique pouvant lui permettre de mettre en ligne les informations et faire bien des réservations partout dans la province du Kasaï central en toute son entièreté et faire sa publicité, on a voulu juste lui ajouter un plus dans le domaine de marketing en lui donnant un site web dynamique de qualité. Car avec l'évolution de l'informatique actuellement nous donne la possibilité de parler avec tout les client(e)s et de faire une réservation à distance en un clin d'oeil.

Tous les villages qui entoure la ville de Kananga ont besoin des informations concernant l'arriver et le départ, du train et s'ils ne sont pas alimentés en information, ça sera difficile que les clients viennent acheter les billets. La SNCC KANANGA fait entré beaucoup d'argent dans le transport et pour lui permettre de maximiser ses recettes, il a fallut une application web dynamique pour lui permettre d'atteindre ses objectifs.

CONCLUSION PARTIELLE

Dans ce chapitre nous avons vu les différentes techniques et méthodes qui nous a aidé à avoir les informations ou et les documents qui circulent au sein de notre service. Et ce dernier nous a aidé pour l'élaboration des schémas des flux, matrice de flux, tableau de flux et le dictionnaire d'exploitation pour arriver à connaître son système de gestion parce que pour arriver à informatisé une entreprise, il claire de connaître son système d'information pour l'informatiser.

CHAPITRE IV : MODELISATION ET IMPLEMENTATION

Introduction

Nous parlerons dans ce chapitre, la solution conceptuelle que nous vous avons proposée et cette conception du système à réaliser qui a pour but de rendre flexible la tâche de gestion et d'être plus focalisé dans la technologie récente. En d'autre terme, ce chapitre devait répondre aux questions qui sont :

Comment pouvons-nous faire pour remédier à cette difficulté et comment sera la structure de notre application web ?

Qu'est-ce que les dirigeants attendent de ce projet ?

La structure de ce chapitre dépend de la nature de ce projet. Nous l'avons conçu avec la phase de conception d'un système d'information qui nécessite des méthodes permettant de mettre en place un modèle. Il existe plusieurs méthodes d'analyse, la plus utilisée étant la méthode Merise. Entre l'entreprise et les clients, il aura des échanges et puisse disposer d'une base de données. Mais pour obtenir cette dernière, il ya une procédure à suivre et des méthodes à choisir. Et pour notre cas, nous avons choisi la méthode Merise comme nous l'avons dit ci-haut. Après avoir eu cette base des données, nous aurons besoins des logiciels que nous avons déjà cités au premier chapitre et ces derniers nous permettront au bon fonctionnement de ce site web dynamique que nous aurons à concevoir.

4.1. MERISE POUR LA MODELISATION DU SYSTEME

Introduction

Toute résolution d'un problème de n'importe quelle nature qu'il soit nécessite une ou plusieurs phases de réflexion doit pouvoir être comprise et reprise par toute personne intervenante sur les projets.

C'est pourquoi elles sont définit des méthodes d'analyses certaines disparaissent laissant la place aux autres qui sont plus adaptées et d'autres évoluent dans le temps en fonction de différentes technologies.

Cependant, chaque méthode a ses qualités et ses défauts. Il est donc parfois utile et nécessaire en fonction de l'étape d'analyse du projet d'appliquer les méthodes différentes. Ainsi chaque méthode est adaptée au type de projet (objet, industrielle, gestion) aux outils tel que : SGBD, SQL, MySQL et tant d'autres.

Le concept MERISE :

Ce mot signifie méthode d'étude et de réalisation informatique pour le système d'entreprise. Elle est née en 1979 au centre technique informatique du ministère de l'industrie.

Parmi des principaux précurseurs, nous pouvons citer :

ü HUBERT TARDIEUR ;

ü GEORGE PANET ;

ü Et GERARG VAHEE.

Elle a été introduite dans l'entreprise en 1983 et 1985, elle a connue de l'évolution en fonction des avancées technologiques avec Merise 2 et dernièrement Merise 3 qui est basé sur la gestion des projets. Pour modéliser les fonctionnalités, que doit offrir ce système, nous avons choisi cette méthode qui est la méthode MERISE.

MERISE étant une méthode de conception et de développement d'un système d'information, représentant les interactions entre ses différents composants et d'en proposer une description formelle. Au début des années 90, cette méthode a connu une évolution importante suite à l'intégration de concepts orientés objets tel que l'héritage. Nous montrerons, dans la suite, le modèle conceptuel de communication (MCC), le modèle conceptuel de données (MCD) et le modèle conceptuel de traitement (MCT), j'ai utilisé le POWER AMC. POWER AMC est un outil intégré de conception et de modélisation Merise.

La méthode Merise préconise 3 niveauxd'abstraction :

v le niveau conceptuel, ce niveau décrit la statique et la dynamique du système d'information en se préoccupant uniquement du point de vue du gestionnaire.

v le niveau organisationnel, ce niveau décrit la nature des ressources qui sont utilisées pour supporter la description statique et dynamique du système d'information.Et dernier peuvent être humaines, matérielles et logicielles.

v le dernier niveau est le niveau opérationnel dans lequel elle travaille.

4.2. LES CYCLES DE MERISE

La démarche de la méthode merise se fait selon trois axes qui constituent ce qu'on convient de nommer ses trois cycles.

Avant de modéliser le système, il faut d'abord faire une narration en fin d'avoir les informations quo circulent au sein d'une entreprise ; et c'est à partir de cette narration qu'on va trouver les entités, des attributs pour telle entité.

i. Le cycle d'abstraction : Qui a en son sein ou qui, nous présente la formalisation en trois niveaux (conceptuel, logique et physique) pour modéliser un système d'information.

ii. Le cycle de vie : Qui comporte trois grandes périodes dont la conception qui va de la période d'étude de l'existant au système même en place. La réalisation qui concerne la période de mis en oeuvre et l'exploitation et en fin la maintenance qui permet au système d'évoluer et de s'adapter aux modifications de l'environnement et niveau objectif.

iii. Le cycle de décision : Tout au long de l'étude de la maintenance des décisions sont apprendre et elles doivent être potentielles. ces trois cycles déroulent simultanément à chaque étape du cycle de vie, les formalismes de cycles d'abstraction sont utilisés avec une précision de plus en plus grande et des décisions sont prises d'ordres globales au début, puis de plus en plus détaillées de mesure qu'on avance les travaux.

4.3. LE NIVEAU DU CYCLE D'ABSTRACTION DU MERISES

1. Le niveau conceptuel :

Le rôle est d'exprimer les choix fondamentaux des gestions et les finalités de l'entreprise. Il décrit l'organisation et le métier indépendamment et de aspects organisationnels et des techniques de mise en oeuvre. Il se traduit en terme de model conceptuel des données (MCD) que nous aurons à vous expliquer après, avec entité association et propriété et du model conceptuel de traitement (MCT) qui produit la représentation abstraite des données et des traitements.

2. Le niveau organisationnel :

Son rôle est de définir l'organisation de travail qu'il est souhaitable de mettre en place dans l'entreprise pour atteindre les objectifs assignés.

Il définit la répartition géographique et fonctionnelle de site de travail (du point de vie des données et de traitement) le mode de fonctionnement (temps réel ou différé) la répartition du travail homme-machine (degré et type d'automatisation, le poste de travail et leur affection, la sécurité des données indépendamment des moyens de traitement et de stockage de données actuelles ou futures).

3. Le niveau logique :

Il permet de définir l'organisation à mettre en place dans l'entreprise pour atteindre les objectifs souhaités. C'est à cette étape que l'on précise l'emploi de base des données où des fichiers.

Il exprime la forme que doit prendre l'outil informatique pour être adapter à l'utilisateur à son poste de travail, cela indépendamment de l'informatique spécifique et de langage de programmation ou des gestions des données.

Il décrit aussi le schéma de la base des données (relationnelle, hiérarchique ou réseaux) cela veut dire que les caractéristiques du mode de gestion des données, la répartition des données sur les unités de stockage les volumes par unité de stockage et l'optimisation du coût inclut par le mode de gestion. Et ce traduit en terme de model logique des données (MLD).

4. Le niveau physique :

Son rôle est de définir les solutions techniques et la prise en compte de leur spécificité. Il reprend aux utilisateurs sur les aspects logiciels et matériels et définit complètement les fichiers, les programmes, l'implémentation physique des données et de traitement, les ressources à utilisées et la modalité de fonctionnement. C'est la description de moyens mise en oeuvre pour gérer les données et effectuer leur traitement cela se traduit en terme de model physique des données (MPD).

4.5. LES DIFFERENTS MODELES DE MERISE

4.5.1. MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION (MCC)

Ce modèle, appelé aussi diagramme conceptuel de flux, permet de représenter les flux d'informations (représentés par des flèches dont l'orientation désigne le sens du flux d'information) entre les acteurs internes (représentés par des éclipses) ou externes (représentés par des éclipses avec un trait interrompu).

Réservation

Formulaire d'enregistrement

Sollicitation d'une classe

Classe

Identification

Client

Message de confirmation

Agent externe

Agent interne

4.5.2. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT

Le MCT modélise les activités du domaine, activités conditionnées par les échanges avec l'environnement sans prise en compte de l'organisation. Ainsi, chaque activité regroupe un ensemble d'activités élémentaire réalisables au sein du domaine, sans site web dynamique de marketing autres informations extérieures (on n'a pas besoin de s'arrêter pour attendre des informations extérieures).

Evénement

Opération

Résultat

 

1.Sollicitation d'une classe auprès de Guichetier.

Traitement de la demande.

Edition de la facture et la livraison de billet.

 

2. Réception de la facture et endossement de l'argent.

Edition du Billet.

Reçu de Billet par le voyageur.

 
 
 
 
 

Sollicitation d'une classe auprès de Guichetier

Ev1.

Traitement de la demande

 

F

OK

K KO

Endossement

(b)

Facture

(a)

Demande d'approvisionnement

Note Livraison

a, b

Edition du Billet

 

Toujours

4.5.3. MODELE CONCEPTUEL DE DONNEE (MCD)

Un Modèle Conceptuel de Données est la formalisation de la structure et de la signification des informations décrivant des objets et des associations perçus d'intérêt dans le domaine étudié, en faisant abstraction aux solutions et aux contraintes techniques et informatiques d'implémentation en base de données.

Nous pouvons encore dire que le Modèle Conceptuel de Données est le modèle le plus utile qui a pour but de décrire de façon formelle les données qui seront utilisées par le système. Il permet aussi de décrire un ensemble de données relatives à un domaine défini afin de les intégrer dans une base de données. Nous l'élaborons suivant les différents points ci-dessous :

a) Entité :

Une entité est définit comme étant unobjet ayant une existence propre et jouant un rôle dans une entreprise. Nous avons comme entités : Classe, Administration, Client et Réservation.

b) Les propriétés ou attributs :

Une propriété ou attribut est une information élémentaire se rattachant à une entité ou un objet.

v Classe :Numclasse, Categorieclasse, Prixclasse

v Administration :Nomadmin,Postnomadmin, e-mailadmin,...

v Client : Numclie, Nomclie, Postnomclie, Prenomclie, Lieudatenaissclie, Etatcivilclie, Adresseclie, Nationalitclie, Professsionclie, Numtelclie, Villeclie,...

c) Association ou relation:

Une association se définit comme étant une relation existant entre deux ou plusieurs entités ou objets.

ENTITES

RELATIONS

ENTITES

 
 
 

Client

Effectuer (Passer)

Réservation

 
 
 

Réservation

Concerner (Intéresser)

Classe

d) Cardinalités :

Une cardinalité est le nombre de fois minimal ou maximal qu'une entité participe à la relation.

1. Un client peut effectuer une ou plusieurs réservations et une réservation est effectuée par un et un seul client.

2. Une classe peut être intéressée une ou plusieurs classes et une réservation peut être concernée par une ou plusieurs classes.

Mais avant tout, il faut montrer notre schéma de MCT, il est aussi important de vous expliquer ces concepts :

ü Entité : Tout objet ou association d'objets, concret ou abstrait, existant, ayant existé ou pouvant exister ou élément actif d'un sous-système.

ü Relation : Modélisation d'une association entre deux ou plusieurs entités.

ü Cardinalités : Modélisation des participations minimum et maximum d'une entité à une relation.

ü Propriétés : Modélisation des informations descriptives rattachées à une entité ou une relation.

ü Identifiant :Modélisation des propriétés contribuant à la détermination unique d'une occurrence d'une entité.

e) Le schéma de MCT

Client

Numclie

Nomclie

Postnomclie

Prenomclie

Lieudatenaissclie

Etatcivilclie

Adresseclie

Nationalitclie

Professionclie

Numtelclie

Villeclie

Réservation

Numreservat

Datereservat

...

Effectuer

(1, n)

Classe

Numclasse

Prixclasse

Categorieclasse

...

(1, n)

Concerner

(1, n)

4.5.4. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)

C'est un modèle qui a pour but d'organiser les donnée en fonction du système de gestion de base de données choisit.

Classe (Numclasse,Prixclasse, Categorieclasse)

Client : (Numclie, Nomclie, Postnomclie, Prenomclie, Lieudatenaissclie, Etatcivilclie, Adresseclie, Nationalitclie, Professsionclie, Numtelclie, Villeclie,...)

Effectuer (#Numclie, #Numreservat, Datedebut, Datefin)

Concerner (#Numclasse, #Numreservat, Datedebut, Datefin)

Client

Numclie

Nomclie

Postnomclie

Prenomclie

Lieudatenaissclie

Etatcivilclie

Adresseclie

Nationalitclie

Professionclie

Numtelclie

Villeclie

Effectuer

#Numclie

#Numreservat

...

Réservation

Numreservat

Datereservat

...

Concerner

#Numreservat

#Numclasse

Datedebut

Datefin

...

Classe

Numclasse

Prixclasse

Categorieclasse

...

4.5.5. LE MODELE PHYSIQUE DE DONNEES

Le Modèle Physique de Données est la traduction du Modèle Logique de Données spécifiques au Système de Gestion de Base de Données (SGBD) utilisé, le MPD est donc représenté par des tables définit au niveau du SGBD, donc au niveau du MPD.

A ces jours, pour les sites web conçus en PHP, il est possible de combiner PHP et MySQL, car PHP étant capable de passer à MySQL de telles requêtes à travers les fonctions de préfixe MySQL, (PHP possède également des fonctions pour dialoguer avec d'autres systèmes de base de données). C'est une raison du succès du couple PHP+MySQL dans la mise en place de site web dynamique.

Voici la table créée :

2. La table inscris:

I. LES INTERFACES DU SITE :

1. Interface d'accueil :

Cette interface est l'écran d'accueil, elle s'affiche à l'ouverture du site et présente les différents menus déroulants où l'on a accès aux différents services de notre site :

2. Présentation de la page de réservation :

3. Page d'administration :

Script PHP de la page de réservation form.php:

// Connexion à la base de données

<?php

$Nom1=$_POST['nom'];

$Postnom1=$_POST['postnom'];

$Prenom1=$_POST['prenom'];

$Sexe1=$_POST['sexe'];

$Profession1=$_POST['profession'];

$Etat1=$_POST['etatcivil'];

$Nationalite1=$_POST['nationalite'];

$Garedepart1=$_POST['garedepart'];

$Adresseresidence1=$_POST['adresseresidence'];

$Garearriver1=$_POST['garearriver'];

$NUMERO1=$_POST['numtel'];

$Catclasse1=$_POST['catclasse'];

$Nombreclassres1=$_POST['nombreclassres'];

$Adresseemail1=$_POST['adresseemail'];

$Commentaire1=$_POST['commentaire'];

$connect = mysql_connect('Localhost','root','') or die("erreur de connexion au serveur ");

mysql_select_db('resevationsncc', $connect) or die ("erreur de connexion à la base");

mysql_query("insert into inscris values('','$Nom1','$Postnom1','$Prenom1','$Sexe1','$Profession1','$Etat1','$Nationalite1','$Garedepart1','$Adresseresidence1','$Garearriver1','$NUMERO1','$Catclasse1','$Nombreclassres1','$Adresseemail1','$Commentaire1')");

mysql_close();

header('Location: formulaire.php');

?>

CONCLUSION GENERALE

Nous arrivons au terme de notre travail, qui a été dédié à `'la conception et réalisation d'une application web dynamique pour la réservation. Cas de la SNCC/Kananga. Au cours de nos investigations, nous avons décelé tous les maux qui gangrenaient la gestion des voyageurs; cause pour laquelle nous avons suggéré la mise en ligne d'un site web pouvant permettre à l'entreprise de mieux faire sa publicité à travers un site web dynamique.

En guise de rappel, notre travail est articulé en trois grands chapitres, décrits comme suit:

v Chapitre Premier intitulé :''Généralités sur les réseaux informatiques'' dans lequel nous avons défini quelques concepts clés de l'architecture d'un réseau informatique, mais aussi les différentes couches des réseaux informatiques.

v Chapitre Deuxième intitulé :''Technologies web'' dans lequel nous avons fait une étude générale des différents langages de programmation qui constitué la brique du langage web et aussi le déploiement d'une application web sur la toile (vers un serveur distant).

v Chapitre Troisième intitulé : ''Analyse préalable''dans le présent chapitre, nous avons analysé le problème à informatiser puis donner quelques piste de solution pour que cette entreprise puisse faire des publicités à travers un programmes informatiques en fin de donné la possibilité à ceux voyageurs de faire une réservation à distance et aussi d'étudier leurs système d'information et le moyens de traitements de cette dernière.

v Chapitre Quatrième intitulé : ''Modélisationet Implémentation'', chapitre dans lequel nous avons exhibé nos talents dans la conception d'un site web dynamique qui nous a servi à faire des réservations à distance et notre étude à terminer à l'implémenté le présent site en langages (HTML, CSS, JAVASCRIPT, PHP) et un système de base de données (MySQL) base durable pour notre étude.

A ceux que je sache, tout travail scientifique ne manque pas d'imperfections, ce pourquoi nous demandons beaucoup d'indulgence à tous nos lecteurs, pour toutes les anomalies et omissions qu'ils pourront constater. Néanmoins vos remarques et vos suggestions seront accueillies avec ferveur, pour une amélioration future.

BIBLIOGRAPHIE

I. Ouvrage :

1. Pujolle. G, Les réseaux ,6èmeed. Eyrolles, Paris, Septembre 2007.

2. André Beauchamp, La foi à l'heure d'internet, Edition Fides, Paris, 2001.

3. S. CHALEAT , D . CHARNAY et J.- R. ROEUT. , LeCahier du programmeur PHP /MySQL et Javascript, Eyrolles, Paris, 2005.

4. Jean-Marie Defrance, PHP/MySQL avec Dreamweaver 8, Eyrolles, Paris, 2006.

5. J. Mariel, LeCahier du programmeur PHP5, Eyrolles, Paris, 2005.

6. J. -M. AQUILINA., Design web : Utiliser les standards, Css et Xhtml, Eyrolles, Paris, 2003.

II. Support des Cours :

1. Alice Tshiela, Cours de Merise, G3info, U.KA, 2015-2016, Inédit.

2. KAFUNDA K., Cours de Méthodes de Recherche Scientifique, G2 info, U.KA, 2013-2014

3. Kasongo. Cours de réseaux informatiques, G2 info, U.KA, 2014-2015, Inédit.

4. NoblaTshilumba, Cours de programmation web, G3 info, U.KA, 2015-2016, inédit.

WEBOGRAPHIE

1. http://www.vulgarisation-informatique.com/client-serveur.php/ le 14 /05 /2016.

2. http://www.frameip.com/osi/ le 15/05/2016

3. www.opendoc.net/cours/cours-comparaison-modele-osi-modele_tpcip/ le 19/05/2016.

4. https://wikipedia-org.com/wiki/Client-serveur?/le 06/02/2016.

5. https://www.samomoi.com/php-mysql.php/ le 28/03/2016.

Table des matières

EPIGRAPHE I

DEDICACE II

REMERCIEMENTS III

LA LISTE DES ABREVIATIONS 1

INTRODUCTION 2

1.1. PRESENTATION DU SUJET 3

1.2. CHOIX ET INTERET DU SUJET 3

1.3. PROBLEMATIQUE 3

1.4. HYPOTHESE 4

1.5. SUBDIVIOSION DU TRAVAIL 4

1.6. DELIMITATION DU SUJET 4

1.7. METHODE ET TECHNIQUE UTILISEES 4

1.7.1. METHODE 4

1.7.2. TECHNIQUES 5

CHAPITRE I : GENERALITE SUR LES RESEAUX INORMATIQUES 6

1. INTRODUCTION 6

1.1. RESEAUX INFORMATIQUES 6

1.1.0. Définition 6

1.1.1. Architecture des réseaux informatiques (Egal à Egal) 6

1) Avantage de l'architecture poste à poste 6

2) Inconvénients des réseaux postes à postes 6

1.2.2. ARCHITECTURE CLIENT SEVEUR 7

Fig.1-1 : Le principe d'un environnent client-serveur 7

1) AVANTAGE DE L'ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR 7

2) INCOVENIENTS DE L'ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR 8

1.2.2.1. TYPE DES CLEINTS-SERVEURS 8

1.3. CLASSIFICATION DES RESEAUX 8

a. LE PAN 8

b. LE LAN 9

c. LE MAN 9

d. LE WAN 9

e. LE CAN 9

f. LE SAN 9

1.4. ARCHITECTURE EN COUCHE 10

1.4.1. Le modèle OSI 10

1.4.1.1. Introduction 10

1.4.1.2. LES DIFFERENTES COUHES DU MODELE OSI 11

Fig. 1-2 : Les 7 couches du modèle OSI 11

1.4.1.3. LES PRINCIPES 11

a) La couche physique 12

b) La couche liaison de données 12

c) La couche réseau 12

d) La couche transport 13

e) La couche session 13

f) La couche présentation 14

g) La couche application 14

Fig.1-3 : Ajout des entêtes dans chaque couche 14

1 .4.2.Le modèle de référence TCP / IP 15

1.4.2.1. Les couches du modèle de référence TCP/IP 15

Fig. 1-4:Les 4 couches du modèle TCP/IP 16

a) La couche application 16

b) La couche transport 16

c) La couche internet 16

d) La couche d'accès au réseau 17

1.4.3. Comparaison entre le modèle OSI et le modèle TCP/IP 17

1.4.3.1. Similitudes 17

1.4.3.2. Différences 17

1.5. Topologie et équipement réseau 18

1.5.1. Topologie 18

1.5.1.1. Topologie physique des réseaux 18

a) La topologie en bus 18

b) La topologie en étoile 19

c) La topologie en anneau 19

1.5.1.2. La topologie logique de réseaux 19

b) TOKEN-RING 20

c) FDDI (Fiber Distributed Data Interface) 20

1.5.2. Equipement d'interconnexions de réseaux informatiques 20

1.5.2.1. Répéteur 20

1.5.2.2. Concentrateur (HUB) 20

1.5.2.3. Pont 20

1.5.2.4. Commutateur(SWITCH) 20

1.5.2.5. Routeur 21

1.5.2.6. Passerelle (Gateway) 21

1.5.2.7. VSAT 21

CONCLUSION PARTIELLE 21

CHAPITRE II : TECHNOLOGIES WEB 22

2.0. Introduction 22

2.1. Internet 22

2.1.1. Définition 22

2.1.2. Les services de l'internet 22

2.1.3. L'accès à internet 22

1) Soit à filaire 23

2) Soit sans fil 23

2.2. Architecture client/serveur 23

2.2.1. Caractéristiques d'un processus serveur 23

2.2.2. Caractéristiques d'un processus client 23

2.3. Types de sites web 24

2.3.1. Les sites web statiques 24

Fig.2-2 : Demande de la page web avec un site statique. 25

2.3.2. Les sites web dynamiques 25

a) Fonctionnement d'un site web dynamique 25

2.4. Les outils nécessaires 25

2.4.1. L'éditeur de texte 25

2.4.2. Les navigateurs web 26

2.4.2.1. Différents types de navigateurs web 26

2.5. Le langage du web 27

2.5.1. XHTML 27

2.5.2. CSS 27

Code CSS 27

2.5.3. JAVASRIPT 27

Code JavaScript 28

2.5.4. PHP (Personnel Home Page) 28

2.5.4.1. Les concurrents de PHP 28

2.5.4.2. Les tags (ou balises) PHP 28

Code PHP 29

2.5.4.3. Quand utiliser le PHP ? 29

2.6. Le MySQL 29

2.6.1. Définition 29

2.6.2. Utilités 29

2.6.3. Sortes des SGBD 30

2.7. L'hébergement 30

2.7.1. Définition 30

2.7.2. Rôles 30

2.7.3. Principes d'activité de l'hébergeur web 30

2.7.4. IP et DNS 31

2.7.5. FileZilla 31

CONCLUSION 31

CHAPITRE III : ANALYSE PREALABLE 32

3.1. Introduction 32

3.2. CADRE GEOGRAPHIQUE 32

3.3. OBJECTIFS POURSUIVIS 32

3.4. HISTORIQUE DE LA SNCC KANANGA 33

3.5. DOMAINE D'APPLICATION 34

3.6. OBJECTIF DE L'ENTREPRISE 34

3.7. SA MISSION 35

3.8. LES MOYENS DE CETTE ENTREPRISE 35

3.9. ORGANIGRAMME DE LA SNCC/KANANGA 35

3.9.1. DIRECTION REGION NORD (DRN) 35

3.9.2. COORDINATION D'EXPLOITATION « COORDEX » OU « CDX » 35

3.9.3. SERVICE DU PERSONNEL ET SOCIAL « SPS » 36

3.9.4. SERVICE MEDICALE « MED.DEG » 36

3.9.5. SERVICE DE MATERIEL « MAT » ou « DMAT » 36

3.9.6. SERVICE D'APPROVISIONNEMENT « APPRO » 36

3.9.7. SERVICE ELECTRICITE ET TELECOMMUNICATION « DDET » 36

3.9.8. SERVICE DE TRANSPORT « DDTRP » 37

3.9.9. SERVICE COMMERCIAL « CIAL » ou « CMISPPLCIAL » 37

3.9.10. SERVICE D'ADMINISTRATION ET FINANCIER (DAF) 37

3.9.11. SERVICE REGIONALE DE SECURITE DU TRAVAIL 37

3.9.12. ORGANISATION STRUCTURELLE 38

3.10. ORGANIGRAMME SPESIFIQUE 40

3.11. ANALYSE DES POSTES DE TRAVAIL 40

3.11.1. DESCRIPTION DES DOCUMENTS 41

3.11.2. ANALYSE DES MOYENS UTILISENT 42

a) Les Moyens Humains 42

b) Les Moyens Matériels 42

3.12. SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS 43

3.13. TABLEAU DE FLUX 44

3.14. SCHEMA DE FLUX 44

3.15. DICTIONNAIRE D'EXPLOITATION 44

3.16. CRITIQUE DE L'EXISTANT 44

3.17. PROPOSITION DE SOLUTION 45

CONCLUSION PARTIELLE 45

CHAPITRE IV : MODELISATION ET IMPLEMENTATION 46

4.1. Introduction 46

4.2. MERISE POUR LA MODELISATION DU SYSTEME 46

4.2.1. Introduction 46

4.3. LES CYCLES DE MERISE 47

4.4. LE NIVEAU DU CYCLE D'ABSTRACTION DU MERISES 48

1. Le niveau conceptuel : 48

2. Le niveau organisationnel : 48

3. Le niveau logique : 48

4. Le niveau physique : 48

4.5. LES DIFFERENTS MODELES DE MERISE 49

4.5.1. MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION (MCC) 49

4.5.2. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT 49

4.5.3. MODELE CONCEPTUEL DE DONNEE (MCD) 50

a) Entité : 51

b) Les propriétés ou attributs : 51

c) Association ou relation: 51

d) Cardinalités : 51

e) Le schéma de MCT 53

4.5.4. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD) 53

4.5.5. LE MODELE PHYSIQUE DE DONNEES 55

CONCLUSION GENERALE 59

BIBLIOGRAPHIE 60

WEBOGRAPHIE 60

Table des matières 61

* 1Alice Tshiela, Cours de Merise, G3info, U.KA, 2015-2016, Inédit.

* 2KAFUNDA K., Cours de Méthodes de Recherche Scientifique, G2 info, U.KA, 2013-2014

* 3Kasongo. Cours de réseaux informatiques, G2 info, U.KA, 2014-2015, Inédit.

* 4 http://www.vulgarisation-informatique.com/client-serveur.php/ le 14 /05 /2016.

* 5 http://www.frameip.com/osi/ le 15/05/2016

* 6 www.opendoc.net/cours/cours-comparaison-modele-osi-modele_tpcip/ le 19/05/2016.

* 7Pujolle. G, Les réseaux ,6ème Ed. Eyrolles, Paris, Septembre 2007.

* 8 Pujolle. G, Op. Cit ,P. 178.

* 9 André Beauchamp, La foi à l'heure d'internet, Edition Fides, Paris, 2001, P.57.

* 10 https://wikipedia-org.com/wiki/Internet?/le 12/01/2016

* 11 https://wikipedia-org.com/wiki/Client-serveur?/ le 06/02/2016

* 12 Nobla Tshilumba, Cours de programmation web, G3 info, U.KA, 2015-2016, inédit.






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Tu supportes des injustices; Consoles-toi, le vrai malheur est d'en faire"   Démocrite