INTRODUCTION GENERALE
Il est de coutume pour tout étudiant du premier et du
second académique de rédiger un travail scientifique qui devra
sanctionner le cycle en question c'est dans cette optique que nous nous sommes
obliger d'effectuer des recherches dans le but d'analyser les
problématiques des investissements dans une entreprise voila pourquoi
nous allons traite dans ce travail d'un sujet important intitulé
« problématique des investissements face à la prise
décision d'une entreprise »
1. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Le choix porté sur le sujet à été
guider par le fait l'on souhaitait à la problématique des
investissements face à la prise décision d'une entreprise cas
« Gécamines »
La Gécamines à été choisie vu son
importance et son rôle dans la vie sociale et économique de la
République Démocratique du Congo en générale et
dans la ville de Lubumbashi en particulier.
Nous avons opéré ce choix dans le souci
d'approfondir nos connaissances l'étude financière qui, en notre
qualité de futur gestionnaire devra toujours caractérise nos
investigation à la recherche des solutions efficace susceptible de
redresse la vie économique de l'entreprise d'autre part nous avons
toujours voulu analyser les problématiques des investissements de la
Gécamines vu la disponibilité des données
financières et aussi la petite faveur doit nous sommes
bénéficiaire.
L'intérêt poursuivi par cette étude est
aussi de montre et de renseigner tout gestionnaire d'entreprise sur les
démarches et étape à suivre en vue de déterminer la
santé financière d'une entreprise industrielle.
1.1 intérêt personnel
Ce sujet nous a beaucoup intéresse parce que il
encadre bien avec les domaines de notre formation, ce lui de gestion
financière et comptabilité.
1.2 intérêt scientifique
Toute étude scientifique pour être efficace doit
se conformer aux normes essentiellement scientifique voila pourquoi toutes
nos recherches ont été menées à la lumière
de principes et théories préexistent dans le domaine de la
gestion financière. Ainsi ce travail constitué valablement un
balisage pour nos prédécesseurs qui pourra autrement
approfondir ce sujet.
2. ETAT DE LA QUESTION
Nous ne prétendons pas être la pionnière
à aborde cette comme celle- ci a trait à la problématique
des investissements face à la prise de décision d'une entreprise,
plusieurs auteurs ou chercheur s'y intéresses d'une manière ou
d'une autre.
A ce sujet, la lecture des travaux scientifiques tel que les
T.F.C, Mémoire, portant sur la problématique des investissements
face à la prise de décision d'une entreprise. Laisse entendre que
les auteurs ont eu le mérite d'avoir prône scientificité
de leurs étude il s'agit entre autres des auteurs ci- après.
- KINU NGOY KABANGE Espoir dans son travail a parlé
analyse des indicateur financier comme d'aide à la prise de
décision d'investissement dans une entreprise industrielle Brasimba
l'auteur de accentué sur l'analyse financière qui doit aide a
évalué la santé financière d'une entreprise en
matière de la prise de décision d'investissement.
- KABONGO WAKABONGO Jimmy dans son travail de fin de cycle a
parlé la gestion des risques d'investissement dans la prise de
décision d'une entreprise l'auteur veut dire comment la prise de
décision est un moyen excellant dans la gestion d'une entreprise.
En ce qui nous concerne, nous analysons les
problématiques qui surgie dans la phase d'investissement dans une
entreprise.
3. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE
A. PROBLEMATIQUE
La problématique est l'approche ou la perspective
théorique que l'on décide d'adopter pour traiter le
problème posé par la question de départ. Elle est une
manière d'interroger les phénomènes
étudiés1(*).
Un meilleur aboutissement d'un travail scientifique
dépend de la façon dont les interrogations sont formulées
en vue de trouver des réponses appropriées.
La problématique est donc l'ensemble des questions
qu'une science ou une philosophie se pose relativement à un domaine
particulier.2(*)
Selon le dictionnaire le nouveau Petit Robert, c'est ce dont
l'existence, la vérité, la réussite est douteuse qui
fait problème.3(*)
D'autre part, nombreux auteurs, en sciences sociales, ont
défini la problématique, tout en se ralliant à
l'expression de la préoccupation majeure qui circonscrit l'auteur de
façon précise et déterminée, avec clarté en
dimension essentielle de l'objet de l'étude que le chercheur se propose
de mener. Il ya lieu de noter qu'il est impossible que l'on entreprenne une
recherche sans que l'on ait posé la problématique.
De notre part, la problématique serait
considérée comme l'ensemble des problèmes qui se posent
dans un domaine scientifique bien déterminé lesquels
problèmes nécessitant des réponses appropriées.
Dans cette perspective, plusieurs entreprises se
trouvent à cheval entre les problématiques des investissements
face la prise de décision d'une entreprise. Et c'est pour cela que nos
préoccupations tourneront autour des questions suivantes :
- Quelles sont les problématiques pouvant permettre au
gestionnaire de la Gécamines dans l'étude
investissement ?
- Est - ce que les problématiques des investissements
ont-il une incidence sur la prise de décision d'une entreprise.
Telles sont les questions auxquelles nous tenterons de
répondre dans cette étude.
B. HYPOTHESE
Plusieurs définitions sont données en ce qui
concerne l'hypothèse et parfois elles s'opposent en ce qui concerne le
choix de celle-ci. Mais nous allons tenter de définir cela de notre
manière.
L'hypothèse est une proposition de réponses aux
questions qu'on se pose à propos de l'objet de recherche formulé
en des termes tels que l'observation et l'hypothèse puissent fournir des
réponses4(*).
D'après le Dictionnaire universel, l'hypothèse
est une explication plausible d'un phénomène naturel,
provisoirement admise et destinée à être soumise au
contrôle méthodique de l'expérience.5(*)
Elle peut aussi être définie comme étant
une proposition qui tente d'expliquer le problème posé à
partir de l'observation, c'est-à-dire une idée, une tentative
d'explication des faits formulés au début de la recherche et
destiné à orienter l'investigation, et à être
maintenue ou abandonné, après les résultats de
l'observation et de l'analyse.
Certes point n'est besoin de souligner au préalable
néanmoins, nous allons tenter de répondre de manière que
voici :
- Les gestionnaires de la Gécamines doivent
s'intéresse aux six paramètres qui constituent des variables
dans un investissement qui sont les suivants ;
ü Le capital investi (I)
ü La valeur résiduelle ou
récupérable de l'investissement (VR)
ü Les recettes nettes d'exploitation ou flux net de
liquidité (FNL)
ü La durée de vie de l'investissement
ü Le mécanisme d'actualisation
ü Le profit de survenance des recettes dans le temps
- Oui si les critères des problématiques ne
répond pas l'investissement ce difficile prendre une prise de
décision.
4. MÉTHODES ET
TECHNIQUES
A.
MÉTHODES
Toute étude qui porte sur un phénomène
donné amène le chercher à suivre une certaine
démarche scientifique, celle permettant d'atteindre ses objectifs.
La méthode est un chemin que l'on emprunte pour
découvrir la vérité, la vérifie et la
démontre et son utilité consiste à donner à un
travail un caractère scientifique.6(*)
Chevalier et Loschack
définissent la méthode comme un procédé
d'analyse susceptible de conduire une explication des phénomènes
observés.7(*)
De ce fait, nous avons choisi pris quatre méthodes dans
ce travail, lesquelles pourraient nous aider à répondre aux
questions sur les problématiques des investissements.
A.1
Méthode Analytique
De par sa définition, c'est une analyse de
différents éléments aux domaines pour dégager en
chacun ce qui le concerne.8(*)
Cette méthode va nous permettre de parcourir les
dispositions légales relatives à faire un examen approfondi
d'analyse financière d'un investissement.
B.
TECHNIQUES
Si la méthode est une démarche intellectuelle,
la technique quant à elle, est un outil, un moyen au service de la
méthode.
Les techniques sont considérées par Braillard
P., comme procédés plus précis, et, en principe, des
instruments de mesure des phénomènes sociaux servant à la
récolte et au dépouillement des informations utiles à la
rédaction d'un travail scientifique.9(*)
Les techniques de recherche sont comprises comme
étant une procédure ou des moyens utilisés dans la
collecte de faits ou des informations, et étroitement liés aux
modes d'investigation et à la méthode.10(*)
En sommes, les techniques utilisées dans notre travail
pour la récolte de donnée sont les suivantes :
B.1 Technique Documentaire
Elle consiste à étudier et à analyser les
documents pour arriver à déterminer les faits ou le
phénomène dont les documents ont porté les traces.
B.2 Technique D'interview
Elle consiste en un procès de communication verbale
entre l'intervieweur et l'interviewé, procès duquel le premier
tente d'obtenir du second les informations dont il a besoin pour
l'élaboration d'un travail scientifique
Celle-ci se fait beaucoup plus ressentir dans l'importance de
la bibliographie à laquelle nous avons fait recours ,aux innombrables
notes, travaux de fin de cycle et mémoires, ainsi que les ouvrages ayant
trait au sujet d'étude.
5. Delimitation du
sujet
Délimiter un sujet d'étude revient tout
simplement à le circonscrire dans le temps et dans l'espace afin
d'éviter d'aborder les faits étudies de façon
imprécise ; car les faits connaissent des transformations parfois
approfondies pouvant modifier leurs caractéristiques au cours du
temps.
5.1 Délimitation dabs l'espace
Sur le plan spatial, notre champ d'investigation est la
Gécamines
5.2 Délimitation
temporelle
Dans le temps de notre étude va de l'année 2O1O
à 2O12 le choix de cette période par le fait que nous observons
une influence semble des investissements de la Gécamines.
6. Subdivision du
Travail
Outre l'introduction et la conclusion générale,
notre travail est subdivisé en 3 chapitres :
- Chapitre I. Généralités
- Chapitre II. Approche théorique de la gestion
d'investissement et financement
- Chapitre III. Le problématique des investissements
face à la prise de décision dans une entrepris
CHAPIPTRE I. GENERALITES
SECTION CONCEPT DE BASES
1 Problématique
La problématique est l'approche ou la perspective
théorique que l'on décide d'adopter pour traiter le
problème posé par la question de départ. Elle est une
manière d'interroger les phénomènes
étudiés11(*).
Un meilleur aboutissement d'un travail scientifique
dépend de la façon dont les interrogations sont formulées
en vue de trouver des réponses appropriées.
La problématique est donc l'ensemble des questions
qu'une science ou une philosophie se pose relativement à un domaine
particulier.12(*)
Selon le dictionnaire le nouveau Petit Robert, c'est ce dont
l'existence, la vérité, la réussite est douteuse qui
fait problème.13(*)
D'autre part, nombreux auteurs, en sciences sociales, ont
défini la problématique, tout en se ralliant à
l'expression de la préoccupation majeure qui circonscrit l'auteur de
façon précise et déterminée, avec clarté en
dimension essentielle de l'objet de l'étude que le chercheur se propose
de mener. Il ya lieu de noter qu'il est impossible que l'on entreprenne une
recherche sans que l'on ait posé la problématique
1. Investissement
Investissement, en économie, part de
la richesse destinée à accroître la production, par
l'accroissement ou le renouvellement des capacités productives14(*).
2. PRISE
Action de mettre (quelque chose) en sa possession ou sous son
contrôle par la force ou par la violence15(*)
3. Décision
Décision, théorie de la, étude formelle
de la prise de décision et des choix optimaux répondant à
des problèmes organisationnels.16(*)
La théorie de la décision est née durant
la Seconde Guerre mondiale, de l'intérêt de certains chercheurs en
mathématiques et en statistiques pour la stratégie militaire.
Elle s'est ensuite étendue à l'étude et à la
modélisation des choix de l'individu dans un contexte composé de
lois, d'entreprises, d'autorités, d'adversaires et d'alliés.
Même si elle ne s'est pas encore constituée en corpus
unifié, elle est à l'origine de nombreux travaux en
théorie des jeux, en théorie des graphes, ou encore en
informatique.
4. Entreprise
L'entreprise peut être définie comme
étant une entité économique organiser qui par la
combinaison des facteurs de production, produit des biens et des services pour
un mâché déterminée en poursuivant des objectifs
multiples.17(*)
Il ressort de cette définition que l'entreprise est
aussi biens un hôpital qu'un ministère, une association sans but
lucratif qu'un e entreprise publique ou privée, une grande entreprise,
qu'une toute petite entreprise, elle exerce ses activité aussi bien dans
le secteur marchand que non marchand.
Quelle que soit, « toute entreprise exige une
accumulation préalable de ressources de financement et l'organisation
d'une capacité productive, plaçant ainsi l'activité aux
cous de la circulation d'un ensemble de flux. La maitrise de la logique de ce
mouvement des flux trouve à la base de la finance d'entreprise.
Même si la gestion financière intéresse toutes les
entreprises. Il existe des différences dans la faconde l'appliquer en
raison de la nature hétérogène des activités.
Nous effectuerons un rapide survol de la principale
caractéristique économique qui différencie les
entreprises.
1. TYPOLOGIE
Du point de vue économique, les entreprises peuvent
être classées selon la taille, la nature de leur activité
ou le secteur dans lequel elles évoluent.
1.1. TAILLE DE L'ENTREPRISE
Selon le critère, on distingue les entreprises de
grande taille, les petites et moyennes entreprises (PME), les micros et petite
entreprises. Chaque environnement utilise des critères qui lui sont
propres. C'est ainsi qu'une PME dans un pays donné peut être
considérée comme une grande entreprise dans un autre pays. Quelle
qui soit la classification adoptées, on fait souvent
référence au critère de l'effectif (nombre de personnes
occupées) pour définir la taille d'une entreprise. Dans l'union
européenne par exemple est considéré comme :
ü Micro entreprise de 0 à 9 personnes
employées ;
ü Petite entreprise de 10 à 49 personnes
éployées ;
ü Moyenne entreprise de 50 à 249 personnes
employées ;
ü Grande entreprise plus de 249 personnes
employées ;
Mais l'introduction d'un critère financier (chiffre
d'affaires et /ou total du bila) est un complément nécessaire
pour saisir la vitalité importance d'une entreprise, ses performances et
sa situation par rapport à la concurrence.
1.2. LA NATURE
D'ACTIVITE
On
distingue généralement trois formes d'entreprise selon
l'activité économique : entreprise commerciale, entreprise
industrielle et entreprise de service.
- L'entreprise commerciale : est celle qui consiste
à vendre en l'état les stocks de marchandises achetées.
C'est l'exemple des magasins, des grandes surfaces, des boutiques de modes,
etc.... le patrimoine de ces entreprise n'exige pas un investissement
énorme en équipement, comparativement à ce que l''on peut
observer dans une entreprise industrielle ;
- L'entreprise industrielle : est celle qui transforme la
matière première en produit finis, les quelles sont
destinées à la vente. Il peut s'agir d'une activité
artisanale (boulangerie, menuiserie, savonnerie) ou d'une industrie
géante à l'instar des concentrations et de conglomérats.
Une entreprise industrielle exige beaucoup de moyens d'investissement en
équipement et en fonds de roulement ;
- L'entreprise de service : est celle qui rend ses
services à d'autres agents économiques. Très souvent, les
services vendu n'est pas stockable, contrairement aux entreprise
Ø SECTEUR
D'ACTIVITE
a. Les secteurs primaires : qui
exploitent un élément naturel, agriculture, pêche,
extraction d'hydrocarbure, carrière, barrage, extraction foncier
etc..... ces entreprises livrent des biens à la consommation sans pour
cela s'appuyer sur des matières première.
b. Les secteurs secondaire : celle qui
au départ des matières, grâce à un processus de
transport, livrent un produit finis à la clientèle,
c. Les secteurs tertiaires : celle qui
sont purement administratives ou qui produisent de service (administration
publique, banque, cabinets médicaux, cabinets d'avocats, etc....)
1.3. D'APRES LE
REGIME : les entreprises privées, les entreprises
publiques et les entreprises mixtes.
1.4. D'APRES LA
FORME : nous avons les entreprises industrielles et les
entreprises sociétaires.
SECTION CONCEPT CONNEXES
1.
GESTION
Selon Martin RAMANDELINA, la gestion est un concept d'origine
latine »Gero » qui veut dire à la fois administrer,
exécuter. La gestion est la bonne organisation du travail en mettant
chacun à la place qui lui convient, selon sa capacité. C'est
encore le management dans une entreprise. Mais la gestion ne consiste à
pas organiser le travail présent, elle est aussi organiser le travail et
prévois les risque du travail, donne les programme à long terme
et à court terme, au besoin atteindre même son rayon d'action le
besoin l'oblige.18(*)
La gestion est un processus spécifique consistant en
activité de la planification, d'organisation, d'imputation et de
contrôle visant à déterminer et à atteindre des
objectifs définie grâces à l'emploi d'être humains et
à la mise en oeuvre ressources.19(*)
2. GESTION FINANCIERE
La gestion financière consiste à un ensemble de
décision à caractère financier qui a trait à la
structure de l'entreprise soit à son fonctionnement. D'où une
détermination de frontière entre la gestion financière se
réfère au découpage traditionnel des différents
postes d'un bilan.20(*)
SECTION PRESENTATION DU MILIEU D'INVESTIGATION
La générale des carrières et des mines
est une entreprise minière publique de la république
démocratique du Congo.
Elle a été crée le 02 janvier 1967, en
effet la Gécamines à repris à cette date les
activités de l'ex - union minière du haut Katanga(UMHK) dont les
biens avaient été transfère à l'état
congolais. Elle exploite le gisement de cuivres, de cobalt, et de zinc et
d'autres produits qui accompagnent ces principaux métaux dans la
province du Katanga. La Gécamines à trois groupes d'exploitation
minière des mines à ciel ouvert, et de mines souterraine nous
avons le groupe sud (Lubumbashi, kipushi), le groupe centre (Likasi, kambove)
et le groupe ouest (Kolwezi)
La Gécamines à une concession de plus ou moins
32 km2 dont une aire d'exploitation de 20000 km2, qui
s'étale sur les trois susmentionnés.
En dehors du secteur opère aussi dans divers domaines,
notamment dans le domaine de santé, de l'éducation et de l'agro
pastoral. Elle dispose de trois minoteries, de trois cliniques et quatre semi
cliniques, huit hôpitaux, treize dispensaires
périphériques.
Dans le domaine de l'enseignement nous avons 75 écoles
secondaires d'enseignement général, l'école techniques
industrielle, 5 lycée de métiers pour les jeunes filles, 2
instituts médicaux. En outre, il sied de souligner le fait que la
Gécamines est à l'origine du développement social et
communautaire aussi bien dans la province du Katanga que dans l'ensemble du
pays.
Ce chapitre à pour objectif de nous aider à
nous faire une idée sur la Gécamines, c'est pourquoi , nous
allons décrire dans un première moment la dynamique du changement
de différent statu de l'union minière du haut Katanga à la
générale des carriers études mines , passant par la
générale congolaise des minerais en suite livrer l'objet social,
l'organigramme et la situation géographique et enfin donner une analyse
de la situation actuelle de l'entreprise.21(*)
APERÇU HISTORIQUE
II.2.1. DE L'UNION MINIERE DU HAUT
KATANGA A LA GECAMINES
Créée le 28 octobre 1906 la
générale des carrières et des mines est l'oeuvre de
l'union minière du haut Katanga, une association formées entre
les détenteurs des droits de concession des gisements de cuivre. Avec la
compagnie du Katanga robert William et la société
générale de Belgique qui apportait le fonds de
roulement ?
A sa création, l'UMHK était à plusieurs
difficultés due à l'éloignement démarcher aux
problèmes techniques, aux difficultés financières et
à la rareté de la main d'oeuvre. A cet effet on note une
prééminence des anglais dans la direction d'exploitation, qui
suscite des conflits.
En 1909 il y aura construction d'une usine ayant pour
mission de traiter les minerais riches en oxydes par fusion déductive,
pour garantir une certaine viabilité de l'union minière, une
ligne de chemin de fer reliée en 1910 Elisabeth ville (Katanga) au port
Beira Mozambique en passant par la Rhodésie du nord(Zambie).
En 1912, il y a eu signature d'un contrat de l'union
minière avec le charbonnage de WANKIE en Rhodésie du sud
(Zimbabwe), pour la simple raison que pendant long temps, la coque provenait de
l'Europe.
Les jours de l'usine de Lubumbashi ont été
mise en service pour la toute première fois en juin 1911 la production
de cuivre, de cobalt et de zinc va évoluer progressivement et deviendra
plus stable à partie de 1923.
A la même année, l'union minière
deviendra première producteur mondial d'uranium. Ce qui jouera le
rôle non négligeable dans la victoire des alliés de
deuxième guerre mondial. C'est pour cette raison que le président
américain HARRY Truman va octroyer une récompensé à
l'UMHK.
En 1939, l'UMHK, diversifie ses produits du manganèse,
du plomb et de concentrés de zinc.la main d'oeuvre passe de 8500
à 17 500 agents. Etant donné l'importance de la main
d'oeuvre, tat inde L'UMHK se verra obligé d'aller chercher en dehors de
la province du Katanga une main oeuvre, elle a commencé par la
Rhodésie, puis dans l''autre région de l'indépendant du
Congo (lomami, Kasaï et Maniema) au Rwanda et Burundi.
De 1945 à 1959, l'entreprise produit 280043 tonnes de
cuivre, 8431 tonne de cobalt, 117778 tonnes de concentre de zinc, d'uranium
132643 kg de germanium d'argent. Cette production va beaucoup influencer la
croissance de l'économie belge et de l'Etat indépendant du
Congo.
Des 1960, année de l'accession du pays à
l'indépendance, la production du cuivre varie entre 450000 et 500000
tonnes grâce plans d'expansion successive. C'est plus tard, dans le cadre
de la lutte pour l'indépendance économique, que le feu
président Mobutu créera le 02 janvier 1967, suite à la
nationalisation économique de l'UMHK, une société de
succéder cette dernière « LA GECOMIN »
2.2. DE LA GECOMIN A LA GECAMINES
Par ordonnance loi N° 72-050, du 14 septembre 1972, de
nouveaux statuts de la Gécamines, sont signes et celle-ci devient la
d=Gécamines (la générale de carrières et de
mines)
Par ordonnance loi N°84-221, du 02novembre 1984, il
crée une société holding d'état, sous la
dénomination de la générale de carrière et de mines
holding (Gécamines holding)
Les nouveaux statuts du groupe Gécamines sont
signés et la Gécamines ancienne devient la générale
de carrière et de mines d'exploitation (Gécamines d'exploitation)
une filiale à caractère industriel de ce holding,
dotée de la personnalité juridique les deux autres filiales de la
Gécamines holding sont .
· La Gécamines commerciale
· La Gécamines développement
A partir du 10 mai 1995, ses statuts et sa
dénomination ont modifié par le décret 0020, 0021, 0023,
partant de la dissolution de la Gécamines holding, de la
Gécamines commerciale et de la Gécamines développement, et
créant la générale des carrières et de mines(en
sigle Gécamines)
En résumé, nous retenons que l'histoire de la
Gécamines est très dynamique et les différentes
étapes qui l'ont manquée peuvent se résumer dans les
dénominations et les dates de création ci-après
· L'UMHK (Union manière du haut Katanga) en
1906
· GECOMINES (générale congolaise de mines)
en 1970
· GECAMINES (générale de carrières
et de mines) en 1972
· GENERALE HOLDING en 1984 avec ses filiales qui
sont :
v Gécamines exploitation
v Gécamines commerciale
v Gécamines développement
v Gécamines en 1995
II.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE
La Gécamines à son siège social
à Lubumbashi dans la commune de Lubumbashi, à l'angle des avenue
KAMANYOLA et MWERO ses activités sont reparties géographiquement
dans 3 groupes.
· Le groupe sud (Lubumbashi)
· Le groupe centre (Likasi et kambove)
· Le groupe ouest (Kolwezi).
Avent l'applications du nouveaux code minier, le gisement de
cuivre, de cobalts et des zinc étaient étendue sur une
concession de plusieurs monts 18900 Km2 de cuivre et d'autre produit
associé, et de 14000 km2 d'étain et tout le produit
qui accompagne les 3 grands métaux
Actuellement, l'exploitation reste organisée autour de
ces trois groupes.
II .4. OBJET SOCIAL
La Gécamines a pour objet
Ø La recherche et l'exploitation des gisements
miniers
Ø Les traitements des substances minérales
provenant de ces gisements
Ø La vente et commercialisation de ces substances
autant à l'état brut qu'a l'état qu'âpres traitement
Ø Les activités de développement,
notamment dans le secteur de l'élevage et de l'agriculture, dans
l'intérêt de la Gécamines et de ses environs.
II.5.5 STRUCTURE ET ORGANIGRAMME
DE LA GECAMINES
II.5.1 STRUCTURE
Sources : direction financière de la
Gécamines (département de budget)
Ø ADG : administrateur directeur
général
Ø ADGA : administrateur directeur adjoint
Ø DT : directeur technique
Ø DFI : directeur financier
Ø DRH : directeur de ressources humaines
Ø DCO : directeur commercial
Ø DAT : directeur des approvisionnements et
transport
Ø SG : secrétaire général
Ø AL : direction de l'audit interne
Ø CPR : direction de centre de profit
Ø DXO : direction exécutive des
opérations du groupe ouest des
Ø DXS : direction exécutive des
opérations du groupe sud
Ø DSN : direction de service et de maintenance
Ø STA/MIN : direction de stratégie
minière
Ø STA/MET : direction de stratégie
métallurgique
Ø CTG : direction contrôle
général
Ø TRG : direction des trésoreries
générales
Ø RDGK : représentation de la direction
générale à Kinshasa
Ø DPA : direction de participation
Ø RDGB : représentation de la direction
générale à Bruxelles
Ø RDGN : représentation de la direction
générale à Johannesburg
Ø RDGD : représentation de la direction
générale à dar-er-Salam
Ø CPT : département de la
comptabilité
Ø CGS : control général du groupe
sud
Ø CGC : contrôle général du
groupe centre
Ø CGO : contrôle général du
groupe ouest
Ø FCG : département de coordination de
service financiers et contrôle de gestion
Ø CPB : coordination et planification de budget
Ø CIE : comptabilité industrielle
d'exploitation
Ø IMO : comptabilité des immobilisations
Ø CGA : comptabilité générale
auxiliaire
Ø CEN : comptabilité centralisation
a) La direction de contrôle
générale : Elle comprend trois départements
Ø Le département de coordination et
planification budgétaire (CPE) avec comme division :
§ La division de la coordination des unités
budgétaires(CVE)
§ La direction de la coordination de
l'investissement(CI
Ø Le département de la comptabilité(C
comme division :
§ La division de la comptabilité
centralisation(CEN)
§ La division de la comptabilité industrielle
d'exploitation(CIE)
§ La division de la comptabilité des
immobilisations (IMO)
§ La division de la comptabilité
générale auxiliaire(CGA)
Ø Département de la coordination des services
financiers et contrôle de gestion (FCG) avec comme division :
§ Division contrôle gestion(DCG)
§ Division de service de finance(DCF)
b) La direction de la trésorerie générale
(TRG) : elle comprend deux départements
Ø Départements de l'administration de
finances(AF) avec comme division :
§ La division de financement, assurance et
fidélité(FAF)
§ La division de la gestion des créances et dette
(GCD)
§ La division de contrôle et statistiques(DCS)
Ø Les départements de finance et
trésorerie (FTR) avec comme division :
§ La division des études stratégiques de
financement (ESF)
§ La division de prévision de la
trésorerie(PRV)
§ La division de gestion et de paiement des frondas
(PGF)
CHAPITRE II. APPROCHE THEORIQUE DE LA GESTION D'INVESTISSEMENT
ET FINANCEMENT
SECTION GESTION D'INVESTISSEMENT
De toutes les décisions à long terme prises par
l'entreprise, l'investissement est certainement la plus importante, car c'est
une décision de nature stratégique qui engage l'avenir de
l'entreprise. Une mauvaise orientation peut condamner la survie de la
société. En effet, l'investissement est un choix
irréversible qui nécessite des fonds substantiels. C'est
pourquoi, des outils d'aide à la décision basés sur
l'application de techniques quantitatives sont proposés afin de
permettre une meilleure évaluation de la décision
d'investissement.
Les critères de choix d'investissement sont nombreux,
et cela d'autant plus que l'environnement dans lequel se situe le
décideur est soit certain, soit aléatoire, soit
indéterminé (risqué). Après avoir rappelé la
dimension de l'investissement, nous allons présenter les
différentes méthodes de choix à la disposition d'un
investisseur.
1.
NATURE ET TYPOLOGIE DES INVESTISSEMENTS
1.2. Définition
Toute décision de dépense qui conduit à
l'acquisition d'un actif en vue de l'obtention d'un flux de liquidités
ultérieur et ayant pour but d'accroître la richesse des
propriétaires de l'entreprise, constitue un investissement.
L'investissement s'oppose ainsi à la consommation qui
implique une destruction de richesse et une perte de valeur. Il est
réalisé en vue d'accroître la richesse des
propriétaires de l'entreprise et, par conséquent, la valeur
de l'entreprise. L'accroissement de valeur signifie que la
rentabilité de l'investissement est positive. Précisons
dès à présent que la mesure de la rentabilité n'a
de signification qu'en fonction du montant des capitaux investis.
Cette finalité n'exclut pas que l'opération
d'investissement puisse avoir des buts plus spécifiques augmentation de
la productivité, diversification des activités,
amélioration des conditions de travail, mais on supposera que toutes ces
opérations particulières concourent à terme à
l'accroissement du patrimoine des propriétaires de l'entreprise.
Le plan Comptable, sont considérés comme
investissements l'ensemble des actifs immobilisés acquis par
l'entreprise et figurant aux immobilisations (incorporelles, corporelles,
financières). Cette définition reste très restrictive ;
une définition financière plus large s'impose. « Investir
c'est mettre en oeuvre aujourd'hui des moyens financiers pour, au travers des
activités de production et de vente, générer des
ressources financière sur plusieurs périodes ultérieures.
L'investissement est constitué non seulement par les actifs
immobilisés mais aussi par les besoins en fonds de roulement
d'exploitation qui représentent en fait des besoins permanents.
Cette définition intègre forcément la
notion de risque. Pourront donc être considérés comme des
investissements des dépenses susceptibles de dégager des recettes
supplémentaires ou de permettre d'économiser des coûts
(publicité, recherche, formation du personnel...)22(*).
1.2. Typologie des
investissements
Le plan comptable classe les investissements en fonction de
leur destination dans les immobilisations. Trois classes sont définies :
investissements incorporels, corporels et financiers.
Bien que cette classification n'apporte aucune information
à propos de la nature de la politique d'investissement de l'entreprise,
elle permet, toutefois de bien saisir la diversité des projets.23(*)
Différentes catégories peuvent être
distinguées en fonction de la nature ou l'objet lié à la
nature de l'entreprise.
Selon l'objet, on peut distinguer quelques catégories
:
Les investissements de remplacement : sont destinés
à renouveler les actifs productifs usés ou obsolètes afin
de maintenir le potentiel productif de l'entreprise.
Les investissements d'expansion (croissance) : qui permettent
à l'entreprise d'accroître la capacité de production et de
commercialisation des produits existants.
L'investissement de productivité : les investissements
de productivité visent à réduire les coûts unitaires
ou à augmenter les niveaux de production, ils se combinent
généralement avec l'investissement de remplacement.
L'investissement stratégique : à
caractère défensif ou offensif.24(*)
Selon la nature, on distingue :
L'investissement commercial : il comprend tout ce qui concoure
au positionnement de produit ainsi que dans le développement de ses
ventes.
L'investissement financier : concerne l'acquisition des titres
financiers afin d'obtenir un revenu.
L'investissement immatériel : comprend essentiellement
les dépenses en capital humain et25(*)
1.3. Les paramètres d'un projet
d'investissement
Le problème d'investissement revient à
sélectionner des projets en comparant le coût de l'investissement
I0 et ce qu'il peut rapporter, c'est à dire les gains futurs
espérés. La connaissance de ces flux est indispensable à
la préparation de la décision.
1.3.1 Le capital investi
L'ensemble des dépenses directes ou indirectes
nécessaires à la réalisation du projet doit être
évalué :
Prix d'acquisition des biens incorporels et financiers,
Frais accessoires d'achat, de transport, de douane, de
manutention, d'installation...
Augmentation des besoins de financement d'exploitation
(BFE).
En ce qui concerne l'augmentation du BFE, un projet
d'investissement conduit à une augmentation de l'activité et donc
du BFE. La prévision de cette augmentation est nécessaire.
L'investissement initial et l'augmentation du BFE initiale sont engagés
en début du premier exercice (ou des exercices pour lesquels ils sont
engagés). Rappelons qu'en fin de projet, le BFE est
récupéré, car les stocks sont liquidés, les
créances clients sont recouvrées et les dettes fournisseurs
réglées.26(*)
1.3.2 Cash-flow ou solde des flux de
trésorerie induits par le projet
Il s'agit du surplus monétaire crée par
l'investissement. Conventionnellement, l'année sert de base
périodique pour le mesurer bien que ce soit un phénomène
continu. Ce surplus est mesuré sur la durée de vie de
l'immobilisation acquise. Il est égal à la différence
entre les recettes et les dépenses induits par le projet.
Les cash-flows sont le résultat de prévisions de
chiffres d'affaires, des différents coûts d'exploitation et des
impôts. Ils sont dégagés de façon continue tout au
long d'un exercice. Afin de simplifier les calculs, on considérera
qu'ils sont dégagés en fin d'exercice. Ils sont aussi
calculés en tenant compte de la fiscalité (IS, TVA...)
cash-flow = Recettes induites du projet - Dépenses
induites du projet
= Produits encaissables - Charges décaissables
= capacité d'autofinancement d'exploitation
Comme on peut écrire aussi :CAF d'exploitation=
résultat net+Dotations d'exploitation.
On a donc : Cash-flow = Résultat net + Dotations
Les cash-flows prévisionnels correspondent au flux de
trésorerie net engendré chaque année par l'exploitation du
projet, leur détermination se fait au niveau du compte de produits et
charges prévisionnels.27(*)
1.3.3 La durée de vie du projet
Un projet a une durée de vie qui conditionnera
l'échéancier des cash-flows. Généralement, la
durée de vie économique d'un projet excède la durée
d'amortissement fiscal.28(*)
1.3.4 La valeur résiduelle
A la fin de la durée de vie, les biens ont une valeur
résiduelle. Cette valeur est à prendre en compte pour le choix
des projets.
Elle est égale à la valeur vénale nette
des impôts sur les plus values Elle doit être ajoutée au
cash flow de la dernière année du projet29(*)
2.
LES CRITERES DE CHOIX D'INVESTISSEMENT EN UNIVERS CERTAIN
Ces méthodes considèrent que le cadre de
décision est reconnu et que l'avenir est prévisible. Elles
comparent la dépense initiale aux recettes attendues dans les
années à venir.
Mais cette comparaison doit se faire à la même
date, en général, la date 0. La technique d'actualisation
(traduction économique de la valorisation du présent par rapport
au futur) permettra notamment de comparer des projets d'investissement à
durée de vie différente. Toutefois, il convient de choisir un
taux d'actualisation qui est lié à des facteurs subjectifs
(attentes et exigences de l'investisseur) et objectifs (coût de capital,
rentabilité des actifs ...)30(*)
2.1
La valeur actuelle nette (VAN)
Elle est égale à la différence
entre les flux nets de trésorerie actualisés sur la durée
de vie de l'investissement et le montant du capital.
VAN= cash-flows actualisés - Investissement
initial
En cas de cash-flows constants, VAN= -I+ CF*[1-(1+t)-n ]
En cas de cash-flows variables, VAN=-I+ Ó CF (1+t)-i
Avec I : l'investissement initial ; CF : cash-flow ; n :
durée de vie, t : taux d'actualisation.
La valeur actuelle nette mesure l'avantage absolu susceptible
d'être retiré d'un projet d'investissement. Elle dépend
donc de l'importance du capital investi dans le projet. Elle constitue
:31(*)
Un critère de rejet pour tout projet dont elle est
négative ;
Un critère de sélection entre deux projets, sera
retenu celui dont la VAN est la plus forte.
2.2
Le Taux Interne de Rentabilité (TIR)
Le taux interne de rentabilité TIR est le taux pour
lequel la valeur actuelle nette est nulle. Autrement dit, c'est le taux qui
rend égaux le montant de l'investissement et les cash-flows induits par
ce même investissement.32(*)
I= Ó CF (1+t)-i
i=1
Le TIR constitue :
Un critère de rejet pour tout projet dont le TIR est
inférieur au taux d'actualisation -plancher requis par
l'investisseur.
Un critère de sélection entre deux ou plusieurs
projets pour retenir le projet dont le TIR est le plus élevé.
Remarque
Si le TIR est égal au taux d'actualisation, le projet
est neutre à l'égard de la rentabilité globale de
l'entreprise. Par contre, si le TIR est inférieur, la réalisation
du projet entraînera la chute de la rentabilité globale de
l'entreprise.
Application : Calculer le TIR
pour les applications 1 et 2
Lorsque plusieurs projets sont en compétition,
l'application des deux méthodes peut parfois conduire à des
conclusions différentes. La VAN est une fonction décroissante du
taux d'actualisation. Les VAN de deux projets se coupent en un taux-pivot pour
lequel les VAN sont égales. Le croisement des courbes provient du fait
que les échéanciers des cash-flows sont différents. Le
choix dépendra des objectifs de l'investisseur. Celui ayant des besoins
de trésorerie privilégiera les investissements
générant des flux de trésorerie les plus immédiats.
Au contraire, l'investisseur n'ayant pas des besoins de trésorerie
privilégiera une rentabilité meilleure mais plus
éloignée.
2.3
L'Indice de profitabilité (IP)
Il mesure le profit induit par un dirham du capital investi.
Il mesure l'avantage relatif susceptible d'être retiré d'un projet
d'investissement. Il constitue un critère de rejet pour tout projet dont
l'indice est inférieur à 1. Pour deux ou plusieurs projets, sera
celui dont l'indice de profitabilité est le plus élevé.
2.4. Le Délai de Récupération du capital
investi (DRC)
Il correspond au délai au bout duquel le montant
cumulé des cash-flows actualisés est égal au montant du
capital investi ; c'est le délai le plus court possible. Il constitue un
critère de rejet pour tout projet dont le DRC est supérieur
à la norme fixée par l'entreprise. Au niveau de la comparaison
entre deux projets, sera retenu celui dont le DRC est le plus court.
L'utilisation du DRC en tant que critère de
sélection n'est valable que pour des projets à durée de
vie identique.33(*)
N.B
Lorsque des projets ont une durée de vie
différente, les critères utilisés
précédemment deviennent non pertinents. En effet,
l'hypothèse sous-jacente à l'utilisation de ces critères
est que les cash-flows dégagés par l'investissement sont
capitalisés (réinvestis au fur et à mesure de leur
sécrétion.
Dans le cas de la VAN, de l'IP et du DRC, ce
réinvestissement se fait au taux qui correspond au coût moyen de
financement, ou du taux de rendement minimum attendu par les actionnaires.
Mais, dans le cas du TIR, le taux calculé est un taux de
rentabilité marginal, souvent très élevé, qui ne
correspond qu'à un investissement ponctuel. Cette nuance peut
entraîner des discordances entre les résultats obtenus par les
différents critères. En outre même, ces discordances
peuvent être dues à une répartition différente des
cash-flows ou par des durées de vie inégales des projets.
3.
LES CRITERES DE CHOIX D'INVESTISSEMENT EN AVENIR ALEATOIRE
En situation d'incertitude, certains événements
sont connus mais leur réalisation n'est pas certaine alors que d'autres
sont inconnus. Dans le cas des premiers, il est possible de leur attribuer une
probabilité d'occurrence parce qu'ils sont scientifiquement connus. La
prévision des cash-flows peut être réalisé »
à partir de plusieurs hypothèses relatives à
l'environnement. Ainsi, généralement on établit une
hypothèse optimiste, une hypothèse moyenne et une
hypothèse pessimiste.
A chacune de ces hypothèses correspond une série
de cash-flows à partir de laquelle on applique les différents
critères d'évaluation.34(*)
Si, dans le cas de l'hypothèse pessimiste le projet
s'avère rentable, il peut alors être accepté sans
problème car le risque devient alors très faible. Dans le cas
contraire, la décision dépend du degré d'aversion pour le
risque du décideur.
Mais, cette analyse peut être affinée en
recourant aux probabilités, chacune des hypothèses pouvant
être probabilisée, dans ce cas, on peut calculer
l'espérance mathématique E(VAN), la variance et
l'écart-type de la VAN d'un projet.
L'espérance mathématique peut alors
représenter une mesure de la rentabilité du projet, tandis que la
variance (ou l'écart-type) permettra plutôt d'apprécier le
risque que représente le projet.
Néanmoins, le recours aux probabilités est plus
ou moins complexe selon que les cash-flows sont ou non
interdépendants.
3.1
Décisions uniques
Lorsque les variables (cash-flows) sont indépendants,
l'espérance mathématique de la VAN est égale à la
VAN des espérances mathématiques des cash-flows.
Si l'on appelle n la durée du projet, t le taux
d'actualisation.
E(VAN)= -I+E(CF1)(1+t)-1 +...+E(CFn)(1+t)-n
= -I+E(CFi)(1+t)-i
où : E(CFi )= Ó(CFij x Pji)
Disposant de l'espérance mathématique de gain du
projet, on peut ensuite en évaluer le risque par le calcul de la
variance puis l'écart-type de la VAN.
VAR(VAN)= VAR(-I)+VAR(CF1)(1+t)2
+...+VAR(CFn)(1+t)-2n
= VAR(-I)+VAR(CFi) (1+t)-2i
Avec, VAR(-I) =0 (I est constante) et VAR(CFi) =
Ó(CFji- E(CFi))2 x Pji
Plus la variance, l'écart-type est élevé,
plus le risque du projet pris isolément est grand.
Quand on compare des projets de montants différents, on
peut mesurer le risque relatif de chaque projet en établissant le
rapport :
Ecart-type(VAN)
Espérance(VAN)
J=Si, dans le cas de l'hypothèse pessimiste le projet
s'avère rentable, il peut alors être accepté sans
problème car le risque devient alors très faible. Dans le cas
contraire, la décision dépend du degré d'aversion pour le
risque du décideur.
Mais, cette analyse peut être affinée en
recourant aux probabilités, chacune des hypothèses pouvant
être probabilisée, dans ce cas, on peut calculer
l'espérance mathématique E(VAN), la variance et
l'écart-type de la VAN d'un projet.
L'espérance mathématique peut alors
représenter une mesure de la rentabilité du projet, tandis que la
variance (ou l'écart-type) permettra plutôt d'apprécier le
risque que représente le projet.
Néanmoins, le recours aux probabilités est plus
ou moins complexe selon que les cash-flows sont ou non
interdépendants.
3.1
Décisions uniques
Lorsque les variables (cash-flows) sont indépendants,
l'espérance mathématique de la VAN est égale à la
VAN des espérances mathématiques des cash-flows.
Si l'on appelle n la durée du projet, t le taux
d'actualisation.
E(VAN)= -I+E(CF1)(1+t)-1 +...+E(CFn)(1+t)-n
= -I+??E(CFi)(1+t)-i
où : E(CFi )= Ó(CFij x Pji)
Disposant de l'espérance mathématique de gain du
projet, on peut ensuite en évaluer le risque par le calcul de la
variance puis l'écart-type de la VAN.
VAR(VAN)= VAR(-I)+VAR(CF1)(1+t)2
+...+VAR(CFn)(1+t)-2n
= VAR(-I)+??VAR(CFi) (1+t)-2i
Avec, VAR(-I) =0 (I est constante) et VAR(CFi) =
Ó(CFji- E(CFi))2 x Pji
Plus la variance, l'écart-type est élevé,
plus le risque du projet pris isolément n'est grand.
Quand on compare des projets de montants différents, on
peut mesurer le risque relatif de chaque projet en établissant le
rapport :
Ecart-type(VAN)
Espérance(VAN)
Plus ce rapport appelé coefficient du risque est bas,
plus le risque relatif du projet est faible.
3.2
Décisions séquentielles (Variables interdépendants)
La décision n'est pas toujours unique, elle peut
apparaître sous la forme de choix successifs alternant avec une
série de conséquences possibles.
Le décideur est confronté à plusieurs
opportunités, chacune pouvant entraîner des
événements différents auxquels il est possible d'attacher
des probabilités de réalisation. Le décideur peut
répondre à chaque événement au moyen d'une
décision appropriée qui, elle-même, aura un certain nombre
de conséquences (événements) également
prévisibles, et pondérables, et ainsi de suite. La connaissance
des probabilités associées à chaque
événement et du résultat engendré par chaque
opportunité (décision) rend possible le calcul de
l'espérance de gain associée à chaque décision.
C'est le principe de l'arbre de décision.35(*)
3.2
Décisions séquentielles (Variables interdépendants)
La décision n'est pas toujours unique, elle peut
apparaître sous la forme de choix successifs alternant avec une
série de conséquences possibles.
Le décideur est confronté à plusieurs
opportunités, chacune pouvant entraîner des
événements différents auxquels il est possible d'attacher
des probabilités de réalisation. Le décideur peut
répondre à chaque événement au moyen d'une
décision appropriée qui, elle-même, aura un certain nombre
de conséquences (événements) également
prévisibles, et pondérables, et ainsi de suite. La connaissance
des probabilités associées à chaque
événement et du résultat engendré par chaque
opportunité (décision) rend possible le calcul de
l'espérance de gain associée à chaque décision.
C'est le principe de l'arbre de décision.
Un arbre de décision permet une représentation
visuelle de la série de choix successifs. Deux contraintes doivent
être respectées :
Contraintes d'exclusivité : les décisions
doivent être exclusives les unes des autres.
Contraintes d'exhaustivité : l'ensemble des
décisions possibles doit être envisagé.36(*)
4.
CHOIX D'INVESTISSEMENT EN AVENIR INCERTAIN
Lorsque l'investisseur ne peut attribuer des
probabilités objectives aux différentes issues possibles pour ses
projets, il n'a comme recours que les critères subjectifs. En se basant
sur son expérience et sur son intuition, l'investisseur peut attribuer
une probabilité subjective aux différentes situations et à
leurs conséquences. Notamment, le projet peut provoquer des
réactions de la part des entreprises concurrentes. Sa décision
dépendra ensuite de son attitude face au risque.
Ce cadre de décision prenant en compte le risque et les
réactions des autres acteurs est précisément celui
étudié dans la théorie des jeux. Plusieurs critères
peuvent alors s'appliquer au choix d'investissement.
Soit le cas d'une entreprise placée en situation
d'oligopole et assurant 20% de la production du marché, le reste se
partageant entre les autres concurrents de taille équivalente. Pour
accroître sa part de marché, elle doit choisir entre trois
stratégies d'investissement :
1. Lancement d'un produit nouveau,
2. Lancement d'une campagne de publicité agressive,
3. Politique de réduction des coûts.
La réaction de la concurrence peut être forte,
moyenne ou faible. En fonction de ces paramètres, les dirigeants peuvent
établir une matrice des résultats possibles en termes de VAN
SECTION GESTION DE FINANCEMENT
Une fois le choix du projet d'investissement est
effectué, il reste bien souvent pour l'entreprise à
déterminer le meilleur mode de financement.
L'un des principaux paramètres de la décision de
financement est le choix des sources de financement qui permettent de mieux
réaliser les objectifs de l'entreprise, notamment la maximisation de sa
valeur et la minimisation du coût de son capital.
Pour que le choix soit pertinent, il est indispensable de
connaître, au préalable, l'ensemble des sources de financement
possibles ainsi que leurs caractéristiques.
1. LES DIFFERENTES SOURCES DES MODES DE
FINANCEMENT
Pour financer ses activités, l'entreprise peut faire
appel à différentes sources de financement. De façon
générale, on distingue trois grandes formes de financement
1.1. Le financement par fonds propres
1.1.1. La capacité d'autofinancement
La CAF représente l'ensemble des
générées par l'entreprise au cours de l'exercice, du fait
de ses opérations courantes.
Le CAF est la différence entre les produits
encaissables et les charges décaissables.
CAF = résultat net + dotation de l'exercice (autres que
celles relatives au actif et passif circulant de trésorerie) - reprise
sur amortissement et sur provision (autres que celles relatives au actif et
passif et à la trésorerie) + valeurs nettes d'amortissement des
immobilisations cédées - produits de cession d'immobilisation.
La CAF est un indicateur potentiel de la capacité de
l'entreprise à générer des flux par sa propre
activité, elle ne prend pas en compte les décalages financiers et
les variations de stocks. La CAF est un flux de fonds et non un flux de
trésorerie.
L'autofinancement présente le surplus monétaire
généré par l'entreprise et conservé durablement
pour assurer le financement de ses activités.
Le niveau de cette ressource est fonction de la CAF et de sa
politique de dividendes.
L'autofinancement permet :
- financement de l'actif économique (Ensemble des
immobilisations + BFR).
- Le remboursement de dettes financières
D'accroître la capacité d'endettement en
améliorant le ratio DLMT/CAF
Calcule de ratio de remboursement de la dette calculé
d'après la CAF, plus la CAF est importante, plus le ratio est
important.
L'autofinancement (n) = CAF (n) - Dividendes
distribuées au cours de l'exercice (n)
L'autofinancement est une ressource potentielle, ce n'est pas
la trésorerie.
Deux composantes au sein de l'autofinancement :
o L'autofinancement de maintien.
o L'autofinancement de croissance.
L'autofinancement de maintien permet, de renouveler le
potentiel de production c'est le rôle de l'amortissement, et de faire
face au risque de dépréciation d'actif c'est le rôle des
provisions.
L'autofinancement de croissance = l'autofinancement total -
l'autofinancement de maintien
L'autofinancement de croissance permet de
couvrir les besoins liés à l'expansion de l'entreprise (c'est le
rôle des bénéfices mis en en réserve).
1.1.2. La cession d'éléments d'actif
Les cessions d'éléments de l'actif peuvent
résulter de trois volontés différentes.
1. Renouveler le parc des immobilisations. En effet, ce
renouvellement normal s'accompagne généralement de la vente du
matériel placé.
2. La recherche de sources de financement. Dans certains cas,
l'entreprise est contrainte de vendre des actifs qui ne sont pas
nécessaires à son activité pour trouver de nouveaux
capitaux.
3. Le recentrage des activités. L'entreprise
cède des usines, des filiales ou des participations dés lors
qu'elle décide de revenir à son métier dominant. Dans ce
cas, les sommes en jeu peuvent être considérables
3.
L'augmentation de Capital
L'augmentation de capital peut être
réalisée par plusieurs modalités
a. Par un apport en numéraire
Il revient à émettre de nouvelles actions contre
un apport d'argent à l'entreprise.
Cette augmentation du Capital est accompagnée d'un
droit de souscription préférentielle qui consiste à
accorder aux anciens actionnaires une priorité pour souscrire de
nouvelles émissions d'actions.
b. Par des apports en nature
Les apports en nature se traduisent par des apports soit
d'actif immobilisé, soit d'actif circulant.
a. Par incorporation des
réserves
Qui consiste à prélever dans les réserves
pour accroître le Capital en échange l'actionnaire reçoit
des actions gratuites et le porté de telles augmentations et de
consolidation le Capital social.
b. Par transformation des dettes en
Capital
Ce procédé fait passer le préteur d'un
statut de créancier à un statut d'actionnaire, elle consolide en
conséquence la structure financière et améliore la
capacité d'endettement de l'entreprise.
L'augmentation de capital n'implique aucune charge
financière ultérieure. En effet, les dividendes ne constituent
pas un droit sauf la partie statutaire.
OP.SUR.LE CAPITAL
|
STRUCTURE FINANCIERE
FP/DF
|
EQUILIBRE FINANCIER
|
|
|
FRNG
|
TN
|
Apport en numéraire
Apport en nature
-Immobilisations
-Actifs d'exploitation
Incorporation des réserves
Conversion des dettes
à long terme
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Nous allons nous intéresser surtout à
l'augmentation de capital en numéraire puisque c'est la seule qui
procure à l'entreprise des nouvelles ressources financières.
Ainsi, de manière générale et dans le cas de l'apport en
numéraire, l'augmentation de capital est réalisée par
création d'actions nouvelles (ou de parts sociales) ayant le même
nominal que les anciennes.
L'entreprise doit :
1. déterminer la somme qu'elle désire
obtenir,
2. fixer le prix d'émission d'actions nouvelles.
La fixation de ce prix d'émission se situe, en
principe, entre deux limites :
* une limite inférieure qui est la valeur nominale,
* une limite supérieure qui est la valeur de l'action
ancienne
Entre ces deux limites, le niveau choisi dépend de la
notoriété de l'entreprise, de ses perspectives de
développement, de l'état du marché financier.
a. La prime d'émission
Le prix d'émission détermine la prime
d'émission :
Prime d'émission = Prix d'émission - Valeur
nominale
b. Le droit de souscription
Les actionnaires anciens ont un droit
préférentiel de souscription. Ainsi, à chaque action
ancienne est attaché un droit de souscription. Les actionnaires qui ne
souhaitent pas souscrire peuvent céder leurs droits. D'autre part, si
les actions de l'entreprise sont cotées, les droits de souscription le
seront aussi.
Le droit de souscription assure l'équité de
l'opération à l'égard des actionnaires qui ne souscrivent
pas à l'augmentation de capital.
Théoriquement, la valeur du droit de souscription est
:
d = valeur de l'action avant l'augmentation du
capital - valeur de l'action après l'augmentation. Du capital.37(*)
1.1.4. Les subventions
Il s'agit de subventions accordées par les organismes
publics à certaines activités d'intérêt
général. Elles sont assimilées à des fonds propres
du fait qu'elles ne sont pas remboursables. Elles restent une source de
financement exceptionnelle. L'entreprise doit connaître les conditions
d'octroi de ces subventions et chercher à en
bénéficier.38(*)
1.1. Les quasi- fonds propres
Ce sont des sources de financement dites hybrides. Elles
présentent, à la fois, les caractéristiques des fonds
propres et des dettes. On en trouve les titres participatifs, les prêts
participatifs et les titres subordonnés.40(*)
1.1.1. Les titres participatifs
Ce sont des titres de créances, mais qui ne sont
remboursables qu'en cas de liquidation de la société ou
après expiration d'une durée assez longue. En cas de liquidation,
elles ne sont remboursables qu'après toutes les autres dettes.41(*)
Leur caractère résulte du fait que leur
rémunération comporte une partie fixe( comme les dettes) et une
partie variable (comme les fonds propres) indexée sur le
résultat.
1.1.2. Les prêts participatifs
Ce sont des créances de dernier rang accordées
par les établissements de crédit aux PME qui souhaitent
améliorer leur structure de financement et augmenter leur
capacité d'endettement. Ils peuvent être assortis d'une clause de
participation aux résultats.
1.2.3. Les titres subordonnés42(*)
Ce sont des obligations dont le remboursement n'est pas
envisagé, ne peut être effectué qu'après
désintéressement de tous les autres créanciers (à
l'exception des détenteurs des titres et prêts participatifs).
1.2. Le financement par endettement à long
terme
Le financement par endettement est le complément
classique du financement par capitaux propres. On distingue les emprunts
classiques souscrits auprès des établissements de crédit,
les emprunts obligataires souscrits auprès du public et le crédit
bail.43(*)
I.3.1.L'emprunt bancaire
Dans ce type de financement, l'entreprise a pour seul
interlocuteur la banque prêteuse, ou le pool bancaire si le financement
est accordé par plusieurs banques réunies. Ces financements
peuvent être utilisés immédiatement et en totalité,
mais ils peuvent être mis à la disposition de l'entreprise, cette
dernière utilisant les fonds au fur et à mesure de ses
besoins.
Les modalités de remboursement de ces emprunts peuvent
être de trois sortes :
Remboursement par amortissements constants
Remboursement par annuités constantes
Remboursements in fine.
I.3.2.L'emprunt obligataire
Il se fait par appel public à l'épargne. Ainsi,
l'entreprise n'est pas financée par un seul prêteur mais par
l'ensemble des investisseurs qui ont acheté les obligations
émises. Toutefois, seules les sociétés de capitaux peuvent
émettre des obligations.
L'obligation est un titre de créance qui se
caractérise par :
Une valeur nominale, c'est la pour laquelle est
calculée l'intérêt,
Un prix d'émission, c'est le prix auquel l'obligataire(
le prêteur) devra payer le titre ;
Un taux d'intérêt nominal qui est
généralement fixe et qui permet de déterminer le montant
des coupons annuels versés aux obligations ;
Un prix de remboursement, c'est la somme qui sera
remboursée à l'obligataire
Avec :
Prime d'émission = nominal fixé - prix
d'émission
Prime de remboursement = prix de remboursement - nominal
fixé
On peut distinguer quatre catégories d'obligations :
Les obligations ordinaires représentent un simple droit
de créance sur l'entreprise émettrice. Elles donnent droit
à un intérêt payable annuellement et à un
remboursement à une date connu ou non à l'avance. Les obligations
convertibles confèrent à leurs titulaires le droit de demander la
conversion de leurs titres en actions dans les conditions prévues au
moment de l'émission de l'emprunt. La conversion peut avoir lieu au
cours de périodes déterminées ou à tout moment. Ces
obligations présentent un attrait spéculatif, ce qui explique que
le taux d'intérêt soit inférieur au taux normalement
pratiqué.
Les obligations remboursables en actions (ORA)
présentent, pour les obligataires, un risque plus élevé
que les obligations convertibles. C'est pourquoi, leur taux
d'intérêt est plus avantageux. Par contre, en raison de leur
nature, les ORA sont considérées comme des quasi-fonds propres
voire des fonds propres.
Les obligations à bon de souscription
d'actions(OBSA)sont des obligations accompagnées de bons de souscription
qui donnent droit de souscrire à des actions à un prix
fixé à l'avance, au cours d'une période
déterminée. En émettant des OBSA, l'entreprise atteint
trois objectifs :
Obtenir des fonds à un coût inférieur au
coût normal du marché, en raison de l'attrait spéculatif
des bons ;
Programmer une augmentation future de capital, adaptée
à son plan de financement ;
Réduire les frais relatifs à ces
opérations.
1.3.3. Le crédit bail
C'est un contrat de location portant sur un bien meuble ou
immeuble assorti d'une option d'achat à un prix fixé à
l'avance.
Le temps qui sépare la date de conclusion du contrat de
la date à laquelle peut être exercée l'option est la
période irrévocable. Elle correspond généralement
à la durée fiscale d'amortissement du bien. En principe, le
contrat ne peut être résilié pendant cette
période.
Au terme de la période irrévocable, l'entreprise
a le choix entre :
Lever l'option d'achat et donc devenir propriétaire du
bien ;
Prolonger le contrat de location (à des conditions plus
avantageuses) ;
Restituer le bien
a. Crédit bail mobilier
Il porte sur les machines ou sur des véhicules, le
contrat prévoit :
La durée de la période irrévocable.
Le montant et la période irrévocable.
La pouvoir de rachat.
b. Le crédit bail immobilier
Il porte sur les immeubles à usage professionnel, ses
caractéristiques :
Longue durée de contrat.
Indexation des loyers et de la valeur résiduelle.
Pré-loyers.
Les avantages du crédit bail
:
Facilité et rapidité d'obtention.
Ø N'affecte pas la capacité d'endettement.
Ø Une assurance contre le risque technique.
Ø Permet aux PME rentables de financer leur
développement (faible capacité
Le crédit bail immobilier
Il porte sur les immeubles à usage professionnel, ses
caractéristiques :
Ø Longue durée de contrat.
Ø Indexation des loyers et de la valeur
résiduelle.
Ø Pré-loyers.
Les avantages du crédit bail :
Ø Facilité et rapidité d'obtention.
Ø N'affecte pas la capacité d'endettement.
Ø Une assurance contre le risque technique.
Ø Permet aux PME rentables de financer leur
développement (faible capacitéb. Le crédit bail
immobilier
Ø Il porte sur les immeubles à usage
professionnel, ses caractéristiques :
Ø Longue durée de contrat.
Ø Indexation des loyers et de la valeur
résiduelle.
Ø Pré-loyers.
Les avantages du crédit bail :
Ø Facilité et rapidité d'obtention.
Ø N'affecte pas la capacité d'endettement.
Ø Une assurance contre le risque technique.
Ø Permet aux PME rentables de financer leur
développement (faible capacité d'endettement même s'ils
sont rentables).
Les inconvénients du crédit bail
:
Ø Moyen généralement plus
coûteux.
Ø Perte d'économie d'impôt sur les
bénéfices liée à la déductibilité des
amortissements lors d'une acquisition par emprunt.
Ø Perte d'économie d'impôt sur les
bénéfices liée à la déductibilité des
charges financières lors d'un investissement par emprunt.
Ø Versement d'une valeur résiduel le à
l'échéance du contrat.
Ø dû à la non comptabilisation des
dotations des amortissements et la valeur de rachat du bien
Le
CHOIX DES SOURCES DE FINANCEMENT43(*)
Le choix d'une structure de financement optimal peut
être schématisé par le souci de minimiser les coûts
de ressources mise à la disposition de l'entreprise. Ce choix intervient
dans le cadre de certaines contraintes qui limite le champ des
possibilités.
2.
1 Les contraintes de l'équilibre financier
Elles sont issues de la déontologie financière
:
- Règle d'équilibre financier
minimum : c'est-à-dire les emplois stables doivent être
financés par les ressources stables.
- Règle de l'endettement maximum : le
montant de dettes de financement ne doit pas excéder le montant des
fonds propres. Ce principe s'exprime dans le ratio d'autonomie
financière (DLMT /Capitaux propres) qui doit être inférieur
à 1.
- Règle de la capacité de
remboursement : le montant de dettes de financement ne doit pas
présenter plus de 3 à 4 fois la CAF annuelle moyenne
prévue.
- Règle minimum de la CAF :
l'entreprise doit autofinancer une partie de l'investissement pour lequel elle
sollicite des crédits.
La prise en considération de ces contraintes conduit
à éliminer systématiquement certains modes de financement.
En effet, si ces ratios sont proches de la limite, l'entreprise ne peut
accroître son endettement à moins d'offrir d'importantes garanties
ou d'accepter que les prêteurs exercent un certain contrôle sur sa
gestion. Son choix se réduit alors au financement par capitaux propres
et/ ou crédit-bail.
a. la maximisation de la rentabilité
financière : l'effet de levier
La recherche d'indépendance et de
sécurité financière est obtenue par une réduction
de l'endettement. En revanche, le développement et la rentabilité
de l'entreprise sont facilités par le recours au crédit. Il
s'agit de faire l'équilibre par un taux d'endettement qui assurera en
même temps la rentabilité et la sécurité.
On démontre que le recours aux dettes pour financer
l'entreprise accroît la rentabilité des capitaux propres de cette
dernière, c'est ce qu'on appelle effet de levier.
a. La rentabilité
économique
La rentabilité économique (en anglais return on
investment, ROI ou return on assets, ROA) indique ce que gagne l'entreprise du
fait de ses activités courantes, par dirhams de capital investi, mais
sans tenir compte de la structure financière. Elle est égale au
rapport entre le résultat avant charges financières et
impôts et le total de l'actif
Le ratio de rentabilité économique est un ratio
de rentabilité des actifs d'exploitation.
Rentabilité financière =
Résultat d'exploitation
Capital économique
b. La rentabilité
financière
La rentabilité financière est la
rentabilité calculée au niveau des seuils de capitaux propres
mise à la disposition de l'entreprise par les associés.
Rentabilité financière =
Résultat net
Capitaux
propres
La rentabilité financière permet de poser un
premier diagnostic sur la santé financière de l'entreprise.
Celle-ci crée, en effet, de la valeur si la rentabilité
dégagée par les actionnaires sur les fonds investis dans
l'entreprise est supérieure à celle qu'ils pourraient obtenir sur
un placement financier de risque similaire. Il faut donc que la
rentabilité financière soit supérieure au coût des
fonds propres.
Deux grandes forces contribuent à la
détermination de la rentabilité financière :
a. la rentabilité dégagée par
l'entreprise sur l'ensemble des capitaux investis (la rentabilité
économique) ;
b. la structure financière de l'entreprise qui peut
amplifier ou atténuer la rentabilité économique (le levier
financier mesuré par le coefficient d'endettement).
c. Le lien entre la rentabilité économique et la
rentabilité financière
Ce lien est donné par le mécanisme de l'effet de
levier financier.
RF : Taux de rentabilité financière.
- RE : Taux de rentabilité économique.
- I : Coût des capitaux empruntés.
- D/C : Capitaux empruntés/capitaux propres = bras de
levier
On désigne par l'effet du levier l'amélioration
ou dégradation du taux de Résultat financier suite au recours
à l'endettement, la manière dont le levier financière agit
sur le taux de rentabilité financier est fonction de la
différentielle
b. Le calcul du coût de financement (le taux
actuariel)
Pour déterminer le coût d'une source de
financement, il faut comparer le Capital mis à la disposition de
l'entreprise et les sommes qui doivent être versés en contre
partie en prenant en considération les économies d'impôts.
Le coût de source de financement est le taux d'actualisation pour lequel
il y a une équivalence entre le Capital et l'ensemble des sommes
réellement décaissées en contre partie.
Le coût de la dette s'évalue en calculant le taux
actuariel après impôt. C'est le taux pour lequel il y a
équivalence entre le capital mis à disposition de l'entreprise et
l'ensemble des sommes réellement décaissées en
contrepartie.
a. Pour un emprunt
Si l'on pose :
RBi : montant du remboursement du capital emprunté en
période i
FFi : frais financiers payés en période i
M : montant emprunté,
t : taux d'imposition,
n : durée de vie de l'emprunt.
Le taux actuariel, après impôt, de cet emprunt
est Ta tel que :
M = Ó RBi +FFi(1-t)
i=1 (1 +Ta)i
2.4
Les critères de choix des modes de financement
a. Le critère du bénéfice net
par action
Dans ce cas, on compare les bénéfices nets
offerts par chacune des sources de financement envisagées. Le mode
de financement le plus avantageux est celui qui offre le bénéfice
par action le plus élevé
b. Le critère des décaissements
réels actualisés
Il s'agit de calculer pour chaque source de financement, les
sommes des décaissements nets actualisées qui correspond au total
des remboursements qui seront de encaissés par l'entrepreneur. Ces
remboursements doivent être nets d'économies fiscales et
actualisés à la période initiale du fait que leur
décaissement intervient de manière étalée dans le
temps. Ce critère de décaissement réel permet de comparer
des formules mixtes de financement.
La détermination des décaissements nets
actualisés effectués à partir d'un tableau d'amortissement
induit par les sources de financement. Le décideur choisira la source de
financement qui se matérialisera par la somme des décaissements
réels la plus faible. La source avantageuse est celle qui
entraîne les décaissements réels les plus faibles.
b. Le critère des excédents de flux de
liquidité
On s'intéresse aux flux de liquidité dus
à la réalisation du projet d'investissement et à la
manière dont il est financé.
c. Les critères de choix des modes de
financement
a. Le critère du bénéfice net par
action
Dans ce cas, on compare les bénéfices nets
offerts par chacune des sources de financement envisagées. Le mode de
financement le plus avantageux est celui qui offre le bénéfice
par action le plus élevé.
b. Le critère des décaissements
réels actualisés
Il s'agit de calculer pour chaque source de financement, les
sommes des décaissements nets actualisées qui correspond au total
des remboursements qui seront de encaissés par l'entrepreneur. Ces
remboursements doivent être nets d'économies fiscales et
actualisés à la période initiale du fait que leur
décaissement intervient de manière étalée dans le
temps. Ce critère de décaissement réel permet de comparer
des formules mixtes de financement.
La détermination des décaissements nets
actualisés effectués à partir d'un tableau d'amortissement
induit par les sources de financement. Le décideur choisira la source de
financement qui se matérialisera par la somme des décaissements
réels la plus faible. La source avantageuse est
celle qui entraîne les décaissements réels les plus
faibles.
c. Le critère des excédents de flux de
liquidité
On s'intéresse aux flux de liquidité dus
à la réalisation du projet d'investissement et à la
manière dont il est financé.
Flux de liquidité= Cash-flows= [marge avant
frais liés au financement - frais liés au financement (nets
d'impôts)]
Excédent de flux de liquidité = Flux de
liquidité actualisés - part de l'investissement supportée
par l'entreprise.
Le mode de financement le plus avantageux est celui qui offre
l'excédent de flux de liquidité le plus important.
d. Le critère
de la VAN ajusté
L'étude de la rentabilité des projets
d'investissement se fait généralement abstraction faite de
l'incidence du mode de financement sur cette rentabilité. Plus
précisément, elle faite dans l'hypothèse d'un financement
à 100% par fonds propres.
Le critère de la VAN ajusté consiste à
tenir compte de l'effet qu'aurait le mode de financement sur les flux de
liquidité (VAN) générés par le projet. Ce
critère est utilisé pour choisir entre diverses combinaisons
dettes/fonds propres. Pour chaque type de financement, il est possible
d'établir un tableau des encaissements et des décaissements
échelonnés dans le temps et de calculer pour chacun la VAN.
L'entreprise choisira le financement pour lequel la VAN est la plus
élevé
2.4. La décision
d'investissement
Toute décision de dépense qui conduit à
l'acquisition d'un actif en vue de l'obtention d'un flux de liquidité
ultérieur et ayant pour but d'accroître la richesse des
propriétaires de l'entreprise, constitue un investissement.
Cette définition apparaît très large,
parce qu'elle permet de considérer comme investissements, tous les
actifs matériels et immatériels, industriels, commerciaux ou
financiers. Et selon cette optique, certaines dépenses analysées
comme des consommations du point de vue comptable, doivent être
considérées comme investissement. Ainsi, une campagne de
publicité ou des frais de formation du personnel constituent de
l'investissement. La conception financière de l'investissement diverge
sensiblement sur ce point de l'optique comptable, plus restrictive ou
limitative, et pour laquelle la notion d'investissement se confond avec celle
d'immobilisation inscrite au bilan.
1.2. Le choix du mode de
financement
Le financement des entreprises est le secteur de la finance
qui s'intéresse aux décisions et opérations, outils et
équilibres financiers des entreprises.
Les entreprises doivent s'assurer de la disponibilité
des moyens financiers nécessaires à leur fonctionnement et
à leur développement, rentabiliser au mieux ces moyens pour
espérer un enrichissement futur de l'entreprise.
On peut diviser ce domaine en deux grandes activités,
à savoir :
a. le long et le moyen terme : qui est
essentiellement le financement des investissements à partir des capitaux
propres et des emprunts.
b. le court terme : où les entreprises
doivent veiller de près à leur gestion de trésorerie,
notamment pour prévoir leurs échéances de paiement
à court terme.
1.3. Le choix du moyen de
financement
1.3.1. La décision de Financement
Après le choix du mode de financement, vient la
décision de financement où on suppose que la théorie
financière des entreprises identifie plusieurs objectifs à savoir
: la pérennité ou l'éternité de l'entreprise,
l'accroissement du chiffre d'affaires ou de la part de marché, la
minimisation des coûts... Mais actuellement, l'attention a
été portée sur l'objectif le plus fondamental, à
savoir : la maximisation de la richesse des actionnaires, et par
conséquent, la création de la valeur. Pour réaliser cet
objectif, il est question d'assurer une bonne prise des différentes
décisions financières au sein de l'entreprise telles que : la
décision d'investissement, la décision financement et la
décision de distribution.
Dans le cadre de la décision de financement,
l'entreprise est amenée généralement à utiliser une
combinaison de ressources financières, à savoir : des fonds
propres et de l'emprunt lors d'une insuffisance de couverture des
dépenses d'investissement. L'entreprise est amenée ainsi à
déterminer la structure financière optimale qui minimise le
coût du capital et maximise la valeur de l'entreprise.44(*)
La décision de financement est l'une des principales
décisions financières de l'entreprise parce qu'elle nous permet
d'avoir une structure du capital adéquate pour enfin améliorer la
performance de l'entreprise et à crée de la valeur
c'est-à-dire la richesse.
Certes, il est de notre devoir de pouvoir montrer ici que, les
décisions de financement que doivent prendre les entreprises consistent
à choisir, généralement entre deux catégories de
financement, il s'agit d'une part, du financement par fonds propres qui englobe
à son tour, l'autofinancement et l'augmentation du capital et d'autre
part, le financement par endettement.
La décision de financement, telle que nous l'avons
représentée, comprend différentes
décisions, à savoir:
1. Le choix de la répartition entre les capitaux
apportés par les actionnaires et les créanciers. Ici, on se pose
la question de savoir ; est-ce que l'entreprise doit-elle recourir plus
aux fonds propres ou à l'endettement ?.
2. Le choix entre réinvestissement du surplus de
liquidités et distribution de dividendes.
3. Le choix entre le financement interne
(autofinancement : réserve, report à nouveau,
résultat, plus value, amortissement et provisions...), et le financement
externe(Emprunt à long, moyen et court terme, et, assimilé
à cela aux subventions d'équipement).
Ces différentes décisions,
présentées de façon séparée, sont en fait
très liées. C'est ainsi que, une politique qui privilégie
le financement interne conduit à ne pas distribuer aux dividendes et
à renforcer les fonds propres.
D'autres
auteurs pensent que, la décision de financement est le choix
entre :45(*)
· les fonds propres : l'on trouve ici, l'autofinancement
et l'augmentation du capital par apports en numéraire ;
· le financement externe : l'emprunt auprès
d'établissements financiers et bancaires ;
· les subventions versées par des
collectivités territoriales ou l'Etat (subventions d'équipements,
subvention d'exploitation...) ;
· le crédit-bail avec option d'achat en fin de
contrat;
· où les recours à un financement mixte
(fonds propres et l'emprunt).
Il sied de noter que, les avantages et les
inconvénients de chaque moyen de financement doivent être
examinés avec précision sur différents aspects ;
entre autre l'aspect juridique, fiscal et financier en particulier.
Le choix du financement doit être
précédé d'une étude préalable sur les plans
économique et financier quels que soient soit les moyens choisis. C'est
pourquoi, l'investissement et le financement auront une incidence sur les
résultats ultérieurs et sur la rentabilité
économique et financière de l'entreprise.
Alors, la nécessité de pouvoir démontrer
par schéma s'avère nécessaire pour la compréhension
de différentes décisions de financements qu'une entreprise peut
prendre.
Centre de décision financière
Dirigeants
MARCHES FINANCIERS
- Actionnaire
- Créanciers financiers
ETAT
ACTIF IMMOBILISE
Actif industriels, commerciaux
etfinanciers)
ACTIF NET D'EXPLOITATION
(Actif circulant moins dettes
d'exploitation)
Liquidité d'exploitation
1. Financement
Réinvestisementt
2. Investisement
Cession
Rémunération et remboursement des
créances
Dividendes
Opération financières (Cycle
financier)
Opérations d'investissements (Cycle d'investissement)
Opérations d'exploitation (Cycle d'exploitation)
Schéma de décisions
financières :
CHAP III.PROBLEMATIQUE D'INVESTISSEMENT FA CE A LA PRISE
DECISION D'UNE ENTREPRISE
I.
SECTION PLAN D'INVESTISSEMENT ET FINANCEMENT
Le plan de financement est un document prévisionnel est
un outil de synthèse de la politique financière du long terme.
Etabli, en général pour une durée de 3 à 6 ans, il
récapitule les différents flux annuels résultant des
besoins et des ressources de l'entreprise.
Il est donc l'expression financière du projet
d'investissement, il permet aussi d'assurer l'adéquation entre le
montant des dépenses prévisionnelles et le montant des moyens
financier.
Pour les réaliser. Il n'est rien d'autre qu'un tableau
de flux prévisionnel établi à un horizon temporel
pluriannuel.
Le plan de financement présente donc :
Les futurs emplois durables auxquelles l'entreprise devra
faire face pendant les années en questions.
Les futures ressources durables dont disposera l'entreprise
pour chacun de ces mêmes années.
1
.LES OBJECTIFS DU PLAN DE FINANCEMENT
Le plan de financement permet une réflexion sur la
rentabilité optimale et l'équilibre financier d'une entreprise,
en particulier en ce qui concerne :
· la définition des moyens d'exploitation
à mettre en oeuvre pour atteindre les objectifs de production et qui
sont retenus au moindre coût, c'est à dire nécessitant le
moins de capitaux possibles ;
· les moyens de financement nécessaires qui
soient à la fois les plus adaptés et les moins coûteux pour
dégager le meilleur taux de rentabilité.
Ainsi, le plan de financement permet de synthétiser le
résultat des analyses conduites en ce domaine. Il concrétise les
objectifs de l'entreprise et précise les moyens d'exploitation et les
ressources financières qu'il convient de mettre en oeuvre pour les
atteindre ainsi que les résultats que l'on doit en attendre.
D'autres auteurs voient dans l'élaboration du plan de
financement prévisionnel le moyen de réaliser trois objectifs
:
1. Réfléchir sur la stratégie propre de
l'entreprise. Une stratégie n'est en effet viable que si elle
débouche sur un plan de financement réalisable, ce qui permet
d'en apprécier la cohérence financière. Fournir des bases
de négociation avec les partenaires financiers. C'est un
élément de justification de l'utilisation des fonds
demandés. Mais surtout, l'élaboration d'un plan de financement
est une condition préalable imposée par les établissements
de crédit.
3. Prévenir les difficultés financières.
Ce rôle a notamment été officialisé par la loi
relative à la prévention et au redressement des entreprises en
difficulté.
STRUCTURE DU PLAN DE FINANCEMENT
Le plan de financement se présente sous la forme d'un
tableau en 2 parties généralement superposées. Dans l'une
des parties, est listé, année par année, l'ensemble des
dépenses liées aux investissements prévus, et dans
l'autre, les moyens de financement ou ressources qui seront mises en oeuvre
pour couvrir les dépenses.
Il s'apparente à un tableau de financement comptable.
Mais, alors que celui-ci est un constat qui se nourrit des informations
relatives au passé, le plan de financement est un document
prévisionnel reflétant les anticipations et les choix de la
politique financière. Par ailleurs, le plan de financement n'est pas
normalisé, ce qui explique la pluralité des modèles
disponibles.
Le plan de financement comprend trois parties distinctes qui
sont les besoins, les ressources et les soldes. Les soldes comprennent les
soldes annuels mais aussi les soldes cumulés.
Dans sa construction, le total des ressources
prévisionnelles doit être légèrement
supérieur au total des besoins estimés de façon à
laisser une marge de sécurité. En effet, un excès de
ressources se traduira par une augmentation des disponibilités, alors
qu'un excès des emplois se traduira par des besoins en trésorerie
(concours bancaires).
Les soldes. Les soldes comprennent les soldes annuels mais
aussi les soldes cumulés.
Dans sa construction, le total des ressources
prévisionnelles doit être légèrement
supérieur au total des besoins estimés de façon à
laisser une marge de sécurité. En effet, un excès de
ressources se traduira par une augmentation des disponibilités, alors
qu'un excès des emplois se traduira par des besoins en trésorerie
(concours bancaires).
3.1 PRESENTATION DES ETATS
FINANCIERS DE LA GECAMINES
Dans ce chapitre, nous présentons les retraitements
effectuées et les Etats financiers restructures et regroupes.46(*)
3.1.2 LE BILAN FINANCIER ET BILAN
RETRAITE
3.1.2 LE BILAN RETRAITE
Avant l'analyse financière du bilan, une
répartition méthodique des documents s'impose, cette
répartition est tout d'abord nécessaire par ce que le bilan est
établi dans une option comptable qui ne converge pas totalement avec la
perspective analytique du diagnostic financier. Il appartient donc aux
analystes de corriger les effets de certains décalages que le formalisme
comptable peut introduire entre la réalité économique du
patrimoine et sa représentation bilantaire.
Cette phase préalable à l'analyse revêt
une importance croissante car si elle n'est pas prise en considération,
elle peut créer une certaine à fausseté
d'interprétation des paramètres financiers en compromettant toute
tentive de comparaison entre entreprise l'objectif étant de parvenir
à un bilan corrigé plus proche de la réalité
économique et qualifie de bilan financier
4.1.3 BILAN FINANCIER
Pour établir un bilan financier, il faut restructurer,
retraiter le bilan comptable.
Les différents comptes du bilan doivent être
reclassés de manière à respecter dans la mesure du
possible la principale qui veut qu'a l'actif des comptes soient classés
suivant l'ordre de liquidité croissante et l'ordre d'exigibilité
croissant au passif, le reclassement vise donc à permettre une
évaluation exacte.
ü Fond de roulement net
ü Besoin en fond de roulement
ü Trésorerie nette
4.1.4 LES GRANDES MASSES DU
BILAN
Ainsi, après avoir corrigé et redressé
les éléments du bilan comptable, nous obtenons le BILAN FINANCIER
que l'on peut résumer de la manière suivante.47(*)
Valeurs immobiliers (VI)
|
Capitaux propres (CPI)
|
Valeurs d'exploitation (VE)
|
Emprunt et dette à long et moyens terme
|
Valeurs réalisables (VR)
|
Dette à court terme (DCT)
|
Valeurs disponibles (VD)
|
|
Le bilan présenté sous forme de rubrique
s'appelle bilan simplifie ou résume il est appelé aussi bilan
financier retraité.
L'ensemble des capitaux propre et des dettes à long et
moyen terme constituent les capitaux permanents, car utiliser par l'entreprise
de façon durable. En définitive le bilan peut se résumer
de la manière en quatre grandes masses.
Valeurs immobilisées (VI)
|
Capitaux permanents (CP)
|
Valeurs circulantes (VC)
|
Dettes à court terme (DCT)
|
Le bilan présenter sous forme de rubriques s'appelle
bilan restructure, condense au synthétique lorsque le bilan simplifier
est exprime en pourcentage par rapport au total bilan, on appelle bilan
cristallise.48(*)
Valeurs immobilisées (VI)
|
%
|
Capitaux permanents (CP)
|
%
|
Valeurs circulantes (VC)
|
%
|
Dettes à court terme (DCT)
|
%
|
3.1.5 BILAN FINANCIERS
RESTRUCTURES (EN US)
TABLEAU N° 1 ACTIF
RESTRUCTURE
ACTIF
|
2010
|
2011
|
2012
|
IMMOBILISATIONS CORPORELLE
21 terrains
2 autres immobilisations corporelles
23 immobilisations corporelles en cours
TOTAL
AUTRES VALEURS IMMOBILISE
24 avances sur commandes immobilier en cours
25 titres et valeurs engagées à plus d'un an
26 prêts et autres créances à long
terme
27 prêts et autres créances à moyen
terme
TOTAL
|
28105415
1213339115
20999548
1262444078
695656
1957928441
22704747
258019
1981586863
|
27765052
1261616336
34381048
1323762439
1549184
1798338446
143220637
26
1943108293
|
27351960
958139566
22946913
1008438439
9262713
1865816446
14448520
48105477
1937633156
|
TOTAL DES ACTIFS IMMOBILISENT
|
3244030941
|
3266870732
|
2946071595
|
VALEURS D'EXPLOITATION
31matieres et fournitures
32 emballages
33produits semi-ouvrés
34poduit finis
35 produits et travaux en cours
36 stocks à l'extérieur
TOTAL DES VALEURS D'EXPLOITATION
|
80147802
-
13137899
16600444
4694312
1171164
1157516221
|
87430619
0
26093151
9218548
2513220
1203265
126458805
|
59428321
0
121822406
10067420
6223484
1392189
198933820
|
VALEURS REALISEBALES
27.9 prêts et autres créances à moins d'un
an
40 fournitures avances et acomptes versés
41 clients
- commercialisation
- autres
42 personnels
43 état
44 état ses dividende
46 débiteurs
47 comptes de régularisation d'actif
51 prêts à moins d'un an
55 chèque et coupons à encaisser
|
1061320018
7725596
-
79836795
248483667
5401557
236717699
-
275129841
6891722
96945
4804
|
86541667
6646730
-
59756207
214531236
43358568
239180698
-
328020594
18840547
105262
0
|
17000000
6646131
-
53848152
54134106
32933786
92323285
3000000
147341904
191629358
105262
0
|
TOTAL DES VALEURS REALISABLES
|
966420644
|
996981509
|
598961984
|
VALEURS DISPONIBLES
56 banques et institution financier
57 caisses
|
823551
1289524
|
69850396
829611
|
51153238
1075229
|
TOTAL DES VALEURS DISPONIBLES
|
2113075
|
70680007
|
52229167
|
TOTAL DES ACTIFS CIRCULANTS
|
1084285341
|
1194120319
|
850124971
|
TOTAL GENERAL
|
4328316282
|
4460991051
|
3796196566
|
Source : élaboré par nous-mêmes sur
base des états financiers en annexes
TABLEAU N° 2 PASSIF
RESTRUCRURER
PASSIF
|
2010
|
2011
|
2012
|
CAPITAL
10 capitaux
RESERVES
11 réserves légales
11autres réserves
12 reports à nouveau
13 résultats à converser par la
société
14 plus value et provisions règlements
Total des fonds propres
16 emprunt et dettes à LT
17 emprunt et dettes à MT
18 provisions pour changer
Total
|
443863409
1
1
-1288901490
-17613049
3508288684
2645637557
58283853
69466832
181243795
308994480
|
443863409
1
1
-1314980539
-17904543
37922186227
2747196956
53261809
98979006
104759677
257000492
|
2905389378
-
-338/649703
191425099
309737571
26850521456494200
94627958
112918268
264040426
|
TOTAL DES FONDS PROPRE ET AUTRES CAPITAUX ALT
|
2954632037
|
3004197448
|
2949092573
|
DETTES A COURT TERME
17.9 emprunt et dettes à moyen d'un an
18.9 provision pour changer et porte à LT
40 fournitures
41 clients avances et acomptes reçu
42 personnels
43 états
46 créditeurs divers
47 comptes de régularisation de passif
50 emprunts à moins d'un an
53 effets et warrants à payer
56 découverts bancaires
|
11294580
12665459
510625105
-
31584322
114459357
6153862200
47875928
13210977
69000
16513318
|
4975801
13210799
559364949
-
73332636
117118287
605829098
42553671
23980366
657000
15770993
|
3961378
20288772
366888520
8394220
60685750
14802765
306320692
34583514
1799597
69000
29309785
|
TOTAL DES DETTES A COURT TERME
|
1373684246
|
1456793600
|
847103993
|
TOTAL
|
4328316282
|
4460991048
|
3796196566
|
Source : élaboré par nous-mêmes sur
base des états financiers en annexes
4.1.6 BILAN FINANCIER RESTRUCTURES
TABLEAUX N° 3
Rubrique année
|
2010
|
2011
|
2012
|
Valeurs immobilisées
Valeurs d'exploitations
Valeurs de réalisables valeurs disponibles
|
3244030941
115751621
966420644
2113075
|
3266870732
126458802
996981509
70680007
|
2946071595
198933820
598961984
52229167
|
TOTAL ACTIF
|
4328316282
|
4460991048
|
3796196566
|
Capital propre
Emprunts et dettes à long et MT
Dette à court terme CT
|
2645637557
308994480
1343684246
|
2747169956
257000492
1456793600
|
2685052147
264040426
8471039993
|
TOTAL PASSIF
|
4328316282
|
4460991048
|
3796196566
|
Source : élaboré par nous-mêmes sur
base du tableau N° 1 et N° 2
4.1.7 BILAN SIMPLIFIE
RESTRUCTURES
TABLEAUX N° 4
Rubrique année
|
2010
|
2011
|
2012
|
Valeurs immobilisées
Valeurs circulantes
|
3244030941
1084285341
|
3266870732
1194120319
|
2946071595
850124971
|
TOTAL ACTIF
|
4328316282
|
4460991048
|
3796196566
|
Cappitaux permanents
Dettes à court terme
|
2954632037
1373584246
|
3004197448
1456793600
|
2949092573
847103993
|
TOTZL PASSIF
|
4328316282
|
4460991048
|
3796196566
|
Source : élaboré par nous-mêmes sur
base du tableau N° 1 et N° 2
4.1.3 BILAN CRISTALISES
TABLEAUX N° 5
Rubrique année
|
2010
|
%
|
2011
|
%
|
2012
|
%
|
Valeurs immobilisées
Valeurs circulantes
|
3244030941
108/4285341
|
75
25
|
3266870732
1194120319
|
73
27
|
2946071595
850124971
|
77
23
|
TOTAL ACTIF
|
4328316282
|
100
|
4460991048
|
100
|
3796196566
|
100
|
Capitaux permanentes
Dettes à court terme
|
2954632037
1373684246
|
68
32
|
3004197448
1456793600
|
67
33
|
2949092573
847103993
|
77
23
|
TOTAL PASSIF
|
4328316282
|
100
|
4460991048
|
100
|
3796196566
|
100
|
Source : élaboré par nous-mêmes sur
base du tableau N° 4
4.2.2 BILANS FINANCIERS
RESTRUCTURES ET REGROUPES EN (US)
4.2.2 LES COMPTES AYANT SUBI LE
RETRAITMENT
TABLEAU N° 6 COMPTES DE
L'ACTIF ET DU PASSIF RETRAITES
COMPTES RETRAITES
|
2010
|
2011
|
2012
|
ACTIF
27prêts et autres créances à moyen terme
27.9 prêts et autres créances à moins d'un
an
56. banques et institution financières
PASSIF
17emprunts et dettes à moyen terme
17.9 emprunt et dettes à moins d'un an
18. provision pour charger et portes MT
18.9 provision pour charger et porte à CT
56.7 découvert bancaire
|
258019
106132018
51153238
69466832
11294580
181243795
12665459
29309785
|
26
86541667
68850396
98979006
4975801
104759677
13210799
15770993
|
48105477
17000000
823551
94627958
3961378
112918268
20288772
16513318
|
Source : élaboré par nous-mêmes sur
base des états financiers en annexes
Commentaire :
v Le compte 27 prêts et autres créances à
moyen terme le montant de ce compte échéant dans l'année a
été placé dans les valeurs réalisables au compte
27.9 prêts et autres créances à court terme a connu une
modification après retraitement à cause de la partie
échéant à moins d'un an
v Le compte 17 emprunts et dettes à moyen terme le
montant de ce compte échéant dans l'année a
été placé dans les dettes à court terme au compte
17.9 a connu une modification après retraitement à cause de la
partie échéant à moins d'un an
v Le compte 18 provision pour changer et pertes à long
terme, le montant de ce compte échéant dans l'année a
été placé dans les dettes à court terme au compte
18.9 a connu une modification après retraitement à cause de la
partie échéant à moins d'un an
v Le compte 56 banque et institution financière est un
compte d'actif par ce qu'il représente l'argent économique
détenu dans une institution financière. Il est un passif lorsque
c'est mon emprunt de l'entreprise envers sa banque. En ce moment il s'intitule
56.7 découvert bancaire. C'est une dette financière à
court terme.
Pour le retraitement du compte 56.7 si son solde à un
montant inférieur aux valeur disponibles, il quitte les dettes à
court terme pour aller à l'actif en déduction dans le contraire,
s'il est supérieur au montant des valeur disponible, il reste dans les
dettes à court comme dettes financière à court terme, et
quand il faudra calculer
Le besoins en fonds déroulement en prendra l'actif
d'exploitation moins le passif d'exploitation c'est-à-dire hormis les
dettes financières à court terme. Le cas de notre champ
d'investigation qu'est la Gécamines, ce compte (56.7) reste au passif
comme dette financière
TABLEAU N° 7 CALCUL DE BESOIN
EN FONDS DE ROULEMENT
Rubrique année
|
2010
|
2011
|
2012
|
Actif d'exploitation (a)
Passif d'exploitation (b)
|
1052172266
1357170928
|
1123440312
1441022607
|
797895804
817794208
|
BFR= (a-b)
|
(274998662)
|
(317582295)
|
(19898404)
|
Source : élaboré par nous-mêmes sur
base des tableaux N° 3 et 4
Commentaire :
Nous ne constatons que les besoins en fonds de roulement de la
Gécamines. Durant toute notre période d'étude
démontre que l'actif d'exploitation de la Gécamines est inferieur
au passif d'exploitation de la Gécamines. N'a pas de besoin
d'exploitation à financer puisque le passif circulant excède le
besoins de financement de nos actifs d'exploitation donc la Gécamines
n'a pas de besoin d'utiliser ses excédents de ressource à long
terme ( fonds de roulement) pour financer ses besoins à court terme.
3.3 PLAN D'INVESTISSEMENT ET DE FINANCEMENT
|
Année 2010
|
Année 2011
|
Année .2012
|
Année n
|
Total
|
Emplois stables
Dividendes distribuer
Investissements (acquisitions)
Augmentation des BFR
Augmentation Prêts (nouveau prêt)
|
|
|
|
|
|
-
|
-
|
30000000
|
-
|
3000000
|
3244030941
|
32668707
|
294607159
|
|
|
(274998662)
|
(317582295)
|
(19898404)
|
-
|
-6112479361
|
1061320018
|
86541667
|
17000000
|
-
|
1149561685
|
Remboursements des emprunts (dotations)
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
Total des emplois
|
8181762297
|
-284913588
|
2973317755
|
|
-4959917676
|
Ressources durables
|
2954632037
|
3004197448
|
2949092573
|
|
6253738758
|
Capacité d'autofinancement prévisionnel
|
-17613049
|
-17904543
|
-
|
|
-35517592
|
Cession d'actifs (Produits de cession)
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Augmentation des emprunts (nouvel emp)
|
2645637557
|
2747169956
|
2685052147
|
|
8077859660
|
Augmentation du capital (en apport, en numéraire)
|
443863409
|
443863409
|
443863409
|
|
932090227
|
Subventions d'investissements reçues
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Remboursement des prêts
|
106132018
|
86541667
|
17000000
|
|
194373685
|
Total des resources
|
3495632984
|
62638679737
|
32621541288
|
|
36741042209
|
Ecart (2) - (1)
|
-4686129313
|
623553766149
|
102014101722
|
|
31781124533
|
Ecarts cumulés
|
-4686129313
|
4686129313
|
31781124533
|
|
|
Source élabore par nous même
SECTION ARBRES DES DECISIONS
La décision n'est pas toujours unique, elle peut
apparaître sous la forme de choix Successifs alternant avec une
série de conséquences possibles.
Nous donnons comme remède aux décideurs
(dirigeant, Manager, expert comptable et analyste financier) de la
Gécamines à confronté à plusieurs
opportunités, chacune pouvant entraîner des
événements différents auxquels il est possible d'attacher
des probabilités de réalisation.
Le décideur peut répondre à chaque
événement au moyen d'une décision appropriée qui,
Elle-même, aura un certain nombre de conséquences
(événements) également prévisibles, Et
pondérables, et ainsi de suite. La connaissance des
probabilités associées à chaque événement
et du résultat engendré par chaque opportunité
(décision) rend possible le calcul de l'espérance de gain
associée à chaque décision C'est le principe de l'arbre
de décision. Un arbre de décision permet une
représentation visuelle de la série de choix successifs. .
Deux contraintes doivent être respectées :
- Contraintes d'exclusivité : les décisions
doivent être exclusives les unes des autres.
- Contraintes d'exhaustivité : l'ensemble des
décisions possibles doit être envisagé.
CONCLUSSION GENERALE
Nous voici arrivé au terme de notre travail qui
a eu comme point de départ le sujet intitulé `' les
problématiques des investissements face la à de décision
d'une entreprise : de l'approche patrimoniale à l'approche
économique''. Nous sommes satisfait d'avoir mis à la disposition
de tous les curieux du savoir en général, quels que soient les
horizons, un outil ou un support de haute stature scientifique auquel ils
seront désormais habitués.
Dans le processus de la recherche scientifique, plusieurs
problèmes s'imposent afin que celle-ci puisse atteindre son but.
Le travail que nous élaborons ce jour, est le
fruit de plusieurs efforts, tant intellectuels que financiers. De nos jours,
plusieurs traitements de sujet s'effectuent dans de mauvaises conditions ;
par conséquent, le rendement est toujours médiocre ; parce
que les éducateurs ne facilitent pas la tâche aux apprenants dans
la recherche des éventuelles informations pouvant concourir à
l'établissement des travaux scientifiques.
Pour confectionner ce travail, on a recouvrir
à la méthode Analytique appuyée par des techniques
documentaires et d'interview.
En rapport avec ce travail, la problématique
était de savoir :
- Quelles sont les problématiques pouvant permettre au
gestionnaire de la Gécamines dans l'étude
investissement ?
- Est - ce que les problématiques des investissements
ont-il une incidence sur la prise de décision d'une entreprise ?
- Il ressort de notre études que les
hypothèses sont admissent dans ce que :
- Les gestionnaires de la Gécamines doivent
s'intéresse aux six paramètres qui constituent des variables
dans un investissement qui sont les suivants ;
ü Le capital investi (I)
ü La valeur résiduelle ou
récupérable de l'investissement (VR)
ü Les recettes nettes d'exploitation ou flux net de
liquidité (FNL)
ü La durée de vie de l'investissement
ü Le mécanisme d'actualisation
ü Le profit de survenance des recettes dans le temps
- Oui si les critères des problématiques ne
répond pas l'investissement ce difficile prendre une prise de
décision.
Après nos analyses de la gestion
d'investissement de la Gécamines contestons que les capitaux permanents
de la Gécamines est faibles ne réponds pas au principe de
l'équilibre financier et la déontologie financière le
circuit financier de la Gécamines fonctionnent pas bien nous demandons
aux gestionnaires de la bien vouloir respecte les principes des contraintes de
l'équilibre financier pour bien administre leurs gestion avec une bonne
transparence ce pour cella l'outil indispensable dans la gestion
d'investissement est la prise de décision qui est un outil par
excellent.
Toute fois, nous ne prétendons pas à travers
cette études, ébaucher toute la matière néanmoins
nous avons posé les jalons dans cette optique d'analyser et pensons que
les chercheurs futures pourraient s'inspires de notre étude pour
effectuer leur travail et d'approfondir certains points autrement que nous
n'avons pas pu faire.
Pour ce faire, nous estimons que ce travail ne manque pas
l'imperfection, notre responsabilité d'auteur demeure pleine et entier,
les remarques, les critiques et les conseils seront les bienvenus
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. AMEMBAL, S., SHAWN, H., et LYNN, M., Leasing
Applications for the HP, Salt Lake, (tradution française selon
Gret), Paris, 1991.
2. BRAILLARD, P., Le crédit-bail en Afrique,
éd. Montchrestien, Paris, 1999
3. BRANSON, B., Management de projet : méthodes
et outils, éditions d'organisation, Paris, 2007.
4. CAPIEZ, A., Le crédit-bail: l'apport des
théories financières nouvelles, Revue Française de
Gestion, Juin- Août, 1992.
5. CARPEDIEM, C., « An Introduction to Leasing
», A self-study module, Chicago: tradition française du GRET,
1994.
6. CHEVALIER, J., et LOSHARD, L., Instruction à la
science administrative, édition Dalloz, Paris, 1974.
7. CONNELL, M., et SCHALLHEIM J.S., l'évaluation du
contrat de leasing, édiction Lexing, USA, 1983.
8. CORHAY, A., et MAPAPA, M., Fondement de Gestion
Financière, 2ème édition, Liège,
2007.
9. COULEAUD, N. et DELAMARRE, F., Le patrimoine
économique national, Deuxième année consécutive
de repli», Paris, 2010.
10. DUCHENNE, S., et NEIRINCK, G.,Analyse de la
cohérence entre performances attendues et performances
réalisées pour différentes stratégies de
l'entreprise, ISC-Saint-Louis, Paris, 2002.
11. FEGHALI, K., Les concepts et les applications pratiques
du crédit-bail financement,Feuilles universitaires (28), éd.
Presse, Paris, 2006.
12. GARRIDO, E.,le cadre économique et
réglementaire du crédit-bail, Tome 1, Paris, 2002.
13. HILARION, B., Dictionnaire de Droit OHADA.,
2ème édition, Sénégal, 2005.
14. KAMGO, I., BONLONG, J. et KEUMOE E., Système
comptable OHADA, Tome III, 1èreéd. AUDICO, PUS,
Douala, 2007.
15. KRISHNAN, V., et MOYER, R., Cost and the thefianancial
leasing décision Financial Management,Summer (Traduction
française du Gret), édition, Lexing, USA, 1980.
16. MASAMBA Makela, « Modalité
d'adhésion de la RDC au traité de l'Ohada »,
Kinshasa, 2005.
17. NEUMAN, H. Les mécanismes financière des
entreprises, édition Lexing, USA, 1971.
18. PHILIPPE, S., Financement des entreprises,
éd. Dalloz, Paris, 1967.
19. PINTO, R. et GRAWTZ, M., Méthode de recherche
scientifique, Ed. Dalloz, Paris, 1971.
20. PINTO, R., et GRAWITZ, M., Méthode de recherche
en science sociale, édition, Dalloz, Paris, 1971.
21. QUIVY, R., et VANC, L., Manuel de Recherche en science
sociale, 2émé Dumont, Paris, 1899.
22. RAYMOND, B., Economie politique, éd. Dalloz,
Paris, 1959.
23. SAMBE, O., et MAMADOU, D., Plan des comptes et
états financiers du Syscohada, éd. Comptables et juridiques,
Kinshasa, 2012.
24. SELMER, A., Toute la fonction financière,
éd. Nathan, Paris, 2006.
25. SOLINK, B., Gestion financière, collection
gestion, 4ème éd, Nouveaux Horizons, Paris, 2001.
26. BEKAHIA .R et OUDAD .H , Finance d'entreprise tome
1 Analyse et diagnostic
27. financiers, gaëtan morin éditeur
Maghreb, 1997.
28. CHARREAUX .G, Gestion financière, Litec,
Paris, 1996.
29. MOLLET .A , Gestion financière épreuve
n° 4 DECF , Foucher, 2003-2004.
30. RIVERT .A , Gestion financière analyse et
politiques financières de l'entreprise,
31. TEcnosup,2003.
32. KEISER .A_M , Gestion financière, Editions
ESKA,
II. COURS
1. ANTRAIGUE, D., « Cours de comptabilité
approfondie », L1 Economie, Unikin, 2009-2001
2. CHEY Mukandu., Cours de comptabilité
générale, G1 Economie, Unilu, 2004-2005.
3. KAKUDJI Delphin, « Cours de gestion
Financière et Budgétaire », G3 ISES/Lubumbashi,
2010-2011.
4. KASONGO WAKAKA « Cours de gestion
Financière et Budgétaire », G3UPN/Kin 2009-2010
5. KILONDA Nguya, « Cours des méthodes de
recherche en sciences économique », G1, UNILU, Economie,
2000-2001.
6. KITABA KyaGhoanis, « Cours de méthode en
sciences sociales », G2 ISC/Lubumbashi, 2009-2010.
7. MALEMBA N'sakila., Notes de cours de recherche en sciences
sociales, éd. universitaire, UNILU, 2010.
8. MANGELE Bongongo., Questions spéciales de
comptabilité, L1 Comptabilité, ISES/Lubumbashi, 2011-2012.
9. MBENZA NGONIA., Cours de système comptable
comparés, ISC, Kinshasa, 2000.
10. Fekkak notes de cours de Gestion financière,
UNIVERSITÉ SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH2 2011- , 2012-
11. SALEMBAMBA, M., « Cours statistique
déductive », G1 ISC, 2008-2009.
12. WENU Becker, « Notes de cours de Recherche
scientifique », théorie et pratique, Lubumbashi, UNILU
2004.
III. DICTIONNAIRES
1. Le Dictionnaire Petit Larousse Illustré en
couleur, Paris, 1997.
2. Le Dictionnaire le Nouveau Petit Robert, nouvelle
édition, Paris, 2001.
3. Le Dictionnaire Universel, édicef, Paris, 1997.
IV. MEMOIRES ET TFC
1. KAHAMBA Mulenge, « le redressement de la
Gécamines et son impact sur la situation
économico-financière de la R.D.Congo », Mémoire,
SCOFI, ISC/Lubumbashi, 2011-2012, (Inédit).
2. TAMBWE Kalombo, « La restructuration et le
regroupement du bilan et son incidence sur la santé économique
d'une entreprise », TFC, ISES/Lubumbashi, 2010-2011.
V. ARTICLES, REVUES ET AUTRES DOCUMENTS
1. LEVASSEUR, M., De BODT, E., et SEVERIN, E,
L'endettement ; facteur de bon "stress" ou de mauvais "stress"?
Lille, 2002.
2. MOLLEY, M., `'le crédit-bail, achat et prix du
capital `Journal de finance, Paris, 2009.
3. ORESME, P., L'Ethique,Lebanese Science Journal, Vol.
8, n° 2, 1987.
VI. SITES INTERNET
1.
www.ohada.net/crédit-bail mobilier et crédit-bail
immobilier
2.
www.ohada.net/systèmecompblableohada/Comptabilisation/Crédit-bail/l'actif
du bilan du preneur
3.
www.ohada.net/systèmecompblableohada/Comptabilisation/investissement
4.
www.ohada.net/systèmecompblableohada/Comptabilisation/Crédit-bail
5.
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/approche
6.
http://www.Digitalcongo.net.
7.
http://www.ohada.net/Comptabilisation-du-crédit-bai/preneur/
8.
http://www.wikipedia.org/historie-origine-crédit-bail-monde/
9.
http://www.wikipedia.org/gestion financière /
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
Erreur ! Signet non
défini.
1. CHOIX ET INTERET DU
SUJET
1
1.1
intérêt personnel
1
1.2
intérêt scientifique
2
2.
ETAT DE LA QUESTION
2
3.
PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE
2
A.
PROBLEMATIQUE
2
B.
HYPOTHESE
3
4.
MÉTHODES ET TECHNIQUES
4
A.
MÉTHODES
4
A.1 Méthode Analytique
4
B.
TECHNIQUES
5
B.1 Technique Documentaire
5
B.2 Technique D'interview
5
5.
Delimitation du sujet
5
6. Subdivision du
Travail
6
CHAPIPTRE I. GENERALITES
7
I.
SECTION CONCEPT DE BASES
7
1
Problématique
7
2.
PRISE
7
3.
Décision
8
4.
Entreprise
8
1.
TYPOLOGIE
8
1.1. TAILLE DE
L'ENTREPRISE
8
1.2. LA NATURE
D'ACTIVITE
9
On distingue généralement trois
formes d'entreprise selon l'activité économique : entreprise
commerciale, entreprise industrielle et entreprise de service
9
II.
SECTION CONCEPT CONNEXES
10
1. GESTION
10
2. GESTION FINANCIERE
10
III. SECTION
PRESENTATION DU MILIEU D'INVESTIGATION
10
APERÇU HISTORIQUE
11
II.2.1. DE L'UNION MINIERE DU HAUT KATANGA A LA
GECAMINES
11
2.2. DE LA GECOMIN A LA GECAMINES
12
II.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE
13
II .4. OBJET SOCIAL
13
II.5.5 STRUCTURE ET ORGANIGRAMME DE LA
GECAMINES
14
II.5.1 STRUCTURE
14
CHAPITRE II. APPROCHE THEORIQUE DE LA GESTION
D'INVESTISSEMENT ET FINANCEMENT
16
1.
SECTION GESTION D'INVESTISSEMENT
16
1. NATURE ET TYPOLOGIE DES
INVESTISSEMENTS
16
1.2. Définition
16
1.3. Les paramètres d'un projet
d'investissement
18
1.3.1 Le capital investi
18
1.3.3 La durée de vie du projet
19
1.3.4 La valeur résiduelle
19
2. LES CRITERES DE CHOIX D'INVESTISSEMENT EN
UNIVERS CERTAIN
19
2.1 La valeur actuelle nette (VAN)
20
2.2 Le Taux Interne de Rentabilité
(TIR)
20
2.3 L'Indice de profitabilité
(IP)
21
2.4. Le Délai de
Récupération du capital investi (DRC)
21
3. LES CRITERES DE CHOIX D'INVESTISSEMENT EN
AVENIR ALEATOIRE
22
3.1 Décisions uniques
22
3.1 Décisions uniques
23
3.2 Décisions séquentielles
(Variables interdépendants)
24
3.2 Décisions séquentielles
(Variables interdépendants)
24
4. CHOIX D'INVESTISSEMENT EN AVENIR
INCERTAIN
25
II.
SECTION GESTION DE FINANCEMENT
26
1. LES
DIFFERENTES SOURCES DES MODES DE FINANCEMENT
26
1.1. Le financement par fonds propres
26
1.1.1. La capacité
d'autofinancement
26
1.1.2. La cession d'éléments
d'actif
27
3. L'augmentation de Capital
28
a. Par un apport en numéraire
28
a. Par
incorporation des réserves
28
b. Par
transformation des dettes en Capital
28
1.1.4. Les subventions
30
1.1.1.
Les titres participatifs
30
1.1.2.
Les prêts participatifs
31
1.2.3. Les titres subordonnés
31
I.3.1.L'emprunt bancaire
31
I.3.2.L'emprunt obligataire
32
1.3.3.
Le crédit bail
33
b. Le
crédit bail immobilier
33
Le CHOIX DES SOURCES DE FINANCEMENT
35
2. 1 Les contraintes de l'équilibre
financier
35
b. La
rentabilité financière
36
b. Le
calcul du coût de financement (le taux actuariel)
37
a.
Pour un emprunt
37
2.4 Les critères de choix des modes de
financement
37
b. Le critère des décaissements
réels actualisés
38
b. Le
critère des excédents de flux de
liquidité
38
c. Les
critères de choix des modes de financement
38
a. Le
critère du bénéfice net par action
38
b. Le
critère des décaissements réels
actualisés
38
c. Le
critère des excédents de flux de
liquidité
39
d. Le critère de la VAN
ajusté
39
2.4. La décision
d'investissement
39
1.2. Le choix du mode de financement
40
1.3. Le choix du moyen de financement
40
CHAP III.PROBLEMATIQUE D'INVESTISSEMENT FA CE A LA
PRISE DECISION D'UNE ENTREPRISE
43
I. SECTION PLAN D'INVESTISSEMENT ET
FINANCEMENT
43
1 .LES OBJECTIFS DU PLAN DE
FINANCEMENT
43
STRUCTURE DU PLAN DE FINANCEMENT
44
3.1 PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DE LA
GECAMINES
45
3.1.2 LE BILAN FINANCIER ET BILAN RETRAITE
45
3.1.2 LE BILAN RETRAITE
45
4.1.3 BILAN FINANCIER
45
4.1.4 LES GRANDES MASSES DU BILAN
45
3.1.5 BILAN FINANCIERS RESTRUCTURES (EN US)
47
TABLEAU N° 1 ACTIF RESTRUCTURE
47
TABLEAU N° 2 PASSIF RESTRUCRURER
49
4.1.6 BILAN FINANCIER RESTRUCTURES
51
4.1.7 BILAN SIMPLIFIE RESTRUCTURES
52
4.2.2 BILANS FINANCIERS RESTRUCTURES ET REGROUPES
EN (US)
53
4.2.2 LES COMPTES AYANT SUBI LE RETRAITMENT
53
TABLEAU N° 6 COMPTES DE L'ACTIF ET DU PASSIF
RETRAITES
53
TABLEAU N° 7 CALCUL DE BESOIN EN FONDS DE
ROULEMENT
55
3.3 PLAN D'INVESTISSEMENT ET DE FINANCEMENT
55
IV.
SECTION ARBRES DES DECISIONS
57
CONCLUSSION GENERALE
59
BIBLIOGRAPHIE
61
* 1 QUIVY, R., et VANC, L.,
Manuel de Recherche en science sociale, 2émé
Dumont, Paris, 1899, p. 102.
* 2 Le Dictionnaire Petit
Larousse Illustré en couleur, Paris, 1997, p.824
* 3 Le Dictionnaire le Nouveau
Petit Robert, nouvelle édition, Paris, 2001, p.2002
* 4 PINTO, R. et GRAWTZ, M.,
Méthode de recherche scientifique, Ed. Dalloz, Paris, 1971, p.20.
* 5 Le Dictionnaire Universel,
édicef, Paris, 1997, p.588
* 6 SALEMBAMBA, M.,
« Cours statistique déductive », G1 ISC, 2008-2009
(inédit)
* 7 CHEVALIER, J., et LOSHARD,
L., Instruction à la science administrative, édition
Dalloz, Paris, 1974, p.49
* 8 SALEMBAMBA, M., op
cit.
* 9 BRAILLARD, P., Le
crédit-bail en Afrique, éd. Montchrestien, Paris, 1999,
p.33
* 10 KITABA KyaGhoanis,
« Cours de méthode en sciences sociales », G2
ISC/Lubumbashi, 2009-2010 (inédit)
* 11 QUIVY, R., et VANC, L.,
Manuel de Recherche en science sociale, 2émé
Dumont, Paris, 1899, p. 102.
* 12 Le Dictionnaire Petit
Larousse Illustré en couleur, Paris, 1997, p.824
* 13 Le Dictionnaire le Nouveau
Petit Robert, nouvelle édition, Paris, 2001, p.2002
* 14 CONNELL, M., et
SCHALLHEIM J.S., l'évaluation du contrat de leasing,
édiction Lexing, USA, 1983.P48
* 15Dictionnaire Petit
Larousse Illustré en couleur, Paris, 1997, p325
* 16 Dictionnaire Petit
Larousse idem.opcit
* 17 Idem
* 18 Martin ramandelina,
gestion financière et budgétaire, 2éd Dalloz, paris
2008, P34
* 19 GODEFROID MWEPU note de
cours de gestion des opérations et rendement G3GRH, Lubumbashi 2010-2011
ISES, P23 inédit
* 20 ALBERT COHRAY et MAPAPA M.
fondement de gestion financière, 7éd de
l'université de liège 2007 P44
* 21 Source : direction
financière de la Gécamines (départements de budget)
* 22 KEISER .A_M , Gestion
financière, Editions ESKA, 2003.p23
* 23 RIVERT .A , Gestion
financière analyse et politiques financières de l'entreprise,
TEcnosup,2003.P213
* 24 MOLLET .A , Gestion
financière épreuve n° 4 DECF , Foucher, 2003-2004.
* 25 KAKUDJI cours de gestion
financiere long terme et gestion budgétaire ISES,L'SHI,P13 inédit
* 26 MOLLET .A , op
cit
* 27 BEKAHIA .R et OUDAD .H ,
Finance d'entreprise tome 1 Analyse et diagnostic 2009,p24
* 28 KAKUDJI Delphin,
« Cours de gestion Financière et
Budgétaire », G3 ISES/Lubumbashi, 2010-2011,p12
* 29 KAKUDJI idem op cit
p14
* 30 KAKUDJI op cit
* 31 KAKUDJI op cit
* 32 Kakudji op cit
* 33 KAKUDJI op cit
* 34 COHEN.E, gestion
financière la découverte, paris, 2001 P48.
* 35 CHARREAUX .G, Gestion
financière, Litec, Paris, 1996 .P36
* 36 CHARREAUX .G, op
cit,P39
* 37 L.. Fekkak notes de cours
de Gestion financière, UNIVERSITÉ SIDI MOHAMED BEN
ABDELLAH,2012-2013.p16
* 3839 L..Fekkak idm.p17
* 40 L.Fekkat idm.p17
* 41 L.Fekkat idm.p17
* 42 L.Fekkat idm.p17
* 43 Www gestion de
financement .fr
* 44 DUFIGOUR, P., et GAZENGEL
A, op cit p.43
* 45MOLLET .A,E., op
cit, p.140.
* 46 MAKUNZA KEKEE, analyse
financière, kinshasa, FED, p.22
* 47 PIERRE CORRE et FAROUK
HEMICE, gestion financière de l'entreprise, 10e
éd, dunot, paris 2000, p.18
* 48 Idem