Libreville, Octobre 2009
UNIVERSITÉ OMAR BONGO
FACULTÉ DE LETTRES ET SCIENCES
HUMAINES
DÉPARTEMENT DE SOCIOLOGIE
Le veuvage de l'épouse d'un
maître-initié,
mère de jumeaux dans la société
Akélé
du Moyen-Ogooué
Sociologie de la
Connaissance
Présenté et soutenu par : Sous la
direction de :
Janny DIVAGOU IBRAHIM KUMBA Claudine-Augée
ANGOUE
Maître-assistant
2
Sommaire
Dédicace
Remerciements
Liste des illustrations
Liste des tableaux
Sommaire
Introduction générale . 1
Les préalables épistémologiques
3
Section 1 : Objet et Champ de l'étude
...3
Section 2 : Construction du modèle
d'analyse 8
Section 3 : Démarche
méthodologique 25
Première partie : L'idéologie des
jumeaux chez Akélé du Moyen-
Ogooué 31
Introduction de la première partie .32
Chapitre I : L'origine mythologique sur les
jumeaux 34
Section 1 : La naissance des jumeaux 34
Section 2 : L'attribution des noms chez les
jumeaux 37
Chapitre II : Les représentations
sociales des jumeaux dans la société Akélé
45
Section 1 : Les représentations sociales
des jumeaux et leur statut dans la société
Akélé, particulièrement au niveau des rites
initiatiques 46 Section 2 : Le monde social des
Akélé pour mieux situer le rapport entre les hommes
et les femmes .59
Conclusion de la première partie ...68
3
Deuxième partie : Le rituel du veuvage
comme transfert de biens symboliques avec
ses corollaires sur les femmes.
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..70
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Introduction de la deuxième partie
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.71
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Chapitre III : Le veuvage dans la
société Akélé du Moyen-Ogooué
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73
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Section 1 :L'annonce du décès
comme moment de rupture de l'ordre social
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.73
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Section 2 : Fin du veuvage et nouveau
départ pour la veuve
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..77
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Chapitre IV : L'appropriation du statut
d'homme initié par la veuve mère des
jumeaux 83
Section 1 : La présence de la
mère des jumeaux au corps de garde . ..83
Section 2 : La symbolique des objets
hérités par la veuve 87
Conclusion de la deuxième partie .97
Conclusion générale 99
Références Bibliographiques 101
Table des matières 107
Annexes
4
Dédicace
Nous voulons dédier ce travail à toute notre
famille. Nous savons désormais combien les performances scolaires sont
fonctions de l'environnement familial. Il serait donc, d'un côté
fastidieux de vouloir tous les nommer et de l'autre, sûrement
inapproprié de n'en citer que quelques-uns.
Toutefois, nous voudrions faire une mention spéciale
à notre mère Marie Agathe MAMOMGUE et notre
père IBRAHIM KUMBA, pour l'amour sans réserve et
le soutien sans faille.
Aux morts et surtout aux vivants. Puissent-ils trouver ici
l'expression de notre
attachement filial.
5
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