Partie III : les limites et solutions envisageables
Les mers américaines abritent des
écosystèmes riches avec un nombre d'espèces vivantes bien
plus important que sur la terre ferme. Mais la plupart des espèces
côtières ou de surface sont menacées par les
activités humaines à savoir le chalutage, la surpêche ou la
pêche industrielle. En effet La dégradation de certains
écosystèmes marins, les pollutions des transports ou des
marées noires, le réchauffement planétaire sont les
principales causes de la dégradation de l'océan.
De ce fait dans cette troisième partie nous allons
dans un premier chapitre voir les contraintes du développement de la
pêche aux Etats-Unis, ensuite trouver des solutions et des
recommandations pour diminuer ou même éradiquer la surexploitation
et la dégradation des ressources halieutiques.
Chapitre I : les contraintes
Les Etats-Unis d'Amérique en se figeant trop sur leur
croissance en ressources halieutiques ont utilisés des méthodes
et des techniques néfastes pour l'écologie et pour le
développement durable.
De ce fait les contraintes au développement de la
pêche aux Etats-Unis ont été principalement une mauvaise
gestion de la capacité de pêche et l'utilisation de techniques de
pêche trop performantes.
Ndèye Yacine NIANG Programme Grande Ecole
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Le développement de la pêche aux Etats-Unis
2011-2012
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Section 1 : Une mauvaise gestion de la capacité
de pêche
Aux États-Unis (USA), la gestion de la capacité de
pêche est reconnue comme un grave
problème de gestion jugé responsable de la
surexploitation de nombreux stocks halieutiques nationaux. Il existe huit
conseils fédéraux de gestion des pêcheries, chacun
étant spécialisé au niveau régional dans les
pêcheries relevant de sa compétence, car les
caractéristiques des stocks et des pêcheurs sont assez
spécifiques à chaque région, ce qui aboutit à une
situation où les diverses espèces de poisson sont
gérées par des organismes distincts à des fins
différentes.
En effet la capacité des flottes était
considérée comme une simple question socio-économique, les
objectifs en matière de capacité sont progressivement devenus
davantage liés à la politique de conservation des stocks.
La réduction de la surcapacité est ainsi
devenue, à côté des TAC et des quotas, un instrument
supplémentaire dans la lutte contre la surexploitation des stocks
halieutiques communs (van Hoof and de Wilde, 2005).
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