CHAPITRE TROISIEME
ELECTION DANS LA CIRCONSCRIPTION D'IRUMU
III.1. INTRODUCTION
Dans ce 3ème chapitre nous présente les
nombres d'enrôlés et les nombres des candidats et le nombre des
votants.
La loi no 06/006 du 09 mars 2006 portant
organisation des élections présidentielles, législatives,
Art.5 fixe un certain nombre des modalités d'inscription :
présentation d'une carte d'identité, être de la
nationalité Congolaise et s'écrire dans la circonscription de
résidence. Ce la montre combien de fois l'inscription des
électeurs, électrices est très capitale
Alors les membres de l'assemblé national portent le
titre de député national. Ils sont élus au suffrage
universel direct et secret. L'aspect électorale permet d'évaluer
le niveau de reprise en compte de la dimension genre dans les différents
critères de choix de création des bureaux d'inscription :
facteurs temps, distance, alors que les dispositions était prise pour
les femmes enceintes et allaitantes, les femmes âgées et vivant
avec handicap, la sécurité des femmes. Or « les
électrices devaient voter là où elles se sont fait
enrôler. Cela a été défavorable aux femmes,
épouses des militaires qui suivaient leurs hommes en
mutation »52
Au terme des élections de 2006, les systèmes
électoraux étaient retenus pour garantir les élections de
la troisième République ; il s'agit du scrutin majoritaire
et la représentation proportionnelle.
Comme tout être humain ; certaines femmes ont
traversé au cours des échéances électorales des
moments durs.
Or, les pouvoirs publics veillent à
l'élimination de toute forme de discrimination, à l'égard
de la femme et assurent la protection de ses droits, ils prennent dans tous
les domaines, notamment dans le domaine civil, politique, économique,
social et culturel, toutes les mesures appropriées pour assurer le total
épanouissement et la pleine participation de la femme ou
développement de la nation.
52 BUREAU GENRE MONUC. La problématique de
la participation de la femme Congolaise au processus électorale.
2ème Ed. février 2010, P 22
D'où, la femme adroit à une
représentation équitable au sein des institutions nationales,
provinciales te locales.
L'Etat congolais devrait mettre en place par les parlements
des mécanismes permettant l'implication des femmes dans la vie
politique, ensuite l'Etat devait non seulement obtenir toutes les
discriminations à l'égard de la femme mais aussi revoir le
système électoral pour une représentation féminine.
C'est-à-dire la représentation et la participation effective des
femmes en vue de garantir une parité réussie.
Sans l'application de ces recommandations, l'Etat soutien de
près ou de loin l'impréparation des femmes congolaises aux enjeux
politiques et électoraux, l'Etat congolais en général et
en particulier le territoire d'Irumu devrait davantage vulgariser les textes
légaux en faveur de la femme et, former les femmes sur les textes
existant en rapport avec les élections et leurs sensibiliser.
Vu que la gestion des dossiers de 2006 a été
mal tenue et gère dans la circonscription d'Irumu, les données de
2006 ont été invisibles et insaisissable.
En 2011 « la révision du fichier
électoral avec 32.024.648 électeurs enrôlés sur
l'étendu du territoire national lors des opérations de la
révision du fichier, le bureau de la CENI a relevé le grand
défi qu'il a eu à faire face de son entrée en
fonction »53
Sur 31.000.003 électeurs attendus, la CENI a
enregistré 32.024.640 électeurs plus que attendu. Cette
évolution d'électeurs serait l'implication de et la population
congolaise face aux élections et non dans le processus électoral
et la participation des femmes congolaises.
Ce 3.886.524 d'électeurs en province orientale, nous
conduit au résultat de la révision du fichier électoral.
La circonscription électorale d'IRUMU comptait 73 bureaux et 13 sites.
Les bureaux variaient de 3 à 7 bureaux par site. Ces derniers
étaient structurés de la manière suivante :
53 CENI. Op.cit, P 6
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