SUMMARY
Cameroun in spite of these natural predispositions which
enable him to have a significant water resource, has evil to achieve the goals
of development of millenium (OMD) to knowing to reduce half, from here 2015,
the percentage of the population which does not have access in a durable way to
a supply drinking water and a basic cleansing. Our objective through the
realization of this work is to provide a tool to promote the durable management
of the water resources in Cameroun and consequently the attack of the OMD.
But, the overexploitation of nature coming mainly from a
nonrespectful economic exploitation of balances and natural cycles of
reproduction cause negative externalities. Moreover, the demographic growth and
these negative externalities make run risks of water shortage as well in
quantity as in quality.
Because of the almost recurring problems that the large
metropolises of the country meet it seemed significant to us to carry out this
study on the determinants of the offer of water in Cameroun in order to
determine the reasons of the inadequacy between this one (the offer of water)
and asks it. The result obtained thanks to the Eviews software shows us that
two variables have a significant influence on the offer of water in Cameroun.
Thus, the resolution of the hydrous problems in Cameroun inevitably passes by
an increase in the budget and a sensitizing of the populations on the need for
a durable management of the environmental resources in general and hydraulic
resource in particular.
Key words: Determinants, water supply
CHAPITRE 1 : INTRODUCTION GENERALE
1.1. Contexte
La gestion des ressources naturelles crée le plus
souvent de nombreux problèmes dans la plupart des pays notamment
à cause de leur rareté et de leur répartition
inégale. De même, l'eau qu'on a longtemps considérée
comme une ressource inépuisable n'échappe pas à cette
logique. La bonne gestion de cette ressource est entravée dans les pays
en voie de développement par des facteurs d'ordre politique, social,
économique et environnemental. Ainsi, l'inéluctable
raréfaction de l'eau, sa constante dégradation en qualité
et son inégale répartition sont autant de signes palpables qui
indiquent une mauvaise gestion de l'eau et concourent de façon
significative à la paupérisation des populations en termes de
santé, d'urbanisation, d'économie et d'échange.
En effet, malgré le fait que plus des 2/3 de la surface
de la terre soit recouvert d'eau, il existe tout de même une multitude de
conflits dans le monde pour l'acquisition de cette ressource. Il existe dans le
monde plus de 200 bassins fluviaux internationaux (215 selon le RIOB,
1998 ; plus de 240 selon Caponera, 1998) et les eaux souterraines ignorent
au moins autant les frontières que les eaux superficielles. La question
de la gestion du partage de ces eaux, et donc des usages que l'on peut en
faire, n'est pas nouvelle, mais elle prend une dimension stratégique
plus importante avec l'accroissement de la pression anthropique : c'est donc un
sujet d'avenir.
La problématique de l'eau potable figure au coeur des
Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), à
savoir réduire de moitié, d'ici 2015, le pourcentage de la
population qui n'a pas accès de façon durable à un
approvisionnement en eau potable et à un assainissement de base. Les
estimations pour 2006 révèlent que la population qui
dépend des points d'eau non améliorés
s'élève à 884 millions de personnes (Geert Vanderstichele,
An Eijkelenburg, 2009). C'est en Afrique subsaharienne que le taux
d'accès à l'eau potable et à l'assainissement est le plus
faible du monde. Seuls 46% de la population rurale et 81% de la population
urbaine y ont accès. Les disparités entre milieu urbain et milieu
rural sont encore plus accentuées en matière d'assainissement.
Ainsi, toujours en Afrique, seuls 24% des habitants des zones rurales ont
accès à des dispositifs améliorés d'assainissement
(principalement des latrines) contre 42% des citadins. Au rythme actuel des
investissements dans le secteur, l'Afrique subsaharienne n'atteindra pas les
OMD. C'est justement pour cette raison que les Nations Unies pensent de plus en
plus à intégrer l'accessibilité à l'eau comme un
indicateur de développement.
En outre, le nombre de décès et de maladies
provoqués par le manque ou la mauvaise qualité de l'eau s'est
globalement accru dans le monde et particulièrement en Afrique
subsaharienne. On dénombre en effet environ sept maladies hydriques (la
colibacillose, le choléra, la fièvre typhoïde, le paludisme,
la bilharziose, l'onchocercose, la dengue). L'accès à une eau
saine à des coûts raisonnables est une condition indispensable
à l'amélioration des conditions sanitaires des franges les plus
déshéritées de la population mondiale. C'est justement
à ce titre que Hoek, Konradsen et Jehangir (1999) dans l'un de leurs
articles présentent des statistiques inquiétantes sur les
maladies hydriques. Ils distinguent en effet 1,5 milliards de personnes qui
soufrent de diarrhées (avec 3,3 millions de morts chez les enfants de
moins de 5 ans et 5 millions tous âges confondus) ; 500000 cas de
choléra avec 20000 morts ; 500000 cas de typhoïdes avec 25000
décès ; l'ascaridiose 1,3 milliard de personnes
infectées, 59 millions de cas cliniques, 10 000 morts, etc.
Par ailleurs, pour la plupart des industries, l'eau est un
facteur de production. L'eau est ainsi présente quasiment tout au long
de la chaîne de transformation des produits ; elle est également
employée pour le nettoyage des ateliers, des machines et des produits
finis. La production d'énergie occupe une place particulière dans
les bilans de consommation d'eau. Elle implique des prélèvements
très importants mais en restitue l'essentiel pour ne représenter
qu'un faible pourcentage de la consommation nette. Si la demande en eau de
l'industrie (hors énergie) a diminué en quantité, elle a
changé de nature et est devenue plus exigeante concernant la
qualité de l'eau utilisée. En effet, la qualité requise
pour l'eau industrielle dépend de son usage. Les industries
agro-alimentaires par exemple ont besoin d'eau potable. L'industrie
électronique requiert quant à elle une eau très pure pour
la réalisation de ses puces et par conséquent des traitements
spécifiques et plus exigeants que pour une eau destinée à
la consommation. Pour le refroidissement ou le lavage, une eau peu
traitée suffit en général. Enfin, dans d'autres cas, une
eau même usée peut être suffisante.
La valorisation, à son véritable niveau, de
l'eau est évidemment un moteur puissant d'évolution des
pratiques. Le plein recouvrement des coûts apparaît aujourd'hui
comme une utopie pour de nombreux décideurs, qui s'appuient sur l'impact
socioéconomique d'une valorisation du coût de l'eau mais aussi sur
des notions culturelles, voire religieuses (l'eau, don du ciel, bien
sacré, non appropriable) rendant cette valorisation inacceptable.
De même, la Banque Mondiale promeut la participation du
secteur privé notamment dans le secteur de l'eau. Cependant, l'analyse
de la situation actuelle des pays en voie de développement (PED), et
notamment de l'Afrique subsaharienne, montre que de nombreux ménages
(surtout à faible revenu) des zones urbaines ou rurales n'ont toujours
pas accès à l'eau potable malgré la modernisation du
secteur. En effet les grandes sociétés distributrices d'eau ont
du mal à assurer le service dans les petits centres et quartiers
secondaires des grandes villes, probablement à cause de leurs structures
et politique mal adaptées à ces zones marginales ou peu
rentables. Pourtant ces zones abritent une partie importante et en pleine
croissance de la population. C'est pourquoi, en l'absence d'un service moderne
plus efficace de l'eau, il existe un service « alternatif »,
assuré par des petits opérateurs privés qui appartiennent
le plus souvent au secteur « informel». Des enquêtes de terrain
(Hydro conseil, 2000) menées dans plusieurs pays d'Afrique subsaharienne
ont révélé leur grand dynamisme et surtout, leur poids
économique prépondérant dans le secteur, en termes
d'emplois, de chiffre d'affaires et de nombre de familles desservies.
La forme de marché d'eau actuellement dans la plupart
des pays en voie de développement est le monopole naturel. Le monopole
naturel est la forme naturelle de marché lorsque le coût minimal
ne peut être atteint que si la quantité totale du bien est
produite par une seule entreprise, Sharkey (1982). La tarification du monopole
naturel ainsi que son administration a fait l'objet de plusieurs études
par les économistes.
Néanmoins, la politique de tarification et de gestion
d'eau diffère d'un pays à l'autre.
Au Cameroun, cadre principal de notre recherche, nous notons
que la gestion et la tarification de l'eau étaient effectuées
jusqu'en 2008 par la SNEC et maintenant par la CDE ( Camerounaise Des Eaux). Le
Cameroun dispose dans l'ensemble des conditions naturelles favorables car ses
ressources en eau sont partout abondantes sauf dans les régions du nord
du pays. Toutefois, en l'absence d'investissements durant les 20
dernières années et en raison des faiblesses de la gestion par le
concessionnaire public (SNEC), la situation de l'approvisionnement en eau
potable au Cameroun s'est considérablement dégradée. Si le
taux d'accès « amélioré » à l'eau potable
est globalement de 70 % en 2006, ce chiffre traduit néanmoins des
disparités et des forts retards en milieu urbain par rapport aux pays
africains comparables.
Disparités rurale/urbaine d'abord, car le taux
d'accès n'est que de 47 % en milieu rural, contre 88 % en milieu urbain
; forts retards de plus en milieu urbain, avec une stagnation de l'accès
par branchement particulier (ou branchement dans la cour) depuis 1990 à
26 % de la population urbaine, ce qui est très faible au regard de pays
africains comparables (Sénégal : 78 % ; Côte d'Ivoire : 62
% et moyenne Afrique Sub-saharienne : 35 %). De plus, jusqu'en 2008 le
périmètre que couvrait la SNEC était de 103 centres
urbains soit environ 8,04 millions d'habitants. La tarification était
identique dans tous les centres gérés par la SNEC et
s'élevait en moyenne à 385 frs CFA TTC/m3 et variable
en fonction des tranches de consommation.
Par ailleurs, malgré le fait que de plus en plus la
situation d'accès à l'eau au Cameroun soit problématique,
il existe très peu d'études sur la performance et l'efficience de
ce secteur. Nous nous proposons de ce fait de mener une recherche sur le
thème intitulé : Etude des déterminants de
l'offre de l'eau potable au Cameroun.
1.2. Problématique
Le choix d'organisation et de régulation des services
publics de l'eau et son impact sur leur qualité et leur prix sont depuis
de nombreuses années une préoccupation centrale des
décideurs politiques mais également un thème de recherche
important chez les économistes. Le marché de l'eau dans la
plupart des pays en voie de développement fonctionne comme des monopoles
naturels. La politique de tarification de ce type de marché n'est pas
toujours évidente ainsi que son administration.
De plus, le marché de l'eau est
caractérisé par deux faits stylisés: premièrement,
environ 90% du réservoir d'eau de toute la surface terrestre sont
gérés par les gouvernements locaux ou fédéraux et
la course vers un budget équilibré est la priorité
(Yiðit Saðlam, 2010). Cet auteur précise aussi que les offreurs
d'eau ont une série de prix d'eau leurs permettant de recouvrir leurs
coûts, qui est connu comme la règle de fixation de prix au
coût moyen et qui ne prend pas en compte un manque potentiel d'eau.
D'où, cette règle de fixation de prix qui ne tient pas compte le
phénomène de rareté d'eau peut conduire aussi à des
gros retraits d'eau ce qui n'est pas soutenable à long terme (OCDE,
1999d). En outre, la tarification d'eau n'est pas identique dans les
différents secteurs d'utilisation de cette ressource (agricole,
ménager et industriel), ce qui peut conduire à une distribution
inefficiente d'eau (OCDE 1999a, 1999b, 1999c). Deuxièmement, dans
plusieurs parties du monde (incluant l'Afrique Sub-saharienne, une partie de
l'Europe de l'Est et du Sud) les pays souffrent de la volatilité de
l'offre d'eau accompagnée de manque temporaire mais fréquent
d'eau voir des auteurs comme Allan (1997), Rossi et Somma (1995), Shiklomanov
(1997), Thomsen (1993). Plusieurs pays de l'OCDE ont fait l'expérience
d'un manque périodique d'eau, basé sur les niveaux
élevés de fuites dans le système d'offre d'eau ou un usage
inefficient est induit par des politiques de fixation de prix inefficient. Bien
que la faible pluviométrie soit souvent perçue comme la cause
principale du manque d'eau, un système de fixation de prix d'eau
inapproprié qui cause une utilisation excessive d'eau ne peut être
négligée.
En outre, l'objectif de premier rang étant jugé
inaccessible ou trop coûteux, d'autres systèmes de tarification
ont été proposés afin de prévenir ces types de
distorsion. Anne BRIAND (2007), distingue ainsi trois types de tarification
à savoir :
Ø La tarification de l'eau au coût
marginal
L'apparition en Afrique subsaharienne de nouveaux facteurs,
sources de contraintes supplémentaires (forte croissance
démographique, forte urbanisation, croissance rapide de la demande,
hausse des coûts de mobilisation des ressources et d'exploitation ou,
hausse des coûts liés à l'extension des services
d'alimentation en eau potable « AEP » à des zones de
faible densité de population pour lesquelles le coût unitaire du
service d'eau est relativement plus élevé), a
généré l'idée d'atteindre des niveaux de production
et de consommation d'eau économiquement « efficaces »
susceptibles d'épargner les ressources rares. C'est justement pour cette
raison que l'attention s'est progressivement portée sur une hausse de la
tarification de l'eau pour qu'elle atteigne au moins la valeur de son
coût marginal.
Ø La tarification progressive de l'eau avec
« tranche sociale subventionnée »
Le concept de « tranche sociale subventionnée
» ou de « besoin de base » a une justification économique
essentiellement fondée sur l'argument de redistribution des revenus. En
effet, l'objectif de la société distributrice à mission de
service public est aussi de permettre un accès pour tous (même aux
ménages à faible revenu) : souci de justice sociale.
Le principe est de définir une 1ère tranche de
consommation dite « sociale » (correspondant au volume de
consommation minimal pour la satisfaction des besoins de base) pour laquelle le
tarif appliqué est dit « social » (inférieur au
coût marginal). Puis, les autres tranches de consommation (volumes plus
élevés) sont tarifiées au coût marginal.
Cependant de telles politiques ne se sont pas toujours
révélées positives aux ménages à faible
revenu. Bien au contraire, elles ont même souvent
généré en Afrique des effets contre-redistributifs pour
les raisons suivantes. Tout d'abord dans certaines villes où le taux de
desserte (branchement domiciliaire) est élevé, ces politiques ont
favorisé l'accès à l'eau des ménages à
revenu moyen et non aux ménages à faible revenu. Ces derniers
habitent souvent des quartiers marginaux « hors réseau », et
sont donc peu touchés par de telles politiques pourtant dites «
sociales ». De plus, dans les quartiers précaires dont la
particularité de l'habitat est la cour partagée avec un seul
robinet, les ménages se partagent la facture d'eau dont le volume de
consommation élevé correspond à un prix fort.
Ø La tarification de l'eau au coût moyen
(Ramsey-Boiteux)
Elle fait disparaître l'obligation pour l'Etat
d'accorder une subvention au producteur dans le cas où la tarification
au coût marginal occasionnerait une perte (prix inférieur au
coût moyen). L'Etat impose alors à la société
distributrice une contrainte d'équilibre budgétaire.
Dans les pays du pourtour méditerranéen, les
ressources en eau sont limitées et inégalement réparties
dans l'espace et dans le temps ; les pays de la rive Sud ne sont dotés
que de 13 % du total. La Méditerranée regroupe 60% de la
population mondiale « pauvre » en eau (disposant de moins de 1000
m3/hab/an) et vingt millions de Méditerranéens n'ont
aujourd'hui pas accès à l'eau potable, notamment dans les pays au
Sud et à l'Est. Les ressources sont déjà
surexploitées en maints endroits et la croissance des besoins en eau va
rester très forte avec la croissance démographique au Sud et
à l'Est, le développement du tourisme, de l'industrie et des
terres irriguées.
Dans un contexte de pénurie croissante dans une partie
de la région et face aux incertitudes liées au changement
climatique, les travaux du Plan Bleu mettent en avant la
nécessité impérieuse d'adapter les politiques de gestion
de l'eau, de mieux gérer les différents usages et d'utiliser les
ressources de façon plus économe et optimale, pour
répondre aux besoins des populations et de développement
d'aujourd'hui et de demain.
De plus, la loi de marché d'inspiration
keynésienne stipule que la demande est supposée stimuler l'offre.
Dès lors, on peut s'interroger dans le contexte Camerounais sur
les raisons du niveau bas de l'offre d'eau et ceci malgré la demande
importante qui existe pour l'acquisition de cette ressource notamment dans le
secteur ménager et industriel.
Il sera alors question pour nous dans le cadre de ce travail
d'envisager des mécanismes socio-économiques pour amener
la société distributrice de l'eau au Cameroun à
accroître son offre. En d'autres termes, on s'attellera à
déterminer les variables sur lesquelles on pourra jouer afin de remonter
l'offre d'eau au niveau de la demande.
1.3. Objectifs
La recherche présente suit un triple objectif.
Après avoir appréhendé la politique de tarification
appliquée actuellement au Cameroun, nous nous attèlerons
à :
1. Montrer aux dirigeants que la politique actuelle de
tarification de l'eau constitue un frein à l'exploitation, à la
distribution et à l'assainissement de cette ressource par la
société distributrice d'eau ;
2. Analyser les déterminants socio-économiques
de l'offre d'eau notamment dans le secteur ménager et
industriel ;
3. Faire des propositions en vue de l'amélioration du
système de distribution actuel d'eau au Cameroun.
1.4. Hypothèses
Pour que nos objectifs soient atteints, nous allons
émettre les hypothèses suivantes :
H1. Les variables socio-économiques telles que :
les investissements, l'évolution démographique de la population
urbaine, les secteurs d'utilisation, etc. influenceraient fortement l'offre en
eau.
H2. La qualité de l'eau est la même dans les
deux secteurs d'utilisations de cette ressource retenu dans le cadre de ce
travail.
H3. L'environnement institutionnel (le statut juridique de la
société en charge de la gestion de cette ressource :
privé ou public) est un obstacle à la bonne gestion de la
ressource en eau.
1.5. Intérêt de la recherche
Notre étude présente un intérêt
théorique et pratique.
· Sur le plan théorique, notre
étude nous permettra de mieux comprendre ou connaitre l'économie
environnementale et plus particulièrement la gestion et l'allocation des
ressources naturelles par les Etats.
· Sur le plan pratique, la
réalisation de cette étude serait un complément à
la littérature relative au domaine concerné et permettrait
d'apporter quelques réponses aux problèmes d'eau au Cameroun.
En outre, les résultats issus de cette étude
pourront permettre aux dirigeants camerounais de mieux orienter leur politique
d'offre de l'eau pour être plus efficace. En effet, le fait de connaitre
les différentes causes de manque d'eau peut aider à
améliorer la performance du système de distribution d'eau par les
dirigeants.
1.6. Organisation de la thèse
Notre travail s'articule en six chapitres. Le premier sera
réservé à la présentation générale du
travail.
Les chapitres deux et trois traiteront de la
problématique sur le plan théorique à partir d'une revue
générale de la littérature dans le domaine
concerné. Elles auront pour titre cadre théorique
général de la valorisation des ressources naturelles (chapitre
deux) et revue critique de la littérature (chapitre trois).
Les chapitres quatre et cinq qui se veulent
plus pratique vont nous permettre dans un premier chapitre à
traiter : de la méthodologie que nous appliquerons (chapitre
quatre) et le cinquième chapitre présentera les résultats
et les implications de la recherche. Nous conclurons notre travail par un
sixième chapitre qui sera réservé à la conclusion
générale et aux recommandations.
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