INTRODUCTION GENERALE
1. CHOIX ET INTERET DU SUJET
L'information est devenu aujourd'hui un outil efficace pour
tout gestionnaire qui veut agir rationnellement1(*).
L'Internet de son côté est le seul support de
communication qui offre des avantages et services relatifs à
l'information à un coût très réduit2(*).
L'Internet permet avec ses liens virtuels d'aller d'une page
à une autre, d'un serveur à un autre, d'un point du globe
à un autre, à une vitesse record et d'une manière presque
transparente pour son utilisateur, rien que par un simple clic3(*).
Selon DREYFUS, M.4(*), la recherche de l'information sur Internet
représente 25% du trafic total en volume sur le net.
Dans l'optique des informations disponibles sur Internet,
REVELLI, C.5(*),affirme
qu'« Internet constitue une transposition immatérielle de
notre vie quotidienne. En d'autres termes, toutes les activités
intangibles que l'on mène dans la vie réelle, d'une
manière ou d'une autre, peuvent être réalisées sur
Internet :
- Consulter des bibliothèques, des expositions, des
écoles... ;
- Contacter des experts ;
- Ecouter la radio ou voir la
télévision ;
- Lire des journaux ou des livres ;
- Avoir accès aux dernières nouvelles,
contrôler le climat ou le trafic ;
- Rencontrer des gens et échanger des
idées ;
- Acheter une pizza, une pièce d'ordinateur ou un
livre ; etc. »
Nous sommes convaincu que si une université a son site
Internet, cela représente un outil efficace pour sa promotion et cela
pourrait permettre à ses partenaires de recueillir des informations sur
elle ou de transmettre à l'université des informations en un
temps record. Par ce travail, l'Université Adventiste d'Afrique Centrale
(UAAC), que nous avons pris pour exemple trouvera un instrument de plus,
capable de lui permettre de rendre encore plus efficace sa politique de
promotion. D'où le choix et l'intérêt de ce sujet.
2. DELIMITATION DU SUJET
Dans notre travail, nous prendrons comme cas d'étude
l'Université Adventiste d'Afrique Centrale, UAAC en sigle.
En effet, ayant survécu à la guerre de 1994,
l'UAAC est l'une des universités de notre pays qui prend de plus en
plus de l'importance mais ne possédant pas encore un site Internet.
Ainsi notre travail sera de concevoir et réaliser un site Internet pour
l'UAAC et d'analyser si ce site Internet peut promouvoir cette
université.
3. PROBLEMATIQUE
Avec Internet, on peut entrer en contact avec l'ensemble de la
planète; avec n'importe quel individu, à n'importe quel endroit,
du moment où celui-ci est connecté sur le réseau6(*).
De ce fait, nous nous sommes posé les questions
suivantes :
· Avec l'essor de la technologie, la conception
d'un site Web serait- elle hors de portée ?
· La création et la réalisation
d'un site Internet pourraient- elles permettre la promotion d'une
université, particulièrement celle de l'Université
Adventiste d'Afrique Centrale ?
4. HYPOTHESES DU TRAVAIL
L'Internet est le seul média et support publicitaire
capable de toucher l'ensemble de la planète avec un taux de connections
évalué à près de 553 millions7(*) de personnes connectées.
De ce qui précède, nous formulons les hypothèses ci-
après :
· Avec l'essor de la technologie, la conception
et la réalisation d'un site Internet pour l'UAAC est possible, en
utilisant le logiciel FrontPage 2003 de Microsoft Inc.
· En créant un site Internet, une
université, particulièrement l'UAAC sera en train de profiter
des avantages reconnus à ce réseau. L'Internet étant un
media virtuel ; il offrira à l'université la possibilité
de se promouvoir.
5. OBJECTIFS DU TRAVAIL
L'objectif principal de notre travail est de concevoir et de
réaliser un site Internet pour l'UAAC. Nous examinons par après
si la création de ce site permet à cette université de
profiter des avantages de ce réseau et si ce site permet à l'UAAC
de se promouvoir.
En effet, comme l'affirme REVELLI, C.8(*) : « L'Internet
constitue aujourd'hui un phénomène majeur du développement
des sociétés humaines. Au même titre que l'imprimerie ou la
télévision, il modifie les règles économiques,
sociales, politiques et culturelles traditionnelles. Il ne s'agit plus
aujourd'hui de se situer ``pour'' ou ``contre'' un tel phénomène,
mais de le comprendre et d'en utiliser les retombées pour entrer, avec
des outils adaptés dans le nouvel ``espace- temps'' créé
par les réseaux interactifs multimédias
internationaux. »
6. CHOIX DES TECHNIQUES ET METHODES
6.1 Techniques utilisées
La technique est définie comme l'ensemble des moyens et
des procédés qui permettent au chercheur de rassembler les
données et des informations sur son sujet de recherche9(*). Au cours de notre travail,
nous aurons à utiliser les techniques suivantes :
6.1.1 La technique d'interview :
Elle consiste en des entretiens au cours desquels le chercheur
interroge des personnes qui lui fournissent des informations relatives à
son sujet de recherche.
Précisément, nous utiliserons la technique
d'interview non structurée, qui est caractérisée
essentiellement par le fait que le nombre, l'ordre, et la formulation des
questions que le chercheur pose ne sont pas fixés à l'avance.
L'entretien entre le chercheur et l'enquêté est plus ou moins
libre.
En ce qui nous concerne, nous avons eu des entretiens avec les
agents du département Internet de Rwandatel, Terracom et les
autorités de l'Université Adventiste d'Afrique Centrale.
6.1.2 La technique documentaire : Elle
consiste en la consultation des documents relatifs au sujet
traité1(*)0. En ce
qui nous concerne, nous aurons à consulter une documentation disponible
tels les ouvrages et les sites Internet sur le marketing en
général, sur la publicité en particulier et sur la
création des sites Internet.
6.2 Méthodes utilisées
La méthode se définit comme un ensemble
ordonné de principes, des règles et des opérations
intellectuelles permettant de faire l'analyse en vue d'atteindre un
résultat1(*)1.
- La méthode comparative : Cette
méthode nous a permis de comparer le site Internet réalisé
de l'UAAC avec les théories de la promotion.- La méthode
historique : Elle nous a permis de connaître
l'évolution de l'UAAC à travers le temps.- La
méthode expérimentale : Elle nous a aidé
à concevoir et créer le site Internet de l'UAAC dans le but de
vérifier si ce site Internet pourrait être un outil de promotion
d'une université.
7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Pour bien effectuer notre travail, nous nous sommes
proposés de le diviser en trois chapitres en plus de l'introduction et
la conclusion.
Le premier chapitre renferme le cadre théorique et
conceptuel qui réuniront les textes relatifs à notre sujet.
Le deuxième chapitre sera consacré à la
conception et à la réalisation du site Internet de l'UAAC.
Le troisième chapitre sera consacré, quant
à lui, à l'analyse de la relation entre le site Internet
conçu et réalisé de l'UAAC et les théories de la
promotion.
Enfin de compte, nous dégagerons la conclusion
générale et les recommandations.
Chapitre 1. GENERALITES SUR LA PROMOTION ET LA
REALISATION D'UN SITE INTERNET
1.1 LA PROMOTION
La promotion en soi est un outil du marketing- mix car elle a
un impact sur le comportement du client.
KOTLER et DUBOIS1(*)2 définissent le marketing- mix comme
étant «l'ensemble des outils dont dispose l'entreprise pour
atteindre ses objectifs auprès du marché- cible. »
Les variables du marketing- mix sont regroupées en 4
groupes qui sont : le Produit, le Prix, la Promotion et la Place
(distribution), d'où l'appellation de 4P proposée par E.J.
McCarthy1(*)3.
OSAMBO1(*)4 montre que bien que plusieurs variables du marketing
- mix soient données par plusieurs auteurs, la classe des chercheurs et
doctrinaires dans cette discipline n'ont pas encore pu agréer sur le
nombre des variables à retenir, d'où ils retiennent les 4
classiques ci- dessus.
La promotion englobe à lui seul tout le champ de
communication marketing en utilisant comme moyens : la publicité,
la promotion de vente, les relations publiques, le patronage, la foire
commerciale et les expositions. C'est à dire autant d'activités
permettant de faire connaître le produit, le service ou les idées
d'une organisation et leurs particularités sur le marché.
Parmi les moyens, cités précédemment, et
utilisés par la promotion, trois vecteurs occupent une place de choix
dans le marketing d'aujourd'hui1(*)5 : la publicité, la promotion de vente et les
relations publiques.
La promotion de vente1(*)6 est destinée à stimuler à court
terme la demande du marché. Elle utilise une gamme de techniques et les
plus importantes sont : les bons de réduction, les primes, les
remises et les cadeaux.
La publicité1(*)7 est, quant à elle, destinée à
attirer le consommateur vers le produit ou le service. L'activité
publicitaire met en jeu trois principaux partenaires : les annonceurs, les
médias et les agences.
La différence1(*)8 entre ces deux aspects (publicité et
promotion de vente) repose sur le fait que la promotion de vente pousse le
produit, le service vers le consommateur (effet Push) tout en étant
limité dans le temps et l'espace tandis que la publicité est
illimitée dans le temps et dans l'espace. Elle s'efforce de faire
demander le produit ou le service par le consommateur c'est à dire
qu'elle attire le consommateur vers le produit ou le service (effet Pull).
Le moyen dit ``Relations publiques''1(*)9, est défini comme un
effort délibéré, prévu et soutenu, d'établir
et maintenir la compréhension mutuelle entre une organisation et son
public.
En ce qui concerne les autres moyens2(*)0, cités ci haut,
utilisés par la promotion ; la ``Foire commerciale et
l'exposition'' a comme but d'augmenter la conscience du consommateur, c'est une
approche très bonne pour faire de nouveaux contacts et remplacer les
vieux. Les compagnies vendront rarement beaucoup à des tels
événements mais auront l'occasion de rencontrer le commerce et le
consommateur.
Le ``Patronage'' ; fait référence à
ce qu'une organisation paye pour être associée à un
événement particulier, à la cause ou à l'image.
Les compagnies avanceront des fonds pour des
événements des sports tels que les jeux olympiques ou la coupe du
monde. Les attributs de l'événement sont alors associés
à l'organisation des bailleurs de fonds ; les
éléments du mélange promotionnel sont alors
intégrés pour former une campagne unique, mais logique.
Nous pouvons dire enfin que la promotion est un outil du
marketing- mix englobant tout le champ de communication marketing.
Parmi les moyens utilisés par la promotion, c'est la
publicité qui va nous intéresser dans notre travail.
La publicité est définie comme ``toute forme de
communication non interactive et payante ayant pour objectif la promotion des
produits ou des services d'une entreprise.''2(*)1
Elle revêt de multiples formes : la
publicité nationale, régionale, locale, publicité grand
public, industrielle, publicité de marque, publicité
institutionnelle.
La publicité sert aussi de multiples objectifs :
ventes immédiates, notoriété, image de marque, etc.
1.1.1 Les fonctions de la publicité
Des recherches déjà faites affirment que la
publicité a plusieurs fonctions. Généralement elles sont
regroupées en cinq fonctions2(*)2 qui sont :
- La fonction marketing,
- La fonction communication
- La fonction éducation
- La fonction économique
- La fonction sociale
1. Fonction marketing
Evoluant dans un environnement concurrentiel, toute
organisation, aujourd'hui, doit pour s'épanouir développer une
stratégie marketing.
La stratégie marketing se détermine par les
différentes combinaisons, que font les organisations, des
éléments variables du marketing. En d'autres termes, c'est une
bonne combinaison des 4P. (produit, prix, place, promotion) que nous appelons
le marketing- mix.
Dans la fonction marketing, la publicité a comme
rôle de faire passer le message ; d'habitude à travers le
mass média, à un grand nombre de personnes
considérées comme public cible.
Le coût d'atteindre un nombre considérable de
personne de votre public cible est moindre par la publicité2(*)3 par rapport au coût
qu'on aurait à engager pour atteindre un prospect.
Ce coût serait encore moindre en utilisant Internet
comme outil de promotion.
2. Fonction communication
Cette fonction de la publicité a commencé dans
les anciennes civilisations. D'après la plupart d'historiens, les
marchands romains et grecs utilisaient des panneaux en argile, en bois ou en
pierre sur lesquels étaient gravés leur produits ou
services2(*)4.
Ces panneaux furent la première forme de
publicité. Toute la population n'était pas capable de lire ;
alors sur les panneaux était gravé les produits vendus par
exemple une chaussure pour un fabricant des chaussures.
Aujourd'hui, la communication de l'information reste toujours
une de fonctions de base et objectifs de la publicité.
Nous comprenons ici, avec cette fonction, que la
publicité dans toutes ses formes communique un message à un
groupe de personne.
3. Fonction éducation
A partir de la publicité le public apprend. Ils
apprennent sur le produit, le service ou l'idée qui leur est disponible,
et ils apprennent comment améliorer leur vie avec le produit, service ou
idée.
Mais retenons que la publicité doit être plus
qu'éducative pour être couronnée de succès. Elle
doit être aussi persuasive pour amener le public à l'action que ce
soit pour acheter un bien ou pour les étudiants d'une
université.
4. Fonction économique
Par le fait de conscientiser le public sur les produits,
services et idées ; la publicité promouvoit les ventes et
également les affaires.
Comme un guide de l'acheteur, elle fournit des informations
sur le produit et le prix aux consommateurs.
Elle donne des informations importantes sur les nouveaux
équipements et nouvelles technologies aux acheteurs industriels. En
informant plusieurs personnes à la fois sur la disponibilité des
produits et services ; la publicité réduit
considérablement le coût de distribution et facilite le travail
des agents vendeurs2(*)5.
Le gain obtenu dans la minimisation des coûts et l'augmentation des
bénéfices peut être investi dans les immobilisations ou
autres travaux au sein de l'organisation.
La liberté de faire la publicité permet aux
concurrents d'entrer sur la place du marché. Ceci encourage
l'amélioration des anciens produits et le développement des
nouveaux.
Ces actions se traduisent dans l'augmentation de la
productivité, la qualité supérieure et la disparition des
produits de moindre qualité (Camelotes).
Nous pouvons affirmer par conséquent que la
publicité invite à essayer les nouveaux produits, elle
accélère le succès des produits de qualité et
l'échec des camelotes.
5. Fonction sociale
Selon BOVEE, C. et ARENS, W.2(*)6, la publicité est une des forces majeures
aidant à améliorer le standard de vie dans un pays et dans le
monde.
En faisant connaître au public le produit, les occasions
culturelles et sociales, la publicité encourage l'augmentation de la
productivité2(*)7.
En présentant aux consommateurs une image attrayante
des produits disponibles sur le marché, la publicité les motive
à acheter.
La publicité donne une personnalité à un
produit2(*)8. A l'exemple
de marque d'automobile ; chaque marque et model d'automobile
fabriqué a une personnalité créée par la
publicité.
Le consommateur a l'opportunité de choisir le meilleur
produit correspondant à ses fonctions ou à ses besoins.
La publicité facilite la liberté de la presse
car le principal revenu des médias de la presse découle de la
publicité2(*)9.
Ceci nous laisse dire que la publicité sert les besoins sociaux aussi
bien que la stimulation des ventes. Aussi, la compréhension par la masse
des importants problèmes sociaux, est faite par la publicité. La
croix rouge, ainsi que d'autres organisations humanitaires reçoivent des
subventions continuelles et des assistances volontaires à cause de la
puissance de la publicité.
En général, nous pouvons dire à propos de
la fonction sociale de la publicité que celle-ci a un effet sur la
société ; la publicité est à la tête
d'importantes modifications des comportements au sein de la
société. Nous pouvons citer la police nationale de notre pays qui
ne cesse de sensibiliser les conducteurs des véhicules, par la
publicité sur les dangers liés à l'excès de
vitesse.
1.1.2 Les consommateurs face à la
publicité
KOTLER et DUBOIS3(*)0 affirment que le responsable marketing doit toujours
définir la réponse qu'il attend de l'audience lors de
l'élaboration d'une campagne publicitaire. C'est une phase clé de
l'élaboration d'une campagne publicitaire. Cette réponse doit
être spécifique surtout que l'objectif poursuivi est toujours
différent s'il s'agit d'une publicité institutionnelle ou d'une
publicité d'un produit.
Ici nous devons savoir que le consommateur avant de se
décider à acheter ou à adhérer à une
organisation, passe à travers différents stades importants
à identifier. Ces stades sont généralement au nombre de
trois c'est à dire le stade cognitif, affectif et comportemental.
En d'autres termes, nous pouvons dire que la réaction
du consommateur souhaitée par le responsable marketing peut prendre la
forme d'une connaissance, d'un sentiment ou d'un comportement.
Plusieurs modèles ont été
développés par des chercheurs pour rendre compte des liens qui
unissent ces différents stades. Nous considérerons dans notre
travail le modèle dit de ``la hiérarchie des effets'', que nous
verrons dans ce qui suit et le modèle dit de ``la pyramide
publicitaire'' (The Advertising Pyramid) que nous verrons dans le chapitre
trois.
Le modèle de la hiérarchie des effets comporte
un plus grand nombre d'étapes que celui de la pyramide publicitaire,
nous allons tout de suite les voir en détail. La plupart des
différences existant entre ces modèles, comme nous disent KOTLER
et DUBOIS3(*)1, sont
liées au sens des mots (d'ordre sémantique). Les six
étapes sont regroupées en trois stades (cognitif, affectif et
comportemental).
Voyons ces étapes en détail :
1.1.2.1 Stade cognitif : C'est le
comportement du consommateur sous forme d'une connaissance, ce stade comprend
deux étapes : La prise de conscience et la connaissance.
1. La prise de conscience : Dans cette
première étape, la tâche est de construire la
notoriété d'une organisation.
2. La connaissance : Ici la
notoriété ne suffit plus, il faut maintenant que le public cible
reconnaisse la spécificité de l'organisation.
1.1.2.2 Stade Affectif : Ce stade compte
trois étapes en forme de sentiment : L'attrait, la
préférence et la conviction.
3. L'attrait : Dans cette étape
il est question de faire en sorte que l'audience ne soit pas
indifférente ou hostile au produit.
4. La préférence : A ce
niveau il est question d'inciter le consommateur à
préférer le produit.
5. La conviction : Quant elle n'est pas
accompagnée d'une conviction, la préférence reste
insuffisante. Après avoir préféré le produit, le
consommateur doit avoir de l'assurance, une certitude sur le produit pour
pouvoir enfin passer à l'acte.
1.1.2.3 Stade comportemental : Ce stade
renferme la dernière étape que traverse le consommateur :
L'achat ou Inscription pour une université.
1. L'achat : Enfin de compte, pour au
moins une partie du public cible, l'intention doit se transformer en acte.
L'achat ou l'inscription est ici l'ultime démarche dont la communication
a comme objectif de faciliter.
Pour parvenir à cette étape, l'université
peut diffuser largement des dossiers d'inscription clairs, inviter des
candidats à assister à des cours ou leur proposer des
facilités de paiement.
Toutes ces étapes permettent au responsable marketing
de spécifier la réponse attendue de l'audience. Rappelons que
ceci est une phase clé de l'élaboration d'une campagne de
publicité.
1.1.3 L'Internet et la publicité
Actuellement les médias traditionnels s'essoufflent,
leurs coûts s'accroissent, ce qui poussent les publicitaires à
aller à la recherche des nouveaux médias.
Cette vague de recherche des nouveaux supports, s'est d'abord
remarquée dans les points de vente eux- même. Dans certains
supermarchés des pays developpés, on a vu apparaître des
``linéaires parlants'' délivrant un message auditif à tout
consommateur qui s'approche du rayon. Aux Etats- Unis par exemple, comme le
précise KOTLER, P. et DUBOIS, B.3(*)2, Chris WHITTLE s'est spécialisé dans
la commercialisation des salles d'attente des médecins et les cantines
scolaires. Il y dépose des magazines spécialisés ayant un
taux de lecture quatre fois supérieure selon ses estimations c'est
à dire quand par exemple le malade attend d'être consulté
par le médecin, il se retrouve en train de lire un de ces magazines
déposés par Chris WHITTLE et ceci ferait que ces magazines aient
un taux de lecture quatre fois supérieures.
Cela fait que ces magasines deviennent des supports
publicitaires efficaces.
Le même Chris WHITTLE cherche à insérer,
également, des publicités dans les pages des livres à
succès et les cassettes vidéo.
Nous pouvons affirmer par la suite que plus les médias
traditionnels perdent de l'élan dans la publicité, plus la
recherche des nouveaux se renforce3(*)3.
Avec l'essor de la technologie de communication que
connaît le monde aujourd'hui, nous voyons la naissance des nouveaux
supports on-line (sur réseaux) à l'exemple d'Internet et off-line
à l'exemple du CD- ROM.
Le principal obstacle à l'utilisation de ces nouveaux
médias est la connaissance imparfaite de la cyberpub et des audiences,
un problème qui, selon KOTLER, P., et DUBOIS, B.3(*)4, sera levé
bientôt par des enquêtes.
Malgré cet obstacle il s'avère que de plus en
plus d'organisation utiliserait ces nouveaux médias pour leur
publicité à l'exemple de France Télécom, Neptune
Moteurs, etc.
Aussi il a été remarqué après des
recherches qu'Internet en tant que média publicitaire présentait
des avantages3(*)5:
- Avec Internet, c'est le consommateur qui va vers le message
publicitaire, au lieu de le recevoir. Il va vers le message en cliquant par
exemple sur un bandeau commercial sur la page d'un site.
- Des puissants ``portails'' permettent au consommateur de se
déplacer très vite et de procéder à des
comparaisons entre les multiples produits.
Par exemple on peut dans quelques minutes comparer des
ordinateurs vendus par Toshiba, IBM et Compaq ; et choisir le plus
intéressant des trois marques.
C'est ce que Carlo REVELLI3(*)6 appelle par ``l'accélération du
temps''. Il affirme que : « Tout est en effet incroyablement
rapide et accéléré. En quelques secondes, on peut faire
le tour de toutes les bibliothèques de la planète et avoir
accès à l'information que jadis on aurait obtenu en quelques
semaines, voire des mois. »
- Avec Internet, le produit peut être construit à
la demande du consommateur.
- Le champ d'Internet est mondial. Carlo REVELLI traite cela
de `` la réduction de l'espace''. Il affirme que3(*)7 : « Ces
réseaux ne connaissent pas la notion d'espace géographique telle
que nous l'entendons. Rome, New Delhi, Toronto ou Singapour sont devenues les
quartiers d'une même ville. Les barrières géographiques
disparaissent et plus aucune frontière n'existe et, surtout ne peut
être établie. Les seules frontières qui peuvent être
mises en place ne sont pas géographiques mais techniques. Par exemple,
les sites protégés par mots de passe. »
Après tout ce que nous venons de dire, nous pouvons
conclure que ces nouveaux médias publicitaires sont mieux partis pour
assurer la promotion de nos organisations.
Internet et ses avantages nous laissent dire que nos firmes,
entreprises et universités mêmes, devraient chacune avoir un site
Internet pour sa promotion et ainsi s'adapter au nouveau courant qui
s'établi dans le monde.
1.2 LA REALISATION D'UN SITE INTERNET
1.2.1 Le design
La conception d'un site Internet commence par
l'élaboration du plan du site Internet sur papier, après il
faudrait le mettre sur un logiciel et enfin de compte développer le site
Internet.
Aujourd'hui avec l'essor de la technologie, il y a
multiplication des logiciels de création des sites Internet. On eut
créé un site Internet en utilisant des traitements de texte comme
Microsoft Word ou des logiciels plus spécialisés comme
Dreamweaver, Golive ou FrontPage3(*)8.
Dans notre travail nous avons opté pour FrontPage qui
est un programme de création du type WYSIWIG (What you see is what you
get ou littéralement "ce que vous obtenez à l'écran est
identique au résultat final"). Avec les logiciels WYSIWIG, il est
possible de travailler directement sur la mise en forme d'une page web, en
visualisant immédiatement le résultat, sans passer par le
code3(*)9.
Avant l'apparition des logiciels WYSIWIG, la seule
possibilité de générer des pages Web était
d'écrire le code4(*)0 mais aujourd'hui ces logiciels permettent de
créer des pages web aussi facilement que dans un programme de traitement
de texte rien que par des clics sur les boutons adéquats4(*)1.
Avec le logiciel FrontPage, la création des pages web
est basée sur le langage HTML (Hyper Text Markup Language). Le HTML est
un langage de programmation très simple permettant de dicter aux
navigateurs la mise en page de vos pages web4(*)2.
1.2.1.1 Le plan du site sur papier
Dans la conception d'un site Internet, lors de sa
planification, il est conseillé d'élaborer sur papier le plan de
votre site Internet et ainsi entamer avec un plan la conception de votre site
Internet.
WILLIAMS, R., et TOLLETT, J., disent ceci à propos du
plan du site sur papier: "L'élaboration d'un plan écrit du site
sert plusieurs objectifs. Il offre une référence visuelle du
projet avant même de commencer la création réelle des
pages, et il permet d'organiser rapidement et facilement la structure du
site"4(*)3.
Dans le plan du site, il est facile de définir la
structure de votre site c'est à dire vous regroupez les informations
dans des entités distinctes pour permettre une organisation logique de
votre site Internet par ce que si votre site n'est pas organisé de
façon logique, vous risquerez de décourager et d'agacer
même vos visiteurs4(*)4.
L'élaboration du plan de votre site Internet, vous
permet de définir l'esprit général du site. L'esprit
général vous donnera une idée sur ce qui doit figurer dans
votre site, les couleurs, et les images. Par exemple pour un site de produits
de luxe, on devra refléter le luxe grâce à des couleurs
plus profondes, un esthétisme discret. Pour illustrer ses produits, un
site des produits de luxe, devra présenter ses produits portés
par des mannequins en tenue du soir par exemple4(*)5.
Après avoir fini d'élaborer le plan du site sur
papier, il faudrait le mettre sur le logiciel.
1.2.1.2 Mettre le plan du site sur le logiciel
Après l'élaboration du plan sur papier, il est
facile de le mettre sur logiciel. Dans le logiciel chaque entité
correspondra à une page séparée de votre site, et cette
méthode permettra de garder à l'esprit l'organisation du site et
l'objectif visé4(*)6.
FrontPage vous représente le plan du site en forme
d'organigramme. La page d'accueil étant le sommet de la structure, les
autres pages sont directement liées à la page d'accueil.
Le logiciel assure la facilité de changer la structure
au cas o on est amené à changer d'avis lors de la
procédure de planification4(*)7.
Nous y reviendrons de manière pratique dans le chapitre
deux.
1.2.1.3 Le développement
Dans le développement du site, le concepteur
s'acharnera à faire du site une entité vivante, cohérente
et indépendante.
A ce niveau le concepteur ferra que le système de
navigation du site soit logique, compréhensible naturel et
agréable. RHONDA, C., et DAVID, C., nous conseille à ce sujet de
réunir les liens par thèmes, de les ordonner de manière
que le visiteur sache instinctivement o trouver ce qu'il cherche4(*)8.
Le concepteur du site Internet doit le concevoir de
manière que l'on trouve sur les pages que le minimum nécessaire,
que chaque élément puisse justifier de sa présence. Tout
encombrement ou fioriture inutile nuira à l'esthétisme, à
la lisibilité et donc à l'efficacité du site
Internet4(*)9. En d'autres
termes chaque texte, image, information doit être à sa place,
indispensable et explicative.
Dans cette étape, il est du devoir du concepteur de
faire la répétition des certains éléments du site,
susceptibles de lier ensemble toutes les parties séparées du site
Internet (par exemple les boutons de navigation, la bannière, les
couleurs, la mise en pages, etc.) par ce que cette répétition
permet à chaque page de donner l'impression d'appartenir au même
site5(*)0 et permet au
visiteur de ne pas se perdre par ce qu' il retrouvera sur chacune des pages le
même système de navigation5(*)1.
Dans le développement du site, le concepteur doit
répondre aux questions suivantes5(*)2:
- Le site est- il organisé de façon logique? Si
ce n'est pas le cas, vous risquez de décourager voir d'agacer vos
visiteurs.
- Le style et le contenu sont- ils homogènes et
réguliers? Pour satisfaire vos visiteurs, ceux- ci doivent trouver
rapidement les informations qu'ils ont l'habitude de chercher sur votre site.
C'est un point clé de la fidélisation d'un cercle de
visiteurs.
- Passe- t- on facilement d'une page à l'autre? Les
internautes n'apprécient guère les sites dont la navigation est
compliquée ou trop dirigiste.
- Si le site contient de nombreuses pages, possède- t-
il un système de recherche? N'oubliez pas que l'internaute est souvent
pressé et impatient. S'il ne peut trouver rapidement ce qu'il est venu
chercher, n'espérez pas qu'il revienne.
Ø Les images
Lors du développement du site Internet, il faut aussi
faire attention au format des images par ce que si elles rendent le
téléchargement des pages moins rapide, les visiteurs aurons
tendance à aller voir ailleur5(*)3.
Voyons les formats des fichiers à utiliser pour les
images:
- Format de fichier GIF : GIF ou
Graphics Interchange Format fut développé spécialement
pour une utilisation en ligne par CompuServe5(*)4 .
Ce format a deux points très importants5(*)5; premièrement c'est
que tout type d'ordinateur peut l'utiliser et cela fait que les images GIF
apparaissent à l'identique à tous les visiteurs quelque soit
l'ordinateur qu'ils utilisent.
Deuxièmement; les images GIF permettent des transferts
très rapides des fichiers et cela fait que le
téléchargement des pages soit rapide.
Le format de fichier GIF possède des avantages5(*)6:
1. Il dispose d'une couleur spéciale dite couleur de
transparence. Cette couleur permet à la couleur d'arrière- plan
de la page de transparaître au travers de certaines parties d'une image.
Sans cette couleur de transparence la plupart des images sont
rectangulaires.
2. Son autre avantage est l'entrelacement. L'entrelacement
permet aux images GIF d'apparaître en plusieurs couches, chacune
améliorant la netteté de l'image. L'entrelacement permet de
défiler la page, de lire le texte pendant le chargement de l'image.
3. Les images GIF permettent de créer des
animations.
Il faut retenir aussi que le GIF ne contiennent que 256
couleurs et son schéma de compression est dit "Sans perte" c'est
à dire quand on réduit la taille du fichier GIF, l'image ne perd
pas en qualité5(*)7. Sa compression fait que le format GIF soit
particulièrement bien adapté pour des images contenant des zones
de couleur unie, par exemple les logos, textes sous forme d'image, des bandes
dessinées, etc.
- Format de fichier JPEG : JPEG ou Joint
Photographic Experts Group est un format parfait, comme son nom l'indique, pour
les photos, des images contenant des effets de lumière5(*)8 ,...
Comme le format GIF, le JPEG est utilisable sur n' importe
quel ordinateur et peut être compressé5(*)9. Mais il faut retenir que le
schéma de compression de JPEG entraîne des pertes d'information ce
qui est tout à fait le contraire du schéma de compression du
format GIF. Néanmoins cette perte de qualité est limitée
c'est à dire qu'on ne peut remarquer la différence entre l'image
d'origine et celle compressée6(*)0.
Une autre différence avec le GIF c'est que le JPEG ne
dispose pas d'une couleur de transparence; ses images apparaissent sous forme
rectangulaire. Si vous voulez faire apparaître une image sous une autre
forme qui n'est pas rectangulaire, enregistrez la en format GIF6(*)1.
Les images JPEG standard ne connaissent pas d'entrelacement ce
qui veut dire que les visiteurs devront attendre le chargement complet de la
photo pour l'apercevoir sur l'écran. Cela est la raison qui pousse
à compresser les fichiers JPEG6(*)2. Mais, il est possible d'enregistrer une image JPEG
comme JPEG Progressif; par ce que le JPEG Progressif est entrelacé
contrairement au JPEG standard6(*)3.
Un avantage du format JPEG est qu'il n'est pas limité
à 256 couleurs comme le format GIF mais les images JPEG peuvent contenir
1,7 million de couleurs et c'est la raison qui fait que les photos ou des
images de type photo ou peinture soient de meilleure qualité en format
JPEG6(*)4.
Ø Les liens
Dans le développement du site Internet, "les liens"
seraient un élément clé du design par ce qu'ils permettent
de lier ensemble les pages et permettent d'ouvrir un formulaire de messagerie
offrant ainsi aux visiteurs la possibilité de communiquer avec le
propriétaire du site à partir de celui-ci...
Les différents types de liens qu'on peut créer
sont6(*)5 :
- Liens internes: Ces liens conduisent vers
d'autres pages web du même site. Ces liens sont aussi appelés
"liens locaux" ou "liens de page".
- Liens externes: Ces liens conduisent vers
les pages web d'un autre site Internet. Ces liens sont aussi appelés
"liens distants" et portent le nom de domaine du site Internet contenant ces
pages.
- Liens de messagerie: Ces liens ne
conduisent pas vers une page web mais ils ouvrent un formulaire de messagerie
permettant aux visiteurs de communiquer avec le propriétaire du site
Internet. Ici, il faut faire attention à ne pas créer un lien de
messagerie dont la nature serait totalement impossible à deviner par le
visiteur. Il est conseillé de préciser l'adresse par exemple
auca@rwanda1.com par ce qu'il y a des navigateurs incapables de
générer un formulaire de messagerie ou le visiteur peut
préférer vous écrire à partir de son adresse E-mail
personnel. Vous remarquez que si l'adresse E-mail n'apparaît pas sur la
page, il y aura impossibilité au visiteur de vous envoyer son
message.
- Des ancres: ces liens n'entraînent
pas le visiteur vers une autre page mais plutôt vers un autre endroit sur
la même page. Ces liens sont utiles dans le cas des pages longues. Ces
liens peuvent vous conduire aussi à une position spécifique sur
une autre page.
Dans le chapitre deux, vous retrouverez les étapes
jalonnant la procédure de création des liens par le logiciel
FrontPage de Microsoft.
1.2.2 Acquisition d'un nom de domaine
Le nom de domaine est défini comme l'adresse d'un site
sur le World Wide Web6(*)6. Le World Wide Web6(*)7 est lui-même un service interactif
proposé sur Internet qui met à disposition toutes sortes
d'informations composées des textes, d'images, de sons et de
séquences vidéo.
Le nom de domaine est très parlant pour l'utilisateur
d'Internet, nous pouvons le comparer à l'adresse géographique
d'une entreprise ou d'une maison. Sans cette adresse on ne peut situer une
entreprise sur l'espace virtuel6(*)8. Cette adresse est appelée URL (Uniform
Resource Locator).
L'adresse contenant votre nom de domaine commence par le
http:// mais il est inutile de savoir cette partie par ce que même sans
le saisir vous pouvez atteindre le site Web que vous souhaitez en saisissant
l'autre partie de l'adresse6(*)9.
Voyons à partir d'un exemple les parties d'un
URL :
http://www.ratz.com/robin/hats.html
1. http:// : http signifie Hypertext Transfer Protocol.
Cette partie de l'adresse indique que le fichier recherché est une page
du world wide web7(*)0.
Vous pouvez rencontrer
news:// ou ftp:// sur d'autres URL à la
place de http:// ; elles indiquent que ces fichiers ne sont pas des pages
web.
2. www. : Ce sont les initiales du world wide web. www
n'est qu'une convention, cette partie n'indique pas que le fichier est une page
web7(*)1 et certains URL
ne comportent pas le www à l'exemple de
http://amour.com
3. ratz.com/ : C'est la partie qui indique le
propriétaire du site ou le nom de domaine7(*)2. RATZ étant le nom du propriétaire,
com étant le domaine d'activité du propriétaire, ici le
domaine commercial.
4. robin/hats.html : La dernière partie de
l'adresse correspond au chemin d'accès qui indique au navigateur
où chercher la page souhaitée7(*)3. Dans notre modèle par exemple, le navigateur
a trouvé ratz.com, et le slash (/) signifie qu'il doit poursuivre la
recherche dans le dossier ou repertoire nommé ROBIN. Le slash suivant
demande au navigateur de regarder ensuite dans le dossier ROBIN le fichier
intitulé hats.html ; toutes les pages web sont appelées
« fichiers html »
Lorsque nous demandons à un navigateur Internet de se
rendre à l'adresse suivante :
http://www.ulk.ac.rw, c'est sûr
que ce navigateur Internet va se rendre sur le site Web de l'Université
Libre de Kigali. Le nom de domaine que nous aurons saisi (
http://www.ulk.ac.rw), est traduit
par ce qu'on appelle le DNS (Domain Name Server) en une série de
chiffres plus faciles à interpréter par l'ordinateur.
Cette série de chiffre est appelée adresse I P.
L'adresse I P7(*)4 est
l'équivalent numérique du nom de domaine. Cet équivalent
numérique permet à l'ordinateur d'interpréter et
comprendre rapidement l'ordre de l'utilisateur.
1. Les extensions de domaine
Les extensions de domaine sont les lettres situées
à la fin d'une adresse Internet. Elles sont connues sous le nom de
``Top- level domain'' (TLD). Elles ont été appelées Top-
level domain parce que normalement on lit les adresses de droite à
gauche, les lettres se situant à droite du point, par exemple le ``fr''
de yahoo.fr, sont le niveau de hiérarchie supérieur d'une adresse
Internet.
Les extensions de domaine sont de deux
catégories ; les TLD génériques et les country- level
TLD (ou domaines nationaux).
· TLD génériques
Parmi les TLD génériques, nous
rencontrons7(*)5 souvent
les quatre extensions de domaines suivantes :
- .com : pour les opérations
commerciales
- .edu : pour les organismes
éducatifs
- .net : pour les fournisseurs de
services Internet
- .org : pour les organisations à
but non lucratif
A part les quatre citées, il y a d'autres qui furent
adoptées en 1997, soit :
- .arts : sites d'art
- .firm : sociétés
commerciales
- .info : services d'information
- .nom : sites privés
- .rec : sites de divertissement
- .store : sites marchands
- .web : sites traitant du Web
En novembre 2000, suite au meeting de Los Angeles,
l'ICANN*(*) (Internet
Corporation for Assigned Names and Numbers) a adopté les domaines de
premier niveau suivants :
- - .info
- .biz
- .name
- .pro
- .coop
- .aero
- .museumDe toutes ces extensions, il faut
retenir qu'il n'est pas obligatoire d'utiliser l'extension adéquate.
C'est pourquoi, nous retrouvons des adresses en .com des
organisations à but non lucratif et même des adresses en
.net des organisations qui n'ont rien à voir avec les
fournisseurs d'accès à l'exemple de
http://www.lesoftonline.net
qui est l'adresse du journal `Le Soft'.
· Country- level TLD
Les country- level TLD ou domaines nationaux indiquent
simplement le pays d'origine du site Web, par exemple le .de
pour les sites allemands ou .za pour les sites Web sud
africains.
Le champ d'Internet étant mondial, les domaines
nationaux ne veulent pas dire le pays où se trouve le serveur.
Par exemple pour les organismes internationaux, il
s'avère souvent utile d'enregistrer le même nom de domaine dans
plusieurs pays et faire une traduction du site en plusieurs langues ;
c'est à dire dans les langues locales de ces pays.
Au Rwanda, Rwandatel donne le .rw à
ses clients comme country- level TLD.
Nous retrouvons chez Rwandatel le :
- .co.rw : pour les sites des
opérations commerciales
- .org.rw : pour les sites des
organisations à but non lucratif
- .ac.rw : pour les sites des organismes
éducatifs
2. L'acquisition et le choix du nom de domaine
Aujourd'hui le choix du nom de domaine devient de plus en plus
difficile par ce que presque toutes les combinaisons sont prises7(*)6. Il n'est plus facile de
trouver un nom de domaine en trois ou quatre lettres.
Il est conseillé de donner à votre nom de
domaine le nom de votre société parce que premièrement le
nom de votre société est déposé et
deuxièmement il sera plus facile à vos avocats de libérer
ce nom s'il est déjà pris, parce qu'il est déposé,
c'est à dire qu'il ne peut être utilisé par une autre
personne même pour en faire un nom de domaine.
Si vous ne voulez pas prendre le nom de votre
société, il est conseillé de choisir des mots assez courts
pour être mémorisé facilement par le consommateur et
suffisamment longs pour éviter qu'ils soient pris7(*)7.
Pour savoir si votre nom de domaine choisi est libre ou
non ; la tâche est facile. Si vous voulez loger votre site Web chez
Rwandatel ; elle se charge de le vérifier à votre place.
Mais aussi Internet vous offre la possibilité de le
faire vous-même. Pour cela, vous devez passer par un utilitaire whols.
L'utilitaire whols le plus utilisés se trouve sur la page de network
solution7(*)8
à :
www.networksolutions.com/cgi-bin/whois/whois
.
Vous pouvez aussi utiliser un programme autonome comme whols
ultra, à télécharger sur :
www.analogx.com/contents/download/network/whois.htm
.
Ou bien tout simplement vous pouvez essayer la boîte
à outils proposée par
www.whois.net .
Après avoir choisi votre nom de domaine et vous
être assuré que ce nom est libre ; il faut l'enregistrer.
C'est en général votre fournisseur d'espace Web qui s'en charge.
Il existe plusieurs organismes se chargeant de l'enregistrement du nom de
domaine à un prix variant autour de 40$ par an7(*)9 ou même gratuitement
à l'exemple de www.ulimit.com/fr.
Au Rwanda, Rwandatel se charge de l'enregistrement des noms de
domaine en .rw gratuitement à condition d'être
abonné à son service Internet. En d'autres termes, toute personne
voulant déposer un nom de domaine dans la zone .rw doit
s'adresser à Rwandatel.
1.2.3 Le hosting et le lancement
Une fois terminé la conception de son site web, il est
maintenant question de le publier sur un serveur, qui est un ordinateur
spécial directement connecté 24 heures sur 24 à
Internet8(*)0.
Au cas où vous ne publiez pas votre site web sur un
serveur, personne, en dehors de vous, ne sera capable de le visualiser
(à moins que vous soyez une grande entreprise et propriétaire de
votre propre serveur).
De ce fait, dès que vous achevez la conception de votre
site Internet, vous devez rechercher une personne équipée d'un
serveur, qui pourra faire le hosting de votre site Internet c'est à dire
qui pourra l'enregistrer ou l'héberger.
WILLIAMS, R., et TOLLETT, J., nous conseillent quatre pistes
pour trouver une personne équipée d'un serveur8(*)1:
- Les services en ligne commerciaux qui acceptent
généralement d'enregistrer gratuitement les sites Internet de
leurs membres.
- Le fournisseur d'accès. En général, les
fournisseurs d'accès hébergent les sites Internet. Si le votre ne
le fait pas, demandez- lui de vous conseiller un hébergeur.
- Si vous connaissez quelqu'un dans votre ville qui dispose
d'un site Internet publié; adressez- vous à lui pour savoir qui
héberge son site.
- Contactez un concepteur de sites Internet proche de chez
vous et demandez- lui conseil.
Pour se trouver un hébergeur, il est aussi
conseillé de faire des recherches dans les moteurs ou les annuaires
Internet à l'exemple de www.hostindex.com. Il y a des moteurs de
recherche comme Hostindex qui sont spécialisés dans ce domaine.
Ces moteurs vous donnent des informations sur les hébergeurs
(Discrétion de la publicité, fiabilité,
rapidité,...).
En ce qui concerne le coût d'hébergement du site,
il est conseillé de se renseigner par ce que les coûts varient
d'un hébergeur à un autre (voir annexe VIII pour les coûts
de chez Terracom).
DAVID, C., et RHONDA, C., nous proposent trois solutions pour
héberger notre site8(*)2 soit:
Les fournisseurs d'accès, les serveurs virtuels et les
serveurs dédiés.
- Fournisseur d'accès: Il est souvent
d'habitude que les fournisseurs d'accès accordent à leurs clients
un service d'hébergement de sites8(*)3. L'abonnement comprend certainement un peu d'espace
web gratuit. C'est le cas de Rwandatel, elle offre un espace web gratuit
à ses abonnés d'Internet. Ce qui est suffisant pour votre
site.
- Serveur virtuel: C'est un dossier figurant
sur le disque dur d'un serveur web physique et ce dossier fonctionne comme un
serveur web physique8(*)4.
Cette solution est intéressante si vous vous attendez
à un trafic modéré sur votre site Internet par ce que vous
partagez le serveur physique avec plusieurs utilisateurs. L'inconvénient
est que si l'un des sites hébergés par le serveur web physique
est très fréquenté, certainement le votre ralentira.
Néanmoins c'est la solution la plus économique8(*)5.
- Serveur dédié: C'est un
ordinateur exclusivement destiné à héberger votre site
Internet. Coûtant une fortune, ce serveur est conseillé par ce que
c'est moins cher que de payer un administrateur réseau8(*)6.
La société qui fait louer les serveurs
dédiés et les serveurs virtuels gère et entretient ces
serveurs, elle joue en d'autres termes le rôle de l'administrateur
réseau. Cela ferait que ces deux solutions soient
économiques8(*)7.
WILLIAMS, R., et TOLLETT, J., nous demandent, avant d'opter
pour un hébergeur, de lui poser des questions suivantes8(*)8 :
- Quels sont tous les détails et coûts
impliqués par l'hébergement de mon site?
- Si je souhaite obtenir mon propre nom de domaine, quels sont
les coûts supplémentaires?
- Est- ce que je disposerai de "privilèges FTP",
à savoir la possibilité d'actualiser mon site depuis mon
domicile, ou cela implique- t- il une surcharge financière?
- Hébergez- vous des sites connus? A ce niveau il faut
faire attention s'il vous répond que cinq de leurs sites connaissent
50000 accès quotidiens, cela signifie que leur serveur risque
d'être très occupé et de ne pas pouvoir transférer
rapidement les informations contenues sur vos pages8(*)9.
Pour l'hébergement de votre site, vous pouvez faire
appel à un fournisseur d'espace web gratuit. L'appel à un
fournisseur d'espace web gratuit est conseillé à des sites
personnels par ce qu'un site professionnel, doit posséder son propre nom
de domaine en .com ou .org pour être pris au serieux9(*)0 (voir point I.2.2).
En plus, il faut retenir que les fournisseurs d'espace web
gratuit gagnent de l'argent grâce à la publicité, ce qui
fait que les sites qu'ils hébergent ne peuvent afficher que les
publicités de ces fournisseurs d'espace web. Néanmoins certains
de ces fournisseurs d'espace web gratuit offrent plus d'espace que votre
fournisseur d'accès sans vous réclamer un sou9(*)1 .
Parmi les fournisseurs d'espace web gratuit, nous pouvons
citer Geocities et Tripod9(*)2 (www.geocities.com, www.tripod.fr).
DAVID, C., et RHONDA, C., nous conseillent Crosswinds
(http://home.crosswinds.net) comme fournisseur d'espace web gratuit pour les
sites personnels et commerciaux par ce que Crosswinds offre un espace web
illimité sans charger vos pages de publicité, sans afficher des
minifenêtres intrusives. Crosswinds en peu de mots ne présente pas
les inconvénients de la majorité de fournisseurs d'espace web
gratuit. C'est grâce à la publicité se trouvant sur ses
pages que Crosswinds gagne de l'argent, pas sur vos pages. En outre, retenons
que Crosswinds héberge également les sites commerciaux.
CONCLUSION GENERALE
Le travail que nous concluons ici avait pour objectif de
concevoir et de réaliser un site Internet pour l'UAAC. Nous examinons
par après si la création de ce site permet à cette
université de profiter des avantages de ce réseau et si ce site
permet à l'UAAC de se promouvoir.
Pour atteindre notre objectif, nous avons formulé deux
hypothèses élaborées de la manière suivante:
v Avec l'essor de la technologie, la conception et la
réalisation d'un site Internet pour l'UAAC est possible, en utilisant le
logiciel FrontPage 2003 de Microsoft Inc.
v En créant un site Internet, une université,
particulièrement l'UAAC sera en train de profiter des avantages reconnus
à ce réseau. L'Internet étant un media virtuel; il offrira
à l'université la possibilité de se promouvoir.
Ces deux hypothèses constituaient les réponses
à la problématique de notre travail; problématique qui
reposait sur les questions suivantes :
· Avec l'essor de la technologie, la conception
d'un site web serait- elle hors de portée ?
· La création et la réalisation
d'un site Internet pourraient- elles permettre la promotion d'une
université, particulièrement celle de l'Université
Adventiste d'Afrique Centrale ?
Dans l'optique de bien mener notre travail afin d'atteindre
les résultats escomptés, nous avons recouru aux méthodes
suivantes:
* La méthode comparative: Cette méthode nous a
permis de comparer le site Internet de l'UAAC avec les théories de la
promotion.
* La méthode expérimentale: Elle nous a
aidé à concevoir et créer le site Internet de l'UAAC dans
le but de vérifier si ce site Internet pourrait être un outil de
promotion d'une université.
* La méthode historique: Elle nous a permis de
connaître l'évolution de l'UAAC à travers le temps.
Il est à signaler que deux techniques ont
appuyés ces méthodes soit:
* La technique d'interview: Cette technique nous a permis
à nous entretenir avec les agents de Rwandatel et Terracom du
département Internet.
* La technique documentaire: qui nous a aidé à
consulter des documents relatifs au sujet traité.
Pour bien effectuer notre travail, nous l'avons
subdivisés en trois chapitres en plus de l'introduction et la conclusion
générale.
Le premier chapitre a renfermé le cadre
théorique et conceptuel de notre travail dans le but de familiariser le
lecteur aux concepts, termes et éléments développés
dans la partie pratique de ce travail.
En d'autres termes dans le premier chapitre, on retrouve les
théories sur la promotion en général et la
publicité en particulier; ainsi que des théories sur le design du
site, l'acquisition du nom de domaine et le hosting ou l'hébergement
d'un site Internet.
Dans le chapitre deux qui était purement pratique, nous
avons réalisé le site Internet de l'UAAC. Nous avons
montré les différentes procédures de réalisation du
site Internet avec le logiciel FrontPage de Microsoft; ensuite nous avons
montré comment acquérir un nom de domaine pour le site et enfin
la procédure de publication du site de l'UAAC.
Il est apparu en fin de compte qu'il était possible
à une université, particulièrement à l'UAAC de
réaliser un site Internet grâce à FrontPage et de se doter
d'une adresse Internet grâce à des fournisseurs d'accès ou
d'autres entreprises offrant gratuitement ou contre une somme d'argent ce
service d'hébergement des sites et d'enregistrement des noms de
domaine.
Ceci nous a poussé à confirmer notre
première hypothèse qui disait qu'avec l'essor de la technologie,
la conception et la réalisation d'un site Internet pour l'UAAC est
possible, en utilisant le logiciel FrontPage 2003 de Microsoft Inc.
Au troisième chapitre, il a été question
d'analyser la relation entre le site Internet de l'UAAC et les théories
de la promotion. Nous avons vu dans ce chapitre que le site Internet de l'UAAC
nous permettait de construire la pyramide publicitaire; en d'autres termes il
nous permettait d'atteindre les objectifs de la publicité et aussi, en
adaptant l'expérience de la compagnie ACME à notre site, il s'est
avéré que le succès des objectifs de la dite pyramide
pouvait être mesuré par des études de recherche.
Nous avons aussi vu que le fait de posséder un site
Internet offrait des nouvelles capacités à une institution,
particulièrement l'UAAC et avons vu qu'il est possible de faire
connaître son site à son public cible.
Après toutes ces analyses, nous avons été
poussé à confirmer notre deuxième hypothèse, celle
qui disait qu'en créant un site Internet, une université,
particulièrement l'UAAC sera en train de profiter des avantages reconnus
à ce réseau. L'Internet étant un media virtuel, il offrira
à l'université la possibilité de se promouvoir.
En raison de toutes ces constations évoquées,
nous nous permettons d'affirmer qu'un site Internet est utile à la
promotion de l'UAAC et notamment à sa communication avec les tiers.
Nous basant sur les résultats de notre recherche, nous
trouvons utile de donner des suggestions suivantes:
· Il est nécessaire à l'UAAC de
posséder un site Internet car il s'est avéré qu'il lui
permettra de se promouvoir et de développer sa communication. Nous
proposons ainsi aux autorités de cette institution de le faire
réaliser. Nous accepterons volontier cette tâche si elle nous est
proposée.
· Vu qu'avec son site Internet, l'UAAC pourra publier
des quantités illimitées d'information à l'égard du
public, chose qu'elle ne pouvait pas faire avec ses annuaires. Nous lui
recommandons de s'investir dans le design de son site et sa publication.
· Nous estimons qu'avec l'évolution du
système de payement introduit par SIMTEL dans notre pays, l'UAAC devra
envisager un système d'inscription on-line.
· Ici nous recommandons aussi à l'Etat de
créer une législation qui pourra nous protéger contre les
cyber - escrocs.
Il est évident que ce travail n'a pas
épuisé ce sujet, d'autres chercheurs peuvent continuer à
l'approfondir, notamment en ce qui concerne la conception et la
réalisation d'un site Internet comme outil de promotion des institutions
étatiques comme la police.
BIBLIOGRAPHIE
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BOVEE, C. et ARENS, W., Contemporary advertising
2ème éd.,
Illinois, 1986
CADENHEAD, R., Microsoft FrontPage 2000 in 24 hours, Ed.
SAMS, USA, 1999
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nuls, nouvelle édition,
Ed. First Interactive, Paris, 2001
DREYFUS, M., Se former en 1 jour : Internet, Ed. S
& SM, Paris, 1997
KOTLER, P., et DUBOIS, B., Marketing management
10ème éd., Publi - Union
Edition, Paris, 2000
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Ed. Village Mondial, Paris, 2002
REVELLI, C., Intelligence stratégique sur Internet,
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activités de veille et d'intelligence économique sur le
web, 2èmeéd, Ed. Dunod,
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Minds Institute of South Africa, Capetown S.A,
2000, inédit
OSAMBO, O., Cours de gestion des systèmes
d'information, Lic I Gestion, ULK, Kigali,
2002, inédit
OSAMBO, O., Cours de marketing, Lic 1 Administration, ULK,
Kigali, 2001,inédit
OSAMBO, O., Cours de technologie de l'information II, Bacc II
Gestion, ULK, Kigali, 2001, inédit
RWIGAMBA, B., Cours d'initiation au travail de recherche
scientifique, ULK, Kigali, 2000,
inédit
TOMBOLA, G., Cours de marketing, Bacc II Gestion, ULK,
Kigali, 2001, inédit
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http://www.aacc.fr/documents/
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GTEACHER, Marketing - Mix, (on
line)gteacher.com/lessons/lesson_
marketing_mix.htm&prev=/Bearch%3Fq%3Dmarketing
%2Bmix%26hl%3Dfr%26lr%3D%26ie%3DUTF-8, avril 2005
RWANDA DEVELOPMENT GATEWAY , About us, (on line)
http://www.rwandagateway.org,
novembre 2005
SERRES, A., Nombre d'internautes dans le monde, (on line)
http://www.uhb.fr
/urfist/supports/intrainternet/internetAujourdhui/internet
Aujourdhui-chiffres.htm#les20%utilisateurs,
février 2005
ANNEXES
ANNEXE I : Image de la page d'accueil et de
la page « A propos de nous »
ANNEXE II : Image de la page
« Inscription » et de la page
« Finance »
ANNEXE III : Image de la page « Informations
académiques » et de la page
« Ressources académiques »
ANNEXES IV : Image de la page « Programmes
d'étude » et de la page
« Contactez - Nous »
ANNEXE V : Image de la page « Cours en
gestion » et de la page
« Cours en théologie »
ANNEXE VI : Image de la page « Cours en
éducation »
ANNEXE VII : Codes HTML
ANNEXE VIII : Tarifs du hosting services de Terracom
ANNEXE IX : Guide d'interview
* 1 OSAMBO, O., Cours des
systèmes d'information, Lic I Gestion, ULK, Kigali, 2002,
inédit.
* 2 DREYFUS, M., Se former en
1jour : Internet, Ed. S & SM, Paris, 1997, p 17
* 3 Ibidem
* 4 Ibidem
* 5 REVELLI, C., Intelligence
stratégique sur Internet, comment développer des activités
de veille et d'intelligence
économique sur le Web, 2ème éd,
éd. Dunod, Paris,2000, p 40
* 6 OSAMBO, O., Cours de
technologie de l'information II, Bacc II Gestion, ULK, Kigali, 2001,
inédit
* 7 SERRES, A., Nombre
d'internautes dans le monde, (on line)
http://www.uhb.fr/urfist/supports/intrainternet/
internetAujourdhui/internetAujourdhui-chiffres.htm#les20%utilisateurs,
février 2005
* 8 REVELLI, C., op-cit,
2000, p 40
* 9 RWIGAMBA, B., Cours
d'initiation au travail de recherche scientifique, ULK, Kigali, 2000,p
12
* 10 RWIGAMBA, B., op-
cit, 2000, p 12
* 11 Idem, p 19
* 12 KOTLER, P., & DUBOIS,
B., Marketing management 10èmeéd. , Publi-
Union Edition, Paris 2000, p 49
* 13 Ibidem
* 14 OSAMBO, O., Cours de
marketing, LIC 1 Administration, ULK, Kigali, 2001, inédit
* 15 KOTLER, P. , &
DUBOIS, B., op- cit, 2000, p 580
* 16 TOMBOLA, G., Cours de
marketing, Bacc II Gestion, ULK, 2001, inédit
* 17 Ibidem
* 18 Ibidem
* 19 GTEACHER, Marketing -
Mix,, (on line)
gteacher.com/lessons/lesson_marketing_mix.htm&prev=/Bearch%
3Fq%3Dmarketing%2Bmix%26hl%3Dfr%26lr%3D%26ie%3DUTF-8, avril 2005
* 20 Ibidem
* 21 KOTLER, P., & DUBOIS,
B., op- cit, 2000, p 620
* 22 BOVEE, C., & ARENS,
W., Contemporary advertising 2èmeéd.,
Illinois, 1986, p 9
* 23 Ibidem
* 24 BOVEE, C., & ARENS,
W., op- cit, 1986, p 9
* 25 BOVEE, C., & ARENS,
W., op- cit, 1986, p 10
* 26 Idem, p 11
* 27 BOVEE, C., & ARENS,
W., op- cit, 1986, p 11
* 28 Ibidem
* 29 Ibidem
* 30 KOTLER, P., & DUBOIS,
B., op- cit, 2000, p 556
* 31 Ibidem
* 32 KOTLER, P., & DUBOIS,
B., op-cit, 2000, p 595
* 33 KOTLER, P., & DUBOIS,
B., op-cit, 2000, p 595
* 34 Ibidem
* 35 Ibidem
* 36 REVELLI, C.,
op-cit, 2000, p 36
* 37 Idem, p 37
* 38 RHONDA, C., et DAVID, C.,
Créer un site Web pour les nuls, nouvelle édition, Ed.
First Interactive, Paris 2001,p. 21
* 39 Ibidem
* 40 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., Réussir le design de son site, CampusPress, Paris, 2000, p.
46
* 41 Ibidem
* 42 RHONDA, C., et DAVID, C.,
op- cit, 2001, p. 20
* 43 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op- cit, 2000, p 75
* 44 RHONDA, C., et DAVID, C.,
Idem, p. 5
* 45 Idem, p. 4
* 46 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op-cit, 2000, p. 114
* 47 Ibidem
* 48 RHONDA, C., et DAVID, C.,
op-cit, 2001, p.15
* 49 RHONDA, C., et DAVID, C.,
op-cit, 2001, p.11
* 50 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op-cit, 2000, p. 104
* 51 Idem, p. 123
* 52 RHONDA, C., et DAVID, C.,
idem, p. 5
* 53 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op-cit, 2000, p. 160
* 54 Ibidem
* 55 Ibidem
* 56 Idem, p. 161
* 57 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op-cit, 2000, p. 160
* 58 Idem, p. 162
* 59 Ibidem
* 60 Ibidem
* 61 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op-cit, 2000, p. 162
* 62 Ibidem
* 63 Ibidem
* 64 Ibidem
* 65 Idem, p. 52
* 66 DAVID, C., et RHONDA, C.,
op- cit, 2001, p 246
* 67 KOTLER, P., et DUBOIS, B.,
op- cit, 2000, p 734
* 68 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op- cit, 2000, p. 23
* 69 Ibidem
* 70 Ibidem
* 71 Ibidem
* 72 Ibidem
* 73 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op- cit, 2000, p. 23
* 74 DAVID, C., et RHONDA, C.,
op- cit, 2001, p 246
* 75 DAVID, C., et RHONDA, C.,
op- cit, 2001, p 319
* * L'ICANN : est une
organisation représentative de l'ensemble de l'Internet mondial. Le
gouvernement américain qui a toujours été impliqué
dans la gestion d'Internet, supervise, par le biais de l'ICANN, la gestion de
Domain Name Server ou system (DNS), de l'adressage IP, des paramètres du
protocole IP ainsi que du serveur ROOT. ICANN tient la liste de tous les
registars autorisés à enregistrer votre nom de domaine.
* 76 DAVID, C., et RHONDA, C.,
op- cit, 2001,p 246
* 77 Ibidem
* 78 Idem, p 248
* 79 DAVID, C., et RHONDA, C.,
op- cit, 2001, p 249
* 80 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op- cit, 2000, p. 23
* 81 Idem, p. 71
* 82 DAVID, C., et RHONDA, C.,
op-cit, 2001, p. 241
* 83 Idem, p. 242
* 84 DAVID, C., et RHONDA, C.,
op-cit, 2001, p. 242
* 85 Ibidem
* 86 Ibidem
* 87 Ibidem
* 88 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op- cit, 2000, p. 72
* 89 WILLIAMS, R., et TOLLETT,
J., op- cit, 2000, p. 72
* 90 DAVID, C., et RHONDA, C.,
op-cit, 2001, p. 245
* 91 Ibidem
* 92 CADENHEAD, R.,
Microsoft FrontPage 2000 in 24 hours, ed. SAMS, USA, 1999, p. 158
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