MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA
RECHERCHE SCIENTIFIQUE
UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE HOUARI
BOUMEDIENE FACULTE DE GENIE MECANIQUE ET DE GENIE DES PROCEDES
DEPARTEMENT DE GENIE CHIMIQUE ET
CRYOGENIE LABORATOIRE DE PHENOMENES DE TRANSFERT
MEMOIRE DE FIN D'ETUDE
En vue de l'obtention du diplôme
d'ingénieur d'état Option : Génie chimique
THEME
Etude de l'influence de la température du fluide
sur la performance d'un échangeur de chaleur de la raffinerie
d'Alger
Présenté par Proposé et
Dirigé par
Melle Nadjet FADEL Mr A. MOUHEB
Melle Sabiha BOUSSALAH Mme
R.HARCHE
Soutenu publiquement devant le jury composé de
:
Mr N.BENTAIEB President
Mr A.MOUHEB Rapporteur
Mr Y.BEGHDADI Examinateur
Années 2009/2010
Remerciement
Nous commençons par remercier dieu qui nous a
donnes volonté, courage et surtout patience Pour pouvoir produire ce
document et faire face à toutes les contraintes qui sont posées
au cours de son élaboration.
Nous remercions ensuite toutes les personnes qui nous
ont soutenus, encouragées, conseillés ne serai-ce qu'une
prière pour nous et pour le meilleur aboutissement de notre
courage.
Un grand merci à Mr A.MOUHEB grâce
à qui nous avons obtenu notre sujet de fin d'étude pour les
conseils quil nous a prodigué, les encouragements successifs. Nous lui
sommes réellement reconnaissantes et le remercions à cette
occasion pour cette aide précieuse.
Nos remerciements vont également à Mme
R.HARCHE pour son soutient et précieuse aide.
On tient à remercier tout
particulièrement Monsieur BENTAIEB et Monsieur BEGHDADI, qui se sont
intéressés à mon travail et ont accepté de le
juger
Ainsi qu'à nos enseignants qui ont
contribués de prés ou de loin notre formation quils trouvent
à travers ces quelques lignes l'expression de notre
reconnaissance.
DEDICi4CES
ddde
i4 ma chère mère pour son affection, son
amour et son soutient pendant les années d'étude du primaire
jusqu'à l'université.
i4mon chère père qui à consentit
tant d'effort pour mon éducation, mon instruction et pour me voir
atteindre ce but.
i4 mes frères abd el Malek, Mouhamed et
Mustapha
i4 mes soeurs Nadia, Malika, Zina, Sabah et
i4sma
i4 tous mes amies surtout i4ssia, Imène, Hakima et
Fatma
i4 mon binôme et sa famille i4 tous ceux qui me
son chers Je dédie ce modeste travail
Avec beaucoup d'affection
DEDICi4CES
i4 ma chère mère pour son affection, son
amour et son soutient pendant les années d'étude du primaire
jusqu'à l'université.
i4mon chère père qui à consentit
tant d'effort pour mon éducation, mon instruction et pour me voir
atteindre ce but.
i4 mes frères saisali, Moussa et salah i4 ma
soeur djamila
i4 tous mes amies surtout samia. Imène,
Hakima
i4 mon binôme et sa famille i4 tous ceux qui me
son chers Je dédie ce modeste travail
Avec beaucoup d'affection
NOMENCLATURE
Symbole
|
Définition
|
Unités
|
A
|
Surface d'échange globale
|
m2
|
Ai, Ao
|
Surface d'échange interne et externe des
tubes
|
m2
|
at, ac
|
Section de passage coté tube et coté
calandre
|
m2
|
B
|
Espace entre les chicanes
|
m
|
CP
|
Chaleur spécifique
|
kJ/kg.oC
|
De
|
Diamètre équivalent de la
calandre
|
m
|
Dc
|
Diamètre de la calandre
|
m
|
di
|
Diamètre interne des tubes
|
m
|
do
|
Diamètre externe des tubes
|
m
|
d
|
Densité du fluide
|
-
|
d415
|
Densité du fluide à 15
oC
|
-
|
F
|
Facteur de correction de la DMTL
|
-
|
Fc
|
Facteur de correction de la température
calorique
|
-
|
Gt, Gc
|
Vitesses massique coté tube et
calandre
|
kg/m2s
|
h
|
Coefficient de convection thermique
|
kw/m2.oC
|
hi
|
Coefficient de transfert de chaleur du film
interne
|
kw/m2.oC
|
ho
|
Coefficient de transfert de chaleur du film
externe
|
kw/m2.oC
|
hio
|
Coefficient de transfert de chaleur du film interne
rapporté à la surface externe
|
kw/m2.oC
|
JH , Jh
|
Fonction de transfert cote tube et cote
calandre
|
-
|
k
|
Conductivité thermique
|
kw/m.oC
|
l
|
Longueur des tubes
|
m
|
M
|
Débit massique
|
kg/s
|
MLDT
|
Moyenne logarithmique des différences de
températures
|
oC
|
N
|
Nombre des tubes
|
-
|
nt, nc
|
Nombre de passe cote tube et cote calandre
|
-
|
Q
|
Débit volumique
|
m3/s
|
Re
|
Nombre de Reynolds
|
-
|
Rd *
|
Résistance asymptotique d'encrassement
|
m2.oC/kw
|
Rd
|
Résistance d'encrassement
|
m2.oC/kw
|
Rcd
|
Résistance au transfert de chaleur par
conduction
|
m2.oC/kw
|
Spgr(60/60)
|
Densité du fluide
|
-
|
Tc, tc
|
Température calorique des deux fluides
|
oC
|
te, ts
|
Température d'entée et sortie du fluide
froid
|
oC
|
Te, Ts
|
Température d'entée et sortie du fluide
chaud
|
oC
|
tt
|
Température de la paroi des tubes
|
oC
|
U
|
Coefficient de transfert de chaleur sale
|
kw/m2.oC
|
Up
|
Coefficient de transfert de chaleur propre
|
kw/m2.oC
|
SYMBOLE GRECS
|
t
|
Terme correctif côté tube
|
-
|
c
|
Terme correctif côté calandre
|
-
|
p
|
Masse volumique
|
kg/m3
|
~
|
Constante de Stefan et Boltzmann
|
w/m.s
|
~
|
Viscosité dynamique
|
kg/ms
|
~
|
Emissivité de la surface
|
-
|
v
|
Viscosité cinématique
|
m/s2
|
~
|
Inverse du temps de relaxation
|
s-1
|
Les indices c : calandre e : entrée
s : sortie
t : tube
LISTE DES FIGURES :
|
|
Figure I.1 : Circuit préchauffe
|
.10
|
Figure I.2 : Colonne de distillation
atmosphérique« TOPPING »
|
11
|
Figure. II.1.Coefficient de transfert global
|
18
|
Figure II.2. Echangeur de chaleur à plaque
|
. .20
|
Figure II.3. Echangeur à tube en u
(épingle)
|
. 20
|
Figure II.4. Echangeur a tube et calandre
|
. 20
|
Figure III.1. Exemple d'un faisceau de tubes d'un
échangeur encrassé
|
21
|
Figure III.2. Représentation
schématique des phases de dépôt et de
réentraînement de
l'encrassement dans le cas d'un liquide . 24
Figure III.3 : Evolution de la résistance
d'encrassement en fonction du temps 27
Figure IV.1.Echangeur tubulaire encrassé .
34
Figure. IV.1.Echangeur tubulaire propre 34
Figure IV.3.Présentation de la batterie E-101
30
Figure IV.4.Evolution de la résistance
d'encrassement de la cellule FED 38
Figure IV.5. Influence de la température de la
surface d'échange de chaleur Sur la résistance d'encrassement
pour la cellule E-101 FED 39 Figure IV.6. Effet de la température
moyenne du brut sur la résistance
d'encrassement pour la cellule E-101 FED .40
LISTE DES TABLEAUX :
Tableau IV.1 : Corrélation de calcul par la
méthode de KERN ;
Tableau IV.2 : Corrélations de calcul des
propriétés physiques des deux fluides.
LISTE DES ANNEXES :
ANNEXE1 : Design du E101: CBA, FED.
ANNEXE2 : Données de marche du E101
FED.
ANNEXE3 : Résultats de calcul des
températures caloriques et Tableau de calcul de a. ANNEXE4 :
Distillation ASTM et TBP
ANNEXE5 : Calcul des propriétés physiques
des deux fluides
ANNEXE6 : Les données et Résultats de
calcul des températures des tubes
ANNEXE7 : Résultats de calcul du coefficient de
transfert de chaleur propre et encrassé ANNEXE8 : Calcul de Rd
;
ANNEXE9 : Les abaques.
SOMMAIRE
NOMENCLATURE
INTRODUCTION GENERALE 1
CHAPITRE I : GENERALITE SUR LE PETROLE BRUT ET SON
TRAITEMENT
I.1. Généralité sur le
pétrole brut
|
3
|
I.1.1.Définition
|
.3
|
I.1.2.Composition du pétrole brut
|
3
|
I.1.3.Classification du pétrole brut
|
..4
|
I.2. Présentation de la raffinerie d'Alger
|
5
|
I.2.1 Historique
|
..5
|
I.2.2 Les différentes unités de la
raffinerie d'Alger
|
6
|
I.2.3.Description du schéma technologique de
l'unité de TOPPING
|
7
|
CHAPITREII : GENERALITES SUR LES ECHANGEURS
|
|
II.1. Généralités sur le transfert
de chaleur
|
12
|
II.2. Différents modes de transferts de chaleur
|
12
|
|
II.3.Généralité sur les
échangeurs
|
.14
|
II.3.1.Définition
|
...14
|
II.3.2.Les Modes de fonctionnement des échangeurs
|
.14
|
II.3.3.Les types des échangeurs
|
15
|
II.3.4. Théorie de base pour le calcul d'un
échangeur de chaleur
|
17
|
II.3.5.Coefficient global de transfert de chaleur
|
...18
|
CHAPITRE III : L'ENCRASSEMENT EN TRANSFERT DE
CHALEUR
|
|
III.1.Définition
|
21
|
III.2. différents types d'encrassement
|
22
|
III.2.1Encrassement particulaire
|
.22
|
III.2.2.Entartrage
|
..22
|
III.2.3.Encrassement par corrosion
|
..22
|
III.2.4.Encrassement biologique
|
...23
|
III.2.5.Encrassement par réaction chimique
|
23
|
III.2.6. Encrassement par solidification
|
.23
|
III.3.APPARAITON ET DEVELOPPEMENT DE L'ENCRASSEMENT
|
..23
|
III.3.1.Initiation
|
..24
|
III.3.2.Transfert des particules à la paroi
|
24
|
III.3.3. Adhésion des particules
|
...24
|
III.3.4. Réentraînement des particules
déposées
|
..24
|
III.3.5.Vieillissement du dépôt
24
III.4.PARAMETRES INFLUANCANT L'ENCRASSEMENT
25
III.4.1.Vitesse d'encrassement .25
III.4.2. La concentration de la matière
encrassante ..25
III.4.3.Température de la surface d'échange
de chaleur .25
III.4.4. Etat de surface rugosité 25
III.4.5. Corrosion .25
III.5.RESISTANCE D'ENCRASSEMENT 26
III.6.LES DIFFERENTES ALLURES DE LA RESISTANCE
D'ENCRASSEMENT 27
CHAPITRE IV : ETUDE EXPERIMENTALE
IV.1. Problématique 29
IV.2.Calcul de la résistance d'encrassement de la
batterie E-101 FED avec la méthode de
KERN 29
IV.2.1.Présentation de la batterie E-101
.29
IV.2.2Répartition des fluides .29
IV.3.HYPOTHESES SIMPLIFICATRICES .30
IV.4.METHODE DE CALCUL [méthode de KERN]
30
IV.4.1.Calcul de la résistance d'encrassement
30
IV.4.2.Calcul de Up ..30
IV.5. CALCUL DES CARACTERISTIQUES DES FLUIDES
32
IV.6.CALCUL DE COEFFICIENT D'ECHANGE U .33
IV.7.Exemple de calcul 35
IV.8.RESULTATS ET INTERPRETATIONS 38
IV.8.1.Evolution de la résistance d'encrassement
38
IV.8.2.Influence des paramètres opératoires
sur la résistance d'encrassement .38
IV.8.2.1.Influence de la température de la surface
d'échange de chaleur .39
IV.8.2.2.Influence température moyenne du brut
..40
Conclusion générale 41
Bibliographie
Annexes
INTRODUCTION GENERALE
L'encrassement des équipements de transfert
thermique reste l'un des phénomènes les moins compris dans le
domaine industriel surtout dans les industries chimiques,
pétrolières et alimentaires. L'encrassement est défini
comme étant l'accumulation des matériaux ou des substances non
désirées sur les surfaces d'échange.
Malgré les grands progrès techniques
dans le design des échangeurs de chaleur et les différentes
méthodes chimiques et mécaniques développées pour
réduire l'impact préjudiciable de la formation de
dépôt sur les surfaces de transfert thermique, la plupart des
industries souffrent toujours des problèmes de l'encrassement de leurs
échangeurs de chaleur en particulier l'industrie
pétrolière.
Le pétrole prédomine aujourd'hui dans la
consommation globale de l'énergie de la majorité des pays du
monde.
En Algérie le pétrole présente de
loin la source de revenus la plus importante pour l'économie du
pays.
La raffinerie d'Alger, comme toutes les autres
raffineries dans le monde rencontre d'énormes problèmes dont le
plus important est le bouchage des tubes des échangeurs de chaleur. A
cet effet la batterie de préchauffe E-101du pétrole brut est la
première à être affectée. Ce phénomène
d'encrassement constitue le sujet de la présence
étude.
La présentation du travail est constituée
de deux parties théorique et expérimentale. La partie
théorique de ce travail renferme trois chapitres :
Le premier chapitre comporte des
généralités sur le traitement du pétrole brut et
une brève présentation de la raffinerie d'Alger.
Le deuxième chapitre résume des
généralités sur le transfert de chaleur et les
échangeurs thermiques les plus répandus dans les installations
industrielles.
Le troisième chapitre présente le
phénomène d'encrassement dans le domaine du transfert de chaleur
ainsi que les différents types d'encrassement et enfin, l'influence des
paramètres opératoires sur la formation du
dépôt.
La partie expérimentale consiste à
donner dans un premier temps une description de l'installation, suivie d'une
méthode de calcul de la résistance d'encrassement. Puis
l'interprétation des résultats obtenus, et la
détermination de l'évolution de la résistance
d'encrassement en fonction du temps et de la température puis
l'interprétation des résultats obtenus.
Nous terminerons notre travail par une conclusion
générale.
PARTI E
TH IORIQU E
CHAPITRE I
GENERALITES SUR LE PETROLE BRUT ET SON TRAITEMENT
I. GENERALITES SUR LE PETROLE
I.1.1.DEFINITION :
Le mot pétrole est composé à
partir de deux mots latins « pétra et oléum » et
signifie littéralement « huile de pierre » [1]. Chimiquement
le pétrole brut est un liquide noir .quelquefois à reflets
verdâtres et généralement plus léger que l'eau. Il
est plus ou moins fluide suivant son origine et son odeur est habituellement
forts et caractéristique [2].
Le pétrole est constitué essentiellement
d'hydrocarbures mais aussi d'impuretés telles que le soufre, l'azote,
l'eau salée et certains métaux.
I.1.2.Composition du pétrole brut :
Le pétrole brut est un mélange, en
quantités variables, de plusieurs hydrocarbures et des composés
hors hydrocarbures
· Les hydrocarbures :
Un hydrocarbure (HC) est un composé organique
contenant exclusivement des atomes de carbone (C) et d'hydrogène (H).
Ils possèdent en conséquence une formule brute de type CnHm,
où n et m sont deux entiers naturels. On distingue plusieurs familles
chimiques selon leur structure : [3]
1. Les hydrocarbures saturés linéaires ou
ramifiés : Ceux sont des composés de formule brute
générale Cn H 2 n+ 2. Qui peuvent avoir des
structures en chaînes droites. [1]
2. Les hydrocarbures saturés cycliques ou
naphtènes: ils sont de formule
générale CnH2n.
Les carbones sont ici associés en anneau et
toutes les valences sont saturées [2]. Les cycles les plus
rencontrés dans le pétrole brut sont ceux de 5 ou bien 6 atomes
de carbone.
3. Les hydrocarbures aromatiques: Ils constituent la
troisième grande famille d'hydrocarbures présents dans les
pétroles bruts [1].Les carbones sont associés encore en anneau,
mais une valence sur deux seulement est saturée. Du fait des liaisons
doubles, de forme générale Cn H 2 n- 6 .Ces
hydrocarbures réagissent facilement avec l'acide sulfurique et le
chlore. [2]
4. Les hydrocarbures insaturés ou alcènes
: Ceux sont des composés de formule générale
CnH2n Contenant des liaisons doubles.
Composés hors hydrocarbures :
[4]
Composés soufrés
Le soufre est l'hétéro
élément le plus répandu dans les pétroles bruts. Sa
concentration peut aller de 0.1 à plus de 8 0
0 en poids. Cette teneur est corrélée
avec la densité du brut, et donc sa qualité (lourde ou
légère). Il peut être présent sous forme inorganique
(S élémentaire, H2 S Hydrogène sulfuré,
COS Oxysulfure de carbone), ou sous forme organique tel que (sulfure,
disulfure, thiol et thiophène).
Composés oxygénés :
Généralement le pétrole contient
moins d'oxygène que le soufre. L'oxygène est responsable de
l'acidité du pétrole brut.
Composés azotés :
L'azote se trouve préférentiellement dans
les fractions du brut dont le point d'ébullition est supérieur
à 0
250 C, et est particulièrement concentré
dans les résines et les asphaltènes. On trouve l'azote sous forme
d'amides, d'amines et de pyridines.
Composés organométalliques:
Dans le brut et en particulier dans les fractions les
plus lourdes, se trouvent des atomes métalliques comme le Nickel et le
Vanadium.
Les sels:
Le pétrole contient souvent des sels
inorganiques tels que le chlorure de
sodium.et le
chlorure de calcium en suspension ou dissous dans l'eau. Ces sels doivent
être éliminés avant le traitement du brut et ce, pour
éviter la détérioration des équipements en raison
des phénomènes de corrosion et d'encrassement.
I.1.3.Classification du pétrole brut
On peut citer le pétrole selon trois
méthodes :
Classification industrielle
Généralement, on classe les
pétroles bruts en fonction de la densité en 4 grandes
catégories.
· Les pétroles légers :
15
d4 < 0.825 ;
· Les pétroles moyens : 0.825 <
15
d4 < 0.875 ;
· Les pétroles lourds : 0.875 <
15
d4 <1.000 ;
· Les pétroles extra-lourds : 15
d4 > 1.000.
Classification suivant le facteur de
caractérisation : KUOP
Le facteur de caractérisation KUOP a
été introduit par les chercheurs de la
société
<< Universal Oil Products Co ».
Le KUOP des hydrocarbures purs
examinés est alors de :
· 13 pour les paraffines ;
· 12 pour les hydrocarbures où le poids
relatif des chaînes et cycles est équivalent ;
· 11 pour les naphtènes purs ;
· 10 pours les aromatiques purs.
Classification selon le caractère chimique
dominant
C'est le classement du brut selon les familles
prédominantes des hydrocarbures. Le pétrole peut être de
type
· Paraffinique ;
· Naphténique ;
· Aromatique.
I.2. PRESENTATION DE LA RAFFINRIE D'ALGER (NAFTEC)
[5]
I.2.1. Historique:
La raffinerie d'Alger est une unité de
traitement et de raffinage du pétrole brut ; elle a été
construite en 1960 par une société française nommée
<< FOSTER WHEELER ».Le démarrage de cette dernière a
eu lieu le 1964, et le complexe a coûté 27 milliards de
centimes.
La raffinerie est située à 5km au sud de
la ville d'EL-HARRACH et à 20 km de la capitale ALGER au lieu dit: SIDI
ARCINE, et elle occupe une superficie de 182 hectares. Elle a pour but de
traiter le brut de HASSI MESSAOUD ainsi que les condensâts de HASSI
R'MEL, et cela afin de satisfaire la consommation croissante en carburant du
marché national.
Depuis le 10 janvier 1964 jusqu'à 1971, la
raffinerie était alimentée par tankers du port pétrolier
de BEJAIA et le port pétrolier d'Alger et ensuite par pipe de
diamètre égale à 26 » jusqu'au parc de stockage. A
partie de 1979, un piquage de BENI-MANSOR à partir du pipe de
diamètre à 24 » reliant HMD/BEJAIA a été
opéré, un Oléoduc de diamètre à 16»
d'une longueur de 131 Km jusqu'à la raffinerie, avec un débit
horaire de 500m3 permet l'alimentation direct de la
raffinerie.
I.2.2 LES DIFFERENTES UNITES DE LA RAFFINERIE D'ALGER :
La raffinerie comporte deux unités principales :
une unité de production et une unité d'installations
générales :
Unité de production
Elle comporte essentiellement les unités
suivantes
a) Unité de distillation atmosphérique
(unité100), d'une capacité de 2,7 millions de tonnes par an qui
est destinée à séparer les différents produits
pétroliers.
b) Unité de reforming catalytique
(unité200), qui permet d'améliorer l'indice d'octane du solvant
total. Le produit obtenu appelé plat-format a un indice d'octane assez
élevé et la capacité de production est de
2500m3/jour.
c) Unité de gaz-plant (unité300): elle a
pour objectif de séparer le mélange de gaz (L.P.G) en produits
liquides finis qui sont le propane et le butane.
d) Pomperie d'expédition pour le transfert des
produits finis.
e) Unité de mélange (ethylation) : elle a
pour rôle la fabrication de deux essences ayant un indice d'octane de
90(normal) et (super).
Unité d'installation
générale
Elles sont constituées de :
a)Une centrale thermoélectrique pour produire de
l'électricité, de la vapeur à basse et haute pression, et
de l'air ;
b) Une station de traitement des eaux ;
c) Des ateliers d'entretien ;
d) Un laboratoire de contrôle des produits
;
e) Un parc de stockage du pétrole brut et des
produits finis réparti comme suit
- pétrole brut : 105000 m3,
- produits finis et semis finis : 185000 m3.
f) Une rampe d'alimentation en Propane /Butane des
centres de TIZI-OUZOU, AINOUSSERA et CHLEF.
I.2.3.DESCRIPTION DU SCHEMA TECHNOLOGIQUE DE L'UNITE DE
TOPPING :
Nature de la charge -capacité :
L'unité de distillation a été
conçue pour traiter le pétrole brut de Hassi -Messaoud, soit pur,
soit en mélange avec proportions variables de condensats de Hassi -R'Mel
; les proportions n'excédant pas 27% en produits du mélange .La
capacité de l'unité est de :
-2700 000T /an de Hassi Messaoud, soit une allure de 7
700 T/J pour 350 jours de marche effective.
-2 210 500 T/an sur un mélange de 72,5 Hassi
Messaoud et 27,5% Hassi-R'Mel, soit une allure de 6320T/J de marche
effective.
-2500000T/an sur un mélange de 92,5% Hassi
Messaoud et 7,5% condensas Hassi-R'Mel soit 7 120 T/J.
Unité de distillation « TOPPING
»
L'opération initiale de raffinage qui est la
distillation du pétrole brut, se fait dans une installation de
fractionnement appelée « TOPPING » (voir la figure
I.1)
La distillation fractionnée permet de
séparer le pétrole brut en composés d'hydrocarbures de
propriétés voisines, pour pouvoir leur donner en bloc la
même utilisation .Les coupes obtenues sont les suivantes :
1-propane et butane ;
2-essence SR ;
3-solvant lourd et léger ;
4-kérosène ;
5-gas-oil lourd et léger.
Section préchauffe
Il existe trois bacs de stockage A301, A302, et A303 dont
l'un alimente l'unité 100, le second est en remplissage, et le
troisième est au repos.
Le brut est refoulé par la pompe P101
(constituée de trois pompes en série A, B, C à six
étages entreposées verticalement), vers l'unité à
travers un enregistreur de débit FR101.
Le brut subit ensuite un traitement par un piquage
désémulsifiant; avant de traverser une série
d'échangeurs E-101 constitués de deux batteries
d'échangeurs CBA et FED, qui réchauffe la charge par un reflux de
tête. Au niveau de la batterie est opérée une injection
d'eau de lavage. La température de sortie du brut est d'environ
105oC, avant son entrée dans le dessaleur
électrostatique (ballon D110) pour éliminer les sels contenus
dans le pétrole, et ce afin d'éviter la corrosion et le bouchage
des faisceaux des échangeurs de chaleur .Le brut passe ensuite dans
l'échangeur E-102, C BA pour élever la température de
1050Cà 1600C par échange de chaleur avec le
reflux intermédiaire.
Le pétrole réchauffé entre le
ballon flash D102, et les gaz sortent en tête de la colonne pour
être réinjectés dans le brut flashé sortant du four
F101. Le brut flashé est refoulé par la pompe P102 à
travers un circuit d'échangeurs parcouru par des produits à
refroidir dont :
-le kérosène à 1850C et
une pression de 25 bars. Pour l'échangeur E-103 ;
-le gas-oil lourd pour l'échangeur E-104
;
-le gaz -oil léger à 305oC pour
l'échangeur E-105 ;
-le reflux circulant inférieur à une
pression de 17,5 bar, pour l'échangeur E-106 ; -le résidu
atmosphérique à une pression de 16 bars, pour l'échangeur
E-107.
Le brut sort à une température de
220oC, et se divise en huit circuits parallèles avant d'entre
dans la zone de convection du four F101.Apres, les huit circuits sont
réunis deux par deux pour former quatre passez dans la zone de
radiation, deux dans la chambre nord et les deux autres dans la chambre sud du
four. Les deux circuits se réunissent en une seule ligne.
On leur injecte les produits légers venant du
ballon D102 avant l'entrée dans la colonne C101 à une
température de 360oC (voir la figure I.2)
Section de distillation :
Le brut flashé entre à 365OC
dans la colonne de distillation dans la zone de détente sous le plateau
no7, tangentiellement pour avoir une meilleure séparation
(effet cyclone).La tour possède 49 plateaux à clapet, et 7
soupapes de sécurité .La pressions de marche de la tour est de
1,8 bars.
La partie liquide correspond aux produits plus lourds que
le gaz -oil .C'est le résidu, qui constitue la partie
d'épuisement .L'autre partie plus léger que le gaz -oil,
s'élève dans la colonne et se condense aux différents
plateaux suivant la température d'ébullition : c'est la partie
d'expansion. Les différentes coupes soutirées sont :
-gas-oil lourd ;
-gas-oil léger ;
-kérosène ;
-solvant lourd.
La dernière partie est constituée
d'hydrocarbures qui ne se condensent pas dans la tour, et qui sortent en
tête de colonne sous forme de vapeur : c'est la zone de rectification.
Ces vapeurs constituent l'essence totale, en plus des gaz que sont le butane,
le propane et les plus légers envoyés vers la torche.
Circuit reflux de tête :
Le reflux de tête est soutiré au niveau du
plateau no46 de la tour de distillation. Il est ensuite refroidi
de120oà70o en traversant deux circuits
d'échangeurs parallèles :
E-101 F, E et D d'une part, et E-101 C, B et A,
d'autre part. Le produit est refoulé soit par la pompe P103A qui est
équipée d'un coupleur hydraulique, soit par la pompe P103B
entrainée par une turbine. La vitesse de rotation de ces deux pompes est
commandée par le régulateur du débit de reflux FRC112. Le
reflux traverse l'aéroréfrigérant E-108 ; puis retourne
à 60oC sur le plateau de tête no49, et
permet de régler la température de la tête de la
colonne.
Figure .I.2.Unité de distillation
atmosphérique (TOPPING) [5]
CHAPITRE II
GENERALITES SUR LES ECHANGEURS
II.1. Généralités sur le transfert
de chaleur
Le transfert de chaleur est l'un des modes les plus
connu d'échange d'énergie. Il intervient naturellement entre deux
systèmes de températures différentes et cela quel que soit
le milieu, même vide, qui les sépare. De ce fait, les transferts
thermiques ont, aussi bien dans le domaine des sciences pures que dans celui
des applications technologiques, un rôle souvent essentiel. Ce rôle
devient même déterminant lorsqu'il est à l'origine des
techniques utilisées (échangeurs, moteurs thermiques,
calorifugeage, utilisation de l'énergie solaire,...) [6].
II.2. Différents modes de transferts de
chaleur
Le transfert de chaleur peut être défini
comme la transmission de l'énergie d'une région a une autre sous
l'influence d'une différence de température, il est régi
par une combinaison de loi physique [6].
Il existe trois modes de transfert de chaleur : la
conduction, la convection et le rayonnement
Bien que les trois processus puissent avoir lieu
simultanément, l'un des mécanismes est généralement
prépondérant. [7]
La conduction : C'est le transfert de chaleur au sein
d'un milieu opaque, sans déplacement de matière, sous l'influence
d'une différence de température. La propagation de la chaleur par
conduction à l'intérieur d'un corps s'effectue selon deux
mécanismes distincts : une transmission par les vibrations des atomes ou
molécules et une transmission par les électrons
libres.[8]
La théorie de la conduction repose sur
l'hypothèse de Fourier : le flux est proportionnel au gradient de
température :
(I)= - k A dT/dx (II.1)
Cette équation est donnée dans le cas ou k
est une constante.
Avec: (I): flux de chaleur
exprimée en (kcal/h).
A: Aire de la section perpendiculaire au flux de chaleur,
exprimée en (m2).
K: Conductivité thermique du solide
exprimée en (kcal/h.m.°C).
dT/dx : Gradient de température dans la section
d'aire A exprimée en (°C/m).
La convection: Les phénomènes de
convection interviennent dans la transmission de la chaleur chaque fois qu'un
fluide se déplace par rapport à des éléments fixes,
lorsque se produit au sein du fluide des courants dus simplement aux
différences de densité résultant des gradients de
température, on dit que la convection est naturelle ou libre par contre,
si le mouvement du fluide est provoque par une pompe ou un ventilateur, le
processus est appelé convection forcée.[ 8]
Le flux de chaleur transféré par convection
entre une paroi et un fluide est donné par :
'b=h.A (Tp-Tf) (II.2)
Avec: h : Coefficient d'échange de chaleur
par convection exprimée en (kcal/h.m2.°C). A : Aire
de la surface d'échange de chaleur exprimée en
(m2).
(Tp-Tf ): la différence de température de
la paroi et du fluide respectivement (°C).
Rayonnement : C'est le mécanisme par lequel la
chaleur se transmet d'un milieu à haute température vers un autre
à basse température lorsque ces milieux sont
séparés dans l'espace, ce mode de Transfert ne nécessite
pas de support matériel et peut donc s'effectuer dans le vide, en
générale les sources de rayonnement sont des solides et le
rayonnement se fait par la surface. [8]
En conséquence, l'énergie émise par
rayonnement d'une surface A est donnée par l'équation de
Stefan-Boltzmann :
'bR=7r.e.c.T4
.A (II.3)
Avec: 'bR: Énergie
rayonnée exprimée en (Watt).
e: Pouvoir émissif de la surface.
a : Constante de Stefan-Boltzmann qui est égale
à 5,67.10-12W/cm2.K4.
T : Température exprimée en
(°K).
II.3.Généralité sur les
échangeurs :
Les échangeurs de chaleur ont été
utilisés dans diverses industries pour un large éventail
d'applications. Certaines de ces applications peuvent être
trouvées dans le secteur de chauffage, domaine de climatisation,
production d'électricité, récupérations de la
chaleur perdue, et traitement des produits chimiques...etc. [9]
II.3.1.Définition :
Les échangeurs de chaleur sont des appareils
permettant de transférer de la chaleur entre deux fluides à des
températures différentes. Dans la plupart des cas, les deux
fluides ne sont pas en contact, et le transfert s'effectue à travers une
surface d'échange. Au sein de la paroi séparatrice, le
mécanisme de transmission de la chaleur est la conduction, et sur
chacune des deux surfaces de contact avec les fluides, ce sont presque toujours
les phénomènes de convection qui prédominent.
[9]
II.3.2.Les Modes de fonctionnement des échangeurs
:
Une classification des échangeurs peut être
établie d'après le sens relatif de l'écoulement des deux
fluides. [6]
- À courant parallèle : les deux fluides
sont disposés parallèlement et vont dans le même sens.
-À contre courant : idem, mais les courants vont dans des sens
opposés.
-À courant croisé : les deux fluides sont
positionnés perpendiculairement.
- À tête d'épingle : un des deux
fluides fait un demi-tour dans un conduit plus large, que le deuxième
fluide traverse. Cette configuration est comparable à un
échangeur à courant parallèle sur la moitié de la
longueur, et pour l'autre moitié à un échangeur à
contre courant.
- A contact direct ou à mélange : les deux
fluides peuvent être mis en contact comme c'est le cas dans les tours de
refroidissement, des buses projetant de l'eau chaude sont disposées sur
les parois intérieures de la tour, l'air extérieur admis par le
bas s'échauffe et du fait de son changement de densité monte de
bas en haut, permettant ainsi de refroidir l'eau. [10]
II.3.3.Les types d'échangeurs:
+ Echangeurs à fluide séparés
:
Nous ne considérons ici que les
échangeurs à fluides séparés, ou le transfert de
chaleur s'effectue à travers une paroi matérielle, ce qui exclut
donc les échangeurs dits « à contact direct >>. Dans
ces appareils dominent deux grandes familles : les échangeurs tubulaires
et les échangeurs à plaques. [10]
· Echangeurs tubulaires :
Comme leur nom l'indique, les échangeurs
tubulaires sont constitués de tubes dont la paroi forme la surface
d'échange. Ils comportent [10]
-soit un tube unique (serpentin) : dans lequel le tube
est placé à l'intérieur d'un réservoir et a
généralement la forme d'un serpentin [11]
-soit deux tubes coaxiaux (échangeurs bitubes) :
[11]
L'un des fluides circule dans le tube central et
l'autre dans la couronne comprise entre les deux tubes. La circulation des
fluides peut s'effectuer soit dans le même sens (on parle alors
d'échangeurs "co-courant ") soit en sens inverse, dans ce cas
l'échangeur est dit à "contre courant>>. Le tube
intérieur peut être muni d'ailettes pour augmenter la surface
d'échange et créer des turbulences de manière à
augmenter l'efficacité.
-soit un faisceau de tubes enfermé dans une
enveloppe appelée calendre : [10]
Ces échangeurs sont les plut
fréquemment utilisés dans l'industrie. Il peut être
fabriqués à partir de nombreux matériaux et sont
utilisables pratiquement sans limite de température et de
pression.
Il existe de nombreux types d'échangeurs à
tubes et calandre (à tête flottante, à tubes en U....).
[12]
· Échangeurs à plaques:
[10]
des canaux plats ou la circulation peut être
soit diagonale soit latérale. Il y a évidemment alternance du
fluide froid et du fluide chaud d'un canal au suivant. Globalement, la
distribution des fluides entre les différents canaux se fait en U, en Z
ou selon un schéma multi passes.
Plusieurs technologies sont en concurrence. La
principale, et la plus ancienne, est celle des échangeurs à
plaques avec joints. Ces échangeurs ne peuvent être
utilisés que pour des pressions maximales de 30 bars et des
températures maximales de 200 degrés Celsius. D'autres
technologies plus récentes permettent de remédier aux
inconvénients de L'existence de joints, comme les échangeurs
à plaques soudées
Il existe d'autres échangeurs à plaques
dont la diffusion est moins importante tels que les échangeurs à
spirales et les échangeurs à plaques brasées.
Reste encore les échangeurs à plaques
serties qui sont constitués d'un assemblage de tôles, Planes
parallèles entre lesquelles sont disposées des
ailettes.
+ Autres types d'échangeurs:
· Les échangeurs en graphite : ces
échangeurs sont le plus souvent utilises à des pressions de 6
bars et des températures 70°c pour véhiculer des fluides
corrosifs (acides chlorhydrique, sulfurique, phosphorique...) exception faite
des oxydants puissants. [13]
Ces échangeurs se prêtent peu au nettoyage
mécanique, mais les procédés de nettoyage chimique et
à eau sous pression sont le plus souvent utilisés.
· Les échangeurs en verre: la
conductibilité thermique du verre (1.1w/m°c) est très
inférieure à celle des aciers ; ce matériau trouve
certaines de ses applications sur des gaz, ou la résistance thermique
essentielle se trouve coté fluide gazeux. L'échangeur en verre
possède une très bonne tenue à la corrosion sulfurique, ce
qui permet son utilisation industrielle dans les problèmes de
récupération sur des gaz à des températures
inferieures à la température de condensation acide.
[12]
initial après un simple lavage. Par contre la
jonction tubes de verre-plaque tubulaire est technologiquement le point faible
de cet échangeur. [12]
· Les échangeurs en matière
plastique: Ce matériau présente une bonne tenue à la
corrosion mais également un bon comportement vis-à-vis des agents
encrassant.
Différents type d'échangeurs en plastique
sont commercialisés: -échangeurs à gaines en
matière plastique;
-échangeurs à plaques en matière
plastique;
-échangeurs à tubes en matière
plastique.
II.3.4.Théorie de base pour le calcul d'un
échangeur de chaleur
Pour dimensionner ou prédire les performances
d'un échangeur, il est nécessaire de relier la quantité
totale de chaleur transmise, q, à des quantités telles que les
températures d'entrée et de sortie des deux fluides, le
coefficient global de transfert de chaleur U et la surface de transfert de
chaleur A, selon l'équation :
~ = U A MLDT (II.4)
· Moyenne logarithmique de la différence de
température MLDT [14] L a puissance échangée entre les
deux fluides, obéit pour les deux configurations (co-courant et contre
courant) à la même loi (II.4).
Avec :
A - A (II.5)
T T
1 2
MLDT=
Ln T T
( 1
A A 2
)
Qui définit la moyenne logarithmique de
différence de Températures entre les deux fluides. Où
:
AT1 : Différence de températures entre
les deux fluides à l'extrémité 1 de
l'échangeur.
Cette relation est très utile pour
déterminer expérimentalement le coefficient d'échange
de chaleur global d'un échangeur ou le produit (U*A) si la surface
d'échange A est inconnue.
II.3.5. Coefficient global U de transfert de
chaleur:[14]
Si on considère un élément de tube
de longueur dL, le flux de chaleur correspondant s'écoulera en
rencontrant cinq résistances :
Figure II.1.Coefficient de transfert global
[14]
R = : Résistance dans le fluide à
l'extérieur du tube, égale à l'inverse du coefficient
de
1
0
0 h
film externe ;
R d 0 : Résistance due au film d'encrassement
déposé sur l'extérieur du tube ;
R cd : Résistance due à la paroi
métallique du tube (cette résistance peut être
négligée dans les calculs) ;
R di : Résistance due au film d'encrassement
déposé à l'extérieur du tube ;
R
1
i h
= : Résistance dans le fluide à
l'extérieur du tube, égale à l'inverse du coefficient
de
i
Comme ces résistances s'expriment en
[m2 °C /kcal] il est nécessaire de rapporter tous ces
termes à la même surface. On convient de choisir, en
référence, la surface extérieure du tube ce qui
amène à corriger les résistances intérieures R
di et R i en les multipliant par le rapport
d 0 d i des diamètres
extérieur et intérieur du tube. Ces résistances
corrigées s'écriront :
d 0
R = R (II.6)
i
di 0 did
d i
h = h (II.7)
0
i 0 id
Dans ces conditions, la résistance globale au
transfert, égale à la somme des cinq résistances
précédentes prendra la forme :
1 1 1 (II.8)
R = + R R
di 0 + + + Rcd =
d di
h h U
0 i 0
U : est le coefficient de transfert sale relatif
à l'élément de tube dL
Figure II.2. Echangeur de chaleur à plaque
[15]
Figure II.3. Echangeur à tube en u
(épingle) [16]
CHAPITRE III
L'ENCRASSEMENT EN TRANSFERT DE CHALEUR
Durant le fonctionnement normal d'un échangeur
de chaleur, les surfaces d'échange sont souvent sujettes à des
dépôts formés par les impuretés du fluide, formation
de la rouille ou de produits d'autres réactions entre le fluide et le
matériau de la paroi.
III.1. Définition
L'encrassement des équipements de transfert
thermique est défini comme étant la déposition et
l'accumulation de matériaux ou de substances indésirables sur les
surfaces d'échange de chaleur [17]. Ces dépôts peuvent
être de la rouille, du tartre (sédiment), de la vase, des
cristaux, des résidus biologiques, des produits de réaction
chimique ou la combinaison de plusieurs de ces
éléments.
Cette couche d'encrassement qui se forme sur l'un ou
les deux côtés de la surface d'échange de chaleur
possède une conductivité thermique plus faible que celle du
métal constituant cette surface, ce qui engendre l'augmentation
considérable de la résistance au transfert thermique et donc, une
diminution des performances de l'échangeur de chaleur. D'autre part, ce
film d'encrassement réduit la section de passage du fluide entrainant,
ainsi,
une augmentation de la perte de charge dans l'appareil.
[18] (Voir figure III.1).
Figure III.1. Exemple d'un faisceau de tubes d'un
échangeur encrassé [23]
III.2. Les différents types d'encrassement
[19]
Il est possible de classer l'encrassement selon le
mécanisme qui contrôle la vitesse de dépôt, selon les
conditions d'utilisation de l'échangeur ou selon le mécanisme
dominant, même s'il ne contrôle pas la vitesse de
dépôt. Nous adopterons, comme la plupart des auteurs
[Epstein1978], cette dernière méthode de classification. Six
types différents peuvent alors être définis :
· encrassement particulaire ;
· corrosion ;
· entartrage ;
· encrassement biologique ;
· encrassement par réaction chimique
;
· encrassement par solidification.
III.2.1 Encrassement particulaire [20]
C'est ce qui se passe quand des particules fines,
contenues dans un fluide, se déposent sur une surface d'échange
de chaleur
· L'eau des chaudières contenant des
produits de corrosion ;
· L es écoulements gazeux pouvant
être fortement chargés de particules de poussières Dans
certains cas, lorsque le dépôt est important, le processus sera
considéré comme encrassement par
sédimentation.
III.2.2 Entartrage [12]
L'entartrage d'une surface d'échange est
généralement associé à la production d'un solide
cristallin à partir d'une solution liquide. Il dépend donc
fortement de la composition des eaux industrielles. L'entartrage se
matérialise par une formation d'incrustations adhérentes et dures
sur les surfaces d'échanges généralement
métalliques. Pour qu'il y ait entartrage, deux conditions doivent
être remplies :
- la limite de solubilité du sel contenu dans
l'eau doit être dépassée ;
- la vitesse de dépôt doit être
suffisamment rapide.
III.2.3 Encrassement par corrosion
L'encrassement par corrosion est le résultat
d'une réaction chimique ou électrochimique entre la surface de
transfert de chaleur et le fluide en écoulement. Les produits de la
réaction qui se forment et restent sur la surface d'échange
créent l'encrassement. [19]
L'encrassement par corrosion est un promoteur
potentiel pour tous les autres types d'encrassement. Les produits de corrosion
peuvent en effet servir de germes de nucléation pour des solutions
sursaturées, piéger les particules en suspension, servir d'abris
pour le développement de micro-organismes et même catalyser
certaines réactions [12].
III.2.4.Encrassement biologique [21]
L'encrassement biologique est dû au
développement de micro-organismes qui créent un film encrassant
au contact de la surface d'échange. Il peut être causé par
trois grands types de micro-organismes :
- les bactéries dont le développement est
dû à un apport nutritif de type hydrocarbures ;
- les algues dont le développement est
dû à la présence d'énergie solaire avec
photosynthèse ; - les champignons dont le développement sont dus
aux changements des conditions physicochimiques telles que l'humidité,
la température et le pH.
III.2.5.Encrassement par réaction chimique :
Les dépôts sont des produits solides de
réactions chimiques ayant eu lieu au voisinage de la surface
d'échange de chaleur dont le matériau ne participe pas à
la réaction mais peut agir comme catalyseur. Ces réactions sont
souvent des réactions de polymérisation. [4]
Ce type d'encrassement peut être
rencontré dans l'industrie nucléaire, alimentaire et dans les
procédés de raffinage du pétrole. Il peut être
affecté par les conditions opératoires (vitesse,
température, concentration), ainsi que par la composition du fluide
c'est-à-dire le constituant principal et les constituants secondaires
même à l'état de trace tels que les oléfines,
l'oxygène moléculaire et l'air, les composés
oxygénés soufrés et azotés, les sels inorganiques,
l'eau, les impuretés métalliques libres et les produits de
corrosion. [12]
III.2.6. Encrassement par solidification:
Il s'agit de la solidification d'un liquide pur au
contact d'une surface d'échange sousrefroidie (formation d'une couche de
glace à l'intérieur des conduites) ou du dépôt d'un
constituant à haut point de fusion d'un liquide au contact d'une surface
de transfert de chaleur froide (dépôt des hydrocarbures
paraffiniques). [12], [21]
III.3. Apparition et développement de
l'encrassement [19]
Les auteurs s'accordent en général pour
considérer cinq phases dans l'apparition et le développement de
l'encrassement. Ces cinq phases peuvent chronologiquement se décomposer
comme suit.
III.3.1.Initiation
Cette phase est associée au temps
nécessaire avant de pouvoir observer la formation d'un
dépôt encrassant sur une surface propre.
III.3.2.Transfert des particules à la paroi
Il peut être contrôlé par la
diffusion turbulente, l'impaction inertielle ou un champ de forces
extérieures (thermiques, électriques, etc.) ; ces
mécanismes peuvent coexister.
III.3.3. Adhésion des particules
Les particules transférées à la
paroi peuvent s'y maintenir grâce aux forces d'adhésion dues
à l'attraction moléculaire (forces de Van der Waals), aux forces
électriques ou capillaires.
III.3.4. Réentraînement des particules
déposées
Il est classique de supposer que le mécanisme
de réentraînement est lié aux forces de cisaillement
s'exerçant sur le dépôt. Lorsque la force
aérodynamique est supérieure aux forces d'adhésion d'une
particule, le réentraînement se produit par érosion (figure
III.2) ; lorsqu'il concerne des agglomérats de particules, il correspond
à un phénomène d'écaillage.
III.3.5.Vieilissement du dépôt
Il s'agit d'un changement de structure chimique ou
cristalline, du dépôt dû à des
phénomènes tels que la polymérisation, la cristallisation
ou la déshydratation. La consolidation du dépôt ou son
écaillage peuvent, alors, être observés.
Figure III.2. Représentation schématique
des phases de dépôt et de réentraînement
de l'encrassement dans le cas d'un liquide [19]
III.4. Paramètres Influençant
l'encrassement :
L'encrassement, par ces différents types, est
contrôlé par plusieurs paramètres opératoires
liés au fluide d'alimentation ou à la surface d'échange.
On peut citer :
· La vitesse d'écoulement du fluide
d'alimentation ;
· La concentration de la matière encrassante
;
· La température de la surface
d'échange de chaleur ;
· Etat de surface rugosité ;
· Corrosion.
III.4.1. Vitesse d'encrassement
La vitesse d'écoulement du fluide a une influence
très importante sur la formation du dépôt
c'est-à-dire, l'augmentation de la vitesse du fluide, fait
décroitre la résistance d'encrassement
III.4.2. La concentration de la matière encrassante
[22]
Les études sur l'encrassement particulaire ont
montré que plus la concentration est élevée, plus la
formation du dépôt est grande. D'autre part, il a
été prouvé qu'a température élevée et
à faible vitesse, les concentrations élevées du
dépôt augmentent les vitesses d'encrassement.
III.4.3. Température de la surface d'échange
de chaleur
La température de la surface d'échange
de chaleur est un paramètre important quel que soit le type
d'encrassement. Selon plusieurs recherches, la déposition des particules
solides sur la surface d'échange est favorisée lorsque la
température de cette dernière est élevée. Ainsi la
formation de l'encrassement est plus rapide avec ces conditions.
D'après les recherches on a constaté que
le temps d'induction diminue lorsque la température de la surface
augmente.
III.4.4. Etat de surface rugosité
Les surfaces rugueuses ont tendance à
favoriser les dépôts, particulièrement dans la phase
d'induction de l'encrassement. Par la suite, le dépôt modifie la
rugosité de la surface et n'a plus la rugosité initiale qui
contrôle le phénomène, mais celle du dépôt.
[12]
III.4.5. Corrosion
Le choix d'un matériau approprié
constitue la méthode la plus radicale pour éviter la corrosion.
On pourra, par exemple, utiliser un métal noble ou, plus souvent, un
alliage passivable (alliages d'aluminium, à base de nickel, les aciers
inoxydables).
En présence de produits chimiques, les
problèmes de corrosion sont plus complexes ; une variation de
composition ou la présence d'impuretés dans la solution peut
modifier le comportement du matériau. [12]
III.5. Résistance d'encrassement [14]
La résistance d'encrassement peut s'exprimer par
la différence entre la résistance thermique globale de
l'échangeur à l'état encrassé et celle de
l'échangeur à l'état propre.
UU
Rd =
1 1 (III.1)
p
Le coefficient global de transfert de chaleur U
rapporté à la surface extérieur du tube (fluide chaud)
;
1 1 A 1 A
0 0
= + R A R R
+ + + (III.2)
cd 0 d 0 di
U h A h A
0 i i i
1 Up
1
1 A
Pour des éléments neufs Les
résistances à l'encrassement sont nulles, on définit le
coefficient de transfert propre Up :
0
= + +RA
cd 0 (III.3)
h
h A
0 i i
Parois cylindriques
A 0 = d0LN t 7t (III.4)
1 U
1
= + A ln(d d ) /2kL 7t
0 0 i
h0
A 1 A
0 0
+ R + R + (III.5)
d 0 di A h A
i 0 i
1
= + A ln(d d ) / 2kL 7t +
0 0 i
h 0
1 (III.6)
A 0
0 A i
1 Up
h
Pour la surface d'échange formée par des
tubes cylindriques de petit diamètre, le coefficient global de transfert
propre est donné par :
III.6 Les différentes allures de la
résistance d'encrassement [12]
Il existe trois formes générales
d'évolution de la résistance d'encrassement au cours du temps
comme il est montré sur la figure III.3 : Variation linéaire,
à faible vitesse et asymptotique.
Figure III.3 : Evolution de la résistance
d'encrassement en fonction du temps [18]
· Période d'induction
C'est la période durant laquelle aucun
dépôt n'apparaît celle-ci évolue depuis la mis en
service de l'appareil. Selon le type de l'encrassement, cette période
est appelée : temps du nucléation, d'induction ou d'incubation si
l'encrassement se fait respectivement par cristallisation, par réaction
chimique ou encrassement biologique.
· Evolution linéaire
Cette évolution s'exprime sous la forme R d = K.
t
OÙ K représente le
taux d'accroissement de la résistance d'encrassement R. Cette relation
est généralement caractéristique des dépôts
durs et adhérents et indique que la vitesse de dépôt b d
est constante et qu'il n'y a pas de réentrainement. ( b r est
nulle).
· Evolution exponentielle
Après un certain temps de fonctionnement de
l'échangeur, la résistance d'encrassement atteint une valeur
constante appelée Résistance asymptotique d'encrassement. Cette
évolution est corrélée par une équation de la forme
:
Ott : Rd *: valeur asymptotique de la résistance
d'encrassement lorsque t ? 8 ;
fi : Paramètre représentant
l'inverse du temps de relaxation. Il dépend des
propriétés
du système.
Ce type d'évolution asymptotique est
généralement observé lorsque le dépôt est
« mou » Et fragile.
Dans ce cas, la vitesse de déposition est
constante et celle de réentrainement est proportionnelle à
l'épaisseur du dépôt.
Dans la pratique, le réentraînement
d'une partie du dépôt et modifient, par conséquent,
l'évolution de la résistance d'encrassement en fonction du temps.
On obtient alors une évolution en « dents de scie
».[12]
PARTI E
EXP ERIM ENTAL E
CHAPITRE IV
ETUDE EXPERIMENTALE
IV.1. Problématique :
Le problème traité dans notre travaille
est le bouchage des échangeurs de chaleurs de la raffinerie d'Alger (la
batterie E101 FED) ou plus précisément l'encrassement de ces
dernières qui est due généralement à l'augmentation
de la température de fluide encrassant, dans notre cas c'est le
pétrole.
IV.2.Calcul de la résistance d'encrassement de
la batterie E-101 FED avec la méthode de KERN :
IV.2.1.Présentation de la batterie E-101 :
La batterie E-101 est constituée de deux circuits
d'échangeurs E-101 CBA et E-101 FED placés en parallèles,
dont chacun est constitué de trois échangeurs en
séries
Au niveau de l'échangeur C, il existe une
injection d'eau de lavage .Le type d'échangeur utilisé est le
tube-calandre à tête flotante .La méthode de calcul sera
appliquée séparément pour chaqu'un des circuits, donc le
débit total sera partagé en deux :
Injection de l'eau de lavage
Reflux de tête
C B A
Pétrole
F E D
Figure IV.3.Présentation de la batterie E-101
IV.2.2Répartition des fluides
· -Coté tube : Le pétrole brut
;
· -Cote calandre : Reflux de
tête.
IV.3.Hypotheses simplificatrices :
Il a été considéré que les
trois échangeurs, constituant un circuit, forment un seul
échangeur ayant les caractéristiques suivantes.
1. Les débits de brut traversant le coté
tube de chaque échangeur sont identiques ;
2. Les débits de reflux traversant le coté
calandre de chaque échangeur identiques ;
3. La somme des tubes de chaque échangeur
constitue le nombre total des tubes ;
4. Le nombre total de passe coté tubes est trois
fois le nombre de passe coté tube de chaque échangeur
;
5. Les températures d'entrée et de sortie
des deux fluides sont prises aux extrémités de la
cellule.
Par manque de données, quelques hypothèses
supplémentaires ont été posées, dont :
1. La densité du brut est mesurée par
prise d'échantillon au niveau de la pompe P101 ;
2. Le débit volumique du brut est constant le
long du circuit de préchauffe ;
3. Il a été procédé à
la mesure d'une seule densité d4 15 pour le reflux de
tête (RT) en raison de la difficulté d'échantillonnage de
ces produits.
IV.4.Méthode de calcul [méthode de
KERN]
Cette étude consiste à suivre la
résistance d'encrassement sur une période d'un mois allant de
01/04/2010 à 30/04/2010
IV.4.1.Calcul de la résistance d'encrassement :
[ANNAXE 8]
Pour calculer la résistance d'encrassement, il
faut déterminer :
1. Le coefficient global de transfert de chaleur aux
conditions propre Up ;
2. Le coefficient global de transfert de chaleur aux
conditions encrassantes U.
La résistance d'encrassement est alors
calculée par la relation :
Rd =1/U - 1/Up (IV.1)
IV.4.2.Calcul de Up [ANNEXE 7]
A la raffinerie d'ALGER, les conditions
opératoires aux bornes de l'échangeur E101 (débit Q et
température d'entrée Te) sont variables, elles ne sont
pas stationnaires. Il est nécessaire
de réévaluer le coefficient
d'échange global aux conditions propre Up correspondant aux nouvelles
conditions de fonctionnement avec la méthode de calcul suivante
:
Tableau IV.1 : Corrélation de calcul par la
méthode de KERN
|
COTE TUBE :PETROLE BRUT
|
COTE CALANDRE :REFLUX DE TETE
|
La température calorique [14]
|
tc = te +Fc (ts-te) (IV.2)
Fc déterminé à partir de
l'abaque
|
Tc= Te-Fc (Te-Ts)
(IV.3)
Fc déterminé à partir de
l'abaque
|
Caractéristiques du pétrole
|
Cp : chaleur spécifique du brut
k : conductivité thermique du brut u :
viscosité dynamique du brut
d : densité du brut
|
Cp' : chaleur spécifique des
reflux
k' : conductivité thermique des
reflux u' : viscosité dynamique des reflux
d' : densité des reflux
|
Section par passe [14]
|
= INTt
7c.(12Diamétre
(IV.4)
|
équivalent : De=(4P2 /
mod)/deac=(De/P)(de)B (IV.5), (IV.6)
|
a t .
n 4
t
|
Vitesse massique[14)
|
G = M (IV.7)
t a
t
|
G = M' (IV.8)
|
c
a c
|
Nombre de Reynolds [25]
|
Re = di Gt / ll (IV.9)
|
Rc = Dc Gi ll'
(IV.10)
|
La fonction de transfert
|
JH est déterminé à partir de
l'abaque (IX.5)
|
JH' est déterminé à
partir de l'abaque(IX.6)
|
Coefficients du film interne (hi0/Ot) et
externe (h0/Oc) [25]
|
hi/~t = JH(k/di) (CPll/k)1/3
(IV.11) hi0/~t=(
hi/~t) (di/de)
(IV.12)
|
h0/~c= JH'
(k'/De) (CP'll'/k')1/3 (IV.13)
|
Température du tube [25]
|
h1.° cI3t (T -- t )
t = T
|
C (IV.14)
h0 cI3c -Fhi0 cI3t c c
|
|
COTE TUBE : PETROLE BRUT
|
COTE CALNDRE :REFLUX DE TETE
|
(Dt,
(Dc, hi0 et h0 [25]
|
ot= (u / ut)0.14 (IV.15)
hi0= (hi0/~t) e't
(IV.17) (Dt : terme correctif côté
tube
tit : viscosité dynamique du brut à
tt
|
oc= (u' / ut')0.14 (IV.16)
h0 = (
h0/~c) (Dc
(IV.18)
(Dc :terme correctif
côté calandre
tit~ : viscosité dynamique des
reflux à tt
|
Coefficient de transfert propre [25]
|
U= h0 hi0 / ( h0 +hi0) (IV.19)
|
IV.5. Calcul des caractéristiques des fluides
[ANNEXE 5]
Le tableau (IV.2) ci-dessous résume les
corrélations utilisées pour le calcul des
propriétés physiques des deux fluides (pétrole brut et
reflux de tête) à leurs températures caloriques
respectives.
Tableau IV.2 : Corrélations de calcul des
propriétés physiques des deux fluides
Propriétés physiques
|
Corrélations
|
Conditions d'utilisation
|
Densité [14]
|
d4T = [d4T -- a
(T-15)] (IV.20)
|
T : 0C
a : déterminé à partir du Tableau
[ANNEXE 3].
|
Chaleur spécifique [26]
|
Relation de Gragoe
0 . 3 8 8 + 0. 00045 T (IV.21)
CP =
|
32oF = T= 400oF
0.75 < Spgr (60/60) < 0.96 1Btu/LboF =
4.187 kJ/kgoC
|
0.5
spgr (60 60)
|
Conductivité thermique [27]
|
Relation de Gragoe (IV.22)
0 . 0677
k = [ 1- 0 0003(T - 3 2)]
.
|
32oC = T= 392oF
1 Btu/h ftoF = 1.731 w/moC
0oC = t = 200 oC
|
Spgr (60 / 60)
|
Viscosité cinematique[28]
|
1 = A exp (B/T)
A= -
0.0339API0.188+0.241(Tmav/B)
B= exp(5.471+0.00342Tmav) Pour le calcul de
Tmav [Annexe4]
|
T:oK [Annexe4]
A B
Brut 0.024 1246.284
R.T. 0.0316 833.99
|
Viscosité dynamique[28]
|
u = P 1 (IV.23)
|
Kg/ms
|
Remarque :
On calcul les propriétés physique des deux
fluides à température calorique, sauf la
densité
côté tube on a utilisé la
température moyenne pour déterminer Fc et
tc du brut.
IV.6.Calcul de U [ANNEXE 7]
Pour un coefficient d'échange constant, le bilan
thermique dans l'échangeur peut s'exprimer par la relation suivante
[14]
p =U A F MLDT = M CP
(te--ts)
Où : M= p ~
M : Débit massique du pétrole brut (kg/s)
;
p: masse volumique du pétrole brut
(kg/m3) ;
Q : Débit volumique du pétrole brut
(m3/s) ;
(te, ts) : Températures d'entrée
et sortie du brut respectivement ;
F : facteur de correction, déterminé
à partir de l'abaque (IX.3) et dépend de deux Paramètres R
et E donnés par :
|
|
T T
-
e s
|
(IV.24)
|
|
t t
-
e s
|
|
t t
-
s e
|
|
(IV.25)
|
T t
-
e e
|
|
A : est la surface d'échange de chaleur
(m2) ; A= N it d0 l
N : nombre de tubes ;
do :diamètres extérieur des
tubes ;
l : longueur des tubes ;
)
(T t
-
e s
Ln
MLDT =
(T t ) (T t
- - -
e s s e
(IV.26)
)
(T t
-
s e
|
)
|
MLDT : moyenne logarithmique des différences de
températures.
L'expression du coefficient global en (k
W/m2.oC) est donc donnée par la relation : MC (t t
)
P s - e
U=
AFMDLT
|
(IV.27)
|
Figure IV.1. Echangeur tubulaire encrassé
[23]
Figure. IV.2.Echangeur tubulaire propre [24]
IV.7.Exemple de calcul :
Un exemple de calcul de la résistance
d'encrassement R, de la cellule E101 FED est présenté ci-dessous
:
Les données de marche :
te=18 oC
ts=100 oC
Q= 223.763 m3/h
d 4 =0.790
15
Te=123 oC Ts=58 oC
Q'=346.762 m3/h
Les données de construction :
di = 0.01503 m do = 0.01905 m nt =
12
nc = 3
N = 3300 tubes Dc = 1.067 m
B = 0.465 m P = 0.0254 m L = 6.096 m
COTE CALANDRE : REFLUX De
TÊTE
Calcul de Tc : Te = 123
oC
COTE TUBE : PETROLE BRUT Calcul de
d4t:
a = 0.00072
tmoy = 59 oC ~ d4t =
0.7583
d 4 = 0.790
15
Calcul de tc : te = 18
oC
ts = 100 oC = tc = 61.05
oC
Ts = 58 oC = Tc = 88.88
oC
Caractéristique du pétrole brut : Cp =
2.128 kJ/kg oC
k = 1.4344 10-4 KW/m oC
p = 758.3 kg/m3
t = 7.58 10-4 kg/ms
Section par tube:
N=3300
di= 0.01503 m = at= 0.0488 m2 nt= 12
Détermination de la vitesse massique : M= 47.133
kg/s
at=0.0488 m2
= Gt= 965.84 kg/m3s
Nombre de Reynolds :
di= 0.01503 m
Gt= 965.84 kg/m3s Re=
19151.15
t= 7.58 10-4 kg/ms
Détermination de la fonction de transfert JH
:
Caractéristique du reflux de
tête
Cp'= 2.203 kJ/kg oC k'= 1.555 10-4
KW/m oC p'= 656.18 kg/m3
t'= 7.077 10-4 kg/ms
Section par calandre :
Dc= = 1.067 m , B= 0.465 m P= 0.0254 m ,
do=0.01905 m = ac= 0.124 m2
Détermination de la vitesse massique : M'=63.502
kg/s
ac=0.124 m2
= Gc = 509.72 kg/m3s
Nombre de Reynolds :
De=0.02407m
Gc'= 509.72 kg/m3s
Re'=59070.59
t'= 7.077 10-4
kg/ms
Détermination de la fonction de transfert Jh
:
A partir de l'abaque (XI.5) (Annexe9) JH = 64
Détermination du coefficient
de film interne :
JH= 64
CP= 2.128 kJ/kg oC
t= 7.58 10-4 kg/ms
k= 1.4344 10-4 kw/m oC
h i
~ = 1.367 kw/m2
oC
I, t A partir de l'abaque (XI. 6) (Annexe9)
Jh = 148
Détermination du coefficient
de film externe :
Jh = 148 CP'=2.203 kJ/kg
oC
t'= 7.077 10-4 kg/ms
k'=1.555 10-4 kw/m oC
h o
~ =1.37 kw/m2 oC
I, c
d= 0.01503 m , do= 0.01905 m
h~/cI~=1.367 kw/m2 oC
= hio/ Jt=1.078 kw/m2
oC
Température du tube:
tc= 61.05 oC ,Tc= 88.88
oC , hio/ cI~= 1.078 kw/m2 oC
, h0/cI~=1.399 kw/m2 oC
= tt=76.62 oC
Détermination ut it tt: ut =6.63 10-4
kg/ms Détermination de I: ut= 6.63 10-4
kg/ms u= 7.58 10-4 kg/ms
~ Jt = 1.023
Détermination du coefficient du film :
Jt = 1.023
hio/ t=1.078 kw/m2 oC = hio=
1.103 kw/m2 oC
Détermination ut' it
tt:
ut = 2.252 10-4
kg/ms
Détermination de I :
ut = 2.252 10-4 kg/ms u '
= 7.077 10-4 kg/ms
~ c ~ =0.988
Détermination du coefficient du film :
Jc = 0.988
he/
Jc= 1.37 kw/m2 oC =
ho=1.354 kw/m2 oC
Détermination du coefficient de transfert propre
:
hio=1.103 kw/m2 oC , ho=1.354 kw/m2
oC ) = Up=0.608 kw/m2 oC
Détermination de facteur de correction F à
partie de l'abaque (XI.3) (Annexe11)
( E= 0.781 ,R=0.793 )=F = 0.875
Détermination de DTLM :
(te = 18 oC , ts =
100 oC , Te = 123 oC ,Ts = 58
oC ) ~ DTLM = 30.72 oC Détermination de
coefficient de transfert sale U :
(DTLM = 30.72 oC , A= 1203.94 m2
,F= 0.875 , M= 47.133 kg/s )
=> U = 0.254 kw/m2 oC
Calcul de la résistance d'encrassement
Rd:
(Up= 0.608 kw/m2 oC , U = 0.254 kw/m2
oC ) = Rd =2.292 m2 oC/ km
IV.8.RESULTATS ET INTERPRETATIONS
IV.8.1.Evolution de la résistance
d'encrassement
Resistance d'encrassement(m
3
2
0
540 545 550 555 560 565 570 575 580 Temps
(jours)
1
Figure IV.4.Evolution de la résistance
d'encrassement de la cellule FED
La figure (IV.4) présente l'évolution
temporelle de la résistance d'encrassement de la batterie E 101 FED.
Cette dernière à une allure exponentielle qui s'accord avec le
modèle le plus utilisé dans l'encrassement qui est le
modèle de KERN & SEATON, malgré la déviation du
quelque points expérimentales qui dues a la différence de temps
de prélèvement des données de marche.
Nous constatons l'absence de la période
d'induction qui peut être due soit à la conséquence du
décalage de temps entre la mise en service et le
prélèvement des températures ainsi que la valeur
élevée de la résistance initiale d'encrassement
reflète le mauvais nettoyage des échangeurs.
IV.8.2.INFLUENCE DES PARAMETRES OPERATOIRES SUR LA
RESISTANCE D'ENCRASSEMENT
Comme dans tout phénomène industriel, la
résistance d'encrassement est affectée par plusieurs
paramètres comme il a déjà été
mentionné précédemment. Parmi ces paramètres : la
température de la surface d'échange et la température
moyenne de pétrole brut.
IV.8.2.1.Influence de la température de la
surface d'échange de chaleur
75,5 76 76,5 77 77,5 78 78,5 79
Température du tube (°C)
Resistance
d'encrassement (m2.°C/KW)
2,5
1,5
2
1
Figure IV.5. Influence de la température de la
surface d'échange de chaleur Sur la résistance d'encrassement
pour la cellule E-101 FED
La température de la paroi d'échange
thermique joue un rôle importe sur l'évolution de la
résistance d'encrassement.
Dans toutes les recherches effectuées sur
l'effet de la température de la surface sur la résistance
d'encrassement [29.30] il est conclu que l'augmentation de la
température de la surface d'échange de chaleur favorise la
formation du dépôt sur la paroi et donc le phénomène
d'encrassement.
La figure (PV.5) relative à l'effet de la
température de la surface d'échange de chaleur sur la
résistance d'encrassement de la batterie E-101 FED confirme ces
observations car elle présente une fonction croissant. Nous pouvons
déduire donc que la température de la surface agit sur le
phénomène d'encrassement, et par conséquent une
élévation de la température de surface entraîne la
déposition des particules sur la surface d'échange et donc
l'augmentation de la résistance d'encrassement.
IV.8.2.2.Influence température moyenne du brut
:
Resistance
d'encrassement (m2.°C/I(W)
3
2
0
1
59 60 61 62 63 64 65 66
Température calorifique côté tube
(°C)
Figure IV.6 : Effet de la température moyenne du
brut sur la résistance d'encrassement pour la cellule E-101
FED
L'effet de la température du fluide sur la
formation des dépôts n'est pas été très
étudie, mais cette température il put jouer un rôle
important dans la formation de ce dernier. Le tracé du graphe (IV.6)
représente l'évolution de la résistance d'encrassement de
la cellule E101FED en fonction de la température du fluide qui est une
courbe croissant. Donc on conclue que l'augmentation de la température
du fluide favorise l'élévation de la résistance
d'encrassement et par conséquent la formation du dépôt sur
les parois.
A la fin, on constate que puisque la
température de la paroi d'échangeur thermique favorise la
formation du dépôt, donc cette dernière joue un rôle
très important sur les performances des échangeurs de
chaleur.
D'après les résultats présidentes
on conclu que la température de la surface d'échange et celui du
brut augmentant la formation des dépôts. Cette couche
d'encrassement qui se forme sur l'un ou les deux côtés de la
surface d'échange de chaleur possède une conductivité
thermique plus faible que celle du métal constituant cette surface, ce
qui engendre l'augmentation considérable de la résistance au
transfert thermique et donc une diminution des performances de
l'échangeur de chaleur.
CONCLUSION GÉNÉRALE
Le but de ce travail a été
d'étudier le phénomène d'encrassement des
échangeurs de chaleur du circuit préchauffé de la
raffinerie d'Alger.
Cette étude a porté sur le suivi de la
résistance d'encrassement en fonction du temps, et l'influence de
quelques paramètres opératoires comme la température de la
surface d'échange et la température moyenne du pétrole
brut.
Au début de la présente étude les
résultats obtenus ont révélé une évolution
de la résistance d'encrassement tendant vers une allure exponentielle
liée au modèle de Kern et Seaton.
La méthode de Kern s'approche plus de la
réalité puisqu'elle utilise les caractéristiques des deux
fluide et non pas d'un seul fluide, comme les autres
méthodes.
En ce qui concerne l'influence des paramètres
opératoires sur la résistance d'encrassement nous avons
trouvé une croissance de la température de la surface
d'échange et température moyenne du pétrole brut
favorisant l'augmentation de la résistance et donc la formation du
dépôt.
En générale la température est un
paramètre important quelque soit le type d'encrassement. Selon plusieurs
recherches la déposition des particules solides sur la surface
d'échange est favorisée lorsque la température est
élevée. Par conséquent, la formation des
dépôts dans les échangeurs est plus rapide et plus
sévère, donc la performance des échangeurs est
mauvaise.
Pour améliorer cette performance il faut
:
· utiliser des procédés de
nettoyage en continu qui peuvent être mécaniques
(procédés à boules ou à brosse) ou chimiques
comprenant l'utilisation de produits antiencrassants.
· Il est important de choisir la technique de
nettoyage en fonction de la nature de dépôt et de son
mécanisme d'adhésion, et pour cela on utilise toujours des
produits contenant des inhibiteurs de corrosion pour le métal
considéré.
· Les procèdes mécaniques de
l'encrassement pendant la phase de fonctionnement de l'échangeur peuvent
améliorer de façon significative la performance de l'appareil
mais également pour augmenter le temps de service. Entre deux
arrêts de maintenance on procède à un nettoyage chimique.
Mais il n'existe pas une méthode générale de nettoyage
chimique bien précise pour chaque cas. La nature du dépôt
doit être déterminée pour décider le meilleur
traitement chimique qu'il faut effectuer.
BIBLIOGRAPHIE
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1976.
ANN EX ES
ANNEXEI Design du E 101
SOCIETE FOSTER WHEELER FRANCAISE L'échange de
chaleur : Brut/ reflux intermédiaire E101 A-F.
Dimension : 42 pouces du diamètre intérieur
Surface par unité : 25000 sq.ft
Surface par calandre :4180 sq.ft
FOCTIONNEMENT D'UNE UNITE
|
COTE CALONDRE COTE TUBE
|
Fluide circulant
|
Reflux de tête
|
brut
|
Quantité du fluide entrant
|
1000000
|
715260
|
Lb/h
0
Densité du liquide API
|
76
|
44,4
|
°
Température d'entrée F
|
240
|
80
|
°
Température de sortie F
|
150 1
|
220 4
|
Nombre de passe
|
15
|
20
|
Chute de pression
sq.in
|
0,001
|
0
,002
|
Facteur d'encrassement
|
|
|
Coefficient de transfert de
|
0
,329
|
0
,329
|
Chaleur à l'etat propre (kW/ m 2 °
C)
|
|
|
COSTRUCTION
|
Pression du design
sq.in
|
80
|
310
|
Pression d'essai
sq.in
|
120
|
465
|
°
Température du design F
|
270
|
250
|
Nombre de tube
|
1100
|
|
Diamètre extérieur (in)
|
3/4 BWG 14
|
|
Longueur de tube (in)
|
20
|
|
Pas carré
|
1
|
|
Espacement entre chicanes (in)
|
18,30
|
|
ANNEXE II :DONNEES DE MARCHE DE BATTERIE
E101-FED
E101 FED
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE
|
jours
|
h
|
te(°C)
|
ts(°C)
|
Q (m3/h)
|
15
d4
|
Pe(bar)
|
Ps(bar)
|
Te(°C)
|
Ts(°C)
|
Q '
(m3/h)
|
546
|
01/04/2010
|
8
|
18
|
100
|
223.736
|
0.790
|
16.5
|
14
|
123
|
58
|
346.762
|
10
|
19
|
100
|
223.746
|
0.790
|
16.5
|
14
|
123
|
57
|
346.762
|
12
|
19
|
100
|
215.676
|
0.790
|
16.8
|
14.1
|
122
|
57
|
336.882
|
14
|
21
|
100
|
207.588
|
0.790
|
17.1
|
14.6
|
122
|
60
|
336.882
|
547
|
02/04/2010
|
8
|
19
|
100
|
221.067
|
0.789
|
17
|
14.5
|
123
|
56
|
341.804
|
10
|
18
|
100
|
221.067
|
0.789
|
17
|
14.5
|
123
|
56
|
322.019
|
12
|
20
|
100
|
188.716
|
0.789
|
17.4
|
15
|
121
|
57
|
297.222
|
14
|
19
|
100
|
188.716
|
0.789
|
16.3
|
14
|
121
|
59
|
346.759
|
550
|
05/04/2010
|
8
|
17
|
99
|
221.060
|
0.786
|
17
|
14.5
|
122
|
58
|
356.666
|
10
|
18
|
99
|
221.060
|
0.786
|
17
|
14.4
|
122
|
56
|
336.851
|
12
|
18
|
100
|
221.060
|
0.786
|
17
|
14.5
|
124
|
58
|
349.090
|
14
|
18
|
100
|
221.060
|
0.786
|
17
|
14.6
|
123
|
58
|
349.090
|
551
|
06/04/2010
|
8
|
17
|
100
|
223.763
|
0.791
|
16.9
|
14.4
|
124
|
57
|
349.090
|
10
|
18
|
100
|
223.763
|
0.791
|
16.8
|
14
|
124
|
59
|
349.090
|
12
|
18
|
100
|
223.763
|
0.791
|
16.7
|
14.1
|
125
|
58
|
349.090
|
14
|
19
|
100
|
218.371
|
0.791
|
17
|
14.6
|
125
|
59
|
341.804
|
552
|
07/04/2010
|
8
|
18.5
|
102
|
218.371
|
0.787
|
17.2
|
14.6
|
124
|
57
|
349.090
|
10
|
18.5
|
100
|
218.371
|
0.787
|
17.1
|
14.6
|
123
|
58
|
349.090
|
12
|
19
|
101
|
210.284
|
0.787
|
17.5
|
15
|
124
|
60
|
349.090
|
14
|
19
|
100
|
204.892
|
0.787
|
18.1
|
15.9
|
123
|
59
|
336.851
|
554
|
09/04/2010
|
8
|
19
|
100
|
221.067
|
0.788
|
16.9
|
14.1
|
123
|
58
|
349.090
|
10
|
19
|
100
|
218.371
|
0.788
|
16.9
|
14.4
|
123
|
59
|
349.090
|
12
|
19
|
100
|
218.271
|
0.788
|
19.8
|
14.4
|
123
|
59.5
|
349.090
|
14
|
19
|
100
|
212.980
|
0.788
|
17.1
|
14.7
|
123
|
60
|
349.090
|
557
|
12/04/2010
|
8
|
19
|
101
|
218.371
|
0.790
|
16.6
|
14.1
|
123
|
52.4
|
356.666
|
10
|
19
|
100
|
218.371
|
0.790
|
16.6
|
14
|
124
|
52.4
|
356.666
|
12
|
19.5
|
103
|
207.588
|
0.790
|
17
|
14.5
|
124
|
53.5
|
346.759
|
14
|
19
|
100
|
215.676
|
0.790
|
17
|
14.5
|
124
|
51.9
|
346.759
|
558
|
13/04/2010
|
8
|
19
|
102
|
221.067
|
0.787
|
17.4
|
15
|
126
|
53.5
|
346.759
|
10
|
19.5
|
104
|
204.392
|
0.787
|
17.5
|
15.2
|
123
|
54
|
331.897
|
12
|
20
|
102
|
194.108
|
0.787
|
18.4
|
16.3
|
123
|
53
|
317.036
|
14
|
20
|
101
|
188.716
|
0.787
|
18.4
|
16.4
|
122
|
54
|
317.036
|
559
|
14/04/2010
|
8
|
19
|
100
|
218.371
|
0.789
|
17
|
14.5
|
123
|
52.4
|
361.619
|
10
|
19
|
100
|
218.371
|
0.789
|
17
|
14.4
|
123
|
52.4
|
351.712
|
12
|
20
|
100
|
215.676
|
0.789
|
17.1
|
14.6
|
123
|
52.9
|
346.759
|
14
|
20
|
100
|
215.676
|
0.789
|
17.4
|
15
|
123
|
52.5
|
346.759
|
E101 FED
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE
|
jours
|
h
|
te(°C)
|
ts(°C)
|
Q (m3/h)
|
15
d4
|
Pe(bar)
|
Ps(bar)
|
Te(°c)
|
Ts(°C)
|
Q '
(m3/h)
|
561
|
16/04/2010
|
8
|
18.5
|
99
|
215.676
|
0.788
|
17
|
14.5
|
123
|
51
|
346.759
|
10
|
19
|
100
|
215.676
|
0.788
|
17
|
14.4
|
124
|
51.4
|
346.759
|
12
|
19
|
100
|
215.676
|
0.788
|
17
|
14.5
|
124
|
52
|
346.759
|
14
|
19
|
100
|
215.676
|
0.788
|
17
|
14.5
|
123
|
51.9
|
346.759
|
564
|
19/04/2010
|
8
|
19
|
100
|
215.676
|
0.792
|
17.2
|
14.8
|
124
|
53.1
|
346.759
|
10
|
19
|
100
|
210.284
|
0.792
|
17.6
|
15.3
|
124
|
52
|
336.851
|
12
|
19
|
100
|
210.284
|
0.792
|
17.7
|
15.4
|
124
|
53
|
336.851
|
14
|
19
|
100
|
210.284
|
0.792
|
17.5
|
15.1
|
124
|
52
|
336.851
|
565
|
20/04/2010
|
8
|
19.5
|
102
|
212.980
|
0.791
|
17.2
|
14.7
|
124
|
54
|
346.759
|
10
|
20
|
101
|
212.980
|
0.791
|
17.3
|
14.6
|
124
|
54
|
346.759
|
12
|
20
|
102
|
210.284
|
0.791
|
17.4
|
14.9
|
124
|
62
|
356.666
|
14
|
20
|
104
|
210.284
|
0.791
|
17.4
|
15
|
121
|
66.4
|
346.759
|
566
|
21/04/2010
|
8
|
19.5
|
98
|
218.371
|
0.795
|
17.1
|
14.5
|
123
|
51.2
|
346.759
|
10
|
19.5
|
100
|
218.371
|
0.795
|
17.2
|
14.6
|
127
|
54.2
|
346.759
|
12
|
20
|
104
|
215.676
|
0.795
|
17.4
|
14.7
|
124
|
52
|
346.759
|
14
|
20
|
100
|
210.284
|
0.795
|
17.6
|
15.1
|
123
|
53.2
|
336.851
|
568
|
23/04/2010
|
8
|
19
|
100
|
215.676
|
0.793
|
17.1
|
14.5
|
123
|
62.9
|
336.851
|
10
|
19.5
|
100
|
215.676
|
0.793
|
17.1
|
14.6
|
124
|
52.6
|
336.851
|
12
|
20
|
100
|
215.676
|
0.793
|
17
|
14.5
|
124
|
53
|
336.851
|
14
|
20
|
100
|
215.676
|
0.793
|
17
|
14.4
|
124
|
52.9
|
336.851
|
571
|
26/04/2010
|
8
|
20.5
|
104
|
212.980
|
0.794
|
17
|
14.2
|
125
|
56
|
336.851
|
10
|
21
|
104
|
212.980
|
0.794
|
17
|
14.2
|
126
|
56.3
|
336.851
|
12
|
21
|
104
|
207.588
|
0.794
|
17.2
|
14.5
|
125
|
56.3
|
336.851
|
14
|
21
|
104
|
202.196
|
0.794
|
18
|
15.7
|
123
|
55
|
331.897
|
572
|
27/04/2010
|
8
|
20
|
104
|
215.676
|
0.793
|
17
|
15
|
124
|
57.1
|
356.666
|
10
|
20
|
104
|
215.676
|
0.793
|
17
|
15
|
125
|
57.8
|
356.666
|
12
|
21
|
104
|
215.676
|
0.793
|
17
|
15
|
124
|
57.9
|
356.666
|
14
|
21
|
104
|
215.676
|
0.793
|
16.8
|
13.9
|
123
|
57.4
|
356.666
|
573
|
28/04/2010
|
8
|
20
|
103
|
215.676
|
0.788
|
16.5
|
13.5
|
125
|
56.5
|
346.759
|
10
|
20.5
|
104
|
207.588
|
0.788
|
18.4
|
16
|
124
|
57
|
341.805
|
12
|
21
|
104
|
204.892
|
0.788
|
18.3
|
15.7
|
124
|
56
|
336.851
|
14
|
24
|
102
|
202.196
|
0.788
|
18.2
|
15.7
|
123
|
54.2
|
326.944
|
575
|
30/04/2010
|
8
|
21
|
104
|
212.980
|
0.789
|
16.5
|
13.5
|
124
|
57
|
346.759
|
10
|
22
|
104
|
212.980
|
0.789
|
17
|
13.6
|
124
|
57
|
346.759
|
12
|
22
|
104
|
204.292
|
0.789
|
17.5
|
14.9
|
125
|
59
|
346.759
|
14
|
23
|
104
|
204.292
|
0.789
|
17.2
|
14.5
|
124
|
56.9
|
331.897
|
ANNEXE III :Résultats de calcul des
températures caloriques
E101 FED
|
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE
|
|
jours
|
h
|
Fc
|
t
d 4
|
t moy
(°C)
|
t c (°C)
|
Tmoy
(°C)
|
t
d 4
|
Tc (°C)
|
At ch
(°C)
|
At fr (°C)
|
Atch
|
Atfr
|
546
|
01/04/2010
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23
|
40
|
1.74
|
10
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0.524
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59.5
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90
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0.65630
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23
|
38
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1.65
|
12
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0.523
|
0.75790
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59.5
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0.65690
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88.00
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22
|
38
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1.73
|
14
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0.527
|
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60.5
|
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|
91
|
0.65608
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22
|
39
|
1.77
|
547
|
02/04/2010
|
8
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0.515
|
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|
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23
|
37
|
1.6
|
10
|
0.518
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59
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60.48
|
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23
|
38
|
1.65
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12
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37
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550
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05/04/2010
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8
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551
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06/04/2010
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8
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552
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07/04/2010
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554
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09/04/2010
|
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|
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|
557
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12/04/2010
|
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13/04/2010
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|
34
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559
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14/04/2010
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|
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23
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32.5
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1.41
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E101 FED
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PETROLE BRUT
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jours
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h
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Fc
|
t
d4
|
t moy
(°C)
|
t c (°C)
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Tmoy
(°C)
|
t
d 4
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Tc (°C)
|
At ch
(°C)
|
At fr (°C)
|
Atch
|
Atfr
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16/04/2010
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
564
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19/04/2010
|
8
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0.505
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|
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|
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|
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|
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|
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|
14
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|
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|
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|
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|
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|
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|
1.38
|
565
|
20/04/2010
|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
42
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1.91
|
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|
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|
65
|
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|
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|
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|
566
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21/04/2010
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
20
|
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|
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|
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|
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|
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|
60.4
|
88.1
|
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|
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|
23
|
33.2
|
1.44
|
568
|
23/04/2010
|
8
|
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|
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|
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23
|
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|
10
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|
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|
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|
33.1
|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
24
|
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|
1.48
|
571
|
26/04/2010
|
8
|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
19
|
37.1
|
1.95
|
572
|
27/04/2010
|
8
|
0.534
|
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|
62
|
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|
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|
20
|
37.8
|
1.89
|
10
|
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|
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|
62
|
64.1
|
91.4
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|
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|
21
|
36.9
|
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|
12
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|
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|
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|
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|
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|
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|
89.03
|
20
|
36.4
|
1.82
|
14
|
0.531
|
0.75880
|
62.5
|
65
|
90.2
|
0.65677
|
88.16
|
19
|
36.5
|
1.92
|
573
|
28/04/2010
|
8
|
0.518
|
0.75452
|
61.5
|
62.99
|
90.75
|
0.65565
|
89.52
|
22
|
36.5
|
1.66
|
10
|
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|
0.75400
|
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|
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|
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|
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|
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|
36.5
|
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|
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|
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|
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|
35
|
1.75
|
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|
21
|
30.2
|
1.44
|
575
|
30/04/2010
|
8
|
0.529
|
0.7548
|
62.5
|
64.9
|
90.5
|
0.65645
|
88.56
|
20
|
36
|
1.8
|
10
|
0.510
|
0.75444
|
63
|
63.82
|
90.5
|
0.65539
|
89.83
|
20
|
35
|
1.75
|
12
|
0.525
|
0.75440
|
63
|
65
|
92
|
0.65496
|
90.35
|
21
|
37
|
1.76
|
14
|
0.523
|
0.75410
|
63.5
|
65.5
|
90.45
|
0.65616
|
88.907
|
20
|
33.9
|
1.69
|
Tableau de calcul de a
ANNEXE IV
Distillation ASTM du reflux de tête
d 14 5 =0,7175.
PI 58
5% 82
|
10 %
|
85 ,3
|
15 %
|
-
|
20 %
|
88,9
|
30 %
|
91,9
|
40 %
|
94,7
|
50%
|
97,5
|
60%
|
100,3
|
70%
|
103,3
|
80%
|
106,9
|
90%
|
110,8
|
95%
|
116,1
|
PF
|
125,1
|
S= t 70 - t10
.
60
S=0,3.
t 10 + 2t 50 +t90
.
4
t v =
t v = 98,025°C. Tmav = tv
#177; a .
a=-4. Tmav = 94,025°C.
Distillation TBP pour le pétrole brut d
4 =0,7985.
15
PT 35
5% -
10 % 91
15 % -
20 % 124
30 % 155
40 % -
50% 238
60% -
70% 340
80% 106,9
90% 378
95% -
PF -
Résidu 4%. Perte 2%.
S= t 70 - t10 .
60
S=4,15.
t t t
+ +
20 50 80
t =
.
3
v
t v = 240,33°C T mav = tv #177;
a.
a=-29
Tmav = 211,33°C. Tmav = 484.48 K
ANNEXE V :Calcul des propriétés physiques
des deux fluides
E101FED
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE
|
j
|
h
|
p (kg/m3)
|
k 10-4 (kw/m°c)
|
CP (kJ/kg°c)
|
u*104 (kg/m)
|
p' (kg/m3)
|
k' 10-4
(kw/m°c)
|
CP~
(kJ/kg°c)
|
u*104 (kg/m)
|
01/04/2010
|
8
|
758.3
|
1.4344
|
2.128
|
7.58
|
656.18
|
1.55549
|
2.203
|
2.077
|
10
|
757.9
|
1.4344
|
2.129
|
7.57
|
656.3
|
1.555
|
2.344
|
2.081
|
12
|
757.9
|
1.4342
|
2.13
|
7.55
|
656.9
|
1.5557
|
2.341
|
2.092
|
14
|
757
|
1.4330
|
2.134
|
7.43
|
656.08
|
1.5545
|
2.347
|
2.071
|
02/04/2010
|
8
|
756.9
|
1.436
|
2.128
|
7.59
|
656.49
|
1.5552
|
2.343
|
2.084
|
10
|
757.3
|
1.436
|
2.128
|
7.62
|
656.66
|
1.55541
|
2.343
|
2.087
|
12
|
756.6
|
1.435
|
2.133
|
7.47
|
657.49
|
1.5563
|
2.338
|
2.103
|
14
|
756.9
|
1.435
|
2.134
|
7.46
|
656.99
|
1.5558
|
2.341
|
2.093
|
05/04/2010
|
8
|
755
|
1.442
|
2.131
|
7.61
|
656.74
|
1.55549
|
2.342
|
2.088
|
10
|
754.6
|
1.4427
|
2.129
|
7.67
|
657.08
|
1.55585
|
2.341
|
2.095
|
12
|
754.3
|
1.4421
|
2.132
|
7.58
|
655.55
|
1.5542
|
2.348
|
2.068
|
14
|
754.3
|
1.4418
|
2.133
|
7.54
|
656.18
|
1.5549
|
2.345
|
2.078
|
06/04/2010
|
8
|
759.7
|
1.433
|
2.124
|
7.67
|
655.95
|
1.5546
|
2.346
|
2.073
|
10
|
759.3
|
1.432
|
2.126
|
7.6
|
655.25
|
1.554
|
2.349
|
2.06
|
12
|
759.3
|
1.433
|
2.124
|
7.66
|
654.84
|
1.5535
|
2.351
|
2.052
|
14
|
758.9
|
1.4329
|
2.126
|
7.61
|
655.25
|
1.5539
|
2.349
|
2.06
|
07/04/2010
|
8
|
754.4
|
1.4389
|
2.137
|
7.44
|
656.23
|
1.55495
|
2.345
|
2.079
|
10
|
755
|
1.439
|
2.133
|
7.53
|
656.13
|
1.55484
|
2.3452
|
2.077
|
12
|
754.6
|
1.4389
|
2.137
|
7.44
|
655.07
|
1.55373
|
2.3502
|
2.057
|
14
|
754.96
|
1.439
|
2.134
|
7.51
|
655.75
|
1.55444
|
2.347
|
2.069
|
09/04/2010
|
8
|
756
|
1.4338
|
2.132
|
7.53
|
656.08
|
1.5548
|
2.345
|
2.076
|
10
|
756
|
1.4377
|
2.133
|
7.52
|
655.75
|
1.55444
|
2.347
|
2.07
|
12
|
756
|
1.4376
|
2.133
|
7.51
|
655.58
|
1.5543
|
2.348
|
2.066
|
14
|
756
|
1.4375
|
2.134
|
7.5
|
655.46
|
1.55414
|
2.349
|
2.064
|
12/04/2010
|
8
|
757.6
|
1.4346
|
2.127
|
7.59
|
657.75
|
1.5566
|
2.337
|
2.108
|
10
|
757.9
|
1.4357
|
2.123
|
7.7
|
656.74
|
1.5555
|
2.342
|
2.088
|
12
|
756.7
|
1.4332
|
2.134
|
7.44
|
657.23
|
1.556
|
2.339
|
2.098
|
14
|
758
|
1.4357
|
2.123
|
7.7
|
656.95
|
1.5557
|
2.341
|
2.093
|
13/04/2010
|
8
|
754.24
|
1.44
|
2.132
|
7.55
|
655.76
|
1.5545
|
2.347
|
2.07
|
10
|
753.34
|
1.4375
|
2.144
|
7.28
|
658.09
|
1.5569
|
2.336
|
2.115
|
12
|
753.88
|
1.439
|
2.137
|
7.44
|
657.78
|
1.5566
|
2.337
|
2.109
|
14
|
754.24
|
1.439
|
2.135
|
7.48
|
652.83
|
1.5513
|
2.361
|
2.015
|
14/04/2010
|
8
|
757
|
1.437
|
2.125
|
7.66
|
657.45
|
1.5563
|
2.339
|
2.102
|
10
|
757
|
1.437
|
2.125
|
7.66
|
657.45
|
1.5563
|
2.339
|
2.102
|
12
|
756.6
|
1.4368
|
2.127
|
7.62
|
657.24
|
1.556
|
2.3398
|
2.098
|
14
|
756.6
|
1.4369
|
2.126
|
7.47
|
657.3
|
1.5565
|
2.3396
|
2.099
|
16/04/2010
|
8
|
756.5
|
1.44
|
2.122
|
7.76
|
657.74
|
1.5565
|
2.337
|
2.108
|
10
|
756
|
1.439
|
2.125
|
7.69
|
657.16
|
1.5559
|
2.34
|
2.097
|
12
|
756
|
1.439
|
2.125
|
7.68
|
656.96
|
1.5557
|
2.341
|
2.093
|
14
|
756
|
1.439
|
2.127
|
7.65
|
657.66
|
1.5565
|
2.338
|
2.106
|
19/04/2010
|
8
|
760
|
1.431
|
2.121
|
7.69
|
656.45
|
1.5552
|
2.345
|
2.083
|
10
|
760
|
1.432
|
2.12
|
7.72
|
656.97
|
1.5557
|
2.341
|
2.093
|
12
|
760
|
1.431
|
2.121
|
7.69
|
656.79
|
1.5555
|
2.342
|
2.089
|
14
|
760
|
1.432
|
2.12
|
7.72
|
656.97
|
1.5557
|
2.341
|
2.093
|
E101FED
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE
|
j
|
h
|
p (kg/m3)
|
k 10-4 (kw/m°c)
|
CP (kJ/kg°c)
|
u*104 (kg/m)
|
p' (kg/m3)
|
k' 10-4
(kw/m°c)
|
CP~
(kJ/kg°c)
|
u*104 (kg/m)
|
20/04/2010
|
8
|
758.06
|
1.432
|
2.13
|
7.51
|
656.83
|
1.5556
|
2.342
|
2.090
|
10
|
758.24
|
1.432
|
2.128
|
7.56
|
656.66
|
1.5554
|
2.343
|
2.087
|
12
|
757.88
|
1.43
|
2.136
|
7.38
|
654.3
|
1.553
|
2.354
|
2.042
|
14
|
757.16
|
1.429
|
2.142
|
7.25
|
651.407
|
1.5498
|
2.368
|
2.000
|
21/04/2010
|
8
|
763.5
|
1.427
|
2.113
|
7.84
|
657.66
|
1.5565
|
2.338
|
2.106
|
10
|
762.78
|
1.426
|
2.117
|
7.75
|
654.75
|
1.5534
|
2.352
|
2.05
|
12
|
761.16
|
1.423
|
2.13
|
7.6
|
657.8
|
1.5566
|
2.337
|
2.109
|
14
|
762.6
|
1.426
|
2.119
|
7.68
|
657.117
|
1.556
|
2.340
|
2.096
|
23/04/2010
|
8
|
760.96
|
1.428
|
2.129
|
7.51
|
654.5
|
1.5531
|
2.353
|
2.046
|
10
|
760.7
|
1.43
|
2.121
|
7.69
|
656.96
|
1.5557
|
2.341
|
2.093
|
12
|
760.6
|
1.429
|
2.122
|
7.66
|
656.79
|
1.5555
|
2.342
|
2.089
|
14
|
760.6
|
1.429
|
2.123
|
7.63
|
657.13
|
1.556
|
2.34
|
2.096
|
26/04/2010
|
8
|
760
|
1.425
|
2.134
|
7.37
|
655.98
|
1.5547
|
2.346
|
2.074
|
10
|
759.8
|
1.425
|
2.133
|
7.38
|
655.17
|
1.5538
|
2.349
|
2.056
|
12
|
759.8
|
1.425
|
2.134
|
7.36
|
655.68
|
1.5544
|
2.347
|
2.068
|
14
|
759.8
|
1.424
|
2.138
|
7.28
|
657.72
|
1.5565
|
2.337
|
2.107
|
27/04/2010
|
8
|
759.2
|
1.426
|
2.1388
|
7.29
|
656.68
|
1.5554
|
2.342
|
2.087
|
10
|
759.2
|
1.4266
|
2.136
|
7.34
|
655.48
|
1.5542
|
2.348
|
2.064
|
12
|
758.8
|
1.4259
|
2.139
|
7.27
|
656.055
|
1.5548
|
2.345
|
2.075
|
14
|
758.8
|
1.4259
|
2.139
|
7.27
|
656.77
|
1.5555
|
2.342
|
2.089
|
28/04/2010
|
8
|
754.52
|
1.436
|
2.138
|
7.38
|
655.65
|
1.5554
|
2.347
|
2.068
|
10
|
754
|
1.435
|
2.145
|
7.24
|
656.49
|
1.5552
|
2.343
|
2.084
|
12
|
754
|
1.435
|
2.144
|
7.26
|
656.66
|
1.5554
|
2.343
|
2.087
|
14
|
753.44
|
1.436
|
2.114
|
7.34
|
656.45
|
1.5552
|
2.3435
|
2.083
|
30/04/2010
|
8
|
754.8
|
1.433
|
2.144
|
7.24
|
656.45
|
1.5552
|
2.344
|
2.083
|
10
|
754.44
|
1.434
|
2.114
|
7.32
|
655.39
|
1.554
|
2.349
|
2.063
|
12
|
754.44
|
1.433
|
2.145
|
7.22
|
654.96
|
1.5536
|
2.35
|
2.055
|
14
|
754.1
|
1.4329
|
2.146
|
7.18
|
656.16
|
1.5549
|
2.345
|
2.077
|
ANNAXE VI :Les données de calcul des
températures des tubes
E101 FED
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE
|
j
|
h
|
M
(kg/s)
|
Gt (kg/m2s)
|
Re
|
JH
|
M'
(kg/s)
|
Gt'
(kg/m2s)
|
Re
|
Jh
|
01/04/2010
|
8
|
47.133
|
965.84
|
19151.15
|
64.00
|
63.205
|
509.72
|
59070.59
|
148.00
|
10
|
47.168
|
965.33
|
19166.32
|
64.50
|
63.216
|
509.80
|
58974.80
|
147.21
|
12
|
45.405
|
930.43
|
18522.30
|
63.00
|
61.470
|
495.73
|
57045.77
|
143.20
|
14
|
43.651
|
894.49
|
18094.46
|
62.00
|
61.390
|
495.08
|
57526.31
|
145.10
|
02/04/2010
|
8
|
46.479
|
952.44
|
18860.57
|
63.80
|
62.330
|
502.66
|
58056.75
|
146.00
|
10
|
46.503
|
952.93
|
18795.98
|
63.50
|
58.740
|
473.70
|
54633.25
|
141.20
|
12
|
39.662
|
812.74
|
16352.70
|
57.20
|
54.280
|
473.74
|
50101.77
|
130.15
|
14
|
39.677
|
813.06
|
16381.08
|
57.20
|
63.280
|
510.32
|
58651.22
|
146.80
|
05/04/2010
|
8
|
46.361
|
950.02
|
18763.20
|
63.40
|
65.066
|
524.72
|
60488.56
|
149.50
|
10
|
46.337
|
949.53
|
18606.83
|
63.20
|
61.480
|
495.80
|
56963.75
|
143.00
|
12
|
46.318
|
949.14
|
18820.00
|
63.80
|
63.568
|
512.65
|
56568.70
|
148.60
|
14
|
46.318
|
949.14
|
18919.86
|
63.90
|
63.630
|
513.15
|
59447.47
|
148.40
|
06/04/2010
|
8
|
47.220
|
967.62
|
18961.30
|
63.90
|
63.607
|
512.96
|
59560.80
|
148.55
|
10
|
47.195
|
967.11
|
18778.20
|
63.50
|
63.540
|
512.42
|
59873.50
|
148.80
|
12
|
47.195
|
967.11
|
18623.50
|
63.20
|
63.500
|
512.09
|
60056.60
|
149.20
|
14
|
46.033
|
943.30
|
18745.80
|
63.40
|
62.213
|
501.72
|
58623.30
|
146.80
|
07/04/2010
|
8
|
45.76
|
937.70
|
18943.05
|
63.90
|
63.630
|
513.15
|
59410.90
|
148.35
|
10
|
45.797
|
938.46
|
18731.80
|
63.40
|
63.620
|
513.06
|
59466.20
|
148.45
|
12
|
44.077
|
903.22
|
18246.50
|
62.50
|
63.520
|
512.26
|
59947.97
|
149.00
|
14
|
42.968
|
880.50
|
17621.70
|
60.60
|
61.358
|
494.80
|
57963.30
|
145.20
|
09/04/2010
|
8
|
46.424
|
951.31
|
18988.30
|
63.90
|
63.620
|
513.06
|
59492.00
|
148.48
|
10
|
45.858
|
939.71
|
18781.70
|
63.50
|
63.590
|
512.82
|
59630.80
|
146.60
|
12
|
45.837
|
939.28
|
18798.10
|
63.60
|
63.570
|
512.66
|
59756.50
|
148.70
|
14
|
44.725
|
916.50
|
18366.66
|
62.70
|
63.560
|
512.58
|
59776.20
|
148.72
|
12/04/2010
|
8
|
45.955
|
941.70
|
18647.90
|
63.20
|
65.166
|
525.53
|
60007.20
|
149.10
|
10
|
45.973
|
942.07
|
18388.70
|
62.80
|
65.060
|
524.68
|
60702.00
|
149.70
|
12
|
43.634
|
894.14
|
18063.10
|
62.00
|
63.300
|
510.48
|
58566.50
|
146.70
|
14
|
45.412
|
930.57
|
18163.70
|
62.20
|
63.280
|
509.68
|
58614.07
|
146.80
|
13/04/2010
|
8
|
46.316
|
949.10
|
18894.00
|
63.80
|
63.160
|
509.35
|
59227.30
|
148.25
|
10
|
42.876
|
878.60
|
18139.20
|
62.10
|
60.670
|
589.27
|
55681.90
|
142.00
|
12
|
40.648
|
832.95
|
16826.90
|
59.00
|
57.930
|
467.17
|
53318.07
|
139.00
|
14
|
39.538
|
810.20
|
16279.80
|
57.10
|
57.490
|
463.63
|
55382.50
|
141.80
|
14/04/2010
|
8
|
45.918
|
940.94
|
18462.60
|
62.90
|
66.040
|
532.58
|
60985.70
|
149.90
|
10
|
45.918
|
940.94
|
18462.60
|
62.90
|
64.230
|
517.98
|
59313.90
|
148.30
|
12
|
45.328
|
928.85
|
18321.01
|
62.60
|
63.300
|
510.48
|
58566.50
|
146.70
|
14
|
45.328
|
928.85
|
18688.90
|
63.30
|
63.310
|
510.56
|
58547.80
|
146.65
|
16/04/2010
|
8
|
45.322
|
928.73
|
17988.20
|
62.00
|
63.350
|
510.89
|
58335.50
|
146.40
|
10
|
45.291
|
928.11
|
18139.80
|
62.10
|
63.300
|
510.48
|
58594.40
|
146.72
|
12
|
45.292
|
928.11
|
18163.40
|
62.20
|
63.280
|
510.32
|
58688.02
|
146.82
|
14
|
45.292
|
928.11
|
18234.60
|
62.50
|
63.350
|
510.89
|
58390.90
|
146.50
|
19/04/2010
|
8
|
45.532
|
933.03
|
18235.90
|
62.50
|
63.230
|
509.92
|
58523.50
|
147.00
|
10
|
44.393
|
909.69
|
17710.70
|
61.00
|
61.470
|
495.73
|
57010.13
|
143.10
|
12
|
44.393
|
909.69
|
17779.80
|
61.50
|
61.450
|
495.56
|
57086.04
|
143.30
|
14
|
44.393
|
909.69
|
17710.70
|
61.00
|
61.470
|
495.73
|
57010.13
|
143.10
|
E101 FED
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE146.90
|
j
|
h
|
M
(kg/s)
|
Gt (kg/m2s)
|
Re
|
JH
|
M'
(kg/s)
|
Gt'
(kg/m2s)
|
Re'
|
Jh
|
20/04/2010
|
8
|
44.848
|
919.02
|
18392.60
|
62.80
|
63.270
|
510.24
|
58754.60
|
146.90
|
10
|
44.858
|
919.22
|
18275.00
|
62.60
|
63.250
|
510.08
|
58829.06
|
147.00
|
12
|
44.269
|
907.15
|
18474.90
|
62.90
|
64.820
|
522.74
|
61617.80
|
150.00
|
14
|
44.227
|
906.30
|
18788.50
|
63.50
|
62.470
|
505.97
|
60893.50
|
149.86
|
21/04/2010
|
8
|
46.313
|
949.04
|
18193.90
|
62.30
|
63.350
|
510.88
|
58389.80
|
146.50
|
10
|
46.269
|
948.14
|
18387.80
|
62.80
|
63.060
|
508.55
|
59711.20
|
148.72
|
12
|
45.601
|
934.45
|
18480.00
|
63.00
|
63.360
|
510.97
|
58289.30
|
146.40
|
14
|
44.545
|
912.81
|
17864.00
|
61.70
|
61.480
|
495.80
|
56936.60
|
142.90
|
23/04/2010
|
8
|
45.589
|
934.20
|
18696.40
|
63.30
|
61.240
|
493.87
|
58100.90
|
146.30
|
10
|
45.574
|
933.90
|
18253.00
|
62.50
|
61.470
|
495.73
|
57010.10
|
143.10
|
12
|
45.568
|
933.77
|
18321.90
|
62.60
|
61.450
|
495.56
|
57099.70
|
143.30
|
14
|
45.568
|
933.77
|
18394.00
|
62.80
|
61.487
|
495.86
|
56943.50
|
143.00
|
26/04/2010
|
8
|
44.962
|
921.35
|
18789.50
|
63.50
|
61.380
|
495.00
|
57447.60
|
144.90
|
10
|
44.951
|
921.13
|
18759.60
|
63.40
|
61.300
|
494.35
|
57874.50
|
145.60
|
12
|
43.813
|
897.80
|
18334.10
|
62.60
|
61.350
|
494.76
|
57586.40
|
145.20
|
14
|
42.675
|
874.48
|
18054.20
|
62.00
|
60.640
|
489.03
|
55865.90
|
142.20
|
27/04/2010
|
8
|
45.484
|
932.05
|
19216.30
|
65.00
|
65.060
|
524.68
|
60512.90
|
149.60
|
10
|
45.484
|
932.05
|
19085.40
|
64.00
|
63.940
|
515.65
|
60134.20
|
149.30
|
12
|
45.460
|
931.56
|
19259.10
|
65.20
|
65.000
|
524.20
|
60807.20
|
149.75
|
14
|
45.460
|
931.56
|
19259.10
|
65.20
|
65.060
|
524.67
|
60453.80
|
149.50
|
28/04/2010
|
8
|
45.203
|
926.30
|
18864.90
|
63.80
|
63.150
|
509.27
|
59275.75
|
148.20
|
10
|
43.478
|
890.94
|
18495.60
|
63.00
|
62.330
|
502.66
|
58056.75
|
146.00
|
12
|
42.913
|
879.36
|
18204.90
|
62.50
|
61.440
|
495.48
|
57145.20
|
143.40
|
14
|
42.317
|
867.15
|
17756.50
|
61.40
|
59.620
|
480.80
|
55558.60
|
141.90
|
30/04/2010
|
8
|
44.655
|
915.06
|
18996.30
|
64.00
|
63.230
|
509.92
|
58923.50
|
147.00
|
10
|
44.634
|
914.63
|
18779.90
|
63.50
|
63.130
|
509.11
|
59400.30
|
148.35
|
12
|
42.813
|
877.32
|
18263.32
|
62.50
|
63.090
|
508.79
|
59594.04
|
148.55
|
14
|
42.793
|
876.90
|
18356.30
|
62.70
|
60.490
|
487.82
|
56532.60
|
142.50
|
ANNEXE VI : Résultats de calcul de la
températures des tubes
E101FED
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE
|
|
j
|
h
|
ut*104 (kg/ms)
|
hi /øt (kw/m20c)
|
hie/ øt (kw/m20c)
|
øt
|
ut'*104 (kg/ms)
|
h0/øc (kw/m20c)
|
øc
|
tt (0c)
|
01/04/2010
|
8
|
6.43
|
1.367
|
1.078
|
1.0230
|
2.252
|
1.370
|
0.9880
|
76.62
|
10
|
6.43
|
1.377
|
1.087
|
1.0230
|
2.253
|
1.391
|
0.9889
|
76.59
|
12
|
6.45
|
1.344
|
1.060
|
1.0223
|
2.260
|
1.356
|
0.9892
|
76.31
|
14
|
6.34
|
1.316
|
1.038
|
1.0225
|
2.234
|
1.370
|
0.9895
|
77.82
|
02/04/2010
|
8
|
6.44
|
1.365
|
1.077
|
1.0233
|
2.258
|
1.380
|
0.9888
|
76.32
|
10
|
6.47
|
1.360
|
1.073
|
1.0232
|
2.265
|
1.336
|
0.9886
|
75.91
|
12
|
6.436
|
1.217
|
0.960
|
1.0210
|
2.262
|
1.234
|
0.9898
|
76.30
|
14
|
6.365
|
1.217
|
0.960
|
1.0225
|
2.243
|
1.390
|
0.9900
|
77.42
|
05/04/2010
|
8
|
6.43
|
1.362
|
1.074
|
1.0239
|
2.261
|
1.415
|
0.9890
|
76.17
|
10
|
6.474
|
1.361
|
1.074
|
1.0240
|
2.274
|
1.355
|
0.9886
|
75.46
|
12
|
6. 37
|
1.369
|
1.080
|
1.0246
|
2.244
|
1.402
|
0.9886
|
77.03
|
14
|
6.39
|
1.368
|
1.0797
|
1.0234
|
2.251
|
1.402
|
0.9888
|
76.75
|
06/04/2010
|
8
|
6.446
|
1.369
|
1.0799
|
1.0246
|
2.253
|
1.403
|
0.9884
|
76.55
|
10
|
6.387
|
1.356
|
1.0697
|
1.0246
|
2.237
|
1.402
|
0.9885
|
77.40
|
12
|
6.386
|
1.353
|
1.0676
|
1.0260
|
2.236
|
1.405
|
0.9881
|
77.41
|
14
|
6.39
|
1.355
|
1.0689
|
1.0250
|
2.240
|
1.383
|
0.9883
|
77.23
|
07/04/2010
|
8
|
6.35
|
1.361
|
1.0740
|
1.0224
|
2.242
|
1.402
|
0.9895
|
77.32
|
10
|
6.33
|
1.355
|
1.0694
|
1.0250
|
2.236
|
1.403
|
0.9897
|
77.72
|
12
|
6.29
|
1.332
|
1.0506
|
1.0238
|
2.224
|
1.404
|
0.9891
|
78.26
|
14
|
6.34
|
1.295
|
1.0214
|
1.0240
|
2.238
|
1.370
|
0.9891
|
77.49
|
09/04/2010
|
8
|
6.387
|
1.365
|
1.077
|
1.0233
|
2.247
|
1.403
|
0.9889
|
76.97
|
10
|
6.36
|
1.356
|
1.07
|
1.0237
|
2.240
|
1.403
|
0.9890
|
77.33
|
12
|
6.354
|
1.358
|
1.071
|
1.0237
|
2.237
|
1.403
|
0.9889
|
77.48
|
14
|
6.34
|
1.338
|
1.056
|
1.0238
|
2.233
|
1.402
|
0.9890
|
77.72
|
12/04/2010
|
8
|
6.48
|
1.351
|
1.066
|
1.0224
|
2.272
|
1.415
|
0.9896
|
75.74
|
10
|
6.5
|
1.348
|
1.064
|
1.0240
|
2.272
|
1.417
|
0.9883
|
75.49
|
12
|
6.43
|
1.317
|
1.039
|
1.0206
|
2.258
|
1.390
|
0.9898
|
76.51
|
14
|
6.49
|
1.336
|
1.054
|
1.0240
|
2.270
|
1.391
|
0.9887
|
75.68
|
13/04/2010
|
8
|
6.37
|
1.366
|
1.077
|
1.0240
|
2.245
|
1.399
|
0.9887
|
77.00
|
10
|
6.376
|
1.314
|
1.037
|
1.0190
|
2.256
|
1.349
|
0.9910
|
76.80
|
12
|
6.41
|
1.257
|
0.992
|
1.0210
|
2.263
|
1.320
|
0.9900
|
76.33
|
14
|
6.19
|
1.218
|
0.961
|
1.0268
|
2.193
|
1.327
|
0.9882
|
79.84
|
14/04/2010
|
8
|
6.49
|
1.350
|
1.065
|
1.0235
|
2.273
|
1.422
|
0.9891
|
75.60
|
10
|
6.492
|
1.350
|
1.065
|
1.0234
|
2.274
|
1.407
|
0.9890
|
75.50
|
12
|
6.466
|
1.341
|
1.058
|
1.0233
|
2.268
|
1.390
|
0.9892
|
75.84
|
14
|
6.476
|
1.347
|
1.063
|
1.0200
|
2.271
|
1.390
|
0.9890
|
75.69
|
16/04/2010
|
8
|
6.535
|
1.337
|
1.055
|
1.0243
|
2.286
|
1.389
|
0.9887
|
74.80
|
10
|
6.48
|
1.335
|
1.054
|
1.0243
|
2.273
|
1.390
|
0.9888
|
75.54
|
12
|
6.47
|
1.337
|
1.055
|
1.0243
|
2.270
|
1.391
|
0.9887
|
75.70
|
14
|
6.305
|
1.342
|
1.059
|
1.0274
|
2.233
|
1.390
|
0.9918
|
78.24
|
E101FED
|
PETROLE BRUT
|
REFLUX DE TETE
|
|
j
|
h
|
ut*104 (kg/ms)
|
hi /øt (kw/m20c)
|
hie/ øt (kw/m20c)
|
øt
|
ut'*104 (kg/ms)
|
h0/øc (kw/m20c)
|
ac
|
tt (0c)
|
19/04/2010
|
8
|
6.472
|
1.338
|
1.056
|
1.0244
|
2.260
|
1.391
|
0.9886
|
76.19
|
10
|
6.506
|
1.308
|
1.032
|
1.0242
|
2.270
|
1.356
|
0.9887
|
75.68
|
12
|
6.49
|
1.317
|
1.039
|
1.0240
|
2.266
|
1.357
|
0.9887
|
75.89
|
14
|
6.506
|
1.308
|
1.0320
|
1.0242
|
2.270
|
1.356
|
0.9887
|
75.68
|
20/04/2010
|
8
|
6.42
|
1.336
|
1.054
|
1.0222
|
2.253
|
1.390
|
0.9896
|
76.75
|
10
|
6.426
|
1.333
|
1.052
|
1.0230
|
2.253
|
1.391
|
0.9893
|
76.67
|
12
|
6.252
|
1.331
|
1.050
|
1.0235
|
2.205
|
1.410
|
0.9893
|
79.33
|
14
|
6.09
|
1.336
|
1.054
|
1.0247
|
2.158
|
1.400
|
0.9887
|
81.90
|
21/04/2010
|
8
|
6.59
|
1.338
|
1.056
|
1.0246
|
2.285
|
1.391
|
0.9886
|
74.84
|
10
|
6.423
|
1.344
|
1.060
|
1.0266
|
2.237
|
1.400
|
0.9879
|
77.29
|
12
|
6.45
|
1.340
|
1.058
|
1.0232
|
2.257
|
1.390
|
0.9900
|
76.67
|
14
|
6.515
|
1.317
|
1.039
|
1.0234
|
2.267
|
1.354
|
0.9891
|
75.88
|
23/04/2010
|
8
|
6.33
|
1.344
|
1.061
|
1.0242
|
2.220
|
1.376
|
0.9886
|
78.43
|
10
|
6.507
|
1.337
|
1.055
|
1.0237
|
2.269
|
1.356
|
0.9888
|
75.76
|
12
|
6.49
|
1.337
|
1.055
|
1.0235
|
2.264
|
1.357
|
0.9888
|
76.00
|
14
|
6.49
|
1.340
|
1.057
|
1.0230
|
2.267
|
1.355
|
0.9891
|
75.93
|
26/04/2010
|
8
|
6.35
|
1.339
|
1.057
|
1.0210
|
2.229
|
1.369
|
0.9900
|
78.13
|
10
|
6.31
|
1.338
|
1.055
|
1.0222
|
2.219
|
1.371
|
0.9894
|
78.62
|
12
|
6.32
|
1.320
|
1.041
|
1.0220
|
2.223
|
1.370
|
0.9900
|
78.48
|
14
|
6.39
|
1.303
|
1.028
|
1.0180
|
2.245
|
1.350
|
0.9910
|
77.46
|
27/04/2010
|
8
|
6.34
|
1.368
|
1.079
|
1.0200
|
2.231
|
1.416
|
0.9910
|
78.12
|
10
|
6.303
|
1.350
|
1.065
|
1.0220
|
2.219
|
1.408
|
0.9900
|
78.69
|
12
|
6.307
|
1.370
|
1.081
|
1.0200
|
2.222
|
1.414
|
0.9900
|
78.58
|
14
|
6.388
|
1.370
|
1.081
|
1.0180
|
2.244
|
1.415
|
0.9900
|
77.32
|
28/04/2010
|
8
|
6.306
|
1.354
|
1.068
|
1.0223
|
2.229
|
1.400
|
0.9896
|
78.04
|
10
|
6.29
|
1.329
|
1.049
|
1.0200
|
2.229
|
1.380
|
0.9900
|
78.22
|
12
|
6.306
|
1.320
|
1.041
|
1.0200
|
2.234
|
1.357
|
0.9900
|
77.97
|
14
|
6.379
|
1.301
|
1.027
|
1.0210
|
2.238
|
1.342
|
0.9900
|
77.63
|
30/04/2010
|
8
|
6.29
|
1.349
|
1.064
|
1.0200
|
2.228
|
1.390
|
0.9900
|
78.30
|
10
|
6.27
|
1.343
|
1.060
|
1.0220
|
2.220
|
1.399
|
0.9900
|
78.62
|
12
|
6.21
|
1.316
|
1.039
|
1.0210
|
2.204
|
1.399
|
0.9900
|
79.55
|
14
|
6.265
|
1.318
|
1.040
|
1.0220
|
2.222
|
1.347
|
0.9900
|
78.62
|
j
|
h
|
hi0 (kw/m20c)
|
he
(kw/m20c)
|
UP (kw/m20c)
|
01/04/2010
|
8
|
1.103
|
1.354
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|
10
|
1.112
|
1.376
|
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|
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|
1.084
|
1.341
|
0.600
|
14
|
1.061
|
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02/04/2010
|
8
|
1.102
|
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|
10
|
1.098
|
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|
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|
12
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|
1.221
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|
14
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0.982
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1.376
|
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|
05/04/2010
|
8
|
1.100
|
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|
10
|
1.100
|
1.340
|
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|
12
|
1107
|
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|
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|
14
|
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|
1.386
|
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|
06/04/2010
|
8
|
1.107
|
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|
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10
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|
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|
12
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0.612
|
14
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1.095
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|
07/04/2010
|
8
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|
10
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|
12
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1.076
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1.389
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|
14
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1.046
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|
09/04/2010
|
8
|
1.102
|
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|
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|
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|
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|
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1.096
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|
0.612
|
14
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|
1.387
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|
12/04/2010
|
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|
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1.090
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14
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|
13/04/2010
|
8
|
1.103
|
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12
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14/04/2010
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1.090
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|
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14
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1.085
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1.375
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0.606
|
j
|
h
|
hi0 (kw/m20c)
|
he
(kw/m20c)
|
UP (kw/m20c
|
16/04/2010
|
8
|
1.081
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1.081
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1.375
|
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14
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1.379
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0.608
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19/04/2010
|
8
|
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|
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|
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|
1.057
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|
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|
20/04/2010
|
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|
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|
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|
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|
21/04/2010
|
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23/04/2010
|
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|
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26/04/2010
|
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27/04/2010
|
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1.400
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28/04/2010
|
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|
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30/04/2010
|
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|
10
|
1.083
|
1.385
|
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|
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|
1.061
|
1.385
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0.600
|
14
|
1.060
|
1.334
|
0.590
|
ANNAXE VII : Résultats de calcul du coefficient de
transfert de chaleur propre
ANNAXE VII : Résultats de calcul du coefficient de
transfert de chaleur encrassé
j
|
h
|
E
|
R
|
F
|
DTML (0c)
|
At (0c)
|
U (kw/m20c)
|
01/04/2010
|
8
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02/04/2010
|
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0.850
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05/04/2010
|
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06/04/2010
|
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|
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|
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07/04/2010
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09/04/2010
|
8
|
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12/04/2010
|
8
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|
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13/04/2010
|
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14
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|
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14/04/2010
|
8
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|
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|
0.8716
|
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|
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|
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0.7766
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|
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|
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|
0.274
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16/04/2010
|
8
|
0.7703
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
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19/04/2010
|
8
|
0.7714
|
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|
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|
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|
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|
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|
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|
0.270
|
12
|
0.7714
|
0.8760
|
0.838
|
28.71
|
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|
0.263
|
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|
0.7714
|
0.8888
|
0.829
|
28.26
|
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|
0.270
|
j
|
h
|
E
|
R
|
F
|
DTML (0c)
|
At (0c)
|
U (kw/m20c)
|
20/04/2010
|
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|
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|
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|
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21/04/2010
|
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|
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23/04/2010
|
8
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|
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|
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|
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|
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|
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|
26/04/2010
|
8
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|
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|
83
|
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|
14
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|
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|
0.900
|
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|
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|
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|
27/04/2010
|
8
|
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|
0.7964
|
0.888
|
27.68
|
84
|
0.276
|
10
|
0.8
|
0.8
|
0.864
|
28.58
|
84
|
0.274
|
12
|
0.8058
|
0.7963
|
0.880
|
27.59
|
83
|
0.275
|
14
|
0.8137
|
0.7903
|
0.900
|
26.76
|
83
|
0.278
|
28/04/2010
|
8
|
0.7904
|
0.8253
|
0.880
|
28.64
|
83
|
0.263
|
10
|
0.8067
|
0.8023
|
0.863
|
27.43
|
83.5
|
0.273
|
12
|
0.8058
|
0.8192
|
0.862
|
26.80
|
83
|
0.274
|
14
|
0.7878
|
0.8820
|
0.867
|
26.46
|
78
|
0.253
|
30/04/2010
|
8
|
0.8058
|
0.8072
|
0.886
|
27.22
|
83
|
0.273
|
10
|
0.8039
|
0.8170
|
0.888
|
26.80
|
82
|
0.272
|
12
|
0.7961
|
0.8048
|
0.884
|
28.25
|
82
|
0.249
|
14
|
0. 8019
|
0.8283
|
0.900
|
26.34
|
81
|
0.260
|
ANNAXE VIII : Calcul de Rd
j
|
h
|
UP
(kw/m20c)
|
U (kw/m20c)
|
Rd
(m20c /kw)
|
RMOY
(m20c /kw)
|
01/04/2010
|
8
|
0.608
|
0.254
|
2.292
|
2.258
|
10
|
0.615
|
0.273
|
2.077
|
12
|
0.600
|
0.261
|
2.162
|
14
|
0.595
|
0.238
|
2.504
|
02/04/2010
|
8
|
0.610
|
0.266
|
2.120
|
2.324
|
10
|
0.600
|
0.266
|
2.090
|
12
|
0.544
|
0.236
|
2.399
|
14
|
0.573
|
0.225
|
2.690
|
05/04/2010
|
8
|
0.616
|
0.250
|
2.371
|
2.331
|
10
|
0.604
|
0.261
|
2.173
|
12
|
0.615
|
0.246
|
2.499
|
14
|
0.615
|
0.252
|
2.342
|
06/04/2010
|
8
|
0.615
|
0.263
|
2.174
|
2.353
|
10
|
0.612
|
0.248
|
2.398
|
12
|
0.612
|
0.248
|
2.398
|
14
|
0.610
|
0.245
|
2.442
|
07/04/2010
|
8
|
0.613
|
0.270
|
2.068
|
2.347
|
10
|
0.613
|
0.250
|
2.367
|
12
|
0.606
|
0.243
|
3.465
|
14
|
0.590
|
0.239
|
2.489
|
09/04/2010
|
8
|
0.614
|
0.267
|
2.116
|
2.288
|
10
|
0.612
|
0.252
|
2.334
|
12
|
0.612
|
0.252
|
2.334
|
14
|
0.607
|
0.249
|
2.368
|
12/04/2010
|
8
|
0.613
|
0.293
|
1.782
|
1.91
|
10
|
0.613
|
0.276
|
2.000
|
12
|
0.600
|
0.285
|
1.842
|
14
|
0.605
|
0.273
|
2.010
|
13/04/2010
|
8
|
0.614
|
0.286
|
1.87
|
1.813
|
10
|
0.590
|
0.306
|
1.573
|
12
|
0.570
|
0.289
|
1.91
|
14
|
0.964
|
0.258
|
2.103
|
14/04/2010
|
8
|
0.614
|
0.284
|
1.892
|
1.922
|
10
|
0.611
|
0.284
|
1.884
|
12
|
0.606
|
0.281
|
1.912
|
14
|
0.606
|
0.274
|
2.00
|
j
|
h
|
UP
(kw/m20c)
|
U (kw/m20c)
|
Rd
(m20c /kw)
|
RMOY
(m20c /kw)
|
16/04/2010
|
8
|
0.605
|
0.278
|
1.944
|
1.924
|
10
|
0.605
|
0.281
|
1.91
|
12
|
0.605
|
0.276
|
1.97
|
14
|
0.608
|
0.284
|
1.88
|
19/04/2010
|
8
|
0.606
|
0.270
|
2.054
|
2.049
|
10
|
0.591
|
0.270
|
2.012
|
12
|
0.593
|
0.263
|
1.963
|
14
|
0.591
|
0.270
|
2.012
|
20/04/2010
|
8
|
0.604
|
0.286
|
1.841
|
2.229
|
10
|
0.604
|
0.273
|
2.01
|
12
|
0.607
|
0.226
|
2.777
|
14
|
0.607
|
0.254
|
2.290
|
21/04/2010
|
8
|
0.606
|
0.255
|
2.271
|
2.025
|
10
|
0.609
|
0.248
|
2.39
|
12
|
0.606
|
0.321
|
1.465
|
14
|
0.592
|
0.273
|
1.974
|
23/04/2010
|
8
|
0.604
|
0.234
|
2.617
|
2.116
|
10
|
0.598
|
0.276
|
1.950
|
12
|
0.598
|
0.275
|
1.960
|
14
|
0.598
|
0.277
|
1.938
|
26/04/2010
|
8
|
0.600
|
0.267
|
2.080
|
2.050
|
10
|
0.600
|
0.270
|
2.040
|
12
|
0.596
|
0.268
|
2.053
|
14
|
0.587
|
0.269
|
2.010
|
27/04/2010
|
8
|
0.617
|
0.276
|
2.000
|
2.003
|
10
|
0.614
|
0.274
|
2.020
|
12
|
0.617
|
0.275
|
2.016
|
14
|
0.616
|
0.278
|
1.974
|
28/04/2010
|
8
|
0.610
|
0.263
|
2.163
|
2.117
|
10
|
0.600
|
0.273
|
2.000
|
12
|
0.593
|
0.274
|
1.963
|
14
|
0.586
|
0.253
|
2.340
|
30/04/2010
|
8
|
0.607
|
0.273
|
2.010
|
2.137
|
10
|
0.608
|
0.272
|
2.030
|
12
|
0.600
|
0.249
|
2.350
|
14
|
0.590
|
0.260
|
2.151
|
ANNEXE IX
AbaqueIX.3 : Détermination du facteur de
correction de la MLDT.
Abaque IX.4 : Détermination des
températures caloriques.
Abaque IX.6 : Fonction de transfert en fonction de nombre
de Reynolds, côté calandre
|