9. La sous bancarisation du secteur :
La forte potentialité de développement des NTIC
(téléphonie cellulaire)16. En effet, le nombre de
détenteurs de téléphones cellulaires se chiffre à
plus au moins 15 millions. Aujourd'hui grâce à des services comme
Tigo cash et Airtel Money que les opérateurs mobiles fournissent
à la population, On passerait donc de 1,4 à 15 millions de
comptes pour 70 millions d'habitants, soit 21 % de taux de
bancarisation17.
L'apparition des institutions de microfinance solides et
professionnelles est un atout également pour améliorer le taux de
bancarisation étant donné que ces institutions sont plus
présentes dans les milieux ruraux et offrent des services financiers en
l'absence des banques.
10. Existence de cadres de concertations d'une
Stratégie Nationale de microfinance (SNMF) soutenue par les Partenaires
Techniques et Financiers(PTF) notamment le KFW, CGAP, MAEF, ACDI,
FENU, PNUD, la Banque Mondiale, . .)18
15 DEVELTERE, P., DEBRUYN, T., LABIE, M., PERILLEUX,
A., « Réflexions pour une participation de la
coopération
belge a une politique d'appui a la microfinance en RDC
», juillet 2007, p. 13
16 CCAM, op. cit., p.18
17 Banque Centrale du Congo, « discours du
Gouverneur de la Banque Centrale lors de la journée
internationale
de l'épargne édition 2011»
18 CCAM, op. cit., p.17
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