La France et la reconstruction de la République Démocratique du Congo( Télécharger le fichier original )par Guelord Mpongo Ngamake Université de Lubumbashi - relation internationale 2010 |
SECTION II DE L'ACCOMPAGNEMENT DE LA FRANCE A LA RECONSTRUCTION DE LA RDCIl va être question de la relance de la croissance sur l'opération durable des ressources naturelles et sur l'investissement privé, cela aura pour avantage de l'aide Française dans la revisitation des contrats minier en RDC, en passant par l'implantation des finis internationale en RDC et la question du développement durable §.1 LA RELANCE DE LA CROISSANCE SUR L'EXPLORATION DURABLE DES RESSOURCES NATURELLES ET SUR L'INVESTISSEMENT PRIVELa république démocratique du Congo (RDC) a connue une dégradation de la situation économique qui s'est poursuivie au cours des quatre derniers années durant cette période, le PIB a baisser considérablement. Aucun secteur de l'activité économique n'a été épargné et cela a provoquer des distorsions sur le marché des biens et service, sous l'impulsion à la fois du déséquilibre entre l'offre et la demande et des politique intervient ionismes justifiées par l'Etat des crissez face à cette réalité seule une croissance de l'investissement s'assigne les objectifs globaux de stabilisation du cadre macro économie de réhabilitation des infrastructure et de relancer les secteurs productifs.53(*) La recherche de la création des conditions de vie est fonction de la croissance équitable et d'un développement durable. L'objectif est d'améliorer les conditions de population a la base dans les domaines et secteurs d'activité qui leur assurent la survie et dans les quelle elles ont démontrée des capacités d'entreprise particulièrement prometteurs. Il faut faciliter le passage de ces stratégies de la préoccupation de survie à celle de la croissance équitable et du développement humain durable. Dans chacun de ses secteurs vitaux, le gouvernement entend appuyer sans en être directement responsable, quelques actions et secteurs prioritaires.54(*) Admettons que la crise socio économique et institutionnel ainsi que la cahote d'instabilité et d'insécurité juridique ont également en plus des retombée sur les relations de la RDC avec la communauté internationale. Le pays a accumulé d'énormes anémies de la dette extérieure. La porte d'accès aux facilité financière des institution bilatérale et multi latérale s'est considérablement réduite depuis un certain moment, la fenêtre des opportunités s'ouvre peu a peu. C'est dans ce contexte que la RDC accorde une importance accrue aux principes universels sur l'investissement privé. La RDC reconnaît de la dignité humaine. Plus d'une occasion de gouvernement a nettement proclamé sa volonté de sortir de ce sinistre passe par les étapes fondamentales et déterminantes. La porte d'accès aux facilités financière des institutions internationales lui a été fermée. Cela s'explique par le fait que la fragilité et l'instabilité institutionnels ont créer une situation d'insécurité juridique et judiciaire permanente pour le secteur privé productif, moteur de croissance l'investissement privé qui se situe à un niveau moins élevé. Le repli de l'activité productrice privée a eu des répercussions sur le niveau de pauvreté. L'exploitation durable de ressource naturelle permettra à l'ensemble du pays de fournir le nécessaire pour relancer la croissance de la RDC en dépit des multiples difficultés qui connaît l'Etat congolais. La concentration des recettes en province de l'investissement privé doit être traité avec le sérieux possible dans l'unique but de répondre favorablement aux aspirations de la population entière. Il est à démontrer qu'aucun pays du monde ne s'est développé uniquement avec l'exploitation des ressources naturelle. C'est alors que l'implication de l'Etat doit assurer la survie de l'Etat, des populations entières de manière que des ressources naturelles est ravage du développement à la seule condition que l'Etat joue pleinement son rôle d'assurer aux populations les conditions de vie décentes. * 53 ALBERTINE J.M,op.cit,p.169 * 54 ALIOUNE S, la compétitivité des économies africaines, paris éd. Karthala, 2010, P.30 |
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