Page | I.
PEPT6,41-6E
Aux familles Nkulu et Abdala, je dédie ce
travail.
Atoi ma mère ; Clara Abdala K. Zawadi ; toi
pour qui
les mots sont faibles pour
traduire ma reconnaissance a ton
endroit ;
Les hommages a toi papa
; Césaire Nkulu Mukabi ;
Avous mes freres et soeurs : Nathalie, Rolly,
Ninon, Herve, Igor et Lionel ceci et le symbole de notre
réussite.
Atous ceux qui nous ont
accompagnés dans nos efforts et
sacrifice,
à tous les camarades de promotion : Jeff Kalala,
Chris
Kashiba, Paul Nkulu, Djo Muitila, Fils
Mambay, Nico Kabanza et
Sophony Kabamba.
Et a vous frères-amie ; Christian Benedicte
Tshibwabwa,
Ives Nkashama,Frank Irung a vous tous
trouvés
l'expression d'amitié.
AVANT PROPOS
Qu'il nous soit permit avant toute chose d'exprimer notre
profonde
gratitude a tous ceux qui de près comme de loin ont
contribué a
l'aboutissement de ce travail.
Particulièrement, nous remercions le chef de travaux
Léon MISHINDO
MBUCICI d'avoir accepté la direction de ce
travail qui désormais
appartient a un patrimoine intellectuel ; au
chef de travaux MUKALENGE
TSHIKENDA en dépit de multiples
occupations, la codirection a été
possible, nous leurs
témoignons nos de considération.
Nos remerciements vont tout droit à tout le corps
professoral de I.S.S.|
Lubumbashi, pour nous avoir transmis la connaissance
scientifique qui
nous distingue de la masse populaire a un cadre
intellectuel faisant de
nous un Licencié en Statistique ; et pour
s'être montré toujours disposé de
répondre
favorablement a nos diverses préoccupations scientifiques.
Nous ne pouvons conclure sans remercier le chef de travaux
Michel-Caleb
NKULU KATEBA pour qui la compréhension reste
présente, aux chefs des
travaux Paul MONGA, KALAM KAMB, KOKO,
Prospère LUNGANGA,
Professeur Dr SUMBA, Assistant Jimmy MALAMBA pour
ne citer que ces
quelques noms.
Nos remerciements s'adresse également aux
collègues ainsi qu'aux
camarades d'avoir contribué tant
moralement que matériellement de
leurs dévouements sans
pareils.
RESUME DU TRAVAIL
Notre travail s'institue : Etude statistique des facteurs
d'adhésion a un réseau de téléphonie mobile dans la
ville de Lubumbashi. (Cas des étudiants de la ville de Lubumbashi).
Nous avons été touchés par
l'intérêt de dégager les facteurs qui motive
l'adhésion d'un individu (étudiant) a un réseau
téléphonie mobile, malgré le multiple choix lui
accordé, ainsi que les différents coûts d'un abonnement et
celui d'acquisition d'un kit y afférent.
A cet effet, nous avons commencé par récolter les
informations susceptibles de nous conduire à atteindre des
résultats qui répondront à notre préoccupation
scientifique.
Nous avons rédigé un questionnaire qui a
été le lien entre l'enquêteur que nous étions aussi
et les étudiants dans les quartiers des résidences des
différentes communes de la ville de Lubumbashi qui constituent la
population ciblées échantillonnées. La stratification
couplée au sondage aléatoire tel sont les méthodes
d'échantillonnages appliquées dans la constitution de notre
échantillon.
A l'égard de ce qui précède, nous avons
abouti des conclusions suivantes :
L'appartenance a un quelconque réseau de
téléphonie mobile est
fonction de son entourage selon que l'on côtoie une
catégorie des personnes, et surtout la considération mesurable de
son pouvoir d'achat qui justifie la fidélité d'un individu a un
abonnement téléphonique.
INTRODUCTION GENERALE
0.1 CHOIX ET INTERET DU SUJET
Les téléphones portables n'ont pourtant pas
toujours été aussi
populaires, et ceux que nous connaissons aujourd'hui sont le
fruit d'une longue évolution, qui prendra la source plusieurs dizaines
d'années en arrière.
La téléphonie mobile est un moyen de
télécommunication par téléphone sans fil. Ce moyen
de communication s'est longuement rependu a la fin des années 1990. La
technologie associée bénéficie des améliorations
des composants électroniques, notamment miniaturisation,
ce qui permet aux téléphones d'acquérir les fonctions
jusqu'alors réservées aux ordinateurs.
En lui-même l'appareil téléphonique peut
être désigné « mobile »,
« téléphone portable », «
cellulaires » (en Amérique du nord) « Cell » (au
Québec dans le langage familier), « Natal » (en
suisse), « GSM » (en Belgique) etc. Quand il est doté des
fonctions évoluées, c'est un Smartphone ou
téléphone intelligent. (11)
Les systèmes mobiles actuels fonctionnent en mode
numérique. La voix est échantillonnée,
numérisée et transmise sous forme de bits, puis
ré-synthétisée au niveau de la
réception. Les progrès de la microélectronique ont permis
de réduire la taille du téléphone mobile à un
format de poche. Les Avantages des systèmes numériques sont la
baisse du prix des terminaux, l'augmentation des services,
l'augmentation du nombre d'abonnés et enfin une meilleur
qualité de réception de la voix.
Cependant, l'usage du téléphone portable a
explosé dans les pays les plus pauvres, là où le
réseau téléphonique fixe est souvent
1 Tiré dans le tutorial du
téléphone portable et son évolution.
embryonnaire. En 2008, trois abonnements sur quatre (soit trois
milliards) ont été souscrits dans les pays en voie de
développement, contre un sur quatre en 2000. (2)
Dans le souci de comprendre le mobile qui pousse
l'adhésion d'un individu a un réseau de
télécommunication plutôt qu'à un autre, nous avons
souhaité mener une étude dont l'intituler est « Etude des
facteurs d'adhésion a un réseau de
télécommunication de téléphonie mobile a
Lubumbashi». (Cas des instituts supérieurs et universitaires de la
ville de Lubumbashi)
Selon un rapport de l'ONU, Union internationale de
télécommunication pour notre part, nous serons plus statisticien
concernant notre analyse et ferons ressortir les éléments
influençant l'appartenance a un réseau de
télécommunication nationale.
Nous utiliserons certaines méthodes et techniques
statistiques. La statistique se définissant comme l'ensemble des
méthodes
scientifiques à partir desquelles, on collecte, organise,
présente et analyse les donnes afin d'en tirer des conclusions qui
permettent de prendre des décisions efficientes. (3)
Ainsi pour prétendre abord d'une analyse statistique et
préparer un conseil, il est impérieux de recourir aux techniques
d'analyses des données.
Dans une étude scientifique, le choix et
l'intérêt du sujet dépendent en grande partie des
motivations propres qui préoccupent le chercheur sur
un problème précis et dont la tentative de solution
une principale ambition.
En effet, il nous est nécessaire de faire valoir dans ce
travail, les motifs
qui nous ont poussés à faire ce choix et à
justifier notre attention soutenu sur les facteurs influents sur
l'adhésion a un réseau de télécommunication.
2 Selon un rapport de l'ONU, Union Internationale de
Télécommunications.
3 Bernard Grais; Méthodes et Statistiques:
Edition Dunod, 1977 page 7.
Ce travail revêt un double intérêt. Sur le
plan théorique : notre travail donne un document d'analyse des facteurs
motivant l'adhésion a un
réseau de télécommunication et met aussi
à la disposition des futurs chercheurs, gestionnaires des maisons de
télécommunication, et ceux
qui pour telle ou telle autre raison serait
intéressés par le sujet ; un document de
référence.
Ce travail a comme intérêt pratique : de
révéler aux responsables des maisons de
télécommunication ainsi qu'à toute autre personne
voulant
exploiter ce domaine, les facteurs qui justifient le choix a un
réseau défini parmi plusieurs autres dans la concurrence.
0.2 PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES DE LA RECHERCHE
0.2.1 PROBLEMATIQUE
L'analyse ou l'étude d'un sujet scientifique
dépend dans une large mesure de la façon dont les questions sont
articulées, a nous de trouver des réponses ou problèmes
posés. (4)
De par la définition, la problématique et la
question principale autour de laquelle doit tourner le travail.
Comme procès de réflexion, elle est l'art
d'élaborer et de poser clairement le problème et aussi de
résoudre en suivant la transformation dans la réflexion
scientifique ou philosophique.
Constatant une évolution dans la sériation des
numéros téléphoniques ainsi qu'aux slogans stipulant
« Merci d'avoir fait de nous le réseau le
plus populaire. » , « ...leader dans le monde
cellulaire. », « ...mieux qu'un choix. », « ...plus
près de moi », et aussi a une bonne croissance
remarquable de points de vente des appareils cellulaires à
bon prix dans la république démocratique du Congo,
particulièrement dans la ville de Lubumbashi, raison pour laquelle nous
nous mobilisons pour nous poser la question de savoir :
4 Pinto et Grawitz. Méthodes de recherche en
science sociale, 3eme Edition, Paris 1961.
· quels sont les facteurs motivants l'adhésion
d'un individu a un réseau de télécommunication de la
téléphonie mobile plutôt qu'à un autre dans la ville
de Lubumbashi ?
0.2.2 HYPOTHESE
L'hypothèse est une proposition de réponse a la
question posée.
Elle tend à formuler une relation entre des faits
significatifs même plus ou moins précises, elle aide à
sélectionner les faits observes.
A ce stade, les réponses ne sont guère
définitives, elles sont plutôt des tentatives des réponses
qui seront approfondies tout au long de notre travail.
Cette étude est tout entière tournée vers
les facteurs motivant l'appartenance a une quelconque maison de
télécommunication, ainsi nous pensons que : l'adhésion a
un réseau de télécommunication est facteur de cout d'appel
ainsi qu' aux couleurs d'identification de ce dernier notamment
l'étiquette.
0.3 METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
0.3.1 Méthode
La méthode demeure l'élément le plus
important pour un chercheur. Il est toujours souhaitable que cette
dernière détermine d'abord ce qu'il attend utiliser pour un
phénomène et pour l'analyser.
La méthode est une voie mentale comprenant un ensemble des
opérations intellectuelles de traitement des données par laquelle
une discipline cherche a atteindre les vérités qu'elle poursuit,
les démontres et les vérifies. (5)
5 Kanku M. note de cours Inédit :
Méthodes et techniques de recherche scientifique ; 2eme
graduat ISS| jour.
Nous utiliserons la méthode descriptive notamment
l'analyse
factorielle des correspondances multiples, pour la description du
phénomène sous étude et du fait que l'enquête
comporte les
questions relatives a plusieurs aspects différents des
individus étudiéafin de pouvoir ressortir les facteurs
d'adhésion a un réseau de
télécommunication de la téléphonie
mobile dans la ville de Lubumbashi.
0.3.2 Techniques
Les techniques sont les procèdes opératives
rigoureux bien définis transmissible, susceptible d'être
appliquées dans les mêmes conditions. (6)
Dans une enquête statistique ou il est question de
collecter d'abord les
données, nous nous proposons d'utiliser les techniques
suivantes : L'observation documentaire, l'interview, les questionnaires ainsi
que l'entretien libre.
0.4 DELIMITATION DU SUJET
Pour plus d'efficacité dans l'élaboration d'un
travail scientifique, il est important de circonscrire un sujet d'étude,
cela implique la délimitation aussi spatiale que temporelle.
Pour notre part, l'espace qui va intéresser notre travail
est la ville
de Lubumbashi particulièrement les communes qui la compose
, où nous pensons avoir une représentation parfaite des individus
qui constituent la population estudiantine qui nous intéresse en ce
jour.
Mais notre travail avant la période de notre enquête
(deuxième trimestre de l'année 2011. Et pendant
l'enquête.
Ainsi donc, le travail nous permettra d'analyser statistiquement
les données collectées couvrant le comportement d'un
abonné congolais
6 Kanku M. note de cours : Méthodes et
techniques de recherche scientifique ; inédit, 2eme graduat
I55| jour.
vivant dans la ville de Lubumbashi ; a un réseau de
télécommunication de la téléphonie mobile pendant
la période 2006-2011.
Le choix de cette période est justifié par le fait
qu'il y a eu déjà existence de maisons (entreprises) de
télécommunication dans la ville de Lubumbashi avec une
concurrence a la loyale.
0.5 DIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la conclusion générale,
quatre chapitres constitueront le notre travail :
· Le premier chapitre portera sur la méthodologie
poursuivie dans la collecte des données, donc la méthodologie de
collecte des données ;
· Le deuxième chapitre sera intitulé :
Théorie sur l'analyse factorielle des correspondances multiples. Ici il
est question d'évoquer la théorie nécessaire sur l'analyse
factorielle ;
· Le troisième chapitre portera sur l'approche
théorique de l'analyse des facteurs d'adhésion a un réseau
de téléphonie mobile ;
· Le quatrième chapitre est la partie substantielle
du travail, c'est ici ou il sera question de porter notre analyse scientifique
afin de tirer des conclusions objectives poursuivies. Il est intitulé
Détermination des facteurs prépondérants pour
l'adhésion des étudiants a un réseau de
téléphonie mobile a Lubumbashi par l'ACP.
CHAPITRE I : METHODOLOGIE DE COLLECTE DES DONNEES
Pour arriver a la collecte des données traduisant le
phénomène d'étude, la démarche de tous scientifique
(statisticien que nous sommes) consiste à recueillir des informations
objectives sur le phénomène en études. Ces informations
sont des données numériques dont il est question pour un
travail scientifique ; autrement appelés des
données statistiques et peuvent être obtenues de deux
manière ci-après :
· Le statisticien utilise les données collectes par
d'autre, ou mieux ;
· Le statisticien lui-même participe a
l'élaboration des ses données.
Cependant nous avons obtenus les données se rapportant au
phénomène faisant l'objet de notre étude en participant en
participant activement à leurs élaborations.
I.1 ECHANTILLONNAGE
Cette section présente la méthode
d'échantillonnage utilisées (les unités de sondage, les
bases de sondages, la taille de l'échantillon, la méthode de
tirage des unités) et montre la dispersion de l'échantillon
enquêté.
I.1.1 Méthode d'échantillonnage
Nous avons pratiqués le sondage a plusieurs
degrés, stratifié a priori au niveau des unités primaires,
a été adopté comme méthode
d'échantillonnage.
La strate ville est divisée en deux sous strates : la
commune et
l'appartenance a une institution universitaire. Aucune
stratification explicite n'a été faite au niveau des communes,
dans la mesure oü la répartition géographique de la ville
constitue en elle-même une stratification implicite.
I.1.2 Unité de sondage
Pour chaque strate et chaque niveau de tirage, les unités
de sondage ont été définies :
· Commune (cités)
- Au premier degré : unités primaires = les
quartiers
- Au second degré : unités secondaires = les
étudiants.
Les quartiers retenus respectivement comme unité
primaires sont des entités administratives clairement définie par
l'ordonnance-loi n 82-006
du 25 février 1982. Tandis que les étudiants sont
définis comme des individus appartenant à une institution de
formation supérieure et universitaire dans une entité
organisée. (7)
Quant à la base de sondage des unités de
l'échantillon final (étudiants enquêtés) ; elle est
constituée des listes exhaustives des individus habitant les quartiers
échantillonnés.
I.2.3 Mode de tirage de l'échantillon
· Tirage des unités primaires : dans les communes,
les quartiers ont été tirés proportionnellement à
leurs importances.
· Les unités de l'échantillon final : les
unités secondaires ont été tirées de manière
systématique. Certes, le choix complémentaire ont fait l'objet
d'un tirage aléatoire.
I.2 OUTIL DE COLLECTE
I.2.1 Questionnaire d'enquête
Le questionnaire conçu pour recueillir les informations
de référence a été
adapte pour répondre aux besoins de la cause. Il reste le
lien entre l'enquêteur et les individus cibles ; dans ce cas ne sont rien
d'autre que des personnes physiques. De ce fait, nous avons tenu compte des
questions impliquant des réponses ponctuelles et précises.
7 D'après l'Ordonnance-Loi N0082-006
du 25 février 1982.
I.2.1.1 Mode d'utilisation du questionnaire
Il convient de noter que le questionnaire faisant l'objet de
notre enquête sera présenté dans les annexes. Cependant,
nous nous sommes rendus sur le terrain qui représente notre population
d'étude qui est la ville de Lubumbashi afin de prélever un
échantillon fiable et digne des conclusions qui en découleront.
En outre, les étudiants étaient notre population
représentative.
Nous avons posés des questions et avons pris notes de
leurs réponses et cette technique a pour avantage la réduction
considérée de nombre de non réponses.
Il était important de fournir une information aux
près des personnes ciblées sur le but de l'enquête surtout
sur toutes les indications utiles, sur la façon de comprendre le
questionnaire en présence. L'élaboration
des données demeure une étape déterminante
et cruciale pour les conclusions tirées de l'analyse statistique et des
décisions qu'elles peuvent engendrer ; une base de sondage est d'une
importance capitale
dans le regroupement des informations des individus
échantillons.
I.3 PROCEDE DE TIRAGE ALEATOIRE DE L'ECHANTILLON
Une enquête par sondage ou simplement est une enquête
portant sur une fraction représentative de la population
étudiée dite population de référence et cette
fraction constitue un échantillon.
Dans notre cas, pour arriver a constituer l'échantillon de
notre travail, nous avons procédé à un sondage à un
seul degré en utilisant le sondage aléatoire en prenant comme
critère de stratification les communes de la ville de Lubumbashi.
Outre cela, nous définissons la ville de Lubumbashi comme
l'espace de notre recherche en une aire qui est la classe estudiantine.
A ce sujet 1350 étudiants ont été
interrogé correspondant
indépendamment des toutes les communes que compose la
ville de Lubumbashi.
I.3.1 La stratification
Une stratification consiste à découper la
population étudiée en groupes homogènes
dénommés Strates et a tirer indépendamment un
échantillon aléatoire dans chaque strate ; son
intérêt est de gagner en efficacité, en effet, même
si les unités de la population étaient reparties au hasard entre
les strates ; un échantillon prélevé par tirage exhaustif
avec taux de sondage uniforme dans chaque strates. (8)
La stratification peut être utilisée a chaque
degré d'un sondage a plusieurs degrés : on parle de la sous
stratification.
I.3.2 Le sondage élémentaire et
utilisation
La méthode consiste a tirer l'échantillon dans
une population définie en donnant a chaque individu de la population la
même probabilité d'être designer.
Dans ce cas, il a fallu établir une base de sondage,
numéroté les individus statistiques de 0001 a 1350 qui ne rien
d'autre que la taille de l'échantillon. Pour une analyse fiable, il nous
a était conduit dans le cas
d'espèce, a appliquer le tirage indépendant, par
conséquent notre échantillon est dit simple.
Etant donné que le tirage est exhaustif, on élimine
les éléments qui se répètent et on continue ; ainsi
notre échantillon aléatoire exhaustif des 1350 individus
(étudiants adhérant à un ou plusieurs réseaux de
téléphonie mobile local), constituée d'une
population hétérogène (entreprise de
télécommunication), qui est les réseaux de
téléphonies mobiles a Lubumbashi.
I.3.3 Erreur de sondage
Les estimations faites a partir d'une enquête par
sondage sont sujettes a deux catégories d'erreurs : les erreurs
d'observation ou de mesure et les erreurs de sondage.
8 Chef de travaux Paul Monga, Cours inédit,
Techniques et Pratiques de Sondage, 3eme Graduat ISS| Jour,
Lubumbashi.
Les erreurs d'observation sont les biais imputable a la mise en
oeuvre de la collecte et de l'exploitation des données (omission d'une
unité ciblée, réponse incohérente, erreur de
saisie, etc.). Bien que les précautions soient toujours prises, il reste
difficile d'éviter toutes les erreurs d'observation et d'en
évaluer l'importance. Par contre, les erreurs de
sondage peuvent être évaluées
statistiquement. Les estimations qui figurent dans ce travail ont
été obtenues a partir d'un échantillon donné des
étudiants. Si cette enquête avait été
effectuée a d'autres étudiants, nous osons penser que les
fréquences des réponses auraient été très
peu différentes de celle présentées ici. C'est
l'incertitude de cette assertion
que reflète l'erreur de sondage qui permet de mesurer le
degré de variation d'un échantillon a un autre.
L'erreur standard est un indice particulièrement utile
pour mesurer l'erreur de sondage d'un paramètre (moyenne ou proportion).
On l'estime a partir de la variance des réponses dans
l'échantillon même ; l'erreur standard étant la racine
carre de la variance.
I.4 DEFINITIONDES CONCEPTES DE BASES
SECTION I : La théorie sur les concepts
Dans ce travail, l'analyse se porte sur les
éléments portant motivation
d'adhésion a un réseau de
télécommunication de téléphonie mobile oeuvrant
dans la circonscription de la ville de Lubumbashi.
Une classification s'avers indispensable autour des concepts
clés dans le
souci de rendre plus accessible cette étude a tout
éventuel lecteur.
Définir un mot n'est pas chose facile, car en le
définissant on a tendance a inverser son propre jugement, raison pour
laquelle autour d'un mot une pluralité des définitions se
dégage. Hormis la définition des concepts qui seront
évoqués en section I, quelques facteurs motivant
l'adhésion a un réseau de téléphonie mobile feront
l'objet de la section II.
De ce fait une majeure différence se dégage entre
STATISTIQUE comme
concept et STATISTIQUES toujours au pluriel qui pourtant
sont des
chiffres, par définition, se rapportant à un
phénomène observé présenté parfois sous
forme de tableau, parfois traduite par des graphiques regroupant toute les
informations y afférant. Autrement dit la Statistique est l'outil qui
permet la prise des décisions judicieuses en ayant pour but le
renseignement sur des faits. (9)
1°) Etude
C'est un ensemble préparatoire au travail scientifique
pour un examen, soit sur un projet qui exige des questions, la documentation,
la méthodologie ainsi que l'expérimentation afin d'être
variable objective.
(10)
2°) Facteur
Il est un élément influençant
négativement ou positivement un phénomène donné.
L'influence est négative lorsqu'il ya disfonctionnement de l'appareil.
(11)
3°) Communication
Au delà de l'élaboration du produit de la fixation
de son prix et de la distribution, l'entreprise doit communiquer avec ses
clients, ses fournisseurs ainsi que tout autre prenant à son
activité.
Le mix de communication comporte cinq modes d'actions majeurs :
la
promotion de vente, le marketing direct, les relations publiques
et la force de vente. (12)
Pour définir son mix de communication, l'entreprise doit
analyser les
avantages et les unités de chaque outil en tenant compte
du type de produit, du type de marché sur lequel elle exerce son
activité ; du type de réponse qu'elle attend de l'acheteur et de
l'étape du cycle de vie dans lequel se situe les objectifs de la
communication , peuvent être cognitif( connaissance sur le produit, la
marque ou même l'entreprise), affectif
9 Nkulu K. Michel-Caleb, cours inédit,
Techniques de collecte des données, 2eme Graduat ISS
Lubumbashi.
10 Masierin, Notion essentielle de la statistique et
calcul de probabilité, Sirey 1970.
11 Dictionnaire Petit Robert.
12 KOTLER, PH, DUBOIS, B, KELLER, K et MONCEAU, D,
Marketing management, 3eme Edition Et PEASON
(sentiments, association mentales) ou comportement ( achat,
consommation).
L'élaboration d'une communication comporte huit
étapes successivement, il faudrait :
- Identifier la cible de communication ;
- Déterminer les objectifs poursuivis ;
- Concevoir le message ;
- Choisir les canaux de communication ;
- Décider sur le budget ;
- Déterminer mix de communication ;
- Mesurer les résultats ;
- Et coordonner le processus de communication dans son
ensemble.
4°) Abonnes
L'on défini un abonné comme étant un usager
plus ou moins régulier et
fidele d'un service ; c'est donc un consommateur sur qui
l'entreprise peut compter.
5°) Adhésion
Ne rien d'autre qu'une approbation réfléchie ;
apporter son apport, mieux son assentiment afin de partager les vues. Autrement
dit elle consiste de tenir fortement par un contact étroit de la
totalité ou de la plus grande partie de la surface.
6°) Téléphone
Le téléphone est définie comme un instrument
qui permet de transmettre a distance, des sons par l'intermédiaire d'un
circuit électrique ; donc un procédés ou dispositif qui
organise la liaison d'un grand nombre des personnes au moyen de cet appareil.
(13)
13 Le tutorial du téléphone portable et
son évolution.
7°) La téléphonie mobile
Il s'agit d'un moyen de télécommunication par
téléphone sans fil. Cet appareil téléphonique en
lui-même peut être nommé MOBILE, téléphone
portable, PORTABLE, téléphone cellulaire en Amérique du
nord, CELL
Québec dans le langage familier, NATEL en Suisse, GSM en
Belgique, lorsqu'il est doté d'une fonction évolué c'est
un SMATPHONE ou téléphone intelligent. (14)
8°) Réseau
Parler d'un réseau dans le langage de la
télécommunication traduit un ensemble des moyens de
télécommunication disposé et destiné à
relier les abonnés a un même centre de raccordement qui leur
permet l'accès au réseau générale.
(15)
9°) Ville
La définition du concept VILLE reste souvent insuffisante
et varie selon
les pays et les contextes historiques. Au terme de
l'ordonnance-Loi N°082-006 du 25 février 1982 ; par ville nous
entendons toute agglomération de forte concentration
démographique et ouvrière ayant une population de plus de 100000
habitants ou encore toute agglomération jugée stratégique
et érigée en ville par une Ordonnance présidentielle.
(16)
Selon l'esprit de cette Ordonnance-Loi, toutes les communes sont
d'office considérées comme des villes.
10°) Entreprise de
télécommunication
Une entreprise de télécommunication est
définie comme étant une entité économique autonome
qui en combinant devient facteur de production nommés INPUT, produit des
biens et services appelés OUT PUT pour un marché dans le but d'en
tirer un profit et de perpétuer ses activités.
14 Le tutorial du téléphone portable et
son évolution.
15 Idem OP cite.
16 L'Ordonnance-Loi N 082-006 du 25 février
1982
Lorsque la spécialité est l'offre des services de
télécommunication c'està-dire la transition ainsi que la
réception a distance de la voix, des images, etc., elle est alors le cas
de l'entreprise de télécommunication tel est le cas qui constitue
le cadre de ce travail. Ainsi donc, spécifier les concepts de base de
notre travail nous croyons avoir levé toute ambigüité dans
la compréhension.
SECTION II : Présentation des Facteurs
d'adhésion a un Réseau
Nous considérons un échantillon d'abonnés
correspondant respectivement n1, n2, n3,..., nk individus (abonnés de
téléphonie mobile) pour chacun desquels nous disposons
d'observations relatives a p observations. A l'ensemble de ces variables
(variables quantitatives et variables qualitatives), est associé le
tableau de description Xnp.
L'ensemble des modalités qj de la variable quantitative N
est notée :
Q : qj (j=1, 2,3,..., k) qp (j=1,2,3,...,k)
A. La codification
Les données dont nous disposition concernent les facteurs
portant sur les caractéristiques des individus interrogés
(abonnés), établie et constituer par nous même par
l'entremise du questionnaire soumis aux abonnés de
téléphonie mobile.
B. Le codage d'une variable qualitative
Coder une variable qualitative c'est associe a chaque
modalité un nombre réel aussi transformer cette dernière
en variable quantitative. (19)
Nous ne manquerons pas des signifier que nos individus sont
symbolisés par ni (i= 1350) et les facteurs d'adhésion par k
indicée (h=1, 2,3,..., u) et certains facteurs sont impossibles a
saisir.
Nous allons utiliser la méthode de Sturge en vu de
regrouper les observations en classes ou en catégorie et il est
préférable de travailler avec des classes d'amplitudes
homogènes mais selon les phénomènes étudié ;
également on peut arriver à adopter des classes des amplitudes
différentes. Le mieux étant de respecter la
régularité dans les différentes classes de la distribution
et que ces différences ne puissent dissimuler l'information contenue
dans les variables observées, tel que est le cas pour certaines
questions de notre travail.
ENCODAGE POUR TRAITEMENT (analyse)
K1 : sexe de l'individu (abonné)
- Hom : Homme
- Fem : Femme
K2 : réseau d'appartenance de l`abonné
- Airt : Airtel
- Vod : Vodacom
- CCT : CCT
- Tigo : Tigo
K3 : qualité d'appréciation de la communication
Intercommunication
- INTB1 : Bien
- INTM1 : Moyenne
Intra-communication
- INTB2 : Bien
- INTM2 : Moyenne
K4 : impact publicitaire (PUB)
- PUBa : Attirant
- PUBm : Moins attirant (indifférant)
K5 : tranche d'âge (âge)
- AG17 : de 17ans a 22ans
- AG23 : de 23ans a plus
K6 : état civil
- CELI : Célibataire
- Mari : Marié
- K7 : source de revenu
- SRPA : Parent
- SRTU : Tuteur
- SRJO : Job
- SRAU : Autre.
P a g e | 21
CHAPITRE II : THEORIE SUR L'ANALYSE FACTORIELLE DES
CORRESPONDANCES MULTIPLES
II. 1 GENERALITES
Le but des méthodes d'analyse factorielle est de
décrire les ensembles i et j en vue d'avoir une visualisation de
l'ensemble des données. Cette
structure sera définie par la distance aux
proximités entre les points représentant les individus ou et les
caractères.
II. 2 CONCEPTS FONDAMENTAUX
La proximité traduit la ressemblance entre les individus
ou entre les caractères, le degré d'association existant entre
eux plus généralement entre les groupes d'éléments
extrait de l'un ou de l'autre de ces ensembles. Pas scellement concis, le
résumé également doit être fidele ; il s'agit la de
faire une restitution de `information analysée ainsi grand que possible
dans un volume sensiblement inferieur.
Cependant, trois possibilités s'offrent pour mesurer la
proximité, les distances, les indices géométriques ainsi
que les similarités. Ces trois possibilités sont
différentes entre elles suivant que l'on recherche a la mettre en
évidence ainsi que sur les caractères plus ou moins contraignant
des propriétés qu'elles doivent satisfaire.
II.2.1 La distance
Dans Rp la distance entre deux individus i et j
constitue un nombre caractéristique de la ressemblance des deux
observations correspondantes :
d2 (xi, xi') = ?p(xij,xi'j)'(xij,xi'j)
cette mesure doit satisfaire aux trois axiomes fondamentaux :
d (i,i')=0 et d (i,i')=0
i= (xij,xij')= ?xij.xij'
Symmetries: d (i,i') = d(i', i) pour i, i'= 1,2,3,...,n
inégalité triangulaire: d (i, I')= d (i, i»)+
d (i»+i').
a) Distance euclidienee
Existence des corrélations entre variables:
Xij= {xij|i Rp} ; Xij={ xij|i Rp} et
d2 (i, i-1)=?(xij-xi' j)
Dans cette optique, la distance entre les variables est
pondérée. On introduit un système de pondération.
Pour les indices, ce système est souvent donné par l'importance
relative que l'on accorde aux différents individus.
Ces unités ayant servi à mesurer chacun de p
caractères étudiés, peuvent ne pas être comparable.
On recourt alors a des transformations : centrer et renduite.
b) Distance de X2 d2 (i, i-1)=
~
~
et cette distance est définie dans Rn qui
mesure la proximité de deux modalités différentes choisies
par le même individu qui coïncide et les deux individus sont
proches, s'ils ont choisis la même modalité, ils sont
éloignés, s'ils n'ont pas répondus de la même
manière.
c) Distance de MINKOWSKI
Cas des coordonnées orthogonaux :
D (k, k') =
= 1|n avec n=1.
~
II.2.2 Indice géométrique
Ces indices expriment une relation sur les vecteurs
caractères.
- Les produits scalaires dans l'espace des individus : 4U V)N=
(it)'V ce
qui correspond a une matrice N égale a Idn.
- Le produits scalaire dans l'espace des variables it v)N =
(it)'v, alors,
~
N est égale a : idn.
~
Mais d'autres produits scalaires peuvent être
définis ; N étant une matrice systématique définie
positive d'élément Nij, le produit s'écrit de
la manière générale :
1 v)N= N
~ = ij Ui Vi
~
=
Dans ce cas le produit scalaire à utiliser est )N=?xij
xi'j
- La covariance cov (xij,xj)= '
- Le coefficient de corrélation : caractère
centré réduit.
II.2.3 Les similarités ou indice de
similarité
A l'inverse des distances, l'indice de similarité d'autant
plus grand que les deux éléments considérés sont
plus proches.
Propriétés :
Sii'=Si'i
Si'i=Sii'= Si'i avec i~i'
Cas des variables booléennes (présence |
absence)
Soient S= membre de coïncidences (1,1) T=nombre de
coïncidences (0,0)
U= nombre des différences (1,0) V= nombre des
différences (0,1)
0
I
V
S=nj
I
T
0
u
Avec S+T+U+V=p On a :
a) e e ja
v
b) e e a e e e
II. 3 CRITERES DE CLASSIFICATION DES METHODES D'ANALYSE
DES DONNEES
Les méthodes d'analyse des données peuvent
être classées selon un certain nombre des critères relevant
soit de leurs propriétés ou caractéristiques
mathématiques, soit des leurs domaines d'applications.
II.3.1 Partition ou nom du tableau des données
Ce critère sépare les méthodes descriptives
(ou des structures des phénomènes), des méthodes
explicatives (ou méthodes de liaisons entre
phénomènes).
II. 3.2 Notion de métrique et de forme
quadratique
Soit l'individu noté xij = {xij|i I} en (I) CRP
et le caractère j, xij = {xij|j J} en (J) CRP.
On a : xij = e
~ ou (e1, e2, ..., ep) est la base canonique de Rp
et
xij=
. . Ou ( 1, 2, ..., n) est la base canonique de Rn.
Ainsi, est associé aux lignes de xij le nuage
des individus N(I)= {xij|i I} et à la colonne de xkj, le
nuage des caractères N(J) = {xij|j J}.
Soient R*p et R*n, les espaces duaux de
Rp et Rn mais respectivement des duales (e*,
j=1,2,..., p) et ( *|i I) :
xkj= e )
xkj= )
c'est-a-dire dans Rp, xjk est la
coordonnée par rapport a eij pour tout ij et dans
Rp , xij est la coordonnée par rapport a
i pour xkj.
Considérons l'application linéaire :
R*n ?Rp
e ? ij
Qui a la forme linéaire ~ ij,
représentation du caractère j dans R*p fait
correspondre le vecteur xij, représentation du
caractère j dans Rn, la matrice associée x n'est que
tableau xij (n.p). De même :
R*n ?Rn
*
j? xij
Et la matrice associée x' transposé de xij
(p.n).
a) Métrique euclidienne dans l'espace
Rn des caractères
Pour mesurer la proximité entre caractère et pour
juger de leurs colinéarité on munira l'espace des
caractères Rn d'une métrique m. on a :
d (xij-xi'j)= ou Rn ?Rn *
Alors si R*p on cherche une métrique
euclidienne V telle que :
n= e e v
R*p? Rn R*u? Rp
V= x' ou ox qui définit sur R*p, une forme
binaire symétrique semidéfinie positive c'est-a-dire une forme
quadratique.
V(e* j-e* j')= V(e*
j-e* j', e* j-e* j')= 2n
Ainsi la métrique euclidienne V mesure les
proximités entre les vecteurs caractéristiques de
Ru.
b) Métrique de poids dans Rn, centre
de gravité de nuage et forme quadratique d'inertie
On a: N (I) = {xij|i I} CRp.
A tout individu i I c'est-a-dire a tout xij de N (I),
associons le poids pi (pi?0 et ?pi=1).
Soit gi= {gi|j J}, le centre de gravité de N(I).
gi= ? pi.xij, jieme coordonnée du centre de gravité
dans la base {ej|j J}
On sait que le centre de gravité est le point le plus de
N(I) ou sens de la métrique définit sur Rp puisque
l'inertie est minimum (variance) au point gj.
On place alors l'origine de Rp au centre de
gravité, c'est-a-dire gj=0, par ailleurs, la variance du
caractère j et j'est : cov (xij,xi'j)=?pi xij xi'j. La métrique
dans Rn est la métrique des poids définie par la
matrice diagonale de poids ?p.
D'oü V (xij)= 2 ?p et cov(xij)= d2 (xij,xi'j)= ,
?p
= ?pi (xij, xij)2= V(xij)+V(xij)- 2 cov
(xij, xij)
V= xo.?p ox, forme bilinéaire symétrique
semi-définie positive dont la matrice associée est la matrice de
variance covariance. C'est la forme quadratique d'inertie associée a
N(I) des points xij munis des masses pi.
N(I)= {xij, pi?0}
II.4 DOMAINE D'APPLICATION DE L'ANALYSE FACTORIELLE DE
CORRESPONDANCE (AFC)
L'analyse factorielle de correspondance est une méthode
adaptée au tableau de contingence et permet d'étudier les
éventuelles relations existantes entre deux variables nominales. C'est
une méthode de description des données qualitatives et part d'un
tableau rectangulaire et tente de résoudre les problèmes suivant
:
- Quelle est l'entreprise de téléphonie mobile
répond efficacement aux besoins de la communication dans la ville de
Lubumbashi ?
- Pourquoi la préférence d'une maison plutôt
qu'une autre ; ou encore pourquoi seulement tel et tel autre réseau de
téléphonie mobile ?
Notons que l'analyse factorielle de correspondance multiple est
une analyse de correspondance factorielle appliquée non plus a un
tableau de contingence plutôt a un tableau disjonctif complet.
Ainsi pour répondre a ces questions, nous devons d'abords
transformer le tableau des données brutes en tableau des
fréquences fij, appliqué non pas a un tableau de
contingence mais a un tableau disjonctif complet.
a) Tableau des fréquences
A partir du tableau x, on peut définir celui des
fréquences y :
~
Y= ~ ~
1 ...
De même on définit :
~
k
k=
=
j= = =
b) Tableau de contingence
Soient deux variables quantitatives minimales, la
première à n modalités (i=1, 2,3,..., n) et la
deuxième a p modalités (j=1, 2,3,..., p) caractérisant N
individus. Le tableau de contingence se définit :
1 ~
X= ~ ~
1 ~
Ou kij représente le nombre d'individus qui
présente simultanément les
modalités i de la première variable et j de la
deuxième. Face à un tel tableau des données, l'analyse
factorielle de correspondance cherche a étudier les proximités
entre les modalités de la première variable (modalité en
ligne) et celle de la deuxième (modalité en colonne).
Contrairement à ce qui se passe dans le tableau de mesure, les lignes et
les colonnes jouent un rôle symétrique, on posera :
Ki=
|
~
|
i=1,
|
2,
|
3... k
|
Kj=
|
~
|
i=1,
|
2,
|
3... p
|
D'autre part on a:
=
~ = ~ =N
c) Tableau connexe de contingence :
1) Tableau de mesures homogènes
Ce sont des tableaux de mesure de même unités,
l'ensemble I est un ensemble d'individus ; l'ensemble j est un système
de mesure choisi de sorte que la ieme soit une description
satisfaisante d'individus i pour la même unité de mesure.
2) Tableau de note d'intensité
C'est un tableau ou kij est une note
d'intensité, de mérite, ou de
préférence de l'individu i en la matrice ou en
objet j. les notes d'une colonne j étant toute comprises entre 0 et une
borne supérieur qui est la même pour toute les colonnes du
tableau.
3) Tableau de description logistique
C'est un cas particulier du tableau des notes d'intensités
ou la borne supérieure est égale a 1 avec 0 qui est l'absence et
1 la présence c'est-adire kij :
- 0 si l'individu i ne possède pas la
propriété j ;
- 1 si l'individu i a la propriété j ou vice
versa.
Dans ce cas, on recourt au dédoublement du tableau et on
dit que le
tableau de description logique est sous forme disjonctive
complète presque chaque individu i possède dans chaque classe de
j une et une seul propriété.
Soit le tableau des données kij= {kij|i I, j J}
des nombres positifs (tableau de contingence).
Soit la loi ij définie par ij={ ij|i I, j J}
Ou ij=kij|k avec k=?kij et les lois marginales :
i= { i|i I} ou i=? ij sur I j= { j|j J} ou j=?
ij sur J
Etant donnée une loi conjointe et les lois marginales,
on peut calculer les lois conditionnelles définissant deux transitions
probabilistes i|j de i vers j et j|i de j vers i.
i|j= { i|j|j J} ou i|j= { i|j|i I} avec ij=
: loi conditionnelle de i pour j données. i|j
est le profil de la modalité J sur I.
De même :
j|i= { ij|i I} ou i|j= { j|i|j J} avec ij=
: loi conditionnelle de j pour I données. j|i
est le profil de la modalité I sur J.
Ainsi les ensembles des modalités i et j jouent des
rôles symétriques. Alors on a :
- Soit le nuage N(I)= { ij|i I} des lois conditionnelles ou des
profils
affectés des masses i dans Rp. donc
N(I)= { j|i, i|? i=1}
- Ou encore, on a le message N(I)= { i|j|j J} affectés des
masses i dans Rn et le but de l'analyse factorielle de
correspondance est d'étudier la structure de dépendance
c'est-a-dire les profils de deux espaces de caractères en correspondance
et voir les proximités entre les différentes modalités.
4) Tableau disjonctif complet
Partant du tableau de données x, on construit le tableau Z
à n lignes et p colonnes décrivant les S réponses de n
individus par un codage binaires.
Le tableau Z= {z1, z2, z3,..., Zn}.
Le sous tableau Zq= (n, pq) décrit
la question q, le terme général du tableau disjonctif complet
:
Zij i, e e a a a e
,
? zij=zi=S
? zij= zj= les individus qui ont choisit la modalité j a
la question q
Pour chaque sous tableau, on a Zq= ?zj=n
L'effectif total du tableau Z est Z= qui représente
la somme des marges.
5) Tableau de BURT
On le construit à partir du tableau disjonctif complet Z,
le tableau
symétrique B (p, p) d'ordre pxp qui rassemble le
croisement 2x2 de toutes les variables.
Le terme général de B = ~ ~ B est le tableau de
contingence BURT associé au tableau disjonctif complet Z.
B est une juxtaposition des tableaux des contingences.
P1
|
Pq
|
Ps
|
|
|
|
|
|
|
Z1
0,00
|
Zq
100
|
Zs
0000
|
Z (n, p)=
P1
|
|
Pq
|
|
ps
|
|
0
|
0
|
II
|
|
II
|
|
II
|
|
0
|
0
|
II
|
|
II
|
|
II
|
|
0
|
0
|
Le terme général de B s'écrit :
B?bjj'=
~ (les marges sont le plus souvent les modalités des
réponses a des questions).
II.5 NOTION
Soit S le nombre des questions posées a un individu, le
tableau V (n, s) n lignes et s questions sous forme de codage condensés,
le terme général
P a g e | 31
xiq désigne la modalité de la question q choisit
par le sujet i, I étant l'ensemble de n sujet ayant répondu au
questionnaire.
Pqs : nombre des modalités des réponses a une
question q, p donc recoder les variables.
?pq, un tel tableau n'est pas exploitable ; il faut donc recoder
les variables.
II.6 PRATIQUE DE L'ANALYSE FACTORIELLE DES
CORRESPONDENCES
Considérons le nuage de profils des individus de Rp et
supposons p? n. Soit g le centre de gravité : qj= {qj|j£J} ; qj=?
j|i. i=? ij= j.
a) Distance de X2
La distance de X2 entre i et i' du centre
j est : matériellement
d2 (i, i')=d2j ( j|i- j|i')2 ?(
j|i- j|i') ( j|i- j|i').
Cette distance du 2 a la propriété
d'équivalence distributionnelle c'esta-dire deux éléments
i et i' dont I a le même profil ( j|i= j|i') ; on peut le remplacer par
un seul élément i» affecter de la somme des poids
correspondants sans modifier la distance entre les éléments de
j».
b) Analyse du nuage N(I) : ACP
Soient le nuage N(I) du point i dans Rp de
coordonnée j|i affecté des masses i. N(I)= j|i|i I}
avec j|i=
On munit l'espace Rp de la distance du X2
entre deux points i et i'
d2X2 (i, i') = d2 2( j|I, j|I')
=
2
)
l'espace Rp est le centre = {g,j J} ou g= j. ainsi la
distance du X2 est : d2X2(i,i') =
~ 2 ; d'o~ les coordonnées des points i dans Rp
sont modifiés pour avoir :
; nous avons les nouvelles
coordonnées des points i par la métrique du X2
.
L'analyse du nuage se ramène a l'ACP du triplet : ( j|i ;
?p= i ; ).
1) Axe, facteurs principaux et composantes
principales
> Forme quadratique : l'inertie et la matrice
a diagonalise :
ajj'= ? ( j|i- j)( j'|i- j')
Sous l'espace Rp munit de la métrique , la
forme quadratique d'inertie
est donc : m0jj'= ~
~ ~
~ ~ si on pose xij=
, on
remarque que la forme quadratique devient :
m0 ojj'=?Xij. Xij' est la matrice associée a cette forme
d'inertie est la matrice à diagonaliser.
2 -1) _ _
Trace m0o-jj'=??Xij= , tp 1) (n-1)
X2 est la distance entre la loi marginale ( ,j) et la
situation d'indépendance i j.
d2x= ( ij; i j) = 2
2 Pi 2
La trace de m0= i Pi= car ij= ? ij. i= ij.
Sous l'hypothèse des diverses modalités ij : la
trace de la matrice a diagnostiquer est un X2 a (n-1)(p-1)
degré de liberté(ddl) qui est égale a la
somme des valeurs propres :
~ .
+ Facteurs principaux :
On diagonalise la matrice associée a la forme quadratique
d'inertie de terme général :
jj'=
i i i
i i
i Y ~
~ ~
Apres diagonalisation, on trouve : Trace m0jj'=1+
~
A la valeur propre 1, associée au vecteur propre jt0= j
(centre du nuage) ; correspond a la situation d'indépendance.
On l'appelle valeur triviale a laquelle est associé le
facteur principal trivial qu'on ne considère pas dans l'analyse.
Il vient que les valeurs propres de l'analyse factorielle de
correspondance sont toujours 0?ë?1 car plus grande des ces valeurs est
triviale et égale a 1, ces valeurs propres provenant d'une forme
quadratique semi-définie, elles ne peuvent qu'être
supérieur a 0. 0?ë?1.
·
· Composantes principales de N(I)
:
La protection du point i de coordonné réduit
~ est Ci = ~~
~ .
~
(la nouvelle coordonnée du point i). 2) Analyse du
nuage :
On peut trouver les représentations des points j en
renversant les rôles de i et de i et de j.
Sii'= j
n étant souvent très élevé, le calcul
de la
j '
~
diagonalisation d'une matrice nxn sont très couteux, par
des relations des transitions, on montre que les composantes de l'une des
analyses se déduisent de celles des autres.
Ainsi : C = . Ou est le ieme facteur.
Ainsi les facteurs nuage N (J) sont proportionnels aux
coordonnées des points représentatifs des N(I) sur l'axe
factoriel du nuage et réciproquement.
On peut représenter les proximités entre les
éléments des nuages N(I) dans le plan principal et sur le
même plan, les proximités entre les éléments du
nuage N(J).
Cette représentation simultanée se justifie par le
fait que les facteurs de l'une de l'analyse sont les barycentres des facteurs
de l'autre analyse a
près.
Ainsi on passe du barycentre de C1 pondérée par les
i|j au point d'abscisse C j par le rapport
le long de chaque axe principal. Il s'agit d'une dilatation
des nuages, d'autant plus fort que ë est petit ; l'axe est de rang
élevé.
II.7 INTERPRETATION ET SENS DES FACTEURS
Apres calcul des coordonnées des points et des facteurs il
ne reste qu'à faire une interprétation des résultats.
1) Sens des facteurs :
Comme on a placée l'origine au centre de gravite g du
nuage N(I), les
Ci = {Ci |i } nouvelles coordonnées des I J sont de
moyenne nulle et
de variance, c'est-a-dire :
~ ~ et
~ ~ i=ë .
~
ë est donc le moment d'inertie du nuage dans la direction de
l'axe principal ? du facteur et comme la somme des valeurs propres a
la
valeur triviale près est l'inertie totale, ainsi :
Le facteur a .100 .
Il convient des prendre dans l'interprétation des
résultats, en compte les q premier facteur dont la part cumulée
traduit plus de 80 de l'inertie ou de la variance totale.
Le sens des facteurs est donné par les contributions des
modalités aux facteurs.
F1, T1
2) Aspect du nuage :
Pour prendre rapidement connaissance des sens des facteurs, on
considère le graphique plan : F1
F2
Ainsi, la connaissance des formes classique des nuages est
utile.
F2, T2
a) Le nuage est divisé en deux amas :
Dans ce cas, le tableau des données peut se mettre aux blocs
diagonaux.
b)
0
0
0
0
0
0
0
0
c) Le nuage est en croissance parabolique : effet
GUTTEMAN. On peut passer de la forme trois amas à la forme
parabolique.
T2y2
T1y1
T1 I1
I2
T2
I3
On peut aussi avoir trois amas : J1 J2 J3
L'effet GUTTMAN correspond a un tableau des données qui si
l'on met en blocs diagonaux (ayant un effet élevé).
S'il existe des points qui sont situés a
l'intérieur du croissant au voisinage du 2eme axe, il
correspond le tableau a des lignes aux colonnes dans les profils n'ont pas le
rang bien définies dans la gradation générale.
Cela peut révéler des phénomènes
intéressants ; rupture de la structure au phénomène de
retour.
Retour
Rupture
Phénomène économique
d) Le nuage est en triangle au
tétraèdre
Retour
3) Tableau disjonctif complet et tableau de BURT
Une enquête comporte toujours des questions relatives
à plusieurs aspects différant étudiées. Les
tableaux logiques sont issus des questionnaires ou toutes les variables sont
qualitatives que transforment des variables quantitatives en variables
qualitatives ordinales.
Soit I un ensemble d'individus sur lequel on observe m
caractères qualitatives.
Soit jq, un ensemble des modalités du
caractère q (q=1, 2, 3, ..., m) ou j= J }
~~ .
Supposons qu'un individu possède une et une seule
modalité de chaque caractère. Le tableau des données K|J
est alors un tableau logique avec xij=1 si i possède dans la classe
Jq, une propriété j et 0 si non.
Le tableau K|J est un tableau des réponses, a chaque
individu est affecté une ligne i et q chaque question q est
affectée un bloc Jq des colonnes ou des réponses
possibles a la question q.
Le total de chaque ligne sera égal a m qui est le nombre
des questions. Ce tableau est obtenu par codage disjonctif complet.
Si l'on effectue un trie a plat sur un tableau logique K|J ou j=
~~
~q},
juxtaposant un tableau K|J, on construira tableau de
contingence
~
répartissant la population selon chaque couple de
caractère.
Le tableau de BURT kjj' est un tableau de bilan
croisé des couples (j', j). Ce
tableau est symétrique de terme général K
(J, J')= cond. {i |kij =1} les nombres d'individus i possédant
simultanément les modalités jq et jq'.
Ainsi, le tableau de BURT ci-dessous :
0
0
Tout tableau de BURT peut être décomposé en
blocs : on distingue les blocs les blocs diagonaux Jq.Jq=Cqq est le
bloc extra diagonaux Jq.Jq'= Cqq'.
Le bloc diagonal Jq.Jq=Cqq est réduit a sa
diagonale car aucun individu ne
peut possède simultanément deux modalités du
même caractère q.
Comme ce tableau est symétrique, les deux nuages de
l'analyse se réduisent en un seul.
II.8 UTILISATION DE L'AFCM POUR DES ENQUETES
SOCIO-ECONOMIQUES
Généralement, lors d'une enquête
socio-économique deux types des questions sont posées :
· Des questions portant sur les caractéristiques
de l'individu interrogé (âge, sexe, profession, état civil,
préférence, etc.).
Le 1er ensemble des questions est soumise a l'AFCM,
cette dernière fournit une carte décrivant des
caractéristiques socio-économiques de la population
interrogées. Sur cette carte on fait figurer en supplémentaire
le 2ieme type des variables obtenant aussi, a partir
de la position des modalités de ces variables illustratives, une
explication des
comportements des individus en fonction de leurs
caractéristiques.
CHAPITRE III: LES FACTEURS D'ADHESION A UN RESEAU DE
TELEPHONIE MOBILE
L'exercice des entreprises de la télécommunication
en République Démocratique de Congo en général,
particulièrement a Lubumbashi dans la Province du Katanga se
caractérise par un dynamique qui évolue et nous avons
porté notre attention, dans le cadre de cette étude sur les
quatre entreprises présents a Lubumbashi jusqu'alors (Vodacom, Airtel,
CCT ainsi que Tigo).
III.1 APERCU HISTORIQUE
Depuis les années 1990, les grandes villes Africaines sont
entrées dans l'ère de la communication numérique. En
témoigne le développement
extraordinaire qu'y connait la téléphonie mobile.
Ce phénomène se vérifie à travers les
caractères principaux que présente sur ce continent le segment
mobile du marché de la télécommunication. On est en
présence d'un marché concurrentiel, solvable et
dont le nombre des consommateurs est en croissance continue.
III.1.1 Indices du phénomène
Dans les régions qui ont autorisées aux mains une
certaine forme de concurrence, l'Afrique a été des les
années 2002, les principaux
promoteurs ainsi que l'Europe ; de la concurrence dans les
services mobiles (88 des pays respectvement).
Si en 1995 seuls 7 des pays autorisaient la concurrence, ce
chiffre passe à 56 en 2002. En fait le nombre des réseaux mobiles
en Afrique est passé de 33 operateurs en 1995 à 100 operateurs en
2001. On récence pour la période 2002-2003 plus de cent
operateurs de téléphonie mobile en activité sur le
continent.
En 2004, seuls 14 pays sur 55 n'avaient pas encore
libéralisés le secteur. Parmi ceux qui ont procédés
a cette libéralisation, on observe pour cette année la que la
République démocratique du Congo comportait 6
operateurs. (17)
17 Jose Do-Mascimento: Enseignant chercheur au
COBEA|CEI, UIT ORSAY.
III.1.2 Les vecteurs du phénomène
1°) Les vecteurs économiques :
Il s'agit de la déréglementation mondiale du
marché des télécommunications, mais aussi de l'adaptation
des opérations au profil du consommateur local.
a) La déréglementation du marché
des communications :
Celle-ci a été le facteur déclenchant du
développement de la téléphonie mobile en République
démocratique du Congo. Il faut se rappeler que, dans le pays comme
ailleurs dans le monde, le marché de télécommunication a
longtemps été dominé les théories du monopole
naturel.
C'est seulement sous l'impacte des changements technologiques et
de la mondialisation des réseaux que les politiques de
libéralisation ont été amorcés.
Si pour certains pays cette libéralisation correspond a la
mise en oeuvre des politiques publiques adaptées dans le cadre d'une
décision souveraine ; pour d'autre elle est intervenue comme composante
d'une politique multilatérale visant a une libéralisation
mondiale du secteur de
service. (18)
Le cas notamment des pays qui n'ont emprunté la voie d'une
libéralisation du secteur de communication que contraintes et
forcés. Dans une première phase, la reforme du marché des
communications a et l'expression du prêt contre mesure de
libéralisation imposer par les institutions financières
internationales dans le cadre des plans d'ajustement structurel
(PAS).(19) Certain Etats ont céder a ce prêt contre
mesure (linkage financier) en contractant des obligations conventionnelles dans
le cadre quatrième protocole annexé a l'AGCS. (20)
18 Rapport UIT, 2002.
19 Murel Devey, Bilan des privatizations en
Afrique.
20 Idem (Oppcite).
D'autres ont cédés lorsque les institutions
financières internationales ont liés le déblocage des
fonds alloués dans les PAS à des mesures effectives de
libéralisation. (21)
En revanche, dans une seconde phase, les Etats ont vu dans cette
reforme une opportunité pour acquérir des devises dans un
contexte international marqué par la raréfaction des ressources
de l'aide physique
au développement. Ce contexte a joué des
l'années 2000 comme un facteur accélérant des initiatives
gouvernementales favorables a une libéralisation du secteur des
télécommunications. (22)
b) La stratégie des operateurs
économiques :
L'adaptation des operateurs économiques au profil du
consommateur a largement contribué à la diffusion du
téléphone portable. La majorité des consommateurs
appartient au secteur informel. Or, au sein de ce secteur le consommateur ne
réunit pas les instruments de payement habituels que dans les
transactions du secteur formel : chéquier compte bancaire,
prélèvement automatique, etc. pour ne pas
s'aliéner, cette fraction majoritaire des consommateurs potentiels, les
operateurs de la téléphonie mobile ont adoptés et
généralisé le système de paiement par carte
prépayées.
L'utilisation des cartes prépayées par opposition
aux formules avec abonnement mensuel, représentant jusqu'à 90 des
abonnés, permet une meilleure maitrise des dépenses par l'usager
et simplifie grandement pour l'operateur la gestion de sa base client.
Le système des cartes a prépaiement s'avère
intéressant dans la mesure oü les revenus sont faibles et oü
l'on préfère généralement tout régler
d'avance. Pour les operateurs, les services à prépaiement
réduisent le risque du crédit, et pour les consommateurs qui
parfois ne réunissent pas les conditions requises pour disposer d'un
service d'abonnement, le
service mobile devient accessible. En effet, un nombre croissant
des réseaux mobiles sont uniquement a prépaiement, tandis
qu'à l'échelle du
21 Confer Rapport de UIT indicateur de
télécommunications Africain.
22 Idem (Opp cite)
continent, quatre abonner sur cinq utilisent des services
à prépaiement, soit près du double de la moyenne
mondiale.
1°) Les vecteurs sociologiques:
IL s'agit du caractère hyper relationnel du tissu
social, mais aussi de la portée utilitariste qu'assigne au
téléphone portable, l'environnement politique et
économique des sociétés.
a) Le caractère relationnel du tissu social
:
Le ressort interne du développement de la
téléphonie mobile en
République Démocratique du Congo réside dans
le caractère hyper relationnel des sociétés locales.
Celles-ci présentent en effet une disposition contingente a un usage
intensif du téléphone en raison d'un tissu social hyper
relationnel.
En RD Congo l'individu ; il faut rappeler ; est
inséré dans un tissu relationnel extrêmement dense. Ce
tissu est constitué par deux réseaux : un réseau familial
et un réseau amical. A l'intérieur de ces deux réseaux la
communication inter individuelle est particulièrement dense. L'individu
n'hésite a parcourir des kilomètres a pieds ou en voiture dans la
journée pour prendre ou donner des nouvelles a la patentée et aux
amis. Dans un tel contexte l'arriver du téléphone portable ne
pouvait que constituer une véritable opportunité. Il abolit la
distance physique qu'il
faut franchir pour communiquer. Il affranchit ainsi de la
contrainte kilométrique tout en maintenant l'intensité du bien
social.
Dans un tel contexte relationnel du tissu social, le
téléphone en soi ne pouvait qu'être porteur d'une valeur
sans commune mesure.
Mais en raison de carence du service publique des
télécommunications en RD Congo, la majeure partie des populations
s'est retrouvée en marge de cet outil moderne de communication.
L'arriver du téléphone portable ne pouvait que bouleverser le
tissu communicationnel. Elle a permis de satisfaire la demande sociale
d'accès au téléphone en palliant les carences des
prestations du service public des communications. De la vient le succès
inattendu du marché du téléphone portable. La
rapidité de l'usine en service de cet outil pour l'usager l'a fais
immédiatement
apparaitre aux populations comme un canal d'accès direct a
cette ressource communicationnelle qui se caractérisait jusque la par sa
rareté en terme d'accès.
b) Les caractères utilitaristes du
téléphone portable :
L'expérience de la téléphonie mobile se
caractérise par des usages inédits, (23) lesquels
concourent largement au phénomène du développement du
téléphone portable. Cette innovation dans les usagers est
l'expression d'un rapport foncièrement utilitariste que les populations
entretiennent a l'égard du téléphone portable et des NTIC
en général.
Ce rapport utilitariste découle des
caractéristiques mêmes de leur environnement politique et
économique. En effet, il apparait que les desseins d'appropriation des
NTIC répondent a des desseins sont : d'une part, la recherche de
palliatifs aux carences de l'environnement politique et économique ;
d'autre part, la quête permanente d'opportunités au sein d'un
espace social de développement inégale. Celui d'accéder a
des ressources qui amplifient la marge de manoeuvre des acteurs sociaux a
l'endroit d'un environnement politique et économique caractérise
par la pénurie.
Pénurie des infrastructures des prestations
d'intérêt général, des libertés
publiques, des emplois, des soins et des aliments etc. les usages
du téléphone portable confirment cette analyse. Ainsi, le
téléphone portable apporte une réponse moderne,
c'est-à-dire efficiente, a une problématique d'origine et
d'expression locale.
Cette valeur d'usage s'élève a la qualité
d'un bien d'intérêt public.
III.1.3 Les discordances du marché de la
téléphonie mobile
Le jeu des acteurs du marché des
télécommunications limitent la portée des dispositions
réglementaires inhérentes a la reforme du marché des
télécommunications.
23 Jean Aime Dibarkana, Usages sociaux du telephone
portable et nouvelles sociabilités au Congo.
D'un coté, le caractère oligopolistique du
marché agit comme un frein
aux retombés favorables que cette reforme devait
présenter pour le consommateur sur le plan tarifaire. De l'autre part,
le contexte politique s'oppose des entraves a l'effectivité de la
mission des autorités de régulation qui est de garantir une
transparence du marché.
a) La politique tarifaire :
La fixation d'un prix acceptable et accessible par le
consommateur en situation de concurrence oligopolistique reste un operateur
délicat pour une entreprise car elle dépend entre autre de la
prise en compte de :
- Cout d'acquisition comme de revient ;
- La praticabilité tarifaire parce que celle-ci devra
tenir compte de la
structure de la concurrence.
De l'année 2006 jusqu'à aujourd'hui, le
marché de la télécommunication en RD Congo connait une
guère des prix, cela a permit d'observer et de constater une
tarification accessible a toute les bourses et utilitaires.
Parmi les operateurs, Tigo a introduit en cours de cette
période, la tarification dite a la seconde et d'autre par Congo-Chine
Télécom (CCT) rabattra en imposant le plus bas prix comme jamais
au paravent en RD Congo avec pour slogan : ?Parlez plus, payer
moins» ; Vodacom ainsi que Airtel se devaient réagir face a
celle nouvelle menace dans la mesure où étant parmi les premiers
à occuper le marché.
Au courant de la période sous examen les entreprises du
secteur ont appliqué la tarification suivante en dollar Américain
:
Tableau 1 : Tarification appliquée par minute
consommée en dollar(USD).
Type de communication
|
Airtel
|
Vodacom
|
CCT
|
2007
|
2009
|
2009
|
2010
|
2007
|
2009
|
2009
|
2010
|
2007
|
2008
|
2009
|
2010
|
Intra connexion
|
Heure Creuse
|
0,20
|
0,18
|
0,18
|
-
|
0,18
|
0,18
|
0,18
|
-
|
0,06
|
0,06
|
0,06
|
0,06
|
Heure de Point
|
0,26
|
0,26
|
0,26
|
-
|
0,26
|
0,24
|
0,24
|
-
|
0,09
|
0,09
|
0,09
|
0,09
|
Heure de Nuit
|
-
|
0,05
|
0,05
|
-
|
0,05
|
0,04
|
0,04
|
-
|
0,06
|
0,06
|
0,06
|
0,06
|
Interconnexion
|
0,29
|
0,28
|
0,28
|
-
|
0,28
|
0,28
|
0,27
|
-
|
0,21
|
0,21
|
0,21
|
0,21
|
Internationale
|
0,30
|
0,28
|
0,28
|
0,20
|
0,30
|
0,30
|
0,30
|
0,24
|
0,21
|
0,21
|
0,21
|
0,19
|
Type de communication
|
Tigo
|
2007
|
2009
|
2009
|
2010
|
Intra connexion
|
Heure Creuse
|
0,18
|
0,18
|
0,15
|
0,13
|
Heure de Point
|
0,18
|
0,18
|
0,15
|
0,13
|
Heure de Nuit
|
-
|
-
|
0,13
|
0,13
|
Interconnexion
|
0,24
|
0,24
|
0,22
|
0,22
|
Internationale
|
0,24
|
0,24
|
0,24
|
0,24
|
Source : nous même, établi sur base des tarifs
accueilli auprès des operateurs.
Pour la commodité de la comparaison, nous avons
ramenés les facteurs
des opérations exprimées en unité
consommée, en leurs monétaire (dollar Américain) et ; et
la communication en internationale n'a pris en compte que la zone A.
b) Action sur la variable service :
Le produit que offre une maison de téléphonie
étant la communication ; un service caractériser par
l'immatérialité, il est assez difficile de l'appréhender
comme un produit, cependant le consommateur choisit un réseau
plutôt qu'un si pas la combinaison, pour divers raisons parmi lesquelles
nous pouvons évoquer :
La couverture du réseau :
Pour deux operateurs offrant à condition égale de
prix de qualité, le consommateur choisira certainement le réseau
qui lui offre la couverture la plus large.
Néanmoins, l'avantage tiré par un consommateur en
s'abonnant a un
réseau croît avec le nombre de ses abonnes, plus ces
derniers sont nombreux plus la chance d'obtenir des nombreux abonnes dans la
mesure où la concurrence entre les entreprises détermine la
taille de leur réseau respectif, également elle conduit a une
explication de leur choix.
Le service a valeur ajoutée :
Ce secteur de la nouvelle technologie de l'information et de la
communication (NTIC) est sans nul doute celui qui connait le plus grand nombre
d'innovation ces dernières décennies. Il faudrait constamment
réadapter l'offre aux modifications intervenues ; modifications qui a
leurs tours affectent considérablement les comportements des
consommateurs. Si au départ la téléphonie était
uniquement réservée à l'usage de la voix, il est
aujourd'hui un outil de multimédia.
Les operateurs du secteur doit prendre en compte cette nouvelle
donnée dans leurs offre au consommateur pour se différencier et
essayer d'obtenir un avantage compétitif remarquable dans leurs
concurrence sur leurs concurrents. Les services à la valeur
ajoutée ci-dessous peuvent expliquer à leur tour le choix du
consommateur pour un réseau.
Tableau 2 : Séparateur et service à valeur
ajoutée offert :
Service a valeur ajoutée
|
Operateurs
|
Airtel
|
Vodacom
|
CCT
|
Tigo
|
SMS
|
Existant
|
Existant
|
Existant
|
Existant
|
MMS
|
Existant
|
Existant
|
Absent
|
Existant
|
Roaming
|
Existant
|
Existant
|
Absent
|
Absent
|
Recharge Electronique
|
Existant
|
Existant
|
Existant
|
Existant
|
Internet
|
Existant
|
Existant
|
Absent
|
Existant
|
Source : nous même sur base des données : services
clients des opérations.
L'observation du tableau (2) démontre qu'en plus de la
communication stricte, des efforts sont faites par les operateurs pour associer
au service principal de l'offre, des services a valeur ajoutée
susceptible de les différencier de leurs concurrents et leurs accorder
un avantage certain qui vise la conquête d'un segment du marché
pouvant être intéressé par ces services comme le disent
BOULOCHER et FLAMBARD (24): ?Un produit vendu dans un
marché est identifié par tout gent tous les autres produits,
concurrent appartenant a la même industrie. Ce qui différencie les
variantes les unes des autres ; c'est le montant de caractéristiques
qu'elles contiennent».
Il en découle alors dans les références
du consommateur porte non seulement sur les produits eux-mêmes, mais
aussi les montants des caractéristiques qu'ils renferment.
c) Action sur la communication :
La variable ?Communication» connait des multiples
actions de la part des concurrents sur le marché congolais de la
télécommunication.
Tous les outils du mix-communication sont mis à profit
pour assurer la permanence de chaque operateur dans l'esprit du public. Ces
outils du mix-communication ont été exploités.
24 Boulocher M et Flambard: l'Analyse du marché
; Édition Vuibert, Paris 2003, page 171.
La publicité :
Les messages publicitaires ont cherché a insister dans
l'esprit du
consommateur la force ainsi que l'avantage que offre
l'utilisation des medias audio-visuels pour la diffusion des messages dont la
fréquence a été et est encore continue est venue en
soutien a l'affichage des panneaux publicitaires. Cette dernière
pourrait être classée dans la catégorie des techniques des
manifestations mentales.
Voici les quelques messages publicitaires des operateurs
locaux :
Réseau Mobile
|
Préfix e
|
|
|
Slogan Message
|
Airtel
|
099...
|
·
·
·
·
|
|
a vous la parole (avec Celtel autre fois) ; la vie en mieux ;
le monde merveilleux ;
être libre (aujourd'hui).
|
Vodacom
|
81...
|
|
·
|
Simply the best ;
|
|
82...
|
|
·
?
|
leader dans le monde cellulaire ;
rien ne vous rapproche comme Vodacom.
|
CCT
|
085...
|
|
·
|
Mieux qu'un choix.
|
Tigo
|
089...
|
|
·
|
plus près de moi.
|
Source : nous même sur base des singles recensés.
d) Evolution de la population :
Dans son ensemble, la population congolaise est en nette
croissance ces dernières années. (25)
Estimée a près de 60 millions d'habitants en 2006
avec un produit intérieur brut (PIB) de 111 dollars (USD) par habitant
dont 4,4 dominé par le secteur de la télécommunication,
cette population représente un
potentiel marché très prometteur pour tout
investissement dans ce secteur. En effet, une population en constante
progression est une opportunité pour les entreprises des produits et
services.
A ce jour, la croissance continue, la population est
estimée a 65 millions d'habitants ce qui permet aux entreprises du
secteur de la télécommunication d'élever leurs
réseaux a travers le territoire national
25 Banque Mondiale, BUI, Tableau
macro-économique, République Démocratique du Congo.
et d'accroitre leurs capacités technologique
installée pour faire face a ce surplus de la demande.
Cette situation se traduit pour Airtel (Celtel puis Zain autre
fois) pour le passage d'une numérotation a neuf chiffres à celle
à dix chiffres ; exemple 97027385 a 0997027385 et une nouvelle
sériation quittant le 081 082 pour Vodacom.
Ce nombre réel d'abonnés n'étant pas
disponible, le changement du type de numérotation avec accroissement des
chiffres témoigne néanmoins l'augmentation des abonnés.
Action marketing des concurrents :
De type oligopolistique, la concurrence dans laquelle
évolue le marché de la communication au Congo n'est pareille
qu'à chaque action menée par l'un des concurrents a des
répercutions sur les autres du secteur ; sur
le marché de leurs propres initiatives ou en vu
d'atténuer les effets. Voyons ci bas les différents types
d'actions concurrentielles.
Depuis 2006, la politique menée dans la concurrence
d'action promotionnelle dont les principales sont les suivants :
Tableau3 : Tableau d'action promotionnelle depuis
2006.
Réseau
|
|
Dénomination de la promotion de vente (PV)
|
Airtel
|
|
·
·
|
Mbamba na 099 en 2006 ; ala na ba mbongo en 2007 ;
|
|
|
·
|
Illimitel de 2008 à 2009 ;
|
|
|
·
|
Loba nayo des 2010 à nos jours.
|
Vodacom
|
|
·
·
·
|
le millionnaire ;
ndembo award : tic tac plus fulangege ; ovda folie.
|
CCT
|
|
·
·
|
voyager en Chine ; tombola.
|
Tigo
|
|
·
|
allo na allo ;
|
|
|
·
·
·
|
Liboke ya tigo ; win-win
allo na allo plus.
|
Source : nous même.
Plusieurs nombre d'action on été menées au
cours de la période sous examen, nous nous proposons de ne retenir que
celles-ci.
Cependant, il convient de préciser que Tigo reste
l'entreprise qui a réalisé le plus d'actions marketings au cours
des années considérées ; il apparait ainsi comme le
réseau qui a provoquer cette levée de bouclier
dans le secteur des concurrents en réaction des nombreuses
actions particulièrement des promotions de venter l'entreprise a ainsi
réaliser des promotions tour pour tour.
Comme souligner plus haut, le marché de la
télécommunication reste caractériser par une concurrence
de type oligopolistique ; d'oü la manipulation d'une variable marketing
par l'un des concurrents appelle souvent et toujours lorsqu'il s'agit de la
variable prix, a des réactions des autres concurrents du secteur.
Pour prétendre être compétitif et maintenir
sa position si pas de l'améliorer, il faut une manipulation judicieuse
et dotée des variables. En multipliant les villes desservies et par une
communication très soutenue, l'on peut prétendre occuper la place
de leader si non parmi les leaders au Congo.
CHAPITRE IV : DETERMINATION DES FACTEURS PREPONDERANTS
POUR L'ADHESION DES ETUDIANTS A UN RESEAU DE TELEPHONIE MOBILE A LUBUMBASHI PAR
L'ACP
V.1 INTRODUCTION
Il s'agit dans cette partie du travail de présenter les
facteurs actifs dans un tableau de traitement, les coordonnées, les
contributions et l'angle de
représentation des points ainsi que les résultats
obtenu a l'aide du logiciel de traitement statistique TANAGRA.
En effet, nous avons utilisé la méthode statistique
d'analyse des données, plus précisément de l'analyse de
correspondances multiples, afin de faire une description sur un comportement
impliquant le choix d'adhésion a un réseau de
téléphonie mobile. A ce niveau nous tenons a préciser que
la nature de nos données est définie sous forme des variables
discrètes, l'AFCM donne les mêmes résultats que l'ACP, nous
avons donc utilisé l'ACP.
Les données d'étude sont de types qualitatifs
regroupés en différentes variables avec chacune des
modalités. Ces variables ont été mesurées sur un
échantillon de 1350 individus interrogés.
Le traitement des données, par le logiciel statistique
TANAGRA, nous a par ailleurs conduit à la description du nuage des
points que nous allons interpréter. Se référant aux
facteurs principaux, nous avons dégagé ce qui suit :
IV.2 PLANS FACTORIELS
IV. 2.1 Le premier axe factoriel (F1) : Inertie 7,64
· Le premier axe factoriel explique 7,64 de la variance
totale : il
présente d'une part les individus dont l'âge varie
de 17 a 22 ans majoritairement célibataires à ceux dont
l'âge est supérieur ou égal à 23 ans pour qui la
plus part sont des mariés. Cet axe mesure la différence
des comportements entre les individus lié au sexe, face
au choix soutenu
d'adhésion a un réseau de téléphonie
mobile plutôt qu'à un autre.
IV. 2.2 Le deuxième axe factoriel (F2) : Inertie
7,13
· Le deuxième axe factoriel explique la variance
totale à 7,13 %. Pour cet axe les modalités qui contribuent les
plus à sa construction sont les suivantes : les réseaux
téléphoniques en présence, la qualité
téléphonique
IV. 2.3 Le troisième axe factoriel (F3) : Inertie
5,90
· Le troisième axe, lui traduit a 6 % les
comportements des différents autres facteurs dans la contribution
à savoir : le réseau le plus préféré, la
qualité d'un appel en inter communication comme en intra et aussi
l'impact de la publicité sur les individus de part leurs sexes et leurs
tranches d'âges en regroupées.
IV.2.4 Le quatrième axe factoriel (F4) : Inertie
5,63
· Cet axe exprime la variation totale à 5,63 %. les
informations retenue, sont l'influence du réseau vodacom et son
positionnement face à la concurrence loyale.
IV.2.5 Le cinquième axe factoriel (F5) : Inertie
5,50
· La variation totale est représentée
à 5,50 %. le couplement des airtel ainsi que vodacom est mieux
appréhendé, néanmoins une explication des autres
réseaux est autant présente.
IV.2.6 Le sixième axe factoriel (F6): Inertie
5,08
· L'information est proche de l'axe cinquième.
Cependant, la variance totale est de 5,08 %. l'axe factoriel présente le
réseau tigo dans le choix des adhérant, à la
téléphonie mobile à Lubumbashi.
IV.2.7 Le septième axe factoriel (F7): Inertie
4,94
· Couplement d'airtel et vodacom caractérise une
tranche d'âge, selon qu'il considère un numéro
téléphonique comme faisant partiidentité vu
qu'ils sont parmi les premiers installé dans la ville. 4,94 est la part
de la variance totale.
IV.2.8 Le huitième axe factoriel (F8): Inertie
4,82
· Airtel couplé à CCT, traduit que le
principale réseau est airtel dont CCT se présente sous forme
secondaire, soit pour une catégorie ciblée, soit pour des raisons
de confidentialité. La variance totale est visible à 4,82
IV.2.9 Le sixième axe factoriel (F9): Inertie
4,77
Le comportement du réseau Vodacom couplé à
d'autre semble est visualiser plus ou moins clairement par cet axe et
définit sa variation totale à 4,77 de dispersion
IV.1 INTERPRETATION DES RESULTATS DE L'ANALYSE
IV. 3 INTERPRETATION DES PLANS FACTORIELS
Le premier plan principal : le premier plan
principal reprend le premier facteur ainsi que le deuxième. Il
l'explique a 14,77 de variance totales. (Figure : 1)
De part les proximités des variables et au regard de
leurs qualités de représentation, nous sommes poussés
à dire que :
· L'appartenance à un réseau de
téléphonie mobile est visiblement liée aux individus selon
que leur sexe est masculin ou féminin ;
· Selon un certain l'âge (supérieur ou
égal a 23 ans), l'impact de la publicité sur ces derniers n'a pas
beaucoup d'effet dans la mesure où l'âge influe sur le
comportement ;
· les ressources des moyens de maintien d'un abonnement
fiable et durable est fonction d'une réalité environnementale.
Le deuxième plan principal : ce plan
explique 13,94 des variations totales. Il croise le premier facteur au
troisième. Ici il se dégage que la majorité des
abonnés sont des hommes dans la tranche d'âge de 17 a 22 ans ont
un comportement différent comparativement a l'autre groupe
en face qui est visiblement représenter par des femmes a
tendance célibataire dont l'âge se situe entre 23 ans et plus. Il
est vrai que le problème de choix repose sur l'appréciation et
les contraintes relationnelles.
(Figure : 2)
3 Le troisième plan principal : le
troisième plan principal explique la variance totale à seulement
13,28 .il met en relation le premier axe
factoriel et le quatrième. La proximité des points
nous autorisent de traduire comme ceci : la présentation des points qui
explique les réseaux qui réunies le maximum des adhérant
selon que le choix se justifie par une action donnée.
· La majorité d'individus de sexe féminin
majoritairement de 23 ans et plus accusent un comportement de stabilité
dans l'utilisation du téléphone mobile. Plus on devient mature,
plus il semble difficile de modifier sans raison contraignante un
abonnement.
4 Le quatrième plan principal : quant au
quatrième plan principal, mous trouvons une explication de la variance
totale a 13,14 le premier axe
factoriel est croisé au
cinquième. L'âge, dans ce cas, identifie le
regroupement des individus dans les réseaux qui leur
conviennent le mieux, au dépend de la bource ou selon les
affinités.
CONCLUSION GENERALE
Au terme de notre travail de mémoire portant sur
l'étude statistique des
facteurs d'adhésion a un réseau de
téléphonie mobile des étudiants dans la ville de
Lubumbashi. Il convient de tirer une conclusion dans laquelle nous
résumerons les résultats auxquels, nous avons abouti.
En égard à ce qui précède, notre
démarche tout au long de ce travail a consisté en la recherche
des facteurs prépondérants motivant l'adhésion à un
réseau de téléphonie mobile à Lubumbashi,
particulièrement à la
catégorie de la population estudiantine dans la ville de
Lubumbashi.
Pour répondre à notre préoccupation objet
même de ce travail, nous avons considéré un
échantillon de 1350 individus recensés dans différentes
communes constituant la ville de Lubumbashi
A cet effet, vu la nature des nos données (variables
qualitatives) recueillies, après dépouillement, face aux facteurs
impliquant un nombre considérable des modalités, nous avons
été conduits par ces dernières a un traitement par
l'application de l'analyse des correspondances multiples. A ce niveau les
données étant de nature qualitative et
codifiées en variable de Bernoulli qui dégage un
tableau disjonctif, l'application des ACP correspond autant que les AFCM.
Les résultats obtenus et interprétés
à travers différents plans nous ont révélés
les réalités suivantes :
Plus on s'éloigne du centre de gravite dans la
représentation graphique, plus l'individu est Fidele a un réseau
ou l'usage devient normalisé. Les hommes emploient différemment
par degré de responsabilité au réseau, on les retrouve
également combinant plusieurs réseaux qui aux personnes
responsables ayant pris une décision d'opérer un choix pour un ou
plusieurs réseaux.
Le rapprochement du centre de gravité traduit
l'ambiguïté des sentiments (mobile) des personnes adhérant
à un réseau donné.
Les axes des coordonnées horizontales (abscisse) et
verticales traduisent de manière univoque et selon les
différentes représentations graphiques que plus on est bas ou
dispersé de l'échelle sociale moins on est engagé
dans la modalité ou on se trouve et plus on avance vers le
centre, le niveau d'engagement augmente.
Pendant ce temps, il éloigne les réseaux choisi de
manière univoque à ceux dont le choix est plus ou moins multiple.
De même l'âge des utilisateurs devient déterminant dans la
mesure où les personnes les plus
âgées ont tendance à ne choisir qu'un ou deux
réseaux notamment (Airtel et Vodacon) et c'est contrairement aux plus
jeunes qui le plus souvent soit combine plusieurs réseaux soit
choisissent le réseau relativement moins couteux (CCT et Tigo). Face
à cette généralisation des faits, nous aimerions
explicités comme suit :
o L'appartenance a un quelconque réseau de
téléphonie mobile est fonction de son entourage selon que l'on
côtoie une catégorie des personnes, et surtout la
considération mesurable de son pouvoir
d'achat qui justifie la fidélité d'un individu a un
abonnement téléphonique;
o La majorité sont des femmes ses trouvant dans la tranche
d'âge allant de 23 ans et plus, qui considèrent que un
numéro téléphonique fait partit de leur identité
dû aux engagements contractés et accusant une maturité
mentale, mariée pour certain, avec pour source de revenu un job ou un
tuteur, ils accusent une certaine stabilité et sont plus abonnés
chez Airtel et Vodacom et aussi dans le couplement des ces derniers pour l'une
comme pour l'autre raison. La publicité n'a plus d'impact selon que tel
réseau réalise des innovations visant à motiver plus la
communication que si ce n'est de conquérir un marché potentiel.
Néanmoins, intéressant le plus la catégorie des personnes
plus ou moins stables la socialement et indépendantes
financièrement pour la plupart, les deux réseaux semblent
occupés la
place des géants de la téléphonie mobile
particulièrement à Lubumbashi.
o Cependant, cette seconde catégorie qui majoritairement
est constituée des hommes représente une tranche d'âge
allant de 17 a
22 ans pour qui la publicité agit selon que l'un des
réseaux présente sa promotion sur l'offre dans les services. Elle
est plus représentée
dans Airtel combiné avec CCT ou Tigo. Vu que la
dépendance financière est un aspect vrai et réel, sachant
que les principales sources sont les parents et autres non clairement
définie, les réseaux qui appliquent régulièrement
la promotion sur le coût d'appel touchent particulièrement cette
dernière de sorte qu'un jeune de cette classe n'hésiterait pas a
sauter sur une opportunité promotionnelle et me quitter son
numéro pour un autre réseau.
Il se dégage certains constats que CCT et Tigo, dans la
ville de Lubumbashi s'avèrent secondaires vu la tarification
promotionnelle sans cesse et préférable chez les plus jeunes. Il
est donc logique de constater qu'un étudiant célibataire de 17 a
22 ans communique plus avec le(s) réseau(x) le moins cher à la
portée de sa bourse.
Ainsi nous osons répondre à la question
soulevée dans la problématique en dégageant la
dépendance des certaines variables qui sont facteurs de motivation
d'adhésion des étudiants a un réseau de
téléphonie mobile dans la ville de Lubumbashi.
SUGGESTION :
Au terme de cette étude visant à déterminer
les facteurs qui influencent dans le choix d'adhésion a un réseau
de téléphonie mobile se défini selon que le produit est
présenté. Il est important pour les maisons (entreprises) de
téléphonie mobile oeuvrant a Lubumbashi, de savoir cibler des
catégories des personnes plus responsables pour réellement les
compter à leurs actifs pour la prospérité de celles-ci.
De même la population à petite bourse peut
influencer la croissance de
l'effectif si une politique de communicationnelle est
adaptée a leur besoin.
LES ANNEXES
Nos données portant un caractère discret, nous sous
sommes trouvés dans l'impossibilité de les soumettre directement
au traitement. Cependant, nous avons trouvé mieux de les placer dans un
tableau de description logique.
Voici la manière dont nos données ont
été enregistrées et codifiées :
Sexe
|
Réseau
|
Qlté inter
|
Qlté intra
|
Publicite
|
age
|
Etatcivil
|
Revenu
|
Hom
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
celib
|
job
|
Fem
|
airtvoda
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
parent
|
Fem
|
airtel
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
tuteur
|
Fem
|
voda
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubIndif
|
23 et+
|
celib
|
parent
|
Hom
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
celib
|
tuteur
|
Hom
|
voda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
autreRev
|
Hom
|
airtvoda
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
marie
|
job
|
Fem
|
voda
|
interbon
|
intramoy
|
PubBon
|
17-23
|
marie
|
job
|
Hom
|
airtel
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
marie
|
job
|
Fem
|
airtel
|
interbon
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
marie
|
tuteur
|
Hom
|
voda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
23 et+
|
celib
|
parent
|
Fem
|
airtel
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
marie
|
tuteur
|
Fem
|
airtel
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubBon
|
23 et+
|
celib
|
autreRev
|
Hom
|
vodacct
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
job
|
Hom
|
vodtigo
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
marie
|
autreRev
|
Hom
|
ccttigo
|
intemoyen
|
intramoy
|
PubIndif
|
23 et+
|
celib
|
job
|
Hom
|
airtigo
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubBon
|
23 et+
|
celib
|
autreRev
|
Fem
|
airtel
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
23 et+
|
celib
|
parent
|
Hom
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
parent
|
Fem
|
voda
|
interbon
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
celib
|
job
|
Hom
|
airvcct
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
autreRev
|
Fem
|
cct
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
celib
|
job
|
Fem
|
vodacct
|
intemoyen
|
intramoy
|
PubIndif
|
23 et+
|
celib
|
parent
|
Fem
|
ccttigo
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
autreRev
|
Fem
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
job
|
Hom
|
airtcct
|
interbon
|
intrabien
|
PubIndif
|
23 et+
|
celib
|
parent
|
Hom
|
airtel
|
interbon
|
intrabien
|
PubIndif
|
23 et+
|
celib
|
parent
|
Fem
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
marie
|
autreRev
|
Fem
|
aircctig
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
23 et+
|
celib
|
parent
|
Fem
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
23 et+
|
celib
|
tuteur
|
Hom
|
voda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
marie
|
tuteur
|
Hom
|
airtigo
|
intemoyen
|
intramoy
|
PubBon
|
17-23
|
marie
|
autreRev
|
Hom
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
celib
|
tuteur
|
Fem
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
23 et+
|
celib
|
tuteur
|
Fem
|
voda
|
interbon
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
celib
|
job
|
Hom
|
airtel
|
intemoyen
|
intrabien
|
PubIndif
|
17-23
|
marie
|
job
|
Fem
|
ccttigo
|
intemoyen
|
intramoy
|
PubIndif
|
17-23
|
marie
|
autreRev
|
Fem
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
marie
|
autreRev
|
Fem
|
vodacct
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
23 et+
|
celib
|
parent
|
Hom
|
airtvoda
|
interbon
|
intrabien
|
PubBon
|
17-23
|
marie
|
job
|
Tableau des valeurs propres :
Il présente les proportions des contributions des
différents axes qui constituent le tableau des valeurs (Inertie).
Tableau de coordonnées des points
Tableau de présentation des variables de
positionnement et de contribution :
Ce tableau présente les valeurs détaillées
des contributions de déférentes modalités définies
ainsi que des parts des variables dans le positionnement des axes.
Questionnaire
Le présent questionnaire fers l'objet d'une étude
importante sur la recherche des différents facteurs qui motive
l'adhésion a un réseau de
téléphonie mobile auprès de la population
estudiantine de la ville de Lubumbashi
1.
Sexe de l'individu : Masculin ; Féminin
2.
Quelle préférence sur les réseaux de
communication ? Airtel Voda
CCT Tigo
En combiné :
3. Comment appréciez-vous la qualité de la
communication :
·
Inter : bonne : ; moyenne :
· Intra : bonne : ; moyenne :
4. Comment trouvez-vous les actions publicitaires :
·
bien :
·
Indifférent :
5. L'âge de l'individu :
·
De 17 a 22 ans :
·
De 23 ans et plus :
6. Etat civil :
· Marie :
· Célibataire :
7. Quelle est la source de votre revenu :
· Parent :
· Tuteur :
· Job :
· Autre :
Par N'kulu Ilunga Minga Thierry.
BIBLIOGRAPHIE
1°) BENZECRI J.P, Analyse des données- Analyse des
correspondances, Dunod, Paris 1979.
2°) BOUROCHE J.M, SAPORTA, Analyse des
données, PUF, Paris 1978
3°) George CARLO et Martin Schram,
Téléphones portables: Oui, ils sont dangereux ! Cornd, 2006,
(ISBN 2-9123-6259-8) ;
4°) Pièces et Main d'oeuvre, le
Téléphone portable, gadget de destruction massive,
l'échappée, 2008, (ISBN 2-9158-3017-7) ;
5°) MICS2|2001, Rapport d'analyse : Enquête
Nationale sur la situation des femmes.
Articles Connexes
- Liste des sigles de la téléphonie
mobile;
- Téléphone portable jetable ;
- Téléphone mobile, sommes nous tous des
cobayes?
Cours
1°) CT Paul Monga : Techniques et Pratiques de
sondage, L1 TMG|Jour.
2°) CT Mukalenge : Analyse des données
multidimensionnels, L1 TMG|jour.
Sommaire
INTRODUCTION GENERALE 4
CHOIX ET INTERET DU SUJET 4
0.2 PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES DE LA RECHERCHE 6
0.2.1 PROBLEMATIQUE 6
0.2.2 HYPOTHESE 7
0.3 METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES 7
0.3.1 Méthode 7
0.3.2 Techniques 8
0.4 DELIMITATION DU SUJET 8
0.5 DIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL 9
CHAPITRE I : METHODOLOGIE DE COLLECTE DES DONNEES 10
I.1 ECHANTILLONNAGE 10
I.1.1 Méthode d'échantillonnage 10
I.1.2 Unité de sondage 11
I.2.3 Mode de tirage de l'échantillon 11
I.2 OUTIL DE COLLECTE 11
I.2.1 Questionnaire d'enquête 11
I.3 PROCEDE DE TIRAGE ALEATOIRE DE L'ECHANTILLON 12
I.3.1 La stratification 13
I.3.2 Le sondage élémentaire et utilisation 13
I.3.3 Erreur de sondage 13
I.4 DEFINITIONDES CONCEPTES DE BASES 14
CHAPITRE II : THEORIE SUR L'ANALYSE FACTORIELLE DES
CORRESPONDANCES MULTIPLES 21
II. 1 GENERALITES 21
II. 2 CONCEPTS FONDAMENTAUX 21
II.2.1 La distance 21
II.2.2 Indice géométrique 22
II.2.3 Les similarités ou indice de similarité
23
II. 3 CRITERES DE CLASSIFICATION DES METHODES D'ANALYSE DES
DONNEES 24
II.3.1 Partition ou nom du tableau des données 24
II. 3.2 Notion de métrique et de forme quadratique 24
II.4 DOMAINE D'APPLICATION DE L'ANALYSE FACTORIELLE DE
CORRESPONDANCE (AFC) 26
II.5 NOTION 30
II.6 PRATIQUE DE L'ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDENCES 31
II.7 INTERPRETATION ET SENS DES FACTEURS 34
II.8 UTILISATION DE L'AFCM POUR DES ENQUETES
SOCIO-ECONOMIQUES
39
CHAPITRE III: LES FACTEURS D'ADHESION A UN RESEAU DE TELEPHONIE
MOBILE 40
III.1 APERCU HISTORIQUE 40
III.1.1 Indices du phénomène 40
III.1.2 Les vecteurs du phénomène 41
III.1.3 Les discordances du marché de la
téléphonie mobile 44
CHAPITRE IV : DETERMINATION DES FACTEURS PREPONDERANTS POUR
L'ADHESION DES
ETUDIANTS A UN RESEAU DE TELEPHONIE MOBILE A LUBUMBASHI PAR L'ACP
52
V.1 INTRODUCTION 52
IV.2 PLANS FACTORIELS 52
IV.1 INTERPRETATION DES RESULTATS DE L'ANALYSE 55
CONCLUSION GENERALE 59
SUGGESTION : 61
LES ANNEXES 62
BIBLIOGRAPHIE 70