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Conséquence de la non utilisation des ordinateurs dans les services administratifs cas de la commune d'Ibanda

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par Morris MOKILI KYALONDAWA
Institut supérieur pédagogique de Bukavu - Gradué 2009
  

Disponible en mode multipage

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0. PROBLEMATIQUE

Dans le monde de travail, l'utilisation de l'outil informatique s'avère très indispensable, dans les différents services ou secteurs. L'ordinateur bouleverse, les méthodes de travail apparu au cours de moitié du XXe siècle, ils ont révolutionné les habitudes de travail, un faisant de cet outil un des éléments trop utilisé rendant le travail aisé dans l'exécution des taches. L'utilisation de cet outil reste utile dans tous les domaines de Gestion où tous les fonctionnaires y font recours pour effectuer rapidement les tâches ou opérations et sans trop des failles dans leurs services.

C'est dans ce même ordre d'idée que les services de la commune d'ibanda, longtemps crées, tiennent manuellement leurs opérations. Cette manière de gestion est source des multiples erreurs et difficultés entre autres 

v La difficulté due à l'élaboration d'un certain nombre des documents nécessitant le remplissage d'un certain nombre des cases tout en maintenant le texte statique.

v Le retard dans l'expédition d'un nombre des rapports ou autres documents facile à trouver.

v Le conflit engendré par la non retrouvaille facile d'un certain nombre des données ou information relatives à un agent.

v Manque de reproduction d'un document.

v C'est un système fatiguant ce qui fait que lorsque le travail est volumineux on ne s'en occupe plus et ces travaux restent en souffrance.

v En cas d'erreur il faut reprendre la dactylographie ou soit utiliser l'encre correctrice.

v Consommation abusive de ruban et de carbone.

v Manque de conservation des données cette dernière constitue la majeure difficulté pour le système manuel.

v Mauvaise qualité de l'information produite manuellement c'est-à-dire ces informations ne sont pas propres, claires et parfois lisibles et visibles ; également les documents se coupent ou se déchirent en petit morceau après avoir passé beaucoup d'années dans les armoires ou étagères qui, du reste sont mal construits par le fait de les toucher et les remettre chaque fois dans leur emplacement. Tout cela amène ces services à la lourdeur aux difficultés de la fiabilité d'efficacité et même d'efficience et qui prédispose l'organisation administrative aux charges très élevées aux outils considérables en exposition des erreurs graves.

En effet, malgré la non utilisation des ordinateurs pour certains services qui du reste n'ont pas suffisamment des moyens pour acheter les ordinateurs et les intégrer dans leurs services ; parce que certains agents voudront bien que leurs services soient informatisés mais faute des moyens financiers on arrive pas à le faire. Cependant l'utilisation des ordinateurs présente des conséquences positives et négatives dans les services administratifs.

Ainsi pour ce qui est de la conséquence positive il s'agit notamment de :

· Quand bien même que ces ordinateurs peuvent être dans les bureaux mais le courant électrique fait défaut dans notre ville en d'autres termes il n y a pas le courant pour allumer ces machines et s'il arrivé ce n'est pas rassuré ou il ne reste pas pendant longtemps ce qui fait les gens gaspillent leur argent en achetant chaque fois le carburant dont son prix monte sans raison.

· Le manque des connaissances en informatique pour les agents qui peuvent utiliser ces ordinateurs d'où la nécessité d'envoyer les agents à la formation.

· Pas de perte probable de données liées au support qui le conserve puisque nous n'avons pas des ordinateurs.

· Aucun développement de maladies parce que l'ordinateur ne peut ou ne pas être porteur de certaines maladies comme le maux de coup une fois que les conditions ergonomiques ne sont pas adaptables.

Quant à ce qui est de la conséquence négative on peut citer :

Ø Le faible coût du personnel c'est-à-dire l'utilisation nombreuse des ordinateurs créée le chômage à tel point que à la place des 20 agents on va peut être utilisé 10 agents en réduisant sur leur nombre ou les licencés en leur payant leur décompte final ce qui causera de petits problèmes à l'entreprise.

Ø Achat de matériels ou consommables informatiques.

De toutes les façons, on ne peut jamais barrer la route au système manuel malgré les nouvelles technologies de l'informatique à plus forte raison qu'avant l'avènement de technologies de l'informatique le système manuel battait record en dominant tous les services ; même en Amérique, en Europe et d'autres continents du monde où étaient nés ou évolués les nouvelles technologies ce système fut utilisé pendant beaucoup d'années. Ce n'est qu'avec le progrès de la technologie de l'information et de la communication en particulier et à la mondialisation que les gens ont tendance à oublier tant soit peu le système manuel au détriment des ordinateurs. Lors de la colonisation de notre pays et même à l'heure actuelle ce système est utilisé par certains services disposant des étagères ou armoires bien construit pour ça marche un peu puisque nos colonisateurs en l'occurrence des belges ont utilisé depuis longtemps ce système puisque ils disposaient des étagères ou armoires modernisés qui ne pouvaient pas faire passer la poussière à l'intérieur ou faire passer le cancrelat qui du reste constitue un fil à retordre pour les documents mal gardés.

En définitive les armoires modernisées ou qui sont bien construits s'avèrent très indispensables pour le système manuel dans la mesure où la poussière et autres choses nuisibles pour ces documents n'y entreront jamais.

Pour y arriver notre étude cherche à répondre aux questions suivantes :

- Que faut-il faire pour améliorer le système de travail dans les services publics de l'Etat vu les problèmes liés à un certains nombres d'élément dans son système de gestion annuelle ?

- La mise en oeuvre d'un système automatisé ne peut- t-il pas amener ces services à moderniser son système de travail qui reste archaïque et rudimentaire

1. sHYPOTHESE DU TRAVAIL

Nous savons bien que l'hypothèse est une réponse provisoire dans la mesure où on peut la rejeter ou la nier voir même la confirmer.

Eu égard de ce qui précède

1. L'utilisation des ordinateurs peut-elle améliorer ou simplifier la qualité du travail de votre service.

2. L'utilisation des armoires ou étagères modernisés ne peut-elle pas permettre la bonne conservation de vos documents même à l'absence des ordinateurs.

2. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Le choix de la commune d'ibanda se justifie par le fait que qu'elle regorge beaucoup des services de l'Etat ; étant donné que plus de 85 % des services de Bukavu se trouvent concentrés à Ibanda à cause de plusieurs facteurs notamment le fait de la permanence du courant et ça constitue des sources génératrices du Trésor Public de l'Etat dans la ville de Bukavu ou renferme le centre commercial et institutionnel de la ville de Bukavu ; également regorge de belles infrastructures tant privées que publiques.

Ce sujet est à la une compte tenu aux effets de la mondialisation sur le rendement des services aussi bien au niveau international qu'au niveau national ; il aidera aux chercheurs dans le domaine de la technologie de l'informatique de se documenter tant soit peu dans ce travail. On constate que, tenant compte de ce progrès plus-haut de la technologie du monde actuel, il est impérieux que chaque service y compris les individus assez informés fasse des efforts pour savoir l'impact positif de l'utilisation de l'ordinateur et avoir quelques notions en informatique pouvant leur aider à bien l'utiliser ; non seulement dans l'intention de ses besoins professionnels, mais aussi pour simple curiosité de se mettre en actualité avec l'évolution de nouvelles technologies afin de pouvoir tirer des ses avantages. C'est ainsi, ceux qui utilisent les ordinateurs sont mieux placés dans ce monde.

Ainsi, au vue de ce qui précède nous avons eu le plaisir de pouvoir vérifier l'impact de la non utilisation des ordinateurs questions d'exhorter les différents agents qui travaillent dans les services administratifs et qui disposent des moyens matériels d'adopter la pratique informatique qui à l'heure actuelle bat record.

3. DELIMITATION DU SUJET

2.1 au niveau spatial

Notre travail se limitera dans la commune d'ibanda qui se trouve à Bukavu chef lieu de la province du Sud-Kivu en République Démocratique du Congo

2.2 au niveau chronologique

Ce travail est circonscrit dans la période allant du janvier 2009 en juillet 2010 et qui a comme cible commune d'Ibanda en général, et particulièrement ses services de l'administration.

4. METHODE ET TECHNIQUE

A. METHODES

1. Méthodes historiques : cette méthode nous a permis de rencontrer dans le temps pour savoir l'historique de la commune d'ibanda.

2. Méthodes analytiques : Elle nous servie dans l'analyse détaillée en vue de retenir les éléments importants et moins important ; les systèmes documentaires existant.

3. Méthode comparative : cette méthode nous a permis d'entrer en contact direct avec la réalité de chacun de ses services.

4. Méthodes MERISE : c'est la méthode d'étude et de réalisation informatique pour les systèmes d'entreprises ; méthodes éprouvée pour retardée indéfiniment la sortie des études. Cette méthodes nous a servie à l'étude et au développement de cette organisation et connaître :

- Comment elle réagit des informatiques qu'elle utile ;

- Quels sont les modèles à utiliser dans le cadre de l'élaboration d'un travail scientifique suivant les procédures de cette méthode.

B. TECHNIQUES

Parmi les techniques utilisées dans les domaines de la recherche, nous avons utilisés les techniques suivantes :

1. Technique documentaire : cette technique nous a aidé à consulter et exploiter avec intérêt certains documents et archives traitant sur notre domaine de recherches ;

2. Technique d'interview : conformément à son appellation, elle nous a permis de passer au jeu de question réponse, par un entretien direct pour nous éclairer et nous renseigner d'avantage sur le monde du travail

5. PLAN SOMMAIRE DU TRAVAIL

Le travail sous examen sera hormis l'introduction et conclusion subdivisé en 3 chapitres.

Le premier chapitre portera sur la présentation de la commune d'ibanda en d'autres mots son historique.

Le deuxième chapitre va porter sur la considération théorique des ordinateurs et la place des ordinateurs dans les services administratifs enfin le troisième et le dernier chapitre de notre travail est centré sur la présentation et dépouillement des données.

CHAP I .GENERALITES SUR LES ENTREPRISES

I.1 PRESENTATION DE LA COMMUNE D'IBANDA

Cette présentation portera sur 3volets notamment :

- Le 1er volet parlera se l'historique de la commune d'ibanda ou « le e plan géographique » ;

- Le 2eme volet portera sur l'organigramme ou structure organisationnelle et fonctionnelle ;

- Le 3eme volet va porter sur « le plan commercial »

I.1.1 HISTORIQUE OU LE PLAN GEOGRAPHIQUE

La commune D'ibanda est une des trois commune de la Mairie de Bukavu fut créée par arrêté collectif n°111/203 du 3 octobre 1958

Elle est limitée :

- Au Nord par le lac Kivu ;

- Au Sud par le territoire de kabare et par la commune urbano-rurale de kasha ;

- A L'est par la rivière Ruzizi ;

- A L'ouest la rivière kawa ;

D'une manière altitude moyenne de 1612 mètres, elle a une superficie de 11 ,57.10km2 et une population de 162.333 habitants soit une densité de 4.029 habitants par km2. Par cette population, on dénombre 405 étrangers et 161.928 congolais dont la majorité shi et lega, havu, bembe, fuliru, nyindu, tembo.

Le climat est tempéré de montage de 25 ,6° maxima et 15,7° minima avec une pluviosité de 1.456,4m

Bourgmestre adjoint

Bourgmestre

Secrétariat

16 services techniques

Services territoriaux

Genre

Fonction Publique

E.C.N

Budget

L'habitat

Urbanisme

16 services techniques

Secrétariat

Secretariat

Comptabilitéééé

La police

ETAT

ANR

DGM

La légalité

Services territoriaux

21 Cellules

Ndendere

NyalukembaqammmmmmmmmmmmmmkMMmmmmmmmmmmm

Panzi

3Quartiers

I.1.2 ORGANIGRAMME

I.1.3 ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET FONCTIONNELLE

Aux termes de l'article 105 du décret-loi 081 du 02 juillet 1998 portant organisation territoriale et administrative de la République Démocratique du Congo, les organes de la commune sont :

1. le Bourgmestre ;

2. le conseil consultatif communal.

Vu la taille de la RDC, un pays aux dimensions continentales dit-on, et l'éloignement de certains contrées du pays de la capitale considérée comme centre de toute décision intéressant la vie nationale et surtout que Kinshasa comme siège des institutions du pays, la ville de Bukavu au sein de la quelle se trouve la commune d'Ibanda est située à 2000km de la capitale.

Cet éloignement a donc conduit les autorités du pays, soucieuses de rapprocher l'administré de l'administration à opter pour la décentralisation comme mode de gestion de certaines entités territoriales notamment la commune.

Administrativement parlant et cela du point de vue théorique, la commune d'ibanda, pendant toute ou presque la période qui couvre notre étude soit la période allant de 2008 à 2009 sa nature juridique était une entité administrative décentralisée.

En effet, l'art.7 du décret-loi 081 précité dispose que : « les entités administratives centralisées sont :

v La province ;

v La ville ;

v Le territoire ;

v La commune pour la ville de Kinshasa.

Les entités administratives non décentralisées sont :

· Le district ;

· La commune autre que celles de la de Kinshasa ;

· Etc. 

Au chapitre 5 traitant des communes dans la ville de Kinshasa, même décret-loi déclare à son article 104 que : « la commune est une entité administrative décentralisée dotée de la personnalité juridique... »

Le chapitre 6 du décret-loi 081 sus évoqué consacré aux communes en province stipule que : « la commune est une circonscription administrative dépourvue de la personnalité juridique... »

Des dispositions légales ci-haut citées, il ressort clairement que la commune d'ibanda étant une commune située en province n'est pas une entité administrative décentralisée cette qualité étant exclusivement réservée aux seules communes de la ville de Kinshasa ce qui, en toute logique entraine la conséquence que la commune d'ibanda n'a pas d'autonomie financière, n'a pas d'autonomie organique.

La loi n°77-028 du 19 Novembre 1977 modifiée par l'ordonnance-loi n°87-006 du 25 février 1982 portant, organisation territoriale, publique et administrative de la République du Zaïre déclare pour sa part, sans faire de distinction entre les communes de Kinshasa et celles de province que : « la commune est une entité administrative décentralisée. Elle est dotée de la personnalité juridique. »

La décentralisation est définie comme étant un système d'administration consistant à permettre à une collectivité humaine (décentralisation territoriale) de s'administrer elle-même sous le contrôle de tutelle de l'Etat.

Nous avons dit qu'en théorie la commune d'ibanda revêtait la forme d'une entité administrative non décentralisée puisque le décret-loi 081 du 2juillet 1998 était pris par le pouvoir légitime de Kinshasa et à ce titre ce décret-loi liait toute la RDC, mais en réalité nul n'ignore qu'un mois après la promulgation de ce décret le 2 juillet 1998 alors qu'il n'était pas encore disponible dans toutes les administrations territoriales notamment dans la commune d'ibanda, la guerre dite de libération menée par le R.C.D a éclaté à Bukavu en date du 2 Aout 1998 consacrant ainsi la partition de fait du pays1(*).

La partie administrée par le gouvernement de Kinshasa appliquant ce décret-loi 081 tan disque la partie sous contrôle du R.C.D continuait à faire application de l'ancienne loi qui fait de la commune une entité administrative décentralisée moyennant bien entendu certains aménagements jusqu'en 2003, année de la réunification du pays.

Donc de 2000 à 2003, la commune d'ibanda a en pratique revêtu la nature juridique d'une entité administrative décentralisée pour les divers motifs ci-dessus evoqués.

Ainsi, sur la partie sous contrôle du R.C.D ; la territoriale était liait au département de l'administration du territoire, renseignement et sécurité tandis que, dans la partie sous contrôle du Gouvernement, la territoriale était placée sous contrôle du Ministre de l'intérieur et administration du territoire et décentralisation.

De la définition de la décentralisation ci-avant, il convient de retenir que la commune d'ibanda en tant qu'une personne morale dotée de la personnalité juridique, elle est un être titulaire de droits et sujet d'obligations.

Ceci revient à dire qu'il y a des devoirs et obligations qui pensent sur la commune non seulement vis-à-vis de ses administrés mais aussi vis-à-vis de ses cadres et personnel et de son autorité de tutelle.

Ainsi, la commune d'Ibanda est appelée à entretenir certaines routes, certains bâtiment tant administratifs que ceux servant d'habitation de son personnel et certaines autres infrastructures et doit supporter les charges sociales de son personnel.

La commune est aussi, entant que titulaire de droits est en droit d'exiger certaines prestations à ses administrés en vue de réaliser les objectifs qu'elle s'assigne dans son cadre budgétaire.

Sur le plan administratif, la commune d'Ibanda est divisée en trois quartiers subdivisés en cellules et avenues .Le quartier NDENDERE a une superficie de 3,38 .8 km2, la superficie du quartier PANZI est de 5,06.10 km2 tandis que celle du quartier NYALUKEMBA est de 3,12 .20 km2, soit un total de 11,57.10 km2

La commune d'Ibanda est dirigée par Bourgmestre assisté d'un Bourgmestre adjoint et un chef de Bureau.

Le quartier est dirigé par le chef de quartier secondé par un chef de quartier adjoint, il en est même pour la cellule qui a sa tête un chef de cellule et un chef d'avenue par avenue. Selon le même rapport de la commune d'ibanda ; la commune d'ibanda est constituée de 3 quartiers ci-haut cités qui sont le quartier NDENDERE qui compte 8 cellules et 53 avenues, le quartier PANZI constitué de 7 cellules et 72 avenues.

Après cette présentation de la commune d'Ibanda sous l'aspect administratif et fonctionnel, il convient de la présenter sur le plan commercial.

I.1.4. ORGANISATION COMMERCIALE

Sur le plan commercial eu égard aux facteurs commerciaux, la commune d'Ibanda est l'un des grands centres commerciaux, si pas le plus grand de la province du Sud-Kivu en général et de la ville de Bukavu en particulier.

Selon le rapport annuel 2008 de la commune d'ibanda les points de vente c'est-à-dire les points commerciaux de la commune sont :

1. Les centres commerciaux situés sur les axes :

- Avenue Patrice Emery Lumumba ;

- Avenue industrielle ;

- Avenue major vangu.

2. Les maisons commerciales telles que :

- Société KOTECHA& DATCO ;

- Magasin LABOTTE, st JACOB, PANDJU ;

- Quincaillerie Burume, Bashige ;

- Dépots pharmaceutique : PHARMAKINA, SHEKINA , 8eCEPAC

3. Les marchés : NGUBA dans le quartier NYALUKEMBA ; nyawera dans le même quartier ; feu rouge dans le quartier Ndendere ; Major Vangu au Quartier Panzi et Chai dans le même quartier.

4. Les industries : Groupe GINKI, TOLINKI, SOJUF , MUGOTE, aux marchés « officiels » ci-haut cités, nous rencontrons plusieurs autres marchés « pirates » qui se créent sur certaines avenues de la commune dont les plus importants sont situés sur les avenues P.E LUMUMBA , VAMARO, etc.

En plus des marchés tant officiels que pirates et des maisons commerciales ci-dessus citées, la commune d'ibanda regorge aussi des dancing-clubs, les night-club, les maisons de transport des personnes et des biens, les dépôts des boissons, les stations services d'essence etc. en dehors des maisons commerciales les différents marchés et industries, nous dénombrons aussi en commune d'ibanda les changeurs communément appelés « cambistes » que nous rencontrons à des endroits tels qu'à la frontière RUZIZI 1er, à la place dite MULAMBA, à la place Feu-rouge, UTEX AFRICA, à côté du marché NYAWERA, à la place Major VANGU, à la place de l'indépendance etc2(*).

I.1.5 LES ATTRIBUTIONS

1.5.1 Les attributions du Bourgmestre

Selon le décret-loi n°081 du 2 juillet 1998 portant organisation territoriale et administrative de la République Démocratique du Congo tel que modifié et completé par le décret-loi n° 018/2001 du 28 septembre 2001(textes coordonnés et mis à jour au 28 septembre 2001)

Article 181 de la nature juridique

Article 126 : la commune est une entité circonscription administrative dépourvue de la personnalité juridique ; Elle est une subdivision de la ville. La commune est subdivisée en quartier et/ou en groupement incorporés.

Articles 109 : du même décret-loi stipule que : le bourgoumestre est à la fois répresentant du gouvernement et autorité locale. Ace titre, il assume la responsabilité du bon fonctionnement des services publics de l'Etat dans la commune et de bonne marche de l »administration de sa juridiction.il statue par voie de décision.

Article 110 : sans préjudice des attributions spéciales qui sont conférées par les textes particuliers, le bourgoumestre.

1. Veille à l'exécution des lois, des règlements et décisions de l'autorité supérieure ;

Veille au maintien de l'ordre public dans sa commune, A ce effet, il dispose des unités de `la police Nationale affectées à la commune ;

2. Assure l'accomplissement des tâches d'intérêt général notamment :

a. Instruire les affaires à soumettre au conseil consultatif de la commune ;

b. Prépare et présente au gouverneur de la ville, le projet du budget de la commune, le projet des crédits supplémentaires et de virements des crédits ainsi que le programme d'action après avis du conseil consultatif communal ;

c. Présente au gouverneur de la ville les comptes annuels des recettes et des dépenses après avis du conseil communal ;

d. Publie ou notifie les décisions du gouverneur de la ville et de sa commune ;

e. Dirige les services de la commune ;

f. Gere les services de la commune ;

g. Gere les revenus de la commune, ordonne les dépenses et contrôle la comptabilité ;

h. Dirige les travaux à exécuter aux frais de la commune ;

i. Administre le patrimoine de la commune et conserve ses droits ;

j. Supervise dans son entité, la collecte des taxes locales et contributions revenant au trésor ;

k. Veille à la numérotation des parcelles et à l'information des poteaux et pancartes indicateurs des avenues et rues.

1.5.2 Les attributions du Bourgmestre Adjoint

Selon le même décret-loi : dans son article 116 et117 stipulent que : le bourgmestre adjoint remplace le bourgmestre en cas d'absence ou d'empêchement. En cas d'absence ou d'empêchement du bourgmestre et de son adjoint, l'intérim est assuré par le chef de bureau de la commune.

Article 130 : le bourgmestre adjoint s'occupe des problèmes économiques et du suivi de l'exécution des projets de développement sous la direction du bourgmestre. Le chef de bureau de la commune coordonne l'administration de la commune.

1.5.3 Les attributions du conseil consultatif communal

Dans ce même décret-loi le bourgmestre est à la fois représentant du gouvernement et autorité locale A ce titre, il assume la responsabilité du fonctionnement public de L'Etat dans la commune et de la bonne marche de l'administration de la juridiction par voie de décision.

Article129

Sans préjudice des attributions spécifiques lui sont conférées par les textes particuliers, le bourgmestre :

1. Veille à l'exécution des lois, des règlements et décisions de l'autorité supérieure ;

2. Veille au maintien de l'ordre public dans sa commune A cet effet, il dispose des unités de la Police nationale affectées à la commune ;

3. Assure l'accomplissement des tâches d'intérêt général notamment :

a. Instruire les affaires à soumettre au conseil consultatif de la ville ;

b. Publie et notifie les décisions du gouverneur de la ville et de sa commune ;

c. Dirige les services de la commune ;

d. Administre les établissements de la commune ;

e. Dirige les travaux à exécuter aux frais de la commune ;

f. Veille à la sauvegarde du patrimoine de la ville ;

g. Supervise dans son entité, la collecte des taxes locales et contributions revenant au trésor ;

h. Prépare et présente au Maire de la ville le projet du budget de la commune, le projet des crédits supplémentaires et virements des crédits ainsi que le programme d'action ;

i. Gere les crédits de la commune, approuve les dépenses et contrôle la comptabilité

Il sied de signaler, quant à ce qui concerne les attributions évoquées ci-haut concernent seulement ce décret-loi dont sa nature juridique ne lui permettait pas de jouir d'une personnalité juridique.

Voici donc les attributions du bourgmestre relevant de la loi organique N° 08/016 du 7 octobre 2008 portant composition, organique et fonctionnement des entités territoriales décentralisées et leurs rapports avec l'Etat et les provinces. C'est cette loi qui définit les attributions actuelles du bourgmestre et qui lui permet de jouir de la personnalité juridique.

En voici donc quelques unes :

La commune étant une entité administrative décentralisée jouit de la personnalité juridique : le bourgmestre est l'autorité de la commune, il est le chef du collège exécutif communal.

A ce titre :

1. Il assume la responsabilité de la bonne marche de l'administration de sa juridiction ;

2. Il est officier de police judiciaire à compétence générale ;

3. Il est officier de l'Etat civil ;

4. Il est coordonateur principal du budget de la commune ;

5. Il représente la commune en justice et vis-à-vis des tiers ;

6. Il exécute et fait les lois, les édits et les règlements urbains et communaux ;

7. Il assure le maintien de l'ordre public dans sa juridiction

A cette fin, il dispose des unités de la place nationale y affectées.

CHAP.II. CONSIDERATION THEORIQUE DES ORDINATEURS ET LEUR IMPORTANCE DANS LES SERVICE

2.1 L'UTILISATION DES ORDINATEURS ET LEURS CONSEQUENCES

a. Définition

Le terme ordinateur créé en 1947 par contraction de mots ordonnant, ordre désigne une machine de traitement automatique des informations grâce aux logiciels qui y sont installés. Ou ensemble des dispositifs matériels (notamment électronique) permettant le traitement des données sous le contrôle de programmes préétablis désignés par le vocable général de logiciel.

b. L'utilisation de l'ordinateur

L'utilisation de l'ordinateur s'avère très indispensable dans les différents services ou secteurs. L'ordinateur bouleverse, les méthodes de travail apparu au cours de la seconde moitié du XXe siècle, ils ont révolutionné les habitudes de travail.

L'utilisation de cette machine est devenue de nos jours capitale si bien qu'elle permette de rendre le travail aisé dans l'exécution des tâches. Cette dernière reste utile dans tous les domaines de gestion où tous les fonctionnaires y font recours pour effectuer rapidement les taches ou opérations et sans trop des failles dans leur service. Le domaine de l'informatique devenant une discipline à part entière donc se dotant de ses méthodes, son objet, ses approches et en collaboration avec d'autres sciences ; celle-ci est entrain de marcher sur les autres sciences par son importance très capitale. L'ordinateur se fait voir dans tous les services qui aimeraient voir leur travail soit simplifié ou rendre leur travail facile.

Toute fois, dans son utilisation elle présente certaines conséquences positives et négatives. Quant à nous, nous auront à faire un large tour d'horizon sur les conséquences positives ainsi que les conséquences négatives.

S'agissant de conséquences positives de l'utilisation des ordinateurs, il sied de signaler que l'ordinateur créé le chômage dans la mesure, plus où les ordinateurs sont nombreux dans les services, plus on aura à supprimer certains postes que les hommes occupaient. En d'autres termes il y aura moins de personnes qui travailleront dans l'entreprise donc il ya diminution des couts du personnel, également les personnes pour qui leurs postes ont été supprimé auront droit à un décompte final ce qui pourrait entrainer un déséquilibre sur le chiffre d'affaires de l'entreprise un autre élément à placer dans ce registre ce que lorsqu'on aura soit besoin d'autres matériels pour que ce dernier fonctionne normalement ; donc comme autre conséquence positive la consommation de matériels( cartouche, encre etc.)

Parlant de la conséquence négative, nous devons signaler quelques éléments à savoir :

- Perte probable de données quand la panne survient donc il ya risque de perdre nos données qui sont contenues dans les supports quand la panne se présente ;

- L'ordinateur développe certaines maladies c'est pourquoi quand vous ouvrez un Cyber dans un premier temps, il faut bien respecter les normes de constructions de chaises sur les quelles les clients s'y mettront afin de les mettre à l'abri à tout genre de problème ;

- L'ordinateur rend l'intelligence de l'homme faible donc cette dernière réfléchit à la place de l'homme.

Il faut savoir que l'ordinateur a des conséquences néfastes pour l'être humain. En effet, lorsqu'une personne travaille trop sur un ordinateur, elle pourrait souffrir dans l'avenir de fatigue visuelle. Par ailleurs, être trop assis devant son ordinateur peut entraîner d'autres maux comme les troubles oculaires. Etre trop assis devant un ordinateur peut également entraîner des douleurs lombaires. Pour éviter tous ces maux, il faut vous lever régulièrement lorsque vous êtes assis devant un ordinateur3(*).

C. AVANTAGES DE L'ORDINATEUR

Dans ce point nous auront à donner certains avantages de l'ordinateur croyant peut être que nombreux des gens ignorent jusque là les avantages de l'ordinateur.

Ainsi, l'ordinateur présente les avantages comme suit :

v La rapidité dans l'exécution de tâches ;

v La bonne conservation de données ;

v Faciliter de partager ces données moyennant l'internet ;

v Faciliter de retrouver toutes ces données au moment opportun.

D. CARACTERISTIQUES DE L'ORDINATEUR

Lors de l'achat d'un ordinateur, il est si utile de tenir compte de certains éléments les quels éléments faciliteront vos tâches. L'ordinateur comprend plusieurs caractéristiques dont en voici les plus importantes :

v L'ordinateur doit être une machine capable d'exécuter à très grande vitesse la séquence d'instructions autrement dit son processeur qui est le cerveau de l'ordinateur doit être plus élevé que jamais.

v L'ordinateur doit gérer les unités d'entrée et sortie qu'on appelle en anglais output et input afin de lui permettre un contact avec le milieu extérieur ;

v L'ordinateur doit stocker en grande quantité les données c'est-à-dire elle doit avoir à son sein une grande mémoire(RAM)4(*).

E. BREVE HISTORIQUE DE L'ORDINATEUR

Depuis des milliers d'années l'homme a créé l'outil l'aidant à calculer, au départ la plupart de sociétés ont sans doute utilisé la main comme auxiliaire de calcul. Cependant en 1962 Blaise Pascal inventa la Pascaline qui faisait uniquement l'addition et la soustraction. Par contre WILHEM LEIBNIZ inventa en 1673 une autre machine qui effectuait la division et la multiplication.

Ce fut l'ère de première calculatrice mécanique apparut en 1820.

Ainsi donc, BLAISE PASCAL et WILHEM LEIBNIZ et d'autres chercheurs se sont mis ensemble pour concevoir une machine faisant à la fois les 4 opérations fondamentales à savoir l'addition, la multiplication, la soustraction et la division. Il fallait attendre les idées très importantes de CHARLES BABBAGE en 1834 soit au 18e siecle à qui on reconnaît la qualité du père de l'ordinateur par ses idées selon les quelles de faire une machine programmable susceptible de faire n'importe quel type d'opération 

En effet, le 1er ordinateur entièrement électronique fut conçu en 1947 par 3 personnes dont WILLIAM MAUGLY, JOHN ATANASOFF et PRESPER ECKERT qui paisait 30 tonnes et consommait 18000 tubes à vides et dégageait beaucoup d'énergie et son encombrement de fil qui est son élément détracteur. Après ENIAC puis EDVAC à mémoire interne.

La commercialisation des ordinateurs a commence vers 1952, depuis cette date on distingue traditionnellement 4 générations d'ordinateurs correspondant à l'évolution des technologies couramment mises oeuvre :

De 1952 à 1958 (1ère génération) : tubes à vides ;

De 1958 à 1964 (2eme génération) : transistors ;

De 1964 à 1974 (3ème génération) : circuits intégrés ;

De 1974 à nos jours (4ème génération) : micro-processeur.

Ce découpage est quelque peu arbitraire ; les technologies généralement plusieurs années, une 5ème génération est prévisible à l'horizon en 1990, avec l'apparition de système ayant un fonctionnement plus proche de celui du cerveau humain, grâce à l'intelligence artificielle et des mémoires associatives jusqu'ici assez peu utilisées.

2.2 LA PLACE DES ORDINATEURS DANS LES SERVICES

L'outil informatique exerce depuis plus de 25 ans une influence très profonde sur la façon de traiter automatiquement les informations grâce à l'ordinateur, et par conséquent sur l'évolution de la structure de l'organisation en ce qui concerne le traitement rapide des informations.

Quelque soit son domaine d'activité, l'entreprise ne peut plus se passer de l'outil informatique ; que l'on fasse partie d'une grande entreprise que l'on exerce une profession libérale ou même un métier technique ; l'informatique occupe une place déterminante.

L'informatique a introduit une véritable révolution dans le secteur tertiaire dans les activités de services en général ; et en particulier dans celles de la gestion des grands services qu'ils soient industriels, commerciaux ou administratifs. La propagation de cette technique semble être actuellement illimitée et déborde de plus en plus au coeur de coeur de chaque foyer facilitant les tâches quotidiennes de l'homme. L'avènement des ordinateurs est venu supplées aux insuffisances d'ordre du travail dans tous les services qui du reste tenaient leur travail manuellement et cela était l'objet de multiples problèmes.

Nombreux services font fasse aujourd'hui à des problèmes de traitement de données d'ordre manuel grâce à l'intégration de l'ordinateur qui du reste facilite un meilleur rendement au travail et exécute rapidement de tâches avec précision.

Ainsi, cette nouvelle technologie implique la nécessité de connaître une pratique informatique pour un rendement de taille des différents projets. Signalons que les services qui utilisent les ordinateurs surpassent déjà du moins franchissent à certains problèmes d'ordre lenteur, imprécision et bien d'autres.

L'ordinateur lutte pour toute modernisation des services, elle tend à assurer une garantie aux différents services et leur fournit un travail de classe. Il impérieux que chaque service y compris les individus assez informés fasse des efforts pour savoir l'impact positif et de la place qu'occupe l'ordinateur et avoir quelques notions en informatique pouvant leur aider à bien l'utiliser ; non seulement dans l'intention de ses besoins professionnels, mais aussi pour la simple curiosité de se mettre à la une avec l'évolution des nouvelles technologies afin de pouvoir tirer de ses avantages.

En claire la place que joue les ordinateurs dans les services est d'importance capitale si bien que les services ayant déjà intégré cette nouvelle technique de la communication et d'informatique trouvent déjà plus d'importance à plus forte raison qu'il se communique les informations d'un bureau à un autre sans un moindre déplacement débouchant à un gain du temps. A l'heure actuelle, beaucoup des services nécessitent pour l'exécution une intégration pure et simple des ordinateurs sans quoi ces services risquent d'accouchent d'une souris. L'avenue des ordinateurs vient donc imposer tous les services qui aimeraient réaliser de bon rendement professionnel son intégration qui du reste apporte de changements considérables dans le milieu du travail faisant abstraction à l'utilisation des autres matériels.

2.3 CONSEQUENCE DE LA NON UTILISATION DES ORDINATEURS

La non utilisation des ordinateurs reste toujours préoccupante dans tous les domaines de la vie si bien qu'ils éprouvent d'énormes difficultés.

C'est dans cette initiative que les services de la commune d'ibanda longtemps créé tiennent manuellement leurs opérations. Cette manière de gestion est source des multiples erreurs et difficultés entre autres :

- La difficulté due à l'élaboration d'un certain nombre des documents nécessitant le remplissage d'un certain nombre de case tout en maintenant le texte statique ;

- Le retard dans l'expédition d'un nombre de rapports ou autres documents facile à trouver ;

- Le conflit engendré pour la non retrouvaille facile d'un certain nombre des données ou informations relatives à un agent ;

- Manque de reproduction d'un document ;

- C'est un système fatiguant ce qui fait que lorsque le travail est volumineux on ne s'en occupe plus et ces travaux restent en souffrance comme conséquence ;

- En cas d'erreur, il faut reprendre la dactylographie ou soit utiliser l'encre correctrice ;

- Consommation abusive de ruban et de carbones ;

- Manque de conservation de données car cette dernière constitue la majeure difficulté pour le système manuel ;

- L'incertitude du moins l'imprécision dans les résultats trouvés ;

- Mauvaise qualité de l'information produite manuellement c'est-à-dire ces informations ne sont pas propres, claires et parfois lisibles et visibles également plusieurs documents se coupent ou se déchirent en petit morceau après avoir passé beaucoup d'années dans les armoires ou étagères qui du reste sont mal construits par le fait de les toucher et les remettre chaque fois dans leur emplacement.

Les tâches ci-haut citées exécutées de façon manuellement causent beaucoup des problèmes dans la mesure où il est sujet non seulement de fatigue mentale et physique, la perte du temps, le caractère archaïque aussi et surtout l'encombrement des bureaux par des documents mal entretenus. Tout cela amène ces services à la lourdeur, aux difficultés de la fiabilité d'efficacité et même d'efficience et qui prédispose l'organisation administrative aux charges très élevées aux outils considérables en exposition des erreurs graves.

2.4 COMPARAISON ENTRE LE SYSTEME INFORMATIQUE ET LE SYSTEME MANUEL

Est-il vrai que le système informatique offre d'énormes avantages en matière de traitement automatique de données ce qui n'est pas complètement le cas pour le système manuel. Le système informatique est devenu de nos jours le plus jeune dans la mesure où l'ordinateur tend à remplacer le système manuel qui du reste est source de beaucoup des problèmes.

Néanmoins l'utilisation du système manuel n'est pas du tout à rejeter du fait que tous les services n'ont pas suffisamment de moyens pour s'en approprier des ordinateurs. Ainsi, avant l'avènement de nouvelles technologies en général et celle de l'informatique en particulier ; les services servaient du système manuel bien entretenu.

Il est sérieux de rappeler que l'utilisation du système manuel à l'époque coloniale et celle d'aujourd'hui est très différente, car pendant l'époque coloniale c'est-à-dire avant l' avènement des nouvelles technologies de l'informatique, on utilisait dans presque tous les services des armoires et des étagères modernes qui servaient de manière satisfaisante à la bonne conservation des documents et grâce à ces derniers les documents y passer plus des temps sans subir une moindre détérioration ce qui n'est pas le cas aujourd'hui dans beaucoup des services que ce soient publics ou privés, on sent une mauvaise conservation de leurs documents.

Il va de soi que l'utilisation des ordinateurs présente de conséquences positives et négatives car toute oeuvre humaine ne manque jamais d'imperfection. De toutes les façons l'utilisation du système manuel dans les services contenant des étagères et armoires bien fabriqués qui remplissent toutes les normes permettant une meilleure protection de certaines données si bien que ce genre d'armoire ou étagères permettent de conserver les documents pendants longtemps puisque le cancrelat et la poussière ne peuvent en aucun cas y pénétrer ; c'est lorsque les armoires ou étagères ne sont pas bien construits que ca peut facilement entrainer la détérioration de certains documents en laissant passer par exemple la poussière et les cancrelats et d'autres éléments nuisibles aux documents.

2.5 DIFFERENCE ENTRE ORDINATEUR ET LES AUTRES MACHINES (MACHINE A ECRIRE)

D'aucun pense que toute machine a les mêmes caractéristiques que l'ordinateur et pourtant cette croyance est fausse. Toute fois, pour contourner à cette ignorance de plus des gens, compris ses avantages se référant à ce point l'ordinateur étant une machine de traitement automatique de données grâce aux logiciels qui sont installés est loin de confondre à d'autres machines qui du reste ne peuvent pas traiter les données sous forme binaire.

Est-il vrai que l'ordinateur est une machine différente des autres machines dans la mesure où l'ordinateur traite les données sous formes binaire donc en utilisant son langage qui est 0 et 1. Par contre d'autres machines n'ont pas cette caractéristique de pouvoir traiter les informations automatiques. Un autre élément à placer dans ce registre ce que beaucoup des machines sont mécaniques c'est-à-dire ces dernières ne sont dotées d'aucun automatisme.

Par ailleurs, comme leur nom le souligne, bien ces machines ont été construites de manière purement mécanique sans aucune technicité efficace ou meilleure. L'ordinateur transforme les données sous forme binaire cela signifie que toutes les données que l'utilisateur entrera dans sa machine ne seront pas traitées dans son langage que lui peut le croire ; par contre il le fera dans son langage binaire donc il va le transformer dans son langage qu'il comprend mieux. Voila en gros la grande différence qui existe entre la machine qu'on appelle ordinateur et les autres catégories de machines à l'occurrence de la machine à écrire.

2.5.1 MACHINE A ECRIRE

La machine à écrire est purement mécanique ou électromécanique dispositifs avec un ensemble de « clefs » cela une fois serré, cause caractères être imprimé sur un milieu les outils indispensables dans des locaux commerciaux et pour beaucoup d'autres professionnels vers la fin des années 80 unités de traitement de texte applications dessus pc avait en grande partie remplacé, charge précédemment accompli avec des machines à écrire.

Les machines à écrire cependant restent populaires dans le monde envoie de développement et parmi certains marchés de place.

2.5.2 BREVE HISTORIQUE DE LA MACHINE A ECRIRE

Aucune personne ou nation ne peut être créditée de l'invention de la machine à écrire. Comme avec ampoule, automobile, téléphone et télégraphe un certain nombre de personnes ont contribué les perspicacités et les inventions qui ont par la suite eu comme conséquence les instruments commercialement réussis. En fait, les historiens e ont estimé qu'une certaine forme de machine à écrire a été inventée 52 fois comme bricoleurs jugés pour proposer une conception réalisable.

En 1724, Moulin D'henry a obtenu un brevet en Grande-Bretagne pour une machine qui, du brevet, semble avoir été semblable à une machine à écrire mais rien plus loin n'est connu. D'autres premiers réalisateurs des machines de dactylographie incluent pellogrino Turré, qui a également inventé papier ordinateurCarbonne. Beaucoup de ces derniers de premières machines ; y compris turré, ont été développé pour permettre à l'aveugle d'écrire.t

En 1829, William Austin Burt a fait breveter une machine appelée « typographe » comme beauicoup d'autre de premières machines, il est parfois énuméré comme « première machine à écrire » ; musée de la science (londrès) décrit simplement comme « premier mécanisme d'écriture dont l'invention a été documentée ; » mais égal de Turri est bien connue. La première machine à écrire à être commercialement réussie a été inventée en 1867 près Christopher sholes, carlos Glidden et Ramuel W . soule dans MIliwaukee, le wisconsin . entre Peter 1864 et 1867 Mutterhifer, un charpentier du Tyrol du sud ( puis Autriche ) a développé plusieurs modèles d'une machine à écrire et d'un prototype entièrement de fonctionnement en 1867.5(*)

2.5.3 LA NUANCE ENTRE LE CLAVIER D'UN ORDINATEUR ET CELUI DE LA MACHINE A ECRIRE

2.5.3.1 le clavier d'un ordinateur

Le clavier d'un ordinateur ressemble à un clavier de machine à écrire à la différence qu'il se divise en parties (pour les claviers dits entendus) et qu'il comporte certaines touches entre autres : les touches alphanumériques, numériques, de fonction, spéciales, direction et complémentaires. Il faut dire que le clavier d'un ordinateur est électronique donc ce dernier transforme les données en binaire c'est-à-dire lorsqu'on appui sur une touche la machine déguise la lettre écrit dans son langage.

Le clavier d'un ordinateur est plus rapide selon que l'utilisateur en a indiqué la vitesse de sorte qu'en appuyant sur une touche et cette dernière s'exécute rapidement ; on l'appelle périphérique d'entrée qui le plus utilisé des autres périphérique car c'est sur ce dernier que tous les textes sont saisis donc ça offre une facilité d'écrire. Il sied de signaler que le clavier de l'ordinateur est connecté à l'unité centrale moyennant un câble ce qui n'est pas le cas d'un clavier de la machine à écrire. En somme le clavier d'un ordinateur est électronique.

2.5.3.2 le clavier de la machine à écrire

Le clavier d'une machine à écrire est éclectique c'est-à-dire il ne transmet pas le code binaire et ce dernier n'a pas toutes les composantes que celles d'un clavier de l'ordinateur en ce sens que sur le clavier de la machine à écrire, on observe l'absence de certaines touches comme les touches de direction, de fonction, complémentaires, numériques. Cependant l'appui sur l'une des touches exige une force de la main ; c'est clavier totalement mécanique et exige de prudence lors de son utilisation.

En claire, s'agissant de l'élément de différence entre ces deux claviers, il faut tout de même signifier que le clavier de la machine à écrire ne transmet pas le code ASCII c'est cet élément qui constitue une véritable différence de ces deux claviers6(*).

2.5.3.3 JARGON INFORMATIQUE

Plusieurs mots du « âge » de machine à écrire » ont survécu dans l'ère de PC. Les exemples incluent :

· Copie au carbone-maintenant sous la forme abrégée « CC »indiquant des copies de email messages (sans papier carbone impliqué, au moins pas jusqu'à la liste imprimée) ;

· Curseur-un marqueur indiquait où le prochain caractère sera imprimé ;

· Retour de chariot ( CR) indiqs rentuant une fin de ligne et de retour à la première colonne du texte (et sur quelque plateforme d'ordinateur, avançant à la prochaine ligne)

· Retour à la ligne (LF) aka « caractère NL » se tenant pour se déplacer curseur à la prochaine ligne de sur-écran du texte dans un document d'unité de traitement de texte ( et sur les listes imprimées certaines du document )

· Espacement arrière-une frappe qui a déplacé le curseur vers l'arrière une position ( sur une platine physique, c'est l'opposé exact de la clef de l'espace), afin d'overtyping un caractère. Ceci pourrait être pour la combinaison des caractères ( par exemple une apostrophe, un espacement arrière, et une période font une remarque d'exclamation) ou pour la correction comme avec la bande corrigeante qui s'est développée plus tard ;

· Découpage et déplacement-prenant le texte, une table une table ou une image et la coller dans un document ; à l'origine utilisé quand de tels documents composés ont été créé en utilisant le manuel plâte vers le haut technique ;

· Téléscripteur, abréviation téléimprimeur, est employé de dans Unix-comme les logiciels d'exploitation pour indiquer une « borne » donnée ;

· Décalage-aujourd'hui étant une touche de fonction simple pour faire les lettres majuscules, différents symboles et la chose, mais dans l'âge des machines à écrire il a signifié déclarer littéralement le chariot d'impression pour permettre un timbre différent (tel qu'un D au lieu d'un d) à la pression dans le ruban et pour imprimer à une page.

« Signature » individuelle ou empreinte digitale permettant à un document tapé à la machine d'être dépité en arrière à la machine à écrire il a été produit desserra. Dans bloc oriental, machines à écrire (ainsi que presses, copiez les machines, et plus tard imprimeurs d'ordinateur) étaient une technologie commandée, avec police secrète responsable des dossiers de maintien des machines à écrire et de leurs propriétaires7(*).

2.5.3.4 LA MISE EN MARCHE DE L'INFORMATIQUE DE GESTION

Cette mise en marche du système informatique répond à des modalités spécifiques et de manières tout à fait différentes de celles de l'organisation habituelle. Cependant elle est à la base de difficultés propres qui fournissent la dernière limite au champ de l'informatique. Les performances de l'ordinateur : rapidité à prendre connaissance des données (un million, et plus, de caractères par minute), et rapidité de calcul (son temps d'exécution, au moins dans un certain domaine, ne ressent pas la complexité des traitements), lui permettent de prendre part à un grand nombre de procédures représentant une partie prépondérante du réseau général de communication et l'utilisation fait son mieux en vue d'exploiter cette possibilité où il trouve son intérêt financier puisque la partie fondamentale de son coût est de frais fixes.

Il a tendance à aller vers une organisation dans la quelle la plupart des circuits-touchent un noeud singulier, la machine, qui devient le coeur du réseau informatique. Telle est la caractéristique primordiale de l'organisation fondée sur une machine électron électronique : la grande partie des procédures utilisent l'ensemble électronique et celui-ci devient le centre du réseau d'informatique. De là surviennent les problèmes déjà mentionnés de commerce entre hommes et machine une fois le régime permanent atteint, en même temps que les difficultés de l'action qui y produit.

Egalement, l'informatique tend à considérer les procédures comme les divers aspects d'un travail unique concernant la totalité de l'entreprise. Le moyen efficace d'atténuer moins encore de pallier ce traumatisme provoqué par la mise sur pied d'un système informatique considérait à augmenter l'action technique avec une action de psychologie et de pédagogie (formation, encadrement, recyclage, information, propagande) tend à améliorer à bien les postes de travail avec le concours des intéressés eux-mêmes et à préparer chacun à le tenir avec confiance et facilité. Aux écueils psychologiques de la réalisation s'ajoutent des écueils techniques dont il convient de se faire une idée. Un homme ne suffit pas à imaginer du moins à songer à l'organisation, un travail en équipe devrait être entrepris en vue de résoudre aux différents problèmes d'inadaptation. Le responsable ne plus le seul preneur de décision, il jouit du leadership démocratique car il devient l'animateur de cette équipe entre les membres de la quelle il partage ce travail. Cette transformation d'une activité individuelle en activité du groupe serait d'une importance majeure à assigner à l'informatique une place singulière dans l'ensemble des techniques de l'organisation et à suggérer la prudence au moment de transformer en informaticien un organisateur chevronné.

La réalisation en informatique apparaît comme une action d'ampleur à la poursuite d'objectifs dont il faut mesurer correctement l'ambition par rapport à la compétence du personnel de l'entreprise à subir telle ou telle dose de transformation, aussi bien qu'à la capacité des membres du bureau d'étude à réaliser des promesses techniques et à les composer avec les autres facteurs.

2.6 LE CHAMP DE L'INFORMATIQUE DANS LES SERVICES

L'informatique de gestion est une forme de l'organisation qui se propose l'adaptation réciproque d'un système électronique et d'une entreprise, en partie ou en totalité. Par entreprise, nous entendons les rassemblements juridiquement défini et hiérarchiquement structuré de moyens humains, matériels et financiers destinés à produire et à écouler des biens ou des services comme il advient toujours lorsqu'un moyen puissant apparaît dans le mode économique, les autoroutes pour les transports, usines nucléaires pour la production d'énergie électrique, ou l'asservissement pour la conduite des machines, la plus grande partie du système ancien ignore l'innovation, ou on ressent qu'indirectement les effets, et elle conserve ses lois de fonctionnement pendant qu'une autre partie subit un changement plus ou moins profond en vertu des principes de concepts nouveaux8(*).

2.7 UTILISATION DE L'INFORMATIQUE

a. Fonction de base du traitement de l'information

L'analyse de manipulations effectuées sur une information reçue afin de son exploitation, notamment par un groupe organisé permet d'isoler quatre fonctions de base :

- L'acquisition c'est-à-dire la prise de connaissance de l'information ;

- La mémorisation, nécessaire à la conservation de données avant, pendant et après le traitement ;

- Le traitement proprement dit ;

- La représentation des résultats obtenus.

Le travail administratif des organisations (entreprise ou administration) consiste à gérer, à traiter les informations, et revient donc à une combinaison complexe de quatre fonctions appliquées à des cas particuliers. Le travail d'analyse consiste en partie à déterminer les « formules » traduisant ces combinaisons et à les exprimer sous forme adaptée, qui est d'ailleurs rarement mathématique.

b. Principe de traitement des informations

En poursuivant notre analyse, un traitement particulier d'information, ayant sa propre finalité, peut être intégré dans un schéma facilement généralisable.

SORTIES

TRAITEMENT

ENTREES

L'analyse informatique doit définir avec précision chaque élément de ce schéma et en particulier, les règles qui permettront d'écrire les logiciels, grâce des instructions détaillées dirigeant le fonctionnement de l'ordinateur pour passer des données aux résultats désirés.

2.8 ORGANISATION ET INFORMATION

Tout ensemble économique organisé fonctionne suite à l'information dont il dispose et qu'il fait circuler. L'information est utile à l'organisation pour les prises de décisions, mais également pour la réalisation de tâches d'exécution et pour la coordination de l'ensemble, c'est-à-dire la synchronisation de divers actes à accomplir. Sa manipulation représente le travail administratif qui s

Parmi les rôles d'un système d'informatique, citons ceux qui suivent :

Ø la saisie des informations nécessaires c'est-à-dire leur sélection parmi les informations de base parvenant à l'organisation ou y apparaissant ; leur contrôle en vue d'éviter et de corriger les erreurs, puis leur mémorisation sur un support de saisie exploitable par ordinateur en attendant leur traitement ;

Ø la circulation des informations entre les différentes stations de traitement où elles seront utiles, selon des circuits pouvant faire l'objet de procédures bien définies lorsqu'ils sont régulièrement utilisés ;

Ø la mémorisation des informations réutilisables d'un traitement à l'autre9(*).

2.9 ELEMENTS D'ORGANISATION ADMINISTRATIVE

a. L'organisation administrative

Pour être efficace, le travail administratif doit être organisé et optimisé ; c'est le rôle de l'organisation administrative, activité ayant ses propres méthodes et ses propres spécialités ; les organisateurs, qui ont un rôle de conseil auprès des directions, un organisateur dispose de nombreux points des directions et de nombreux points d'information, ce sont, en résumant à l'extrême ;

- La structuration de l'activité de l'organisation : sur un plan général il s'agit de la définition d'un organigramme faisant apparaitra par exemple direction, division et services d'une entreprise ;

A un niveau plus détaillé, l'organisation définira les stations élémentaires de traitements de l'information ou poste de travail.

- La simplification des processus administratifs et différentes procédures de traitement et de circulation des informations qu'ils font intervenir ;

- L'adéquation entre les moyens à disponibiliser et le travail à fournir sur le plan humain ou technique sur ce dernier point, l'informatique prend de plus en plus d'importance dans l'arsenal de l'organisateur face à un problème.

Le domaine de compétence de ce dernier tend donc naturellement à recouvrir en partie celui de l'informatique. Schématiquement, pour aboutir dans des détails raisonnables à une bonne solution, adaptée au cas qui lui est soumis, l'organisateur devra suivre une démarche progressive :

v Examen d'ensemble, `'survol `' de l'activité à organiser et sélection d'un ou plusieurs domaines d'études prioritaires ;

v Observation critique détaillée de l'organisation actuelle de ces domaines ;

v Conception d'un ou plusieurs systèmes ou rénovation de l'ancien ;

v Mise en oeuvre de la solution retenue.

Nous constaterons par la suite que cette démarche est très identique à celle de l'analyse informatique de même que l'organisateur a recours à l'informatique de gestion emprunte certaines méthodes des organisateurs.

b. Organisation administrative et informatique

L'interpénétration de ces deux activités ne doit pas revêtir l'aspect d'un conflit : l'organisateur n'a pas l'attribution à établir des organigrammes de programmation ni l'informaticien à une telle particulière sur l'informatique, l'organisation administrative jouit cependant d'une présence certaine : Discipline plus ancienne, elle dispose de techniques, de méthodes d'analyser des travaux administratifs que l'informaticien sera amené à utiliser ; donc à connaître.

Ayant une vue d'ensemble sur le fonctionnement d'une organisation, elle devra intervenir avant les études informatiques et avant l'utilisation des ordinateurs dans le cas de projets d'importants : l'organisation doit précéder l'automatisation ou l'automatisation de mauvaises procédures ne peut donner que de mauvais résultats.

c. Domaine de l'informatique

Le terme informe regorge en réalité de diverses activités ayant schématiquement comme objectifs la construction de2 outils complémentaires à des nouveaux différents :

- L'outil ordinateur : produit par des travaux relevant de la mathématique ou de la logique et par des recherches technologiques ou méthodologiques visant à réaliser et à améliorer les matériels et les programmes de base des ordinateurs ;

- L'outil informatique, résultat d'études et de réalisation d'informatique appliqué afin d'utiliser l'outil précédant pour résoudre les problèmes spécifiques à une activité humaine.

Les opérations de l'informatique sont multiples et chaque domaine d'application tend à développe des méthodes bien adaptées à la construction de ses outils informatiques : on parle aussi d'informatique médicale, bancaire, individuelle, scientifique de gestion,...

Il serait indispensable de vouloir unifier des choses si différentes, mais il est essentiel de considérer les identités dues à la similitude de l'outil de base : l'ordinateur, et à l'environnement humain au quel il s'intègre10(*).

d. L'informatique et la formation

Il ne s'agit pas simplement de disposer de ces matériels informatiques sans une connaissance de leur utilisation de ce fait une formation préalable nécessaire est d'importance capitale. L'utilisation des ordinateurs implique en 1er lieu une maitrise sans quoi quelle soit leur présence dans des bureaux ne peut fonctionner. L'informatique est devenu une discipline à part entière comportant son objet, ses méthodes et techniques ; il servirait a rien d'acheter les ordinateurs et les intègrent dans les services et par carence des informaticiens ou personnels formés pour cette fin, vous ne l'utilisez pas. En d'autres termes avant d'acheter un ordinateur en vue de son utilisation ; il faut s'assurer au préalable de combien de personnes seront à même d'utiliser cet ordinateur. A titre d'exemple un appareil scanner identifiant les problèmes mentaux était commandé par l'hôpital général de référence de Bukavu curieusement il n'y avait personne de tous ces médecins pour l'utiliser face à cette situation un médecin était parti suivre une formation en informatique en vue de son utilisation.

Le développement de l'informatique suscite d'énormes besoins de formation ; de formation professionnelle pour informaticiens, ce qui tombe sous le sens puisque l'informatique recouvre un certain nombre de techniques qu'il faut apprendre pour qui veut les pratiquer, mais aussi d'initiation pour tous ceux que leur activité place dans un circuit d'information où intervient l'ordinateur. Ce besoin d'information pour les non informaticiens est un phénomène nouveau par son ampleur comme pour sa nature. Par son ascenseur, il touche de dizaines de milliers de personnes dirigeant d'entreprises, cadres, agents de maitrise et même ouvriers et employés. Par sa nature l'initiation doit apporter un complément de connaissance à des gens qui exercent déjà une activité professionnelle, pour leur permettre de comprendre l'influence qui est le développement que l'informatique aura sur elle et en quoi leur tâche quotidienne pourra être affectée11(*).

e. Le domaine d'application de l'informatique

Ayant vu les jours par son objet, ses méthodes et technique, l'informatique par ses fonctions multiples se retrouve dans tous les domaines car son besoin dépasse largement les bornes. L'informatique est utilisée dans l'armée pour la fabrication de bombes et autres éléments très nécessaire pour l'armée. Cette nouvelle discipline est sans doute utilisée dans les domaines comme : le commerce, l'enseignement (école), médecine, industrie, Réalisant dans chaque domaine de tâches différentes donc selon le besoin de chaque domaine, dans tous ces domaines, l'informatique exerce une influence plus considérable et parfois son besoin son impose.

f. L'ordinateur et le chômage

L'ordinateur est-il un progrès ? L'informatique est-elle un progrès ? Si oui de quelle manière ?

Il est évident que certains progrès, comme les explosifs nucléaires, peuvent constituer de dangers. Quelle condition doit donc remplir une innovation technique pour entrainer un progrès ?

Pour l'informatique, on peut présumer que tel aspect négatif va devenir positif et vice versa il ya, deux catégories des progrès possible : d'un coté, celui qui se traduit simplement dans la société par une économie de temps, c'est le cas le plus souvent de l'organisation du travail qui permet de faire les mêmes réalisations en moins de temps. De l'autre coté celui qui augmente la quantité de travail humain mais permet d'obtenir des produits nouveaux. Il ya aussi de progrès qui n'apportent ni de gain de temps, ni avantages nouveaux mais qui permettent de travailler d'une manière moins fatigante, sans accident, de façon moins monotone.

Les ordinateurs doivent révolutionner notre monde à brève échéance. Car leur puissance et leur rapidité ne cessent de croitre. Dès aujourd'hui, beaucoup se préoccupent de répercussions possibles de cette évolution sur les structures et la configuration qui sont fort diverses : des syndicalistes souhaiteraient notamment que le développement de l'informatique se traduise à salaire égal, par une diminution de temps de travail. Les chefs d'entreprises, quant à eux demeurent perplexes et insatisfaits ; les ordinateurs d'ordinateurs n'ont pas encore tous constaté une économie de main d'oeuvre appréciable sans présumer de ces espoirs ou de ces incertitudes, nous nous attachons plus directement aux réalités telles qu'elles sont appréhendées aujourd'hui les risques du chômage varient selon les utilisateurs de l'ordinaire.

En réalité, trois types de situations bien différentes se présentent :

Ø Le traitement d'une masse importante d'information (travaux bancaires, assurances, qui lancement,...), la mise sur ordinateur risque effectivement de supprimer dans de fortes proportions le personnel du type « employé aux écritures » ou dactylo ;

Ø Le traitement de données de même nature mais en quantité moindre (comptabilité analytique par exemple) , les délais, la sécurité des opérations sont améliorées mais on ne peut guère parler d'économie de personnel ;

Ø Le traitement de travaux complexes (gestion rationnelle des stocks, optimisation diverse). L'ordinateur permet de les aborder scientifiquement, leur préparation et leur exploitation peuvent être génératrice d'emplois12(*).

g. Le domaine de l'informatique et le domaine de l'organisation

L'organisation, même si elle ne tend pas à la mécanisation, s'efforce de préciser les trois termes du schéma (données-règles du jeu-résultats) à tous les moments du réseau et exploit pour y faire parvenir toutes les ressources des techniques de gestion. De la règle du jeu ne passe pas être définie ou qu'ils soient dénombrables, ou erronées, contradictoires, un poste des décisions est nécessaire. Son titulaire sera d'autant plus privé dans la hiérarchie que le jugement requis est plus complexe et que les conséquences d'une erreur sont plus grave mais si les données et la règle du jeu explicitent clairement, un simple poste d'exécution suffit. L'organisation atteint alors sa pleine expression en remplaçant les milles réflexions individuelles et subjectives aux quelles donne lieu toute une catégorie de situation par la réflexion unique, faite une fois pour toutes, à la fois assez précise pour ne point passer place à l'interprétation et assez générale pour commander un grand nombre de situation.

Grâce à cette mutation de certaines activités « nobles » en activité »triviales qui est un de ses principaux objectifs, l'organisation concerne l'acte de décision en un certain nombre de sommets bien définis et, partout ailleurs sur le réseau, substitue une exécution règlementée à des décisions improvisées. Toutes les activités de l'entreprise pourraient illustrer cette démarche dans son acceptation la plus haute.

Sur le plan des principes, on le voit, le critère de certitude pourrait commander, aussi bien que l'informatique, la conduite de l'organisation lorsqu'elle tend renouveler jusqu'au bout pour remplacer la décision par l'exécution c'est-à-dire l'initiative individuelle par la soumission à un règlement. Mais c'est à ce prix d'or que les moyens « classiques » conservent et entretiennent l'informatique, et c'est dans des conditions de coût encore plus défavorables que l'esprit humain l'exploite et lui fait subir des traitements quelques peut complexe.

L'organisation se trouve en permanence en dilemme entre deux exigences difficilement compatibles, son désir de rigueur et coût du système pour mettre en oeuvre. Apte comme l'informatique, à concevoir un modèle économique avancé, il se voit entravé dans la réalisation par le souci de rentabilité13(*).

Pour réduire les coûts d'exécution, il simplifie le modèle et l'éloigne de l'optimum, il néglige les paramètres d'influence secondaires et restreint le champ de validité, sans se faire beaucoup d'illusions sur l'aptitude des exploitants à percevoir le moment où l'on soit de ce champ et à choisir alors un autre modèle mieux adapté aux circonstances.

Quelques fois, les amendements ne suffisent pas et l'organisateur renonce au schéma exact, par ce que, s'il a su évaluer son coût probable, il ne peut garantir avec la même précision la valeur chiffrée des avantages à atteindre. Les systèmes électroniques lisent vite, à une cadence sans commune mesure avec celle des hommes ; plusieurs millions de caractères à la limité, contre un maximum de trois milles pour la lecture humaine. Ils traitent les informations à une cadence équivalente creusant d'avantage l'écart avec l'homme, dont le rendement faiblit quand il s'agit de combiner et non pas seulement de prendre connaissance, ils excellent donc à appréhender un grand nombre de données et à leur appliquer des transformations d'une complexité pratiquement sans limites. Ces aptitudes traduisent une des caractéristiques économiques principales des systèmes électroniques, à oublier les coûts de fonctionnement propres au nouveau système.

L'organisateur quand il se fait utilisateur de l'ordinateur recule les limités techniques et élargit sa liberté ; le critère de certitude lui suffit pour concevoir dans ses grandes lignes le nouveau système. L'informatique bascule dans l'administration routinière un bon nombre d'activités considérés jusqu'alors comme appartenant au domaine réservé de la direction, pour cette raison, on parle de « Gestion automatisée » et l'on commet un abus de langage. Car s'il est naturel de confondre la gestion avec l'ensemble des postes où l'on prend des décisions originales, on ne saurait y inclure la machine. Elle ne prend pas de décision, elle ne fait que se soumettre à une décision unique, antérieur à son activité et consistant à arrêter la règle de jeu que dans des circonstances données, elle doit appliquer à un ensemble précis de données. Tout au plus peut-on dire que, comme le fait l'organisation dans les circonstances favorables, on a remplacé par une décision unique, à moyen ou à long terme toute une catégorie des décisions courantes que les responsables, autrement, prendraient au jour le jour, au gré des circonstances. L'acte de gestion n'appartient pas à la machine qui applique la règle, mais à l'autorité qui l'a institué. Que tous les postes intéressés au circuit d'une procédure soient justifiables d'un schéma déterministe, l'ordinateur la prend tout entière en charge et la main d'oeuvre se borne à alimenter les données à cette restriction près, la mécanisation réduit le circuit à un point. Mais en un sommet du circuit où une décision réelle s'impose malgré toutes les ressources modernes des théories de l'entreprise, l'homme devient nécessaire. Alors l'ordinateur ne prend pas en charge les opérations, il ya participe de façon épisodique pour réparer le travail des hommes et l'exploiter. Le circuit réapparait, entremêlant les interventions de la main d'oeuvre et celles de la machine.

Entre ces deux éléments de production, il faut aménager les échanges à faire délicate qui oppose au spécialiste de l'informatique de sérieuses difficultés, comme au montagnard le franchissement de ramages entre glace et rocher .on entrevoit l'étendue du domaine de l'informatique, lorsqu'on s'en tien au plan théorique mais les considérations pratiques, économiques et humaines, le rognent pour réduire au champ réel dans une entreprise14(*).

CHAP.III.PRESENTATION ET DEPOUILLEMENT DES RESULTATS RECHERCHERCHES.

3.1 Présentation du questionnaire d'enquête et interprétation de résultat

Avant de procéder à l'analyse statique des informations tout scientifique doit d'abord procéder par la récolte de données avant toute interprétation.

Pour mener en bonne et du forme recherches, nous avons été contraint d'élaborer un questionnaire d'enquête qui a permis de se rendre sur le terrain et visiter certains services faisant partie de la commune d'ibanda afin de palper du doigt les réalités de conséquences confrontées par certains services qui n'utilisent pas les ordinateurs en dépend des autres machines mécaniques.

Nous nous sommes démener tant bien que mal, mais toutes fois, nos recherches ne pouvaient se réaliser sans lacunes si bien que certains services ont refusé de nous accueillir avec comme motif que leur secret ne peut pas être divulgué mois encore mis à la portée du public. D'autres par contre nous ont soumis aux modalités aux quelles nous ne pouvons pas barrer la route avant de répondre à notre questionnaire visait d'autres prétentions que celle des recherches scientifiques. D'autres en claire nous ont reçu et ont répondu valablement à notre questionnaire sachant que ce dernier ne visait rien d'autre que des recherches scientifiques qui du reste est un travail d'intérêt purement scientifique.

Compte tenu de ce qui précède, il est impérieux de faire constater que nos enquêtes ont été orientées dans les services de la commune d'ibanda pour la simple raison que non seulement 85% de services viables y ont pris de l'ampleur mais également en vertu de leur compétitivité.

Autre élément à placer dans ce registre est que la connaissance de la dénomination de la nature de services, notre enquête visait les informations relatives à l'usage de la conséquence de l'absence de l'outil informatique dans l'organisation des services administratifs à son sein afin d'en tirer l'importance et la nécessité de la disposition d'un certain nombre d'ordinateurs et de savoir exactement son utilisation.

QUESTIONNAIRE D'ENQUETE

En voici donc la liste de notre questionnaire d'enquête qui nous a facilité la récolte des différentes données ayant renforcé l'ossature de nos réflexions et analyse critique pour nous mener à nos résultats :

1. Adresse et dénomination du service consulté ;

2. Quelle est la nature de ces services est-il un service étatique ou paraétatique ;

3. Comment sont organisés vos services de secrétariat ;

4. Disposez-vous d'un ou plusieurs services informatiques dans votre organisation si oui, combien ? 

5. Quel est le type des machines que vous utilisez ?

6. Sont-elles en quel état ;

7. L'utilisation de l'ordinateur simplifie-t-elle les travaux dans votre organisation ? si oui, justifiez votre réponse ;

8. L'utilisation de l'ordinateur présente-t-elle des conséquences ? si oui les quelles 

9. Existe-t-il de bureaux qui sont dépourvus d'ordinateurs dans votre service ? si oui, le quel

10. Pensez-vous que les services qui utilisent l'ordinateur sont mieux placés par rapport à ceux qui ne l'utilisent pas ? si oui, pourquoi

11. L'usage de l'ordinateur intervient-il dans la gestion de l'ensemble des activités de votre service ?

12. Le personnel de votre bureau est-il géré par un service informatique ?

13. Quels sont les agents ayant la connaissance en informatique dans votre personnel si oui quel est leur niveau ?

- Licencié

- Gradué

- Spécialisation

14. Avez-vous des suggestions par rapport à la place des ordinateurs dans les services publics.

C'est ainsi que nous allons vous présenter les résultats de notre enquête sous forme de tableau.

DENOMINATION DU SERVICE

COMMUNE

ACTIVITE

1

HOTEL MONT KAHUZI

 
 

2

DIVISION DU BUDGET

 
 

3

ZAIN/BUKAVU

 
 

4

PARQUET

 
 

5

DIVISION DU TOURISME

 
 

6

DIVISION PROV. D'AGRICULTURE ELEVAGE ET PECHE

 
 

7

MINISTERE PROV.DE L'AGRICULTIRE

IBANDA

 

8

DIVISION DU PLAN

IBANDA

 

9

APRODEPED

IBANDA

 

10

BCDC

IBANDA

 

11

DIVISION TRANSPORT ET COMM.

IBANDA

 

12

DIVISION HYDRO ET ENERGIE

IBANDA

 

13

DIVISION DE JUSTICE

IBANDA

 

14

DIVISION DU TRAVAIL

IBANDA

 

15

PLD

IBANDA

 

16

DIVICULTARTS

IBANDA

 

17

SOUS DIV. URBAINE DE L'EPS

IBANDA

 

18

AGENCE BON VOYAGE

IBANDA

 

19

MAIRIE

IBANDA

 

20

VSTV

IBANDA

 

Tableau N°1 présentation des services administratifs de la commune d'iband

Tableau N°2 : présentation de service étatique consulté dans la commune d'ibanda

DENOMINATION

COMMUNE

1

DIV. DU BUDGET AFFECTE A LA COMMUNE

IBANDA

2

DIV.TOURISME

IBANDA

3

PARQUET

IBANDA

4

DIVISION PROV. AGRICULTURE

IBANDA

5

MINISTERE PROV.DE L'AGR

IBANDA

6

DIVISION DU PLAN

IBANDA

7

DIVISION DU TRANSPORT ET COMMUNICATION

IBANDA

8

DIVISION DE JUSTICE

IBANDA

9

DIVISION DU TRAVAIL

IBANDA

10

DIVICULTARTS

IBANDA

11

SOUS DIV. URBAINE DE L'EPSP

IBANDA

12

MAIRIE

IBANDA

13

DIV.HYDRO ET ENERGIE

IBANDA

Commentaire

commune d'ibanda sont des services étatiques soit 85%.

Présentation de questions

Nous avons établit notre questionnaire que vous trouverez à la page précédente en poursuivant les objectifs suivants :

Tableau 3 : 4ème question : Disposez-vous d'un ou plusieurs services informatiques dans votre organisation ?

 

Nombre

%

Oui

13

65

NON

7

35

TOTAL

20%

100%

Commentaire

Ce tableau nous décrit que sur ces 20 services administratifs consultés et qui ont répondu à notre à notre questionnaire au moins 13 services ont acquis une technologie d'informatique du moins un service informatique soit 65% et 7services soit 35% n'ont toujours pas eu un service informatique. Il faut signaler que beaucoup des services administratifs commencent à sentir la nécessite d'utiliser les services informatiques quoi que les moyens matériels ne sont pas toujours à leur portée.

Tableau 4 : 5ème question quel est le type des machines que vous utilisez ? Sont-elles en quel état

 

NOMBRE

%

Machine à écrire

8

40

Ordinateur PC

12

60

Ordinateur Macintosh

0

0

TOTAL

20

100

Synthèse partielle

Ce tableau nous fait voir plus de 12 services administratifs consultés de la commune d'ibanda soit 60% utilisent les ordinateurs au détriment de machines à écrire et ces ordinateurs sont des types P.C(personal computer) entendez par là ordinateur individuel fabriqué par la société IBM aucun de ces ordinateurs consultés n'est de type Macintosh. C'est qui témoigne que les ordinateurs de type PC battent records sur ceux de type Macintosh qui fabrique les ordinateurs appelés Apple. Par contre plus de 8 services soit 40% atteints se trouvant dans la commune d'ibanda font leur travail moyennant de machines à écrire appelées autrement de machines mécaniques.

En somme, cette analyse montre que la quasi-totalité de ces ordinateurs sont des types PC et des marques DELL, HP.

Tableau5 : 6ème question sont-elles en bon état ?

 

NOMBRE

%

OUI

16

80

NON

4

20

TOTAL

20

100

Synthèse partielle

L'analyse faite dans ce tableau montre que, sur ces 20 services administratifs atteints, 16 services soit 80% qui disposent des ordinateurs plus de 80% utilisent des ordinateurs qui sont encore en bon état tandis que 20 % seulement sont des ordinateurs en mauvais état

Tablaeau6 : 7ème question l'utilisation de l'ordinateur simplifie-t-elles les travaux dans votre organisation

 

NOMBRE

%

OUI

2O

1OOS

NON

0

0

TOTAL

20

100

Synthèse partielle

Le présent tableau fait ressentir l'importance primordiale des ordinateurs sur la rentabilité du travail. En d'autres mots, ce tableau montre que la non utilisation des ordinateurs est source de beaucoup des problèmes d'ordre lenteur. Cet outil simplifie les travaux pour des éléments suivants :

- Les documents sont proprement présentés

- On peut facilement corriger un document jusqu'à sa version finale sans problème

- La rapidité dans l'exécution des tâches et qualité du travail sur ordinateur

- Bonne conservation des données

- La certitude ou la précision du travail fourni

Tableau 7 : 8ème question l'utilisation de l'ordinateur présente-t-elle des conséquences.

 

NOMBRE

%

OUI

17

85

NON

3

15

TOTAL

20

100

Commentaire partiel

Le tableau nous montre que dans la plupart de cas, 17services soit 85% ont relève les conséquences néfastes de l'ordinateur sur l'être humain pour de raisons suivantes :

- Le personnel agit par reflexe et oublie les notions élémentaires d'orthographe et de calcul mental

- L'automatisme remplace l'esprit d'initiative

- Déclassement des machines mécaniques d'autant exige la formation et le recyclage du personnel

- Exposition pendant longtemps à l'écran

- L'ordinateur affaiblit les yeux d'utilisateur

- La présence des virus peuvent endommager les ordinateurs en détruisant nos fichiers, dossiers et autres et parfois la complication lors de l'impression d'un document urgent.

- Lorsque les données ne sont pas enregistrées par mégarde, l'ordinateur nous parait imprudent

- Blocage de services du par des coupures intesemptibles du courant électriquen'

Tableau 8 : 9ème question Existe-t-il des bureaux qui sont dépourvus d'ordinateurs dans votre service ? Si oui le quel

 

NOMBRE

%

OUI

18

90

NON

2

10

TOTAL

20

100

Synthèse partielle

La présente analyse trouve que, dans ce tableau la quasi-totalité de bureaux sont dépourvus d'ordinateurs au moins 16 services soit 80% de ces services dont leurs bureaux n'ont pas d'ordinateurs. Par contre 4 services seulement dont leurs bureaux sont tous équipés

Tableau 9 : 10ème question pensez-vous que les services qui utilisent les ordinateurs sont mieux placés par rapport à ceux qui ne l'utilisent pas ? Si ou.

 

NOMBRE

%

OUI

18

90

NON

2

10

TOTAL

20

100

Commentaire partiel

Ce tableau fait voir que, sur le nombre de services consultés, 18 services soit 90% ont senti que les services qui utilisent les ordinateurs ont une longueur d'avance dans l'exécution de leurs travaux. Par contre 2 services qui jusque là n'ont pas senti cette avance ; ces 18 services ont justifié leur réponse pour des raisons ci-après :

- Il ya rapidité et soins de travaux sur ordinateur

- Conservation des informations dans la mémoire de la machine

- Ils ont beaucoup plus de facilité par rapport à ceux qui n'utilisent pas, ça diminue au déplacement d'ailleurs

- Quand on commet une faute de frappe, on doit raturer pour corriger et il n'y a pas moyen de systématiser le travail

- L'ordinateur mémorise tous les travaux effectués

- Sa rapidité sans aucune faille

- Simplification de travaux de bureau

- Ça facilite beaucoup de taches

Tableau 10 : 11ème question l'usage de l'ordinateur intervient-il dans la gestion de l'ensemble des activités de votre organisation ?

 

NOMBRE

%

OUI

5

25

NON

15

75

TOTAL

20

100

Synthèse partielle

Ce tableau montre que plus de 15 services consultés soit 75% de services dont l'usage de l'ordinateur n'intervient pas dans la gestion de l'ensemble de leurs activités, ça montre que dans 3 ou 4 bureaux on peut y trouver un seul ordinateur ce qui ne marche pas bien dans ces services.

Tableau 11 : 12ème question le personnel de votre bureau est-il géré par un service informatique ?

 

NOMBRE

%

OUI

4

20

NON

16

80

TOTAL

20

100

Synthèse partielle

A partir de ce tableau on constate que les services consultés de la commune d'ibanda, 80% disent non que le personnel de leurs services ne sont pas gérés par un service informatique tandis que 20% acceptent que certains de leur personnel sont gérés par un service informatique.

Tableau 12 : 13ème question quels sont les agents ayant la connaissance en informatique dans votre organisation, si oui quel est leur niveau.

 

NOMBRE

%

Gradué

3

15

Licencié

5

25

Spécialisation

12

60

TOTAL

20

100

Synthèse partielle

L'analyse faite dans ce tableau nous montre que, dans ces 20 services consultés on a remarqué que les agents ayant de notions en informatique sont issus de la spécialisation soit 60% de ces agents ont été dans le centre de formation. Toute fois, nous avons rencontré un seul agent qui lui est gradué en informatique de gestion à l'Institut Supérieur Pédagogique de Bukavu ; par contre les autres sont soit de gradués dans d'autres domaines soit de licenciés dans d'autres discipline un peu éloignent de l'informatique et qui du reste ont acquis une formation quelle que part. Donc pour clore ce dossier, il faut signifier que, beaucoup des personnels négligent encore l'apprentissage de l'informatique faute de matériel informatique du moins les équipements informatiques.

Tableau 13 : 14ème question avez-vous des suggestions par rapport à la place des ordinateurs dans les services publics.

 

NOMBRE

%

OUI

17

85

NON

3

15

TOTAL

20

100

Commentaire partiel

A partir de ce tableau nous avons retenus les réponses suivantes au cours de notre enquête :

- L'ordinateur est non seulement indispensable aujourd'hui dans les services publics pour réaliser le travail de haute qualité mais également gérer les données de tout genre

- Ça leur faciliterait les tâches et leur permettrait un bon archivage

- Tous les services publics doivent être informatisés car, cette nouvelle technologie de l'informatique est d'une grande ampleur et s'impose dans tous les domaines 

- Il fallait que tous les bureaux soient dotés des ordinateurs qui du reste les faciliteraient la tache du travail

- Avec la mondialisation, la place de l'ordinateur dans les services publics à un impact positif et augmente beaucoup de chances de succès, nous demandons au gouvernement Congolais de conjuguer les efforts pour doter les services publics des ordinateurs qui du reste augmenteraient la productivité des entreprises publiques 

- Les services publics doivent intégrer l'outil informatique en vue de faire face aux multiples problèmes qui s'effectuent manuellement.

CONCLUSION

Nous voici au terme de notre travail de fin du cycle qui est intitulé « Conséquence de la non utilisation des ordinateurs dans les services administratifs (cas de la commune d'ibanda) »

Ce travail a porté sur trois chapitres, hormis l'introduction et cette conclusion.

Cette conséquence nous a permis de reconnaître et de mettre à jour la grande importance que revêt l'utilisation des ordinateurs. La technologie de l'informatique acquit, chaque jour de la vie de l'homme, un indispensable, étatique et paraétatique dans les services administratifs qui sont pourtant des initiatives publiques dépourvues de tout esprit de lucre

Au moment actuel, la consommation des outils informatiques dévient imposable à tous dans presque tous les domaines du travail scientifique à tel point que le besoin de l'intégration de la technologie moderne influe l'impératif de la vie quotidienne et exige que tous les services utilisent désormais les ordinateurs dans les jours avenir.

L'informatique devenant une source de la mondialisation, offre aux services tant privés que publics des instruments efficaces, dans la bonne gestion de leurs taches.

C'est dans cette initiative que nous avons pris soins de nous poser les questions pour l'intégration des ordinateurs dans les services administratifs de la commune d'ibanda.

- Que faut-il faire pour améliorer le système de travail dans les services publics de l'Etat vu les problèmes liés à un certains nombres d'élément dans son système de gestion annuelle ?

- La mise en oeuvre d'un système automatisé ne peut- t-il pas amener ces services à moderniser son système de travail qui reste archaïque et rudimentaire ?

Les méthodes historiques, analytique, comparative associées aux techniques documentaires et d'interview nous ont permis la vérification de nos hypothèses, de la manière suivante :

1. L'utilisation des ordinateurs peut-elle améliorer ou simplifier la qualité du travail de votre service.

2. L'utilisation des armoires ou étagères modernisés ne peut-elle pas permettre la bonne conservation de vos documents même à l'absence des ordinateurs.

L'étude montre que la conséquence de la non utilisation des ordinateurs est positive car l'utilisation de l'ordinateur simplifie beaucoup les taches de leur organisation qui reste se faisait manuellement cfr Tableau N°6. Les services qui utilisent les ordinateurs sont mieux placés par rapport à ceux qui ne l'utilisent pas cfr Tableau N°9. 90% de l'effectif total des bureaux de ces services sont dépourvus des ordinateurs dans leur service cfr Tableau N°8

Ce travail ne pouvait échapper à l'imperfection qui est le caractère général de toute oeuvre humaine, mais toute fois, pensons que au cours de ce travail, avons cerné le fond du problème d'informatique évoqué dans les services administratifs de la commune d'ibanda.

€*

* 1 Rapport annuel la commune d'ibanda 2009

* 2 Rapport annuel de la commune d'ibanda 2009

* 3 http://www.adsbeaute.com/reponses/quels-sont-les-effets-nefastes-de-travailler-devant-un-ordinateur.html16:44 le 19/4/2010

* 4 Cours d'informatique générale dispensé par Ass. MERDA NZIBO

* 5 http://www.worldingo.com

* 6 http://www.wipedia.org/clavier d'ordinateur

* 7 http://www.worldingo.com

* 8 Robert .A. MALLET, la méthode informatique, cit.op

* 9 Jacques Sornet, guide de l'analyse informatique

* 10 Nzigire Mataensda brigitte ,impact de la connaissance enformatique, inedit, 2005-2006

* 11 Robert .A. MALLET, la méthode informatique, op .cit.pp48 centre culturel international de cerisy-la salle, révolution informatique, général d'édition, paris 1970,PP

* 12 Centre culturel international de Cerisy-la-Salle, révolution informatique, op.cit.p392

* 13 Robert A.MALLET, la méthode informatique, Hermann ; 1971

* 14 Robert .A. MALLET, la méthode informatique, cit .op.






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"Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche !"   Charles de Gaulle