0. PROBLEMATIQUE
Dans le monde de travail, l'utilisation de l'outil
informatique s'avère très indispensable, dans les
différents services ou secteurs. L'ordinateur bouleverse, les
méthodes de travail apparu au cours de moitié du XXe
siècle, ils ont révolutionné les habitudes de
travail, un faisant de cet outil un des éléments trop
utilisé rendant le travail aisé dans l'exécution des
taches. L'utilisation de cet outil reste utile dans tous les domaines de
Gestion où tous les fonctionnaires y font recours pour effectuer
rapidement les tâches ou opérations et sans trop des failles dans
leurs services.
C'est dans ce même ordre d'idée que les
services de la commune d'ibanda, longtemps crées, tiennent manuellement
leurs opérations. Cette manière de gestion est source des
multiples erreurs et difficultés entre autres
v La difficulté due à l'élaboration d'un
certain nombre des documents nécessitant le remplissage d'un certain
nombre des cases tout en maintenant le texte statique.
v Le retard dans l'expédition d'un nombre des rapports
ou autres documents facile à trouver.
v Le conflit engendré par la non retrouvaille facile
d'un certain nombre des données ou information relatives à un
agent.
v Manque de reproduction d'un document.
v C'est un système fatiguant ce qui fait que lorsque le
travail est volumineux on ne s'en occupe plus et ces travaux restent en
souffrance.
v En cas d'erreur il faut reprendre la dactylographie ou soit
utiliser l'encre correctrice.
v Consommation abusive de ruban et de carbone.
v Manque de conservation des données cette
dernière constitue la majeure difficulté pour le système
manuel.
v Mauvaise qualité de l'information produite
manuellement c'est-à-dire ces informations ne sont pas propres, claires
et parfois lisibles et visibles ; également les documents se
coupent ou se déchirent en petit morceau après avoir passé
beaucoup d'années dans les armoires ou étagères qui, du
reste sont mal construits par le fait de les toucher et les remettre chaque
fois dans leur emplacement. Tout cela amène ces services à la
lourdeur aux difficultés de la fiabilité d'efficacité et
même d'efficience et qui prédispose l'organisation administrative
aux charges très élevées aux outils considérables
en exposition des erreurs graves.
En effet, malgré la non utilisation des ordinateurs
pour certains services qui du reste n'ont pas suffisamment des moyens pour
acheter les ordinateurs et les intégrer dans leurs services ; parce
que certains agents voudront bien que leurs services soient
informatisés mais faute des moyens financiers on arrive pas à le
faire. Cependant l'utilisation des ordinateurs présente des
conséquences positives et négatives dans les services
administratifs.
Ainsi pour ce qui est de la conséquence positive il
s'agit notamment de :
· Quand bien même que ces ordinateurs peuvent
être dans les bureaux mais le courant électrique fait
défaut dans notre ville en d'autres termes il n y a pas le courant pour
allumer ces machines et s'il arrivé ce n'est pas rassuré ou il
ne reste pas pendant longtemps ce qui fait les gens gaspillent leur argent en
achetant chaque fois le carburant dont son prix monte sans raison.
· Le manque des connaissances en informatique pour les
agents qui peuvent utiliser ces ordinateurs d'où la
nécessité d'envoyer les agents à la formation.
· Pas de perte probable de données liées au
support qui le conserve puisque nous n'avons pas des ordinateurs.
· Aucun développement de maladies parce que
l'ordinateur ne peut ou ne pas être porteur de certaines maladies comme
le maux de coup une fois que les conditions ergonomiques ne sont pas
adaptables.
Quant à ce qui est de la conséquence
négative on peut citer :
Ø Le faible coût du personnel c'est-à-dire
l'utilisation nombreuse des ordinateurs créée le chômage
à tel point que à la place des 20 agents on va peut être
utilisé 10 agents en réduisant sur leur nombre ou les
licencés en leur payant leur décompte final ce qui causera de
petits problèmes à l'entreprise.
Ø Achat de matériels ou consommables
informatiques.
De toutes les façons, on ne peut jamais barrer la
route au système manuel malgré les nouvelles technologies de
l'informatique à plus forte raison qu'avant l'avènement de
technologies de l'informatique le système manuel battait record en
dominant tous les services ; même en Amérique, en Europe et
d'autres continents du monde où étaient nés ou
évolués les nouvelles technologies ce système fut
utilisé pendant beaucoup d'années. Ce n'est qu'avec le
progrès de la technologie de l'information et de la communication en
particulier et à la mondialisation que les gens ont tendance à
oublier tant soit peu le système manuel au détriment des
ordinateurs. Lors de la colonisation de notre pays et même à
l'heure actuelle ce système est utilisé par certains services
disposant des étagères ou armoires bien construit pour ça
marche un peu puisque nos colonisateurs en l'occurrence des belges ont
utilisé depuis longtemps ce système puisque ils disposaient des
étagères ou armoires modernisés qui ne pouvaient pas faire
passer la poussière à l'intérieur ou faire passer le
cancrelat qui du reste constitue un fil à retordre pour les documents
mal gardés.
En définitive les armoires modernisées ou qui
sont bien construits s'avèrent très indispensables pour le
système manuel dans la mesure où la poussière et autres
choses nuisibles pour ces documents n'y entreront jamais.
Pour y arriver notre étude cherche à
répondre aux questions suivantes :
- Que faut-il faire pour améliorer le système de
travail dans les services publics de l'Etat vu les problèmes liés
à un certains nombres d'élément dans son système de
gestion annuelle ?
- La mise en oeuvre d'un système automatisé ne
peut- t-il pas amener ces services à moderniser son système de
travail qui reste archaïque et rudimentaire
1. sHYPOTHESE DU TRAVAIL
Nous savons bien que l'hypothèse est une
réponse provisoire dans la mesure où on peut la rejeter ou la
nier voir même la confirmer.
Eu égard de ce qui
précède
1. L'utilisation des ordinateurs peut-elle améliorer ou
simplifier la qualité du travail de votre service.
2. L'utilisation des armoires ou étagères
modernisés ne peut-elle pas permettre la bonne conservation de vos
documents même à l'absence des ordinateurs.
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Le choix de la commune d'ibanda se justifie par le fait que
qu'elle regorge beaucoup des services de l'Etat ; étant
donné que plus de 85 % des services de Bukavu se trouvent
concentrés à Ibanda à cause de plusieurs facteurs
notamment le fait de la permanence du courant et ça constitue des
sources génératrices du Trésor Public de l'Etat dans la
ville de Bukavu ou renferme le centre commercial et institutionnel de la ville
de Bukavu ; également regorge de belles infrastructures tant
privées que publiques.
Ce sujet est à la une compte tenu aux effets de la
mondialisation sur le rendement des services aussi bien au niveau
international qu'au niveau national ; il aidera aux chercheurs dans le
domaine de la technologie de l'informatique de se documenter tant soit peu dans
ce travail. On constate que, tenant compte de ce progrès plus-haut de la
technologie du monde actuel, il est impérieux que chaque service y
compris les individus assez informés fasse des efforts pour savoir
l'impact positif de l'utilisation de l'ordinateur et avoir quelques notions en
informatique pouvant leur aider à bien l'utiliser ; non seulement
dans l'intention de ses besoins professionnels, mais aussi pour simple
curiosité de se mettre en actualité avec l'évolution de
nouvelles technologies afin de pouvoir tirer des ses avantages. C'est ainsi,
ceux qui utilisent les ordinateurs sont mieux placés dans ce monde.
Ainsi, au vue de ce qui précède nous avons eu
le plaisir de pouvoir vérifier l'impact de la non utilisation des
ordinateurs questions d'exhorter les différents agents qui travaillent
dans les services administratifs et qui disposent des moyens matériels
d'adopter la pratique informatique qui à l'heure actuelle bat record.
3. DELIMITATION DU SUJET
2.1 au niveau spatial
Notre travail se limitera dans la commune d'ibanda qui se
trouve à Bukavu chef lieu de la province du Sud-Kivu en
République Démocratique du Congo
2.2 au niveau chronologique
Ce travail est circonscrit dans la période allant du
janvier 2009 en juillet 2010 et qui a comme cible commune d'Ibanda en
général, et particulièrement ses services de
l'administration.
4. METHODE ET TECHNIQUE
A. METHODES
1. Méthodes
historiques : cette méthode nous a permis
de rencontrer dans le temps pour savoir l'historique de la commune d'ibanda.
2. Méthodes
analytiques : Elle nous servie dans l'analyse
détaillée en vue de retenir les éléments importants
et moins important ; les systèmes documentaires existant.
3. Méthode comparative : cette
méthode nous a permis d'entrer en contact direct avec la
réalité de chacun de ses services.
4. Méthodes MERISE : c'est la
méthode d'étude et de réalisation informatique pour les
systèmes d'entreprises ; méthodes éprouvée
pour retardée indéfiniment la sortie des études. Cette
méthodes nous a servie à l'étude et au
développement de cette organisation et connaître :
- Comment elle réagit des informatiques qu'elle
utile ;
- Quels sont les modèles à utiliser dans le
cadre de l'élaboration d'un travail scientifique suivant les
procédures de cette méthode.
B. TECHNIQUES
Parmi les techniques utilisées dans les domaines de la
recherche, nous avons utilisés les techniques suivantes :
1. Technique documentaire : cette technique nous a
aidé à consulter et exploiter avec intérêt certains
documents et archives traitant sur notre domaine de recherches ;
2. Technique d'interview : conformément à
son appellation, elle nous a permis de passer au jeu de question
réponse, par un entretien direct pour nous éclairer et nous
renseigner d'avantage sur le monde du travail
5. PLAN SOMMAIRE DU TRAVAIL
Le travail sous examen sera hormis l'introduction et
conclusion subdivisé en 3 chapitres.
Le premier chapitre portera sur la présentation de la
commune d'ibanda en d'autres mots son historique.
Le deuxième chapitre va porter sur la
considération théorique des ordinateurs et la place des
ordinateurs dans les services administratifs enfin le troisième et le
dernier chapitre de notre travail est centré sur la présentation
et dépouillement des données.
CHAP I .GENERALITES SUR LES ENTREPRISES
I.1 PRESENTATION DE LA COMMUNE D'IBANDA
Cette présentation portera sur 3volets
notamment :
- Le 1er volet parlera se l'historique de la
commune d'ibanda ou « le e plan
géographique » ;
- Le 2eme volet portera sur l'organigramme ou
structure organisationnelle et fonctionnelle ;
- Le 3eme volet va porter sur « le plan
commercial »
I.1.1 HISTORIQUE OU LE PLAN GEOGRAPHIQUE
La commune D'ibanda est une des trois commune de la Mairie
de Bukavu fut créée par arrêté collectif
n°111/203 du 3 octobre 1958
Elle est limitée :
- Au Nord par le lac Kivu ;
- Au Sud par le territoire de kabare et par la commune
urbano-rurale de kasha ;
- A L'est par la rivière Ruzizi ;
- A L'ouest la rivière kawa ;
D'une manière altitude moyenne de 1612 mètres,
elle a une superficie de 11 ,57.10km2 et une population de
162.333 habitants soit une densité de 4.029 habitants par
km2. Par cette population, on dénombre 405 étrangers
et 161.928 congolais dont la majorité shi et lega, havu, bembe, fuliru,
nyindu, tembo.
Le climat est tempéré de montage de
25 ,6° maxima et 15,7° minima avec une pluviosité de
1.456,4m
Bourgmestre adjoint
Bourgmestre
Secrétariat
16 services techniques
Services territoriaux
Genre
Fonction Publique
E.C.N
Budget
L'habitat
Urbanisme
16 services techniques
Secrétariat
Secretariat
Comptabilitéééé
La police
ETAT
ANR
DGM
La légalité
Services territoriaux
21 Cellules
Ndendere
NyalukembaqammmmmmmmmmmmmmkMMmmmmmmmmmmm
Panzi
3Quartiers
I.1.2 ORGANIGRAMME
I.1.3 ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET FONCTIONNELLE
Aux termes de l'article 105 du décret-loi 081 du 02
juillet 1998 portant organisation territoriale et administrative de la
République Démocratique du Congo, les organes de la commune
sont :
1. le Bourgmestre ;
2. le conseil consultatif communal.
Vu la taille de la RDC, un pays aux dimensions continentales
dit-on, et l'éloignement de certains contrées du pays de la
capitale considérée comme centre de toute décision
intéressant la vie nationale et surtout que Kinshasa comme siège
des institutions du pays, la ville de Bukavu au sein de la quelle se trouve la
commune d'Ibanda est située à 2000km de la capitale.
Cet éloignement a donc conduit les autorités
du pays, soucieuses de rapprocher l'administré de l'administration
à opter pour la décentralisation comme mode de gestion de
certaines entités territoriales notamment la commune.
Administrativement parlant et cela du point de vue
théorique, la commune d'ibanda, pendant toute ou presque la
période qui couvre notre étude soit la période allant de
2008 à 2009 sa nature juridique était une entité
administrative décentralisée.
En effet, l'art.7 du décret-loi 081
précité dispose que : « les entités
administratives centralisées sont :
v La province ;
v La ville ;
v Le territoire ;
v La commune pour la ville de Kinshasa.
Les entités administratives non
décentralisées sont :
· Le district ;
· La commune autre que celles de la de Kinshasa ;
· Etc.
Au chapitre 5 traitant des communes dans la ville de
Kinshasa, même décret-loi déclare à son article 104
que : « la commune est une entité administrative
décentralisée dotée de la personnalité
juridique... »
Le chapitre 6 du décret-loi 081 sus
évoqué consacré aux communes en province stipule
que : « la commune est une circonscription administrative
dépourvue de la personnalité juridique... »
Des dispositions légales ci-haut citées, il
ressort clairement que la commune d'ibanda étant une commune
située en province n'est pas une entité administrative
décentralisée cette qualité étant exclusivement
réservée aux seules communes de la ville de Kinshasa ce qui, en
toute logique entraine la conséquence que la commune d'ibanda n'a pas
d'autonomie financière, n'a pas d'autonomie organique.
La loi n°77-028 du 19 Novembre 1977 modifiée par
l'ordonnance-loi n°87-006 du 25 février 1982 portant, organisation
territoriale, publique et administrative de la République du Zaïre
déclare pour sa part, sans faire de distinction entre les communes de
Kinshasa et celles de province que : « la commune est une
entité administrative décentralisée. Elle est dotée
de la personnalité juridique. »
La décentralisation est définie comme
étant un système d'administration consistant à permettre
à une collectivité humaine (décentralisation territoriale)
de s'administrer elle-même sous le contrôle de tutelle de
l'Etat.
Nous avons dit qu'en théorie la commune d'ibanda
revêtait la forme d'une entité administrative non
décentralisée puisque le décret-loi 081 du 2juillet 1998
était pris par le pouvoir légitime de Kinshasa et à ce
titre ce décret-loi liait toute la RDC, mais en réalité
nul n'ignore qu'un mois après la promulgation de ce décret le 2
juillet 1998 alors qu'il n'était pas encore disponible dans toutes les
administrations territoriales notamment dans la commune d'ibanda, la guerre
dite de libération menée par le R.C.D a éclaté
à Bukavu en date du 2 Aout 1998 consacrant ainsi la partition de fait du
pays1(*).
La partie administrée par le gouvernement de Kinshasa
appliquant ce décret-loi 081 tan disque la partie sous contrôle du
R.C.D continuait à faire application de l'ancienne loi qui fait de la
commune une entité administrative décentralisée moyennant
bien entendu certains aménagements jusqu'en 2003, année de la
réunification du pays.
Donc de 2000 à 2003, la commune d'ibanda a en pratique
revêtu la nature juridique d'une entité administrative
décentralisée pour les divers motifs ci-dessus evoqués.
Ainsi, sur la partie sous contrôle du R.C.D ; la
territoriale était liait au département de l'administration du
territoire, renseignement et sécurité tandis que, dans la partie
sous contrôle du Gouvernement, la territoriale était placée
sous contrôle du Ministre de l'intérieur et administration du
territoire et décentralisation.
De la définition de la décentralisation
ci-avant, il convient de retenir que la commune d'ibanda en tant qu'une
personne morale dotée de la personnalité juridique, elle est un
être titulaire de droits et sujet d'obligations.
Ceci revient à dire qu'il y a des devoirs et
obligations qui pensent sur la commune non seulement vis-à-vis de ses
administrés mais aussi vis-à-vis de ses cadres et personnel et de
son autorité de tutelle.
Ainsi, la commune d'Ibanda est appelée à
entretenir certaines routes, certains bâtiment tant administratifs que
ceux servant d'habitation de son personnel et certaines autres infrastructures
et doit supporter les charges sociales de son personnel.
La commune est aussi, entant que titulaire de droits est en
droit d'exiger certaines prestations à ses administrés en vue de
réaliser les objectifs qu'elle s'assigne dans son cadre
budgétaire.
Sur le plan administratif, la commune d'Ibanda est
divisée en trois quartiers subdivisés en cellules et avenues .Le
quartier NDENDERE a une superficie de 3,38 .8 km2, la
superficie du quartier PANZI est de 5,06.10 km2 tandis que celle du
quartier NYALUKEMBA est de 3,12 .20 km2, soit un total de
11,57.10 km2
La commune d'Ibanda est dirigée par Bourgmestre
assisté d'un Bourgmestre adjoint et un chef de Bureau.
Le quartier est dirigé par le chef de quartier
secondé par un chef de quartier adjoint, il en est même pour la
cellule qui a sa tête un chef de cellule et un chef d'avenue par avenue.
Selon le même rapport de la commune d'ibanda ; la commune d'ibanda
est constituée de 3 quartiers ci-haut cités qui sont le quartier
NDENDERE qui compte 8 cellules et 53 avenues, le quartier PANZI
constitué de 7 cellules et 72 avenues.
Après cette présentation de la commune
d'Ibanda sous l'aspect administratif et fonctionnel, il convient de la
présenter sur le plan commercial.
I.1.4. ORGANISATION COMMERCIALE
Sur le plan commercial eu égard aux facteurs
commerciaux, la commune d'Ibanda est l'un des grands centres commerciaux, si
pas le plus grand de la province du Sud-Kivu en général et de la
ville de Bukavu en particulier.
Selon le rapport annuel 2008 de la commune d'ibanda les points
de vente c'est-à-dire les points commerciaux de la commune
sont :
1. Les centres commerciaux situés sur les
axes :
- Avenue Patrice Emery Lumumba ;
- Avenue industrielle ;
- Avenue major vangu.
2. Les maisons commerciales telles que :
- Société KOTECHA& DATCO ;
- Magasin LABOTTE, st JACOB, PANDJU ;
- Quincaillerie Burume, Bashige ;
- Dépots pharmaceutique : PHARMAKINA,
SHEKINA , 8eCEPAC
3. Les marchés : NGUBA dans le
quartier NYALUKEMBA ; nyawera dans le même quartier ; feu
rouge dans le quartier Ndendere ; Major Vangu au Quartier Panzi et Chai
dans le même quartier.
4. Les industries : Groupe GINKI, TOLINKI, SOJUF ,
MUGOTE, aux marchés « officiels » ci-haut
cités, nous rencontrons plusieurs autres marchés
« pirates » qui se créent sur certaines avenues de
la commune dont les plus importants sont situés sur les avenues P.E
LUMUMBA , VAMARO, etc.
En plus des marchés tant officiels que pirates et des
maisons commerciales ci-dessus citées, la commune d'ibanda regorge aussi
des dancing-clubs, les night-club, les maisons de transport des personnes et
des biens, les dépôts des boissons, les stations services
d'essence etc. en dehors des maisons commerciales les différents
marchés et industries, nous dénombrons aussi en commune d'ibanda
les changeurs communément appelés
« cambistes » que nous rencontrons à des endroits
tels qu'à la frontière RUZIZI 1er, à la place
dite MULAMBA, à la place Feu-rouge, UTEX AFRICA, à
côté du marché NYAWERA, à la place Major VANGU,
à la place de l'indépendance etc2(*).
I.1.5 LES ATTRIBUTIONS
1.5.1 Les attributions du Bourgmestre
Selon le décret-loi n°081 du 2 juillet 1998
portant organisation territoriale et administrative de la République
Démocratique du Congo tel que modifié et completé par le
décret-loi n° 018/2001 du 28 septembre 2001(textes
coordonnés et mis à jour au 28 septembre 2001)
Article 181 de la nature juridique
Article 126 : la commune est une entité
circonscription administrative dépourvue de la personnalité
juridique ; Elle est une subdivision de la ville. La commune est
subdivisée en quartier et/ou en groupement incorporés.
Articles 109 : du même décret-loi stipule
que : le bourgoumestre est à la fois répresentant du
gouvernement et autorité locale. Ace titre, il assume la
responsabilité du bon fonctionnement des services publics de l'Etat dans
la commune et de bonne marche de l »administration de sa
juridiction.il statue par voie de décision.
Article 110 : sans préjudice des attributions
spéciales qui sont conférées par les textes particuliers,
le bourgoumestre.
1. Veille à l'exécution des lois, des
règlements et décisions de l'autorité
supérieure ;
Veille au maintien de l'ordre public dans sa commune, A ce
effet, il dispose des unités de `la police Nationale affectées
à la commune ;
2. Assure l'accomplissement des tâches
d'intérêt général notamment :
a. Instruire les affaires à soumettre au conseil
consultatif de la commune ;
b. Prépare et présente au gouverneur de la ville,
le projet du budget de la commune, le projet des crédits
supplémentaires et de virements des crédits ainsi que le
programme d'action après avis du conseil consultatif communal ;
c. Présente au gouverneur de la ville les comptes annuels
des recettes et des dépenses après avis du conseil
communal ;
d. Publie ou notifie les décisions du gouverneur de la
ville et de sa commune ;
e. Dirige les services de la commune ;
f. Gere les services de la commune ;
g. Gere les revenus de la commune, ordonne les dépenses et
contrôle la comptabilité ;
h. Dirige les travaux à exécuter aux frais de la
commune ;
i. Administre le patrimoine de la commune et conserve ses
droits ;
j. Supervise dans son entité, la collecte des taxes
locales et contributions revenant au trésor ;
k. Veille à la numérotation des parcelles et
à l'information des poteaux et pancartes indicateurs des avenues et
rues.
1.5.2 Les attributions du Bourgmestre Adjoint
Selon le même
décret-loi : dans son article 116 et117 stipulent que : le
bourgmestre adjoint remplace le bourgmestre en cas d'absence ou
d'empêchement. En cas d'absence ou d'empêchement du bourgmestre et
de son adjoint, l'intérim est assuré par le chef de bureau de la
commune.
Article 130 : le bourgmestre adjoint s'occupe des
problèmes économiques et du suivi de l'exécution des
projets de développement sous la direction du bourgmestre. Le chef de
bureau de la commune coordonne l'administration de la commune.
1.5.3 Les attributions du conseil consultatif communal
Dans ce même décret-loi le bourgmestre est
à la fois représentant du gouvernement et autorité locale
A ce titre, il assume la responsabilité du fonctionnement public de
L'Etat dans la commune et de la bonne marche de l'administration de la
juridiction par voie de décision.
Article129
Sans préjudice des attributions spécifiques lui
sont conférées par les textes particuliers, le
bourgmestre :
1. Veille à l'exécution des lois, des
règlements et décisions de l'autorité
supérieure ;
2. Veille au maintien de l'ordre public dans sa commune A cet
effet, il dispose des unités de la Police nationale affectées
à la commune ;
3. Assure l'accomplissement des tâches
d'intérêt général notamment :
a. Instruire les affaires à soumettre au conseil
consultatif de la ville ;
b. Publie et notifie les décisions du gouverneur de la
ville et de sa commune ;
c. Dirige les services de la commune ;
d. Administre les établissements de la
commune ;
e. Dirige les travaux à exécuter aux frais de la
commune ;
f. Veille à la sauvegarde du patrimoine de la
ville ;
g. Supervise dans son entité, la collecte des taxes
locales et contributions revenant au trésor ;
h. Prépare et présente au Maire de la ville le
projet du budget de la commune, le projet des crédits
supplémentaires et virements des crédits ainsi que le programme
d'action ;
i. Gere les crédits de la commune, approuve les
dépenses et contrôle la comptabilité
Il sied de signaler, quant à ce qui concerne les
attributions évoquées ci-haut concernent seulement ce
décret-loi dont sa nature juridique ne lui permettait pas de jouir d'une
personnalité juridique.
Voici donc les attributions du bourgmestre relevant de la
loi organique N° 08/016 du 7 octobre 2008 portant composition, organique
et fonctionnement des entités territoriales décentralisées
et leurs rapports avec l'Etat et les provinces. C'est cette loi qui
définit les attributions actuelles du bourgmestre et qui lui permet de
jouir de la personnalité juridique.
En voici donc quelques unes :
La commune étant une entité administrative
décentralisée jouit de la personnalité juridique : le
bourgmestre est l'autorité de la commune, il est le chef du
collège exécutif communal.
A ce titre :
1. Il assume la responsabilité de la bonne marche de
l'administration de sa juridiction ;
2. Il est officier de police judiciaire à
compétence générale ;
3. Il est officier de l'Etat civil ;
4. Il est coordonateur principal du budget de la
commune ;
5. Il représente la commune en justice et
vis-à-vis des tiers ;
6. Il exécute et fait les lois, les édits et les
règlements urbains et communaux ;
7. Il assure le maintien de l'ordre public dans sa
juridiction
A cette fin, il dispose des unités de la place
nationale y affectées.
CHAP.II. CONSIDERATION THEORIQUE DES ORDINATEURS ET
LEUR IMPORTANCE DANS LES SERVICE
2.1 L'UTILISATION DES ORDINATEURS ET LEURS
CONSEQUENCES
a. Définition
Le terme ordinateur créé en 1947 par
contraction de mots ordonnant, ordre désigne une machine de traitement
automatique des informations grâce aux logiciels qui y sont
installés. Ou ensemble des dispositifs matériels (notamment
électronique) permettant le traitement des données sous le
contrôle de programmes préétablis désignés
par le vocable général de logiciel.
b. L'utilisation de l'ordinateur
L'utilisation de l'ordinateur s'avère très
indispensable dans les différents services ou secteurs. L'ordinateur
bouleverse, les méthodes de travail apparu au cours de la seconde
moitié du XXe siècle, ils ont
révolutionné les habitudes de travail.
L'utilisation de cette machine est devenue de nos jours
capitale si bien qu'elle permette de rendre le travail aisé dans
l'exécution des tâches. Cette dernière reste utile dans
tous les domaines de gestion où tous les fonctionnaires y font recours
pour effectuer rapidement les taches ou opérations et sans trop des
failles dans leur service. Le domaine de l'informatique devenant une discipline
à part entière donc se dotant de ses méthodes, son objet,
ses approches et en collaboration avec d'autres sciences ; celle-ci est
entrain de marcher sur les autres sciences par son importance très
capitale. L'ordinateur se fait voir dans tous les services qui aimeraient voir
leur travail soit simplifié ou rendre leur travail facile.
Toute fois, dans son utilisation elle présente
certaines conséquences positives et négatives. Quant à
nous, nous auront à faire un large tour d'horizon sur les
conséquences positives ainsi que les conséquences
négatives.
S'agissant de conséquences positives de l'utilisation
des ordinateurs, il sied de signaler que l'ordinateur créé le
chômage dans la mesure, plus où les ordinateurs sont nombreux dans
les services, plus on aura à supprimer certains postes que les hommes
occupaient. En d'autres termes il y aura moins de personnes qui travailleront
dans l'entreprise donc il ya diminution des couts du personnel,
également les personnes pour qui leurs postes ont été
supprimé auront droit à un décompte final ce qui pourrait
entrainer un déséquilibre sur le chiffre d'affaires de
l'entreprise un autre élément à placer dans ce registre ce
que lorsqu'on aura soit besoin d'autres matériels pour que ce dernier
fonctionne normalement ; donc comme autre conséquence positive la
consommation de matériels( cartouche, encre etc.)
Parlant de la conséquence négative, nous
devons signaler quelques éléments à savoir :
- Perte probable de données quand la panne survient
donc il ya risque de perdre nos données qui sont contenues dans les
supports quand la panne se présente ;
- L'ordinateur développe certaines maladies c'est
pourquoi quand vous ouvrez un Cyber dans un premier temps, il faut bien
respecter les normes de constructions de chaises sur les quelles les clients
s'y mettront afin de les mettre à l'abri à tout genre de
problème ;
- L'ordinateur rend l'intelligence de l'homme faible donc
cette dernière réfléchit à la place de l'homme.
Il faut savoir que l'ordinateur a des conséquences
néfastes pour l'être humain. En effet, lorsqu'une personne
travaille trop sur un ordinateur, elle pourrait souffrir dans l'avenir de
fatigue visuelle. Par ailleurs, être trop assis devant son ordinateur
peut entraîner d'autres maux comme les troubles oculaires. Etre trop
assis devant un ordinateur peut également entraîner des douleurs
lombaires. Pour éviter tous ces maux, il faut vous lever
régulièrement lorsque vous êtes assis devant un
ordinateur3(*).
C. AVANTAGES DE L'ORDINATEUR
Dans ce point nous auront à donner certains avantages
de l'ordinateur croyant peut être que nombreux des gens ignorent jusque
là les avantages de l'ordinateur.
Ainsi, l'ordinateur présente les avantages comme
suit :
v La rapidité dans l'exécution de
tâches ;
v La bonne conservation de données ;
v Faciliter de partager ces données moyennant
l'internet ;
v Faciliter de retrouver toutes ces données au moment
opportun.
D. CARACTERISTIQUES DE L'ORDINATEUR
Lors de l'achat d'un ordinateur, il est si utile de tenir
compte de certains éléments les quels éléments
faciliteront vos tâches. L'ordinateur comprend plusieurs
caractéristiques dont en voici les plus importantes :
v L'ordinateur doit être une machine capable
d'exécuter à très grande vitesse la séquence
d'instructions autrement dit son processeur qui est le cerveau de l'ordinateur
doit être plus élevé que jamais.
v L'ordinateur doit gérer les unités
d'entrée et sortie qu'on appelle en anglais output et input afin de lui
permettre un contact avec le milieu extérieur ;
v L'ordinateur doit stocker en grande quantité les
données c'est-à-dire elle doit avoir à son sein une grande
mémoire(RAM)4(*).
E. BREVE HISTORIQUE DE L'ORDINATEUR
Depuis des milliers d'années l'homme a
créé l'outil l'aidant à calculer, au départ la
plupart de sociétés ont sans doute utilisé la main comme
auxiliaire de calcul. Cependant en 1962 Blaise Pascal inventa la Pascaline qui
faisait uniquement l'addition et la soustraction. Par contre WILHEM LEIBNIZ
inventa en 1673 une autre machine qui effectuait la division et la
multiplication.
Ce fut l'ère de première calculatrice
mécanique apparut en 1820.
Ainsi donc, BLAISE PASCAL et WILHEM LEIBNIZ et d'autres
chercheurs se sont mis ensemble pour concevoir une machine faisant à la
fois les 4 opérations fondamentales à savoir l'addition, la
multiplication, la soustraction et la division. Il fallait attendre les
idées très importantes de CHARLES BABBAGE en 1834 soit au
18e siecle à qui on reconnaît la qualité du
père de l'ordinateur par ses idées selon les quelles de faire une
machine programmable susceptible de faire n'importe quel type
d'opération
En effet, le 1er ordinateur entièrement
électronique fut conçu en 1947 par 3 personnes dont WILLIAM
MAUGLY, JOHN ATANASOFF et PRESPER ECKERT qui paisait 30 tonnes et consommait
18000 tubes à vides et dégageait beaucoup d'énergie et son
encombrement de fil qui est son élément détracteur.
Après ENIAC puis EDVAC à mémoire interne.
La commercialisation des ordinateurs a commence vers 1952,
depuis cette date on distingue traditionnellement 4 générations
d'ordinateurs correspondant à l'évolution des technologies
couramment mises oeuvre :
De 1952 à 1958 (1ère
génération) : tubes à vides ;
De 1958 à 1964 (2eme
génération) : transistors ;
De 1964 à 1974 (3ème
génération) : circuits intégrés ;
De 1974 à nos jours (4ème
génération) : micro-processeur.
Ce découpage est quelque peu arbitraire ; les
technologies généralement plusieurs années, une
5ème génération est prévisible à
l'horizon en 1990, avec l'apparition de système ayant un fonctionnement
plus proche de celui du cerveau humain, grâce à l'intelligence
artificielle et des mémoires associatives jusqu'ici assez peu
utilisées.
2.2 LA PLACE DES ORDINATEURS DANS LES SERVICES
L'outil informatique exerce depuis plus de 25 ans une
influence très profonde sur la façon de traiter automatiquement
les informations grâce à l'ordinateur, et par conséquent
sur l'évolution de la structure de l'organisation en ce qui concerne le
traitement rapide des informations.
Quelque soit son domaine d'activité, l'entreprise ne
peut plus se passer de l'outil informatique ; que l'on fasse partie d'une
grande entreprise que l'on exerce une profession libérale ou même
un métier technique ; l'informatique occupe une place
déterminante.
L'informatique a introduit une véritable
révolution dans le secteur tertiaire dans les activités de
services en général ; et en particulier dans celles de la
gestion des grands services qu'ils soient industriels, commerciaux ou
administratifs. La propagation de cette technique semble être
actuellement illimitée et déborde de plus en plus au coeur de
coeur de chaque foyer facilitant les tâches quotidiennes de l'homme.
L'avènement des ordinateurs est venu supplées aux insuffisances
d'ordre du travail dans tous les services qui du reste tenaient leur travail
manuellement et cela était l'objet de multiples problèmes.
Nombreux services font fasse aujourd'hui à des
problèmes de traitement de données d'ordre manuel grâce
à l'intégration de l'ordinateur qui du reste facilite un meilleur
rendement au travail et exécute rapidement de tâches avec
précision.
Ainsi, cette nouvelle technologie implique la
nécessité de connaître une pratique informatique pour un
rendement de taille des différents projets. Signalons que les services
qui utilisent les ordinateurs surpassent déjà du moins
franchissent à certains problèmes d'ordre lenteur,
imprécision et bien d'autres.
L'ordinateur lutte pour toute modernisation des services,
elle tend à assurer une garantie aux différents services et leur
fournit un travail de classe. Il impérieux que chaque service y compris
les individus assez informés fasse des efforts pour savoir l'impact
positif et de la place qu'occupe l'ordinateur et avoir quelques notions en
informatique pouvant leur aider à bien l'utiliser ; non seulement
dans l'intention de ses besoins professionnels, mais aussi pour la simple
curiosité de se mettre à la une avec l'évolution des
nouvelles technologies afin de pouvoir tirer de ses avantages.
En claire la place que joue les ordinateurs dans les
services est d'importance capitale si bien que les services ayant
déjà intégré cette nouvelle technique de la
communication et d'informatique trouvent déjà plus d'importance
à plus forte raison qu'il se communique les informations d'un bureau
à un autre sans un moindre déplacement débouchant à
un gain du temps. A l'heure actuelle, beaucoup des services nécessitent
pour l'exécution une intégration pure et simple des ordinateurs
sans quoi ces services risquent d'accouchent d'une souris. L'avenue des
ordinateurs vient donc imposer tous les services qui aimeraient réaliser
de bon rendement professionnel son intégration qui du reste apporte de
changements considérables dans le milieu du travail faisant abstraction
à l'utilisation des autres matériels.
2.3 CONSEQUENCE DE LA NON UTILISATION DES
ORDINATEURS
La non utilisation des ordinateurs reste toujours
préoccupante dans tous les domaines de la vie si bien qu'ils
éprouvent d'énormes difficultés.
C'est dans cette initiative que les services de la commune
d'ibanda longtemps créé tiennent manuellement leurs
opérations. Cette manière de gestion est source des multiples
erreurs et difficultés entre autres :
- La difficulté due à l'élaboration d'un
certain nombre des documents nécessitant le remplissage d'un certain
nombre de case tout en maintenant le texte statique ;
- Le retard dans l'expédition d'un nombre de rapports
ou autres documents facile à trouver ;
- Le conflit engendré pour la non retrouvaille facile
d'un certain nombre des données ou informations relatives à un
agent ;
- Manque de reproduction d'un document ;
- C'est un système fatiguant ce qui fait que lorsque le
travail est volumineux on ne s'en occupe plus et ces travaux restent en
souffrance comme conséquence ;
- En cas d'erreur, il faut reprendre la dactylographie ou soit
utiliser l'encre correctrice ;
- Consommation abusive de ruban et de carbones ;
- Manque de conservation de données car cette
dernière constitue la majeure difficulté pour le système
manuel ;
- L'incertitude du moins l'imprécision dans les
résultats trouvés ;
- Mauvaise qualité de l'information produite
manuellement c'est-à-dire ces informations ne sont pas propres, claires
et parfois lisibles et visibles également plusieurs documents se coupent
ou se déchirent en petit morceau après avoir passé
beaucoup d'années dans les armoires ou étagères qui du
reste sont mal construits par le fait de les toucher et les remettre chaque
fois dans leur emplacement.
Les tâches ci-haut citées
exécutées de façon manuellement causent beaucoup des
problèmes dans la mesure où il est sujet non seulement de fatigue
mentale et physique, la perte du temps, le caractère archaïque
aussi et surtout l'encombrement des bureaux par des documents mal entretenus.
Tout cela amène ces services à la lourdeur, aux
difficultés de la fiabilité d'efficacité et même
d'efficience et qui prédispose l'organisation administrative aux charges
très élevées aux outils considérables en exposition
des erreurs graves.
2.4 COMPARAISON ENTRE LE SYSTEME INFORMATIQUE ET LE
SYSTEME MANUEL
Est-il vrai que le système informatique offre
d'énormes avantages en matière de traitement automatique de
données ce qui n'est pas complètement le cas pour le
système manuel. Le système informatique est devenu de nos jours
le plus jeune dans la mesure où l'ordinateur tend à remplacer le
système manuel qui du reste est source de beaucoup des
problèmes.
Néanmoins l'utilisation du système manuel
n'est pas du tout à rejeter du fait que tous les services n'ont pas
suffisamment de moyens pour s'en approprier des ordinateurs. Ainsi, avant
l'avènement de nouvelles technologies en général et celle
de l'informatique en particulier ; les services servaient du
système manuel bien entretenu.
Il est sérieux de rappeler que l'utilisation du
système manuel à l'époque coloniale et celle d'aujourd'hui
est très différente, car pendant l'époque coloniale
c'est-à-dire avant l' avènement des nouvelles technologies de
l'informatique, on utilisait dans presque tous les services des armoires et des
étagères modernes qui servaient de manière satisfaisante
à la bonne conservation des documents et grâce à ces
derniers les documents y passer plus des temps sans subir une moindre
détérioration ce qui n'est pas le cas aujourd'hui dans beaucoup
des services que ce soient publics ou privés, on sent une mauvaise
conservation de leurs documents.
Il va de soi que l'utilisation des ordinateurs
présente de conséquences positives et négatives car toute
oeuvre humaine ne manque jamais d'imperfection. De toutes les façons
l'utilisation du système manuel dans les services contenant des
étagères et armoires bien fabriqués qui remplissent toutes
les normes permettant une meilleure protection de certaines données si
bien que ce genre d'armoire ou étagères permettent de conserver
les documents pendants longtemps puisque le cancrelat et la poussière ne
peuvent en aucun cas y pénétrer ; c'est lorsque les armoires
ou étagères ne sont pas bien construits que ca peut facilement
entrainer la détérioration de certains documents en laissant
passer par exemple la poussière et les cancrelats et d'autres
éléments nuisibles aux documents.
2.5 DIFFERENCE ENTRE ORDINATEUR ET LES AUTRES MACHINES
(MACHINE A ECRIRE)
D'aucun pense que toute machine a les mêmes
caractéristiques que l'ordinateur et pourtant cette croyance est fausse.
Toute fois, pour contourner à cette ignorance de plus des gens, compris
ses avantages se référant à ce point l'ordinateur
étant une machine de traitement automatique de données
grâce aux logiciels qui sont installés est loin de confondre
à d'autres machines qui du reste ne peuvent pas traiter les
données sous forme binaire.
Est-il vrai que l'ordinateur est une machine
différente des autres machines dans la mesure où l'ordinateur
traite les données sous formes binaire donc en utilisant son langage qui
est 0 et 1. Par contre d'autres machines n'ont pas cette caractéristique
de pouvoir traiter les informations automatiques. Un autre
élément à placer dans ce registre ce que beaucoup des
machines sont mécaniques c'est-à-dire ces dernières ne
sont dotées d'aucun automatisme.
Par ailleurs, comme leur nom le souligne, bien ces machines
ont été construites de manière purement mécanique
sans aucune technicité efficace ou meilleure. L'ordinateur transforme
les données sous forme binaire cela signifie que toutes les
données que l'utilisateur entrera dans sa machine ne seront pas
traitées dans son langage que lui peut le croire ; par contre il le
fera dans son langage binaire donc il va le transformer dans son langage qu'il
comprend mieux. Voila en gros la grande différence qui existe entre la
machine qu'on appelle ordinateur et les autres catégories de machines
à l'occurrence de la machine à écrire.
2.5.1 MACHINE A ECRIRE
La machine à écrire est purement
mécanique ou électromécanique dispositifs avec un ensemble
de « clefs » cela une fois serré, cause
caractères être imprimé sur un milieu les outils
indispensables dans des locaux commerciaux et pour beaucoup d'autres
professionnels vers la fin des années 80 unités de traitement de
texte applications dessus pc avait en grande partie remplacé, charge
précédemment accompli avec des machines à
écrire.
Les machines à écrire cependant restent
populaires dans le monde envoie de développement et parmi certains
marchés de place.
2.5.2 BREVE HISTORIQUE DE LA MACHINE A ECRIRE
Aucune personne ou nation ne peut être
créditée de l'invention de la machine à écrire.
Comme avec ampoule, automobile, téléphone et
télégraphe un certain nombre de personnes ont contribué
les perspicacités et les inventions qui ont par la suite eu comme
conséquence les instruments commercialement réussis. En fait, les
historiens e ont estimé qu'une certaine forme de machine à
écrire a été inventée 52 fois comme bricoleurs
jugés pour proposer une conception réalisable.
En 1724, Moulin D'henry a obtenu un brevet en
Grande-Bretagne pour une machine qui, du brevet, semble avoir été
semblable à une machine à écrire mais rien plus loin n'est
connu. D'autres premiers réalisateurs des machines de dactylographie
incluent pellogrino Turré, qui a également inventé papier
ordinateurCarbonne. Beaucoup de ces derniers de premières
machines ; y compris turré, ont été
développé pour permettre à l'aveugle d'écrire.t
En 1829, William Austin Burt a fait breveter une machine
appelée « typographe » comme beauicoup
d'autre de premières machines, il est parfois
énuméré comme « première machine à
écrire » ; musée de la science (londrès)
décrit simplement comme « premier mécanisme
d'écriture dont l'invention a été
documentée ; » mais égal de Turri est bien
connue. La première machine à écrire à être
commercialement réussie a été inventée en 1867
près Christopher sholes, carlos Glidden et Ramuel W . soule dans
MIliwaukee, le wisconsin . entre Peter 1864 et 1867 Mutterhifer, un charpentier
du Tyrol du sud ( puis Autriche ) a développé plusieurs
modèles d'une machine à écrire et d'un prototype
entièrement de fonctionnement en 1867.5(*)
2.5.3 LA NUANCE ENTRE LE CLAVIER D'UN ORDINATEUR ET CELUI
DE LA MACHINE A ECRIRE
2.5.3.1 le clavier d'un ordinateur
Le clavier d'un ordinateur ressemble à un clavier de
machine à écrire à la différence qu'il se divise en
parties (pour les claviers dits entendus) et qu'il comporte certaines touches
entre autres : les touches alphanumériques, numériques, de
fonction, spéciales, direction et complémentaires. Il faut dire
que le clavier d'un ordinateur est électronique donc ce dernier
transforme les données en binaire c'est-à-dire lorsqu'on appui
sur une touche la machine déguise la lettre écrit dans son
langage.
Le clavier d'un ordinateur est plus rapide selon que
l'utilisateur en a indiqué la vitesse de sorte qu'en appuyant sur une
touche et cette dernière s'exécute rapidement ; on l'appelle
périphérique d'entrée qui le plus utilisé des
autres périphérique car c'est sur ce dernier que tous les textes
sont saisis donc ça offre une facilité d'écrire. Il sied
de signaler que le clavier de l'ordinateur est connecté à
l'unité centrale moyennant un câble ce qui n'est pas le cas d'un
clavier de la machine à écrire. En somme le clavier d'un
ordinateur est électronique.
2.5.3.2 le clavier de la machine à
écrire
Le clavier d'une machine à écrire est
éclectique c'est-à-dire il ne transmet pas le code binaire et ce
dernier n'a pas toutes les composantes que celles d'un clavier de l'ordinateur
en ce sens que sur le clavier de la machine à écrire, on observe
l'absence de certaines touches comme les touches de direction, de fonction,
complémentaires, numériques. Cependant l'appui sur l'une des
touches exige une force de la main ; c'est clavier totalement
mécanique et exige de prudence lors de son utilisation.
En claire, s'agissant de l'élément de
différence entre ces deux claviers, il faut tout de même signifier
que le clavier de la machine à écrire ne transmet pas le code
ASCII c'est cet élément qui constitue une véritable
différence de ces deux claviers6(*).
2.5.3.3 JARGON INFORMATIQUE
Plusieurs mots du « âge » de
machine à écrire » ont survécu dans l'ère
de PC. Les exemples incluent :
· Copie au carbone-maintenant sous la forme
abrégée « CC »indiquant des copies de
email messages (sans papier carbone impliqué, au moins pas
jusqu'à la liste imprimée) ;
· Curseur-un marqueur indiquait où le prochain
caractère sera imprimé ;
· Retour de chariot ( CR) indiqs rentuant une fin de
ligne et de retour à la première colonne du texte (et sur quelque
plateforme d'ordinateur, avançant à la prochaine ligne)
· Retour à la ligne (LF)
aka « caractère NL » se tenant pour se
déplacer curseur à la prochaine ligne de sur-écran du
texte dans un document d'unité de traitement de texte ( et sur les
listes imprimées certaines du document )
· Espacement arrière-une frappe qui a
déplacé le curseur vers l'arrière une position ( sur une
platine physique, c'est l'opposé exact de la clef de l'espace), afin
d'overtyping un caractère. Ceci pourrait être pour la combinaison
des caractères ( par exemple une apostrophe, un espacement
arrière, et une période font une remarque d'exclamation) ou pour
la correction comme avec la bande corrigeante qui s'est
développée plus tard ;
· Découpage et déplacement-prenant le
texte, une table une table ou une image et la coller dans un document ;
à l'origine utilisé quand de tels documents composés ont
été créé en utilisant le manuel plâte vers le
haut technique ;
· Téléscripteur, abréviation
téléimprimeur, est employé de dans Unix-comme les
logiciels d'exploitation pour indiquer une « borne »
donnée ;
· Décalage-aujourd'hui étant une touche de
fonction simple pour faire les lettres majuscules, différents symboles
et la chose, mais dans l'âge des machines à écrire il a
signifié déclarer littéralement le chariot d'impression
pour permettre un timbre différent (tel qu'un D au lieu d'un d) à
la pression dans le ruban et pour imprimer à une page.
« Signature » individuelle ou empreinte
digitale permettant à un document tapé à la machine
d'être dépité en arrière à la machine
à écrire il a été produit desserra. Dans bloc
oriental, machines à écrire (ainsi que presses, copiez les
machines, et plus tard imprimeurs d'ordinateur) étaient une technologie
commandée, avec police secrète responsable des dossiers de
maintien des machines à écrire et de leurs
propriétaires7(*).
2.5.3.4 LA MISE EN MARCHE DE L'INFORMATIQUE DE GESTION
Cette mise en marche du système informatique
répond à des modalités spécifiques et de
manières tout à fait différentes de celles de
l'organisation habituelle. Cependant elle est à la base de
difficultés propres qui fournissent la dernière limite au champ
de l'informatique. Les performances de l'ordinateur : rapidité
à prendre connaissance des données (un million, et plus, de
caractères par minute), et rapidité de calcul (son temps
d'exécution, au moins dans un certain domaine, ne ressent pas la
complexité des traitements), lui permettent de prendre part à un
grand nombre de procédures représentant une partie
prépondérante du réseau général de
communication et l'utilisation fait son mieux en vue d'exploiter cette
possibilité où il trouve son intérêt financier
puisque la partie fondamentale de son coût est de frais fixes.
Il a tendance à aller vers une organisation dans la
quelle la plupart des circuits-touchent un noeud singulier, la machine, qui
devient le coeur du réseau informatique. Telle est la
caractéristique primordiale de l'organisation fondée sur une
machine électron électronique : la grande partie des
procédures utilisent l'ensemble électronique et celui-ci devient
le centre du réseau d'informatique. De là surviennent les
problèmes déjà mentionnés de commerce entre hommes
et machine une fois le régime permanent atteint, en même temps que
les difficultés de l'action qui y produit.
Egalement, l'informatique tend à considérer les
procédures comme les divers aspects d'un travail unique concernant la
totalité de l'entreprise. Le moyen efficace d'atténuer moins
encore de pallier ce traumatisme provoqué par la mise sur pied d'un
système informatique considérait à augmenter l'action
technique avec une action de psychologie et de pédagogie (formation,
encadrement, recyclage, information, propagande) tend à améliorer
à bien les postes de travail avec le concours des
intéressés eux-mêmes et à préparer chacun
à le tenir avec confiance et facilité. Aux écueils
psychologiques de la réalisation s'ajoutent des écueils
techniques dont il convient de se faire une idée. Un homme ne suffit pas
à imaginer du moins à songer à l'organisation, un travail
en équipe devrait être entrepris en vue de résoudre aux
différents problèmes d'inadaptation. Le responsable ne plus le
seul preneur de décision, il jouit du leadership démocratique car
il devient l'animateur de cette équipe entre les membres de la quelle il
partage ce travail. Cette transformation d'une activité individuelle en
activité du groupe serait d'une importance majeure à assigner
à l'informatique une place singulière dans l'ensemble des
techniques de l'organisation et à suggérer la prudence au moment
de transformer en informaticien un organisateur chevronné.
La réalisation en informatique apparaît comme
une action d'ampleur à la poursuite d'objectifs dont il faut mesurer
correctement l'ambition par rapport à la compétence du personnel
de l'entreprise à subir telle ou telle dose de transformation, aussi
bien qu'à la capacité des membres du bureau d'étude
à réaliser des promesses techniques et à les composer avec
les autres facteurs.
2.6 LE CHAMP DE L'INFORMATIQUE DANS LES SERVICES
L'informatique de gestion est une forme de l'organisation
qui se propose l'adaptation réciproque d'un système
électronique et d'une entreprise, en partie ou en totalité. Par
entreprise, nous entendons les rassemblements juridiquement défini et
hiérarchiquement structuré de moyens humains, matériels et
financiers destinés à produire et à écouler des
biens ou des services comme il advient toujours lorsqu'un moyen puissant
apparaît dans le mode économique, les autoroutes pour les
transports, usines nucléaires pour la production d'énergie
électrique, ou l'asservissement pour la conduite des machines, la plus
grande partie du système ancien ignore l'innovation, ou on ressent
qu'indirectement les effets, et elle conserve ses lois de fonctionnement
pendant qu'une autre partie subit un changement plus ou moins profond en vertu
des principes de concepts nouveaux8(*).
2.7 UTILISATION DE L'INFORMATIQUE
a. Fonction de base du traitement de l'information
L'analyse de manipulations effectuées sur une
information reçue afin de son exploitation, notamment par un groupe
organisé permet d'isoler quatre fonctions de base :
- L'acquisition c'est-à-dire la prise de connaissance
de l'information ;
- La mémorisation, nécessaire à la
conservation de données avant, pendant et après le
traitement ;
- Le traitement proprement dit ;
- La représentation des résultats obtenus.
Le travail administratif des organisations (entreprise ou
administration) consiste à gérer, à traiter les
informations, et revient donc à une combinaison complexe de quatre
fonctions appliquées à des cas particuliers. Le travail d'analyse
consiste en partie à déterminer les
« formules » traduisant ces combinaisons et à les
exprimer sous forme adaptée, qui est d'ailleurs rarement
mathématique.
b. Principe de traitement des informations
En poursuivant notre analyse, un traitement particulier
d'information, ayant sa propre finalité, peut être
intégré dans un schéma facilement
généralisable.
SORTIES
TRAITEMENT
ENTREES
L'analyse informatique doit définir avec
précision chaque élément de ce schéma et en
particulier, les règles qui permettront d'écrire les logiciels,
grâce des instructions détaillées dirigeant le
fonctionnement de l'ordinateur pour passer des données aux
résultats désirés.
2.8 ORGANISATION ET INFORMATION
Tout ensemble économique organisé fonctionne
suite à l'information dont il dispose et qu'il fait circuler.
L'information est utile à l'organisation pour les prises de
décisions, mais également pour la réalisation de
tâches d'exécution et pour la coordination de l'ensemble,
c'est-à-dire la synchronisation de divers actes à accomplir. Sa
manipulation représente le travail administratif qui s
Parmi les rôles d'un système d'informatique,
citons ceux qui suivent :
Ø la saisie des informations nécessaires
c'est-à-dire leur sélection parmi les informations de base
parvenant à l'organisation ou y apparaissant ; leur contrôle
en vue d'éviter et de corriger les erreurs, puis leur
mémorisation sur un support de saisie exploitable par ordinateur en
attendant leur traitement ;
Ø la circulation des informations entre les
différentes stations de traitement où elles seront utiles, selon
des circuits pouvant faire l'objet de procédures bien définies
lorsqu'ils sont régulièrement utilisés ;
Ø la mémorisation des informations
réutilisables d'un traitement à l'autre9(*).
2.9 ELEMENTS D'ORGANISATION ADMINISTRATIVE
a. L'organisation administrative
Pour être efficace, le travail administratif doit
être organisé et optimisé ; c'est le rôle de
l'organisation administrative, activité ayant ses propres
méthodes et ses propres spécialités ; les
organisateurs, qui ont un rôle de conseil auprès des directions,
un organisateur dispose de nombreux points des directions et de nombreux points
d'information, ce sont, en résumant à l'extrême ;
- La structuration de l'activité de
l'organisation : sur un plan général il s'agit de la
définition d'un organigramme faisant apparaitra par exemple direction,
division et services d'une entreprise ;
A un niveau plus détaillé, l'organisation
définira les stations élémentaires de traitements de
l'information ou poste de travail.
- La simplification des processus administratifs et
différentes procédures de traitement et de circulation des
informations qu'ils font intervenir ;
- L'adéquation entre les moyens à disponibiliser
et le travail à fournir sur le plan humain ou technique sur ce dernier
point, l'informatique prend de plus en plus d'importance dans l'arsenal de
l'organisateur face à un problème.
Le domaine de compétence de ce dernier tend donc
naturellement à recouvrir en partie celui de l'informatique.
Schématiquement, pour aboutir dans des détails raisonnables
à une bonne solution, adaptée au cas qui lui est soumis,
l'organisateur devra suivre une démarche progressive :
v Examen d'ensemble, `'survol `' de l'activité à
organiser et sélection d'un ou plusieurs domaines d'études
prioritaires ;
v Observation critique détaillée de
l'organisation actuelle de ces domaines ;
v Conception d'un ou plusieurs systèmes ou
rénovation de l'ancien ;
v Mise en oeuvre de la solution retenue.
Nous constaterons par la suite que cette démarche est
très identique à celle de l'analyse informatique de même
que l'organisateur a recours à l'informatique de gestion emprunte
certaines méthodes des organisateurs.
b. Organisation administrative et informatique
L'interpénétration de ces deux
activités ne doit pas revêtir l'aspect d'un conflit :
l'organisateur n'a pas l'attribution à établir des
organigrammes de programmation ni l'informaticien à une telle
particulière sur l'informatique, l'organisation administrative jouit
cependant d'une présence certaine : Discipline plus ancienne, elle
dispose de techniques, de méthodes d'analyser des travaux administratifs
que l'informaticien sera amené à utiliser ; donc à
connaître.
Ayant une vue d'ensemble sur le fonctionnement d'une
organisation, elle devra intervenir avant les études informatiques et
avant l'utilisation des ordinateurs dans le cas de projets d'importants :
l'organisation doit précéder l'automatisation ou l'automatisation
de mauvaises procédures ne peut donner que de mauvais
résultats.
c. Domaine de l'informatique
Le terme informe regorge en réalité de
diverses activités ayant schématiquement comme objectifs la
construction de2 outils complémentaires à des nouveaux
différents :
- L'outil ordinateur : produit par des travaux relevant
de la mathématique ou de la logique et par des recherches technologiques
ou méthodologiques visant à réaliser et à
améliorer les matériels et les programmes de base des
ordinateurs ;
- L'outil informatique, résultat d'études et de
réalisation d'informatique appliqué afin d'utiliser l'outil
précédant pour résoudre les problèmes
spécifiques à une activité humaine.
Les opérations de l'informatique sont multiples et
chaque domaine d'application tend à développe des méthodes
bien adaptées à la construction de ses outils
informatiques : on parle aussi d'informatique médicale, bancaire,
individuelle, scientifique de gestion,...
Il serait indispensable de vouloir unifier des choses si
différentes, mais il est essentiel de considérer les
identités dues à la similitude de l'outil de base :
l'ordinateur, et à l'environnement humain au quel il
s'intègre10(*).
d. L'informatique et la formation
Il ne s'agit pas simplement de disposer de ces
matériels informatiques sans une connaissance de leur utilisation de ce
fait une formation préalable nécessaire est d'importance
capitale. L'utilisation des ordinateurs implique en 1er lieu une
maitrise sans quoi quelle soit leur présence dans des bureaux ne peut
fonctionner. L'informatique est devenu une discipline à part
entière comportant son objet, ses méthodes et techniques ;
il servirait a rien d'acheter les ordinateurs et les intègrent dans les
services et par carence des informaticiens ou personnels formés pour
cette fin, vous ne l'utilisez pas. En d'autres termes avant d'acheter un
ordinateur en vue de son utilisation ; il faut s'assurer au
préalable de combien de personnes seront à même d'utiliser
cet ordinateur. A titre d'exemple un appareil scanner identifiant les
problèmes mentaux était commandé par l'hôpital
général de référence de Bukavu curieusement il n'y
avait personne de tous ces médecins pour l'utiliser face à cette
situation un médecin était parti suivre une formation en
informatique en vue de son utilisation.
Le développement de l'informatique suscite
d'énormes besoins de formation ; de formation professionnelle pour
informaticiens, ce qui tombe sous le sens puisque l'informatique recouvre un
certain nombre de techniques qu'il faut apprendre pour qui veut les pratiquer,
mais aussi d'initiation pour tous ceux que leur activité place dans un
circuit d'information où intervient l'ordinateur. Ce besoin
d'information pour les non informaticiens est un phénomène
nouveau par son ampleur comme pour sa nature. Par son ascenseur, il touche de
dizaines de milliers de personnes dirigeant d'entreprises, cadres, agents de
maitrise et même ouvriers et employés. Par sa nature l'initiation
doit apporter un complément de connaissance à des gens qui
exercent déjà une activité professionnelle, pour leur
permettre de comprendre l'influence qui est le développement que
l'informatique aura sur elle et en quoi leur tâche quotidienne pourra
être affectée11(*).
e. Le domaine d'application de l'informatique
Ayant vu les jours par son objet, ses méthodes et
technique, l'informatique par ses fonctions multiples se retrouve dans tous les
domaines car son besoin dépasse largement les bornes. L'informatique
est utilisée dans l'armée pour la fabrication de bombes et autres
éléments très nécessaire pour l'armée. Cette
nouvelle discipline est sans doute utilisée dans les domaines
comme : le commerce, l'enseignement (école), médecine,
industrie, Réalisant dans chaque domaine de tâches
différentes donc selon le besoin de chaque domaine, dans tous ces
domaines, l'informatique exerce une influence plus considérable et
parfois son besoin son impose.
f. L'ordinateur et le chômage
L'ordinateur est-il un progrès ? L'informatique
est-elle un progrès ? Si oui de quelle manière ?
Il est évident que certains progrès, comme les
explosifs nucléaires, peuvent constituer de dangers. Quelle condition
doit donc remplir une innovation technique pour entrainer un
progrès ?
Pour l'informatique, on peut présumer que tel aspect
négatif va devenir positif et vice versa il ya, deux catégories
des progrès possible : d'un coté, celui qui se traduit
simplement dans la société par une économie de temps,
c'est le cas le plus souvent de l'organisation du travail qui permet de faire
les mêmes réalisations en moins de temps. De l'autre coté
celui qui augmente la quantité de travail humain mais permet d'obtenir
des produits nouveaux. Il ya aussi de progrès qui n'apportent ni de gain
de temps, ni avantages nouveaux mais qui permettent de travailler d'une
manière moins fatigante, sans accident, de façon moins
monotone.
Les ordinateurs doivent révolutionner notre monde
à brève échéance. Car leur puissance et leur
rapidité ne cessent de croitre. Dès aujourd'hui, beaucoup se
préoccupent de répercussions possibles de cette évolution
sur les structures et la configuration qui sont fort diverses : des
syndicalistes souhaiteraient notamment que le développement de
l'informatique se traduise à salaire égal, par une diminution de
temps de travail. Les chefs d'entreprises, quant à eux demeurent
perplexes et insatisfaits ; les ordinateurs d'ordinateurs n'ont pas
encore tous constaté une économie de main d'oeuvre
appréciable sans présumer de ces espoirs ou de ces incertitudes,
nous nous attachons plus directement aux réalités telles qu'elles
sont appréhendées aujourd'hui les risques du chômage
varient selon les utilisateurs de l'ordinaire.
En réalité, trois types de situations bien
différentes se présentent :
Ø Le traitement d'une masse importante d'information
(travaux bancaires, assurances, qui lancement,...), la mise sur ordinateur
risque effectivement de supprimer dans de fortes proportions le personnel du
type « employé aux écritures » ou
dactylo ;
Ø Le traitement de données de même nature
mais en quantité moindre (comptabilité analytique par
exemple) , les délais, la sécurité des
opérations sont améliorées mais on ne peut guère
parler d'économie de personnel ;
Ø Le traitement de travaux complexes (gestion
rationnelle des stocks, optimisation diverse). L'ordinateur permet de les
aborder scientifiquement, leur préparation et leur exploitation peuvent
être génératrice d'emplois12(*).
g. Le domaine de l'informatique et le domaine de
l'organisation
L'organisation, même si elle ne tend pas à la
mécanisation, s'efforce de préciser les trois termes du
schéma (données-règles du jeu-résultats) à
tous les moments du réseau et exploit pour y faire parvenir toutes les
ressources des techniques de gestion. De la règle du jeu ne passe pas
être définie ou qu'ils soient dénombrables, ou
erronées, contradictoires, un poste des décisions est
nécessaire. Son titulaire sera d'autant plus privé dans la
hiérarchie que le jugement requis est plus complexe et que les
conséquences d'une erreur sont plus grave mais si les données et
la règle du jeu explicitent clairement, un simple poste
d'exécution suffit. L'organisation atteint alors sa pleine expression en
remplaçant les milles réflexions individuelles et subjectives aux
quelles donne lieu toute une catégorie de situation par la
réflexion unique, faite une fois pour toutes, à la fois assez
précise pour ne point passer place à l'interprétation et
assez générale pour commander un grand nombre de situation.
Grâce à cette mutation de certaines
activités « nobles » en
activité »triviales qui est un de ses principaux objectifs,
l'organisation concerne l'acte de décision en un certain nombre de
sommets bien définis et, partout ailleurs sur le réseau,
substitue une exécution règlementée à des
décisions improvisées. Toutes les activités de
l'entreprise pourraient illustrer cette démarche dans son acceptation la
plus haute.
Sur le plan des principes, on le voit, le critère de
certitude pourrait commander, aussi bien que l'informatique, la conduite de
l'organisation lorsqu'elle tend renouveler jusqu'au bout pour remplacer la
décision par l'exécution c'est-à-dire l'initiative
individuelle par la soumission à un règlement. Mais c'est
à ce prix d'or que les moyens « classiques »
conservent et entretiennent l'informatique, et c'est dans des conditions de
coût encore plus défavorables que l'esprit humain l'exploite et
lui fait subir des traitements quelques peut complexe.
L'organisation se trouve en permanence en dilemme entre deux
exigences difficilement compatibles, son désir de rigueur et coût
du système pour mettre en oeuvre. Apte comme l'informatique, à
concevoir un modèle économique avancé, il se voit
entravé dans la réalisation par le souci de
rentabilité13(*).
Pour réduire les coûts d'exécution, il
simplifie le modèle et l'éloigne de l'optimum, il néglige
les paramètres d'influence secondaires et restreint le champ de
validité, sans se faire beaucoup d'illusions sur l'aptitude des
exploitants à percevoir le moment où l'on soit de ce champ et
à choisir alors un autre modèle mieux adapté aux
circonstances.
Quelques fois, les amendements ne suffisent pas et
l'organisateur renonce au schéma exact, par ce que, s'il a su
évaluer son coût probable, il ne peut garantir avec la même
précision la valeur chiffrée des avantages à atteindre.
Les systèmes électroniques lisent vite, à une cadence
sans commune mesure avec celle des hommes ; plusieurs millions de
caractères à la limité, contre un maximum de trois milles
pour la lecture humaine. Ils traitent les informations à une cadence
équivalente creusant d'avantage l'écart avec l'homme, dont le
rendement faiblit quand il s'agit de combiner et non pas seulement de prendre
connaissance, ils excellent donc à appréhender un grand nombre de
données et à leur appliquer des transformations d'une
complexité pratiquement sans limites. Ces aptitudes traduisent une des
caractéristiques économiques principales des systèmes
électroniques, à oublier les coûts de fonctionnement
propres au nouveau système.
L'organisateur quand il se fait utilisateur de l'ordinateur
recule les limités techniques et élargit sa
liberté ; le critère de certitude lui suffit pour concevoir
dans ses grandes lignes le nouveau système. L'informatique bascule dans
l'administration routinière un bon nombre d'activités
considérés jusqu'alors comme appartenant au domaine
réservé de la direction, pour cette raison, on parle de
« Gestion automatisée » et l'on commet un abus de
langage. Car s'il est naturel de confondre la gestion avec l'ensemble des
postes où l'on prend des décisions originales, on ne saurait y
inclure la machine. Elle ne prend pas de décision, elle ne fait que se
soumettre à une décision unique, antérieur à son
activité et consistant à arrêter la règle de jeu que
dans des circonstances données, elle doit appliquer à un ensemble
précis de données. Tout au plus peut-on dire que, comme le fait
l'organisation dans les circonstances favorables, on a remplacé par une
décision unique, à moyen ou à long terme toute une
catégorie des décisions courantes que les responsables,
autrement, prendraient au jour le jour, au gré des circonstances. L'acte
de gestion n'appartient pas à la machine qui applique la règle,
mais à l'autorité qui l'a institué. Que tous les postes
intéressés au circuit d'une procédure soient justifiables
d'un schéma déterministe, l'ordinateur la prend tout
entière en charge et la main d'oeuvre se borne à alimenter les
données à cette restriction près, la mécanisation
réduit le circuit à un point. Mais en un sommet du circuit
où une décision réelle s'impose malgré toutes les
ressources modernes des théories de l'entreprise, l'homme devient
nécessaire. Alors l'ordinateur ne prend pas en charge les
opérations, il ya participe de façon épisodique pour
réparer le travail des hommes et l'exploiter. Le circuit
réapparait, entremêlant les interventions de la main d'oeuvre et
celles de la machine.
Entre ces deux éléments de production, il faut
aménager les échanges à faire délicate qui oppose
au spécialiste de l'informatique de sérieuses difficultés,
comme au montagnard le franchissement de ramages entre glace et
rocher .on entrevoit l'étendue du domaine de l'informatique,
lorsqu'on s'en tien au plan théorique mais les considérations
pratiques, économiques et humaines, le rognent pour réduire au
champ réel dans une entreprise14(*).
CHAP.III.PRESENTATION ET DEPOUILLEMENT DES RESULTATS
RECHERCHERCHES.
3.1 Présentation du questionnaire d'enquête et
interprétation de résultat
Avant de procéder à l'analyse statique des
informations tout scientifique doit d'abord procéder par la
récolte de données avant toute interprétation.
Pour mener en bonne et du forme recherches, nous avons
été contraint d'élaborer un questionnaire d'enquête
qui a permis de se rendre sur le terrain et visiter certains services faisant
partie de la commune d'ibanda afin de palper du doigt les
réalités de conséquences confrontées par certains
services qui n'utilisent pas les ordinateurs en dépend des autres
machines mécaniques.
Nous nous sommes démener tant bien que mal, mais
toutes fois, nos recherches ne pouvaient se réaliser sans lacunes si
bien que certains services ont refusé de nous accueillir avec comme
motif que leur secret ne peut pas être divulgué mois encore mis
à la portée du public. D'autres par contre nous ont soumis aux
modalités aux quelles nous ne pouvons pas barrer la route avant de
répondre à notre questionnaire visait d'autres prétentions
que celle des recherches scientifiques. D'autres en claire nous ont reçu
et ont répondu valablement à notre questionnaire sachant que ce
dernier ne visait rien d'autre que des recherches scientifiques qui du reste
est un travail d'intérêt purement scientifique.
Compte tenu de ce qui précède, il est
impérieux de faire constater que nos enquêtes ont
été orientées dans les services de la commune d'ibanda
pour la simple raison que non seulement 85% de services viables y ont pris de
l'ampleur mais également en vertu de leur
compétitivité.
Autre élément à placer dans ce registre
est que la connaissance de la dénomination de la nature de services,
notre enquête visait les informations relatives à l'usage de la
conséquence de l'absence de l'outil informatique dans l'organisation des
services administratifs à son sein afin d'en tirer l'importance et la
nécessité de la disposition d'un certain nombre d'ordinateurs et
de savoir exactement son utilisation.
QUESTIONNAIRE D'ENQUETE
En voici donc la liste de notre questionnaire
d'enquête qui nous a facilité la récolte des
différentes données ayant renforcé l'ossature de nos
réflexions et analyse critique pour nous mener à nos
résultats :
1. Adresse et dénomination du service
consulté ;
2. Quelle est la nature de ces services est-il un service
étatique ou paraétatique ;
3. Comment sont organisés vos services de
secrétariat ;
4. Disposez-vous d'un ou plusieurs services informatiques dans
votre organisation si oui, combien ?
5. Quel est le type des machines que vous utilisez ?
6. Sont-elles en quel état ;
7. L'utilisation de l'ordinateur simplifie-t-elle les travaux
dans votre organisation ? si oui, justifiez votre réponse ;
8. L'utilisation de l'ordinateur présente-t-elle des
conséquences ? si oui les quelles
9. Existe-t-il de bureaux qui sont dépourvus
d'ordinateurs dans votre service ? si oui, le quel
10. Pensez-vous que les services qui utilisent l'ordinateur
sont mieux placés par rapport à ceux qui ne l'utilisent
pas ? si oui, pourquoi
11. L'usage de l'ordinateur intervient-il dans la gestion de
l'ensemble des activités de votre service ?
12. Le personnel de votre bureau est-il géré par
un service informatique ?
13. Quels sont les agents ayant la connaissance en
informatique dans votre personnel si oui quel est leur niveau ?
- Licencié
- Gradué
- Spécialisation
14. Avez-vous des suggestions par rapport à la place
des ordinateurs dans les services publics.
C'est ainsi que nous allons vous présenter les
résultats de notre enquête sous forme de tableau.
N°
|
DENOMINATION DU SERVICE
|
COMMUNE
|
ACTIVITE
|
1
|
HOTEL MONT KAHUZI
|
|
|
2
|
DIVISION DU BUDGET
|
|
|
3
|
ZAIN/BUKAVU
|
|
|
4
|
PARQUET
|
|
|
5
|
DIVISION DU TOURISME
|
|
|
6
|
DIVISION PROV. D'AGRICULTURE ELEVAGE ET PECHE
|
|
|
7
|
MINISTERE PROV.DE L'AGRICULTIRE
|
IBANDA
|
|
8
|
DIVISION DU PLAN
|
IBANDA
|
|
9
|
APRODEPED
|
IBANDA
|
|
10
|
BCDC
|
IBANDA
|
|
11
|
DIVISION TRANSPORT ET COMM.
|
IBANDA
|
|
12
|
DIVISION HYDRO ET ENERGIE
|
IBANDA
|
|
13
|
DIVISION DE JUSTICE
|
IBANDA
|
|
14
|
DIVISION DU TRAVAIL
|
IBANDA
|
|
15
|
PLD
|
IBANDA
|
|
16
|
DIVICULTARTS
|
IBANDA
|
|
17
|
SOUS DIV. URBAINE DE L'EPS
|
IBANDA
|
|
18
|
AGENCE BON VOYAGE
|
IBANDA
|
|
19
|
MAIRIE
|
IBANDA
|
|
20
|
VSTV
|
IBANDA
|
|
Tableau N°1 présentation
des services administratifs de la commune d'iband
Tableau N°2 : présentation
de service étatique consulté dans la commune d'ibanda
N°
|
DENOMINATION
|
COMMUNE
|
1
|
DIV. DU BUDGET AFFECTE A LA COMMUNE
|
IBANDA
|
2
|
DIV.TOURISME
|
IBANDA
|
3
|
PARQUET
|
IBANDA
|
4
|
DIVISION PROV. AGRICULTURE
|
IBANDA
|
5
|
MINISTERE PROV.DE L'AGR
|
IBANDA
|
6
|
DIVISION DU PLAN
|
IBANDA
|
7
|
DIVISION DU TRANSPORT ET COMMUNICATION
|
IBANDA
|
8
|
DIVISION DE JUSTICE
|
IBANDA
|
9
|
DIVISION DU TRAVAIL
|
IBANDA
|
10
|
DIVICULTARTS
|
IBANDA
|
11
|
SOUS DIV. URBAINE DE L'EPSP
|
IBANDA
|
12
|
MAIRIE
|
IBANDA
|
13
|
DIV.HYDRO ET ENERGIE
|
IBANDA
|
Commentaire
commune d'ibanda sont des services étatiques soit
85%.
Présentation de questions
Nous avons établit notre questionnaire que vous
trouverez à la page précédente en poursuivant les
objectifs suivants :
Tableau 3 : 4ème
question : Disposez-vous d'un ou plusieurs services informatiques
dans votre organisation ?
|
Nombre
|
%
|
Oui
|
13
|
65
|
NON
|
7
|
35
|
TOTAL
|
20%
|
100%
|
Commentaire
Ce tableau nous décrit que sur ces 20 services
administratifs consultés et qui ont répondu à notre
à notre questionnaire au moins 13 services ont acquis une technologie
d'informatique du moins un service informatique soit 65% et 7services soit 35%
n'ont toujours pas eu un service informatique. Il faut signaler que beaucoup
des services administratifs commencent à sentir la nécessite
d'utiliser les services informatiques quoi que les moyens matériels ne
sont pas toujours à leur portée.
Tableau 4 : 5ème question
quel est le type des machines que vous utilisez ? Sont-elles en
quel état
|
NOMBRE
|
%
|
Machine à écrire
|
8
|
40
|
Ordinateur PC
|
12
|
60
|
Ordinateur Macintosh
|
0
|
0
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Synthèse partielle
Ce tableau nous fait voir plus de 12 services administratifs
consultés de la commune d'ibanda soit 60% utilisent les ordinateurs au
détriment de machines à écrire et ces ordinateurs sont des
types P.C(personal computer) entendez par là ordinateur individuel
fabriqué par la société IBM aucun de ces ordinateurs
consultés n'est de type Macintosh. C'est qui témoigne que les
ordinateurs de type PC battent records sur ceux de type Macintosh qui fabrique
les ordinateurs appelés Apple. Par contre plus de 8 services soit 40%
atteints se trouvant dans la commune d'ibanda font leur travail moyennant de
machines à écrire appelées autrement de machines
mécaniques.
En somme, cette analyse montre que la quasi-totalité
de ces ordinateurs sont des types PC et des marques DELL, HP.
Tableau5 : 6ème
question sont-elles en bon état ?
|
NOMBRE
|
%
|
OUI
|
16
|
80
|
NON
|
4
|
20
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Synthèse partielle
L'analyse faite dans ce tableau montre que,
sur ces 20 services administratifs atteints, 16 services soit 80% qui
disposent des ordinateurs plus de 80% utilisent des ordinateurs qui sont encore
en bon état tandis que 20 % seulement sont des ordinateurs en mauvais
état
Tablaeau6 : 7ème
question l'utilisation de l'ordinateur simplifie-t-elles les travaux
dans votre organisation
|
NOMBRE
|
%
|
OUI
|
2O
|
1OOS
|
NON
|
0
|
0
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Synthèse partielle
Le présent tableau fait ressentir l'importance
primordiale des ordinateurs sur la rentabilité du travail. En d'autres
mots, ce tableau montre que la non utilisation des ordinateurs est source de
beaucoup des problèmes d'ordre lenteur. Cet outil simplifie les travaux
pour des éléments suivants :
- Les documents sont proprement présentés
- On peut facilement corriger un document jusqu'à sa
version finale sans problème
- La rapidité dans l'exécution des tâches
et qualité du travail sur ordinateur
- Bonne conservation des données
- La certitude ou la précision du travail fourni
Tableau 7 : 8ème question
l'utilisation de l'ordinateur présente-t-elle des
conséquences.
|
NOMBRE
|
%
|
OUI
|
17
|
85
|
NON
|
3
|
15
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Commentaire partiel
Le tableau nous montre que dans la plupart de cas,
17services soit 85% ont relève les conséquences néfastes
de l'ordinateur sur l'être humain pour de raisons suivantes :
- Le personnel agit par reflexe et oublie les notions
élémentaires d'orthographe et de calcul mental
- L'automatisme remplace l'esprit d'initiative
- Déclassement des machines mécaniques d'autant
exige la formation et le recyclage du personnel
- Exposition pendant longtemps à l'écran
- L'ordinateur affaiblit les yeux d'utilisateur
- La présence des virus peuvent endommager les
ordinateurs en détruisant nos fichiers, dossiers et autres et parfois la
complication lors de l'impression d'un document urgent.
- Lorsque les données ne sont pas enregistrées
par mégarde, l'ordinateur nous parait imprudent
- Blocage de services du par des coupures intesemptibles du
courant électriquen'
Tableau 8 : 9ème
question Existe-t-il des bureaux qui sont dépourvus
d'ordinateurs dans votre service ? Si oui le quel
|
NOMBRE
|
%
|
OUI
|
18
|
90
|
NON
|
2
|
10
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Synthèse partielle
La présente analyse trouve que, dans ce tableau la
quasi-totalité de bureaux sont dépourvus d'ordinateurs au moins
16 services soit 80% de ces services dont leurs bureaux n'ont pas
d'ordinateurs. Par contre 4 services seulement dont leurs bureaux sont tous
équipés
Tableau 9 : 10ème
question pensez-vous que les services qui utilisent les ordinateurs
sont mieux placés par rapport à ceux qui ne l'utilisent
pas ? Si ou.
|
NOMBRE
|
%
|
OUI
|
18
|
90
|
NON
|
2
|
10
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Commentaire partiel
Ce tableau fait voir que, sur le nombre de services
consultés, 18 services soit 90% ont senti que les services qui utilisent
les ordinateurs ont une longueur d'avance dans l'exécution de leurs
travaux. Par contre 2 services qui jusque là n'ont pas senti cette
avance ; ces 18 services ont justifié leur réponse pour des
raisons ci-après :
- Il ya rapidité et soins de travaux sur ordinateur
- Conservation des informations dans la mémoire de la
machine
- Ils ont beaucoup plus de facilité par rapport
à ceux qui n'utilisent pas, ça diminue au déplacement
d'ailleurs
- Quand on commet une faute de frappe, on doit raturer pour
corriger et il n'y a pas moyen de systématiser le travail
- L'ordinateur mémorise tous les travaux
effectués
- Sa rapidité sans aucune faille
- Simplification de travaux de bureau
- Ça facilite beaucoup de taches
Tableau 10 : 11ème question
l'usage de l'ordinateur intervient-il dans la gestion de l'ensemble
des activités de votre organisation ?
|
NOMBRE
|
%
|
OUI
|
5
|
25
|
NON
|
15
|
75
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Synthèse partielle
Ce tableau montre que plus de 15 services consultés
soit 75% de services dont l'usage de l'ordinateur n'intervient pas dans la
gestion de l'ensemble de leurs activités, ça montre que dans 3 ou
4 bureaux on peut y trouver un seul ordinateur ce qui ne marche pas bien dans
ces services.
Tableau 11 : 12ème
question le personnel de votre bureau est-il géré par un
service informatique ?
|
NOMBRE
|
%
|
OUI
|
4
|
20
|
NON
|
16
|
80
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Synthèse partielle
A partir de ce tableau on constate que les services
consultés de la commune d'ibanda, 80% disent non que le personnel de
leurs services ne sont pas gérés par un service informatique
tandis que 20% acceptent que certains de leur personnel sont
gérés par un service informatique.
Tableau 12 : 13ème
question quels sont les agents ayant la connaissance en informatique
dans votre organisation, si oui quel est leur niveau.
|
NOMBRE
|
%
|
Gradué
|
3
|
15
|
Licencié
|
5
|
25
|
Spécialisation
|
12
|
60
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Synthèse partielle
L'analyse faite dans ce tableau nous montre que, dans ces 20
services consultés on a remarqué que les agents ayant de notions
en informatique sont issus de la spécialisation soit 60% de ces agents
ont été dans le centre de formation. Toute fois, nous avons
rencontré un seul agent qui lui est gradué en informatique de
gestion à l'Institut Supérieur Pédagogique de
Bukavu ; par contre les autres sont soit de gradués dans d'autres
domaines soit de licenciés dans d'autres discipline un peu
éloignent de l'informatique et qui du reste ont acquis une formation
quelle que part. Donc pour clore ce dossier, il faut signifier que, beaucoup
des personnels négligent encore l'apprentissage de l'informatique faute
de matériel informatique du moins les équipements
informatiques.
Tableau 13 : 14ème question
avez-vous des suggestions par rapport à la place des
ordinateurs dans les services publics.
|
NOMBRE
|
%
|
OUI
|
17
|
85
|
NON
|
3
|
15
|
TOTAL
|
20
|
100
|
Commentaire partiel
A partir de ce tableau nous avons retenus les
réponses suivantes au cours de notre enquête :
- L'ordinateur est non seulement indispensable aujourd'hui
dans les services publics pour réaliser le travail de haute
qualité mais également gérer les données de tout
genre
- Ça leur faciliterait les tâches et leur
permettrait un bon archivage
- Tous les services publics doivent être
informatisés car, cette nouvelle technologie de l'informatique est d'une
grande ampleur et s'impose dans tous les domaines
- Il fallait que tous les bureaux soient dotés des
ordinateurs qui du reste les faciliteraient la tache du travail
- Avec la mondialisation, la place de l'ordinateur dans les
services publics à un impact positif et augmente beaucoup de chances de
succès, nous demandons au gouvernement Congolais de conjuguer les
efforts pour doter les services publics des ordinateurs qui du reste
augmenteraient la productivité des entreprises publiques
- Les services publics doivent intégrer l'outil
informatique en vue de faire face aux multiples problèmes qui
s'effectuent manuellement.
CONCLUSION
Nous voici au terme de notre travail de fin du cycle qui est
intitulé « Conséquence de la non utilisation des
ordinateurs dans les services administratifs (cas de la commune
d'ibanda) »
Ce travail a porté sur trois chapitres, hormis
l'introduction et cette conclusion.
Cette conséquence nous a permis de reconnaître et
de mettre à jour la grande importance que revêt l'utilisation des
ordinateurs. La technologie de l'informatique acquit, chaque jour de la vie de
l'homme, un indispensable, étatique et paraétatique dans les
services administratifs qui sont pourtant des initiatives publiques
dépourvues de tout esprit de lucre
Au moment actuel, la consommation des outils informatiques
dévient imposable à tous dans presque tous les domaines du
travail scientifique à tel point que le besoin de l'intégration
de la technologie moderne influe l'impératif de la vie quotidienne et
exige que tous les services utilisent désormais les ordinateurs dans les
jours avenir.
L'informatique devenant une source de la mondialisation,
offre aux services tant privés que publics des instruments efficaces,
dans la bonne gestion de leurs taches.
C'est dans cette initiative que nous avons pris soins de
nous poser les questions pour l'intégration des ordinateurs dans les
services administratifs de la commune d'ibanda.
- Que faut-il faire pour améliorer le système de
travail dans les services publics de l'Etat vu les problèmes liés
à un certains nombres d'élément dans son système de
gestion annuelle ?
- La mise en oeuvre d'un système automatisé ne
peut- t-il pas amener ces services à moderniser son système de
travail qui reste archaïque et rudimentaire ?
Les méthodes historiques, analytique, comparative
associées aux techniques documentaires et d'interview nous ont permis la
vérification de nos hypothèses, de la manière
suivante :
1. L'utilisation des ordinateurs peut-elle améliorer
ou simplifier la qualité du travail de votre service.
2. L'utilisation des armoires ou étagères
modernisés ne peut-elle pas permettre la bonne conservation de vos
documents même à l'absence des ordinateurs.
L'étude montre que la conséquence de la non
utilisation des ordinateurs est positive car l'utilisation de l'ordinateur
simplifie beaucoup les taches de leur organisation qui reste se faisait
manuellement cfr Tableau N°6. Les services qui utilisent
les ordinateurs sont mieux placés par rapport à ceux qui ne
l'utilisent pas cfr Tableau N°9. 90% de l'effectif total
des bureaux de ces services sont dépourvus des ordinateurs dans leur
service cfr Tableau N°8
Ce travail ne pouvait échapper à
l'imperfection qui est le caractère général de toute
oeuvre humaine, mais toute fois, pensons que au cours de ce travail, avons
cerné le fond du problème d'informatique évoqué
dans les services administratifs de la commune d'ibanda.
€*
* 1 Rapport annuel la commune
d'ibanda 2009
* 2 Rapport annuel de la commune
d'ibanda 2009
* 3
http://www.adsbeaute.com/reponses/quels-sont-les-effets-nefastes-de-travailler-devant-un-ordinateur.html16:44
le 19/4/2010
* 4 Cours d'informatique
générale dispensé par Ass. MERDA NZIBO
* 5 http://www.worldingo.com
* 6
http://www.wipedia.org/clavier
d'ordinateur
* 7 http://www.worldingo.com
* 8 Robert .A. MALLET, la
méthode informatique, cit.op
* 9 Jacques Sornet, guide de
l'analyse informatique
* 10 Nzigire Mataensda
brigitte ,impact de la connaissance enformatique, inedit, 2005-2006
* 11 Robert .A. MALLET, la
méthode informatique, op .cit.pp48 centre culturel international
de cerisy-la salle, révolution informatique, général
d'édition, paris 1970,PP
* 12 Centre culturel
international de Cerisy-la-Salle, révolution informatique,
op.cit.p392
* 13 Robert A.MALLET, la
méthode informatique, Hermann ; 1971
* 14 Robert .A. MALLET,
la méthode informatique, cit .op.
|