REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE
CENTRE UNIVERSITAIRE DE MWENE-DITU
EXTENSION DE L'UNIVERSITE DE LUBUMBASHI
« C.U.M.D »
FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE
GESTION
RAPPORT DE STAGE EFFECTUE AU SEIN
DES SEP CONGO MWENE-DITU
« S.E.P CONGO »
DU 01er AU 30 AVRIL 2011
Léonard KAYUMBI
KAYUMBI
3è Graduat
Année académique
2010-2011
AVANT PROPROS
Après différents cycles passés à
l'université, ces dernières ont toujours envoyé des
étudiants de ces différents stades faire des stages, la
nôtre n'as pas dérogé à la règle, c'est ainsi
que nous nous sommes retrouvés en stage au sein de l'entreprise
dénommée « Services des Entreprises
Pétrolières en sigle S.E.P CONGO ».
Une fois, c'est en vue de constater en quoi la théorie vue à
l'université est conforme avec la pratique de cette dernière dans
le monde du travail.
C'est dans cette optique que nous avons tenu à
remercier toutes les personnes qui ont marquées notre parcours lors de
ce stage.
En premier, nous ne manquons pas de dire au Donateur du
souffle de vie, grand merci et gloire à son saint Nom,
Jéhovah ! Avec son souffle là, nous pouvons prétendre
entreprendre autant d'actions ! Et l'une d'entre elles, ce sont les
études universitaires et ce stage qui s'en est suivi. Ainsi, nous disons
encore que tout le corps professoral de l'Université de Lubumbashi, nous
avons cité son extension, le centre Universitaire de Mwene-Ditu
« CUMD », reçoivent à
travers ces lignes l'expression de notre profonde gratitude.
A vous mes feux parents KAYUMBI Mushibar et
KAYEMBE Elisée que ce travail et d'autres encore vous
immortalisent davantage ! A toi ma chérie et mon épouse
Rosalie KUBIBUA KAYUMBI et tous les
nôtres d'avec toi, nous citons, tous nos enfants, recevez par ce travail
toute ma reconnaissance et pour eux, ceci c'est un modèle à
suivre !
Une fois de plus, nos remerciements vont tout droit à
tous les agents SEP nous ayant secouru pendant tout le temps de notre stage.
Particulièment ceux qui sont à l'exploitation, au laboratoire et
à l'agence en douane, au sein des services ayant fait l'essentiel de
notre stage, il s'agit des messieurs Dédé MAKWA, Donatien
NKONGOLO TSHIBASU*, Raphael EJIBA KALAMUSHI, Gervais MUVULI,
MUSUL a KALEP, KAPENA et Alphonse NKOMBO MWAMBA, recevez à
travers ce paragraphe notre profonde reconnaissance et nos remerciements les
plus chaleureux.
A vous tous compagnons (nes) de lutte, ami(e)s et
connaissances, recevez nos très chaleureux compliments.
* Il convient d'honorer la mémoire de M.
Donatien NKONGOLO TSHIBASU qui a quitté le monde des vivants depuis
ce 12 juin 2011, alors que la rédaction de ce rapport de stage
n'était pas encore achevée, il fut le premier à nous
accueillir !
SIGLE DES ABREVIATIONS
ANSI : American National Standard
Institute
ARC : Accusé de
Réception-Conversion
ARE : Accusé de Réception
Extérieur
ARI : Accusé de réception
interne
ASTM : American Society for Testing &
Materials
ATI : Accusé de transfert Interne
AVGAS : Produit d'aviation pour les petits
porteurs
BRP : Bon de Retour Produit
CC : Camion-Citerne
CD : Chef de Dépôt
COHYDRO : La Congolaise des Hydrocarbures
D/T AMB : Densité à
Température Ambiante
DEX : Département d'Exploitation
DGDA : Direction Générale des
Droits et Accises
DP : Dépense de caisse
FUEL : Huile moteur à haute
viscosité
GENAPEP : Groupe des entreprises nationales
pétrolières privées
GITC : Group Inter Trading Company
GO : Gasoil
GSM : Global System for Mobile
Communications
HF : Haute Fréquence
HP : Hauteur Produit
HSEQ : Hygiène,
Sécurité, Environnement et Qualité
IP : Institute of Petroleum
LT : Lettre de Transport SNCC
ND : Note de déclassement
NT : Note de transfert
NTI : Note de transfert Interne
PE : Pétrole
PL : Pipelines
PVR : Procès-verbal de
Réception wagons citernes
RC : Recettes Caisse
SARL : Société par Actions
à Responsabilité Limitée
SB : Stock SEP
SC : Essence
SEP : Services des
Entreprises Pétrolières Congolaises
SJPP : Sorties Journalières Produits
Pétroliers
SJT : Situation Journalière des
Tanks
SOCIR : Société
Congolo-Italienne de Raffinage
T° : Température
T05 : Demande de paiement
WC : Wagon citerne
METROLOGIE :
métrons : mesures, logo : sciences
INTRODUCTION
À la fin de ces trois ans, donc, du premier cycle
d'études universitaires, plusieurs cours ont été appris de
manière théorique. Le stage nous aura permis la confrontation de
ces cours à la pratique en vue d'une bonne adaptation pratique et
l'épanouissement intellectuel. Certes, ces différents cours ont
été un grand arsenal nous permettant d'appréhender au
mieux les diverses réalités qui sont celles de la vie
professionnelle.
Il sied de rappeler que le stage s'est déroulé
du 01 Avril au 30 avril 2011 auprès de SEP CONGO, le dépôt
de Mwene-Ditu, l'un de vingt six dépôts dont SEP CONGO dispose sur
l'ensemble du territoire national. Le stage nous a efficacement aidé de
telle manière qu'il a été un plus dans notre
apprentissage, dans la mesure où nous étions mis devant nos
failles par rapport à ce qui est fait dans le monde du travail, ce
à quoi nous sommes appelé à devenir, à nous adapter
et nos prouesses par rapport à ce que nous avions appris à
l'université.
Hormis l'introduction et la conclusion, le présent
rapport comportera tout au moins sur deux chapitres :
· Le premier, parlera sur l'entreprise nous ayant
accueilli tout en martelant sur la brève historique de celle-ci, ses
différents objectifs, sa structure ou son organisation interne, son
impact socio-économique ;
· Le second, il portera sur le déroulement
proprement-dit du stage.
CHAPITRE I :
PRESENTATION DE LA SEP CONGO RDC
Il est question dans ce chapitre de faire l'esquisse sur
notre champ d'investigation qui est la société par actions
à responsabilité limitée « Services des
Entreprises Pétrolières Congolaises » en sigle :
SEP CONGO.
SECTION I : HISTORIQUE
DE L'ENTREPRISE
I.1.1. NATURE JURIDIQUE
SEP est une entreprise mixte dont l'ancêtre a
été créée en 1910 sous la raison sociale de
« PETROCONGO, Société Anonyme des
Pétroles au Congo », de droit privé (S.A.R.L)
suivant l'ordonnance n° 78/038 du 20/01/1978 dont le siège social
est au n° 1, avenue des Pétroles : B.P. 2197, Kinshasa I NRC
2667 N° IDENT. NAT. K12209F N° CCA 311(*) et sa structure de l'actionnariat se
présente comme suit :
· 7 actionnaires
· Capital social : 10.251.286,80CDF (2002)
· Nombre d'actions : 120.000 dont :
Nombres d'actions %
Ø Cohydro 43.920 36.600
Ø Aristea (Fina-Engen) 43.918 36.598
Ø Shell Overseas Holdings Ltd 15.600 13.000
Ø Mobil petroleum Company Delware Corporation
9.360 7.800
Ø Société Congolaise des Pétroles
7.200 6.000
Ø Fina Marine SA 1 0,001
Ø EtmoFina SA 1 0,001
Total 120.000
100
I.1.2. OBJET DE LA SEP CONGO
Selon l'article 2 de ses statuts, SEP a pour objet
social : « Achat, importation des produits
pétroliers, leur revente aux sociétés partenaires ou
à leurs affiliées, réception, entreposage, manutention,
conditionnement, transport et mise en emballage des produits pétroliers
au Congo et dans les régions limitrophes. Prise de participation directe
ou indirecte avec les tiers à toutes les opérations commerciales,
industrielles et financières, mobilières ou immobilières
de nature à réaliser, faciliter ou développer l'objet
social »2(*) .
Et SEP reconnait que certains aspects de son objet social,
entre autres : l'achat, l'importation des produits pétroliers, leur
revente aux sociétés partenaires ou à leurs
affiliées ne sont plus encore atteints.
Ainsi les produits pétroliers que SEP Congo gère
physiquement et administrativement jusque-là sur l'ensemble du
territoire national appartiennent aux sociétés commerciales et
aux tiers (fournisseurs, transitaires, SOCOMS et Genapep).
I.1.3. MISSIONS SOCIALES DES SEP
CONGO
Nous avons recensé au moins neuf missions :
ü Maintenir et développer l'infrastructure de
distribution pétrolière du pays dans les normes techniques et de
sécurité requises,
ü Garantir le respect des normes de qualité,
sécurité et environnement ainsi que des opérations des
spécifications de qualité des produits à toutes les
étapes de manipulation,
ü Gérer physiquement et administrativement les
stocks de produits pétroliers pour le compte des propriétaires et
en assurer la disponibilité sur toute l'étendue du pays,
ü Minimiser les pertes et coulages dans tous les circuits
opérationnels,
ü Assurer le transport des produits pétroliers
vers tous les dépôts de l'intérieur par voie fluviale,
ferroviaire et routière,
ü Effectuer les livraisons en clientèle des
produits pétroliers dans les grandes agglomérations urbaines,
ü Avitailler les avions nationaux ou internationaux dans
tous les aéroports du pays,
ü Gérer un système douanier permettant
l'établissement des statistiques fiables des importations des produits
pétroliers et le calcul des taxes dues à l'Etat par les
opérateurs du secteur,
ü Collecter pour compte de l'Etat, les taxes fiscales et
para fiscales liées à l'activité pétrolière
en RDC3(*).
I.1.4. ACTIVITES PRINCIPALES
Comme activités principales, nous avons noté
qu'elles consistent en la réception et en la mise en place des produits
pétroliers sur toute l'étendue de la République
Démocratique du Congo.
Trois voies d'entrée permettent au pays de faire des
importations des produits pétroliers, il s'agit de :
· A l'Ouest (Bas-Congo) :
les produits finis importés (essence, gasoil, jet A1, Avgas,
pétrole, fuel et GPL) arrivent par tankers ou par barges de la
raffinerie Socir et sont déchargés au port pétrolier
d'Ango-Ango à Matadi avant d'être pompés par pipelines (PL)
excepté le fuel qui est acheminé par wagons citernes et les
huiles de base ainsi que le GPL par camions citernes ;
· Au Sud (Katanga) : les
produits finis entrent par Sakania et Kasumbalesa et sont soit
déchargés au dépôt de Lubumbashi, soit
transportés par wagons citernes vers Kolwezi ou vers le Kasaï
(Mwene-Ditu, Kananga) ;
· A l'Est (Nord Kivu, Sud Kivu
et Nord Katanga) : les produits finis importés sont
déchargés à Kalemie, Kalundu, Bukavu ou à Goma.
Mais en 1997, SEP avait perdu momentanément le contrôle des
importations à l'Est4(*).
I.1.5. MOYENS
SEP Congo dispose de beaucoup des moyens pour la
réalisation de ses activités et missions notamment :
ü Les installations fixes dans le
pays : capacité installée 233.911m3 (jusqu'en 2001)
comprenant 5 stations de pompage (Ango-Ango, Lufu, Lukala, Inkisi et Masina), 9
dépôts aviation (HRS Ndjili, Aéro Lubumbashi, Aéro
Mbandaka, Aéro Mbuji-Mayi, Aéro Kananga, Aéro Goma,
Aéro Kisangani, Aéro Kalemie et Aéro Gbadolite) et 26
dépôts terrestres reliés entre eux par un réseau de
télécommunications radio HF et GSM (Ango-Ango, Boma, Muanda,
Kinshasa, Masina, Ilebo, Lubumbashi, Mwene-Ditu, Kananga, Mbuji-Mayi, Kikwit,
Inongo, Bandundu, Mbandaka, Kisangani, Businga, Bumba, Isiro, Kalemie, Kindu,
Bukavu, Kalundu, Akula, Bena-Dibele, Aketi et Mungbere) ;
ü Mise en place des produits :
o Exploitation d'un réseau de pipelines (6 de 718 kms
dont 2 de 6'' axe Matadi-Kinshasa (662 kms), 2 de 6'' plus 1 de 10''
axe Masina-Kinshasa (44 kms) et 1 de 6'' axe Masina-HRS Ndjili (12 kms)) de
capacité annuelle de pompage (1.200.000m3) et des unités
fluviales, wagons citernes et camions citernes d'une capacité
installée respective de : 800m3, 5.454m3 et 1.616m3 ;
o Exploitation d'un réseau fluvial : 7
unités dont 5 pousseurs, 1 barge et 1 canot ;
o exploitation d'un réseau ferroviaire : 132
unités dont 2 locomotives et 130 wagons-citernes (axe Kasaï-Katanga
112 WC et axe Kinshasa-Bas Congo 18 WC) ;
o Exploitation d'un réseau terrestre (matériels
routiers et engins de génie civil & de piste) : 292
unités dont 53 porteurs, 39 semi-remorques, 35 tracteurs, 5 plateaux, 44
engins, 92 utilitaires légers, 17 voitures et 7 motos.
ü Gestion système douanier : commissionnaire
en douane, transporteur public routier des marchandises sous douane et
transitaire officiel des produits pétroliers, 13 agences en douane et 11
entrepôts fictifs agréés par la DGDA parmi les
dépôts disséminés dans le pays ;
ü Effectif du personnel (situation
février 2002) : agents actifs 1.605 travailleurs dont 511
classifiés, 462 maitrises, 430 cadres subalternes, 199 cadres
supérieurs nationaux (dont 6 directeurs) et 3 expatriés5(*).
I.1.6. OBJECTIFS
Pour mener à bien à toutes ses activités,
SEP Congo RDC s'est fixé les dix objectifs ci-dessous :
ü Actionnaires bien informés,
ü Exploitation efficace et rentable,
ü Distribution et transport optimisés,
ü Stocks précis et respectés,
ü Clients satisfaits,
ü Moyens techniques optimisés,
ü Ressources humaines motivées,
ü Finances saines,
ü Administration vigilante,
ü Risques maitrisés6(*).
SECTION II : STRUCTURE
ET FONCTIONNEMENT DE LA SEP CONGO
II.1. Organisation et
fonctionnement
Il y a ces principaux organes statutaires :
ü L'ASSEMBLEE GENERALE
ü LE CONSEIL D'ADMINISTRATION
ü LA DIRECTION GENERALE
ü LES COMMISSAIRES AUX COMPTES
(Deloitte &Touche et le Conseil Permanent de la Comptabilité au
Congo)7(*)
II.2. Au niveau de la Direction
Générale
La Direction Générale est appuyée par 3
unités :
· Achats, Audit Interne et Reporting &
Communication.
· A celle-ci s'ajoutent les départements
ci-dessous :
· 2 Départements opérationnels :
Exploitation et Technique ;
· 4 Départements fonctionnels : Finances,
Ressources Humaines, Administration & Juridique8(*).
II.3. La SEP CONGO /M.DITU
Ainsi, nous en arrivons à SEP Congo Ditu, dont les
installations constituent un dépôt terrestre parmi les 26 repartis
à travers le pays. D'une capacité globale de 1.730 m3 dont 480 en
essence (13 tanks) ; 1.050 m3 en gasoil (12 tanks) ; 50 m3 en
pétrole (1 tank) et enfin, 150 m3 en jet A1 (3 tanks) soit au total 29
tanks (1 vertical, 10 aériens et 18 souterrains).
II.2.1. Situation géographique
Le dépôt terrestre de Mwene-Ditu est situé
au n° 16 du croisement des avenues Kasa Vubu et Kinshasa, au Quartier
Kasanza dans la Commune de Musadi, Ville de Mwene-Ditu.
II.2.2. Organisation structurelle de la SEP CONGO
/M.DITU
Le dépôt terrestre de Ditu est géré
administrativement par un Chef de Dépôt, pendant le temps de notre
stage ce poste était occupé par Monsieur Dédé MAKWA
(CD) et voici l'organigramme du dit dépôt :
9(*)
CHAPITRE DEUXIEME :
DEROULEMENT DU STAGE
SERVICE
|
NOMBRE DE JOURS
|
ENCADREUR
|
EXPLOITATION
|
2
|
Dédé MAKWA
|
3
|
Donatien KONGOLO TSHIBASU
|
9
|
Raphael EJIBA KALAMUSHI
|
5
|
Gervais MUVULI
|
1
|
MUSUL A KALEP
|
LABORATOIRE
|
1
|
KAPENA
|
AGENCE EN DOUANE
|
1
|
Alphonse NKOMBO MWAMBA
|
21
|
SECTION 1 : AU SERVICE
EXPLOITATION SEP CONGO
Au tout premier jour, je me suis fait remettre quatre
dépliants parlant de l'aperçu des activités
opérationnelles de l'entreprise, du transport et de la distribution
à travers le pays, de l'historique de cette dernière et enfin,
sur le modèle national sur les aspects hygiène,
sécurité, environnement et qualité auxquels SEP a
souscrit.
Pour tout le fonctionnement de ce service (exploitation),
avions recensé différents documents ci-dessous :
· Le carnet de réception wagon
citerne servant d'entrée des WC dans le tank;
· L'accusé de réception interne
(ARI) pour les WC venus par note de transfert (NT);
· Le bon de retour produit (BRP) ;
· Situation journalière tanks (SJT) pour le
jaugeage journalier et matinal;
· Le carnet des jaugeages pour le
prélèvement des mesures dans les tanks, on part de ce carnet vers
les SJT mentionnées ci-haut ;
· La note de transfert (NT), transfert du produit du
dépôt SEP X vers le dépôt SEP Y ;
· La note de transfert interne (NTI), transfert produit
d'un tank à l'autre ;
· L'accusé de transfert interne (ATI), pour le
tank réceptionnaire ;
· L'accusé de réception conversion (ARC),
pour changer un produit en un autre souvent du jet a1 converti en
pétrole ;
· La note de déclassement (ND) déclenchant
la conversion ;
· Le C/12 - un document de suivi de transfert du produit
par camion-citerne (CC) SEP d'un dépôt à l'autre, constate
les quantités du départ à l'arrivée, pertes et
écarts ;
· Le C/13 - un document de suivi de transfert du produit
par wagon citerne (WC) comme le C/12 ;
· Le relevé des stocks mensuels - constate toutes
les entrées, les sorties et les stocks finals ;
· Le câble des stocks (du jour au jour) -
éclate par socoms et autres du stock initial plus entrée moins
sortie au stock final ;
· Le procès-verbal de réception WC (PVR),
pour chaque WC arrivé - le constat des réceptions est fait
(quantités au départ et à l'arrivée)
contresigné à la fois par SEP le
dépositaire-réceptionnaire, l'OCC, l'importateur et la
Sncc ;
· Le relevé des compteurs et enfuteuses ;
· Les sorties journalières produits
pétroliers (SJPP) informatisées - constate les sorties
journalières des produits à partir de bons de
prélèvement émis par les socoms ou autres ;
· L'accusé de réception extérieur
(ARE) ;
· La table de jauge par WC par hauteur vide - donne des
mesures étalonnées de chaque WC d'hauteur vide permettant de
calculer les quantités à l'arrivée pour chaque WC
arrivé et déchargé ;
· La table de jauge tanks - mesures
étalonnées du volume produit dans les tanks et pour chaque tank
(jaugeage à l'aide du décamètre jaugeur ou mètre
ruban) ;
· La table 53 et 54 (ASTM) - donne les mesures standard
à 15°C ;
· Le carnet des livraisons ou prélèvements
reprenant date, n° bon de livraison (BL ou BP), société
commerciale (socom), moyen de transport etc... ;
· Les carnets des messages reçus et
envoyés ;
· Le carnet des ordres de mission ;
· Le bon de commande ;
· Le billet d'envoi aux soins médicaux ;
· Le dossier de chaque agent ;
· Le carnet de pointage agents.
En dehors de tous ces documents, il y a du matériel de
mesure :
ü Té de jaugeage pour les camions citernes,
ü Té de jaugeage pour les wagons citernes,
ü Thermos plongeurs pour mesurer les t° dans les
wagons citernes et camions citernes,
ü Décamètre jaugeur ou ruban pour hauteur
du creux produit,
ü Bac étalon pour la fiabilité des
compteurs à 1.000 litres,
ü Fut étalon, pour la fiabilité des
compteurs à 200 litres ,
ü Eprouvette de laboratoire pour analyse de produit
déchargé,
ü Tir échantillon pour prélèvement
échantillon,
ü Densimètre pour la densité produit.
ü Thermo probe qui mesure aussi les t° du produit
dans les tanks (sur lequel est joint certaines pâtes à eau, au
départ jaune s'il y a présence d'eau la pâte deviendra
rouge, il y a une fois de plus la pâte move),
ü Appareil TAG pour le flash point (eau, produit et feu)
à partir du gaz à bombonne,
ü Thermo densimètre, pour la densité
produit et la température.
ü Thermomètre. Les trois derniers instruments sont
plus utilisés au laboratoire.
Quelques spécificités sont à relever sur
les tables de jauge tank et WC, par exemple :
Tank Hauteur produit Litre
Produit
· 1 1 5 essence
· 2 1 25 essence
WC Hauteur creux Litre
Produit
· 05053-6 0 42.034 essence
· 05069-1 0 42.500 essence
Au septième jour, ça été pour moi
l'occasion d'assister au jaugeage de quelques tanks et d'observer.
Au huitième jour, assistance au jaugeage et
participation au calcul ou transformation de ces mesures en quantités
pour quelques tanks. Comment s'effectue cette transformation des mesures des
volumes des tanks en quantités ?
1. Le calcul de la quantité ambiante du
produit (litre ambiant) :
On passe de la mesure prise du niveau produit dans le tank
vers la table de jauge du tank correspondant au volume correspondant ;
2. Le calcul de densité à 15° C
:
On va de la D/TAM de l'éprouvette (densité
à température ambiante) déjà renseignée dans
le carnet de jaugeage vers la Table 53 sur la densité et
température correspondantes ;
3. Le calcul du coefficient :
On part de la densité D/TAM à 15° C
(densité à température moyenne) déjà
déterminée dans le carnet vers la Table 53 sur la densité
à 15°C et température moyenne correspondantes ;
1) Le calcul du litre à 15°
C :
A partir du coefficient trouvé, on le multiplié
au litre ambiant au n° 1 du processus de ce calcul.
N.B : Ce calcul peut se faire manuellement et encore par
des procédés informatiques
(Étape 2 à 4).
EXEMPLE TYPE SUR UN TANK :
N° TANK
|
PRODUIT
|
NIVEAU
PDT (mm)
|
T° MILIEU
|
T° MOYENNE
|
DT/AM
|
50
|
GO
|
0083
|
18
|
18
|
850/29
|
1° LITRE AMBIANT
Avons pris la table de jauge tank 50 qui renseigne
ceci :
LIGNE
|
HP (cm)
|
VOLUME
|
L. AMBIANT
|
REMARQUE
|
8è ligne
|
0080
|
713
|
713
|
La mesure est comprise entre 8 et 9è lignes
|
9è ligne
|
0090
|
803
|
27
|
Ainsi, nous maintiendrons : 8è ligne 713
9è ligne (803-713)= 9X3= 27
10 -------
Pour la mesure de 0083, son volume est
740 litres ambiants (LTA)
2° DENSITE à 15° C
Table ASTM 53 B, à la correspondance de DT/AMB., de
850/29 T° Amb. 18° C :
Sur la page 164, entre les colonnes 10, 11 et la ligne
9è ligne, il y a10(*) :
· En colonne, la densité comprise entre : 849
et 851 ;
· En ligne et à la 9è, celles de la T°
AMB.: 858.6+860.6 = 859.6 soit 8.600
2
3° LE COEFFICIENT
Table ASTM 54 B, à la correspondance de DT/AMB., de
850/29 T° Moyen. 18° C :
A la page 188, entre la 6è colonne sur la
densité trouvée : 8.600,
A la 6è ligne et sur la t°
moyenne de 18° correspond le coefficient : 0,9975
4° LITRE à 15° C
A ce niveau, les choses sont simples : le litre ambiant
trouvé était de 740 L, alors pour le litre à 15°C,
nous prendrons litre ambiant X coefficient soit :
740 x 0,9975 = 738 L c'est la
quantité des litres à 15 ° C.
Notre tableau deviendra alors ainsi :
N° TANK
|
PRODUIT
|
NIVEAU
PDT (mm)
|
T° MILIEU
|
T° MOYENNE
|
DT/AM*
|
DENSITE
|
COEFFICIENT
|
L.
AMBIANT
|
L.
A 15°
|
ECART
|
50
|
GO
|
0083
|
18
|
18
|
850/29
|
8.600
|
0.9975
|
740
|
738
|
|
DT/AM est déterminé à partir des
échantillons pris le jour du déchargement d'un WC et amené
au laboratoire, ce chiffre ne changera que le jour d'un nouveau
déchargement
Au dixième jour, est intervenu le déchargement
de 2 wagons citernes tous du gasoil.
Au onzième jour, nous avions cherché à
composer ou calculer le stock global du dépôt :
Avant ça, une réunion fut tenue par le chef de
dépôt à l'intention de tous les agents. Elle avait pour
thème : « la sécurité dans les
dépôts d'hydrocarbures ».
Les principes de la composition du stock global par produit
sont :
ü Après jaugeage et détermination/calcul de
la quantité ATA / à 15°C de chaque tank,
ü Sommation par produit de toutes les quantités
calculées et trouvées dans les tanks correspondants au
produit,
ü Comparaison des quantités par produit du jour
aux quantités veille pour en dégager les écarts (sorties,
entrées et coulages),
ü Affectation aux socoms et autres, de tous les
mouvements intervenus (qu'est ce qui enté pour X, sorti pour lui, sa
part dans les écarts/adéquations et reconnaissance du stock
initial de chacun).
Après toutes ces étapes, on aura fait ce qu'on
appelle le câble des stocks qui reprend tous les
mouvements dans les tanks et par socom ayant entreposé son produit
auprès de la SEP répondant par-là à cette
règle de gestion de stock :
STOCK FINAL = STOCK INITIAL + ENTREES - SORTIES
(sorties réelles et coulage /
adéquations)11
ILLUSTRATION DE LA COMPOSITION DES STOCKS ENTRE LE 08 et LE
11 AVRIL 2011
EXPLICATION DES ECARTS
+ 130/348, ce sont les écarts positifs de livraison
parce qu'il y a eu entrée et sortie ;
+ 12/9 en pétrole, ce sont les écarts +
d'imprécision mesures parce qu'il n'y a pas eu de mouvement ;
+ 132/-70 en Jet A1, même cas qu'avec ceux du
pétrole ;
- 427/- 291 en essence, il s'agit des écarts
d'exploitation quand il y a eu entrée et sortie (ici, il y a eu
seulement des sorties).
Partant des stocks tanks du 11 avril 2011, auxquels on joindra
les stocks dans la tuyauterie de chaque produit, oui, à ce stade on aura
trouvé le volume global de chaque produit au dépôt. Le
volume du produit dans la tuyauterie est connu d'avance, il doit y exister pour
permettre la circulation instantanée du produit quand il y a mouvement
de réception dans les tanks ou de livraison aux clients.
Au treizième jour, avions assisté à la
saisie informatique de toutes les données de jaugeage pour le calcul
automatique des quantités à 15°C, du coefficient de tous les
produits et tous les tanks dans un programme informatique SEP appelé
« distribu ». Dans ce programme, les
lignes sur les colonnes renseignées sont déjà
déterminées dans le jaugeage du jour de tous les tanks et le
reste est calculé automatiquement par la machine, cela pour confirmer ou
infirmer le calcul manuel. Dans la plupart des cas, le calcul a toujours
été correct avec le calcul automatiquement.
Au quatorzième jour, encore à la saisie
informatique et avec autorisation d'expérimenter par moi-même la
saisie de 2 tanks 36 et 37.
Au dix-huitième jour, ça été une
journée bien pleine pour moi, il y a eu :
1. Une réunion d'exercice incendie avait
été organisée et à laquelle j'ai assisté,
elle consistait en une simulation - un wagon jet A1 sur raccordement a pris
feu ! comment procéder ?
o Alerte génerale sonnerie discontinue
o Evacuation des étrangers
o Evacuation des véhicules et objets de valeur
o Extincteurs mis en place
o Regroupement du personnel au poste de commandement
o Déclenchement du POI,
o Le approches feu fermeront les vannes afin d'empêcher
le feu de se répandre à travers la tuyauterie et n'aille dans les
tanks.
o Sont là quelques consignes données à
cette de simulation.
2. Un déchargement d'un WC jet A1.
3. Au laboratoire, j'avais été voir de mes
propres yeux l'éprouvette - un instrument de mesure - dans lequel sont
amenés les échantillons de nouveaux wagons à
décharger afin de prélever la densité (DT/AM) et d'autres
matériels encore utilisés là.
À partir de là, la densité trouvée
est confrontée au seuil des densités standard reconnues pour
chaque produit, ainsi, il convient de noter ce qui suit comme
densités normales et cela par produit :
Essence en ° C
|
Pétrole en ° C
|
Jet A1 en ° C
|
Gasoil en ° C
|
0,720 - 0,770
|
0,790 - 0,820
|
0,790 - 0,820
|
0,820 - 0,870
|
Ainsi, un produit dont la densité n'est pas comprise
dans la fourchette normale, il sera déclaré
inapproprié.
Au dix-neuvième jour, je m'étais exercé
à la saisie sur ordinateur de toutes les données de jaugeage de
tous les tanks qui sont répartis en trois zones.
Au vingtième jour, on m'avait laissé calculer
les quantités à litre ambiant en tank de tous les produits
après jaugeage.
En plus, j'avais voulu savoir quel est le canevas des rapports
envoyés à la hiérarchie. Il y en a qui sont :
JOURNALIERS
|
DECADAIRES
|
MENSUELS
|
- le câble des stocks,
- les binaires (stock informatisé),
- la situation WC (cours de route),
- soldes caisses...
|
- sorties produits après chaque 10ème
jour...
|
- le relevé stocks mensuels,
- le relevé des WC arrivés,
- les sorties mensuelles,
- les écarts mensuels,
- le relevé des index compteurs,
- le câble de stock éclaté,
- situations financières du dépôt,
- le rapport mensuel d'activité (RMA)...
|
ü Dans l'intervalle, certaines tâches m'avaient
été confiées par le Chef de dépôt :
ü L'apurement de toutes les sorties MONALUXE, un des
clients qui entreposent du produit à SEP, travail à moitié
fait car le Chef le récupérera pour finition (le
21/04/2011) ;
ü Rédaction d'un message de son congé sans
solde, il devait faire KIN et apurement stock KABIBA, un autre entre
dépositaire des produits à SEP, travail bien clôturé
(le 27/04/2011).
SECTION 2 : A L'AGENCE
EN DOUANE SEP CONGO
Ici, nous en sommes déjà au vingtième
jour de mon stage. Au contact avec le responsable de cette agence en douane,
M. Alphonse NKOMBO MWAMBA, il m'avait aidé à comprendre le
pourquoi de cette agence.
SEP CONGO était jusqu'à la promulgation
récente de l'ordonnance-loi n° 10/002 du 20 aout 2010 portant sur
le code des douanes, le seul commissionnaire en douane pour les produits
pétroliers, c'est-à-dire SEP possédait le monopole de
dédouanement des produits pétroliers. Et avec la nouvelle loi en
son article 6ème : « Sans préjudice des
dispositions des articles 7 points 1 et 2, 115, 116 point 1, et 117 du
présent code, toute personne intéressée peut accomplir par
soi-même les actes et formalités prévus par la
législation douanière »11(*).
Cette ordonnance et en cet article, ce monopole semble
être annulé d'une façon théorique mais en pratique,
SEP trône encore dans ce secteur pour multiples raisons et entre
autres :
Ø aider l'Etat dans le recouvrement des droits et taxes
sur les importations des produits pétroliers,
Ø fournir des statistiques en la matière sur
l'étendue de la république;
Ø constitue le déclarant officiel des
sociétés pétrolières traditionnelles (socoms :
ELF OIL RDC, CONGO OIL, ENGEN ex SHELL RDC etc....).
ELEMENT DE BASE DE TRAVAIL
Cette agence en douane ne se base que sur la structure
officielle des prix de l'Economie Nationale pour la facturation des droits et
taxes par voie d'entrée de tous les produits pétroliers.
Ainsi, en quelques lignes nous avons essayé de
démontrer la démarche de dédouanement par l'Agence en
Douane SEP, l'élément impératif pour commencer :
· la lettre de transport SNCC, qui permet l'ouverture du
dossier par le formulaire de la DGDA appelé « Ordre à
déclarer » (OD) établi au nom de l'importateur qui doit
le signer, il renseigne son nom, son adresse, la nature du produit
importé, la quantité chargée au départ et la
provenance du produit ou le pays d'importation) ;
· existent deux procédures de faire le
dédouanement : - en droiture,
c'est-à-dire après toute la démarche de
dédouanement le produit sera déchargé hors installations
SEP ; ici, le calcul est fait en tenant compte non pas de la
quantité déchargée mais de celle renseignée par la
lettre de transport SNCC avec le risque de payer trop s'il arrivait que lors du
dépotage qu'il y ait manquant. ou encore, en cas de litige, on tiendra
compte de la quantité certifiée par l'OCC, cela requiert un
jaugeage contradictoire avec l'OCC. - avec entreposage chez
SEP, c'est-à-dire que le produit sera entreposé
chez SEP, dans ce cas, le client signe la demande de traction de son wagon par
la SNCC vers SEP, signe l'OD sur lequel sera transcrit le volume
réellement réceptionné et entreposé, cette fois
constaté par un procès verbal de réception
(PVR) ;
· les quantités réceptionnées sont
transmises à la DGDA par la « déclaration sur
entrepôt » (E) renseignant le nom de l'importateur, l'origine
du produit, sa valeur en douane ainsi la DGDA va octroyer un numéro
à cette E, le n° utilisable sur tous les bons de
prélèvement du produit par l'importateur jusqu'à
l'apurement complet de toute la quantité
réceptionnée ;
· après calcul suivant bien sur la structure des
prix en cours, la fiscalité à payer est trouvée puis une
note de versement/perception est établie, l'importateur fait signer la
note de versement par le receveur de la DGDA avant le versement par escompte
auprès de la banque locale ; il reviendra à l'Agence en
Douane avec les preuves de paiement ou attestation de paiement établie
par l'institution financière, ensuite une « déclaration
pour l'importation définitive de mise en consommation » (ID)
est établie et renvoyée à la DGDA. cette dernière,
vérifiera la conformité des preuves de paiement, validera l'ID et
signera la mise à la disposition de l'importateur de son produit.
D'autres cas particuliers en rapport avec le
dédouanement :
v Exonérations par l'Etat à travers le
Ministère des Finances :
Soit accordées à certains organismes liés
à l'Organisation des Nations Unies « ONU », à
certains projets d'investissement, elles épargnent les
bénéficiaires du paiement de la fiscalité, à la
place de l'ID on établit l'IE « la déclaration en
exonération des droits à l'importation », ou
« la déclaration en exonération des droits à
l'exportation » (SE) ; c'est le cas de la MIBA « La
Minière des Bakwanga », du HCR « Haut commissariat
des Réfugiés » et CICR « Comité
International de la Croix Rouge » .
v Importation conditionnelle :
Accordée sur les projets d'investissement, dans ce cas
l'importateur dépose au Trésor public une caution d'un volume de
la marchandise importable (à importer) et par ces IC (Déclaration
sur importation conditionnelle), l'apurement des entrées est fait par
rapport au montant consigné. Cas de Tanswansea, fiscalité
payée anticipativement.
Il est à noter que les IC, les IE (SE) sont
validées mais rien n'est perçu localement, des statistiques sont
néanmoins établies.
v Ce que l'Agence en Douane profite des services
qu'elle rend :
De tout le travail que SEP effectue, tous les clients
exonérés ou pas paient les frais des honoraires à
l'Agence en douane SEP. SEP calcule à coté de la fiscalité
d'autres frais structurels comme le FONER et le précompte Bic.
SECTION 3 : AUTRES
SERVICES CONNEXES DANS L'ENCEINTE DE SEP CONGO
Nous avons recensé outre le laboratoire dans lequel
nous sommes aussi passés, d'autres services connexes entre
autres :
· DTN (garage, lié aux véhicules et autres
engins) ;
· GITC (les gardiens du groupe de sécurité
en sous traitance avec SEP CONGO) ;
· OCC (bureau détaché auprès de SEP
CONGO) ;
· DGDA (bureau en détachement car presque tous les
produits entreposés chez SEP sont des produits sous douane) ;
· Le bureau de la délégation syndicale SEP
CONGO.
SUGGESTIONS
Les SEP CONGO devraient continuer à actualiser ou
à mettre à jour les dépliants sur son historique, son
objet social, ses installations, ses missions, son personnel, son parc
automobile (barges, camions citernes) etc. ; ceux qui nous ont servi
dataient de 2002 de sa Direction Générale/Planning, Reporting et
Communications.
Cela est logique, car dans la science les informations ont un
délai, périment, deviennent obsolètes d'où la
nécessité de les mettre à jour.
CONCLUSION
Tout est bien qui finit bien ! Ainsi, nous arrivons
à la conclusion que l'université reste bel et bien la
pépinière du savoir, un boulevard de toutes les connaissances
scientifiques nécessaires pour autant d'activités courantes.
Il revient alors à chaque étudiant, d'adapter ou
d'apporter en rapport avec ce qu'il a appris ce qui sera utile à la
société, surtout de viser la minimisation des coûts et pour
une maximisation de profit, en fait pour une bonne rentabilité
économique dans toute entité économique dans laquelle nous
serons appelés à oeuvrer.
A travers notre stage, nous avions constaté cette
variété des connaissances allant de :
Ø La métrologie, une science s'occupant de
différentes mesures en ce qui concerne le calibrage
millimétré des tanks de stockage des produits, des citernes de
transport produit, des camions citernes, des pompes de livraison petit
débit et grand débit (étalonnage) ;
Ø la comptabilité des stocks, la gestion
auxiliaire de caisse (recettes et dépenses caisse, dépenses,
journal de caisse auxiliaire), la gestion du personnel (pointage
présence, classement livret de paie) ;
Ø l'informatique : gestion des stocks
informatisée
C'est là, en quelque sorte, la science mise en pratique
au niveau de SEP CONGO.
TABLE DES MATIÈRES
AVANT PROPROS
II
SIGLE DES ABREVIATIONS
IV
INTRODUCTION
1
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA SEP
CONGO RDC
2
SECTION I : HISTORIQUE DE L'ENTREPRISE
2
I.1.1. NATURE JURIDIQUE
2
I.1.2. OBJET DE LA SEP CONGO
2
I.1.3. MISSIONS SOCIALES DES SEP CONGO
3
I.1.4. ACTIVITES PRINCIPALES
3
I.1.5. MOYENS
4
I.1.6. OBJECTIFS
5
SECTION II : STRUCTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA
SEP CONGO
5
II.1. Organisation et fonctionnement
5
II.2. Au niveau de la Direction
Générale
5
II.3. La SEP CONGO /M.DITU
6
CHAPITRE DEUXIEME : DEROULEMENT DU
STAGE
8
SECTION 1 : AU SERVICE EXPLOITATION SEP
CONGO
8
SECTION 2 : A L'AGENCE EN DOUANE SEP CONGO
15
SECTION 3 : AUTRES SERVICES CONNEXES DANS
L'ENCEINTE DE SEP CONGO
17
SUGGESTIONS
17
CONCLUSION
18
TABLE DES MATIÈRES
19
* 1Dépliant SEP CONGO,
« Le garant de la distribution pétrolière en RDC
» DG/Planning, Reporting et Communications, Février 2002
* 2 Dépliant SEP
CONGO, « Aperçu des activités opérationnelles de
l'entreprise » DG/Planning, Reporting et Communications, Mars 2002
* 3 Dépliant SEP
CONGO, « Le garant de la distribution pétrolière en RDC
» DG/Planning, Reporting et Communications, Février 2002
* 4 Dépliant SEP
CONGO, « Aperçu des activités opérationnelles de
l'entreprise » DG/Planning, Reporting et Communications, Mars 2002
* 5 Dépliant SEP
CONGO, « Le garant de la distribution pétrolière en RDC
» DG/Planning, Reporting et Communications, Février 2002
* 6 Idem
* 7 Idem
* 8 Idem
* 9 ORGANIGRAMME
affiché sur une des valves de SEP CONGO DITU
* 10 Table ASTM, page 164
* 11
http://www.mirepa-rdc.info/index.php?option=com_content&view=article&id=386&Itemid=175-
ORD. LOI n° 10/002 du 20 aout 2010 portant code des douanes,
consulté le 04 juillet 2011
|