Chapitre 3 : Personnelles et
Organisation :
La Gestion des Ressources Humaines GRH devra connaitre dans le
cadre du projet de transformation de la banque des changements importants.
La mise en place de la nouvelle Stratégie de la banque va
engendre de nouveaux besoins en ressources humaines (qualitatifs et
quantitatifs). Cela suppose des actions appropriées, examiner
les besoins nés du programme de transformation pour peut avoir une
idée globale sur le nombre et les profils recherchés. Pour cela
nous présente trois point essentielle pour le étudie, qui sont
l`évaluation professionnel, risque opérationnel et un nouveau axe
d'étude, le technique de communication :
d. L'évaluation professionnelle
L'évaluation professionnelle est fondamentale pour le
Collaborateur, le Responsable, et pour la Banque :
Pour le Collaborateur d'abord, l'entretien d'évaluation
lui permet de s'exprimer sur son travail, d'évoquer avec son responsable
les difficultés rencontrées, et faire part de souhaits et
suggestions. Pour le Responsable ensuite, c'est le moment pour écouter
son collaborateur, mesurer ses résultats par rapport aux objectifs
fixés, et évaluer ses compétences professionnelles. Pour
la Banque enfin, l'évaluation est un instrument de gestion individuelle
et collective qui permet de mesurer les performances, détecter les
talents, et élaborer une stratégie de gestion des
carrières.
On obélies pas les recruteurs nouveaux ils doivent
suivre obligatoirement un stage pratique de 3 à 4 mois sur l'ensemble
des activités de la banque avant de les orienter à leurs
entités. Le recrutement est un investissement coûteux en temps
surtout. Il faut assurer un minimum de bagage à un jeune qui lui
facilite l'intégration dans son environnement professionnel par la
suite.
Il faut répondre aux besoins de la banque et contribuer
à l'amélioration de la compétence des collaborateurs
par la formation et de la mobilité au sein de la banque
pour faciliter la reconversion. En effet la BIAT est pour 2009, introduit un
changement à travers la mise en place des PFI `'Plans de Formation
Individuels''. Qui consiste à mètre, l'expression du besoin en
formation.
En effet la BIAT prend donc la bonne direction, dans la voie
de la transformation. Une transformation qui englobera nécessairement
le volet Ressources Humaines, puisque la banque est avant tout une entreprise
de personnes, au service de clients internes et externes.
a. Les risques opérationnels
La notion de Risque Opérationnel constitue une
nouveauté, introduite par le Comité de Bâle II par rapport
à l'ancien ratio Cooke (Bâle I), dans le dispositif
d'adéquation des fonds propres.
Les banques sont désormais tenues d'assurer une
couverture adéquate du risque opérationnel par des fonds propres.
Les principales catégories de risques opérationnels sont
liées à des carences dans les contrôles internes et la
gouvernance d'entreprise. Celles-ci peuvent entraîner des pertes
financières par suite d'erreurs, de fraudes ou de l'incapacité de
s'exécuter à temps, ou nuire d'autre manière aux
intérêts de la banque. Mais qu'entend-on parle de risque
opérationnel ?
|
|
D'après la définition du comité de
Bâle II, il s'agit du " risque de pertes dues
à une inadéquation ou une défaillance des
procédures, personnels, systèmes internes ou à des
éléments extérieurs", cette
définition inclut le risque juridique mais exclut le risque de
réputation et le risque stratégique.
|
|
Le comité de Bâle II a identifié
sept grands types d'événements de risque dans chaque ligne de
métier dans la banque:
|
- fraude interne: vols, falsifications et autres fraudes.
|
- fraude externe: vols, fraudes et sécurité des
systèmes.
|
- exécution et processus: saisie erronée,
erreurs comptables,...etc.
|
- interruption du ou des systèmes.
|
- pratiques métiers et environnement de travail:
actions judiciaires du personnel, mouvements sociaux,...etc.
|
- produits et services aux clients: manquement aux
règles professionnelles et déontologiques, pratiques commerciales
contestables,...etc.
|
- dommages aux biens: incendies, terrorisme,
vandalisme,...etc.
Bour faire face a ses type des risques la BIAT a crée
une direction qui prendre a ca charge tout se qu'il on une relation avec les
personnelles et risque de maties, cette direction est appelle DRO (direction de
risque opérationnel).
|
Mission de la Direction de Risque Opérationnel (DRO) au
sine de la BIAT :
|
La DRO est appelée à gérer le risque
opérationnel à travers:
|
- l'identification, l'évaluation, la surveillance et le
contrôle des dits risques.
|
- l'élaboration de plans d'action d'amélioration
et de maîtrise des risques.
|
- le reporting à la Direction Générale et
aux unités opérationnelles sur l'exposition au risque et les
pertes subies.
|
- la détermination des exigences en fonds propres pour
la couverture des dits risques.
|
- la diffusion d'une culture de risque opérationnel au
sein de tout le personnel de la banque.
- d'établir une cartographie des risques qui permettant
une meilleure connaissance des risques opérationnels et la mise en place
d'une véritable gestion de ceux-ci.
|
|
La gestion du risque opérationnel n'est pas un nouveau
niveau de contrôle qui est crée dans la banque mais c'est une
fonction qui est elle-même soumise au contrôle de l'Audit Interne.
La DRO travaillera en étroite collaboration avec les différentes
unités opérationnelles à travers un processus
d'auto-évaluation des risques.
|
|
|
|
En effet, la gestion du risque opérationnel incombe,
certes, à la DRO dont c'est la principale mission mais tous les
employés de la banque sont appelés à ne ménager
aucun effort pour prémunir leur institution contre toute perte due
à ce genre de risque.
Enfin, la gestion du risque opérationnel ne devrait pas
être perçue uniquement comme une contrainte de standards
internationaux ou de réglementation nationale future mais aussi comme un
moyen d'amélioration de la productivité et de la performance de
la banque.
|
b. Techniques de communication
La BIAT a inauguré le 12 mars dernier son Centre de
Développement des Compétences (CDC) : cette structure a pour
principale mission d'accompagner les Ressources Humaines dans la mise en oeuvre
des nouvelles orientations stratégiques du développement de la
Banque qui s'articulent autour de la satisfaction du client et de
l'amélioration de la qualité des services rendus.
Des moyens techniques et humains au service d'un seul objectif
à deux dimensions : placer toujours la satisfaction client au centre de
l'action quotidienne des Ressources Humaines et faire du conseil et de
l'accompagnement client un pilier de la culture d'entreprise BIAT. Finalement,
faire de la BIAT, la banque de référence en termes de relation
client.
Tout le personnel de la banque, quel que soit son niveau
hiérarchique doit être informé de façon claire et
concise sur la stratégie de développement. Toutefois, il ne
suffit pas d'informer, plutôt il faut faire adhérer le personnel
aux objectifs fixés et développer le sentiment d'appartenance au
groupe et de partager les mêmes valeurs avec les autres membres de ce
groupe. Cette culture d'entreprise peut renforcer l'efficacité
économique et la cohésion sociale de la banque.
|