II : S&S et l'enjeu de financement
Le financement c'est la pierre angulaire de tout projet
puisqu'il est une nécessité toute au long de cycle de
développement de l'entreprise. Lors de sa création S&S a
confronté à un problème de financement donc le PDG a fait
recours au fonds spéciaux. Mais il a proposé la discussion
suivante :
Si le promoteur possède son propre financement du
projet donc en phase de création il se trouve capable de couvrir la
majorité des besoins de l'investissement, le reste sera couvert par un
emprunt bancaire ou autre.
Sinon les solutions sont multiples mais ce qui juge c'est le
choix de la ou les meilleure(s) modalités de financement. Les
entreprises qui n'avaient pas une idée sur les conditions d'octrois de
crédits elles vont accorder des crédit bancaires à un taux
assez élevé et a des exigences assez lourdes. Alors que pour une
entreprise bien maîtrisée les différentes modalités
de financement peut faire recours aux sociétés de capital risque,
les sociétés de leasing, factoring les partenaires financier pour
le raison de coût le moins chères.
Ainsi au sommet de pyramide de financement On trouve les
crédits bancaires exemple la société S&S a
contracté un emprunt de 35000 dinars tunisiens c'est à dire la
moitié du montant d'investissement. Généralement Mr
Youssef a affirmé que à fin de stimuler la croissance c'est mieux
pour une High Tech de faire recours aux partenaires financiers et les business
Angel a fin d'exploiter leurs expertises et partager le risque. Cette
interprétation ne vient pas de rien mais puisque le marché des
High Tech est un marché presque nouveau pour l'économie
tunisienne.
La bourse est un moyen de financement très
approprié mais malheureusement S&S n'arrive pas d'être
coté. Cette modalité présente l'avantage de l'augmentation
de l'image de marque et par la suite augmenter la part de marché et
pourquoi pas un monopole en cas d'un faible degré de concurrence
à coté des autres avantages classiques.
Ainsi le choix de la modalité de financement la plus
appropriée doit remplir, selon Mr Akrmi, les objectifs
suivants :
· l'autonomie financière
· l'indépendance décisionnelle
· le développement des moyens logistiques
matériel et les technologies intellectuelles
· l'exploitation des expertises et des expériences
des autres partenaires
· éviter le partage de gain mais non le risque
· recours aux modalités les moins coûteuses.
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