4 - Environnement WEB
L'utilisation de ce simulateur ainsi que l'exploitation des
résultats qu'il fournit requiert des connaissances d'ordre technique.
C'est pourquoi le simulateur a été intégré dans une
page HTML que j'ai conçue, celle-ci contient un rappel du
procédé offset, des définitions, des schémas du
modèle (avec les références/numéros des contacts),
un manuel d'utilisation et des liens vers les sites Internet de l'UFRIMA, de
l'EFPG et de l'UJF).
Figure 22: Captures d'écran de la page
HTML
5 - Certificat & Sécurité
Le modèle de sécurité original fourni par
la plate-forme Java est connu sous le nom de << sandbox ».
Il a été conçu dans le but de mettre à
disposition de l'utilisateur un environnement qui contrôle l'accès
aux ressources du client. Le principe de la << sandbox >> est de
considérer que le code local (application) a un accès total
(trusted) aux ressources vitales du système (tel que le système
de fichiers) alors que le code téléchargé sur le Web
(applet) ne peut accéder qu'à des ressources limitées
(untrusted).
Par défaut, une applet est untrusted, pour que l'applet
puisse avoir accès aux ressources du système, il est
nécessaire de << signer >> et << certifier >>
l'applet. L'utilisateur se verra alors proposer, au démarrage de
l'applet, d'autoriser ou non cette applet à avoir tous les droits
(figure 23). C'est à ce moment que sera affichée la signature du
concepteur.
Figure 23 : Fenêtre de demande d'acceptation du
certificat
Il existe plusieurs méthodes pour signer et certifier
une applet. Soit on passe par un organisme qui entamera alors une
procédure de vérification de l'entreprise, soit on utilise les
outils fournis par les développeurs. La première est payante et
plutôt destinée aux sites professionnels ou commerciaux. J'ai donc
opté pour la méthode << manuelle >>. Il faut alors
utiliser les outils du JDK fourni par SUN, keytool et jarsigner.
(cf. annexes, Sécurité et certificat)
Une fois signée et certifiée, l'applet peut
écrire sur le disque si l'utilisateur accepte le certificat. C'est le
cas pour la version signée du simulateur. Il en devient plus performant
car des données stockées dans une fenêtre utilisent la
mémoire vive (RAM) de l'ordinateur, c'est le cas de la version standard
du simulateur, alors que des données écrites directement dans un
fichier ne monopolisent pas d'espace mémoire (vive). On peut ainsi
réduire la longueur du pas et augmenter le nombre de feuilles de
façon considérable, et ce dans les limites de la machine.
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